Sanctuaire marin 20 ans et une fresque (Hiro’a n°172 – Février 2022)
Rencontre avec JOPS, graveur et James Tuera, responsable de la cellule logistique à la Direction de la Culture et du Patrimoine. Texte : Pauline STASI - Photos : DCP
Rencontre avec JOPS, graveur et James Tuera, responsable de la cellule logistique à la Direction de la Culture et du Patrimoine. Texte : Pauline STASI - Photos : DCP
Rencontre avec James TUERA, responsable de la logistique et membre du département média et communication de la Direction de la Culture et du Patrimoine. Texte : MO - PHOTOS : DCP.
Teie te parau nō nā rā’au-ō-‘āpī-mai e tupu nei i Mo’orea : te vī e te vine tātahi. E heheu-ato’a hia te parau nō te tāura, i ni’a iho ā rā i te parauai nō te marae Te-ti’i-rua i ‘Ōpūnohu
Traditionnellement pour la préparation du mono’i tahiti il faut : • De l’amande de coco râpé (en général, du coco germé), • Des fleurs sèches (tiare Tahiti dont on a retiré les pistils) • Et un produit pour la macération (selon le lieu, crabe de plage, tête de chevrette ou abdomen du bernard-l’ermite .
Traditionnellement pour la préparation du mono’i tahiti il faut : • De l’amande de coco râpé (en général, du coco germé), • Des fleurs sèches (tiare Tahiti dont on a retiré les pistils) • Et un produit pour la macération (selon le lieu, crabe de plage, tête de chevrette ou abdomen du bernard-l’ermite .