Annuaire des structures de la Direction de la santé
Bulletin de Surveillance Sanitaire (BSS) n°47/2025
Données consolidées jusqu’à la semaine S50-2025
Bulletin de Surveillance Sanitaire (BSS) n°46/2025
Données consolidées jusqu’à la semaine S49-2025
[ACTUALITÉ] Félicitations aux premiers diplômés du D.U. d’échoscopie de dépistage !

Le RAA (Rhumatisme Articulaire Aigu) est une maladie grave qui touche nos enfants en Polynésie française. Cette infection peut provoquer des lésions irréversibles des valves cardiaques. Elle touche principalement les enfants de 5 à 14 ans, ainsi que certains jeunes adultes, et représente un véritable défi de santé publique pour notre fenua.
Le Centre de Lutte contre le RAA (basé au CME de Hamuta), mène une action prioritaire : le dépistage des élèves de 6e grâce à l’échoscopie cardiaque. Ce programme est organisé durant les périodes scolaires dans les collèges de Tahiti et des archipels.
Pour répondre au manque de professionnels formés à cet examen spécialisé, un diplôme universitaire (D.U.) a été mis en place en Polynésie en collaboration avec l’Université de Bordeaux : c’est le D.U. « Échoscopie de dépistage des cardiopathies rhumatismales chroniques en zone d’endémie »
Pendant un an, 14 professionnels des santé (7 médecins, 5 infirmier(e)s et 2 sages-femmes) ont suivi une formation exigeante combinant : enseignements théoriques, séminaires et stages cliniques, afin d’acquérir les compétences nécessaires pour renforcer le dépistage précoce.
La première session du D.U. s’est terminée en novembre 2025. L’ensemble des apprenants ont obtenu le diplôme. Félicitations à eux !
Cette initiative est reproduite désormais en Nouvelle-Calédonie. A terme, cette formation sera proposée à d’autres pays confrontés, comme la Polynésie française, à cette endémie.
Toute la promotion souhaite exprimer sa profonde gratitude au Professeur Stéphane LAFITTE de l’université de Bordeaux , pour son engagement, sa disponibilité et la qualité exceptionnelle de son enseignement !
[ACTUALITÉ] Félicitations aux premiers diplômés du D.U. d’échoscopie de dépistage !

Le RAA (Rhumatisme Articulaire Aigu) est une maladie grave qui touche nos enfants en Polynésie française. Cette infection peut provoquer des lésions irréversibles des valves cardiaques. Elle touche principalement les enfants de 5 à 14 ans, ainsi que certains jeunes adultes, et représente un véritable défi de santé publique pour notre fenua.
Le Centre de Lutte contre le RAA (basé au CME de Hamuta), mène une action prioritaire : le dépistage des élèves de 6e grâce à l’échoscopie cardiaque. Ce programme est organisé durant les périodes scolaires dans les collèges de Tahiti et des archipels.
Pour répondre au manque de professionnels formés à cet examen spécialisé, un diplôme universitaire (D.U.) a été mis en place en Polynésie en collaboration avec l’Université de Bordeaux : c’est le D.U. « Échoscopie de dépistage des cardiopathies rhumatismales chroniques en zone d’endémie »
Pendant un an, 14 professionnels des santé (7 médecins, 5 infirmier(e)s et 2 sages-femmes) ont suivi une formation exigeante combinant : enseignements théoriques, séminaires et stages cliniques, afin d’acquérir les compétences nécessaires pour renforcer le dépistage précoce.
La première session du D.U. s’est terminée en novembre 2025. L’ensemble des apprenants ont obtenu le diplôme. Félicitations à eux !
Cette initiative est reproduite désormais en Nouvelle-Calédonie. A terme, cette formation sera proposée à d’autres pays confrontés, comme la Polynésie française, à cette endémie.
Toute la promotion souhaite exprimer sa profonde gratitude au Professeur Stéphane LAFITTE de l’université de Bordeaux , pour son engagement, sa disponibilité et la qualité exceptionnelle de son enseignement !
[ACTUALITÉ] POD à Moorea : derniers jours pour éliminer la filariose !
