Annuaire des structures de la Direction de la santé

  • Communiqué de presse du Bulletin de Surveillance Sanitaire des S37-S38 2017

    Données du 11 au 24 septembre 2017

  • Octobre rose Direction de la santé Tahiti

    Selon le registre du cancer, on découvre en moyenne 130 nouveaux cas chaque année en Polynésie française, ce qui situe le cancer du sein au premier rang des cancers féminins par sa fréquence.

     Le dépistage du cancer du sein : une mesure efficace pour toutes les femmes âgées de 50 ans et plus

    Le programme de dépistage mis en place en 2003 permet aux femmes de 50 ans et plus de bénéficier d’un examen clinique des seins et d’une mammographie gratuits tous les deux ans.

    L’objectif est de dépister précocement le cancer du sein et de diminuer ainsi la mortalité due à cette maladie.

    Pour re-susciter la sensibilisation du public, le mois d’octobre est un RDV annuel partout dans le monde pour la mobilisation de tous les partenaires et les acteurs contre le cancer du sein. Il donne lieu à de grandes manifestations en hommage aux patientes atteintes de cancer du sein, sous le symbole d’un ruban rose.

    Sous la houlette du Ministère des solidarités et de la santé, la Polynésie française organise cette mobilisation depuis 2014, avec les acteurs de la santé et les partenaires institutionnels ou associatifs, du public et du privé.

    Les professionnels de santé se mobilisent et plus particulièrement dans les îles, dénotent un mouvement de solidarité qui évolue année après année.

    Une campagne de communication à la fois humoristique avec Kura qui fait sa mammographie en même temps, poignante par des témoignages de femmes sera diffusée sur les réseaux sociaux ainsi que sur les 2 chaînes de télévision.

    « Je prends soin de mon corps, je fais ma radio des titis » reste le message principal pour l’édition 2017. Sensibiliser et informer le plus grand nombre des femmes ainsi que leur entourage restent les deux objectifs principaux de la campagne de communication.

  • Dossier de presse

    Octobre rose 2017

    Résumé:

    Première cause de mortalité par cancer chez les femmes jusqu’en 2011 en Polynésie française, le cancer du sein est devenu la deuxième cause de mortalité par cancer chez les femmes polynésiennes depuis 2012, après le cancer du poumon.

    Selon le registre du cancer, on découvre en moyenne 130 nouveaux cas chaque année en Polynésie française, ce qui situe le cancer du sein au premier rang des cancers féminins par sa fréquence.

    Le dépistage du cancer du sein : une mesure efficace pour toutes les femmes âgées de 50 ans et plus
    Le programme de dépistage mis en place en 2003 permet aux femmes de 50 ans et plus de bénéficier d’un examen clinique des seins et d’une mammographie gratuits tous les deux ans.
    L’objectif est de dépister précocement le cancer du sein et de diminuer ainsi la mortalité due à cette maladie.
    Pour re-susciter la sensibilisation du public, le mois d’octobre est un RDV annuel partout dans le monde pour la mobilisation de tous les partenaires et les acteurs contre le cancer du sein. Il donne lieu à de grandes manifestations en hommage aux patientes atteintes de cancer du sein, sous le symbole d’un ruban rose.
    Sous la houlette du Ministère des solidarités et de la santé, la Polynésie française organise cette mobilisation depuis 2014, avec les acteurs de la santé et les partenaires institutionnels ou associatifs, du public et du privé.
    Les professionnels de santé se mobilisent et plus particulièrement dans les îles, dénotent un mouvement de solidarité qui évolue année après année.
    Une campagne de communication à la fois humoristique avec Kura qui fait sa mammographie en même temps, poignante par des témoignages de femmes sera diffusée sur les réseaux sociaux ainsi que sur les 2 chaînes de télévision.

    « Je prends soin de mon corps, je fais ma radio des titis » reste le message principal pour l’édition 2017. Sensibiliser et informer le plus grand nombre des femmes ainsi que leur entourage restent les deux objectifs principaux de la campagne de communication.

    Téléchargez le dossier de presse complet : Dossier de presse octobre-rose 2017

  • Communiqué de presse du Bulletin de Surveillance Sanitaire des S35-S36 2017

    Données du 28 août au 10 septembre 2017

  • L’Ecole de commerce de Tahiti réalise deux spots vidéos sur les IST en collaboration avec la Direction de la santé

     

     

    Après une semaine de défi d’intégration, les étudiants en première année de l’École de commerce de Tahiti ont réussi à créer deux spots vidéos informant les jeunes de la prévention contre les infections sexuellement transmissibles. Ils ont présenté leurs travaux vendredi dernier devant les officiels de la direction de la Santé. 

