VACCINATION

La vaccination est un moyen de prévention indispensable contre des maladies infectieuses telles que le tétanos, la rougeole, la coqueluche, la méningite, etc…

Elle permet de se protéger mais aussi de protéger les autres, notamment les personnes les plus fragiles de son entourage comme les nouveau-nés, les femmes enceintes et les personnes âgées.

Il y a 163 sites de dispensiation de vaccins.

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NOUVEAUX CAS PAR AN

VOS QUESTIONS
SUR LA VACCINATION

  1. On injecte dans notre corps le microbe rendu inoffensif. Il porte un antigène qui permet de le repérer.
  2. Pour l’éliminer, notre système de défense produit des globules blancs (lymphocytes) et des anticorps exactement adaptés à l’antigène.
  3. Le microbe rendu inoffensif est éliminé et notre système de défense garde l’antigène en mémoire.
  4. Quand le vrai microbe rentre dans l’organisme, il est tout de suite reconnu et éliminé, avant même que l’on ne tombe malade.

Le succès de la vaccination repose sur la «mémoire immunitaire» qui est en général très bonne chez le sujet jeune. Selon les vaccins, elle sera entretenue par des injections de rappel.

Les vaccins obligatoires concernent :

  • des maladies graves, invalidantes, ou potentiellement mortelles comme le tétanos, la diphtérie, la coqueluche, les oreillons ou la poliomyélite,
  • des maladies à fort potentiel épidémique comme la rougeole ou des maladies pouvant entraîner des malformations congénitales comme la rubéole,
  • des maladies à forte prévalence en Polynésie, comme l’hépatite B ou la tuberculose.

Il y a également des vaccins qui sont recommandés : c’est le cas des vaccins contre la grippe surtout chez les personnes à risques (enfants en ALD)

Être à jour de ses vaccins signifie que l’on a fait les vaccins nécessaires qu’ils soient obligatoires ou recommandés en fonction de son âge, de sa situation et avec le bon nombre d’injections pour être protégé.

Pour les plus jeunes, l’affiche du calendrier vaccinal polynésien dédié aux enfants et adolescents est mis à disposition dans les ressources.

Pour les adultes, il convient de suivre les recommandations métropolitaines du calendrier des vaccinations 2019 disponible sur le site de l’INPES.

Pour toujours savoir où vous en êtes avec vos vaccinations, consultez votre médecin traitant en emportant avec vous votre carnet de vaccination ou votre carnet de santé, ou celui de votre enfant. Faites bien noter tous les vaccins faits à chaque consultation. Ainsi, vous saurez précisément contre quelles maladies infectieuses et à quelle date vous avez été vacciné(e), si vous êtes « à jour » ou si vous devez faire un « rattrapage ».

Contrairement à ce que l’on peut penser, il n’est pas nécessaire de tout recommencer si l’on a oublié un ou plusieurs rappels. Il suffit simplement de reprendre la vaccination au stade où elle a été interrompue : c’est ce qu’on appelle le « rattrapage vaccinal ».

Par exemple, le vaccin contre le méningocoque de type C est obligatoire à l’âge de 5 mois, avec une seconde injection à l’âge de 12 mois pour les enfants nés à partir du 1er janvier 2018 ; cependant, pour les enfants nés avant cette date, et si le vaccin n’a pas été fait, la vaccination peut être réalisée jusqu’à 24 ans.

Les effets secondaires observés avec les vaccins modernes sont rares. Il s’agit essentiellement de réactions locales. Le risque de survenue d’une allergie grave aux vaccins est exceptionnel.

Les contre-indications peuvent être la grossesse, un état pathologique ou une allergie à un des composants. La vaccination contre la grippe est néanmoins recommandée chez la femme enceinte, quel que soit le stade de la grossesse.

Oui, se faire vacciner dans les dispensaires ou bien au centre de consultations de protection infantile de la Direction de la santé est gratuit.

Les vaccins sont composés d’une ou plusieurs substances actives d’origine biologique appelées antigènes vaccinaux, qui sont issues de bactéries ou de virus.

Afin de rendre le vaccin plus efficace, l’antigène vaccinal est combiné à un adjuvant qui est très souvent un sel d’aluminium (hydroxyde ou phosphate).

  • Les structures de santé de la Direction de la santé selon votre secteur géographique (dispensaires, infirmeries, CCSPMI, CCSHSS) pour bénéficier d’une prise en charge totale.
  • Sinon, votre médecin traitant ou pédiatre.

Il vous suffit de prendre conseil auprès d’un professionnel de santé : un médecin, un pharmacien, une infirmière ou une sage-femme qui fera avec vous le point en fonction de votre âge et de votre état de santé, et vous expliquera quels vaccins sont nécessaires dans votre cas.