𝗗𝗲𝗿𝗻𝗶𝗲̀𝗿𝗲 𝗰𝗵𝗮𝗻𝗰𝗲 𝗽𝗼𝘂𝗿 𝗽𝗿𝗲𝗻𝗱𝗿𝗲 𝘃𝗼𝘁𝗿𝗲 𝗣𝗢𝗗 𝗲𝘁 𝗲́𝗹𝗶𝗺𝗶𝗻𝗲𝗿 𝗹𝗮 𝗳𝗶𝗹𝗮𝗿𝗶𝗼𝘀𝗲 !
Pour protéger la population de Moorea contre la filariose, au moins 65% des habitants de l’île doivent avoir fait leur POD d’ici la fin de l’année ! Aussi, la distribution de médicaments contre la filariose est prolongée jusqu’au mercredi 31 décembre.
Rendez-vous pour faire votre POD gratuitement à l’𝗵𝗼̂𝗽𝗶𝘁𝗮𝗹 𝗱𝗲 𝗔𝗳𝗮𝗿𝗲𝗮𝗶𝘁𝘂
au dispensaire en heures ouvrables,
aux urgences hors heures ouvrables.
𝗟𝗮 𝗣𝗢𝗗, 𝗰’𝗲𝘀𝘁 𝗾𝘂𝗼𝗶 ?
La POD, ou prise observée directe, c’est lorsqu’un professionnel de santé te donne des médicaments à avaler devant lui. Ca permet de s’assurer que le traitement a bien été pris. Actuellement à Moorea on POD pour traiter les habitants contre la filariose lymphatique et éradiquer la maladie !
𝗖’𝗲𝘀𝘁 𝗾𝘂𝗼𝗶 𝗹𝗮 𝗳𝗶𝗹𝗮𝗿𝗶𝗼𝘀𝗲 ?
C’est une maladie transmise par les moustiques, qui évolue souvent sans symptômes, mais qui peut provoquer à long terme de graves déformations physiques (bras, jambes, parties intimes) et un handicap durable. La maladie ne se soigne pas, mais on peut l’éviter avec la POD !
𝗤𝘂𝗶 𝗱𝗼𝗶𝘁 𝗳𝗮𝗶𝗿𝗲 𝘀𝗮 𝗣𝗢𝗗 ?
Tous les résidents de Moorea de plus de 2 ans (sauf contre-indication ou poids inférieur à 15 kg) et les personnes qui passent au moins 3 mois par an sur l’île.
𝗙𝗮𝗶𝘀-𝗹𝗲 𝗽𝗼𝘂𝗿 𝘁𝗼𝗶, 𝗽𝗼𝘂𝗿 𝘁𝗮 𝗳𝗮𝗺𝗶𝗹𝗹𝗲 𝗲𝘁 𝘁𝗮 𝗰𝗼𝗺𝗺𝘂𝗻𝗮𝘂𝘁𝗲́ ⵑ

[ACTUALITÉ] POD à Moorea : derniers jours pour éliminer la filariose !
𝗗𝗲𝗿𝗻𝗶𝗲̀𝗿𝗲 𝗰𝗵𝗮𝗻𝗰𝗲 𝗽𝗼𝘂𝗿 𝗽𝗿𝗲𝗻𝗱𝗿𝗲 𝘃𝗼𝘁𝗿𝗲 𝗣𝗢𝗗 𝗲𝘁 𝗲́𝗹𝗶𝗺𝗶𝗻𝗲𝗿 𝗹𝗮 𝗳𝗶𝗹𝗮𝗿𝗶𝗼𝘀𝗲 ! 💪
Pour protéger la population de Moorea contre la filariose, au moins 65% des habitants de l’île doivent avoir fait leur POD d’ici la fin de l’année ! Aussi, la distribution de médicaments contre la filariose est prolongée jusqu’au mercredi 31 décembre.
Rendez-vous pour faire votre POD gratuitement à l’𝗵𝗼̂𝗽𝗶𝘁𝗮𝗹 𝗱𝗲 𝗔𝗳𝗮𝗿𝗲𝗮𝗶𝘁𝘂
✅ au dispensaire en heures ouvrables,
✅ aux urgences hors heures ouvrables.
