Annuaire des structures de la Direction de la santé

  • Déploiement de la campagne de vaccination sur l’archipel des Tuamotu-Gambier : une opération conjointe État-Pays

    Pour garantir l’accès à la vaccination sur l’ensemble du territoire de la République y compris dans les archipels éloignés, l’État apporte un soutien exceptionnel au déploiement des équipes de santé du Pays sur l’ensemble du territoire.

    Ainsi, du 20 mai au 17 juin, grâce à l’appui essentiel des Forces Armées en Polynésie française, une opération d’envergure sera menée par le Haut-Commissariat (Direction de la protection civile) et le Pays (Ministère de la Santé, en charge de la prévention) auprès des volontaires à la vaccination de l’archipel des Tuamotu-Gambier.

    Cette mission va mobiliser des personnels de santé du territoire dédiés à la vaccination et des moyens militaires maritimes et aériens des FAPF (la frégate de surveillance « Prairial » et son hélicoptère « Alouette III », le Falcon 200 « Gardian » de la Flottille 25F et l’avion « Casa » de l’Escadron de transport 82 « Maine ») pendant 20 jours.

    Cette mission débutera le jeudi 20 mai sur les atolls de Hikueru et de Faaite, où 2 infirmiers se rendront au moyen du Casa de l’Armée de l’air et de l’espace pour vacciner plus de 80 volontaires recensés parmi la population cible.

    Elle se poursuivra le mardi 25 mai avec la mobilisation du Gardian de la Marine nationale qui se rendra sur l’île de Mataiva avec deux infirmiers et le subdivisionnaire santé des Tuamotu-Gambier du pays à son bord.

    Les mardi 1er et mercredi 02 juin 2021, ce seront respectivement les îles de Tatakoto et de Tureia qui seront desservies par le Gardian.

    Du 1er au 11 juin 2021, trois infirmiers se rendront successivement sur 9 atolls à bord du Prairial :

    • le 02 juin à Hereheretue,
    • 03 juin à Tematangi,
    • 04 juin à Vairaatea Nukutavake Vahitahi,
    • 06 juin à Marokau,
    • 07 juin à Tepoto Nord,
    • 08 juin à Raraka,
    • 09 juin à Makatea.

    Du 08 au 09 juin 2021, l’atoll de Pukarua bénéficiera de deux infirmiers arrivés au moyen du Casa Du 14 au 15 juin 2021, sur les atolls de Katiu, Kauehi, Aratika et Niau, une nouvelle mobilisation du Casa permettra à quatre infirmiers de vacciner les volontaires.

    Enfin, du 16 au 17 juin 2021, ce seront les atolls de Raroia, Fangatau, Pukapuka et de Fakahina qui bénéficieront de cinq infirmiers.

    Au total, cette opération concernera 23 atolls, sur lesquels la vaccination pourrait concerner plus de 3 000 personnes de plus de 20 ans, dont plus de 1 130 volontaires recensés.

    Cette opération d’ampleur conduite avec les moyens de l’État est inédite dans les territoires d’outre-mer.

    Déploiement de la campagne de vaccination sur l’archipel des Tuamotu-Gambier : une opération conjointe État-Pays

    Pour garantir l’accès à la vaccination sur l’ensemble du territoire de la République y compris dans les archipels éloignés, l’État apporte un soutien exceptionnel au déploiement des équipes de santé du Pays sur l’ensemble du territoire.

    Ainsi, du 20 mai au 17 juin, grâce à l’appui essentiel des Forces Armées en Polynésie française, une opération d’envergure sera menée par le Haut-Commissariat (Direction de la protection civile) et le Pays (Ministère de la Santé, en charge de la prévention) auprès des volontaires à la vaccination de l’archipel des Tuamotu-Gambier.

    Cette mission va mobiliser des personnels de santé du territoire dédiés à la vaccination et des moyens militaires maritimes et aériens des FAPF (la frégate de surveillance « Prairial » et son hélicoptère « Alouette III », le Falcon 200 « Gardian » de la Flottille 25F et l’avion « Casa » de l’Escadron de transport 82 « Maine ») pendant 20 jours.

    Cette mission débutera le jeudi 20 mai sur les atolls de Hikueru et de Faaite, où 2 infirmiers se rendront au moyen du Casa de l’Armée de l’air et de l’espace pour vacciner plus de 80 volontaires recensés parmi la population cible.

    Elle se poursuivra le mardi 25 mai avec la mobilisation du Gardian de la Marine nationale qui se rendra sur l’île de Mataiva avec deux infirmiers et le subdivisionnaire santé des Tuamotu-Gambier du pays à son bord.

    Les mardi 1er et mercredi 02 juin 2021, ce seront respectivement les îles de Tatakoto et de Tureia qui seront desservies par le Gardian.

    Du 1er au 11 juin 2021, trois infirmiers se rendront successivement sur 9 atolls à bord du Prairial :

    • le 02 juin à Hereheretue,
    • 03 juin à Tematangi,
    • 04 juin à Vairaatea Nukutavake Vahitahi,
    • 06 juin à Marokau,
    • 07 juin à Tepoto Nord,
    • 08 juin à Raraka,
    • 09 juin à Makatea.

