La diffusion des terribles images de l’attentat qui s’est déroulé à Christchurch en Nouvelle-Zélande, le 15 mars dernier sur plusieurs plates-formes Internet en dépit du respect dû aux victimes et à leurs familles, confirme toute la complexité que représente l’exercice de contrôle des contenus sur Internet. Ces diffusions ont heurté le peuple néo-zélandais.  Le Digital Safety Group (Censorship / Digital Child Exploitation Unit) du Département des affaires intérieures néo-zélandaises rappelle que toute publication inappropriée ou choquante peut être signalée sur le site : https://www.dia.govt.nz/web/submitforms.nsf/cencomp.