Contraception2023-03-28T09:49:21-10:00

CONTRACEPTION

La contraception désigne l’ensemble des moyens qui permettent d’éviter une grossesse suite à un rapport sexuel. La meilleure contraception est celle que vous choisissez, avec les conseils des professionnels, afin qu’elle convienne le mieux à vos attentes et besoins.

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VOS QUESTIONS
SUR LA CONTRACEPTION

Une grossesse ne doit pas être un accident de parcours car elle peut compromettre vos projets personnels ou professionnels. Elle doit être planifiée et décidée à deux car l’arrivée d’un bébé engendre de grands changements dans la vie des parents et représente une lourde responsabilité.

Choisir le bon moment pour avoir un bébé, c’est se préparer à être disponible pour accueillir cet enfant et l’aider à réussir dans la vie. La contraception vous permet de vivre votre vie avant d’en commencer une autre. La contraception est plus facile à gérer qu’une grossesse non désirée.

Il existe de nombreux moyens contraceptifs efficaces permettant à chaque femme de choisir la méthode qui lui convient le mieux.

  • Les préservatifs ou capotes (les seuls à protéger contre les Infections Sexuellement Transmissibles)
  • La pilule contraceptive
  • L’implant sous-cutané, posé sous la peau au bras
  • Les Dispositifs Intra-Utérins (DIU) ou stérilets
  • L’injection intra-musculaire de contraceptif
  • Le patch (à coller sur la peau)
  • L’anneau vaginal
Ces méthodes dites naturelles comme :

  • le retrait ou coït interrompu ou “lâcher dehors” (l’homme se retire avant d’éjaculer pour lâcher le sperme à l’extérieur du vagin)
  • le calendrier ou la méthode Ogino
  • la température
  • la glaire cervicale ou la méthode Billings
  • les capes, diaphragmes ou spermicides

ne sont pas FIABLES car le taux d’échec est très important. Ces méthodes ne doivent pas être utilisées si une grossesse n’est pas souhaitée.

NON. La plupart des méthodes contraceptives (pilules, implant, dispositif intra-utérin, injection, anneau vaginal, patch, préservatifs…) sont réversibles et la femme retrouve une fertilité normale lorsque elle les arrête.

Par contre, certaines personnes plus âgées qui ont déjà eu des enfants et qui n’en veulent plus, peuvent demander une contraception définitive ou stérilisation (suppression définitive de la fécondité).

NON, la majorité des contraceptifs (pilules, implants, DIU…) sont pris en charge à 100% par la Caisse de Prévoyance Sociale (CPS), sans avance de frais par l’assuré.
NON, la délibération de 1997 prévoit une prise en charge à 100% des consultations concernant la contraception (prescription, pose/retrait de contraceptifs implantables, suivi). Ces consultations ne sont donc pas payantes dans les structures publiques de santé et chez les médecins libéraux conventionnés.

  • une consultation avec un médecin incluant un examen clinique des seins ;
  • une mammographie des deux seins souvent associée à une échographie des deux seins et des ganglions ;
  • dans certaines circonstances particulières, une IRM mammaire peut également être réalisée ;
  • un prélèvement (une biopsie le plus souvent) au niveau de l’anomalie afin de réaliser un examen anatomopathologique. C’est cet examen anatomopathologique qui établit le diagnostic de cancer du sein.
Elle sert à éviter une grossesse suite à un rapport sexuel non protégé (absence de moyen de contraception, accident de  préservatif, oubli de pilule…).

Il existe 3 types de contraception d’urgence :

  • Le Levonorgestrel (1.5mg) ou « pillule du lendemain » : 1 comprimé à prendre au plus tôt, dans les 3 jours suivant le rapport à risque.

ou

  • L’Ulipristal (30mg). 1 comprimé à prendre au plus tôt, dans les 5 jours suivant le rapport à risque.

ou

  • Le Dispositif Intra-Utérin (DIU). À poser par un professionnel de santé habileté dans les 5 jours suivant le rapport à risque.

Plus la « contraception d’urgence » est utilisée rapidement et plus elle est efficace !

Ces contraceptifs d’urgence sont gratuits dans les structures de santé publique et pris en charge à 100% (sans avance de frais) en pharmacie, avec une ordonnance.

Les pilules d’urgence peuvent être délivrées sans ordonnance en pharmacie.

  • Centre des consultations spécialisées en Protection Maternelle et Infantile (CCSPMI) de la Direction de la Santé, au Centre de la Mère et Enfant à Hamuta – Pirae
  • Structures de santé publique (dispensaires, postes de soins, hôpitaux…)
  • Cabinets privés ou cliniques (médecins généralistes, spécialistes, sages-femmes…)
  • Pharmacies
  • Infirmeries scolaires ou universitaires

La survie à 5 ans est de 99 % pour un cancer du sein détecté à un stade précoce, de 26 % pour un cancer métastasé.

