{"id":13543,"date":"2020-01-14T12:00:54","date_gmt":"2020-01-14T22:00:54","guid":{"rendered":"https:\/\/www.service-public.pf\/dgen\/?p=13543"},"modified":"2020-01-14T09:50:01","modified_gmt":"2020-01-14T19:50:01","slug":"le-fifo-2020-se-devoile","status":"publish","type":"post","link":"https:\/\/www.service-public.pf\/dgen\/le-fifo-2020-se-devoile\/","title":{"rendered":"Le FIFO 2020 se d\u00e9voile"},"content":{"rendered":"

\"\"<\/a>L\u2019Oc\u00e9anie est une r\u00e9gion du monde marqu\u00e9e par la richesse de son histoire, par la diversit\u00e9 de ses peuples et leurs cultures et par l\u2019\u00e9tendue de ses territoires. Elle demeure n\u00e9anmoins mal connue et peu repr\u00e9sent\u00e9e \u00e0 travers le monde. Un des objectifs du FIFO est de faire de Tahiti la capitale oc\u00e9anienne du film documentaire afin de permettre aux Oc\u00e9aniens de se rencontrer et de se r\u00e9v\u00e9ler aux yeux du monde. Trait d\u2019union entre le monde polyn\u00e9sien, micron\u00e9sien et m\u00e9lan\u00e9sien, depuis sa cr\u00e9ation, le FIFO est devenu un lieu privil\u00e9gi\u00e9 o\u00f9 la parole est donn\u00e9e \u00e0 l\u2019Homme du Pacifique. C\u2019est \u00e9galement un \u00e9v\u00e9nement culturel d\u2019importance qui permet la promotion de la r\u00e9gion \u00e0 travers ses images. Le FIFO est un rendez-vous incontournable pour un v\u00e9ritable partage du patrimoine audiovisuel oc\u00e9anien dans un monde o\u00f9 le poids et la voie de l\u2019image sont des axes majeurs et privil\u00e9gi\u00e9s de l\u2019\u00e9tablissement du dialogue et de l\u2019\u00e9change.
\nLe festival est n\u00e9 en 2004 sur une id\u00e9e f\u00e9d\u00e9ratrice de Walles Kotra, alors directeur r\u00e9gional de RFO Polyn\u00e9sie et Heremoana Maamaatuaiahutapu ancien directeur de Te Fare Tauhiti Nui \u2013 Maison de la Culture. Le FIFO a, ann\u00e9e apr\u00e8s ann\u00e9e, conquis le public oc\u00e9anien. Il a rapidement attir\u00e9 les r\u00e9alisateurs d\u2019Oc\u00e9anie et du monde entier qui y ont vu une formidable occasion de porter un regard nouveau sur la r\u00e9gion \u00e0 travers le prisme de l\u2019authenticit\u00e9 et de la diversit\u00e9, deux \u00e9l\u00e9ments-cl\u00e9s de son succ\u00e8s imm\u00e9diat.
\nL\u2019association du FIFO aura le plaisir d\u2019organiser le 17\u00e8me Festival International du Film documentaire Oc\u00e9anien du 1er au 9 f\u00e9vrier 2020.<\/p>\n

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T\u00e9l\u00e9charger le dossier de presse<\/a><\/p>\n