👉 𝗟𝗮 𝗣𝗢𝗗, 𝗰’𝗲𝘀𝘁 𝗾𝘂𝗼𝗶 ?
La POD, ou prise observée directe, c’est lorsqu’un professionnel de santé te donne des médicaments à avaler devant lui. Ca permet de s’assurer que le traitement a bien été pris. Actuellement à Moorea on POD pour traiter les habitants contre la filariose lymphatique et éradiquer la maladie !
👉 𝗖’𝗲𝘀𝘁 𝗾𝘂𝗼𝗶 𝗹𝗮 𝗳𝗶𝗹𝗮𝗿𝗶𝗼𝘀𝗲 ?
C’est une maladie transmise par les moustiques, qui évolue souvent sans symptômes, mais qui peut provoquer à long terme de graves déformations physiques (bras, jambes, parties intimes) et un handicap durable. La maladie ne se soigne pas, mais on peut l’éviter avec la POD !
👉 𝗤𝘂𝗶 𝗱𝗼𝗶𝘁 𝗳𝗮𝗶𝗿𝗲 𝘀𝗮 𝗣𝗢𝗗 ?
Tous les résidents de Moorea de plus de 2 ans (sauf contre-indication ou poids inférieur à 15 kg) et les personnes qui passent au moins 3 mois par an sur l’île.
𝗙𝗮𝗶𝘀-𝗹𝗲 𝗽𝗼𝘂𝗿 𝘁𝗼𝗶, 𝗽𝗼𝘂𝗿 𝘁𝗮 𝗳𝗮𝗺𝗶𝗹𝗹𝗲 𝗲𝘁 𝘁𝗮 𝗰𝗼𝗺𝗺𝘂𝗻𝗮𝘂𝘁𝗲́ ⵑ

Bulletin de Surveillance Sanitaire (BSS) n°45/2025
Données consolidées jusqu’à la semaine S48-2025
Bulletin de Surveillance Sanitaire (BSS) n°44/2025
Données consolidées jusqu’à la semaine S47-2025
[ACTUALITÉ]
VIH en Polynésie française : 25 nouvelles contaminations en 2025
À l’occasion de la journée mondiale de lutte contre le sida, ce 1er décembre, le Centre des Maladies Infectieuses et Tropicales (CMIT) alerte sur la hausse des nouvelles infections au VIH ces deux dernières années au fenua.Cette année, 25 nouveaux cas ont été enregistrés (23 hommes et 2 femmes, âgés de 22 à 67 ans), un chiffre comparable à celui de 2024 (26 cas) et deux fois supérieur à la moyenne annuelle observée pendant plus d’une décennie.Fait marquant : les contaminations locales sont désormais trois fois plus nombreuses que les cas importés. Ce qui confirme que le virus circule activement sur le territoire.Des facteurs de risque qui se multiplientLe CMIT estime que ces chiffres ne reflètent qu’une partie de la réalité.Le manque de protection, le faible recours au dépistage et la multiplication des partenaires favorisent la progression du VIH.
Les rencontres anonymes via les réseaux sociaux compliquent également le repérage des cas contact, entraînant une transmission silencieuse.
Autre source d’inquiétude : certaines personnes déjà diagnostiquées ne suivent pas régulièrement leur traitement et continuent d’avoir des comportements à risque.Les professionnels rappellent l’importance de l’usage systématique du préservatif.Dépistage à l’UPF ce 1er décembrePour sensibiliser les jeunes, le CMIT sera présent à l’Université de la Polynésie française, de 8h30 à 15h30, pour proposer des tests diagnostiques rapides, gratuits et anonymes, ainsi que des préservatifs et des flyers.Aujourd’hui, 210 personnes, âgées de 16 à 80 ans, vivent avec le VIH en Polynésie française et sont suivies par le CMIT.[ACTUALITÉ] VIH en Polynésie française : 25 nouvelles contaminations en 2025
À l’occasion de la journée mondiale de lutte contre le sida, ce 1er décembre, le Centre des Maladies Infectieuses et Tropicales (CMIT) alerte sur la hausse des nouvelles infections au VIH ces deux dernières années au fenua.Cette année, 25 nouveaux cas ont été enregistrés (23 hommes et 2 femmes, âgés de 22 à 67 ans), un chiffre comparable à celui de 2024 (26 cas) et deux fois supérieur à la moyenne annuelle observée pendant plus d’une décennie.Fait marquant : les contaminations locales sont désormais trois fois plus nombreuses que les cas importés. Ce qui confirme que le virus circule activement sur le territoire.Des facteurs de risque qui se multiplientLe CMIT estime que ces chiffres ne reflètent qu’une partie de la réalité.Le manque de protection, le faible recours au dépistage et la multiplication des partenaires favorisent la progression du VIH.
