Annuaire des structures

  • Communiqué de presse du Bulletin de Surveillance Sanitaire des S1-S2 2018

    Données du 1er au 14 janvier 2018

  • Communiqué de presse

    ALERTE LACTALIS EN FRANCE LES REPERCUSSIONS EN POLYNESIE FRANÇAISE

    ALERTE LACTALIS en France : Les répercussions en Polynésie française 

    Résumé:

    « L’affaire LACTALIS connaît un nouveau rebondissement en France. Après 3 séries de rappels, c’est maintenant toute la production de laits en poudre, céréales, et produits infantiles de l’usine de Craon en Mayenne qui  est retirée du marché.

    En Polynésie française, certains de ces produits ont été commercialisés, soit dans le circuit des pharmacies soit en magasin d’alimentation.

    A noter que depuis fin décembre 2017, les produits concernés par une mesure de retrait en France font l’objet d’un refus d’admission et n’entrent donc pas sur le territoire. »

  • Cérémonie d’inauguration de la chapelle œcuménique du CHPF

    Le Président Edouard Fritch était présent, samedi matin, à la cérémonie d’inauguration de la chapelle œcuménique du Centre hospitalier de Polynésie française (CHPF) – Te Aroha, à Pirae, en présence du ministre des Solidarités et de la Santé, Jacques Raynal, d’autres membres du gouvernement et des représentants des confessions religieuses.

    Ce lieu de receuillement s’adresse à l’ensemble des fidèles des différentes confessions et communauté religieuses qui se rendent à l’hôpital pour des soins ou pour rendre visite à un proche, mais également aux membres du personnel du CHPF.La chapelle, qui peut accueillir 55 personnes, est implantée au milieu d’un espace végétalisé et minéralisé.

    La construction a été lancée en décembre dernier par le gouvernement, sur fonds propres, pour un montant de 110 millions Fcfp. Le Président exprimé sa satisfaction quant à la réalisation de la chapelle – Te Aroha, qui permettra aux familles, patients et personnels de se recueillir et de trouver du réconfort, et ce dès ces fêtes de fin d’année.

    – Source: La Présidence –

  • Signature d’un protocole de coopération avec les îles Cook

    Le Président de la Polynésie française, Edouard Fritch, a signé ce vendredi, à la Présidence, un protocole de coopération avec le ministre de la Santé des îles Cook, Nandi Glassie, en présence notamment du ministre des Solidarités et de la santé, Jacques Raynal.

    Le ministre de la Santé des îles Cook, Nandi Glassie, était accompagné d’une délégation ministérielle composée de sa directrice des services hospitaliers, le Dr Yin Yin May, et de Valentino Wichman, en charge de la planification et des programmes.

    Lors de la 12ème réunion des ministres de la Santé du Pacifique, organisée en août dernier, par l’Organisation mondiale de la santé (OMS) pour la région Pacifique occidentale, une réunion bilatérale a été organisée par le ministre de la Santé des îles Cook avec le ministre des Solidarités et de la santé, le Dr Jaques Raynal. Les deux ministres se sont accordés, à cette occasion, pour développer une coopération en santé entre les deux pays, qui partagent de nombreuses similitudes en termes de population, de culture, et de problématiques sanitaires.

    Cette coopération vise à améliorer la santé de leurs citoyens respectifs au travers d’actions telles que le développement du personnel œuvrant dans le domaine de la santé, le renforcement de la collaboration et de l’échange d’informations sur divers sujets de santé, et la continuité de la collaboration avec l’Institut Louis Malardé.

    La région Pacifique de l’OMS comprend 21 pays et territoires dont les trois collectivités françaises du Pacifique. Dans une stratégie de promotion et de protection de la santé, sous le thème d’une vision « Iles-santé », l’OMS insiste sur la nécessité de collaboration et d’entraide entre pays voisins.

    Source: La Présidence

  • « Préférez le naturel » La nouvelle campagne anti sucres ajoutés

    Interview sur le lancement de la campagne anti sucres ajoutés "préférez au naturel"

    Privilégier les produits naturellement sucrés plutôt que ceux bourrés de sucres ajoutés, c’est le message de la campagne de prévention que lance, lundi, la Direction de la santé. Trois visuels modernes montrent des sucettes faites de pastèque ou de litchi, et un ananas en forme de canette de soda, avec le slogan « Préférez le naturel. » Le ministre des Solidarités et de la Santé, Jacques Raynal, a présenté cette nouvelle campagne de communication, entouré du Dr Merehau Mervin, directrice adjointe de la santé, du Dr Bruno Cojean, responsable du département des programmes de prévention, de Marjorie Bourges, responsable du bureau des maladies liées au mode de vie, et de la diététicienne Hélène Thual. Les messages seront déclinés en affichage, presse, Internet et réseaux sociaux pour “amener le consommateur à réfléchir à sa consommation de sucre, et consommer des produits sucrés de meilleurs qualité nutritionnelle”. Le Dr Cojean a rappelé que les besoins en sucre d’un homme adulte n’excèdent pas 30g par jour, soit l’équivalent de six morceaux de sucre. L’OMS recommande que les sucres ajoutés n’en représentent pas plus de 10%, soit trois grammes par jour.