Les professionnels de santé ont à leur disposition des carnets de vaccination remis gratuitement.

Bureau des programmes des pathologies infectieuses

Secrétariat Département des Programmes de Prévention :
tél. : 40 488 209
bppi@sante.gov.pf

VOS QUESTIONS
SUR LA VACCINATION

  1. On injecte dans notre corps le microbe rendu inoffensif. Il porte un antigène qui permet de le repérer.
  2. Pour l’éliminer, notre système de défense produit des globules blancs (lymphocytes) et des anticorps exactement adaptés à l’antigène.
  3. Le microbe rendu inoffensif est éliminé et notre système de défense garde l’antigène en mémoire.
  4. Quand le vrai microbe rentre dans l’organisme, il est tout de suite reconnu et éliminé, avant même que l’on ne tombe malade.

Le succès de la vaccination repose sur la «mémoire immunitaire» qui est en général très bonne chez le sujet jeune. Selon les vaccins, elle sera entretenue par des injections de rappel.

Les vaccins obligatoires concernent :

  • des maladies graves, invalidantes, ou potentiellement mortelles comme le tétanos, la diphtérie, la coqueluche, les oreillons ou la poliomyélite,
  • des maladies à fort potentiel épidémique comme la rougeole ou des maladies pouvant entraîner des malformations congénitales comme la rubéole,
  • des maladies à forte prévalence en Polynésie, comme l’hépatite B ou la tuberculose.

Il y a également des vaccins qui sont recommandés : c’est le cas des vaccins contre la grippe surtout chez les personnes à risques (enfants en ALD)

Être à jour de ses vaccins signifie que l’on a fait les vaccins nécessaires qu’ils soient obligatoires ou recommandés en fonction de son âge, de sa situation et avec le bon nombre d’injections pour être protégé.

Pour les plus jeunes, l’affiche du calendrier vaccinal polynésien dédié aux enfants et adolescents est mis à disposition dans les ressources.

Pour les adultes, il convient de suivre les recommandations métropolitaines du calendrier des vaccinations 2019 disponible sur le site de l’INPES.

Pour toujours savoir où vous en êtes avec vos vaccinations, consultez votre médecin traitant en emportant avec vous votre carnet de vaccination ou votre carnet de santé, ou celui de votre enfant. Faites bien noter tous les vaccins faits à chaque consultation. Ainsi, vous saurez précisément contre quelles maladies infectieuses et à quelle date vous avez été vacciné(e), si vous êtes « à jour » ou si vous devez faire un « rattrapage ».

Contrairement à ce que l’on peut penser, il n’est pas nécessaire de tout recommencer si l’on a oublié un ou plusieurs rappels. Il suffit simplement de reprendre la vaccination au stade où elle a été interrompue : c’est ce qu’on appelle le « rattrapage vaccinal ».

Par exemple, le vaccin contre le méningocoque de type C est obligatoire à l’âge de 5 mois, avec une seconde injection à l’âge de 12 mois pour les enfants nés à partir du 1er janvier 2018 ; cependant, pour les enfants nés avant cette date, et si le vaccin n’a pas été fait, la vaccination peut être réalisée jusqu’à 24 ans.

Les effets secondaires observés avec les vaccins modernes sont rares. Il s’agit essentiellement de réactions locales. Le risque de survenue d’une allergie grave aux vaccins est exceptionnel.

Les contre-indications peuvent être la grossesse, un état pathologique ou une allergie à un des composants. La vaccination contre la grippe est néanmoins recommandée chez la femme enceinte, quel que soit le stade de la grossesse.

Oui, se faire vacciner dans les dispensaires ou bien au centre de consultations de protection infantile de la Direction de la santé est gratuit.

Les vaccins sont composés d’une ou plusieurs substances actives d’origine biologique appelées antigènes vaccinaux, qui sont issues de bactéries ou de virus.

Afin de rendre le vaccin plus efficace, l’antigène vaccinal est combiné à un adjuvant qui est très souvent un sel d’aluminium (hydroxyde ou phosphate).

  • Les structures de santé de la Direction de la santé selon votre secteur géographique (dispensaires, infirmeries, CCSPMI, CCSHSS) pour bénéficier d’une prise en charge totale.
  • Sinon, votre médecin traitant ou pédiatre.

Il vous suffit de prendre conseil auprès d’un professionnel de santé : un médecin, un pharmacien, une infirmière ou une sage-femme qui fera avec vous le point en fonction de votre âge et de votre état de santé, et vous expliquera quels vaccins sont nécessaires dans votre cas.

Les professionnels de santé ont à leur disposition des carnets de vaccination remis gratuitement.

Bureau des programmes des pathologies infectieuses

Secrétariat Département des Programmes de Prévention :
tél. : 40 488 209
bppi@sante.gov.pf