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  • Semaine mondiale de l’allaitement maternel 2021

    La Semaine Mondiale de l’Allaitement Maternel (SMAM) est célébrée tous les ans dans le monde, pour encourager les femmes à allaiter leur bébé. Cette année la SMAM aura lieu du 11 au 17 octobre avec pour thème mondial : « Protéger l’allaitement : une responsabilité partagée »

    L’allaitement s’inscrit dans la continuité de la grossesse et de l’accouchement. Il constitue la meilleure alimentation pour les nouveaux-nés et ceci dès les premières minutes qui suivent la naissance. Il contient tous les nutriments dont le nourrisson a besoin pendant les six premiers mois de vie et il le protège contre les maladies infectieuses. Il présente également des bienfaits à plus long terme, en réduisant la prévalence de l’obésité et du diabète qui sont des problématiques majeures de santé publique.

    Bien qu’instinctif, l’allaitement demande à être protégé par tous ceux et celles qui entourent la mère allaitante pour qu’elle puisse répondre sereinement à son instinct.

    Une mère qui allaite peut être influencée positivement ou négativement par :

    • son tane qui peut s’associer ou pas à la démarche de l’allaitement maternel.
    • sa mère, sa grand mère, sa belle-mère, une parente ou une amie proches, qui vont transposer leur propre expérience (positive ou négative) et encourager parfois des pratiques inadaptées.
    • l’équipe de la maternité car la qualité de l’ accompagnement au démarrage de l’allaitement est essentielle.
    • l’équipe de l’hôpital, si son enfant est hospitalisé, qui s’emploiera ou pas , à poursuivre l’allaitement malgré l’hospitalisation.
    • les politiques  en vigueur qui favorisent un temps suffisant pour initier et poursuivre l’allaitement, considérant que c’est un bénéfice de santé publique.
    • son employeur qui respecte la législation et lui donne les moyens de poursuivre l’allaitement après la reprise du travail.
    • les pédiatres, les PMI, les médecins de ville, les consultantes en lactation, les sages-femmes et les pharmaciens qui sont un recours précieux de proximité.
    • les réseaux sociaux capables du pire et du meilleur comme la page « allaitement en Polynésie » que nous recommandons.

    Le Ministère et la Direction de la santé, conformément aux recommandations de l’Organisation Mondiale de la Santé, incitent les futures mères à choisir l’allaitement maternel et encouragent toutes les mamans allaitantes à poursuivre de façon exclusive jusqu’à 6 mois l’allaitement au sein de leur enfant.

    Allaitement et COVID-19

    Il est important d’encourager l’allaitement maternel même pendant la pandémie.

    Le lait maternel fournit à tous les bébés des anticorps qui leur permettent d’être en bonne santé et les aident à se protéger contre de nombreuses infections. Les anticorps et les facteurs bioactifs présents dans le lait maternel peuvent donc les aider à combattre l’infection à la COVID-19 en cas d’exposition au virus.

    À ce jour, aucune transmission de virus actif (pouvant provoquer une infection) par le lait maternel et l’allaitement n’a été observée.

    Si la maman est malade : Une femme allaitante infectée ou soupçonnée d’être infectée par la COVID-19 doit continuer d’allaiter en prenant les mesures de précaution nécessaires : porter un masque pendant la tétée, se laver les mains à l’eau et au savon ou avec une solution hydroalcoolique avant et après chaque contact avec bébé, nettoyer et désinfecter systématiquement les surfaces touchées. Il n’est pas nécessaire de se laver les seins avant chaque tétée (sauf si contamination directe de la surface cutanée des seins par expectoration).

    Si la femme allaitante contaminée est trop fatiguée pour donner le sein, il est possible de tirer son lait et de le donner à l’enfant à l’aide d’un gobelet ou d’une cuillère. Le fait de tirer le lait permettra à la maman de continuer de produire du lait maternel et de reprendre l’allaitement dès qu’elle se sentira mieux. Il n’y a aucune période d’interruption à respecter avant de reprendre l’allaitement après avoir été infectée ou soupçonnée d’être infectée par la COVID-19.

     Si l’enfant est malade : Il est essentiel de poursuivre l’allaitement de l’enfant s’il tombe malade, que ce soit la COVID-19 ou une autre maladie. Le lait maternel renforce son système immunitaire et lui transmet les anticorps de la mère, ce qui l’aide à combattre les infections.

    Semaine mondiale de l’allaitement maternel 2021

    La Semaine Mondiale de l’Allaitement Maternel (SMAM) est célébrée tous les ans dans le monde, pour encourager les femmes à allaiter leur bébé. Cette année la SMAM aura lieu du 11 au 17 octobre avec pour thème mondial : « Protéger l’allaitement : une responsabilité partagée »

    L’allaitement s’inscrit dans la continuité de la grossesse et de l’accouchement. Il constitue la meilleure alimentation pour les nouveaux-nés et ceci dès les premières minutes qui suivent la naissance. Il contient tous les nutriments dont le nourrisson a besoin pendant les six premiers mois de vie et il le protège contre les maladies infectieuses. Il présente également des bienfaits à plus long terme, en réduisant la prévalence de l’obésité et du diabète qui sont des problématiques majeures de santé publique.

    Bien qu’instinctif, l’allaitement demande à être protégé par tous ceux et celles qui entourent la mère allaitante pour qu’elle puisse répondre sereinement à son instinct.

    Une mère qui allaite peut être influencée positivement ou négativement par :

    • son tane qui peut s’associer ou pas à la démarche de l’allaitement maternel
    • sa mère , sa grand mère , sa belle-mère, une parente ou une amie proches,  qui vont transposer leur propre expérience( positive ou négative) et encourager parfois des pratiques inadaptées.
    • l’équipe de la maternité car la qualité de l’ accompagnement au démarrage de l’allaitement est essentielle
    • l’équipe de l’hôpital, si son enfant est hospitalisé, qui s’emploiera ou pas , à poursuivre l’allaitement malgré l’hospitalisation
    • les politiques  en vigueur qui favorisent un temps suffisant pour initier et poursuivre l’allaitement, considérant que c’est un bénéfice de santé publique
    • son employeur qui respecte la législation et lui donne les moyens de poursuivre l’allaitement après la reprise du travail
    • les pédiatres, les PMI, les médecins de ville, les consultantes en lactation, les sages-femmes et les pharmaciens qui sont un recours précieux de proximité
    • les réseaux sociaux capables du pire et du meilleur comme la page « allaitement en Polynésie » que nous recommandons

    Le Ministère et la Direction de la santé, conformément aux recommandations de l’Organisation Mondiale de la Santé, incitent les futures mères à choisir l’allaitement maternel et encouragent toutes les mamans allaitantes à poursuivre de façon exclusive jusqu’à 6 mois l’allaitement au sein de leur enfant.

    Allaitement et COVID-19

    Il est important d’encourager l’allaitement maternel même pendant la pandémie.

    Le lait maternel fournit à tous les bébés des anticorps qui leur permettent d’être en bonne santé et les aident à se protéger contre de nombreuses infections. Les anticorps et les facteurs bioactifs présents dans le lait maternel peuvent donc les aider à combattre l’infection à la COVID-19 en cas d’exposition au virus.

    À ce jour, aucune transmission de virus actif (pouvant provoquer une infection) par le lait maternel et l’allaitement n’a été observée.

    Si la maman est malade : Une femme allaitante infectée ou soupçonnée d’être infectée par la COVID-19 doit continuer d’allaiter en prenant les mesures de précaution nécessaires : porter un masque pendant la tétée, se laver les mains à l’eau et au savon ou avec une solution hydroalcoolique avant et après chaque contact avec bébé, nettoyer et désinfecter systématiquement les surfaces touchées. Il n’est pas nécessaire de se laver les seins avant chaque tétée (sauf si contamination directe de la surface cutanée des seins par expectoration).

    Si la femme allaitante contaminée est trop fatiguée pour donner le sein, il est possible de tirer son lait et de le donner à l’enfant à l’aide d’un gobelet ou d’une cuillère. Le fait de tirer le lait permettra à la maman de continuer de produire du lait maternel et de reprendre l’allaitement dès qu’elle se sentira mieux. Il n’y a aucune période d’interruption à respecter avant de reprendre l’allaitement après avoir été infectée ou soupçonnée d’être infectée par la COVID-19.

