Annuaire des structures de la Direction de la santé
Coopération active entre le centre communal de secours des sapeurs-pompiers et le centre médical de RANGIROA

Suite au recrutement d’une dizaine de sapeurs-pompiers volontaires par la commune de RANGIROA au 3ième trimestre 2021, le subdivisionnaire de la santé des TG (Dr François LAUDON) a proposé un soutien technique à cette antenne.
Des entrainements en commun entre les sapeurs-pompiers, l’association des secouristes et les soignants seront planifiés un jour par mois. La première rencontre s’est tenu ce vendredi 22 octobre 2021.
Toute l’équipe médicale d’AVATORU composée de Dr Yves LABAR, des 3 infirmiers (Stéphane MELLADO, Antony POLUTELE, Anne-Marie GONCALVES), l’ASP Roger NATUA, la secrétaire médicale Katsumi MAURI a donc échangé leurs expériences sanitaires et leur savoir-faire avec ces forces vives communaux de secours.
La Direction de la Santé soutient une telle initiative de partenariat communal.
NOS ACTUALITÉS
SUIVEZ-NOUS
Coopération active entre le centre communal de secours des sapeurs-pompiers et le centre médical de RANGIROA

Suite au recrutement d’une dizaine de sapeurs-pompiers volontaires par la commune de RANGIROA au 3ième trimestre 2021, le subdivisionnaire de la santé des TG (Dr François LAUDON) a proposé un soutien technique à cette antenne.
Des entrainements en commun entre les sapeurs-pompiers, l’association des secouristes et les soignants seront planifiés un jour par mois. La première rencontre s’est tenu ce vendredi 22 octobre 2021.
Toute l’équipe médicale d’AVATORU composée de Dr Yves LABAR, des 3 infirmiers (Stéphane MELLADO, Antony POLUTELE, Anne-Marie GONCALVES), l’ASP Roger NATUA, la secrétaire médicale Katsumi MAURI a donc échangé leurs expériences sanitaires et leur savoir-faire avec ces forces vives communaux de secours.
La Direction de la Santé soutient une telle initiative de partenariat communal.
NOS ACTUALITÉS
SUIVEZ-NOUS
Formation des ambassadeurs de la POD à Huahine

Lundi 18 octobre 2021, 25 ambassadeurs POD ont été formés à la distribution de médicaments contre la filariose sur l’île de Huahine. Cette formation est la première étape à la mobilisation communautaire nécessaire à la lutte contre la filariose, cette première session a été mené avec succès grâce à la mobilisation de tous.
En effet, cette mobilisation communautaire s’inscrit dans une démarche de soins de santé primaire, elle s’illustre par la diversité de partenariat entre la commune représentée par Tania TEREMATE 1ère adjointe au maire, la direction de la santé représentée par Sylvana TIATOA responsable de la cellule de promotion de la santé des îles sous le vent, Heimoana DEGAGE infirmière référent de la POD du centre médical de Huahine, Pauline NIVA chargée de communication et Bella SAM, infirmière chargée du programme de lutte contre la Filariose lymphatique du Bureau des programmes de santé.
Par ailleurs la mise à disposition gratuite de kits téléphoniques et de goodies par VINI-OPT a renforcé la motivation des ambassadeurs de la POD.
NOS ACTUALITÉS
SUIVEZ-NOUS
Formation des ambassadeurs de la POD à Huahine

Lundi 18 octobre 2021, 25 ambassadeurs POD ont été formés à la distribution de médicaments contre la filariose sur l’île de Huahine. Cette formation est la première étape à la mobilisation communautaire nécessaire à la lutte contre la filariose, cette première session a été mené avec succès grâce à la mobilisation de tous.
En effet, cette mobilisation communautaire s’inscrit dans une démarche de soins de santé primaire, elle s’illustre par la diversité de partenariat entre la commune représentée par Tania TEREMATE 1ère adjointe au maire, la direction de la santé représentée par Sylvana TIATOA responsable de la cellule de promotion de la santé des îles sous le vent, Heimoana DEGAGE infirmière référent de la POD du centre médical de Huahine, Pauline NIVA chargée de communication et Bella SAM, infirmière chargée du programme de lutte contre la Filariose lymphatique du Bureau des programmes de santé.
Par ailleurs la mise à disposition gratuite de kits téléphoniques et de goodies par VINI-OPT a renforcé la motivation des ambassadeurs de la POD.
NOS ACTUALITÉS
SUIVEZ-NOUS
Première journée des tables rondes sur la transition alimentaire
Les premières tables rondes sur la #transitionalimentaire en Polynésie française ont commencé le 14 octobre 2021 organisée par la Direction de la Santé, Direction de l’agriculture et la Direction des Ressources marines en partenariat avec le programme PROTEGE financé par l’Union européenne. L’objectif est d’adopter courant 2022 un plan stratégique, opérationnel et concerté sur 10 ans, fixant les actions à engager pour opérer cette nécessaire transition.
Ce diagnostic analyse le système alimentaire polynésien selon 4 axes :
la sécurité alimentaire et nutritionnelle,
la durabilité environnementale,
la durabilité économique et
la gouvernance alimentaire.
L’impact humain de la pandémie de la #Covid19 en Polynésie française a mis en évidence le mauvais état de santé général des polynésiens dont l’une des causes est la mauvaise alimentation.Avec la participation :Présidence de la Polynésie françaiseDirection de l’Agriculture de Polynésie françaiseDirection des ressources marines de la Polynésie françaiseDirection de la santé de la Polynésie françaiseEuropean Union in the Pacific
Crédit photo : Gouvernement de la Polynésie françaiseNOS ACTUALITÉS
SUIVEZ-NOUS
Première journée des tables rondes sur la transition alimentaire
Les premières tables rondes sur la #transitionalimentaire en Polynésie française ont commencé le 14 octobre 2021 organisée par la Direction de la Santé, Direction de l’agriculture et la Direction des Ressources marines en partenariat avec le programme PROTEGE financé par l’Union européenne. L’objectif est d’adopter courant 2022 un plan stratégique, opérationnel et concerté sur 10 ans, fixant les actions à engager pour opérer cette nécessaire transition.
Ce diagnostic analyse le système alimentaire polynésien selon 4 axes :
la sécurité alimentaire et nutritionnelle,
la durabilité environnementale,
la durabilité économique et
la gouvernance alimentaire.