Les rencontres anonymes via les réseaux sociaux compliquent également le repérage des cas contact, entraînant une transmission silencieuse.
Autre source d’inquiétude : certaines personnes déjà diagnostiquées ne suivent pas régulièrement leur traitement et continuent d’avoir des comportements à risque.Les professionnels rappellent l’importance de l’usage systématique du préservatif.Dépistage à l’UPF ce 1er décembrePour sensibiliser les jeunes, le CMIT sera présent à l’Université de la Polynésie française, de 8h30 à 15h30, pour proposer des tests diagnostiques rapides, gratuits et anonymes, ainsi que des préservatifs et des flyers.Aujourd’hui, 210 personnes, âgées de 16 à 80 ans, vivent avec le VIH en Polynésie française et sont suivies par le CMIT.[ACTUALITÉ]
Pose de la première pierre à l’hôpital de Taravao
La cérémonie de pose de la première pierre du chantier de réhabilitation des services de Soins de Suite et de Réadaptation (SSR) et de Long Séjour (LS) de l’hôpital de Taravao s’est tenue ce mardi 25 novembre 2025, en présence d’Alexandre ROCHATTE, Haut-commissaire de la République en Polynésie française, de Cédric MERCADAL, ministre de la Santé, en charge de la prévention et de la protection sociale généralisée, de Patricia JENNINGS, présidente de la commission de la santé et des solidarités à l’Assemblée de la Polynésie française, d’Anthony JAMET, Vice-président de la communauté de communes Tereheamanu et tāvana de Taiarapu-Est, de Ueva HAMBLIN, tāvana de Tautira, ainsi que de Roniu TUPANA-POAREU, maire déléguée de Teahupo’o, commune associée de Taiarapu-Ouest.
Cet événement marque une étape essentielle d’un projet État-Pays destiné à améliorer durablement l’accès aux soins pour les 47 000 habitants de la presqu’île et 70 000 habitants à moins d’une demi-heure. Le chantier, d’un montant total de 1,137 milliard de F CFP, a été cofinancé par l’État (385 millions F CFP) et le Pays (555 millions F CFP), le solde étant assuré sur fonds propres.
Ce programme ambitieux prévoit la rénovation complète des chambres de long séjour et de soins de suite, ainsi que la réorganisation de la pharmacie et de la salle de rééducation. Il permettra d’offrir aux patients des conditions d’accueil modernisées, plus confortables et plus proches de leur cadre de vie et de leur famille.
Pour le ministre de la Santé, ce chantier « incarne un engagement fort en faveur d’un accès plus simple, plus humain et plus équitable aux soins ». Il a salué l’implication conjointe de l’État, du Pays, des équipes de santé et des partenaires institutionnels qui œuvrent depuis des mois à la concrétisation de ce projet tant attendu par les habitants.
Aux côtés des représentantes des services et établissements de santé du Pays, Karine VANNES, directrice adjointe de la direction de la santé, Marie-Pierre TEFAAFANA, directrice de l’hôpital de Taravao, et de Hani TERIIPAIA-OTT, directrice du Centre Hospitalier de Polynésie française, il a annoncé trois mesures fortes pour faire de Taravao un centre de santé complet.
Un Appel à Manifestation d’Intérêt pour une clinique privée sera lancé d’ici la fin de l’année, pour apporter, sur le site de l’hôpital, une maternité, un service d’imagerie moderne, et des blocs opératoires pour les actes courants, partagés avec l’hôpital public.