    Du 08 au 09 juin 2021, l’atoll de Pukarua bénéficiera de deux infirmiers arrivés au moyen du Casa Du 14 au 15 juin 2021, sur les atolls de Katiu, Kauehi, Aratika et Niau, une nouvelle mobilisation du Casa permettra à quatre infirmiers de vacciner les volontaires.

    Enfin, du 16 au 17 juin 2021, ce seront les atolls de Raroia, Fangatau, Pukapuka et de Fakahina qui bénéficieront de cinq infirmiers.

    Au total, cette opération concernera 23 atolls, sur lesquels la vaccination pourrait concerner plus de 3 000 personnes de plus de 20 ans, dont plus de 1 130 volontaires recensés.

    Cette opération d’ampleur conduite avec les moyens de l’État est inédite dans les territoires d’outre-mer.

  • La vaccination mobile s’organise dans les quartiers de Pirae

    Le Président maire de Pirae, Edouard Fritch, s’est rendu ce mardi 18 mai à la salle omnisport – Vaipahu – dans la vallée de Hamuta à l’occasion du lancement du programme de la vaccination mobile dans les quartiers de la commune.

    Durant quatre jours, la vaccination à Pirae s’organise dans les quartiers. Après la mise en place depuis le 15 février dernier du centre de vaccination fixe de Pirae dans les anciens locaux de la crèche municipale, la Direction de la santé, avec la contribution de la commune de Pirae, s’engage dans la mise en œuvre d’un programme communautaire de vaccination au sein des quartiers. Dans sa stratégie vaccinale, le Pays ouvre le principe de rendre la vaccination plus accessible dans les quartiers enclavés en misant sur la proximité.

    Cette campagne de vaccination mobile organisée à Pirae sur des sites implantés au cœur des quartiers privilégie le vaccin unidose JANSSEN pour des raisons logistiques.

    La commune invite les volontaires, des personnes de 18 ans et plus, à se manifester en téléphonant le 444 101 (numéro vert GRATUIT) ou le 40 50 83 20 pour se pré-enregistrer sur une liste qui sera traitée par les équipes médicales présentes à chaque lieux et dates de rendez-vous. Ouvert à partir de 14h00 jusqu’en fin de journée selon la participation de la population, cette action vient en complément du centre de vaccination fixe pour permettre aux familles des quartiers démunis de transport de recevoir le vaccin tout près de chez eux.

    Les élus de proximité accompagnés des guides sanitaires sillonnent les quartiers prioritaires depuis week-end dernier et cette semaine encore pour informer la population du bien-fondé de la vaccination, utile pour atteindre une immunité collective plus rapidement et participer à la réouverture nécessaire des frontières du fenua.

    Le centre de vaccination fixe de Pirae situé dans les anciens locaux de la crèche municipale reste ouvert pour accueillir les volontaires au vaccin Pfizer avec deux doses (personnes âgées de 16 ans à plus), tous les jours de la semaine de 8h00 à 12h00 et 12h45 à 15h00.

    Aujourd’hui dans la vallée de Vaipahu, 94 doses ont pu être délivrées en trois heure de temps par les équipes de la Direction de la santé.

    A l’issue de cette campagne de vaccination mobile programmée sur quatre jours, un bilan du terrain sera réalisé pour convenir des actions à poursuivre dans l’intérêt de la communauté.

    La vaccination mobile s’organise dans les quartiers de Pirae

    Le Président maire de Pirae, Edouard Fritch, s’est rendu ce mardi 18 mai à la salle omnisport – Vaipahu – dans la vallée de Hamuta à l’occasion du lancement du programme de la vaccination mobile dans les quartiers de la commune.

    Durant quatre jours, la vaccination à Pirae s’organise dans les quartiers. Après la mise en place depuis le 15 février dernier du centre de vaccination fixe de Pirae dans les anciens locaux de la crèche municipale, la Direction de la santé, avec la contribution de la commune de Pirae, s’engage dans la mise en œuvre d’un programme communautaire de vaccination au sein des quartiers. Dans sa stratégie vaccinale, le Pays ouvre le principe de rendre la vaccination plus accessible dans les quartiers enclavés en misant sur la proximité.

    Cette campagne de vaccination mobile organisée à Pirae sur des sites implantés au cœur des quartiers privilégie le vaccin unidose JANSSEN pour des raisons logistiques.

    La commune invite les volontaires, des personnes de 18 ans et plus, à se manifester en téléphonant le 444 101 (numéro vert GRATUIT) ou le 40 50 83 20 pour se pré-enregistrer sur une liste qui sera traitée par les équipes médicales présentes à chaque lieux et dates de rendez-vous. Ouvert à partir de 14h00 jusqu’en fin de journée selon la participation de la population, cette action vient en complément du centre de vaccination fixe pour permettre aux familles des quartiers démunis de transport de recevoir le vaccin tout près de chez eux.

    Les élus de proximité accompagnés des guides sanitaires sillonnent les quartiers prioritaires depuis week-end dernier et cette semaine encore pour informer la population du bien-fondé de la vaccination, utile pour atteindre une immunité collective plus rapidement et participer à la réouverture nécessaire des frontières du fenua.

    Le centre de vaccination fixe de Pirae situé dans les anciens locaux de la crèche municipale reste ouvert pour accueillir les volontaires au vaccin Pfizer avec deux doses (personnes âgées de 16 ans à plus), tous les jours de la semaine de 8h00 à 12h00 et 12h45 à 15h00.