     Si l’enfant est malade : Il est essentiel de poursuivre l’allaitement de l’enfant s’il tombe malade, que ce soit la COVID-19 ou une autre maladie. Le lait maternel renforce son système immunitaire et lui transmet les anticorps de la mère, ce qui l’aide à combattre les infections.

  • 2ème campagne vaccinale aux Tuamotu-Gambier : un taux vaccinal en nette augmentation

    Dans le cadre de la 2ème campagne vaccinale aux Tuamotu-Gambier, les agents de la Direction de la santé sont retournés sur 17 atolls de l’archipel à bord du Twin Otter de la compagnie « Air Tetiaroa ». Les auxiliaires de santé présents sur chaque site ont bénéficié d’une formation à la vaccination afin de les préparer aux prochaines campagnes.

    Suite au succès de la 1ère campagne vaccinale aux Tuamotu-Gambier organisée du 20 mai au 17 juin 2021 grâce au soutien des moyens maritimes et aériens des FAPF, les communes de l’archipel ont fait appel à la Direction de la santé pour renouveler l’opération. Pour rappel, cette 1ère tournée avait permis d’engager la vaccination sur 26 atolls et d’atteindre des taux de vaccination COVID-19 satisfaisants sur plusieurs îles : Tematangi (79%), Pukarua (80%), Puka Puka (80%) et Tepoto Nord (82%).

    La 2ème campagne de vaccination a donc été déployée à partir du 23 septembre, menée par le subdivisionnaire de santé, François Laudon, 2 infirmières et 1 adjointe de soin. Ils ont sillonné 17 atolls disposant tous d’un aérodrome à bord du Twin Otter de la compagnie « Air Tetiaroa ». Le vaccin utilisé était principalement le Janssen, sauf pour les cas particuliers comme les femmes enceintes, les adolescents ou les rappels vaccinaux des personnes de plus de 65 ans, qui ont été vaccinées avec le Pfizer.

    La 1ère mission a eu lieu du 23 au 25 septembre sur 3 atolls, l’équipe vaccinale du DTG s’est déplacée d’abord sur Vahitahi, augmentant considérablement le taux de vaccination de 4% à 65 %. Le retour sur Tureia a permis d’atteindre 59% et sur Pukurua qui est composé de 128 habitants, un taux vaccinal « record » a été atteint de 96%.

    La 2ème mission s’est déroulée sur 2 jours du 1er au 2 octobre comptabilisant 4 atolls. La population de Niau a enregistré un taux global de vaccination de 61%. Celui de l’atoll de Kauehi est passé de 35% à 60%. À noter que 5 habitants de Raraka, l’atoll voisin, se sont déplacés par bateau vers Kauehi augmentant le taux vaccinal de Raraka à 69%. Sur Aratika, le taux vaccinal est monté à 55% et enfin, celui de l’atoll de Mataiva est passé de 31% à 58%.

    Pour la 3ème mission du 9 au 12 octobre, l’équipe vaccinale du DTG a parcouru 7 atolls. Les habitants de 2 atolls sans aérodrome (Takume, Marokau) ont pu rejoindre l’atoll voisin par Kau pour se faire vacciner. L’île de PukuPuka a enregistré le meilleur taux de vaccination des Tuamotu-Gambier atteignant 98%. Le déplacement sur Katiu, a permis d’atteindre un taux vaccinal à 72 % et sur Raroia, le taux vaccinal global a atteint 70%. Sur Hikueru, la participation a été importante avec un taux vaccinal de 71%. Tatakoto a pu augmenter son taux vaccinal à 55 %. Enfin, les taux vaccinaux ont augmenté à 73% sur Fakahina et 89% sur Fangatau.

    En moyenne, le taux vaccinal global des îles concernées par cette campagne a atteint les 72 % . On constate que cette 2ème tournée a permis une augmentation significative du taux vaccinal de chaque atoll.

    Autre objectif, durant cette 2ème campagne, les agents de la Direction ont profité de ce déplacement pour former les auxiliaires de santé présents à réaliser l’examen, préparer les doses, injecter le vaccin et surveiller les personnes vaccinées. Les auxiliaires de santé de 7 atolls ont été formés par les 4 infirmières de Tahiti. Dans cette optique, ils seront prêts pour une prochaine campagne de vaccination.

    La Direction de la santé remercie tous les acteurs communaux, associatifs et les agents de santé de proximité, pour leur mobilisation lors de cette campagne de vaccination.

    Vaccination à Tureia

    Vaccination à Pukarua

    Vaccination à Vahitahi

    Vaccination à Nukutavake

    Vaccination à Niau

    Vaccination à Kauehi

    Vaccination à Aratika

    Vaccination à Mataiva

    Vaccination à Katiu

    Vaccination à Raroia

    Vaccination à Hikueru

    Vaccination à Tatakoto

    Vaccination à Fangatau

    Vaccination à Fakahina

    Vaccination à Puka Puka

    2ème campagne vaccinale aux Tuamotu-Gambier : un taux vaccinal en nette augmentation

    Dans le cadre de la 2ème campagne vaccinale aux Tuamotu-Gambier, les agents de la Direction de la santé sont retournés sur 17 atolls de l’archipel à bord du Twin Otter de la compagnie « Air Tetiaroa ». Les auxiliaires de santé présents sur chaque site ont bénéficié d’une formation à la vaccination afin de les préparer aux prochaines campagnes.

    Suite au succès de la 1ère campagne vaccinale aux Tuamotu-Gambier organisée du 20 mai au 17 juin 2021 grâce au soutien des moyens maritimes et aériens des FAPF, les communes de l’archipel ont fait appel à la Direction de la santé pour renouveler l’opération. Pour rappel, cette 1ère tournée avait permis d’engager la vaccination sur 26 atolls et d’atteindre des taux de vaccination COVID-19 satisfaisants sur plusieurs îles : Tematangi (79%), Pukarua (80%), Puka Puka (80%) et Tepoto Nord (82%).

    La 2ème campagne de vaccination a donc été déployée à partir du 23 septembre, menée par le subdivisionnaire de santé, François Laudon, 2 infirmières et 1 adjointe de soin. Ils ont sillonné 17 atolls disposant tous d’un aérodrome à bord du Twin Otter de la compagnie « Air Tetiaroa ». Le vaccin utilisé était principalement le Janssen, sauf pour les cas particuliers comme les femmes enceintes, les adolescents ou les rappels vaccinaux des personnes de plus de 65 ans, qui ont été vaccinées avec le Pfizer.

    La 1ère mission a eu lieu du 23 au 25 septembre sur 3 atolls, l’équipe vaccinale du DTG s’est déplacée d’abord sur Vahitahi, augmentant considérablement le taux de vaccination de 4% à 65 %. Le retour sur Tureia a permis d’atteindre 59% et sur Pukurua qui est composé de 128 habitants, un taux vaccinal « record » a été atteint de 96%.

    La 2ème mission s’est déroulée sur 2 jours du 1er au 2 octobre comptabilisant 4 atolls. La population de Niau a enregistré un taux global de vaccination de 61%. Celui de l’atoll de Kauehi est passé de 35% à 60%. À noter que 5 habitants de Raraka, l’atoll voisin, se sont déplacés par bateau vers Kauehi augmentant le taux vaccinal de Raraka à 69%. Sur Aratika, le taux vaccinal est monté à 55% et enfin, celui de l’atoll de Mataiva est passé de 31% à 58%.

    Pour la 3ème mission du 9 au 12 octobre, l’équipe vaccinale du DTG a parcouru 7 atolls. Les habitants de 2 atolls sans aérodrome (Takume, Marokau) ont pu rejoindre l’atoll voisin par Kau pour se faire vacciner. L’île de PukuPuka a enregistré le meilleur taux de vaccination des Tuamotu-Gambier atteignant 98%. Le déplacement sur Katiu, a permis d’atteindre un taux vaccinal à 72 % et sur Raroia, le taux vaccinal global a atteint 70%. Sur Hikueru, la participation a été importante avec un taux vaccinal de 71%. Tatakoto a pu augmenter son taux vaccinal à 55 %. Enfin, les taux vaccinaux ont augmenté à 73% sur Fakahina et 89% sur Fangatau.

