Le taioro ou taiero est de l’amande de coco râpée à laquelle est ajoutée soit des têtes de chevrettes ou soit des petits crabes de plage (ohiti) mélangés avec un peu d’eau. Après fermentation, ou peut rajouter du poisson en lamelle mariné ou du pahua (bénitier) ou du troca ou encore du ma’oa (turbo).
Le ha’ari tutu est du lait de coco pur chauffé en y plongeant des pierres préalablement chauffées. A Raiatea, il était notamment préparé lors d’un repas tahitien pour être consommé avec du ‘uru et du porc.
Le fa’arara est du lait de coco pur. Il est notamment préparé lors d’un repas tahitien soit pour être consommé avec les aliments tels que le ‘uru, le taro, la banane cuite, le fe’i, ou soit pour être ajouté au poisson cru, au po’e, au fafa. C’est un peu la crème fraîche tahitienne.
Teie te tahi ’ā’amu no vēhiatua-i-te-māta’i pāpa’ihia ’e Patrick Rochette, tei hōro’ahia mai ’e tōna mau metua. Parau mau, ’ua rau atu te mau fa’ati’ara’a, ta mātou ia e fa’atura ato’a...
Teie nau ‘animara i fāna’o i te tahi mau paruai fa’a’ite’itera’a i ‘Ōpūnohu i Mo’orea, i roto i te orara’a ā te Mā’ohi, i te mātāmua iho ā rā.
Nouvelle étape très importante dans le dossier de classement de l’archipel des Marquises à l’Unesco, l’élaboration du plan de gestion.
Les noms des lauréats du concours de Résidence d’artistes ont été dévoilés le 31 mai dernier. Et c’est un cru 100 % féminin pour cette seconde édition. Les quatre gagnantes qui s’envoleront en août vers Paris pour trois ou quatre mois vivre une expérience artistique intense sont Titaua Peu, Leia Chang Soi, Patricia Beaudet et Tevaite Denk-Senni.
Teie nau ΄animara i fāna΄o i te tahi mau paruai fa΄a΄ite΄itera΄a i ΄Ōpūnohu i Mo΄orea, i roto i te orara΄a ā te Mā΄ohi, i te mātāmua iho ā rā.
Ethnopsychologue et ethnopsychanalyste, Ernest Sin Chan vient de publier un nouvel essai intitulé Musique « locale » et identité polynésienne : entre tradition et modernité. L’auteur y aborde des thèmes qui lui sont chers, la musique locale comme un important marqueur identitaire, de transformation, de transmission dans la société mā’ohi.
Fin avril, l’archéologue Vincent Marolleau a effectué une mission de restauration d’urgence de trois jours sur le site classé de Taputapuātea à Ra΄iātea juste avant l’arrivée des pirogues Hōkūle΄a et Hikianalia et du Blue Climate Summit. Situées en bord de lagon, les plateformes de ces trois marae sont régulièrement endommagées par la mer et les coups de houle.
PK 15 - Pointe des Pêcheurs - Punaauia
BP 380586 - 98703 Punaauia - TAHITI - Polynésie française
Du lundi au jeudi de 7 h 30 à 15 h 30 et le vendredi de 7 h 30 à 14 h 30
(+689) 40 50 71 77© 2022 – DCP – Tous droits réservés