L’impact humain de la pandémie de la #Covid19 en Polynésie française a mis en évidence le mauvais état de santé général des polynésiens dont l’une des causes est la mauvaise alimentation.Avec la participation :
Présidence de la Polynésie françaiseDirection de l’Agriculture de Polynésie françaiseDirection des ressources marines de la Polynésie françaiseDirection de la santé de la Polynésie françaiseEuropean Union in the Pacific
Crédit photo : Gouvernement de la Polynésie françaiseNOS ACTUALITÉS
SUIVEZ-NOUS
Ouverture des tables rondes sur la transition alimentaire en Polynésie française
Crédit photo : Présidence de la Polynésie françaiseLa Direction de la santé, la Direction de l’agriculture et la Direction des ressources marines ont organisé ce jeudi 14 octobre, en partenariat avec la Communauté du Pacifique (CPS), la première table ronde sur la transition alimentaire de la Polynésie française.
Le Président de la Polynésie française, Edouard Fritch, en compagnie notamment du Vice-président et ministre de l’Agriculture, Tearii Te Moana Alpha et du ministre de la Santé, Jacques Raynal a ouvert cette première rencontre durant laquelle environ 70 acteurs se sont portés volontaires pour travailler sur les questions de durabilité du système alimentaire en Polynésie française : institutions, services administratifs, acteurs économique, consommateurs, confessions religieuses, milieu associatif, etc.
Cette table ronde s’inscrit dans la volonté du Pays de positionner la transition alimentaire comme un axe fondamental des politiques publiques, l’objectif étant l’adoption courant 2022 d’un plan stratégique, opérationnel et concerté sur 10 ans, fixant les actions à engager pour permettre l’accès pour tous à une alimentation durable, saine et accessible. L’impact humain de la pandémie de la Covid-19 en Polynésie française a en effet mis en évidence le mauvais état de santé général des polynésiens dont l’une des causes est la mauvaise alimentation.
Ce premier rendez-vous avait pour ambition le partage et l’appropriation, par tous les acteurs concernés, du diagnostic du système alimentaire de Polynésie française, réalisé dans le cadre du programme PROTEGE (porté par la CPS et financé par l’Union Européenne). Ce diagnostic analyse le système alimentaire polynésien au travers de 4 axes : la sécurité alimentaire et nutritionnelle, la durabilité environnementale, la durabilité économique et la gouvernance alimentaire. Il permet également de mettre en lumière, pour chaque axe, l’existence d’initiatives locales porteuses de changement.
Animé par une équipe de facilitateurs de la DMRA (Direction de la modernisation et des réformes de l’administration), et accompagné d’experts du domaine de l’alimentation, l’évènement doit également permettre l’appropriation des principaux schémas directeurs et stratégies sectoriels existants, afin que la co-construction du plan de transition alimentaire de Polynésie française s’élabore sur la base d’un constat éclairé et partagé par tous. Dans cette perspective, la seconde partie des tables rondes aura lieu le 9 novembre 2021 afin de poursuivre la dynamique initiée.
Nous souhaitons mobiliser les acteurs, dans un second temps qui aura lieu en Novembre 2021, afin de rentrer dans le vif du sujet, en s’appuyant sur leur expertise pour dessiner les contours d’un plan d’action stratégique pour la transition alimentaire.
NOS ACTUALITÉS
SUIVEZ-NOUS
Ouverture des tables rondes sur la transition alimentaire en Polynésie française
Crédit photo : Présidence de la Polynésie françaiseLa Direction de la santé, la Direction de l’agriculture et la Direction des ressources marines ont organisé ce jeudi 14 octobre, en partenariat avec la Communauté du Pacifique (CPS), la première table ronde sur la transition alimentaire de la Polynésie française.
Le Président de la Polynésie française, Edouard Fritch, en compagnie notamment du Vice-président et ministre de l’Agriculture, Tearii Te Moana Alpha et du ministre de la Santé, Jacques Raynal a ouvert cette première rencontre durant laquelle environ 70 acteurs se sont portés volontaires pour travailler sur les questions de durabilité du système alimentaire en Polynésie française : institutions, services administratifs, acteurs économique, consommateurs, confessions religieuses, milieu associatif, etc.
Cette table ronde s’inscrit dans la volonté du Pays de positionner la transition alimentaire comme un axe fondamental des politiques publiques, l’objectif étant l’adoption courant 2022 d’un plan stratégique, opérationnel et concerté sur 10 ans, fixant les actions à engager pour permettre l’accès pour tous à une alimentation durable, saine et accessible. L’impact humain de la pandémie de la Covid-19 en Polynésie française a en effet mis en évidence le mauvais état de santé général des polynésiens dont l’une des causes est la mauvaise alimentation.
Ce premier rendez-vous avait pour ambition le partage et l’appropriation, par tous les acteurs concernés, du diagnostic du système alimentaire de Polynésie française, réalisé dans le cadre du programme PROTEGE (porté par la CPS et financé par l’Union Européenne). Ce diagnostic analyse le système alimentaire polynésien au travers de 4 axes : la sécurité alimentaire et nutritionnelle, la durabilité environnementale, la durabilité économique et la gouvernance alimentaire. Il permet également de mettre en lumière, pour chaque axe, l’existence d’initiatives locales porteuses de changement.
Animé par une équipe de facilitateurs de la DMRA (Direction de la modernisation et des réformes de l’administration), et accompagné d’experts du domaine de l’alimentation, l’évènement doit également permettre l’appropriation des principaux schémas directeurs et stratégies sectoriels existants, afin que la co-construction du plan de transition alimentaire de Polynésie française s’élabore sur la base d’un constat éclairé et partagé par tous. Dans cette perspective, la seconde partie des tables rondes aura lieu le 9 novembre 2021 afin de poursuivre la dynamique initiée.
Nous souhaitons mobiliser les acteurs, dans un second temps qui aura lieu en Novembre 2021, afin de rentrer dans le vif du sujet, en s’appuyant sur leur expertise pour dessiner les contours d’un plan d’action stratégique pour la transition alimentaire.
NOS ACTUALITÉS
SUIVEZ-NOUS
eCovid-Pf : l’impact de la COVID-19 sur les habitudes de la population

La Direction de la santé lance une nouvelle enquête confidentielle et anonyme sur l’impact de l’épidémie de la COVID-19 sur les habitudes de vie des polynésiens. Elle s’adresse aux personnes âgées de 18 ans ou plus, résidant actuellement en Polynésie française.
L’objectif de cette enquête est d’identifier et d’évaluer l’impact de l’épidémie de la Covid-19 sur les habitudes de vie de la population de la Polynésie française.
Cette enquête est réalisée sur le site internet de la Direction de la santé au moyen d’un questionnaire regroupant des informations sur tes caractéristiques, tes habitudes de vie et de consommation et ta santé. Les données recueillies seront traitées exclusivement à des fins statistiques, sur la base de ton consentement.
Toute personne est libre de participer ou non à cette enquête. Les réponses seront traitées de manière anonyme par la Direction de la santé et conservées de manière sécurisée, dans le respect de la législation informatique et libertés. Vos informations sont strictement réservées à cette enquête de la Direction de la santé et ne seront communiquées à aucun autre organisme.