    En moyenne, le taux vaccinal global des îles concernées par cette campagne a atteint les 72 % . On constate que cette 2ème tournée a permis une augmentation significative du taux vaccinal de chaque atoll.

    Autre objectif, durant cette 2ème campagne, les agents de la Direction ont profité de ce déplacement pour former les auxiliaires de santé présents à réaliser l’examen, préparer les doses, injecter le vaccin et surveiller les personnes vaccinées. Les auxiliaires de santé de 7 atolls ont été formés par les 4 infirmières de Tahiti. Dans cette optique, ils seront prêts pour une prochaine campagne de vaccination.

    La Direction de la santé remercie tous les acteurs communaux, associatifs et les agents de santé de proximité, pour leur mobilisation lors de cette campagne de vaccination.

    Vaccination à Tureia

    Vaccination à Pukarua

    Vaccination à Vahitahi

    Vaccination à Nukutavake

    Vaccination à Niau

    Vaccination à Kauehi

    Vaccination à Aratika

    Vaccination à Mataiva

    Vaccination à Katiu

    Vaccination à Raroia

    Vaccination à Hikueru

    Vaccination à Tatakoto

    Vaccination à Fangatau

    Vaccination à Fakahina

    Vaccination à Puka Puka

  • Journée mondiale de la santé mentale

    Célébrons la journée mondiale de la santé mentale ! Chaque année, la journée mondiale de la santé mentale est célébrée le 10 octobre, sous l’égide de l’Organisation Mondiale de la Santé. Cette journée est consacrée à la sensibilisation de tous sur les diverses problématiques que pose le sujet de la santé mentale en population générale.

    La santé mentale, c’est quoi ?

    Selon l’OMS, la santé mentale est un état de bien-être dans lequel une personne peut se réaliser, surmonter les tensions normales de la vie, accomplir un travail productif et contribuer à la vie de sa communauté. En tant qu’individu, notre état de santé dépend de plusieurs facteurs internes comme : la bonne santé physique, l’hygiène de vie ou l’estime de soi mais aussi de facteurs externes comme : notre environnement de vie, les relations familiales et amicales que nous entretenons ou les politiques publiques du pays dans lequel nous vivons, etc. La santé mentale n’est donc pas qu’une histoire de maladie ! Elle agit au niveau individuel mais englobe également l’individu dans un environnement avec lequel il interagit.

    Favoriser une bonne santé mentale en population générale c’est aider le citoyen à entretenir des relations saines, à évoluer dans un environnement de qualité, à lui permettre de prendre part à la vie en communauté et à être reconnu par ses pairs.

    En situation exceptionnelle, telle que nous le vivons avec la pandémie liée à la COVID-19, le changement brusque des politiques publiques et l’adoption de mesures restrictives peuvent entrainer un sentiment d’oppression au sein de la population. En tant qu’individu, nous pouvons nous sentir amputés d’une part de nos libertés comme celle de circuler librement, d’entretenir des relations sociales et amicales de qualité, d’exercer une activité professionnelle épanouissante, etc… La perte de repères, ajoutée au stress aigu lié au risque épidémique, a une multitude de conséquences qui vont créer un climat anxiogène au sein de la population. Cette situation peut mener à des débordements, comme observé dans le quartier de La Mission dans la nuit du 25 septembre 2021, durant lequel des riverains s’en seraient pris aux forces de l’ordre après une intervention dans le but de faire respecter le couvre-feu.

    Rétablir une santé mentale optimale après la pandémie, est-ce possible ?

    Nous l’avons constaté : avec la diminution des cas de contamination liés à la COVID-19, les politiques publiques ont évolué et les mesures restrictives se sont allégées dès que la situation l’a permis. Pour autant, va-t-on bien au sein de la population ?

    A la sortie du pic épidémique, de nombreuses pertes humaines sont à déplorer. Les familles en sont ressorties endeuillées, les matahiapo se disent plus isolés, le personnel de première ligne tels que les pompiers, policiers municipaux et gendarmes, ou encore le personnel soignant est épuisé et, pour certains, en état de stress post-traumatique. La crise a laissé sur les individus des séquelles qui peuvent s’avérer durables.

    En réponse, le service public a augmenté la création de dispositifs de prise en charge des personnes vulnérables, au plus près du public. Dès le début de la crise, les communes se sont fortement mobilisées pour venir en aide aux familles en situation de précarité par la distribution de denrées alimentaires ou la mise à disposition des bus pour la distribution de supports pédagogiques dans les quartiers prioritaires en période de confinement. Au plus fort de la crise, les cellules d’écoute et lignes d’appels se sont multipliées, créées par les communes, les établissements administratifs tel que le Fare Tama Hau ou encore les services administratifs tels que la Direction des solidarités, de la famille et de l’égalité. De son côté, la Direction de la santé a misé sur un partenariat avec les psychologues de l’Education Nationale et le CHPF en créant un dispositif d’écoute et de prise en charge psychologique d’urgence du personnel de première ligne et de la population générale. Pour sa part, le tissu associatif a maintenu son action d’écoute et de soutien aux personnes vulnérables, notamment par le maintien de ses lignes téléphoniques en pleine période de crise.

    C’est aussi un mouvement de solidarité qui a été engendré par la population, pour la population. Des initiatives privées de dons alimentaires et de vêtements ont vu le jour en faveur des familles les plus fragilisées. Des initiatives qui créent du lien et qui font se sentir appartenir à la communauté. A titre d’exemple, nous pouvons mentionner l’élan de solidarité suscité autour des quatre familles victimes d’un incendie dans la commune de Arue le dimanche 26 septembre dernier. Le mouvement de solidarité créé autour de cet événement et médiatisé par la commune témoigne d’une démarche communautaire de soutien des familles sinistrées.

    Nous l’aurons compris, notre situation sanitaire est encore fragile. La prise en charge des personnes vulnérables passe avant tout par une action coordonnée des services publics mais aussi et surtout par des initiatives communautaires au sein des populations locales. Faire face ensemble, ensemble dans l’épreuve, c’est la nature du peuple polynésien. Il ne tient qu’à nous de cultiver la solidarité qui fait de nous qui nous sommes en tant que peuple maohi.

    Contacts :

    Besoin de parler ? De vous confier à un professionnel ? Vous pouvez contacter les numéros d’appel suivants :

    • Ligne d’écoute Direction de la santé : 40 46 00 47
    • Ligne d’appel SOS Suicide : 40 44 47 67

    Besoin de rencontrer un professionnel ? Rapprochez-vous des cellules suivantes :

    • Fare Tama Hau : 49 48 80 50 ou au 40 48 80 30

    Journée mondiale de la santé mentale

    Célébrons la journée mondiale de la santé mentale ! Chaque année, la journée mondiale de la santé mentale est célébrée le 10 octobre, sous l’égide de l’Organisation Mondiale de la Santé. Cette journée est consacrée à la sensibilisation de tous sur les diverses problématiques que pose le sujet de la santé mentale en population générale.

    La santé mentale, c’est quoi ?

    Selon l’OMS, la santé mentale est un état de bien-être dans lequel une personne peut se réaliser, surmonter les tensions normales de la vie, accomplir un travail productif et contribuer à la vie de sa communauté. En tant qu’individu, notre état de santé dépend de plusieurs facteurs internes comme : la bonne santé physique, l’hygiène de vie ou l’estime de soi mais aussi de facteurs externes comme : notre environnement de vie, les relations familiales et amicales que nous entretenons ou les politiques publiques du pays dans lequel nous vivons, etc. La santé mentale n’est donc pas qu’une histoire de maladie ! Elle agit au niveau individuel mais englobe également l’individu dans un environnement avec lequel il interagit.

    Favoriser une bonne santé mentale en population générale c’est aider le citoyen à entretenir des relations saines, à évoluer dans un environnement de qualité, à lui permettre de prendre part à la vie en communauté et à être reconnu par ses pairs.