VOS QUESTIONS
SUR LA CONTRACEPTION

Une grossesse ne doit pas être un accident de parcours car elle peut compromettre vos projets personnels ou professionnels. Elle doit être planifiée et décidée à deux car l’arrivée d’un bébé engendre de grands changements dans la vie des parents et représente une lourde responsabilité.

Choisir le bon moment pour avoir un bébé, c’est se préparer à être disponible pour accueillir cet enfant et l’aider à réussir dans la vie. La contraception vous permet de vivre votre vie avant d’en commencer une autre. La contraception est plus facile à gérer qu’une grossesse non désirée.

Il existe de nombreux moyens contraceptifs efficaces permettant à chaque femme de choisir la méthode qui lui convient le mieux.

  • Les préservatifs ou capotes (les seuls à protéger contre les Infections Sexuellement Transmissibles)
  • La pilule contraceptive
  • L’implant sous-cutané, posé sous la peau au bras
  • Les Dispositifs Intra-Utérins (DIU) ou stérilets
  • L’injection intra-musculaire de contraceptif
  • Le patch (à coller sur la peau)
  • L’anneau vaginal
Ces méthodes dites naturelles comme :

  • le retrait ou coït interrompu ou “lâcher dehors” (l’homme se retire avant d’éjaculer pour lâcher le sperme à l’extérieur du vagin)
  • le calendrier ou la méthode Ogino
  • la température
  • la glaire cervicale ou la méthode Billings
  • les capes, diaphragmes ou spermicides

ne sont pas FIABLES car le taux d’échec est très important. Ces méthodes ne doivent pas être utilisées si une grossesse n’est pas souhaitée.

NON. La plupart des méthodes contraceptives (pilules, implant, dispositif intra-utérin, injection, anneau vaginal, patch, préservatifs…) sont réversibles et la femme retrouve une fertilité normale lorsque elle les arrête.

Par contre, certaines personnes plus âgées qui ont déjà eu des enfants et qui n’en veulent plus, peuvent demander une contraception définitive ou stérilisation (suppression définitive de la fécondité).

NON, la majorité des contraceptifs (pilules, implants, DIU…) sont pris en charge à 100% par la Caisse de Prévoyance Sociale (CPS), sans avance de frais par l’assuré.
NON, la délibération de 1997 prévoit une prise en charge à 100% des consultations concernant la contraception (prescription, pose/retrait de contraceptifs implantables, suivi). Ces consultations ne sont donc pas payantes dans les structures publiques de santé et chez les médecins libéraux conventionnés.

  • une consultation avec un médecin incluant un examen clinique des seins ;
  • une mammographie des deux seins souvent associée à une échographie des deux seins et des ganglions ;
  • dans certaines circonstances particulières, une IRM mammaire peut également être réalisée ;
  • un prélèvement (une biopsie le plus souvent) au niveau de l’anomalie afin de réaliser un examen anatomopathologique. C’est cet examen anatomopathologique qui établit le diagnostic de cancer du sein.
Elle sert à éviter une grossesse suite à un rapport sexuel non protégé (absence de moyen de contraception, accident de  préservatif, oubli de pilule…).

Il existe 3 types de contraception d’urgence :

  • Le Levonorgestrel (1.5mg) ou « pillule du lendemain » : 1 comprimé à prendre au plus tôt, dans les 3 jours suivant le rapport à risque.

ou

  • L’Ulipristal (30mg). 1 comprimé à prendre au plus tôt, dans les 5 jours suivant le rapport à risque.

ou

  • Le Dispositif Intra-Utérin (DIU). À poser par un professionnel de santé habileté dans les 5 jours suivant le rapport à risque.

Plus la « contraception d’urgence » est utilisée rapidement et plus elle est efficace !

Ces contraceptifs d’urgence sont gratuits dans les structures de santé publique et pris en charge à 100% (sans avance de frais) en pharmacie, avec une ordonnance.

Les pilules d’urgence peuvent être délivrées sans ordonnance en pharmacie.

  • Centre des consultations spécialisées en Protection Maternelle et Infantile (CCSPMI) de la Direction de la Santé, au Centre de la Mère et Enfant à Hamuta – Pirae
  • Structures de santé publique (dispensaires, postes de soins, hôpitaux…)
  • Cabinets privés ou cliniques (médecins généralistes, spécialistes, sages-femmes…)
  • Pharmacies
  • Infirmeries scolaires ou universitaires

La survie à 5 ans est de 99 % pour un cancer du sein détecté à un stade précoce, de 26 % pour un cancer métastasé.

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