    Aujourd’hui dans la vallée de Vaipahu, 94 doses ont pu être délivrées en trois heure de temps par les équipes de la Direction de la santé.

    A l’issue de cette campagne de vaccination mobile programmée sur quatre jours, un bilan du terrain sera réalisé pour convenir des actions à poursuivre dans l’intérêt de la communauté.

  • Inauguration du centre de santé et de prévention de Taravao et remise du troisième label Fare Ea

    Inauguration du centre de santé et de prévention de Taravao et remise du troisième label Fare Ea Le ministre de la Santé, Jacques Raynal, a officiellement inauguré, mardi après-midi à Taravao, le centre de santé et de prévention de la presqu’île et a, à cette occasion, décerné à ce centre le troisième label Fare Ea. La cérémonie s’est déroulée en présence également du Vice-Président, Tearii Te Moana Alpha, et du représentant de l’Etat, chef des subdivisions des îles du Vent et des îles Sous-le-Vent, Guy Fitzer. Le centre de santé et de prévention de la presqu’île a en fait ouvert ses portes en juin 2020. Ce projet a réuni tous les services de prévention et de santé dans un même lieu, à proximité de l’hôpital de Taravao et de la maison de retraite Fare matahiapo. L’objectif principal de cette nouvelle construction, avec un financement dans le cadre du Contrat de projets Etat-Pays, était la réunion des différents services de soins de santé primaires (SSP) avec le relogement des services de consultations médicales et de prévention, le centre d'hygiène dentaire, l’hygiène scolaire, le centre de protection infantile et le centre de protection maternelle de la Direction de la santé. Dès son ouverture, le centre s’est lancé dans une démarche d’obtention du label Fare Ea, gage de qualité des services rendus à la population de proximité, qui rentre dans le cadre du programme de modernisation des services de santé primaires 2019-2023 en Polynésie. Pour l’obtenir, la structure de santé s’engage volontairement dans un processus d’amélioration de qualité et d’efficacité des soins, reconnaissant la mise en œuvre d’actions à la fois préventives, curatives, promotionnelles de santé au sein d’un réseau de partenaires locaux, respectant les concepts des services de santé primaires définis par l’organisation mondiale de la santé (OMS) et prenant en compte les déterminants de santé de la population. Le centre a concrétisé ce projet de labellisation, avec l’accompagnement technique de la cellule d’expertise SSP de la Direction de la santé, en ayant atteint les objectifs suivants : • l’amélioration de la qualité de travail des professionnels dans un espace aménagé et choisi par les professionnels (23 personnes, au total, y travaillent) ; • l’amélioration de l’accueil des patients : o avec des espaces dédiés pour l’apprentissage de la culture au sol de végétaux comestibles ; o par la détente dans des salles d’attente individuelle, avec des espaces aménagés pour écouter des émissions de prévention à la télévision ; o par la possibilité d’effectuer des exercices musculaires sur des pédaliers à proximité des salles d’attente ; • la mutualisation des interventions auprès d’un même public: l’aménagement d’une salle de classe a permis aux professionnels d’adapter leurs missions de prévention auprès des élèves scolarisés de la presqu’île. En moyenne, 12 élèves par classe fréquentent le centre de santé et de prévention pour des soins dentaires, d’hygiène scolaire et d’hygiène alimentaire. • la création d’un service d’archives médicales regroupant toutes les données médicales de l’hôpital de Taravao et du centre de santé et de prévention de la presqu’île, l’objectif, au final, étant de dématérialiser toutes les données archivées et créer un seul dossier patient. A ce jour, plus de 100 000 dossiers scolaires ont été scannés, archivés par un agent fonctionnaire avec l’aide de deux CAE à temps plein. Dans ce contexte favorable, les professionnels sont impliqués, sur un même site, dans toutes les activités centrées sur la prise en charge des patients et de leur famille, de la conception d’un enfant, avec son suivi scolaire, et jusqu’à la personne âgée. Le ministre de la Santé, en charge de la prévention, a donc remis ce troisième label Fare Ea – après l’infirmerie de Rimatara et le dispensaire de Papara – en inaugurant ce nouveau centre avec le panneau symbolique du label. Cela constitue une belle reconnnaisance pour les équipes de santé sur place, et c’est également une fierté pour les habitants de la presqu’île

    Le ministre de la Santé, Jacques Raynal, a officiellement inauguré, mardi après-midi à Taravao, le centre de santé et de prévention de la presqu’île et a, à cette occasion, décerné à ce centre le troisième label Fare Ea. La cérémonie s’est déroulée en présence également du Vice-Président, Tearii Te Moana Alpha, et du représentant de l’Etat, chef des subdivisions des îles du Vent et des îles Sous-le-Vent, Guy Fitzer.

    Le centre de santé et de prévention de la presqu’île a en fait ouvert ses portes en juin 2020. Ce projet a réuni tous les services de prévention et de santé dans un même lieu, à proximité de l’hôpital de Taravao et de la maison de retraite Fare matahiapo.

    L’objectif principal de cette nouvelle construction, avec un financement dans le cadre du Contrat de projets Etat-Pays, était la réunion des différents services de soins de santé primaires (SSP) avec le relogement des services de consultations médicales et de prévention, le centre d’hygiène dentaire, l’hygiène scolaire, le centre de protection infantile et le centre de protection maternelle de la Direction de la santé.