Pr\u00e9sident du Jury du FIFO 2020<\/strong><\/p>\n

Depuis le d\u00e9but, le festival a eu la chance d\u2019accueillir des membres du jury prestigieux tels que Herv\u00e9 Bourges, Laure Adler, Pierre-Henri Deleau, Florence Aubenas, St\u00e9phane Martin, V\u00e9ronique Cayla, Luc Jacquet, Elie Chouraqui, Greg Germain, Jan Kounen, Abderrahmane Sissako, St\u00e9phane Martin, \u00c9ric Lavaine et Carl Aderhold. L\u2019amiti\u00e9 de ces personnes et leur renomm\u00e9e ont grandement aid\u00e9 au d\u00e9veloppement du FIFO, \u00e0 sa reconnaissance et \u00e0 son rayonnement. Cette ann\u00e9e, le FIFO a le plaisir d\u2019accueillir \u00e0 la t\u00eate de son jury M. \u00c9ric Barbier, auteur de films et r\u00e9alisateur. \u00c9ric Barbier, pr\u00e9sident du jury (France)
\n\u00c9ric Barbier est un r\u00e9alisateur et sc\u00e9nariste fran\u00e7ais dipl\u00f4m\u00e9 de l’Institut des hautes \u00e9tudes cin\u00e9matographiques. Tr\u00e8s vite, il r\u00e9alise ses premiers courts-m\u00e9trages de fiction : La mal\u00e9diction de
\nSaint Merry (1980), Who\u2019s in The Raincoat (1981), Shanghai (1981) et La face perdue (1982) qui remporte le grand prix du festival d\u2019Albi.
\nEn 1985, le prix Victor Hugo lui permet de r\u00e9aliser son premier long-m\u00e9trage Le brasier, avec Maruska Detmers et Jean-Marc Barr, qui sort en 1991 et remporte le prix Jean Vigo. En 1993, il r\u00e9alise Les ann\u00e9es lyc\u00e9e, t\u00e9l\u00e9film pour ARTE, puis Toreros en 1999 avec Olivier Martinez et Claude Brasseur.
\nEn 2006, il r\u00e9alise le polar Le serpent, avec Yvan Attal, Clovis Cornillac et Pierre Richard. En 2012 sort Le dernier diamant avec B\u00e9r\u00e9nice Bejo et Yvan Attal. En 2017, il sort La Promesse de l’aube,
\nd’apr\u00e8s le roman de Romain Gary, avec Charlotte Gainsbourg, Pierre Niney, Catherine McCormac, Didier Bourdon et Jean-Pierre Darroussin.
\nEnfin, en 2019, il r\u00e9alise le film Petit pays adapt\u00e9 du roman de Gael Faye, avec Jean-Paul Rouve. La sortie du film est pr\u00e9vue en mars 2020 et est pr\u00e9sent\u00e9 en avant-premi\u00e8re au 17e FIFO.<\/p>\n

Pr\u00e9sentation du jury\u00a0<\/strong><\/p>\n

Lisa Taouma (Nouvelle-Z\u00e9lande)<\/strong><\/em>
\nR\u00e9alisatrice et productrice r\u00e9compens\u00e9e \u00e0 maintes reprises, Lisa Taouma a impos\u00e9 sa marque dans l\u2019industrie en promouvant un storytelling du Pacifique \u00e0 l\u2019\u00e9cran. Elle produit de nombreux contenus t\u00e9l\u00e9 et web, dont le programme phare de TVNZ Fresh. Elle a \u00e9galement cr\u00e9\u00e9 le portail internet The Coconet pour lequel elle a produit de nombreux documentaires.
\nLisa a grandi dans le village de Faleasi\u2019u, sur l\u2019\u00eele de Upolu \u00e0 Samoa avant de s\u2019installer \u00e0 Auckland dans les ann\u00e9es 80.
\nAujourd\u2019hui, elle travaille principalement dans la r\u00e9gion pour valoriser les histoires des communaut\u00e9s du Pacifique. Son film Marks of Mana, pr\u00e9sent\u00e9 aux FIFO 2019, a remport\u00e9 de nombreuses r\u00e9compenses dans diff\u00e9rents festivals ou instituts du film dans le Pacifique et dans le monde.
\n\u00ab Je souhaite privil\u00e9gier un regard autochtone du Pacifique dans mon travail, plus particuli\u00e8rement, un regard autochtone f\u00e9minin. Il n\u2019y a pas suffisamment d\u2019histoires port\u00e9es \u00e0 l\u2019\u00e9cran qui placent le Pacifique comme narrateur et acteur v\u00e9ritable et authentique, et qui s\u2019adresse \u00e0 nous comme \u00e0 un public autochtone. \u00bb Elle est une d\u00e9fenseuse passionn\u00e9e de la richesse des histoires du Pacifique qu\u2019elle souhaite c\u00e9l\u00e9brer afin de porter notre univers oc\u00e9anien au reste du monde.<\/p>\n