Comme pour les enquêtes précédentes, les résultats de cette enquête feront l’objet d’un rapport consultable librement sur le site internet de la Direction de la santé.
NOS ACTUALITÉS
SUIVEZ-NOUS
eCovid-Pf : l’impact de la COVID-19 sur les habitudes de la population

La Direction de la santé lance une nouvelle enquête confidentielle et anonyme sur l’impact de l’épidémie de la COVID-19 sur les habitudes de vie des polynésiens. Elle s’adresse aux personnes âgées de 18 ans ou plus, résidant actuellement en Polynésie française.
L’objectif de cette enquête est d’identifier et d’évaluer l’impact de l’épidémie de la Covid-19 sur les habitudes de vie de la population de la Polynésie française.
Cette enquête est réalisée sur le site internet de la Direction de la santé au moyen d’un questionnaire regroupant des informations sur tes caractéristiques, tes habitudes de vie et de consommation et ta santé. Les données recueillies seront traitées exclusivement à des fins statistiques, sur la base de ton consentement.
Toute personne est libre de participer ou non à cette enquête. Les réponses seront traitées de manière anonyme par la Direction de la santé et conservées de manière sécurisée, dans le respect de la législation informatique et libertés. Vos informations sont strictement réservées à cette enquête de la Direction de la santé et ne seront communiquées à aucun autre organisme.
Comme pour les enquêtes précédentes, les résultats de cette enquête feront l’objet d’un rapport consultable librement sur le site internet de la Direction de la santé.
NOS ACTUALITÉS
SUIVEZ-NOUS
Campagne de vaccination à Katiu, Raroia, Hikueru, Tatakoto, Fangatau, Fakahina et Puka Puka
Durant les 4 jours de ce wee-end, du samedi 9 au mardi 12 octobre, l’équipe vaccinale du Dispensaire des Tuamotu-Gambier menée par le subdivisionnaire de santé, docteur François LAUDON a parcouru 7 atolls ayant un aérodrome (Katiu, Raroia, Hikueru, Tatakoto, Fangatau, Fakahina, Puka Puka). Les habitants de 2 atolls sans aérodrome (Takume, Marokau) ont rejoint l’atoll voisin par Kau pour être vaccinés, Takume vers Raroia et Marokau vers Hikueru.
Une grosse affluence dans ces vaccinodromes archipélagiques éphémères avec un taux vaccinal record de 98 % à Puka Puka.
Premier atoll touché par l’aéronef d’Air Tetiaroa à Katiu, 29 volontaires ont été vaccinés au JANSSEN et 15 au vaccin PFIZER donnant un taux vaccinal à 72%. Sur l’île de Raroia, 22 JANSSEN et 37 PFIZER ont été injectés d’où un taux vaccinal global égal à 70%. À Hikueru la participation a été importante avec 24 vaccins JANSSEN et 39 au PFIZER pour un taux vaccinal de 71%. À noter que 15 résidents de Marokau sont venus à Hikueru après 2h de traversée par KAU pour se faire vacciner.
Bien qu’à la première campagne vaccinale en juin dernier où 53 avaient été vaccinés à Tatakoto, une quarantaine de résidents sont venus ce dimanche (22 au JANSSEN et 37 au PFIZER) montant le taux vaccinal à 55 %.
Sur les 2 atolls de la commune de Fangatau, la population a choisi de préférence le PFIZER, à Fakahina, 4 volontaires au JANSSEN et 23 au PFIZER et à Fangatau 3 au JANSSEN et 33 au PFIZER. Les taux vaccinaux ont été satisfaisants soit 73% à Fakahina et 89% à Fangatau.
Puka Puka, dernier atoll approché par l’équipe vaccinale du DTG a enregistré le meilleur taux vaccinal des Tuamotu-Gambier. 12 au JANSSEN et 59 au PFIZER ce lundi additionné aux 85 volontaires de la première campagne de juin dernier donne un taux record à 98% .
Les auxiliaires de santé de ces 7 atolls ont été formés par les 4 infirmières de TAHITI sur la prise en charge vaccinale complète. Noémie OPUHI (Katiu), Christophe RAVEINO (Raroia), Viviane PAOFAI (Hikueru), Mélissa TARDAT (Tatakoto), Irène PERRY (Fangatau), Louise HAREHOE (Fakahina), Verina PAPA (Puka Puka) ont validé les différentes étapes vaccinales (préparation des seringues avec dilution, vérification du questionnaire vaccinale, injection intramusculaire, surveillance post vaccinale avec installation de l’obus d’o² ainsi que la seringue antiallergique). Les rappels vaccinaux 6 semaines après la première injection seront effectués par ces auxiliaires de santé sous supervision à distance par les infirmières du Dispensaire des Tuamotu-Gambier.
Vaccination à Katiu
Vaccination à Raroia
Vaccination à Hikueru
Vaccination à Tatakoto
Vaccination à Fangatau
Vaccination à Fakahina
Vaccination à Puka Puka
NOS ACTUALITÉS
SUIVEZ-NOUS
Campagne de vaccination à Katiu, Raroia, Hikueru, Tatakoto, Fangatau, Fakahina et Puka Puka
Durant les 4 jours de ce wee-end, du samedi 9 au mardi 12 octobre, l’équipe vaccinale du Dispensaire des Tuamotu-Gambier menée par le subdivisionnaire de santé, docteur François LAUDON a parcouru 7 atolls ayant un aérodrome (Katiu, Raroia, Hikueru, Tatakoto, Fangatau, Fakahina, Puka Puka). Les habitants de 2 atolls sans aérodrome (Takume, Marokau) ont rejoint l’atoll voisin par Kau pour être vaccinés, Takume vers Raroia et Marokau vers Hikueru.
Une grosse affluence dans ces vaccinodromes archipélagiques éphémères avec un taux vaccinal record de 98 % à Puka Puka.
Premier atoll touché par l’aéronef d’Air Tetiaroa à Katiu, 29 volontaires ont été vaccinés au JANSSEN et 15 au vaccin PFIZER donnant un taux vaccinal à 72%. Sur l’île de Raroia, 22 JANSSEN et 37 PFIZER ont été injectés d’où un taux vaccinal global égal à 70%. À Hikueru la participation a été importante avec 24 vaccins JANSSEN et 39 au PFIZER pour un taux vaccinal de 71%. À noter que 15 résidents de Marokau sont venus à Hikueru après 2h de traversée par KAU pour se faire vacciner.
Bien qu’à la première campagne vaccinale en juin dernier où 53 avaient été vaccinés à Tatakoto, une quarantaine de résidents sont venus ce dimanche (22 au JANSSEN et 37 au PFIZER) montant le taux vaccinal à 55 %.
