Diabète2023-11-15T11:57:46-10:00

DIABÈTE

Le diabète est une maladie chronique caractérisée par un excès de sucre dans le sang. On distingue plusieurs types de diabète, le plus répandu étant le diabète de type 2 (ou dit diabète sucré). C’est un problème de santé à l’échelle mondiale. Cette maladie est cependant évitable par des habitudes et un mode de vie sains. En revanche une fois installé, le diabète ne guérit pas. Il peut seulement être contrôlé.

En Polynésie française on estime la prévalence du diabète à 22% dans la population entre 20 et 79 ans, soit près de 45 000 personnes, incluant presque une personne sur deux non diagnostiquée… En 2021, cette prévalence classait le fenua en 8ème position au niveau mondial.
Le diabète continue à être en forte hausse avec 3 000 nouveaux cas recensés tous les ans.

 

QU’EST-CE LE DIABÈTE ?

Le diabète

Le diabète se définit comme un trouble de l’assimilation, de l’utilisation et du stockage des sucres apportés par l’alimentation. Cela se traduit par un taux de glucose (sucre) élevé dans le sang : on parle alors d’hyperglycémie. Il existe plusieurs types de diabète, les principaux sont : le diabète de type 1, le diabète de type 2 et le diabète gestationnel.

Les différents types de diabète

Le diabète de type 1, le moins fréquent, est généralement retrouvé chez l’enfant et l’adolescent. Il est dû à une baisse de la production d’insuline par le pancréas. Cette baisse est causée par une réaction anormale du système immunitaire qui détruit les cellules pancréatiques en charge de la production d’insuline. Or, sans insuline, le sucre ne peut pas entrer dans les cellules pour leur apporter l’énergie dont elles ont besoin. Le sucre reste alors dans le sang, et le taux de glycémie devient trop élevé. Le diabète de type 1 est considéré comme une maladie auto-immune favorisée par une prédisposition génétique.

Le diabète de type 2 est le plus répandu dans le monde et en Polynésie. Il touche le plus souvent les personnes de plus de 40 ans. Il est étroitement lié au mode de vie et aux habitudes alimentaires. Sans traitement, le diabète de type 2 peut entraîner de graves complications : maladies rénales, cécité (perte de la vue), crises cardiaques, AVC (accident vasculaire cérébral), etc.

Le diabète gestationnel apparaît chez certaines femmes durant la grossesse et, normalement, disparaît après l’accouchement. Il accroît le risque de complications à la naissance, et le risque de développer ultérieurement un diabète de type 2 chez la femme. Là encore il s’agit d’un problème de régulation du sucre dans le corps. En Polynésie près de 12% des femmes enceintes suivies au CHPF présentent un diabète gestationnel. Plus de la moitié d’entre elles développera un diabète de type 2 dans les 5 à 10 années qui suivent leur diabète gestationnel.

VOS QUESTIONS
SUR LE DIABÈTE

Le diabète se définit comme un trouble de l’assimilation, de l’utilisation et du stockage des sucres apportés par l’alimentation. Cela se traduit par un taux de glucose (sucre) élevé dans le sang : on parle alors d’hyperglycémie.


Il existe plusieurs types de diabète, les principaux sont : le diabète de type 1, le diabète de type 2 et le diabète gestationnel.

Le diabète de type 1, le moins fréquent, est généralement retrouvé chez l’enfant et l’adolescent. Il est dû à une baisse de la production d’insuline par le pancréas. Cette baisse est causée par une réaction anormale du système immunitaire qui détruit les cellules pancréatiques en charge de la production d’insuline. Or, sans insuline, le sucre ne peut pas entrer dans les cellules pour leur apporter l’énergie dont elles ont besoin. Le sucre reste alors dans le sang, et le taux de glycémie devient trop élevé. Le diabète de type 1 est considéré comme une maladie auto-immune favorisée par une prédisposition génétique.

