{"id":5407,"date":"2024-03-19T13:30:15","date_gmt":"2024-03-19T23:30:15","guid":{"rendered":"https:\/\/www.service-public.pf\/art\/?p=5407"},"modified":"2024-03-19T16:59:20","modified_gmt":"2024-03-20T02:59:20","slug":"mililani-lissant-une-aventure-artisanale","status":"publish","type":"post","link":"https:\/\/www.service-public.pf\/art\/mililani-lissant-une-aventure-artisanale\/","title":{"rendered":"Talent d’artisan : Mililani Lissant, une aventure artisanale"},"content":{"rendered":"
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T\u00e9l\u00e9chargez le Ve’a rima\u2019\u012b<\/a><\/p>\n<\/div><\/div><\/div>

Notre talent d’artisan du nouveau num\u00e9ro du Ve’a rima\u2019\u012b est Mililani Lissant. Cette jeune artisane de 22 ans sait ce qu\u2019elle veut : travailler \u00e0 son compte de sa passion, la couture, transmise par sa m\u00e8re Bella. L\u2019an dernier, la jeune femme a ainsi lanc\u00e9 sa marque de robes Waylani, qu\u2019elle commercialise lors des salons, sur les r\u00e9seaux sociaux ou encore dans l\u2019atelier familial \u00e0 Arue.<\/strong><\/p>\n

Il y a neuf mois, Mililani Lissant, jeune couturi\u00e8re de Arue, lan\u00e7ait son activit\u00e9 de confection de robes, sous la marque Waylani. \u00ab\u00a0Way, c\u2019est le chemin, Lani, c\u2019est la fin de mon pr\u00e9nom\u2026 Ma marque, c\u2019est le chemin de Lani\u00a0!\u00a0\u00bb,<\/em> explique la jeune fille de 22 ans. Ses cr\u00e9ations sont \u00e0 son image et visent un public jeune, avec des coupes pr\u00e8s du corps et des motifs tropicaux. \u00ab\u00a0Je fais surtout des v\u00eatements moulants. La plupart des gens ici font des robes amples donc j\u2019essaye de changer un peu de ce que l\u2019on voit d\u2019habitude, tout en m\u2019en inspirant.\u00bb <\/em><\/p>\n

Chez elle, elle passe ainsi beaucoup de temps \u00e0 imaginer et \u00e0 cr\u00e9er des robes, mais aussi des ensembles jupe et top ou encore des combipantalons, qu\u2019elle commercialise ensuite sur les salons, les r\u00e9seaux sociaux ou dans l\u2019atelier familial \u00e0 Arue.<\/p>\n

Car la couture et la cr\u00e9ation artisanale, chez les Lissant, c\u2019est une affaire de famille. Sa maman Bella con\u00e7oit elle aussi ses v\u00eatements et sa grande s\u0153ur Ana\u00efs, \u00e0 la t\u00eate d\u2019Ana\u00efs Cr\u00e9ation, vend des sacs, bijoux et chapeaux alliant fibres naturelles et tissus. Elles peuvent ainsi exposer ensemble lors de diff\u00e9rents \u00e9v\u00e8nements, comme sur le Salon Te Rara\u2019a – Les plus beaux tressages, qui s\u2019est tenu dans le hall de l\u2019Assembl\u00e9e de la Polyn\u00e9sie fran\u00e7aise fin f\u00e9vrier, o\u00f9 nous les avons rencontr\u00e9es.<\/p>\n

\u00ab\u00a0J\u2019ai toujours voulu \u00eatre auto-entrepreneure \u00a0\u00bb
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Cela fait seulement deux ans que Mililani coud mais les r\u00e9sultats ne se sont pas fait attendre. \u00ab\u00a0C\u2019est ma m\u00e8re qui m\u2019a appris la couture. Au d\u00e9but, j\u2019utilisais ses machines, d\u2019abord les plus simples, puis les rapides. Elle \u00e9tait l\u00e0 pour m\u2019aider, par exemple \u00e0 faire les patrons de mes premi\u00e8res cr\u00e9ations. Et petit \u00e0 petit, j\u2019ai fait par moi-m\u00eame.\u00a0\u00bb<\/em><\/p>\n