Sur les 2 atolls de la commune de Fangatau, la population a choisi de préférence le PFIZER, à Fakahina, 4 volontaires au JANSSEN et 23 au PFIZER et à Fangatau 3 au JANSSEN et 33 au PFIZER. Les taux vaccinaux ont été satisfaisants soit 73% à Fakahina et 89% à Fangatau.
Puka Puka, dernier atoll approché par l’équipe vaccinale du DTG a enregistré le meilleur taux vaccinal des Tuamotu-Gambier. 12 au JANSSEN et 59 au PFIZER ce lundi additionné aux 85 volontaires de la première campagne de juin dernier donne un taux record à 98% .
Les auxiliaires de santé de ces 7 atolls ont été formés par les 4 infirmières de TAHITI sur la prise en charge vaccinale complète. Noémie OPUHI (Katiu), Christophe RAVEINO (Raroia), Viviane PAOFAI (Hikueru), Mélissa TARDAT (Tatakoto), Irène PERRY (Fangatau), Louise HAREHOE (Fakahina), Verina PAPA (Puka Puka) ont validé les différentes étapes vaccinales (préparation des seringues avec dilution, vérification du questionnaire vaccinale, injection intramusculaire, surveillance post vaccinale avec installation de l’obus d’o² ainsi que la seringue antiallergique). Les rappels vaccinaux 6 semaines après la première injection seront effectués par ces auxiliaires de santé sous supervision à distance par les infirmières du Dispensaire des Tuamotu-Gambier.
Vaccination à Katiu
Vaccination à Raroia
Vaccination à Hikueru
Vaccination à Tatakoto
Vaccination à Fangatau
Vaccination à Fakahina
Vaccination à Puka Puka
NOS ACTUALITÉS
SUIVEZ-NOUS
Semaine mondiale de l’allaitement maternel 2021

La Semaine Mondiale de l’Allaitement Maternel (SMAM) est célébrée tous les ans dans le monde, pour encourager les femmes à allaiter leur bébé. Cette année la SMAM aura lieu du 11 au 17 octobre avec pour thème mondial : « Protéger l’allaitement : une responsabilité partagée »
L’allaitement s’inscrit dans la continuité de la grossesse et de l’accouchement. Il constitue la meilleure alimentation pour les nouveaux-nés et ceci dès les premières minutes qui suivent la naissance. Il contient tous les nutriments dont le nourrisson a besoin pendant les six premiers mois de vie et il le protège contre les maladies infectieuses. Il présente également des bienfaits à plus long terme, en réduisant la prévalence de l’obésité et du diabète qui sont des problématiques majeures de santé publique.
Bien qu’instinctif, l’allaitement demande à être protégé par tous ceux et celles qui entourent la mère allaitante pour qu’elle puisse répondre sereinement à son instinct.
Une mère qui allaite peut être influencée positivement ou négativement par :
- son tane qui peut s’associer ou pas à la démarche de l’allaitement maternel.
- sa mère, sa grand mère, sa belle-mère, une parente ou une amie proches, qui vont transposer leur propre expérience (positive ou négative) et encourager parfois des pratiques inadaptées.
- l’équipe de la maternité car la qualité de l’ accompagnement au démarrage de l’allaitement est essentielle.
- l’équipe de l’hôpital, si son enfant est hospitalisé, qui s’emploiera ou pas , à poursuivre l’allaitement malgré l’hospitalisation.
- les politiques en vigueur qui favorisent un temps suffisant pour initier et poursuivre l’allaitement, considérant que c’est un bénéfice de santé publique.
- son employeur qui respecte la législation et lui donne les moyens de poursuivre l’allaitement après la reprise du travail.
- les pédiatres, les PMI, les médecins de ville, les consultantes en lactation, les sages-femmes et les pharmaciens qui sont un recours précieux de proximité.
- les réseaux sociaux capables du pire et du meilleur comme la page « allaitement en Polynésie » que nous recommandons.
Le Ministère et la Direction de la santé, conformément aux recommandations de l’Organisation Mondiale de la Santé, incitent les futures mères à choisir l’allaitement maternel et encouragent toutes les mamans allaitantes à poursuivre de façon exclusive jusqu’à 6 mois l’allaitement au sein de leur enfant.
Allaitement et COVID-19
Il est important d’encourager l’allaitement maternel même pendant la pandémie.
Le lait maternel fournit à tous les bébés des anticorps qui leur permettent d’être en bonne santé et les aident à se protéger contre de nombreuses infections. Les anticorps et les facteurs bioactifs présents dans le lait maternel peuvent donc les aider à combattre l’infection à la COVID-19 en cas d’exposition au virus.
À ce jour, aucune transmission de virus actif (pouvant provoquer une infection) par le lait maternel et l’allaitement n’a été observée.
Si la maman est malade : Une femme allaitante infectée ou soupçonnée d’être infectée par la COVID-19 doit continuer d’allaiter en prenant les mesures de précaution nécessaires : porter un masque pendant la tétée, se laver les mains à l’eau et au savon ou avec une solution hydroalcoolique avant et après chaque contact avec bébé, nettoyer et désinfecter systématiquement les surfaces touchées. Il n’est pas nécessaire de se laver les seins avant chaque tétée (sauf si contamination directe de la surface cutanée des seins par expectoration).
Si la femme allaitante contaminée est trop fatiguée pour donner le sein, il est possible de tirer son lait et de le donner à l’enfant à l’aide d’un gobelet ou d’une cuillère. Le fait de tirer le lait permettra à la maman de continuer de produire du lait maternel et de reprendre l’allaitement dès qu’elle se sentira mieux. Il n’y a aucune période d’interruption à respecter avant de reprendre l’allaitement après avoir été infectée ou soupçonnée d’être infectée par la COVID-19.
Si l’enfant est malade : Il est essentiel de poursuivre l’allaitement de l’enfant s’il tombe malade, que ce soit la COVID-19 ou une autre maladie. Le lait maternel renforce son système immunitaire et lui transmet les anticorps de la mère, ce qui l’aide à combattre les infections.
NOS ACTUALITÉS
SUIVEZ-NOUS
Semaine mondiale de l’allaitement maternel 2021

La Semaine Mondiale de l’Allaitement Maternel (SMAM) est célébrée tous les ans dans le monde, pour encourager les femmes à allaiter leur bébé. Cette année la SMAM aura lieu du 11 au 17 octobre avec pour thème mondial : « Protéger l’allaitement : une responsabilité partagée »
L’allaitement s’inscrit dans la continuité de la grossesse et de l’accouchement. Il constitue la meilleure alimentation pour les nouveaux-nés et ceci dès les premières minutes qui suivent la naissance. Il contient tous les nutriments dont le nourrisson a besoin pendant les six premiers mois de vie et il le protège contre les maladies infectieuses. Il présente également des bienfaits à plus long terme, en réduisant la prévalence de l’obésité et du diabète qui sont des problématiques majeures de santé publique.