    En situation exceptionnelle, telle que nous le vivons avec la pandémie liée à la COVID-19, le changement brusque des politiques publiques et l’adoption de mesures restrictives peuvent entrainer un sentiment d’oppression au sein de la population. En tant qu’individu, nous pouvons nous sentir amputés d’une part de nos libertés comme celle de circuler librement, d’entretenir des relations sociales et amicales de qualité, d’exercer une activité professionnelle épanouissante, etc… La perte de repères, ajoutée au stress aigu lié au risque épidémique, a une multitude de conséquences qui vont créer un climat anxiogène au sein de la population. Cette situation peut mener à des débordements, comme observé dans le quartier de La Mission dans la nuit du 25 septembre 2021, durant lequel des riverains s’en seraient pris aux forces de l’ordre après une intervention dans le but de faire respecter le couvre-feu.

    Rétablir une santé mentale optimale après la pandémie, est-ce possible ?

    Nous l’avons constaté : avec la diminution des cas de contamination liés à la COVID-19, les politiques publiques ont évolué et les mesures restrictives se sont allégées dès que la situation l’a permis. Pour autant, va-t-on bien au sein de la population ?

    A la sortie du pic épidémique, de nombreuses pertes humaines sont à déplorer. Les familles en sont ressorties endeuillées, les matahiapo se disent plus isolés, le personnel de première ligne tels que les pompiers, policiers municipaux et gendarmes, ou encore le personnel soignant est épuisé et, pour certains, en état de stress post-traumatique. La crise a laissé sur les individus des séquelles qui peuvent s’avérer durables.

    En réponse, le service public a augmenté la création de dispositifs de prise en charge des personnes vulnérables, au plus près du public. Dès le début de la crise, les communes se sont fortement mobilisées pour venir en aide aux familles en situation de précarité par la distribution de denrées alimentaires ou la mise à disposition des bus pour la distribution de supports pédagogiques dans les quartiers prioritaires en période de confinement. Au plus fort de la crise, les cellules d’écoute et lignes d’appels se sont multipliées, créées par les communes, les établissements administratifs tel que le Fare Tama Hau ou encore les services administratifs tels que la Direction des solidarités, de la famille et de l’égalité. De son côté, la Direction de la santé a misé sur un partenariat avec les psychologues de l’Education Nationale et le CHPF en créant un dispositif d’écoute et de prise en charge psychologique d’urgence du personnel de première ligne et de la population générale. Pour sa part, le tissu associatif a maintenu son action d’écoute et de soutien aux personnes vulnérables, notamment par le maintien de ses lignes téléphoniques en pleine période de crise.

    C’est aussi un mouvement de solidarité qui a été engendré par la population, pour la population. Des initiatives privées de dons alimentaires et de vêtements ont vu le jour en faveur des familles les plus fragilisées. Des initiatives qui créent du lien et qui font se sentir appartenir à la communauté. A titre d’exemple, nous pouvons mentionner l’élan de solidarité suscité autour des quatre familles victimes d’un incendie dans la commune de Arue le dimanche 26 septembre dernier. Le mouvement de solidarité créé autour de cet événement et médiatisé par la commune témoigne d’une démarche communautaire de soutien des familles sinistrées.

    Nous l’aurons compris, notre situation sanitaire est encore fragile. La prise en charge des personnes vulnérables passe avant tout par une action coordonnée des services publics mais aussi et surtout par des initiatives communautaires au sein des populations locales. Faire face ensemble, ensemble dans l’épreuve, c’est la nature du peuple polynésien. Il ne tient qu’à nous de cultiver la solidarité qui fait de nous qui nous sommes en tant que peuple maohi.

    Contacts :

    Besoin de parler ? De vous confier à un professionnel ? Vous pouvez contacter les numéros d’appel suivants :

    • Ligne d’écoute Direction de la santé : 40 46 00 47
    • Ligne d’appel SOS Suicide : 40 44 47 67

    Besoin de rencontrer un professionnel ? Rapprochez-vous des cellules suivantes :

    • Fare Tama Hau : 49 48 80 50 ou au 40 48 80 30
  • Campagne de vaccination à Niau, Kauehi, Aratika et Mataiva

    Une équipe de vaccination contre la covid-19, composée du docteur François Laudon et de quatre infirmières du dispensaire des Tuamotu-Gambier s’est rendue, en fin de semaine dernière, sur 4 atolls de l’archipel des Tuamotu, à Niau, Kauehi, Aratika et Mataiva.

    De nombreux volontaires à la vaccination se sont inscrits auprès des autorités communales. Ainsi, à Niau, 25 personnes ont reçu une dose du vaccin Janssen et 15 personnes ont été vaccinées au Pfizer, avec pour résultat un taux global de vaccination de 61% pour la population éligible de plus de 18 ans présente sur l’atoll. Deux personnes grabataires et alitées ont également été vaccinées à domicile.

    Sur l’atoll de Kauehi, 22 habitants se sont faits vacciner au Janssen et 19 au Pfizer, soit un taux vaccinal de 60%. En outre, 5 habitants de Raraka, l’atoll voisin, se sont déplacés par bateau vers Kauehi. Le taux vaccinal à Raraka est désormais de 69%.

    Sur Aratika, 29 habitants se sont faits vacciner au Janssen et 21 au Pfizer, soit un taux vaccinal de 55%. Enfin, à Mataiva, 32 habitants se sont faits vacciner au Janssen et 21 au Pfizer, soit un taux vaccinal de 58%.

    L’équipe vaccinale remercie tous les acteurs communaux, associatifs et les agents de santé de proximité, pour leur mobilisation ayant permis cette opération de vaccination contre la covid-19.

    Vaccination à Niau

    Vaccination à Kauehi

    Vaccination à Aratika

    Vaccination à Mataiva

    Campagne de vaccination à Niau, Kauehi, Aratika et Mataiva

    Une équipe de vaccination contre la covid-19, composée du docteur François Laudon et de quatre infirmières du dispensaire des Tuamotu-Gambier s’est rendue, en fin de semaine dernière, sur 4 atolls de l’archipel des Tuamotu, à Niau, Kauehi, Aratika et Mataiva.

    De nombreux volontaires à la vaccination se sont inscrits auprès des autorités communales. Ainsi, à Niau, 25 personnes ont reçu une dose du vaccin Janssen et 15 personnes ont été vaccinées au Pfizer, avec pour résultat un taux global de vaccination de 61% pour la population éligible de plus de 18 ans présente sur l’atoll. Deux personnes grabataires et alitées ont également été vaccinées à domicile.

    Sur l’atoll de Kauehi, 22 habitants se sont faits vacciner au Janssen et 19 au Pfizer, soit un taux vaccinal de 60%. En outre, 5 habitants de Raraka, l’atoll voisin, se sont déplacés par bateau vers Kauehi. Le taux vaccinal à Raraka est désormais de 69%.

    Sur Aratika, 29 habitants se sont faits vacciner au Janssen et 21 au Pfizer, soit un taux vaccinal de 55%. Enfin, à Mataiva, 32 habitants se sont faits vacciner au Janssen et 21 au Pfizer, soit un taux vaccinal de 58%.

    L’équipe vaccinale remercie tous les acteurs communaux, associatifs et les agents de santé de proximité, pour leur mobilisation ayant permis cette opération de vaccination contre la covid-19.

    Vaccination à Niau

    Vaccination à Kauehi

    Vaccination à Aratika

    Vaccination à Mataiva

  • Une nouvelle organisation pour la Direction de la santé depuis 2004

    Le Conseil des ministres a adopté le 26 août 2021 (Arrêté n° 1771 / CM) la nouvelle organisation de la direction de la santé.

    Une démarche nécessaire après 17 ans

    Afin de s’adapter aux nombreuses évolutions sanitaires et réglementaires, une nouvelle organisation structurelle de la Direction de la santé était indispensable. Madame Merehau MERVIN, Directrice de la santé, accompagnée de ses deux adjointes, Mesdames Karine VANNES et docteur Mathilde MELIN modernisent et donnent une nouvelle dynamique à la Direction de la santé et ses 1 100 agents répartis sur l’ensemble des archipels de la Polynésie française.