Le diabète de type 2 est le plus répandu dans le monde et en Polynésie. Il touche le plus souvent les personnes de plus de 40 ans.  Il est étroitement lié au mode de vie et aux habitudes alimentaires. Sans traitement, le diabète de type 2 peut entraîner de graves complications : maladies rénales, cécité (perte de la vue), crises cardiaques, AVC (accident vasculaire cérébral), etc.

Le diabète gestationnel apparaît chez certaines femmes durant la grossesse et, normalement, disparaît après l’accouchement. Il accroît le risque de complications à la naissance, et le risque de développer ultérieurement un diabète de type 2 chez la femme. Là encore il s’agit d’un problème de régulation du sucre dans le corps. En Polynésie près de 12% des femmes enceintes suivies au CHPF présentent un diabète gestationnel. Plus de la moitié d’entre elles développera un diabète de type 2 dans les 5 à 10 années qui suivent leur diabète gestationnel.

Quels sont les organes touchés par le diabète ?
Les complications du diabète sont nombreuses. Avec le temps le diabète peut endommager les différents organes du corps humain :

  • Le cœur : risque d’infarctus, d’insuffisance cardiaque …
  • Le cerveau: risque d’AVC
  • Les reins: risque d’insuffisance rénale, jusqu’à la dialyse
  • Les artères: risques de douleurs, de difficultés à la marche, de difficultés à cicatriser
  • Les yeux: risque de cécité
  • Les nerfs: risque de perte de sensibilité et/ou de fourmillements permanents des extrémités

Le diabète peut aussi avoir d’autres répercussions importantes sur le sommeil, la sexualité…

Quels sont les symptômes courants du diabète ?
Le diabète est initialement une maladie silencieuse. Mais quand la maladie progresse, des symptômes peuvent apparaitre :

  • Augmentation de la soif
  • Augmentation de la faim
  • Fréquente envie d’uriner
  • Perte de poids marquée
  • Fatigue
  • Vision trouble
  • Infections fréquentes ou récurrentes
  • Blessures à guérison lente
  • Engourdissement ou picotements dans les mains ou les pieds
  • Difficulté à obtenir ou à maintenir une érection

Les principaux facteurs de risques de développer un diabète sont :

  • L’excès pondéral ou excès de poids: le lien entre surpoids/obésité et le risque de développer un diabète a été démontré.

Le surpoids est défini par un IMC (Indice de Masse Corporel) entre 25 et 30. Au-delà de 30, on parlera d’obésité. L’IMC est une norme mais qui peut être adaptée en fonction des ethnies et des régions du monde.

Sur le plan individuel, il faut trouver son poids santé ou poids de forme : le poids pour lequel il y a un bien-être physique, moral, culturel et social. Ce poids ne doit pas trop s’écarter du poids normal de la courbe de la Communauté du Pacifique.

  • La consommation excessive de sucre sous toute ses formes : boissons, sucres rapides, sucres lents, etc.
  • Avoir un parent proche diabétique: le facteur génétique est important. Avoir un ou deux de ses parents diabétiques augmentent considérablement le risque de l’être à son tour.
  • Avoir une vie sédentaire: le manque d’activité physique entraine un surrisque de développer un diabète.
  • Avoir développé un diabète gestationnel augmente le risque de développer un diabète de type 2.

Le risque de développer un diabète de type 2 peut aussi augmenter si vous avez l’un des problèmes de santé suivants :

  • Tension artérielle élevée,
  • Cholestérol élevé,
  • Consommation tabagique

Le diabète de type 2 est évitable car lié au mode de vie, c’est-à-dire à une alimentation trop riche ou déséquilibrée (excès de sucres et graisses) et un manque d’activité physique.
La prévention du diabète passe donc d’abord par l’alimentation. En effet, comme dit précédemment l’obésité est un facteur de risque majeur pour le diabète de type 2. Il est donc important d’adopter une alimentation équilibrée dès le plus jeune âge avec des repas pris à heures régulières et composés d’aliments sains et variés, afin d’éviter l’apparition de surpoids et donc de diabète.