Bien qu’instinctif, l’allaitement demande à être protégé par tous ceux et celles qui entourent la mère allaitante pour qu’elle puisse répondre sereinement à son instinct.
Une mère qui allaite peut être influencée positivement ou négativement par :
- son tane qui peut s’associer ou pas à la démarche de l’allaitement maternel
- sa mère , sa grand mère , sa belle-mère, une parente ou une amie proches, qui vont transposer leur propre expérience( positive ou négative) et encourager parfois des pratiques inadaptées.
- l’équipe de la maternité car la qualité de l’ accompagnement au démarrage de l’allaitement est essentielle
- l’équipe de l’hôpital, si son enfant est hospitalisé, qui s’emploiera ou pas , à poursuivre l’allaitement malgré l’hospitalisation
- les politiques en vigueur qui favorisent un temps suffisant pour initier et poursuivre l’allaitement, considérant que c’est un bénéfice de santé publique
- son employeur qui respecte la législation et lui donne les moyens de poursuivre l’allaitement après la reprise du travail
- les pédiatres, les PMI, les médecins de ville, les consultantes en lactation, les sages-femmes et les pharmaciens qui sont un recours précieux de proximité
- les réseaux sociaux capables du pire et du meilleur comme la page « allaitement en Polynésie » que nous recommandons
Le Ministère et la Direction de la santé, conformément aux recommandations de l’Organisation Mondiale de la Santé, incitent les futures mères à choisir l’allaitement maternel et encouragent toutes les mamans allaitantes à poursuivre de façon exclusive jusqu’à 6 mois l’allaitement au sein de leur enfant.
Allaitement et COVID-19
Il est important d’encourager l’allaitement maternel même pendant la pandémie.
Le lait maternel fournit à tous les bébés des anticorps qui leur permettent d’être en bonne santé et les aident à se protéger contre de nombreuses infections. Les anticorps et les facteurs bioactifs présents dans le lait maternel peuvent donc les aider à combattre l’infection à la COVID-19 en cas d’exposition au virus.
À ce jour, aucune transmission de virus actif (pouvant provoquer une infection) par le lait maternel et l’allaitement n’a été observée.
Si la maman est malade : Une femme allaitante infectée ou soupçonnée d’être infectée par la COVID-19 doit continuer d’allaiter en prenant les mesures de précaution nécessaires : porter un masque pendant la tétée, se laver les mains à l’eau et au savon ou avec une solution hydroalcoolique avant et après chaque contact avec bébé, nettoyer et désinfecter systématiquement les surfaces touchées. Il n’est pas nécessaire de se laver les seins avant chaque tétée (sauf si contamination directe de la surface cutanée des seins par expectoration).
Si la femme allaitante contaminée est trop fatiguée pour donner le sein, il est possible de tirer son lait et de le donner à l’enfant à l’aide d’un gobelet ou d’une cuillère. Le fait de tirer le lait permettra à la maman de continuer de produire du lait maternel et de reprendre l’allaitement dès qu’elle se sentira mieux. Il n’y a aucune période d’interruption à respecter avant de reprendre l’allaitement après avoir été infectée ou soupçonnée d’être infectée par la COVID-19.
Si l’enfant est malade : Il est essentiel de poursuivre l’allaitement de l’enfant s’il tombe malade, que ce soit la COVID-19 ou une autre maladie. Le lait maternel renforce son système immunitaire et lui transmet les anticorps de la mère, ce qui l’aide à combattre les infections.
NOS ACTUALITÉS
SUIVEZ-NOUS
2ème campagne vaccinale aux Tuamotu-Gambier : un taux vaccinal en nette augmentation
Dans le cadre de la 2ème campagne vaccinale aux Tuamotu-Gambier, les agents de la Direction de la santé sont retournés sur 17 atolls de l’archipel à bord du Twin Otter de la compagnie « Air Tetiaroa ». Les auxiliaires de santé présents sur chaque site ont bénéficié d’une formation à la vaccination afin de les préparer aux prochaines campagnes.
Suite au succès de la 1ère campagne vaccinale aux Tuamotu-Gambier organisée du 20 mai au 17 juin 2021 grâce au soutien des moyens maritimes et aériens des FAPF, les communes de l’archipel ont fait appel à la Direction de la santé pour renouveler l’opération. Pour rappel, cette 1ère tournée avait permis d’engager la vaccination sur 26 atolls et d’atteindre des taux de vaccination COVID-19 satisfaisants sur plusieurs îles : Tematangi (79%), Pukarua (80%), Puka Puka (80%) et Tepoto Nord (82%).
La 2ème campagne de vaccination a donc été déployée à partir du 23 septembre, menée par le subdivisionnaire de santé, François Laudon, 2 infirmières et 1 adjointe de soin. Ils ont sillonné 17 atolls disposant tous d’un aérodrome à bord du Twin Otter de la compagnie « Air Tetiaroa ». Le vaccin utilisé était principalement le Janssen, sauf pour les cas particuliers comme les femmes enceintes, les adolescents ou les rappels vaccinaux des personnes de plus de 65 ans, qui ont été vaccinées avec le Pfizer.
La 1ère mission a eu lieu du 23 au 25 septembre sur 3 atolls, l’équipe vaccinale du DTG s’est déplacée d’abord sur Vahitahi, augmentant considérablement le taux de vaccination de 4% à 65 %. Le retour sur Tureia a permis d’atteindre 59% et sur Pukurua qui est composé de 128 habitants, un taux vaccinal « record » a été atteint de 96%.
La 2ème mission s’est déroulée sur 2 jours du 1er au 2 octobre comptabilisant 4 atolls. La population de Niau a enregistré un taux global de vaccination de 61%. Celui de l’atoll de Kauehi est passé de 35% à 60%. À noter que 5 habitants de Raraka, l’atoll voisin, se sont déplacés par bateau vers Kauehi augmentant le taux vaccinal de Raraka à 69%. Sur Aratika, le taux vaccinal est monté à 55% et enfin, celui de l’atoll de Mataiva est passé de 31% à 58%.
Pour la 3ème mission du 9 au 12 octobre, l’équipe vaccinale du DTG a parcouru 7 atolls. Les habitants de 2 atolls sans aérodrome (Takume, Marokau) ont pu rejoindre l’atoll voisin par Kau pour se faire vacciner. L’île de PukuPuka a enregistré le meilleur taux de vaccination des Tuamotu-Gambier atteignant 98%. Le déplacement sur Katiu, a permis d’atteindre un taux vaccinal à 72 % et sur Raroia, le taux vaccinal global a atteint 70%. Sur Hikueru, la participation a été importante avec un taux vaccinal de 71%. Tatakoto a pu augmenter son taux vaccinal à 55 %. Enfin, les taux vaccinaux ont augmenté à 73% sur Fakahina et 89% sur Fangatau.