    La Direction de la santé continue d’assurer ses missions

    1. La protection de la santé en matière de promotion et de prévention: elle est chargée de l’élaboration et de l’application des programmes, de la protection particulière de la santé des groupes à risque, de la santé environnementale et de la sécurité sanitaire.
    2. L’offre de soins de proximité : elle participe au service public hospitalier et assure les soins médicaux et paramédicaux qui comprennent les examens de diagnostic le traitement et les soins d’urgence.
    3. La formation professionnelle: elle assure la formation initiale aux professions paramédicales, la formation continue et l’enseignement professionnel de ses personnels médicaux et paramédicaux conformément à la réglementation en vigueur. Elle a un rôle d’orientation et de conseil à l’égard des étudiants qui suivent un enseignement médical et paramédical dans ou hors du territoire.
    4. La mise en œuvre et l’évaluation des programmes de santé publique.

    Des changements qui devront être pris en considération par les usagers

    Un nouvel organigramme fait apparaître : la création du Centre de lutte contre le rhumatisme articulaire aigu (RAA), du Centre de lutte contre la tuberculose (CLCT), et du Centre de coordination des dépistages des cancers (CCDC), le Centre de prévention et de soin des addictions (CPSA), anciennement nommé le Centre de consultations spécialisées d’alcoologie et toxicomanie (CSAT), le Bureau de santé environnementale (BSE), autrefois appelé le Centre d’hygiène et de salubrité publique (CHSP).

    Une organisation à deux niveaux : administration centrale et échelon déconcentré

    Pour favoriser l’action synergique et transversale, l’administration centrale de la Direction de la santé se composera désormais de trois départements :

    I. Département de l’administration générale et de la planification (DAGP) :

      • Bureau des ressources humaines et de la formation (BRHF) ;
      • Bureau du budget, des finances, et du patrimoine (BBFP) ;
      • Bureau des affaires juridiques (BAJ) ;
      • Bureau du numérique et le Bureau de la qualité ;

    II. Département de la sécurité sanitaire (DSS) :

      • Bureau de veille sanitaire (BVS) ;
      • Bureau de santé environnementale (BSE anciennement CHSP) ;

    III. Département de santé publique et de modernisation des soins de santé primaire (DSSP) :

      • Bureau des programmes de santé (BPS) ;
      • Bureau d’étude et d’évaluation des programmes de santé (BEEPS) ;

    La déconcentration de la Direction de la santé se décline comme suit :

    I. Les Formations sanitaires de Tahiti Nui (FSTN), Tahiti Iti (FSTI), et Moorea – Maiao (FSMM) ;

    II. Les Subdivisions santé des îles sous-le-vent (SSISLV), îles Marquises (SSIM), îles Australes (SSIA) et îles Tuamotu – Gambier (SSTG) ;

    III. La Cellule de coordination du réseau des consultations spécialisées avancées (CSA)

    IV. Les Cellules dénommées « Centre de consultations spécialisées » :

      • Centre d’assistance médico-sociale précoce (CAMSP) ;
      • Centre de protection maternelle et infantile (CPMI) ;
      • Centre de santé scolaire (CSS) ;
      • Centre de santé dentaire (CSD) ;
      • Centre de prévention et de soin des addictions (CPSA) ;
      • Centre médical de suivi (CMS) des anciens travailleurs civils et militaires des sites d’essais nucléaires et des populations vivant ou ayant vécu à proximité des sites de ces sites ;
      • Centre des maladies infectieuses et tropicales (CMIT) ;
      • Centre de lutte contre le rhumatisme articulaire aigu (RAA) ;
      • Centre de lutte contre la tuberculose (CLCT) ;
      • Centre de coordination des dépistages des cancers (CCDC) ;

    V. La section supports opérationnels et expertise regroupant :

      • La Cellule biomédicale (CBM) et la Pharmacie d’approvisionnement (PHAR) ;

    VI. L’Institut de formation des professions de santé Mathilde Frébault (IFPS – MF) ;

    Organigramme de la Direction de la santé 2021

    La Direction de la santé renouvelle son organisation

    Le Conseil des ministres a adopté le 26 août 2021 (Arrêté n° 1771 / CM) la nouvelle organisation de la direction de la santé.

    Une démarche nécessaire après 17 ans

    Afin de s’adapter aux nombreuses évolutions sanitaires et réglementaires, une nouvelle organisation structurelle de la Direction de la santé était indispensable. Madame Merehau MERVIN, Directrice de la santé, accompagnée de ses deux adjointes, Mesdames Karine VANNES et docteur Mathilde MELIN modernisent et donnent une nouvelle dynamique à la Direction de la santé et ses 1 100 agents répartis sur l’ensemble des archipels de la Polynésie française.

    La Direction de la santé continue d’assurer ses missions

    1. La protection de la santé en matière de promotion et de prévention: elle est chargée de l’élaboration et de l’application des programmes, de la protection particulière de la santé des groupes à risque, de la santé environnementale et de la sécurité sanitaire.
    2. L’offre de soins de proximité : elle participe au service public hospitalier et assure les soins médicaux et paramédicaux qui comprennent les examens de diagnostic le traitement et les soins d’urgence.
    3. La formation professionnelle: elle assure la formation initiale aux professions paramédicales, la formation continue et l’enseignement professionnel de ses personnels médicaux et paramédicaux conformément à la réglementation en vigueur. Elle a un rôle d’orientation et de conseil à l’égard des étudiants qui suivent un enseignement médical et paramédical dans ou hors du territoire.
    4. La mise en œuvre et l’évaluation des programmes de santé publique.

    Des changements qui devront être pris en considération par les usagers

    Un nouvel organigramme fait apparaître : la création du Centre de lutte contre le rhumatisme articulaire aigu (RAA), du Centre de lutte contre la tuberculose (CLCT), et du Centre de coordination des dépistages des cancers (CCDC), le Centre de prévention et de soin des addictions (CPSA), anciennement nommé le Centre de consultations spécialisées d’alcoologie et toxicomanie (CSAT), le Bureau de santé environnementale (BSE), autrefois appelé le Centre d’hygiène et de salubrité publique (CHSP).

    Une organisation à deux niveaux : administration centrale et échelon déconcentré

    Pour favoriser l’action synergique et transversale, l’administration centrale de la Direction de la santé se composera désormais de trois départements :

    I. Département de l’administration générale et de la planification (DAGP) :

      • Bureau des ressources humaines et de la formation (BRHF) ;
      • Bureau du budget, des finances, et du patrimoine (BBFP) ;
      • Bureau des affaires juridiques (BAJ) ;
      • Bureau du numérique et le Bureau de la qualité ;

    II. Département de la sécurité sanitaire (DSS) :

      • Bureau de veille sanitaire (BVS) ;
      • Bureau de santé environnementale (BSE anciennement CHSP) ;

    III. Département de santé publique et de modernisation des soins de santé primaire (DSSP) :

      • Bureau des programmes de santé (BPS) ;
      • Bureau d’étude et d’évaluation des programmes de santé (BEEPS) ;

    La déconcentration de la Direction de la santé se décline comme suit :

    I. Les Formations sanitaires de Tahiti Nui (FSTN), Tahiti Iti (FSTI), et Moorea – Maiao (FSMM) ;

    II. Les Subdivisions santé des îles sous-le-vent (SSISLV), îles Marquises (SSIM), îles Australes (SSIA) et îles Tuamotu – Gambier (SSTG) ;

    III. La Cellule de coordination du réseau des consultations spécialisées avancées (CSA)

    IV. Les Cellules dénommées « Centre de consultations spécialisées » :

      • Centre d’assistance médico-sociale précoce (CAMSP) ;
      • Centre de protection maternelle et infantile (CPMI) ;
      • Centre de santé scolaire (CSS) ;
      • Centre de santé dentaire (CSD) ;
      • Centre de prévention et de soin des addictions (CPSA) ;
      • Centre médical de suivi (CMS) des anciens travailleurs civils et militaires des sites d’essais nucléaires et des populations vivant ou ayant vécu à proximité des sites de ces sites ;
      • Centre des maladies infectieuses et tropicales (CMIT) ;
      • Centre de lutte contre le rhumatisme articulaire aigu (RAA) ;
      • Centre de lutte contre la tuberculose (CLCT) ;
      • Centre de coordination des dépistages des cancers (CCDC) ;

    V. La section supports opérationnels et expertise regroupant :

      • La Cellule biomédicale (CBM) et la Pharmacie d’approvisionnement (PHAR) ;

    VI. L’Institut de formation des professions de santé Mathilde Frébault (IFPS – MF) ;

    Organigramme de la Direction de la santé 2021

  • Lancement de la campagne Octobre Rose 2021

    Du 1er au 31 octobre 2021, la campagne Octobre Rose mettra en scène cinq profils de femmes différents face à la décision de faire sa radio titi. Grâce à un nouveau format de communication, le message de prévention sera scénarisé et permettra de mettre en avant les ressources individuelles que chaque femme peut mobiliser pour aller faire son dépistage du cancer du sein.