    Dès son ouverture, le centre s’est lancé dans une démarche d’obtention du label Fare Ea, gage de qualité des services rendus à la population de proximité, qui rentre dans le cadre du programme de modernisation des services de santé primaires 2019-2023 en Polynésie.

    Pour l’obtenir, la structure de santé s’engage volontairement dans un processus d’amélioration de qualité et d’efficacité des soins, reconnaissant la mise en œuvre d’actions à la fois préventives, curatives, promotionnelles de santé au sein d’un réseau de partenaires locaux, respectant les concepts des services de santé primaires définis par l’organisation mondiale de la santé (OMS) et prenant en compte les déterminants de santé de la population.

    Le centre a concrétisé ce projet de labellisation, avec l’accompagnement technique de la cellule d’expertise SSP de la Direction de la santé, en ayant atteint les objectifs suivants :

    • l’amélioration de la qualité de travail des professionnels dans un espace aménagé et choisi par les professionnels (23 personnes, au total, y travaillent) ;
    • l’amélioration de l’accueil des patients :
      • avec des espaces dédiés pour l’apprentissage de la culture au sol de végétaux comestibles ;
      • par la détente dans des salles d’attente individuelle, avec des espaces aménagés pour écouter des émissions de prévention à la télévision ;
      • par la possibilité d’effectuer des exercices musculaires sur des pédaliers à proximité des salles d’attente ;
    • la mutualisation des interventions auprès d’un même public: l’aménagement d’une salle de classe a permis aux professionnels d’adapter leurs missions de prévention auprès des élèves scolarisés de la presqu’île. En moyenne, 12 élèves par classe fréquentent le centre de santé et de prévention pour des soins dentaires, d’hygiène scolaire et d’hygiène alimentaire.
    • la création d’un service d’archives médicales regroupant toutes les données médicales de l’hôpital de Taravao et du centre de santé et de prévention de la presqu’île, l’objectif, au final, étant de dématérialiser toutes les données archivées et créer un seul dossier patient. A ce jour, plus de 100 000 dossiers scolaires ont été scannés, archivés par un agent fonctionnaire avec l’aide de deux CAE à temps plein.

    Dans ce contexte favorable, les professionnels sont impliqués, sur un même site, dans toutes les activités centrées sur la prise en charge des patients et de leur famille, de la conception d’un enfant, avec son suivi scolaire, et jusqu’à la personne âgée.

    Le ministre de la Santé, en charge de la prévention, a donc remis ce troisième label Fare Ea – après l’infirmerie de Rimatara et le dispensaire de Papara – en inaugurant ce nouveau centre avec le panneau symbolique du label. Cela constitue une belle reconnnaisance pour les équipes de santé sur place, et c’est également une fierté pour les habitants de la presqu’île.

    Inauguration du centre de santé et de prévention de Taravao et remise du troisième label Fare Ea

    Inauguration du centre de santé et de prévention de Taravao et remise du troisième label Fare Ea Le ministre de la Santé, Jacques Raynal, a officiellement inauguré, mardi après-midi à Taravao, le centre de santé et de prévention de la presqu’île et a, à cette occasion, décerné à ce centre le troisième label Fare Ea. La cérémonie s’est déroulée en présence également du Vice-Président, Tearii Te Moana Alpha, et du représentant de l’Etat, chef des subdivisions des îles du Vent et des îles Sous-le-Vent, Guy Fitzer. Le centre de santé et de prévention de la presqu’île a en fait ouvert ses portes en juin 2020. Ce projet a réuni tous les services de prévention et de santé dans un même lieu, à proximité de l’hôpital de Taravao et de la maison de retraite Fare matahiapo. L’objectif principal de cette nouvelle construction, avec un financement dans le cadre du Contrat de projets Etat-Pays, était la réunion des différents services de soins de santé primaires (SSP) avec le relogement des services de consultations médicales et de prévention, le centre d'hygiène dentaire, l’hygiène scolaire, le centre de protection infantile et le centre de protection maternelle de la Direction de la santé. Dès son ouverture, le centre s’est lancé dans une démarche d’obtention du label Fare Ea, gage de qualité des services rendus à la population de proximité, qui rentre dans le cadre du programme de modernisation des services de santé primaires 2019-2023 en Polynésie. Pour l’obtenir, la structure de santé s’engage volontairement dans un processus d’amélioration de qualité et d’efficacité des soins, reconnaissant la mise en œuvre d’actions à la fois préventives, curatives, promotionnelles de santé au sein d’un réseau de partenaires locaux, respectant les concepts des services de santé primaires définis par l’organisation mondiale de la santé (OMS) et prenant en compte les déterminants de santé de la population. Le centre a concrétisé ce projet de labellisation, avec l’accompagnement technique de la cellule d’expertise SSP de la Direction de la santé, en ayant atteint les objectifs suivants : • l’amélioration de la qualité de travail des professionnels dans un espace aménagé et choisi par les professionnels (23 personnes, au total, y travaillent) ; • l’amélioration de l’accueil des patients : o avec des espaces dédiés pour l’apprentissage de la culture au sol de végétaux comestibles ; o par la détente dans des salles d’attente individuelle, avec des espaces aménagés pour écouter des émissions de prévention à la télévision ; o par la possibilité d’effectuer des exercices musculaires sur des pédaliers à proximité des salles d’attente ; • la mutualisation des interventions auprès d’un même public: l’aménagement d’une salle de classe a permis aux professionnels d’adapter leurs missions de prévention auprès des élèves scolarisés de la presqu’île. En moyenne, 12 élèves par classe fréquentent le centre de santé et de prévention pour des soins dentaires, d’hygiène scolaire et d’hygiène alimentaire. • la création d’un service d’archives médicales regroupant toutes les données médicales de l’hôpital de Taravao et du centre de santé et de prévention de la presqu’île, l’objectif, au final, étant de dématérialiser toutes les données archivées et créer un seul dossier patient. A ce jour, plus de 100 000 dossiers scolaires ont été scannés, archivés par un agent fonctionnaire avec l’aide de deux CAE à temps plein. Dans ce contexte favorable, les professionnels sont impliqués, sur un même site, dans toutes les activités centrées sur la prise en charge des patients et de leur famille, de la conception d’un enfant, avec son suivi scolaire, et jusqu’à la personne âgée. Le ministre de la Santé, en charge de la prévention, a donc remis ce troisième label Fare Ea – après l’infirmerie de Rimatara et le dispensaire de Papara – en inaugurant ce nouveau centre avec le panneau symbolique du label. Cela constitue une belle reconnnaisance pour les équipes de santé sur place, et c’est également une fierté pour les habitants de la presqu’île

