{"id":5108,"date":"2019-04-25T14:51:03","date_gmt":"2019-04-26T00:51:03","guid":{"rendered":"https:\/\/www.service-public.pf\/dpam\/?p=5108"},"modified":"2019-05-07T11:30:54","modified_gmt":"2019-05-07T21:30:54","slug":"revatua-le-logiciel-de-connaissement-des-armateurs-en-phase-de-finalisation","status":"publish","type":"post","link":"https:\/\/www.service-public.pf\/dpam\/2019\/04\/25\/revatua-le-logiciel-de-connaissement-des-armateurs-en-phase-de-finalisation\/","title":{"rendered":"REVATUA une premi\u00e8re phase du logiciel en cours d’essai."},"content":{"rendered":"

La DPAM et le SI.PF (Service informatique de la Polyn\u00e9sie fran\u00e7aise) travaillent \u00e0 l’\u00e9laboration d’un logiciel qui va grandement faciliter le travail chargeurs et des armateurs soumis aux obligations d\u00e9claratives dans le cadre de leurs activit\u00e9s. Ce logiciel baptis\u00e9 REVATUA pilot\u00e9 par la DPAM, s’inscrit dans la droite ligne de la volont\u00e9 du Pays de favoriser la d\u00e9mat\u00e9rialisation des proc\u00e9dures et d’aller vers une simplification et une plus grande proximit\u00e9 des d\u00e9marches gr\u00e2ce \u00e0 l’internet.<\/p>\n

Depuis l’annonce aux armateurs de la cr\u00e9ation de ce programme informatique de gestion des connaissements l’ann\u00e9e derni\u00e8re, le service informatique du Pays (SI.PF) est \u00e0 pr\u00e9sent bien avanc\u00e9 au niveau du d\u00e9veloppement du logiciel REVATUA. Un premier groupe de b\u00eata-testeurs compos\u00e9 de 3 armateurs est entr\u00e9 depuis quelques temps dans la phase test de la premi\u00e8re partie de l’application. Celle-ci concerne notamment l’\u00e9tablissement, la modification et l’\u00e9dition des plannings, des avis de d\u00e9part, des \u00e9tats de passages et des connaissements.<\/p>\n

Plusieurs r\u00e9unions entre le SI.PF, la DPAM et les b\u00eata-testeurs se sont d\u00e9j\u00e0 tenues permettant \u00e0 chaque fois d’am\u00e9liorer le logiciel et d’int\u00e9grer les modifications souhait\u00e9es par les armateurs. D’ici le d\u00e9but du second semestre 2019, une transmission num\u00e9rique des documents obligatoires comme les avis de d\u00e9part et les plannings sur 3 mois devrait pouvoir se faire. Cette transmission et l’ensemble des mises \u00e0 jours seront automatiques et \u00e9viteront l’envoi de documents papier qu’il faut venir d\u00e9poser \u00e0 la DPAM, enregistrer, traiter et classer. Dans un premier temps cette possibilit\u00e9 sera limit\u00e9e aux b\u00eata-testeurs en cours de test.<\/p>\n

A l’issue de cette premi\u00e8re phase de test, un point de situation du d\u00e9veloppement du logiciel REVATUA sera pr\u00e9sent\u00e9 \u00e0 tous les armateurs lors d’une r\u00e9union programm\u00e9e le mardi 21 mai 2019. A cette occasion d’autres testeurs pourront \u00eatre pris en compte pour \u00e9largir le champs des tests. La DPAM est tr\u00e8s d\u00e9sireuse que ce logiciel entraine l’adh\u00e9sion la plus large possible des armateurs qui seront les premiers utilisateurs de ce nouvel outil, puisque REVATUA est fait et con\u00e7u pour eux et pour leur faciliter les obligations d\u00e9claratives.<\/p>\n<\/div>

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Le chargement d’un navire au quai des go\u00e9lettes – image D\u00e9p\u00eache de Tahiti.<\/p>\n<\/div>

Image d’illustration ci-dessous Tahiti Infos – Le quai des go\u00e9lettes \u00e0 Motu Uta.<\/p>\n<\/div>

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Les armateurs testeurs r\u00e9unis autour de Charles TAPUTUARAI, directeur adjoint de la DPAM et responsable de la cellule transport qui porte le projet de REVATUA, avec le responsable du projet au SI.PF Fabrice LEUNENS.<\/h5>\n<\/div>
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Les \u00e9tats d’un connaissement<\/a><\/h3>\n<\/div>\n<\/div>\n
D’une fa\u00e7on pratique le transport de marchandises repose sur un contrat, pass\u00e9 entre l’armateur (celui qui transporte la marchandise) et le chargeur (celui qui veux faire transporter sa marchandise). Ce contrat se nomme connaissement.<\/div>\n
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Il est \u00e9tablit en plusieurs exemplaires, jusqu’\u00e0 sept en fonction des besoins. Le volume annuel est d’environ 700.000 connaissements, sous format papier. 80% du nombre de connaissements est produit par des particuliers et repr\u00e9sente 20% du volume des marchandises transport\u00e9es. A contrario, 20% du nombre de connaissements est produit par des professionnels et il repr\u00e9sentent 80% du volume des marchandises transport\u00e9es.<\/p>\n<\/div>\n

Comme l’indique le chef du projet, Fabrice LEUNENS, \u00ab\u00a0au cours de sa vie, un connaissement va passer par diff\u00e9rents \u00e9tats. Ces \u00e9tats sont historis\u00e9s, ce qui permet ainsi de retrouver l’historique d’un connaissement.<\/em>\u00a0\u00bb Les \u00e9tats possibles sont les suivants : la saisie, l’officialisation, l\u2019embarquement de la marchandise, le refus d’embarquement et l’annulation de la saisie.<\/p>\n

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L’\u00e9quipe de la DPAM se r\u00e9unit une fois par semaine dans les locaux du Service pour travailler \u00e0 l’\u00e9laboration du logiciel REVATUA.<\/p>\n

De gauche \u00e0 droite : Tenunu FERRAND agent de la cellule des transports maritimes qui travaille \u00e0 la r\u00e9ception des informations provenant des armateurs ; Charles TAPUTUARAI, directeur adjoint de la DPAM, chef de la cellule en charge des transports maritime, J\u00e9r\u00f4me FERLAT, informaticien du Service Informatique de la Polyn\u00e9sie fran\u00e7aise qui pilote l’\u00e9laboration du logiciel REVATUA, et Patrice PERRIN, conseiller de direction, chef du bureau juridique et des \u00e9tudes.<\/p>\n<\/div>

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