Ce qui n\u2019\u00e9tait au d\u00e9part qu\u2019un hobby, que Mililani pratiquait apr\u00e8s ses cours, est rapidement devenu une vocation. \u00ab\u00a0Apr\u00e8s ma licence en \u00e9co-gestion, j\u2019ai travaill\u00e9 en tant que comptable afin de constituer un capital pour lancer ma marque, puis j\u2019ai pu ouvrir ma patente. J\u2019ai toujours voulu \u00eatre auto-entrepreneure, comme mes parents.\u00a0Faire mes cr\u00e9ations et les voir port\u00e9es sur les autres, c\u2019est ce qui me pla\u00eet.\u00a0\u00bb<\/em><\/p>\n

Un jour, la jeune femme aimerait ouvrir sa propre boutique. En attendant, elle continue de cr\u00e9er des robes, tout en s\u2019essayant aussi aux bijoux et aux accessoires en coquillages pour les cheveux. Si elle semble avoir des projets plein la t\u00eate, Mililani, prudente, pr\u00e9f\u00e8re ne pas encore en parler\u2026 Mais vous pouvez toujours la suivre sur les r\u00e9seaux sociaux, sous le nom de sa marque Waylani Tahiti<\/a><\/span>, pour les d\u00e9couvrir.<\/p>\n<\/div><\/div><\/div><\/div><\/div>\n","protected":false},"excerpt":{"rendered":"","protected":false},"author":280,"featured_media":5428,"comment_status":"closed","ping_status":"closed","sticky":false,"template":"","format":"standard","meta":{"_seopress_robots_primary_cat":"none","_seopress_titles_title":"","_seopress_titles_desc":"","_seopress_robots_index":"","footnotes":""},"categories":[28,94,95],"tags":[],"lang":"fr","translations":{"fr":5407},"pll_sync_post":[],"_links":{"self":[{"href":"https:\/\/www.service-public.pf\/art\/wp-json\/wp\/v2\/posts\/5407"}],"collection":[{"href":"https:\/\/www.service-public.pf\/art\/wp-json\/wp\/v2\/posts"}],"about":[{"href":"https:\/\/www.service-public.pf\/art\/wp-json\/wp\/v2\/types\/post"}],"author":[{"embeddable":true,"href":"https:\/\/www.service-public.pf\/art\/wp-json\/wp\/v2\/users\/280"}],"replies":[{"embeddable":true,"href":"https:\/\/www.service-public.pf\/art\/wp-json\/wp\/v2\/comments?post=5407"}],"version-history":[{"count":15,"href":"https:\/\/www.service-public.pf\/art\/wp-json\/wp\/v2\/posts\/5407\/revisions"}],"predecessor-version":[{"id":5431,"href":"https:\/\/www.service-public.pf\/art\/wp-json\/wp\/v2\/posts\/5407\/revisions\/5431"}],"wp:featuredmedia":[{"embeddable":true,"href":"https:\/\/www.service-public.pf\/art\/wp-json\/wp\/v2\/media\/5428"}],"wp:attachment":[{"href":"https:\/\/www.service-public.pf\/art\/wp-json\/wp\/v2\/media?parent=5407"}],"wp:term":[{"taxonomy":"category","embeddable":true,"href":"https:\/\/www.service-public.pf\/art\/wp-json\/wp\/v2\/categories?post=5407"},{"taxonomy":"post_tag","embeddable":true,"href":"https:\/\/www.service-public.pf\/art\/wp-json\/wp\/v2\/tags?post=5407"}],"curies":[{"name":"wp","href":"https:\/\/api.w.org\/{rel}","templated":true}]}}