Paul Damien Williams (Australie)<\/strong><\/em>
\nPaul Damien Williams est auteur et r\u00e9alisateur du long-m\u00e9trage documentaire Gurrumul. Acclam\u00e9 par la critique, r\u00e9compens\u00e9 par de nombreux festivals et institutions audio-visuelles r\u00e9gionales
\net internationales et prim\u00e9 au FIFO 2019, le film raconte le parcours du chanteur aborig\u00e8ne aveugle Geoffrey Gurrumul Yunupingu.
\nPaul Williams pr\u00e9pare l\u2019adaptation cin\u00e9matographique du livre r\u00e9volutionnaire The Unlucky Australians de Frank Hardy, publi\u00e9 en 1968.
\nEnfin, il est le responsable du d\u00e9partement \u201cDocumentaires\u201d \u00e0 Screenwest, l\u2019agence de l\u2019industrie du film en Australie Occidentale, \u00e0 Perth.<\/p>\n

Emmanuel Kasarh\u00e9rou (Nouvelle Cal\u00e9donie)
\nApr\u00e8s des \u00e9tudes d’histoire et d’arch\u00e9ologie \u00e0 Paris, Emmanuel Kasarh\u00e9rou est nomm\u00e9 en 1985 conservateur du Mus\u00e9e de la Nouvelle-Cal\u00e9donie. En 1994 il rejoint l\u2019Agence pour le D\u00e9veloppement de la Culture Kanak o\u00f9 il est nomm\u00e9 directeur culturel responsable du projet artistique et de la pr\u00e9figuration du centre Tjibaou qui ouvre ses portes en 1998. De 2006 \u00e0 2011 il
\ndevient le directeur g\u00e9n\u00e9ral de l\u2019institution, op\u00e9rant dans le domaine de l\u2019art contemporain, du spectacle vivant, de la recherche et de la collecte du patrimoine mat\u00e9riel et immat\u00e9riel.
\nEn 2011, il rejoint le Mus\u00e9e Quai Branly-Jacques Chirac o\u00f9 il organise l’exposition \u201cKanak. L\u2019art est une parole.\u201d Il y assume depuis 2014 les fonctions d\u2019adjoint au directeur du patrimoine et
\ndes collections.<\/p>\n

Joe Wilson (Hawaii)<\/strong><\/em>
\nJoe Wilson est r\u00e9alisateur et producteur de documentaires bas\u00e9 \u00e0 Hawaii. Son travail porte essentiellement sur la r\u00e9pression et la prise de pouvoir dans les communaut\u00e9s les plus vuln\u00e9rables
\nde la soci\u00e9t\u00e9. Distingu\u00e9s \u00e0 plusieurs reprises (Berlinale, Human Rights Watch, AFI Docs, Los Angeles, Toronto, Yamagata), ses films ont \u00e9t\u00e9 diffus\u00e9s sur des r\u00e9seaux internationaux tels que PBS et ARTE. Ses campagnes d\u2019impact ont permis de toucher des milliers de communaut\u00e9s populaires et des \u00e9coles dans le monde entier.
\nSa filmographie inclut Out in the Silence, Kumu Hina (prix sp\u00e9cial du jury et prix du public au FIFO 2015), A Place in The Middle et Leitis in Waiting (prix sp\u00e9cial du jury au FIFO 2018).
\nEn 2019, Joe a coordonn\u00e9 le Good Pitch Local Hawaii en partenariat avec Doc Society, le Sundance Institute et la fondation Ford afin de r\u00e9unir des soutiens en faveur de r\u00e9alisateurs locaux pour des projets audiovisuels \u00e0 fort potentiel d\u2019impact culturel, environnemental et soci\u00e9tal.<\/p>\n