    Préférer plutôt qu’interdire : les autorités se veulent pédagogues vis-à-vis des Polynésiens. Les chiffres sont stables depuis quelques années, a rappelé le ministre, mais ils sont alarmants : 70% de la population en surpoids, dont 40% d’obèses. 18% de la population présente un diabète de type II. 56 % des enfants de 7 à 9 ans prennent deux à trois goûters par jour. Les enquêtes montrent qu’un ménage moyen polynésien consacre plus de 25 000 francs par mois aux boissons et produits sucrés, soit 40% de leur budget alimentaire mensuel. Au cœur de l’attirance pour les sucres ajoutés, la notion de plaisir, de satisfaction immédiate à laquelle on cède jusqu’à mettre sa santé en danger. “Ça ne peut pas se faire en cinq minutes”, dit le ministre,“ mais je suis persuadé que progressivement, ça va changer.”

    La fiscalité comportementale face aux lobbies

    Cette campagne assez “soft” n’est pas le seul angle d’attaque, a indiqué Jacques Raynal, qui reconnaît que “les habitudes alimentaires sont influencées par une offre peu adaptée”. Ses services travaillent avec les acteurs agricoles et les distributeurs pour rendre plus accessibles les produits naturels et sains, assure-t-il. De plus, la “fiscalité comportementale” sur les produits alimentaires trop sucrés, trop salés et trop gras sera bien mise en place en 2018, et Jacques Raynal indique que des discussions sur ce sujet, ainsi que sur la révision de la liste des PPN et des PGC sont également en cours avec les industriels et les importateurs, même s’il ne cache pas que le lobbying va bon train. Au final, les produits mauvais pour la santé seront plus chers, mais Jacques Raynal invite le public à ne pas considérer ces hausses de prix comme une punition, mais plutôt comme une indication pour l’aider à mieux se nourrir.

    Les recettes fiscales ainsi dégagées seront fléchées pour alimenter un fonds de prévention, promet encore le ministre, sans toutefois envisager la renaissance de l’Épap (l’Établissement pour la prévention, dissous en 2010) : “Même si c’était une bonne démarche au départ, l’Épap était mal construit sur le plan de la promotion des actions”, dit Jacques Raynal. “C’était une banque pour les associations qui montaient leurs actions, mais ça partait un peu dans tous les sens.”

    Cette campagne et celles qui suivront l’an prochain représentent la mise en œuvre de mesures du schéma d’organisation sanitaire adopté en 2016. Une autre campagne est prévue en 2018, qui ciblera aussi les produits excessivement gras ou salés.

    -Source: La Dépêche de Tahiti –

  • Communiqué de presse du Bulletin de Surveillance Sanitaire des S45-S46 2017

    Données du 06 au 19 novembre 2017

  • La lutte contre le diabète en Polynésie Française

    Mardi 14 Novembre, Titaua Doom a reçu le docteur Maire Tuheiava, dans son émission « Invité café ». Elle est venue nous parler de la journée mondiale contre le diabète.
    En Polynésie, 11.000 patients atteints de diabète. Ce sont des chiffres déclarées à la CPS en longue maladie mais ces données sont en dessous de la réalité. Le coût des dépenses liées à leur prise en charge s’élève à 3 milliards de francs pacifique.

     

    -Source: Polynésie première –

  • Communiqué de presse du Bulletin de Surveillance Sanitaire des S39-S40 2017

    Données du 25 septembre au 08 octobre 2017

  • Rendez-vous au 7e carrefour de l’emploi public

    Un évènement unique en Polynésie !
    Organisé par l’université de la Polynésie française et les trois fonctions publiques présentes sur le Fenua : Pays, Communes et État, le Carrefour de l’emploi public permet une rencontre concrète entre toutes les personnes intéressées par une carrière dans le secteur public (étudiants, demandeurs d’emploi…) et les professionnels.
    Tous les acteurs du secteur public seront présents sur le campus de l’UPF le 19 octobre prochain. Le Carrefour de l’emploi public est l’occasion unique pour rencontrer les professionnels et pour mieux connaître la fonction publique et comprendre comment y accéder.
    Les chiffres et infos clés de l’événement
    • Date : jeudi 19 octobre 2017
    • Horaires : 8h à 13h
    • Lieu : UPF – campus d’Outumaoro – bâtiment A ;
    • 21 administrations représentées par 80 professionnels environ ;
    • 8 ateliers thématiques ;
    • 27 créneaux de simulations d’entretiens avec un jury de concours ;
    • Plusieurs démonstrations métiers de services actifs et présentations de matériels et de véhicules (Pompiers, Gendarmerie, Police municipale…) ;
    • Plus de 1000 visiteurs attendus.
    A qui s’adresse le Carrefour de l’emploi public ?
    • Aux étudiants de l’UPF et plus généralement les élèves de l’enseignement supérieur (dont les BTS, les classes prépa, l’ECT, ESCB et l’ISEPP).
    • Aux jeunes diplômés sur le marché du travail qui se situent dans une dynamique d’insertion professionnelle ou de demande de stages.
    • Aux demandeurs d’emploi ou toute personne intéressée par une carrière dans le secteur public.
    Les objectifs pour les participants :
    • mieux connaître les différentes fonctions publiques présentes sur le territoire (Etat, Pays, Communes) et les métiers du secteur public ;
    • connaître les perspectives d’emploi, les différents modes de recrutement des administrations et les qualifications requises ;
    • s’entraîner à passer un oral de concours en condition réelle, face à un jury de professionnels ;
    • rencontrer en un seul lieu tous les professionnels, potentiellement recruteurs, pour des emplois ainsi que pour des stages.