Il faut également pratiquer une activité physique quotidienne. Si vous êtes en surcharge pondérale, perdre du poids peut retarder ou même prévenir le diabète de type 2.

Une fois la maladie installée, il n’y a malheureusement pas de moyen de la guérir. Elle pourra seulement être régulée par le contrôle des facteurs de risque.

Le meilleur moyen est de se faire dépister. Le dépistage est gratuit dans toutes les structures de la Direction de la santé (dispensaire, infirmerie, centre médical) et peut être réalisé toute l’année par un professionnel de santé. Celui-ci peut aussi se faire chez son médecin traitant.

En quoi consiste le dépistage ?
Le dépistage du diabète consiste à mesurer le taux de sucre dans le sang. C’est le seul moyen de déceler cette affection, qui peut passer inaperçue pendant des années. Il s’effectue par une simple prise de sang à réaliser à jeun.

Il existe également des tests par glycémie capillaire qui consistent à piquer le bout du doigt pour obtenir une petite goutte de sang. Ils sont rapides et fiables.

On considèrera qu’il y a un diabète si 2 glycémies à jeun de plus de 1.26g/l sont retrouvées, ou une glycémie supérieure à 2g/l à tout moment.

Un diagnostic précoce permet une meilleure prise en charge de la maladie et peut éviter l’apparition de complications irréversibles.
Les personnes souffrant d’hypertension artérielle, ayant trop de graisses dans le sang (cholestérol, triglycérides) ou fumeuses, doivent penser à se faire dépister régulièrement (une fois par an en moyenne pour les personnes à risque).

Le traitement du diabète repose sur une alimentation équilibrée, l’exercice physique et sur des traitements médicaux : médicaments par voie orale ou injectable (insuline). Il n’y a pas de traitement unique, il évolue en fonction de la maladie et du patient. Un suivi régulier est alors indispensable.

Le traitement du diabète est souvent associé à des injections d’insuline mais en réalité le traitement à l’insuline n’est pas systématique pour le diabète de type 2. L’insuline est indiquée si les traitements par voie orale ne sont plus suffisants, ou si le diabète est très déséquilibré.

Quels sont les aliments à éviter en cas de diabète ?
Il n’y a pas d’interdiction concernant l’alimentation, mais l’apport de sucres et de graisses doit être maitrisé. Certains aliments provoquent des hyperglycémies plus importantes et ont de moins bonnes valeurs nutritionnelles. Il est donc préférable de les consommer ponctuellement et en quantité limitée. Ce sont généralement les produits industriels ou dit ultra-transformés tels que les sodas, bonbons, biscuits industriels, charcuterie, chips etc.
Il est aussi recommandé de contrôler sa consommation de sel.

Le rythme des repas est également important : le fait de prendre ses repas de façon régulière aide à stabiliser son diabète. Les repas doivent être pris à heures régulières. Il faut essayer de ne pas les sauter, et éviter les grignotages : les prises isolées de sucres entrainent d’importants déséquilibres glycémiques.

Quels sont les aliments à privilégier en cas de diabète ?
Il est recommandé d’orienter son alimentation vers des produits les plus naturels possibles, comme les légumes, les fruits, les céréales complètes car les fibres qu’elles contiennent permettent de moduler la digestion et aident à réguler la glycémie. Il est aussi conseillé de consommer des légumineuses au moins deux fois par semaine (lentilles, pois chiches, haricots secs…).

Pour plus d’informations : https://www.service-public.pf/dsp/alimentation/

 

Toutes les activités physiques sont bonnes pour le bien être de manière générale. Il est recommandé de faire au minimum 30 minutes d’activités 5 jours sur 7 au moins.
Il est aussi important de savoir écouter son corps pour trouver l’activité qui lui correspond le mieux.

