A Nantes, l’ENSM aussi appelée Supmarine, forme des ingénieurs spécialité génie maritime, ainsi que des officiers de la marine marchande en formation professionnelle : capitaine, capitaine 3000, officier chef quart passerelle et chef mécanicien illimité.
L’école nationale supérieure maritime, et c’est peut-être moins connu, dispense également un titre d’ingénieur. Ces deux nouvelles formations d’ingénieurs sur deux ans ont démarré en 2016 et sont accessibles après trois années d’études scientifiques : écogestion du navire (EGN) et déploiement et maintenance des systèmes offshore (DMO). Après un tronc commun, les élèves peuvent choisir entre trois parcours : navigant ingénieur, et ces deux nouvelles filières d’ingénieurs maritimes, l’une spécialisée dans « l’éco-gestion du navire » (navire propre et économiquement efficient) et l’autre dans le « déploiement et la maintenance des systèmes offshore » (énergies marines).
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Récemment son directeur Alban SALMON était en visite en Polynésie française dans le cadre d’un échange avec le CMMPf, le centre des métiers de la mer de Polynésie française qui dispense l’essentiel des formations maritimes accessibles en Polynésie française aux côtés de quelques petites structures privées. A cette occasion Alban SALMON a été reçu par la directrice de la DPAM, Cathy ROCHETEAU. Au cours de leurs échanges ils ont pu aborder la question de la formation et l’intérêt pour la Polynésie de former des officiers ingénieurs de la marine marchande.
L’ENSM à Nantes – images ENSM
Alban SALMON (directeur de l’ENSM) Cathy ROCHETEAU (directrice de la DPAM) et Pierre VOIRIN (directeur du CMMPF) – image DPAM
Image de Une : simulateur de navigation en champs éoliens – images ENSM