Tauarii Lee (Polyn\u00e9sie fran\u00e7aise)<\/strong><\/em>
\nTauarii est journaliste \u00e0 Polyn\u00e9sie La 1\u00e8re. Il d\u00e9bute sa carri\u00e8re \u00e0 RFO en Juin 2000 apr\u00e8s des \u00e9tudes \u00e0 l\u2019universit\u00e9 de la Polyn\u00e9sie fran\u00e7aise o\u00f9 il obtient une Licence de Lettres, Langues et
\nCivilisations polyn\u00e9siennes.
\nIl a fait une grande partie de sa carri\u00e8re \u00e0 la radio, puis \u00e0 la t\u00e9l\u00e9 o\u00f9 il pr\u00e9sente le journal, les d\u00e9bats politiques et soir\u00e9es \u00e9lectorales. Il a \u00e9t\u00e9 nomm\u00e9 r\u00e9dacteur en chef adjoint il y a 7 ans. Son penchant pour le sport le conduit \u00e0 couvrir r\u00e9guli\u00e8rement les grands \u00e9v\u00e9nements sportifs comme la Hawaiki Nui Va\u2019a ou les Juex du Pacifique. Depuis toujours, il
\nest particuli\u00e8rement attach\u00e9 au reo m\u0101\u2019ohi et a \u00e9t\u00e9 beaucoup inspir\u00e9 par Turo Raapoto, Henri Hiro et John Mairai.<\/p>\n

Jacques Vernaudon (Polyn\u00e9sie fran\u00e7aise)<\/strong><\/em>
\nJacques Vernaudon est linguiste, ma\u00eetre de conf\u00e9rence \u00e0 l\u2019universit\u00e9 de la Polyn\u00e9sie fran\u00e7aise.
\nN\u00e9 \u00e0 Tahiti en 1973, il d\u00e9bute sa carri\u00e8re en 1999 \u00e0 l\u2019universit\u00e9 de la Nouvelle-Cal\u00e9donie o\u00f9 il participe \u00e0 la promotion de l\u2019enseignement des langues kanak \u00e0 l\u2019universit\u00e9 et dans le syst\u00e8me
\n\u00e9ducatif cal\u00e9donien. Depuis 2013, il a rejoint l\u2019universit\u00e9 de la Polyn\u00e9sie fran\u00e7aise et poursuit ses travaux qui s\u2019articulent autour de deux axes compl\u00e9mentaires, l\u2019un centr\u00e9 sur la description
\ngrammaticale de langues oc\u00e9aniennes, d\u00e9sormais plus particuli\u00e8rement les langues polyn\u00e9siennes, l\u2019autre sur la transmission de ces langues en contexte plurilingue.<\/p>\n

S\u00e9lection officielle des films documentaires du FIFO 2020
\n<\/strong>
\nComme chaque ann\u00e9e vient le moment d\u2019annoncer le retour du Festival International du Film Oc\u00e9anien. Il s\u2019agira de la 17\u00b0 \u00e9dition de ce rendez-vous culturel et audiovisuel du Pays, du 1er au 9
\nf\u00e9vrier 2020. L\u2019\u00e9quipe du FIFO peut commencer \u00e0 mettre en mots la vague d\u2019images qui va d\u00e9ferler sur les spectateurs des salles de Te Fare Tauhiti Nui avec son flot d\u2019\u00e9motions et de visages d\u2019hommes, de femmes ou d\u2019enfant de l\u20190c\u00e9anie. Ils seront emport\u00e9s, sans danger aucun, dans l\u2019univers visuel du Pacifique. Pris par les diff\u00e9rentes cultures et pens\u00e9es de cet espace, ils seront baign\u00e9s par leurs arts, leurs Histoires, leurs passions comme par leurs craintes, leurs probl\u00e8mes et les solutions qu\u2019ils envisagent.
\nDu temps a pass\u00e9 depuis le premier FIFO en 2004. Ses images \u00e9taient alors surtout consacr\u00e9es aux cultures et aux traditions. Le FIFO 2020 montrera que les Oc\u00e9aniens sont toujours tr\u00e8s attach\u00e9s \u00e0 ces deux th\u00e8mes mais il manifestera aussi d\u2019une \u00e9volution : les traditions sont parfois contest\u00e9es, remises en question, les sujets pr\u00e9sent\u00e9s sont plus vari\u00e9s, inscrits dans le monde contemporain et peut-\u00eatre davantage li\u00e9s aux pr\u00e9occupations d\u2019autres continents. Deux autres \u00e9volutions peuvent \u00eatre signal\u00e9es : les longs m\u00e9trages sont de plus en plus longs et, par cons\u00e9quent, les films peuvent \u00eatre plus complexes, faisant ainsi place \u00e0 des sujets qui peuvent relier plusieurs th\u00e8mes diff\u00e9rents.<\/p>\n