    Le Ministère de la santé, en charge de la prévention, et la Direction de la santé de la Polynésie française lancent cette année encore, et durant tout le mois d’octobre 2021, une campagne de communication, d’information et de sensibilisation autour du cancer du sein : Octobre Rose. C’est l’occasion de soutenir les femmes atteintes du cancer du sein et de mobiliser chacun autour de la lutte contre le cancer du sein. Octobre Rose est aussi l’occasion de rappeler à chaque femme âgée de 50 à 74 ans qu’elle peut agir pour sa santé, toute l’année, en participant au dépistage du cancer du sein.

    En Polynésie française, le cancer du sein est le cancer le plus fréquent chez la femme avec en moyenne 135 nouveaux cas par an. Il reste la première cause de décès par cancer chez la femme. Avec un dépistage précoce, le cancer du sein peut être soigné avec des traitements moins lourds engendrant des séquelles moins graves.

    Objectifs d’Octobre Rose 2021 La campagne Octobre Rose 2021 vise, comme chaque année, à inciter les femmes ciblées par le dépistage du cancer du sein à y participer. Plus spécifiquement, la campagne 2021 aura pour vocation, par la mise en scène de différentes situations, de mettre en exergue les ressources que chaque femme a en elle afin d’agir pour sa santé et aller se faire dépister.

    Notre message « quelque soit ce qui te freine, tu peux trouver en toi les ressources pour le faire. Fais ta radio titi ! »

    Nos actions 2021 La campagne de communication radio et TV : la nouvelle campagne de communication utilise les techniques innovantes de la narration : grâce à 5 films courts, 5 profils de femmes différents (identifiés en amont par une enquête qualitative auprès de la population de femmes de Tahiti et Moorea) sont présentés. Cinq femmes dont le quotidien est mis en scène. Cinq femmes qui, pour des raisons différentes, reculent le rendez-vous pour leur dépistage du cancer du sein. Cinq femmes qui vont finir par trouver en elles les ressources nécessaires pour participer au dépistage du cancer du sein.

    L’objectif est de provoquer l’identification au personnage du film, d’induire des émotions et ainsi provoquer un changement en montrant l’exemple. Comme le personnage principal, les femmes pourraient mobiliser leurs propres ressources pour agir pour leur santé et aller se faire dépister. Les femmes ont en elles les moyens d’agir pour leur santé.

    La journée de mobilisation « tous concernés, tous en rose » et le concours photos : C’est la troisième année consécutive que la Direction de la santé donne rendez-vous à toute la population au mois d’octobre pour une journée de mobilisation « tous concernés, tous en rose ». Cette année 2021, mobilisons-nous le vendredi 08 octobre 2021 et mettons du rose dans cette journée. Alors tous en rose !

    Partageons notre soutien en faveur de la lutte contre le cancer du sein en postant une photo de cette journée sur notre page facebook avec le #TousEnRosePf2021 ! Et pour plus de fun, il est possible de participer au concours photos lors de cette journée grâce à notre partenariat avec Fenua’Orama. Pour participer, il suffit d’ajouter le #OctobreRosePf2021 à sa publication. La photo gagnante sera publiée dans le Fenua’Orama de novembre 2021. Attention : Les photos doivent être prises dans le plus grand respect des mesures barrières !

    La campagne d’information grand public cross media : deux publireportages afin de promouvoir le dépistage du cancer du sein dans la presse écrite seront publiés dans les numéros d’octobre 2021 d’Hine magazine et de Fenua’Orama. Des messages de promotion de la radio titi seront diffusés sur le
    web, et par affichages urbains.

    L’émission Ea’ctus, magazine TV sur le thème de la prévention, sera diffusé sur TNTV et Polynésie la Première. Dès la deuxième semaine d’Octobre, 3 émissions autour du thème du cancer du sein et son dépistage seront proposées.

    Durant tout le mois d’octobre, la page facebook Ea’ttitude sera entièrement consacrée à Octobre Rose.

    Nos structures se mobilisent dans tous les archipels : comme tous les ans et en fonction de l’évolution de la crise sanitaire actuelle, nos structures de santé proposerons des ateliers, des journées dédiées, des points d’informations et des actions de sensibilisation dans chaque archipel pour informer sur le dépistage du cancer du sein (la population de Tahiti et ses îles peut se renseigner auprès des structures de santé sur place : dispensaires, centres médicaux, cellules de promotion de santé, Centre de consultations spécialisées en protection maternelle et infantile (CCSPMI), etc.).

    La mobilisation de nos partenaires et des associations : cette année encore nous mettrons en valeur via notre page facebook Ea’ttitude le travail des associations et la mobilisation de nos partenaires dans la lutte contre le cancer du sein (activités de sensibilisation et d’information, initiatives diverses dans le domaine privé et public, port du nœud rose dans les entreprises, mobilisation en tout genre, etc.).

    Pourquoi le dépistage du cancer du sein s’adresse aux femmes de 50 à 74 ans alors que le cancer du sein peut survenir en dehors de cette tranche d’âge ?

    En Polynésie française, le cancer du sein chez la femme se développe autour de 5560 ans. Le risque d’avoir un cancer du sein augmente avec l’âge même s’il peut atteindre des femmes à des âges très différents. 60% des femmes polynésiennes touchées par un cancer du sein ont entre 50 ans et 74 ans.

    Les femmes âgées entre 50 et 74 ans sont donc invitées à réaliser, tous les 2 ans, une mammographie de dépistage. Celleci, ainsi que l’échographie lorsqu’elle s’avère nécessaire, sont prises en charge à 100%, sans avance de frais, par la Direction de la santé. Pour toutes les femmes à partir de 25 ans, un examen clinique annuel des seins réalisé par un professionnel de santé est recommandé.

    Lancement de la campagne Octobre Rose 2021

    Du 1er au 31 octobre 2021, la campagne Octobre Rose mettra en scène cinq profils de femmes différents face à la décision de faire sa radio titi. Grâce à un nouveau format de communication, le message de prévention sera scénarisé et permettra de mettre en avant les ressources individuelles que chaque femme peut mobiliser pour aller faire son dépistage du cancer du sein.

    Le Ministère de la santé, en charge de la prévention, et la Direction de la santé de la Polynésie française lancent cette année encore, et durant tout le mois d’octobre 2021, une campagne de communication, d’information et de sensibilisation autour du cancer du sein : Octobre Rose. C’est l’occasion de soutenir les femmes atteintes du cancer du sein et de mobiliser chacun autour de la lutte contre le cancer du sein. Octobre Rose est aussi l’occasion de rappeler à chaque femme âgée de 50 à 74 ans qu’elle peut agir pour sa santé, toute l’année, en participant au dépistage du cancer du sein.

    En Polynésie française, le cancer du sein est le cancer le plus fréquent chez la femme avec en moyenne 135 nouveaux cas par an. Il reste la première cause de décès par cancer chez la femme. Avec un dépistage précoce, le cancer du sein peut être soigné avec des traitements moins lourds engendrant des séquelles moins graves.