    Le ministre de la Santé, Jacques Raynal, a officiellement inauguré, mardi après-midi à Taravao, le centre de santé et de prévention de la presqu’île et a, à cette occasion, décerné à ce centre le troisième label Fare Ea. La cérémonie s’est déroulée en présence également du Vice-Président, Tearii Te Moana Alpha, et du représentant de l’Etat, chef des subdivisions des îles du Vent et des îles Sous-le-Vent, Guy Fitzer.

    Le centre de santé et de prévention de la presqu’île a en fait ouvert ses portes en juin 2020. Ce projet a réuni tous les services de prévention et de santé dans un même lieu, à proximité de l’hôpital de Taravao et de la maison de retraite Fare matahiapo.

    L’objectif principal de cette nouvelle construction, avec un financement dans le cadre du Contrat de projets Etat-Pays, était la réunion des différents services de soins de santé primaires (SSP) avec le relogement des services de consultations médicales et de prévention, le centre d’hygiène dentaire, l’hygiène scolaire, le centre de protection infantile et le centre de protection maternelle de la Direction de la santé.

    Dès son ouverture, le centre s’est lancé dans une démarche d’obtention du label Fare Ea, gage de qualité des services rendus à la population de proximité, qui rentre dans le cadre du programme de modernisation des services de santé primaires 2019-2023 en Polynésie.

    Pour l’obtenir, la structure de santé s’engage volontairement dans un processus d’amélioration de qualité et d’efficacité des soins, reconnaissant la mise en œuvre d’actions à la fois préventives, curatives, promotionnelles de santé au sein d’un réseau de partenaires locaux, respectant les concepts des services de santé primaires définis par l’organisation mondiale de la santé (OMS) et prenant en compte les déterminants de santé de la population.

    Le centre a concrétisé ce projet de labellisation, avec l’accompagnement technique de la cellule d’expertise SSP de la Direction de la santé, en ayant atteint les objectifs suivants :

    • l’amélioration de la qualité de travail des professionnels dans un espace aménagé et choisi par les professionnels (23 personnes, au total, y travaillent) ;
    • l’amélioration de l’accueil des patients :
      • avec des espaces dédiés pour l’apprentissage de la culture au sol de végétaux comestibles ;
      • par la détente dans des salles d’attente individuelle, avec des espaces aménagés pour écouter des émissions de prévention à la télévision ;
      • par la possibilité d’effectuer des exercices musculaires sur des pédaliers à proximité des salles d’attente ;
    • la mutualisation des interventions auprès d’un même public: l’aménagement d’une salle de classe a permis aux professionnels d’adapter leurs missions de prévention auprès des élèves scolarisés de la presqu’île. En moyenne, 12 élèves par classe fréquentent le centre de santé et de prévention pour des soins dentaires, d’hygiène scolaire et d’hygiène alimentaire.
    • la création d’un service d’archives médicales regroupant toutes les données médicales de l’hôpital de Taravao et du centre de santé et de prévention de la presqu’île, l’objectif, au final, étant de dématérialiser toutes les données archivées et créer un seul dossier patient. A ce jour, plus de 100 000 dossiers scolaires ont été scannés, archivés par un agent fonctionnaire avec l’aide de deux CAE à temps plein.

    Dans ce contexte favorable, les professionnels sont impliqués, sur un même site, dans toutes les activités centrées sur la prise en charge des patients et de leur famille, de la conception d’un enfant, avec son suivi scolaire, et jusqu’à la personne âgée.

    Le ministre de la Santé, en charge de la prévention, a donc remis ce troisième label Fare Ea – après l’infirmerie de Rimatara et le dispensaire de Papara – en inaugurant ce nouveau centre avec le panneau symbolique du label. Cela constitue une belle reconnnaisance pour les équipes de santé sur place, et c’est également une fierté pour les habitants de la presqu’île.