Les 13 films documentaires pr\u00e9sents en comp\u00e9tition sont repr\u00e9sentatifs de l\u2019Oc\u00e9anie d\u2019hier et d’aujourd\u2019hui. La premi\u00e8re th\u00e9matique que l\u2019on puisse \u00e9voquer est celle qui met en avant la tradition, un des marqueurs du FIFO. Th\u00e9matique qu\u2019on retrouve dans Ruahine : Stories in her skin sur le tatouage f\u00e9minin m\u0101ori et dans Rurutu, terre de \u2018umuai, avec des mariages communautaires, moments de joie et de festivit\u00e9, et tradition renouvel\u00e9e. Ces films font le lien avec l\u2019identit\u00e9, autre marqueur important de l\u2019espace oc\u00e9anien. Il est essentiel aussi pour In My Blood It Runs il y est associ\u00e9 au th\u00e8me de la m\u00e9moire, de la langue aborig\u00e8ne, de l\u2019h\u00e9ritage du mana. The Australian Dream traite \u00e9galement de l\u2019identit\u00e9 mais dans l\u2019univers du sport et surtout marqu\u00e9e par le racisme.
\nLe FIFO 2020 fera la part belle \u00e0 l\u2019Histoire avec un grand H. Elle est au c\u0153ur de \u00c0 l\u2019autre bout de la Guerre documentaire sur l\u2019Oc\u00e9anie fran\u00e7aise et la IIe Guerre Mondiale. Ce m\u00eame conflit est au c\u0153ur d\u2019un film de Nouvelle-Z\u00e9lande au ton tr\u00e8s diff\u00e9rent, Vapnierka, sur le deuil, le souvenir familial des morts et la m\u00e9moire du sacrifice. Ophir pr\u00e9sente une autre guerre et sa dur\u00e9e, sur l\u2019\u00eele de Bougainville.
\nQuant \u00e0 Lost Rambos, il \u00e9voque la guerre en PNG avec ses guerriers, ses pacificateurs et ses victimes. La mort n\u2019est pas tenue \u00e0 l\u2019\u00e9cart de la vie des Oc\u00e9aniens. Deux films lui donnent une place importante Vapnierka, mais aussi From Music to Silence o\u00f9 un harpiste accompagne les mourants. Mais ce musicien fait aussi sourire les nourrissons et aide \u00e0 la gu\u00e9rison des malades.
\nLes femmes jouent un r\u00f4le primordial dans les soci\u00e9t\u00e9s oc\u00e9aniennes comme au sein du FIFO. Dans le film Mereta : How Mum Decolonised The Screen, Mereta Mita est la personnalit\u00e9 qui incarne \u00e0 la fois la lutte pour les droits des femmes et la lutte pour les droits des M\u0101ori en Nouvelle-Z\u00e9lande. Les violences que subissent les femmes en Oc\u00e9anie se retrouvent dans Bombard\u00e9es (Nouvelle Cal\u00e9donie) alors que Ruahine : Stories in Her Skin montre l\u2019univers traditionnel des femmes.
\nL\u2019environnement est un th\u00e8me aujourd\u2019hui universel. Le FIFO qui s\u2019en fait l\u2019\u00e9cho depuis des ann\u00e9es le met en avant avec Blue Boat. Bateaux de p\u00eache pirates et fonds marins d\u00e9truits y sont li\u00e9s au probl\u00e8me de la pauvret\u00e9 de certains pays. Eating up Easter \u2013 Haka Puai Te Kainga, quant \u00e0 lui, nous emm\u00e8ne \u00e0 l\u2019\u00eele de P\u00e2ques pour aborder le sujet des d\u00e9chets et de leur traitement.
\nDes portraits sont pr\u00e9sents, une femme (Merata : How Mum Decolonized The Screen). Un enfant (In My Blood It Runs). Des hommes (The Australian Dream et From Music to Silence).<\/p>\n