Pour plus d’informations : https://www.service-public.pf/dsp/activite-physique/

ne fois le diabète diagnostiqué, continuer une vie normale est tout à fait possible. Il faudra discuter avec votre médecin traitant ou médecin diabétologue des modalités de suivi (médicaments, périodicité, prise de sang, etc.). La compréhension de la maladie est importante afin d’avoir un suivi et une prise en charge optimale.

VOS QUESTIONS
SUR LE DIABÈTE

Quels sont les organes touchés par le diabète ?
Les complications du diabète sont nombreuses. Avec le temps le diabète peut endommager les différents organes du corps humain :

  • Le cœur : risque d’infarctus, d’insuffisance cardiaque …
  • Le cerveau: risque d’AVC
  • Les reins: risque d’insuffisance rénale, jusqu’à la dialyse
  • Les artères: risques de douleurs, de difficultés à la marche, de difficultés à cicatriser
  • Les yeux: risque de cécité
  • Les nerfs: risque de perte de sensibilité et/ou de fourmillements permanents des extrémités

Le diabète peut aussi avoir d’autres répercussions importantes sur le sommeil, la sexualité…

Quels sont les symptômes courants du diabète ?
Le diabète est initialement une maladie silencieuse. Mais quand la maladie progresse, des symptômes peuvent apparaitre :

  • Augmentation de la soif
  • Augmentation de la faim
  • Fréquente envie d’uriner
  • Perte de poids marquée
  • Fatigue
  • Vision trouble
  • Infections fréquentes ou récurrentes
  • Blessures à guérison lente
  • Engourdissement ou picotements dans les mains ou les pieds
  • Difficulté à obtenir ou à maintenir une érection

Les principaux facteurs de risques de développer un diabète sont :

  • L’excès pondéral ou excès de poids: le lien entre surpoids/obésité et le risque de développer un diabète a été démontré.

Le surpoids est défini par un IMC (Indice de Masse Corporel) entre 25 et 30. Au-delà de 30, on parlera d’obésité. L’IMC est une norme mais qui peut être adaptée en fonction des ethnies et des régions du monde.

Sur le plan individuel, il faut trouver son poids santé ou poids de forme : le poids pour lequel il y a un bien-être physique, moral, culturel et social. Ce poids ne doit pas trop s’écarter du poids normal de la courbe de la Communauté du Pacifique.

  • La consommation excessive de sucre sous toute ses formes : boissons, sucres rapides, sucres lents, etc.
  • Avoir un parent proche diabétique: le facteur génétique est important. Avoir un ou deux de ses parents diabétiques augmentent considérablement le risque de l’être à son tour.
  • Avoir une vie sédentaire: le manque d’activité physique entraine un sur-risque de développer un diabète.
  • Avoir développé un diabète gestationnel augmente le risque de développer un diabète de type 2.

Le risque de développer un diabète de type 2 peut aussi augmenter si vous avez l’un des problèmes de santé suivants :

  • Tension artérielle élevée,
  • Cholestérol élevé,
  • Consommation tabagique

Le diabète de type 2 est évitable car lié au mode de vie, c’est-à-dire à une alimentation trop riche ou déséquilibrée (excès de sucres et graisses) et un manque d’activité physique.
La prévention du diabète passe donc d’abord par l’alimentation. En effet, comme dit précédemment l’obésité est un facteur de risque majeur pour le diabète de type 2. Il est donc important d’adopter une alimentation équilibrée dès le plus jeune âge avec des repas pris à heures régulières et composés d’aliments sains et variés, afin d’éviter l’apparition de surpoids et donc de diabète.

Il faut également pratiquer une activité physique quotidienne. Si vous êtes en surcharge pondérale, perdre du poids peut retarder ou même prévenir le diabète de type 2.

Une fois la maladie installée, il n’y a malheureusement pas de moyen de la guérir. Elle pourra seulement être régulée par le contrôle des facteurs de risque.