  • Vaccination anti covid-19 avec le vaccin Janssen au dispensaire des Tuamotu-Gambier

    Au sein de la Polynésie française (4 000 km² de terres émergées réparties sur un espace maritime de plus de 4 000 000 de km²), l’archipel des Tuamotu-Gambier se caractérise par son étendue (78 iles éparses dont 45 habitées), et une population de 16 881 habitants (6% de la population polynésienne), avec un morcellement disparate sur ces 45 atolls habités (16% d’atolls de moins de 100 habitants, 39% d’atolls de moins de 300 habitants, 16% d’atolls de moins de 500 habitants, 21% d’atolls de moins de 1 000 habitants et 8% d’atolls de plus de 1 000 habitants). Trente-trois îles sont équipées d’infrastructures aéroportuaires et douze atolls sont dépourvus de pistes d’aviation.

    Au vu de cette dispersion géographique et démographique, le centre médical de Papeete (DTG) installé dans les locaux du centre d’hygiène et salubrité publique à Mamao (immeuble Toriri) composé notamment de personnel médical itinérant (7 médecins, 3 sages-femmes, 4 infirmiers, 3 adjoints de soins, 14 auxiliaires de santé publique) a reçu, en 2020, 4911 paumotu venus consulter au DTG, dont 3452 patients évasanés à l’hôpital du Taaone qui retournaient dans leur atoll.

    Il a donc été décidé d’ouvrir, et ce depuis le lundi 17 mai, un centre vaccinal anti-covid 19 (vaccin Janssen), au DTG de Papeete pour vacciner en priorité ces évasanés avant leur départ de Tahiti. Puis il sera ensuite offert, à tous les résidents paumotu en déplacement à Papeete, la possibilité d’être vacciné en prenant un rendez-vous au DTG, du lundi à vendredi de 7h30 à 15h. Les contacts, par téléphone, pour cela, sont les suivants: 40 46 07 00 et le 40 46 07 07.

    Vaccination anti covid-19 avec le vaccin Janssen au dispensaire des Tuamotu-Gambier

    Au sein de la Polynésie française (4 000 km² de terres émergées réparties sur un espace maritime de plus de 4 000 000 de km²), l’archipel des Tuamotu-Gambier se caractérise par son étendue (78 iles éparses dont 45 habitées), et une population de 16 881 habitants (6% de la population polynésienne), avec un morcellement disparate sur ces 45 atolls habités (16% d’atolls de moins de 100 habitants, 39% d’atolls de moins de 300 habitants, 16% d’atolls de moins de 500 habitants, 21% d’atolls de moins de 1 000 habitants et 8% d’atolls de plus de 1 000 habitants). Trente-trois îles sont équipées d’infrastructures aéroportuaires et douze atolls sont dépourvus de pistes d’aviation.

    Au vu de cette dispersion géographique et démographique, le centre médical de Papeete (DTG) installé dans les locaux du centre d’hygiène et salubrité publique à Mamao (immeuble Toriri) composé notamment de personnel médical itinérant (7 médecins, 3 sages-femmes, 4 infirmiers, 3 adjoints de soins, 14 auxiliaires de santé publique) a reçu, en 2020, 4911 paumotu venus consulter au DTG, dont 3452 patients évasanés à l’hôpital du Taaone qui retournaient dans leur atoll.

    Il a donc été décidé d’ouvrir, et ce depuis le lundi 17 mai, un centre vaccinal anti-covid 19 (vaccin Janssen), au DTG de Papeete pour vacciner en priorité ces évasanés avant leur départ de Tahiti. Puis il sera ensuite offert, à tous les résidents paumotu en déplacement à Papeete, la possibilité d’être vacciné en prenant un rendez-vous au DTG, du lundi à vendredi de 7h30 à 15h. Les contacts, par téléphone, pour cela, sont les suivants: 40 46 07 00 et le 40 46 07 07.

  • Mission d’évaluation du fonctionnement de la valise de Télémédecine à KATIU

    Mission d’évaluation du fonctionnement de la valise de Télémédecine à KATIU

    Dès la fourniture au poste de santé de KATIU d’un ordinateur de bureau en début d’année 2020, puis d’un VINIBOX d’accès à l’internet à la mi année 2020, la SSTG a sollicité Nati-Medex pour installer une valise de télémédecine PARSYS en fin d’année 2020.

    Après un trimestre de fonctionnement de cette connexion numérique, il a été décidé de retourner sur l’atoll pour évaluer son fonctionnement quotidien, d’où le déplacement du subdivisionnaire santé des TG (Dr François LAUDON) du 26 au 28 avril 2021. Pour cette mission, s’est greffé l’équipe médicale de la cellule tuberculose (Bureau Veille Sanitaire, BVS) pour une enquête de cluster de cas de tuberculose.

    L’auxiliaire de santé publique Noemie OPUHI utilise cette valise PARYS fréquemment plusieurs fois par semaine en liaison avec le centre médial de MAKEMO.

    Cette liaison numérique avec MAKEMO sera quotidienne dès le mois prochain. Il est aussi envisagé en cas d’absence du médecin de MAKEMO le lien numérique avec les médecins du dispensaire paumotu de Tahiti (DTG). La connexion avec le SAMU de TAHITI sera opérationnelle en juin prochain.