\u00c0 l\u2019autre bout de la guerre<\/strong>
\n(2018 \u2013 90 min \u2013 France)
\nVersion fran\u00e7aise, sous-titr\u00e9e en anglais
\nR\u00e9alisation : Charles-Antoine de Rouvre
\nProduction : Z\u00e9ta Production, Bleu Lagon, France T\u00e9l\u00e9visions<\/p>\n

Blue Boat<\/strong>
\n(2019 \u2013 52 min \u2013 Nouvelle-Cal\u00e9donie, France)
\nVersion fran\u00e7aise, sous-titr\u00e9e en anglais
\nR\u00e9alisation : Dominique Roberjot, Christine Della-Maggiora
\nProduction : Latitude 21 Pacific<\/p>\n

Bombard\u00e9es<\/strong>
\n(2019 \u2013 52 min \u2013 Nouvelle-Cal\u00e9donie)
\nVersion fran\u00e7aise, sous-titr\u00e9e en anglais
\nR\u00e9alisation : Florence d\u2019Arthuys
\nProduction : T\u00eatemba Productions, aaa production, NC La 1\u00e8re, Caledonia<\/p>\n

Eating Up Easter \u2013 Haka Puai Te Kainga<\/strong>
\n(2018 \u2013 77 min \u2013 \u00cele de P\u00e2ques, Hawaii)
\nVersion anglaise, sous-titr\u00e9e en fran\u00e7ais
\nR\u00e9alisation : Sergio M. Rapu
\nProduction : Mara Films LLC, Kartemquim Films, Pacific Islanders in Commnication<\/p>\n

From Music Into Silence<\/strong>
\n(2018 \u2013 72 min \u2013 Australie)
\nVersion anglaise, sous-titr\u00e9e en fran\u00e7ais
\nR\u00e9alisation : Farshid Akhlaghi
\nProduction : Butterfly Media<\/p>\n

In My Blood It Runs<\/strong>
\n(2019 \u2013 85 min \u2013 Australie)
\nVersion anglaise et aborig\u00e8ne, sous-titr\u00e9e en anglais et en fran\u00e7ais
\nR\u00e9alisation : Maya Newell
\nProduction : Closer Productions<\/p>\n

Lost Rambos<\/strong>
\n(2019 \u2013 23 min \u2013 Australie)
\nVersion anglaise, sous-titr\u00e9e en fran\u00e7ais
\nR\u00e9alisation : Chris Phillips
\nProduction : Pursekey Production<\/p>\n

Merata : How Mum Decolonized The Screen<\/strong>
\n(2018 \u2013 84 min \u2013 Nouvelle-Z\u00e9lande)
\nVersion anglaise, sous-titr\u00e9e en fran\u00e7ais
\nR\u00e9alisation : Heperi Mita
\nProduction : Chelsea Winstanley<\/p>\n

Ophir<\/strong>
\n(2019 \u2013 97 min \u2013 Royaume-Uni, France)
\nVersion anglaise, sous-titr\u00e9e en fran\u00e7ais
\nR\u00e9alisation : Alexandre Berman, Olivier Pollet
\nProduction : Arsam International, Fourth World Films, Kristian Lasslett<\/p>\n