En moyenne, le taux vaccinal global des îles concernées par cette campagne a atteint les 72 % . On constate que cette 2ème tournée a permis une augmentation significative du taux vaccinal de chaque atoll.
Autre objectif, durant cette 2ème campagne, les agents de la Direction ont profité de ce déplacement pour former les auxiliaires de santé présents à réaliser l’examen, préparer les doses, injecter le vaccin et surveiller les personnes vaccinées. Les auxiliaires de santé de 7 atolls ont été formés par les 4 infirmières de Tahiti. Dans cette optique, ils seront prêts pour une prochaine campagne de vaccination.
La Direction de la santé remercie tous les acteurs communaux, associatifs et les agents de santé de proximité, pour leur mobilisation lors de cette campagne de vaccination.
Vaccination à Tureia
Vaccination à Pukarua
Vaccination à Vahitahi
Vaccination à Nukutavake
Vaccination à Niau
Vaccination à Kauehi
Vaccination à Aratika
Vaccination à Mataiva
Vaccination à Katiu
Vaccination à Raroia
Vaccination à Hikueru
Vaccination à Tatakoto
Vaccination à Fangatau
Vaccination à Fakahina
Vaccination à Puka Puka
NOS ACTUALITÉS
SUIVEZ-NOUS
2ème campagne vaccinale aux Tuamotu-Gambier : un taux vaccinal en nette augmentation
Dans le cadre de la 2ème campagne vaccinale aux Tuamotu-Gambier, les agents de la Direction de la santé sont retournés sur 17 atolls de l’archipel à bord du Twin Otter de la compagnie « Air Tetiaroa ». Les auxiliaires de santé présents sur chaque site ont bénéficié d’une formation à la vaccination afin de les préparer aux prochaines campagnes.
Suite au succès de la 1ère campagne vaccinale aux Tuamotu-Gambier organisée du 20 mai au 17 juin 2021 grâce au soutien des moyens maritimes et aériens des FAPF, les communes de l’archipel ont fait appel à la Direction de la santé pour renouveler l’opération. Pour rappel, cette 1ère tournée avait permis d’engager la vaccination sur 26 atolls et d’atteindre des taux de vaccination COVID-19 satisfaisants sur plusieurs îles : Tematangi (79%), Pukarua (80%), Puka Puka (80%) et Tepoto Nord (82%).
La 2ème campagne de vaccination a donc été déployée à partir du 23 septembre, menée par le subdivisionnaire de santé, François Laudon, 2 infirmières et 1 adjointe de soin. Ils ont sillonné 17 atolls disposant tous d’un aérodrome à bord du Twin Otter de la compagnie « Air Tetiaroa ». Le vaccin utilisé était principalement le Janssen, sauf pour les cas particuliers comme les femmes enceintes, les adolescents ou les rappels vaccinaux des personnes de plus de 65 ans, qui ont été vaccinées avec le Pfizer.
La 1ère mission a eu lieu du 23 au 25 septembre sur 3 atolls, l’équipe vaccinale du DTG s’est déplacée d’abord sur Vahitahi, augmentant considérablement le taux de vaccination de 4% à 65 %. Le retour sur Tureia a permis d’atteindre 59% et sur Pukurua qui est composé de 128 habitants, un taux vaccinal « record » a été atteint de 96%.
La 2ème mission s’est déroulée sur 2 jours du 1er au 2 octobre comptabilisant 4 atolls. La population de Niau a enregistré un taux global de vaccination de 61%. Celui de l’atoll de Kauehi est passé de 35% à 60%. À noter que 5 habitants de Raraka, l’atoll voisin, se sont déplacés par bateau vers Kauehi augmentant le taux vaccinal de Raraka à 69%. Sur Aratika, le taux vaccinal est monté à 55% et enfin, celui de l’atoll de Mataiva est passé de 31% à 58%.
Pour la 3ème mission du 9 au 12 octobre, l’équipe vaccinale du DTG a parcouru 7 atolls. Les habitants de 2 atolls sans aérodrome (Takume, Marokau) ont pu rejoindre l’atoll voisin par Kau pour se faire vacciner. L’île de PukuPuka a enregistré le meilleur taux de vaccination des Tuamotu-Gambier atteignant 98%. Le déplacement sur Katiu, a permis d’atteindre un taux vaccinal à 72 % et sur Raroia, le taux vaccinal global a atteint 70%. Sur Hikueru, la participation a été importante avec un taux vaccinal de 71%. Tatakoto a pu augmenter son taux vaccinal à 55 %. Enfin, les taux vaccinaux ont augmenté à 73% sur Fakahina et 89% sur Fangatau.
En moyenne, le taux vaccinal global des îles concernées par cette campagne a atteint les 72 % . On constate que cette 2ème tournée a permis une augmentation significative du taux vaccinal de chaque atoll.
Autre objectif, durant cette 2ème campagne, les agents de la Direction ont profité de ce déplacement pour former les auxiliaires de santé présents à réaliser l’examen, préparer les doses, injecter le vaccin et surveiller les personnes vaccinées. Les auxiliaires de santé de 7 atolls ont été formés par les 4 infirmières de Tahiti. Dans cette optique, ils seront prêts pour une prochaine campagne de vaccination.
La Direction de la santé remercie tous les acteurs communaux, associatifs et les agents de santé de proximité, pour leur mobilisation lors de cette campagne de vaccination.
Vaccination à Tureia
Vaccination à Pukarua
Vaccination à Vahitahi
Vaccination à Nukutavake
Vaccination à Niau
Vaccination à Kauehi
Vaccination à Aratika
Vaccination à Mataiva
Vaccination à Katiu
Vaccination à Raroia
Vaccination à Hikueru
Vaccination à Tatakoto
Vaccination à Fangatau
Vaccination à Fakahina
Vaccination à Puka Puka
NOS ACTUALITÉS
SUIVEZ-NOUS
Journée mondiale de la santé mentale

Célébrons la journée mondiale de la santé mentale ! Chaque année, la journée mondiale de la santé mentale est célébrée le 10 octobre, sous l’égide de l’Organisation Mondiale de la Santé. Cette journée est consacrée à la sensibilisation de tous sur les diverses problématiques que pose le sujet de la santé mentale en population générale.
La santé mentale, c’est quoi ?
Selon l’OMS, la santé mentale est un état de bien-être dans lequel une personne peut se réaliser, surmonter les tensions normales de la vie, accomplir un travail productif et contribuer à la vie de sa communauté. En tant qu’individu, notre état de santé dépend de plusieurs facteurs internes comme : la bonne santé physique, l’hygiène de vie ou l’estime de soi mais aussi de facteurs externes comme : notre environnement de vie, les relations familiales et amicales que nous entretenons ou les politiques publiques du pays dans lequel nous vivons, etc. La santé mentale n’est donc pas qu’une histoire de maladie ! Elle agit au niveau individuel mais englobe également l’individu dans un environnement avec lequel il interagit.