Aussi, la capacité d’accueil sera massivement renforcée, avec la possibilité de créer plusieurs étages de lits supplémentaires au-dessus du bâtiment réhabilité de la pharmacie.
Enfin, une mini-réanimation sera installée sur ce site, afin de pouvoir stabiliser les patients les plus fragiles en urgence et de pouvoir répondre à une demande pressante des équipes de santé.
Au-delà de l’acte symbolique, cette pose de la première pierre marque l’ouverture d’une nouvelle étape pour l’hôpital de Taravao et pour les familles de la presqu’île : la construction d’un environnement de soins moderne, sécurisé et adapté à chaque parcours de vie.
[ACTUALITÉ] Pose de la première pierre à l’hôpital de Taravao
La cérémonie de pose de la première pierre du chantier de réhabilitation des services de Soins de Suite et de Réadaptation (SSR) et de Long Séjour (LS) de l’hôpital de Taravao s’est tenue ce mardi 25 novembre 2025, en présence d’Alexandre ROCHATTE, Haut-commissaire de la République en Polynésie française, de Cédric MERCADAL, ministre de la Santé, en charge de la prévention et de la protection sociale généralisée, de Patricia JENNINGS, présidente de la commission de la santé et des solidarités à l’Assemblée de la Polynésie française, d’Anthony JAMET, Vice-président de la communauté de communes Tereheamanu et tāvana de Taiarapu-Est, de Ueva HAMBLIN, tāvana de Tautira, ainsi que de Roniu TUPANA-POAREU, maire déléguée de Teahupo’o, commune associée de Taiarapu-Ouest.
Cet événement marque une étape essentielle d’un projet État-Pays destiné à améliorer durablement l’accès aux soins pour les 47 000 habitants de la presqu’île et 70 000 habitants à moins d’une demi-heure. Le chantier, d’un montant total de 1,137 milliard de F CFP, a été cofinancé par l’État (385 millions F CFP) et le Pays (555 millions F CFP), le solde étant assuré sur fonds propres.
Ce programme ambitieux prévoit la rénovation complète des chambres de long séjour et de soins de suite, ainsi que la réorganisation de la pharmacie et de la salle de rééducation. Il permettra d’offrir aux patients des conditions d’accueil modernisées, plus confortables et plus proches de leur cadre de vie et de leur famille.
Pour le ministre de la Santé, ce chantier « incarne un engagement fort en faveur d’un accès plus simple, plus humain et plus équitable aux soins ». Il a salué l’implication conjointe de l’État, du Pays, des équipes de santé et des partenaires institutionnels qui œuvrent depuis des mois à la concrétisation de ce projet tant attendu par les habitants.
Aux côtés des représentantes des services et établissements de santé du Pays, Karine VANNES, directrice adjointe de la direction de la santé, Marie-Pierre TEFAAFANA, directrice de l’hôpital de Taravao, et de Hani TERIIPAIA-OTT, directrice du Centre Hospitalier de Polynésie française, il a annoncé trois mesures fortes pour faire de Taravao un centre de santé complet.
Un Appel à Manifestation d’Intérêt pour une clinique privée sera lancé d’ici la fin de l’année, pour apporter, sur le site de l’hôpital, une maternité, un service d’imagerie moderne, et des blocs opératoires pour les actes courants, partagés avec l’hôpital public.
Aussi, la capacité d’accueil sera massivement renforcée, avec la possibilité de créer plusieurs étages de lits supplémentaires au-dessus du bâtiment réhabilité de la pharmacie.
Enfin, une mini-réanimation sera installée sur ce site, afin de pouvoir stabiliser les patients les plus fragiles en urgence et de pouvoir répondre à une demande pressante des équipes de santé.
Au-delà de l’acte symbolique, cette pose de la première pierre marque l’ouverture d’une nouvelle étape pour l’hôpital de Taravao et pour les familles de la presqu’île : la construction d’un environnement de soins moderne, sécurisé et adapté à chaque parcours de vie.
Bulletin de Surveillance Sanitaire (BSS) n°43/2025
Données consolidées jusqu’à la semaine S46-2025
Bulletin de Surveillance Sanitaire (BSS) n°42/2025
Données consolidées jusqu’à la semaine S45-2025