Ruahine : Stories In Her Skin<\/strong>
\n(2019 \u2013 40 min \u2013 Nouvelle-Z\u00e9lande)
\nVersion anglaise, sous-titr\u00e9e en fran\u00e7ais
\nR\u00e9alisation : Hiona Henare
\nProduction : Brown Bitty Pictures, Mua\u016bpoko Trial Authority<\/p>\n

Rurutu, terre de \u2018umuai<\/strong>
\n(2018 \u2013 52 min \u2013 Polyn\u00e9sie fran\u00e7aise)
\nVersion fran\u00e7aise, sous-titr\u00e9e en anglais
\nR\u00e9alisation : Virginie Tetoofa
\nProduction : Ahi Company, France T\u00e9l\u00e9visions<\/p>\n

The Australian Dream<\/strong>
\n(2019 \u2013 105 min \u2013 Australie)
\nVersion anglaise, sous-titr\u00e9e en fran\u00e7ais
\nR\u00e9alisation : Daniel Gordon
\nProduction : Nick Batzias, John Battsek, Virginia Whitwell, Sarah Thomson<\/p>\n

Vapnierka<\/strong>
\n(2019 \u2013 59 min \u2013 Nouvelle-Z\u00e9lande)
\nVersion anglaise, sous-titr\u00e9e en fran\u00e7ais
\nR\u00e9alisation : Fiona Apanui-Kupenga
\nProduction : Te Amokura Production<\/p>\n

Cet \u00e9v\u00e9nement est organis\u00e9 avec le soutien de la Polyn\u00e9sie fran\u00e7aise<\/span><\/strong><\/p>\n","protected":false},"excerpt":{"rendered":"

L\u2019Oc\u00e9anie est une r\u00e9gion du monde marqu\u00e9e par la richesse de son histoire, par la diversit\u00e9 de ses peuples et leurs cultures et par l\u2019\u00e9tendue de ses territoires. Elle demeure n\u00e9anmoins mal connue et peu repr\u00e9sent\u00e9e \u00e0 travers le monde. Un des objectifs du FIFO est de faire de Tahiti la capitale oc\u00e9anienne du film […]<\/p>\n","protected":false},"author":4,"featured_media":13545,"comment_status":"closed","ping_status":"closed","sticky":false,"template":"","format":"standard","meta":{"_seopress_robots_primary_cat":"","_seopress_titles_title":"","_seopress_titles_desc":"","_seopress_robots_index":"","footnotes":""},"categories":[1308],"tags":[132,1553,1552],"_links":{"self":[{"href":"https:\/\/www.service-public.pf\/dgen\/wp-json\/wp\/v2\/posts\/13543"}],"collection":[{"href":"https:\/\/www.service-public.pf\/dgen\/wp-json\/wp\/v2\/posts"}],"about":[{"href":"https:\/\/www.service-public.pf\/dgen\/wp-json\/wp\/v2\/types\/post"}],"author":[{"embeddable":true,"href":"https:\/\/www.service-public.pf\/dgen\/wp-json\/wp\/v2\/users\/4"}],"replies":[{"embeddable":true,"href":"https:\/\/www.service-public.pf\/dgen\/wp-json\/wp\/v2\/comments?post=13543"}],"version-history":[{"count":0,"href":"https:\/\/www.service-public.pf\/dgen\/wp-json\/wp\/v2\/posts\/13543\/revisions"}],"wp:featuredmedia":[{"embeddable":true,"href":"https:\/\/www.service-public.pf\/dgen\/wp-json\/wp\/v2\/media\/13545"}],"wp:attachment":[{"href":"https:\/\/www.service-public.pf\/dgen\/wp-json\/wp\/v2\/media?parent=13543"}],"wp:term":[{"taxonomy":"category","embeddable":true,"href":"https:\/\/www.service-public.pf\/dgen\/wp-json\/wp\/v2\/categories?post=13543"},{"taxonomy":"post_tag","embeddable":true,"href":"https:\/\/www.service-public.pf\/dgen\/wp-json\/wp\/v2\/tags?post=13543"}],"curies":[{"name":"wp","href":"https:\/\/api.w.org\/{rel}","templated":true}]}}