{"id":2647,"date":"2018-10-09T10:04:20","date_gmt":"2018-10-09T20:04:20","guid":{"rendered":"https:\/\/www.service-public.pf\/dpam\/?p=2647"},"modified":"2018-10-09T10:12:22","modified_gmt":"2018-10-09T20:12:22","slug":"arrivee-du-trimaran-race-of-water-lurgence-de-lutter-contre-le-plastique","status":"publish","type":"post","link":"https:\/\/www.service-public.pf\/dpam\/2018\/10\/09\/arrivee-du-trimaran-race-of-water-lurgence-de-lutter-contre-le-plastique\/","title":{"rendered":"Arriv\u00e9e du trimaran Race of water – l’urgence de lutter contre le plastique"},"content":{"rendered":"
Tout l’\u00e9quipage du Trimaran Race of Water<\/em> \u00e0 son arriv\u00e9e sur le quai d’honneur de Papeete, avec les autorit\u00e9s portuaires et maritimes du pays.<\/p>\n<\/div> Les photos qui illustrent cet article sont de Raihei Hunter – Port autonome de Papeete, avec son aimable autorisation.<\/p>\n<\/div> Le navire Race for Water est arriv\u00e9 samedi apr\u00e8s-midi \u00e0 Papeete apr\u00e8s un mois de navigation depuis Rapa Nui. Ce bateau est uniquement propuls\u00e9 par des \u00e9nergies propres : le solaire, le vent et l\u2019hydrog\u00e8ne. C’est un concentr\u00e9 de technologie, engag\u00e9 dans un tour du monde de 2017 \u00e0 2021 pour sensibiliser \u00e0 la pr\u00e9servation de l\u2019eau et des oc\u00e9ans face \u00e0 la pollution des d\u00e9chets plastiques. Race for Water restera jusqu\u2019au 5 novembre dans les eaux de la Polyn\u00e9sie fran\u00e7aise o\u00f9 plusieurs visites sont programm\u00e9es \u00e0 Tahiti, Moorea, Tetiaroa et Bora Bora.<\/p>\n Sur la coque du bateau, on peut lire : \u00ab\u00a0learn\u00a0\u00bb, \u00ab\u00a0share\u00a0\u00bb \u00ab\u00a0act\u00a0\u00bb, les \u00ab\u00a0trois missions principales de la fondation\u00a0\u00bb, <\/em>souligne Franck David, directeur de la Race for Water Odyss\u00e9e\u00a0: \u00ab\u00a0Le ‘learn’, en fait, c’est toute la connaissance scientifique qu’on peut avoir. Ici, on ne va pas faire des \u00e9tudes scientifiques \u00e0 proprement parler avec des scientifiques \u00e0 bord. Mais, par contre, on en a fait depuis Concepci\u00f3n (Chili) jusqu’\u00e0 l’archipel Juan Fern\u00e1ndez puis de Rapa Nui jusqu’\u00e0 la Polyn\u00e9sie fran\u00e7aise. La partie ‘share’ c’est la partie sensibilisation du grand public. On va accueillir \u00e9norm\u00e9ment de classes sur Papeete, Moorea et Bora Bora. Ensuite, c’est ‘l’act’, qui est important pour nous et prioritaire. C’est comment on va trouver des solutions pour limiter la pollution des plastiques dans les oc\u00e9ans et faciliter la transition \u00e9nerg\u00e9tique. On pr\u00e9sente diff\u00e9rents programmes bas\u00e9s \u00e0 la fois sur la sensibilisation et la promotion d’une machine qui transforme les d\u00e9chets plastiques en \u00e9nergie.\u00a0\u00bb <\/em><\/p>\n<\/div> De gauche \u00e0 droite : le commandant du port, Fran\u00e7ois Chaumet ; le directeur adjoint de la DPAM, Charles Taputuarai ; et Franck David, directeur de la Race for Water Odyss\u00e9e<\/em>.<\/p>\n<\/div><\/span><\/div><\/div>