Après trois années de travail collaboratif avec le secteur privé, la Polynésie française dispose désormais d’un corpus législatif et réglementaire complet pour permettre la mise en œuvre des formalités contractuelles par voie électronique.

Au terme d’un important travail mené par les services du Pays, comme la Direction générale de l’économie numérique (DGEN) et du secrétariat général du gouvernement (SGG), c’est l’ensemble du socle juridique qui vient d’être adopté par l’exécutif.

Si les acteurs du secteur numérique et de l’économie réclamaient sa mise en place, le gouvernement s’était engagé à mener ce chantier d’envergure pour qu’enfin la signature électronique puisse venir agrémenter les relations contractuelles des entreprises entre-elles et avec leurs clients.

La Polynésie française entre ainsi dans une nouvelle ère de la transformation digitale. Grâce à ce nouveau cadre réglementaire, la signature électronique sera un critère important qui élèvera les entreprises au rang d’entreprises modernes.

Si désormais le cadre juridique est pleinement opérationnel, il appartient désormais aux entreprises d’adopter les solutions techniques fiables et sécurisées, reconnues pour leur interopérabilité et leur inviolabilité.