Te tahi parau nō te ma’uroa hopetea, ma’uroa hope’ura e te moa (Hiro’a N°176 – Juin 2022)
Teie te tahi nau manu nō ’Ōpūnohu i Mo΄orea i fāna΄o i te tahi paruai fa’a’ite’itera’a i piha’i iho i te marae Teti’irua.
Restauration d’un marae de fare Hape à la Papenoo (Hiro’a N°175 – Mai 2022)
Un marae situé sur le site archéologique de Fare Hape, dans la haute vallée de Papenoo, a succombé aux assauts du temps au niveau de l’angle nord-est de la structure. Une opération de restauration a été menée en novembre 2021...
Te tahi mau parau nō te honu (Hiro’a n°175 – Mai 2022)
Teie te tahi mau parau nō te honu i roto i te orara΄a ā te Mā’ohi, i te mātāmua iho ā rā, e nene’ihia i ni΄a i te tahi paruai fa΄a΄ite΄itera΄a i te marae nō ’Ōpūnohu i Mo’orea, i ni’a i te ara-tupuna.
Jeunesse et culture (Hiro’a n°174 – Avril 2022)
Représentants des académies de langues polynésiennes, entrepreneurs privés, associations culturelles, confessions religieuses, enseignants et étudiants de l’Université de Polynésie française, tous se sont réunis dans le cadre d’un séminaire de travail dédié aux langues polynésiennes en février dernier.
Mo’orea : un marae peut en cacher un autre (Hiro’a n°174 – Avril 2022)
Candidature des ILES MARQUISES au label du Patrimoine Mondial de l’UNESCO À Mo’orea, une demande de permis de construire a été déposée sur la commune de Haapiti par des particuliers. Elle concernait un terrain où se trouve actuellement le marae dit « Tefano ». Ce marae étant un site classé « protégé » et inscrit au Plan général d’aménagement (PGA) de Mo’orea, une étude archéologique s’imposait avant de pouvoir accorder le permis de construire. La Direction de la culture et du patrimoine (DCP) a lancé des appels d’offres aux archéologues et c’est [...]
Il y a mille ans, on mangeait les tortues (Hiro’a n°174 – Avril 2022)
PROPOS RECUEILLIS PAR PAULINE STASI - PHOTOS : Mark Eddowes L’archéologue Mark Eddowes a réalisé une dizaine de sondages dans le cadre de sa dernière mission à Huahine. Les résultats de ses fouilles à Tearavahine (Fare) ont révélé de nombreux restes d’os ou d’écailles de tortues et de nacre laissant penser d’une part, que le site était un lieu de préparation et de cuisson de ce reptile et d’autre part, que les Polynésiens étaient de gros consommateurs de sa chair avant qu’elle ne soit sacralisée au 14e siècle.