Favoriser une bonne santé mentale en population générale c’est aider le citoyen à entretenir des relations saines, à évoluer dans un environnement de qualité, à lui permettre de prendre part à la vie en communauté et à être reconnu par ses pairs.
En situation exceptionnelle, telle que nous le vivons avec la pandémie liée à la COVID-19, le changement brusque des politiques publiques et l’adoption de mesures restrictives peuvent entrainer un sentiment d’oppression au sein de la population. En tant qu’individu, nous pouvons nous sentir amputés d’une part de nos libertés comme celle de circuler librement, d’entretenir des relations sociales et amicales de qualité, d’exercer une activité professionnelle épanouissante, etc… La perte de repères, ajoutée au stress aigu lié au risque épidémique, a une multitude de conséquences qui vont créer un climat anxiogène au sein de la population. Cette situation peut mener à des débordements, comme observé dans le quartier de La Mission dans la nuit du 25 septembre 2021, durant lequel des riverains s’en seraient pris aux forces de l’ordre après une intervention dans le but de faire respecter le couvre-feu.
Rétablir une santé mentale optimale après la pandémie, est-ce possible ?
Nous l’avons constaté : avec la diminution des cas de contamination liés à la COVID-19, les politiques publiques ont évolué et les mesures restrictives se sont allégées dès que la situation l’a permis. Pour autant, va-t-on bien au sein de la population ?
A la sortie du pic épidémique, de nombreuses pertes humaines sont à déplorer. Les familles en sont ressorties endeuillées, les matahiapo se disent plus isolés, le personnel de première ligne tels que les pompiers, policiers municipaux et gendarmes, ou encore le personnel soignant est épuisé et, pour certains, en état de stress post-traumatique. La crise a laissé sur les individus des séquelles qui peuvent s’avérer durables.
En réponse, le service public a augmenté la création de dispositifs de prise en charge des personnes vulnérables, au plus près du public. Dès le début de la crise, les communes se sont fortement mobilisées pour venir en aide aux familles en situation de précarité par la distribution de denrées alimentaires ou la mise à disposition des bus pour la distribution de supports pédagogiques dans les quartiers prioritaires en période de confinement. Au plus fort de la crise, les cellules d’écoute et lignes d’appels se sont multipliées, créées par les communes, les établissements administratifs tel que le Fare Tama Hau ou encore les services administratifs tels que la Direction des solidarités, de la famille et de l’égalité. De son côté, la Direction de la santé a misé sur un partenariat avec les psychologues de l’Education Nationale et le CHPF en créant un dispositif d’écoute et de prise en charge psychologique d’urgence du personnel de première ligne et de la population générale. Pour sa part, le tissu associatif a maintenu son action d’écoute et de soutien aux personnes vulnérables, notamment par le maintien de ses lignes téléphoniques en pleine période de crise.
C’est aussi un mouvement de solidarité qui a été engendré par la population, pour la population. Des initiatives privées de dons alimentaires et de vêtements ont vu le jour en faveur des familles les plus fragilisées. Des initiatives qui créent du lien et qui font se sentir appartenir à la communauté. A titre d’exemple, nous pouvons mentionner l’élan de solidarité suscité autour des quatre familles victimes d’un incendie dans la commune de Arue le dimanche 26 septembre dernier. Le mouvement de solidarité créé autour de cet événement et médiatisé par la commune témoigne d’une démarche communautaire de soutien des familles sinistrées.
Nous l’aurons compris, notre situation sanitaire est encore fragile. La prise en charge des personnes vulnérables passe avant tout par une action coordonnée des services publics mais aussi et surtout par des initiatives communautaires au sein des populations locales. Faire face ensemble, ensemble dans l’épreuve, c’est la nature du peuple polynésien. Il ne tient qu’à nous de cultiver la solidarité qui fait de nous qui nous sommes en tant que peuple maohi.
Contacts :
Besoin de parler ? De vous confier à un professionnel ? Vous pouvez contacter les numéros d’appel suivants :
- Ligne d’écoute Direction de la santé : 40 46 00 47
- Ligne d’appel SOS Suicide : 40 44 47 67
Besoin de rencontrer un professionnel ? Rapprochez-vous des cellules suivantes :
- Fare Tama Hau : 49 48 80 50 ou au 40 48 80 30
NOS ACTUALITÉS
SUIVEZ-NOUS
Journée mondiale de la santé mentale

Célébrons la journée mondiale de la santé mentale ! Chaque année, la journée mondiale de la santé mentale est célébrée le 10 octobre, sous l’égide de l’Organisation Mondiale de la Santé. Cette journée est consacrée à la sensibilisation de tous sur les diverses problématiques que pose le sujet de la santé mentale en population générale.
La santé mentale, c’est quoi ?
Selon l’OMS, la santé mentale est un état de bien-être dans lequel une personne peut se réaliser, surmonter les tensions normales de la vie, accomplir un travail productif et contribuer à la vie de sa communauté. En tant qu’individu, notre état de santé dépend de plusieurs facteurs internes comme : la bonne santé physique, l’hygiène de vie ou l’estime de soi mais aussi de facteurs externes comme : notre environnement de vie, les relations familiales et amicales que nous entretenons ou les politiques publiques du pays dans lequel nous vivons, etc. La santé mentale n’est donc pas qu’une histoire de maladie ! Elle agit au niveau individuel mais englobe également l’individu dans un environnement avec lequel il interagit.
Favoriser une bonne santé mentale en population générale c’est aider le citoyen à entretenir des relations saines, à évoluer dans un environnement de qualité, à lui permettre de prendre part à la vie en communauté et à être reconnu par ses pairs.
En situation exceptionnelle, telle que nous le vivons avec la pandémie liée à la COVID-19, le changement brusque des politiques publiques et l’adoption de mesures restrictives peuvent entrainer un sentiment d’oppression au sein de la population. En tant qu’individu, nous pouvons nous sentir amputés d’une part de nos libertés comme celle de circuler librement, d’entretenir des relations sociales et amicales de qualité, d’exercer une activité professionnelle épanouissante, etc… La perte de repères, ajoutée au stress aigu lié au risque épidémique, a une multitude de conséquences qui vont créer un climat anxiogène au sein de la population. Cette situation peut mener à des débordements, comme observé dans le quartier de La Mission dans la nuit du 25 septembre 2021, durant lequel des riverains s’en seraient pris aux forces de l’ordre après une intervention dans le but de faire respecter le couvre-feu.
Rétablir une santé mentale optimale après la pandémie, est-ce possible ?