    Dr Valentine DEGLAIRE et ses 2 infirmières (Laurence et Anais) en mission à KATIU pour la surveillance de la tuberculose pourront suivre ensuite à distance les patients grâce à cette valise de télémédecine. Il a été décidé que les cellules spécialisées de promotion de la santé (tuberculose, RAA, surveillance des cancers, …) seront reliés à ce réseau de télémédecine.

    La finalité de cet outil numérique permettant le suivi médical à distance est donc atteinte.

    Mission d’évaluation du fonctionnement de la valise de Télémédecine à KATIU

    Mission d’évaluation du fonctionnement de la valise de Télémédecine à KATIU

    Dès la fourniture au poste de santé de KATIU d’un ordinateur de bureau en début d’année 2020, puis d’un VINIBOX d’accès à l’internet à la mi année 2020, la SSTG a sollicité Nati-Medex pour installer une valise de télémédecine PARSYS en fin d’année 2020.

    Après un trimestre de fonctionnement de cette connexion numérique, il a été décidé de retourner sur l’atoll pour évaluer son fonctionnement quotidien, d’où le déplacement du subdivisionnaire santé des TG (Dr François LAUDON) du 26 au 28 avril 2021. Pour cette mission, s’est greffé l’équipe médicale de la cellule tuberculose (Bureau Veille Sanitaire, BVS) pour une enquête de cluster de cas de tuberculose.

    L’auxiliaire de santé publique Noemie OPUHI utilise cette valise PARYS fréquemment plusieurs fois par semaine en liaison avec le centre médial de MAKEMO.

    Cette liaison numérique avec MAKEMO sera quotidienne dès le mois prochain. Il est aussi envisagé en cas d’absence du médecin de MAKEMO le lien numérique avec les médecins du dispensaire paumotu de Tahiti (DTG). La connexion avec le SAMU de TAHITI sera opérationnelle en juin prochain.

    Dr Valentine DEGLAIRE et ses 2 infirmières (Laurence et Anais) en mission à KATIU pour la surveillance de la tuberculose pourront suivre ensuite à distance les patients grâce à cette valise de télémédecine. Il a été décidé que les cellules spécialisées de promotion de la santé (tuberculose, RAA, surveillance des cancers, …) seront reliés à ce réseau de télémédecine.

    La finalité de cet outil numérique permettant le suivi médical à distance est donc atteinte.

  • Démonstration de la valise de télémédecine PARSYS au Président de la Polynésie française et au Haut-commissaire au poste de santé d’Amanu

    Démonstration de la valise de télémédecine

    Samedi 17 avril, le président de la Polynésie française, Édouard Fritch et le Haut-commissaire, Dominique Sorain ont testé la valise de télémédecine PARSYS installée dans l’abri de survie d’Amanu aux Tuamotu.

    Au cours de la visite officielle du Président et du Haut-commissaire dans l’archipel des Tuamotu, la délégation s’est arrêtée au poste de santé d’Amanu. À cette occasion, une démonstration de contact à travers la valise de télémédecine PARSYS a été effectuée avec le référent médical à Tahiti.

    La valise PARSYS est un outil de haute technologie numérique qui regroupe plusieurs fonctionnalités nécessaires à l’assistance médicale : stéthoscope électronique, ECG compact, tensiomètre, oxymètre de pouls, glycémie capillaire, échographie, visioconférence cryptée et sécurisée.

    Ces valises de télémédecine permettent de soutenir les structures de santé dans les îles dépourvues de médecins (infirmeries ou postes de santé). Le contact peut se faire soit avec le Centre 15 de Tahiti, soit avec la structure de soins de référence (centre médical ou hôpital de proximité).Le médecin peut alors  réceptionner les constantes vitales et les images du patient pour aider au diagnostic médical et/ou à la prise de décision d’une évasan.

    De nombreuses valises de télémédecine ont été installées dans chaque archipel de la Polynésie, aux Tuamotu (Amanu, Katiu, Makatea, Kauehi), Australes (Rimatara, Raivavae, Rapa), Marquises (Fatu Hiva, Ua Huka), Moorea (Maiao).

    Démonstration de la valise de télémédecine PARSYS au Président de la Polynésie française et au Haut-commissaire au poste de santé d’Amanu

    Démonstration de la valise de télémédecine

    Samedi 17 avril, le président de la Polynésie française, Édouard Fritch et le Haut-commissaire, Dominique Sorain ont testé la valise de télémédecine PARSYS installée dans l’abri de survie d’Amanu aux Tuamotu.

    Au cours de la visite officielle du Président et du Haut-commissaire dans l’archipel des Tuamotu, la délégation s’est arrêtée au poste de santé d’Amanu. À cette occasion, une démonstration de contact à travers la valise de télémédecine PARSYS a été effectuée avec le référent médical à Tahiti.

    La valise PARSYS est un outil de haute technologie numérique qui regroupe plusieurs fonctionnalités nécessaires à l’assistance médicale : stéthoscope électronique, ECG compact, tensiomètre, oxymètre de pouls, glycémie capillaire, échographie, visioconférence cryptée et sécurisée.