Le meilleur moyen est de se faire dépister. Le dépistage est gratuit dans toutes les structures de la Direction de la santé (dispensaire, infirmerie, centre médical) et peut être réalisé toute l’année par un professionnel de santé. Celui-ci peut aussi se faire chez son médecin traitant.

En quoi consiste le dépistage ?
Le dépistage du diabète consiste à mesurer le taux de sucre dans le sang. C’est le seul moyen de déceler cette affection, qui peut passer inaperçue pendant des années. Il s’effectue par une simple prise de sang à réaliser à jeun.

Il existe également des tests par glycémie capillaire qui consistent à piquer le bout du doigt pour obtenir une petite goutte de sang. Ils sont rapides et fiables.

On considèrera qu’il y a un diabète si 2 glycémies à jeun de plus de 1.26g/l sont retrouvées, ou une glycémie supérieure à 2g/l à tout moment.

Un diagnostic précoce permet une meilleure prise en charge de la maladie et peut éviter l’apparition de complications irréversibles.
Les personnes souffrant d’hypertension artérielle, ayant trop de graisses dans le sang (cholestérol, triglycérides) ou fumeuses, doivent penser à se faire dépister régulièrement (une fois par an en moyenne pour les personnes à risque).

Le traitement du diabète repose sur une alimentation équilibrée, l’exercice physique et sur des traitements médicaux : médicaments par voie orale ou injectable (insuline). Il n’y a pas de traitement unique, il évolue en fonction de la maladie et du patient. Un suivi régulier est alors indispensable.

Le traitement du diabète est souvent associé à des injections d’insuline mais en réalité le traitement à l’insuline n’est pas systématique pour le diabète de type 2. L’insuline est indiquée si les traitements par voie orale ne sont plus suffisants, ou si le diabète est très déséquilibré.

Quels sont les aliments à éviter en cas de diabète ?
Il n’y a pas d’interdiction concernant l’alimentation, mais l’apport de sucres et de graisses doit être maitrisé. Certains aliments provoquent des hyperglycémies plus importantes et ont de moins bonnes valeurs nutritionnelles. Il est donc préférable de les consommer ponctuellement et en quantité limitée. Ce sont généralement les produits industriels ou dit ultra-transformés tels que les sodas, bonbons, biscuits industriels, charcuterie, chips etc.
Il est aussi recommandé de contrôler sa consommation de sel.

Le rythme des repas est également important : le fait de prendre ses repas de façon régulière aide à stabiliser son diabète. Les repas doivent être pris à heures régulières. Il faut essayer de ne pas les sauter, et éviter les grignotages : les prises isolées de sucres entrainent d’importants déséquilibres glycémiques.

Quels sont les aliments à privilégier en cas de diabète ?
Il est recommandé d’orienter son alimentation vers des produits les plus naturels possibles, comme les légumes, les fruits, les céréales complètes car les fibres qu’elles contiennent permettent de moduler la digestion et aident à réguler la glycémie. Il est aussi conseillé de consommer des légumineuses au moins deux fois par semaine (lentilles, pois chiches, haricots secs…).

Pour plus d’informations : https://www.service-public.pf/dsp/alimentation/

Toutes les activités physiques sont bonnes pour le bien être de manière générale. Il est recommandé de faire au minimum 30 minutes d’activités 5 jours sur 7 au moins.
Il est aussi important de savoir écouter son corps pour trouver l’activité qui lui correspond le mieux.

Pour plus d’informations : https://www.service-public.pf/dsp/activite-physique/

Une fois le diabète diagnostiqué, continuer une vie normale est tout à fait possible. Il faudra discuter avec votre médecin traitant ou médecin diabétologue des modalités de suivi (médicaments, périodicité, prise de sang, etc.). La compréhension de la maladie est importante afin d’avoir un suivi et une prise en charge optimale.

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