[ACTUALITÉ]
VIH en Polynésie française : 25 nouvelles contaminations en 2025
À l’occasion de la journée mondiale de lutte contre le sida, ce 1er décembre, le Centre des Maladies Infectieuses et Tropicales (CMIT) alerte sur la hausse des nouvelles infections au VIH ces deux dernières années au fenua.
Cette année, 25 nouveaux cas ont été enregistrés (23 hommes et 2 femmes, âgés de 22 à 67 ans), un chiffre comparable à celui de 2024 (26 cas) et deux fois supérieur à la moyenne annuelle observée pendant plus d’une décennie.
Fait marquant : les contaminations locales sont désormais trois fois plus nombreuses que les cas importés. Ce qui confirme que le virus circule activement sur le territoire.
Des facteurs de risque qui se multiplient
Le CMIT estime que ces chiffres ne reflètent qu’une partie de la réalité.
Le manque de protection, le faible recours au dépistage et la multiplication des partenaires favorisent la progression du VIH.
Les rencontres anonymes via les réseaux sociaux compliquent également le repérage des cas contact, entraînant une transmission silencieuse.
Autre source d’inquiétude : certaines personnes déjà diagnostiquées ne suivent pas régulièrement leur traitement et continuent d’avoir des comportements à risque.
Les professionnels rappellent l’importance de l’usage systématique du préservatif.
Dépistage à l’UPF ce 1er décembre
Pour sensibiliser les jeunes, le CMIT sera présent à l’Université de la Polynésie française, de 8h30 à 15h30, pour proposer des tests diagnostiques rapides, gratuits et anonymes, ainsi que des préservatifs et des flyers.
Aujourd’hui, 210 personnes, âgées de 16 à 80 ans, vivent avec le VIH en Polynésie française et sont suivies par le CMIT.
[ACTUALITÉ] VIH en Polynésie française : 25 nouvelles contaminations en 2025
À l’occasion de la journée mondiale de lutte contre le sida, ce 1er décembre, le Centre des Maladies Infectieuses et Tropicales (CMIT) alerte sur la hausse des nouvelles infections au VIH ces deux dernières années au fenua.
Cette année, 25 nouveaux cas ont été enregistrés (23 hommes et 2 femmes, âgés de 22 à 67 ans), un chiffre comparable à celui de 2024 (26 cas) et deux fois supérieur à la moyenne annuelle observée pendant plus d’une décennie.
Fait marquant : les contaminations locales sont désormais trois fois plus nombreuses que les cas importés. Ce qui confirme que le virus circule activement sur le territoire.
Des facteurs de risque qui se multiplient
Le CMIT estime que ces chiffres ne reflètent qu’une partie de la réalité.
Le manque de protection, le faible recours au dépistage et la multiplication des partenaires favorisent la progression du VIH.
Les rencontres anonymes via les réseaux sociaux compliquent également le repérage des cas contact, entraînant une transmission silencieuse.
Autre source d’inquiétude : certaines personnes déjà diagnostiquées ne suivent pas régulièrement leur traitement et continuent d’avoir des comportements à risque.
Les professionnels rappellent l’importance de l’usage systématique du préservatif.
Dépistage à l’UPF ce 1er décembre
Pour sensibiliser les jeunes, le CMIT sera présent à l’Université de la Polynésie française, de 8h30 à 15h30, pour proposer des tests diagnostiques rapides, gratuits et anonymes, ainsi que des préservatifs et des flyers.
Aujourd’hui, 210 personnes, âgées de 16 à 80 ans, vivent avec le VIH en Polynésie française et sont suivies par le CMIT.