    Objectifs d’Octobre Rose 2021 La campagne Octobre Rose 2021 vise, comme chaque année, à inciter les femmes ciblées par le dépistage du cancer du sein à y participer. Plus spécifiquement, la campagne 2021 aura pour vocation, par la mise en scène de différentes situations, de mettre en exergue les ressources que chaque femme a en elle afin d’agir pour sa santé et aller se faire dépister.

    Notre message « quelque soit ce qui te freine, tu peux trouver en toi les ressources pour le faire. Fais ta radio titi ! »

    Nos actions 2021 La campagne de communication radio et TV : la nouvelle campagne de communication utilise les techniques innovantes de la narration : grâce à 5 films courts, 5 profils de femmes différents (identifiés en amont par une enquête qualitative auprès de la population de femmes de Tahiti et Moorea) sont présentés. Cinq femmes dont le quotidien est mis en scène. Cinq femmes qui, pour des raisons différentes, reculent le rendez-vous pour leur dépistage du cancer du sein. Cinq femmes qui vont finir par trouver en elles les ressources nécessaires pour participer au dépistage du cancer du sein.

    L’objectif est de provoquer l’identification au personnage du film, d’induire des émotions et ainsi provoquer un changement en montrant l’exemple. Comme le personnage principal, les femmes pourraient mobiliser leurs propres ressources pour agir pour leur santé et aller se faire dépister. Les femmes ont en elles les moyens d’agir pour leur santé.

    La journée de mobilisation « tous concernés, tous en rose » et le concours photos : C’est la troisième année consécutive que la Direction de la santé donne rendez-vous à toute la population au mois d’octobre pour une journée de mobilisation « tous concernés, tous en rose ». Cette année 2021, mobilisons-nous le vendredi 08 octobre 2021 et mettons du rose dans cette journée. Alors tous en rose !

    Partageons notre soutien en faveur de la lutte contre le cancer du sein en postant une photo de cette journée sur notre page facebook avec le #TousEnRosePf2021 ! Et pour plus de fun, il est possible de participer au concours photos lors de cette journée grâce à notre partenariat avec Fenua’Orama. Pour participer, il suffit d’ajouter le #OctobreRosePf2021 à sa publication. La photo gagnante sera publiée dans le Fenua’Orama de novembre 2021. Attention : Les photos doivent être prises dans le plus grand respect des mesures barrières !

    La campagne d’information grand public cross media : deux publireportages afin de promouvoir le dépistage du cancer du sein dans la presse écrite seront publiés dans les numéros d’octobre 2021 d’Hine magazine et de Fenua’Orama. Des messages de promotion de la radio titi seront diffusés sur le
    web, et par affichages urbains.

    L’émission Ea’ctus, magazine TV sur le thème de la prévention, sera diffusé sur TNTV et Polynésie la Première. Dès la deuxième semaine d’Octobre, 3 émissions autour du thème du cancer du sein et son dépistage seront proposées.

    Durant tout le mois d’octobre, la page facebook Ea’ttitude sera entièrement consacrée à Octobre Rose.

    Nos structures se mobilisent dans tous les archipels : comme tous les ans et en fonction de l’évolution de la crise sanitaire actuelle, nos structures de santé proposerons des ateliers, des journées dédiées, des points d’informations et des actions de sensibilisation dans chaque archipel pour informer sur le dépistage du cancer du sein (la population de Tahiti et ses îles peut se renseigner auprès des structures de santé sur place : dispensaires, centres médicaux, cellules de promotion de santé, Centre de consultations spécialisées en protection maternelle et infantile (CCSPMI), etc.).

    La mobilisation de nos partenaires et des associations : cette année encore nous mettrons en valeur via notre page facebook Ea’ttitude le travail des associations et la mobilisation de nos partenaires dans la lutte contre le cancer du sein (activités de sensibilisation et d’information, initiatives diverses dans le domaine privé et public, port du nœud rose dans les entreprises, mobilisation en tout genre, etc.).

    Pourquoi le dépistage du cancer du sein s’adresse aux femmes de 50 à 74 ans alors que le cancer du sein peut survenir en dehors de cette tranche d’âge ?

    En Polynésie française, le cancer du sein chez la femme se développe autour de 5560 ans. Le risque d’avoir un cancer du sein augmente avec l’âge même s’il peut atteindre des femmes à des âges très différents. 60% des femmes polynésiennes touchées par un cancer du sein ont entre 50 ans et 74 ans.

    Les femmes âgées entre 50 et 74 ans sont donc invitées à réaliser, tous les 2 ans, une mammographie de dépistage. Celleci, ainsi que l’échographie lorsqu’elle s’avère nécessaire, sont prises en charge à 100%, sans avance de frais, par la Direction de la santé. Pour toutes les femmes à partir de 25 ans, un examen clinique annuel des seins réalisé par un professionnel de santé est recommandé.

  • Campagne de vaccination à Tureia, Pukarua et Vahitahi

    Après avoir poursuivi la campagne de vaccination jeudi dernier sur l’atoll de Nukutavake, des agents de la Direction de la santé publique se sont rendus, vendredi et samedi dans 3 autres atolls de l’archipel des Tuamotu, à savoir Tureia, Pukarua et Vahitahi.

    La population de Tureia est venue ce vendredi plus nombreux qu’en mai dernier, puisque 44 personnes ont été vaccinées au Janssen et 13 au Pfizer. En comptabilisant les 37 vaccinés en mai dernier, le taux vaccinal des plus de 18 ans sur cette île est désormais de 59 %.

    Pour l’atoll de Pukarua, 128 habitants avaient été vaccinés lors de la première campagne en juin dernier. Vendredi, les agents de la santé publique ont vacciné 29 personnes au Janssen et 15 au Pfizer, avec donc un taux vaccinal « record » de 96% pour cette île.

    Au terme de la mission effectuée sur l’île de Vahitahi en juin dernier avec la frégate militaire « Prairial », les infirmiers de la subdivision des Tuamotu-Gambier n’avaient vacciné que 2 habitants seulement. Ce samedi, le nombre de volontaires à la vaccination covid-19 a été nettement plus important puisque 20 personnes ont été vaccinées au Janssen et 12 au Pfizer. Le taux vaccinal sur cette île est désormais de 65%.

    La Direction de la Santé et le subdivisionnaire santé des Tuamotu-Gambier, le docteur François Laudon, tiennent à remercier les conseils municipaux de Nukutavake, Tureia, Pukarua et Vahitahi d’avoir apporté leur soutien efficace à cette seconde campagne vaccinale.

    La Santé publique remercie les tavana d’aider les auxiliaires de santé dans leur travail quotidien pour le bien être de la population.

    Vaccination à Tureia

    Vaccination à Pukarua

    Vaccination à Vahitahi

    Vaccination à Nukutavake

    Campagne de vaccination à Tureia, Pukarua et Vahitahi

    Après avoir poursuivi la campagne de vaccination jeudi dernier sur l’atoll de Nukutavake, des agents de la Direction de la santé publique se sont rendus, vendredi et samedi dans 3 autres atolls de l’archipel des Tuamotu, à savoir Tureia, Pukarua et Vahitahi.

    La population de Tureia est venue ce vendredi plus nombreux qu’en mai dernier, puisque 44 personnes ont été vaccinées au Janssen et 13 au Pfizer. En comptabilisant les 37 vaccinés en mai dernier, le taux vaccinal des plus de 18 ans sur cette île est désormais de 59 %.

    Pour l’atoll de Pukarua, 128 habitants avaient été vaccinés lors de la première campagne en juin dernier. Vendredi, les agents de la santé publique ont vacciné 29 personnes au Janssen et 15 au Pfizer, avec donc un taux vaccinal « record » de 96% pour cette île.

    Au terme de la mission effectuée sur l’île de Vahitahi en juin dernier avec la frégate militaire « Prairial », les infirmiers de la subdivision des Tuamotu-Gambier n’avaient vacciné que 2 habitants seulement. Ce samedi, le nombre de volontaires à la vaccination covid-19 a été nettement plus important puisque 20 personnes ont été vaccinées au Janssen et 12 au Pfizer. Le taux vaccinal sur cette île est désormais de 65%.