    Comment faire passer simplement aux jeunes le message de la prévention contre les maladies sexuellement transmissibles (IST) ? Comment leur faire savoir que le test est gratuit, prend quelques minutes seulement et est totalement anonyme dans les 8 centres de dépistage de Polynésie ? 

    Les campagnes officielles jouent leur rôle, mais les chiffres montrent une recrudescence des IST ces dernières années… Pour toucher la nouvelle génération, il faut clairement changer d’approche. Et pour ça, le mieux c’est de laisser faire les jeunes ! C’est en tout cas l’idée derrière le défi lancé aux premières années de l’École de Commerce de Tahiti (ECT) par deux élève de troisième année en stage à la CPS. Aidés de leurs aînés de deuxième année, de leurs coachs et de deux spécialistes de la question – Stéphane Alarcon et le docteur Lam Nguyen – ils ont relevé le défi. 

    Ils ont produit deux vidéos (qui devraient être partagées sur les réseaux sociaux) avec une approche narrative originale. Mickaël Travers, l’un des producteurs des vidéos, explique que « pour faire passer le message, particulièrement aux jeunes, nous avons personnifier l’IST pour montrer qu’elle peut toucher tout le monde, qu’ils se la représentent bien dans la tête. On a beaucoup travailler sur ça, je pense que ça peut aider à faire passer un bon message ! » 

    « Je trouve qu’ils parlent beaucoup mieux du sexe que nous » 

    Et ils ont convaincu à la fois le docteur Laurence Bonnac-Theron (directrice de la direction de la Santé, leur donneur d’ordre) qui a validé les productions, et surtout ceux qui les ont accompagnés pendant ces cinq jours intenses. 

    Le docteur Lam Nguyen explique ainsi que « c’est absolument indispensable de collaborer avec des jeunes sur ces sujets. Comme vous le savez, les IST sont liées aux activités sexuelles et les jeunes sont particulièrement actifs dans ce domaine. Ils sont beaux, ils sont plein d’énergie… Mais c’est leur avenir qui est en jeu ! La sensibilisation est un travail de longue haleine, donc j’espère qu’il y aura une collaboration continue avec les jeunes, ceux de l’ECT et les autres. Surtout que je trouve qu’ils parlent beaucoup mieux du sexe que nous, nous on est trop vieux ! » 

    Julie Maugey, du magazine Hine, les a coaché toute la semaine. Elle explique leur avoir apporté « des outils et des techniques pour les rendre autonomes et travailler en équipe. On leur a donné les moyens de se répartir les tâches, de créer des groupes, d’avoir des objectifs à respecter chaque jour… Et bien sûr de la motivation. Maintenant il faut que vous regardiez les vidéos pour me dire ce que vous en pensez ! »

    Source Tahiti Infos

  • Communiqué de presse du Bulletin de Surveillance Sanitaire de la S35 2017

    Données du 11 septembre 2017

  • Dossier de presse

    EA’ttitude no drugs

    Résumé:

    La consommation de psychotrope : un phénomène social préoccupant

    Les addictions sont un problème de santé publique majeur en Polynésie. La consommation de produits psychotropes est toujours très présente dans la population générale et particulièrement dans la population jeune. Les dangers sont souvent mal évalués et l’usage banalisé par les consommateurs qui s’est rajeuni en 10 ans.

    Selon l’enquête menée en milieu scolaire en 2009, 29% des jeunes ont déjà expérimenté le cannabis, 13% des garçons et 9% de filles en font un usage à risques et 4 % sont déjà dans une consommation problématique. Les conséquences de cette consommation sont lourdes. Plus on consomme jeune, plus on devient rapidement dépendant et plus il est difficile d’arrêter en âge adulte.

    Une campagne de communication pour soutenir les actions de proximité

    Ainsi, dans une démarche de continuité des actions menées par les acteurs de prévention, la Direction de la santé organise chaque année une campagne de communication pour soutenir et renforcer les messages de prévention destinés à toute la population et plus particulièrement aux jeunes de 15 à 25 ans.

    «  Le choix d’être libre » est le slogan de la campagne de communication 2017.

    Téléchargez le dossier de presse complet : Dossier de presse ea’ttitude no drugs septembre 2017