Nous l’avons constaté : avec la diminution des cas de contamination liés à la COVID-19, les politiques publiques ont évolué et les mesures restrictives se sont allégées dès que la situation l’a permis. Pour autant, va-t-on bien au sein de la population ?
A la sortie du pic épidémique, de nombreuses pertes humaines sont à déplorer. Les familles en sont ressorties endeuillées, les matahiapo se disent plus isolés, le personnel de première ligne tels que les pompiers, policiers municipaux et gendarmes, ou encore le personnel soignant est épuisé et, pour certains, en état de stress post-traumatique. La crise a laissé sur les individus des séquelles qui peuvent s’avérer durables.
En réponse, le service public a augmenté la création de dispositifs de prise en charge des personnes vulnérables, au plus près du public. Dès le début de la crise, les communes se sont fortement mobilisées pour venir en aide aux familles en situation de précarité par la distribution de denrées alimentaires ou la mise à disposition des bus pour la distribution de supports pédagogiques dans les quartiers prioritaires en période de confinement. Au plus fort de la crise, les cellules d’écoute et lignes d’appels se sont multipliées, créées par les communes, les établissements administratifs tel que le Fare Tama Hau ou encore les services administratifs tels que la Direction des solidarités, de la famille et de l’égalité. De son côté, la Direction de la santé a misé sur un partenariat avec les psychologues de l’Education Nationale et le CHPF en créant un dispositif d’écoute et de prise en charge psychologique d’urgence du personnel de première ligne et de la population générale. Pour sa part, le tissu associatif a maintenu son action d’écoute et de soutien aux personnes vulnérables, notamment par le maintien de ses lignes téléphoniques en pleine période de crise.
C’est aussi un mouvement de solidarité qui a été engendré par la population, pour la population. Des initiatives privées de dons alimentaires et de vêtements ont vu le jour en faveur des familles les plus fragilisées. Des initiatives qui créent du lien et qui font se sentir appartenir à la communauté. A titre d’exemple, nous pouvons mentionner l’élan de solidarité suscité autour des quatre familles victimes d’un incendie dans la commune de Arue le dimanche 26 septembre dernier. Le mouvement de solidarité créé autour de cet événement et médiatisé par la commune témoigne d’une démarche communautaire de soutien des familles sinistrées.
Nous l’aurons compris, notre situation sanitaire est encore fragile. La prise en charge des personnes vulnérables passe avant tout par une action coordonnée des services publics mais aussi et surtout par des initiatives communautaires au sein des populations locales. Faire face ensemble, ensemble dans l’épreuve, c’est la nature du peuple polynésien. Il ne tient qu’à nous de cultiver la solidarité qui fait de nous qui nous sommes en tant que peuple maohi.
Contacts :
Besoin de parler ? De vous confier à un professionnel ? Vous pouvez contacter les numéros d’appel suivants :
- Ligne d’écoute Direction de la santé : 40 46 00 47
- Ligne d’appel SOS Suicide : 40 44 47 67
Besoin de rencontrer un professionnel ? Rapprochez-vous des cellules suivantes :
- Fare Tama Hau : 49 48 80 50 ou au 40 48 80 30
NOS ACTUALITÉS
SUIVEZ-NOUS
Campagne de vaccination à Niau, Kauehi, Aratika et Mataiva
Une équipe de vaccination contre la covid-19, composée du docteur François Laudon et de quatre infirmières du dispensaire des Tuamotu-Gambier s’est rendue, en fin de semaine dernière, sur 4 atolls de l’archipel des Tuamotu, à Niau, Kauehi, Aratika et Mataiva.
De nombreux volontaires à la vaccination se sont inscrits auprès des autorités communales. Ainsi, à Niau, 25 personnes ont reçu une dose du vaccin Janssen et 15 personnes ont été vaccinées au Pfizer, avec pour résultat un taux global de vaccination de 61% pour la population éligible de plus de 18 ans présente sur l’atoll. Deux personnes grabataires et alitées ont également été vaccinées à domicile.
Sur l’atoll de Kauehi, 22 habitants se sont faits vacciner au Janssen et 19 au Pfizer, soit un taux vaccinal de 60%. En outre, 5 habitants de Raraka, l’atoll voisin, se sont déplacés par bateau vers Kauehi. Le taux vaccinal à Raraka est désormais de 69%.
Sur Aratika, 29 habitants se sont faits vacciner au Janssen et 21 au Pfizer, soit un taux vaccinal de 55%. Enfin, à Mataiva, 32 habitants se sont faits vacciner au Janssen et 21 au Pfizer, soit un taux vaccinal de 58%.
L’équipe vaccinale remercie tous les acteurs communaux, associatifs et les agents de santé de proximité, pour leur mobilisation ayant permis cette opération de vaccination contre la covid-19.
Vaccination à Niau
Vaccination à Kauehi
Vaccination à Aratika
Vaccination à Mataiva
NOS ACTUALITÉS
SUIVEZ-NOUS
Campagne de vaccination à Niau, Kauehi, Aratika et Mataiva
Une équipe de vaccination contre la covid-19, composée du docteur François Laudon et de quatre infirmières du dispensaire des Tuamotu-Gambier s’est rendue, en fin de semaine dernière, sur 4 atolls de l’archipel des Tuamotu, à Niau, Kauehi, Aratika et Mataiva.
De nombreux volontaires à la vaccination se sont inscrits auprès des autorités communales. Ainsi, à Niau, 25 personnes ont reçu une dose du vaccin Janssen et 15 personnes ont été vaccinées au Pfizer, avec pour résultat un taux global de vaccination de 61% pour la population éligible de plus de 18 ans présente sur l’atoll. Deux personnes grabataires et alitées ont également été vaccinées à domicile.
Sur l’atoll de Kauehi, 22 habitants se sont faits vacciner au Janssen et 19 au Pfizer, soit un taux vaccinal de 60%. En outre, 5 habitants de Raraka, l’atoll voisin, se sont déplacés par bateau vers Kauehi. Le taux vaccinal à Raraka est désormais de 69%.
Sur Aratika, 29 habitants se sont faits vacciner au Janssen et 21 au Pfizer, soit un taux vaccinal de 55%. Enfin, à Mataiva, 32 habitants se sont faits vacciner au Janssen et 21 au Pfizer, soit un taux vaccinal de 58%.
L’équipe vaccinale remercie tous les acteurs communaux, associatifs et les agents de santé de proximité, pour leur mobilisation ayant permis cette opération de vaccination contre la covid-19.
Vaccination à Niau
Vaccination à Kauehi
Vaccination à Aratika
Vaccination à Mataiva
NOS ACTUALITÉS
SUIVEZ-NOUS
