    La Direction de la Santé et le subdivisionnaire santé des Tuamotu-Gambier, le docteur François Laudon, tiennent à remercier les conseils municipaux de Nukutavake, Tureia, Pukarua et Vahitahi d’avoir apporté leur soutien efficace à cette seconde campagne vaccinale.

    La Santé publique remercie les tavana d’aider les auxiliaires de santé dans leur travail quotidien pour le bien être de la population.

    Vaccination à Tureia

    Vaccination à Pukarua

    Vaccination à Vahitahi

    Vaccination à Nukutavake

  • Changement des lieux de vaccination à Moorea

    Depuis le vendredi 24 septembre, les personnes souhaitant se faire vacciner à Moorea sont invitées à se rendre dans les nouveaux lieux de vaccination prévus par la Direction de la santé.

    Le centre de vaccination de Afareaitu est ouvert du lundi au vendredi 8h-17h et le samedi de 10h à 15h à l’hôpital de Afareaitu. Le vaccin proposé est le PFIZER.

    Concernant les lieux en dehors de l’hôpital :

    • Au dispensaire de Papetoai, les vaccins JANSSEN et PFIZER sont proposés, les lundis de 8h à 12h.
    • À la salle omnisports de Haapiti, les vaccins Janssen et PFIZER sont aussi proposés, les mercredis de 8h à 12h.
    • Au centre commercial de Maharepa, seul le vaccin PFIZER est proposé, les vendredis de 8h à 12h.

    De plus, une équipe mobile sillonne les quartiers tout autour de l’île du lundi au vendredi.

    Changement des lieux de vaccination à Moorea

    Depuis le vendredi 24 septembre, les personnes souhaitant se faire vacciner à Moorea sont invitées à se rendre dans les nouveaux lieux de vaccination prévus par la Direction de la santé.

    Le centre de vaccination de Afareaitu est ouvert du lundi au vendredi 8h-17h et le samedi de 10h à 15h à l’hôpital de Afareaitu. Le vaccin proposé est le PFIZER.

    Concernant les lieux en dehors de l’hôpital :

    • Au dispensaire de Papetoai, les vaccins JANSSEN et PFIZER sont proposés, les lundis de 8h à 12h.
    • À la salle omnisports de Haapiti, les vaccins Janssen et PFIZER sont aussi proposés, les mercredis de 8h à 12h.
    • Au centre commercial de Maharepa, seul le vaccin PFIZER est proposé, les vendredis de 8h à 12h.

    De plus, une équipe mobile sillonne les quartiers tout autour de l’île du lundi au vendredi.

  • Poursuite de la campagne de vaccination aux Tuamotu

    Les agents de la Direction de la Santé ont entamé, jeudi 23 septembre, à Nukutavake, une nouvelle mission de vaccination de la population dans l’archipel des Tuamotu.

    La mission, menée par le docteur François Laudon, subdivisionnaire santé des Tuamotu-Gambier, est arrivée jeudi, à la mi-journée, sur l’atoll de Nukutavake.

    Pour rappel, une première campagne vaccinale Covid-19 a été mise en place dans l’archipel des Tuamotu-Gambier, la mission Ora Ora, en mai et juin derniers, avec la mise à disposition d’importants moyens logistiques militaires (aéronefs de type Gardian, Casa, et la frégate Prairial). Le 4 juin, 58 habitants de cet archipel avaient ainsi été vaccinés.

    Pour l’opération de jeudi, la commune de Nukutavake avait installé un chapiteau devant l’abri de survie afin d’accueillir les volontaires à la vaccination. 26 habitants ont reçu une primo vaccination au Janssen et 12 autres, âgés de plus de 60 ans et porteurs de pathologies chroniques, ont reçu leur 2ème rappel de Pfizer. Avec les deux campagnes vaccinales depuis juin, la Direction de la Santé estime avoir vacciné 75% de la population de cette île âgée de plus de 18 ans.

    L’équipe médicale sera vendredi à Tureia et Pukarua afin de continuer cette opération de vaccination.

    Source officielle : https://www.presidence.pf/poursuite-de-la-campagne-de-vaccination-aux-tuamotu/

    Poursuite de la campagne de vaccination aux Tuamotu

    Les agents de la Direction de la Santé ont entamé, jeudi 23 septembre, à Nukutavake, une nouvelle mission de vaccination de la population dans l’archipel des Tuamotu.

    La mission, menée par le docteur François Laudon, subdivisionnaire santé des Tuamotu-Gambier, est arrivée jeudi, à la mi-journée, sur l’atoll de Nukutavake.

    Pour rappel, une première campagne vaccinale Covid-19 a été mise en place dans l’archipel des Tuamotu-Gambier, la mission Ora Ora, en mai et juin derniers, avec la mise à disposition d’importants moyens logistiques militaires (aéronefs de type Gardian, Casa, et la frégate Prairial). Le 4 juin, 58 habitants de cet archipel avaient ainsi été vaccinés.

    Pour l’opération de jeudi, la commune de Nukutavake avait installé un chapiteau devant l’abri de survie afin d’accueillir les volontaires à la vaccination. 26 habitants ont reçu une primo vaccination au Janssen et 12 autres, âgés de plus de 60 ans et porteurs de pathologies chroniques, ont reçu leur 2ème rappel de Pfizer. Avec les deux campagnes vaccinales depuis juin, la Direction de la Santé estime avoir vacciné 75% de la population de cette île âgée de plus de 18 ans.

    L’équipe médicale sera vendredi à Tureia et Pukarua afin de continuer cette opération de vaccination.

    Source officielle : https://www.presidence.pf/poursuite-de-la-campagne-de-vaccination-aux-tuamotu/

  • Retour sur le passage du vaccinodrome à Amanu dans les Tuamotu Gambier

    Du jeudi 9 au samedi 11 septembre 2021, un vaccinodrome a été mis en place sur l’île de Amanu et a permis de vacciner 53 personnes contre la COVID-19.

    Depuis le mois d’août, les 3 vaccinodromes mis en place sur l’île de Hao ont permis de vacciner plus de 210 personnes.  Yseult BUTCHER, maire de HAO et François TAKAMOANA, maire de AMANU ont ainsi sollicité le subdivisionnaire santé des TG, François Laudon pour la mise en place d’un vaccinodrome à AMANU.

    Du jeudi 9 au samedi 11 septembre 2021, le Dr JAM Olivier médecin itinérant accompagné de Priscilla TAPAKIA ASP de HAO et Maire BROTHERSON infirmière de promotion de santé du DTG de TAHITI se sont déplacés par KAU sur Amanu.

    Cette mission a permis de vacciner 53 habitants contre la COVID mais aussi de réaliser une vingtaine de consultations médicales dont 10 suivis de pathologies chroniques et de tenir une réunion de sensibilisation des habitants d’AMANU sur le thème de la promotion de la santé.

    Félicitations à l’équipe médicale de HAO et AMANU pour cette action communautaire.

    Retour sur le passage du vaccinodrome à Amanu dans les Tuamotu Gambier

    Du jeudi 9 au samedi 11 septembre 2021, un vaccinodrome a été mis en place sur l’île de Amanu et a permis de vacciner 53 personnes contre la COVID-19.

    Depuis le mois d’août, les 3 vaccinodromes mis en place sur l’île de Hao ont permis de vacciner plus de 210 personnes.  Yseult BUTCHER, maire de HAO et François TAKAMOANA, maire de AMANU ont ainsi sollicité le subdivisionnaire santé des TG, François Laudon pour la mise en place d’un vaccinodrome à AMANU.

    Du jeudi 9 au samedi 11 septembre 2021, le Dr JAM Olivier médecin itinérant accompagné de Priscilla TAPAKIA ASP de HAO et Maire BROTHERSON infirmière de promotion de santé du DTG de TAHITI se sont déplacés par KAU sur Amanu.

    Cette mission a permis de vacciner 53 habitants contre la COVID mais aussi de réaliser une vingtaine de consultations médicales dont 10 suivis de pathologies chroniques et de tenir une réunion de sensibilisation des habitants d’AMANU sur le thème de la promotion de la santé.

    Félicitations à l’équipe médicale de HAO et AMANU pour cette action communautaire.