    Ces valises de télémédecine permettent de soutenir les structures de santé dans les îles dépourvues de médecins (infirmeries ou postes de santé). Le contact peut se faire soit avec le Centre 15 de Tahiti, soit avec la structure de soins de référence (centre médical ou hôpital de proximité).Le médecin peut alors  réceptionner les constantes vitales et les images du patient pour aider au diagnostic médical et/ou à la prise de décision d’une évasan.

    De nombreuses valises de télémédecine ont été installées dans chaque archipel de la Polynésie, aux Tuamotu (Amanu, Katiu, Makatea, Kauehi), Australes (Rimatara, Raivavae, Rapa), Marquises (Fatu Hiva, Ua Huka), Moorea (Maiao).

  • Situation sur le nouveau coronavirus 2019-nCoV au 26 janvier 2020

    La situation épidémiologique continue à évoluer tant sur la répartition géographique des cas que sur le nombre de cas confirmés. Au 25 janvier 2020, plus de 1300 cas ont été confirmés en Chine ainsi que 41 décès. Des cas importés ont été reportés en Corée du Sud, au Japon, en Thailande, à Taiwan, aux Etats-Unis, à Singapour, en Malaisie, au Vietnam, en Australie, au Népal et en France (source : Centre opérationnel de régulation et de réponse aux urgences sanitaires et sociales, daté du 25 janvier 2020).

    Suite à la survenue de cas d’infections respiratoires à un nouveau virus (le 2019-nCoV jamais observé auparavant chez l’Homme) chez des personnes ayant fréquenté un marché de la ville de Wuhan, en Chine, une alerte sanitaire a été déclarée par les autorités chinoises et l’Organisation mondiale de la santé.

    Les autorités chinoises ont mis en quarantaine la province de Hubei, où se trouve Wuhan et ont décidé de suspendre les voyages de groupe à l’étranger.

    Les services de la Santé de la Polynésie française et les services de l’Etat (Direction de la protection civile) se tiennent régulièrement informés de l’évolution épidémiologique de ce virus et des mesures de gestion préconisées par l’OMS pour limiter l’impact d’une épidémie de plus grande ampleur.

    Mesures prises par le gouvernement

    À l’heure actuelle, le risque d’introduction en Polynésie française de ce virus est considéré comme possible mais de faible probabilité.

    Le ministère de la Santé et de la prévention, en lien avec les services de l’État, les ministères du Tourisme, de l’Éducation et des Transports supervise la mise en œuvre de mesures de prévention en Polynésie française.

    Bien qu’il n’y ait aucun vol direct en provenance de Chine, des mesures de prévention sont en cours et les informations à destination des voyageurs sont réévaluées en fonction de la situation épidémiologique.

    Les services d’urgence, les établissements hospitaliers et les professionnels de santé sont informés sur la situation et les recommandations. Ils disposent des matériels et des procédures adaptés à la prise en charge de patients susceptibles d’être contaminés par le coronavirus. Les moyens habituels de situation d’urgence sanitaire sont prêts et peuvent être mobilisés rapidement si besoin.

    Recommandations

    Le ministère de la santé et de la prévention rappelle, pour les personnes qui auraient séjourné en Chine récemment, les précautions à prendre en cas de signes d’infection respiratoire (fièvre, toux et difficulté respiratoires) :

    • Contacter le Samu Centre 15 en faisant état des symptômes et d’un séjour récent à Wuhan, ou plus généralement en Chine, afin de bénéficier d’une prise en charge médicale adaptée.

    Il est recommandé dans ce cas :

    • De porter un masque chirurgical lors de contacts avec d’autres personnes.
    • De se laver régulièrement les mains (solution hydro alcoolique) et d’utiliser des mouchoirs jetables.
    • Il est fortement recommandé d’éviter tout déplacement en Chine.

    Des informations complémentaires seront prochainement disponibles sur le site de la Direction de la santé https://www.service-public.pf/dsp/ et sur sa page Facebook.

    Pour plus d’informations, consultez la page https://www.gouvernement.fr/info-coronavirus où vous pourrez retrouver l’ensemble des informations sur le nouveau coronavirus.

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    Situation sur le nouveau coronavirus 2019-nCoV au 26 janvier 2020

    La situation épidémiologique continue à évoluer tant sur la répartition géographique des cas que sur le nombre de cas confirmés. Au 25 janvier 2020, plus de 1300 cas ont été confirmés en Chine ainsi que 41 décès. Des cas importés ont été reportés en Corée du Sud, au Japon, en Thailande, à Taiwan, aux Etats-Unis, à Singapour, en Malaisie, au Vietnam, en Australie, au Népal et en France (source : Centre opérationnel de régulation et de réponse aux urgences sanitaires et sociales, daté du 25 janvier 2020).

    Suite à la survenue de cas d’infections respiratoires à un nouveau virus (le 2019-nCoV jamais observé auparavant chez l’Homme) chez des personnes ayant fréquenté un marché de la ville de Wuhan, en Chine, une alerte sanitaire a été déclarée par les autorités chinoises et l’Organisation mondiale de la santé.

    Les autorités chinoises ont mis en quarantaine la province de Hubei, où se trouve Wuhan et ont décidé de suspendre les voyages de groupe à l’étranger.

    Les services de la Santé de la Polynésie française et les services de l’Etat (Direction de la protection civile) se tiennent régulièrement informés de l’évolution épidémiologique de ce virus et des mesures de gestion préconisées par l’OMS pour limiter l’impact d’une épidémie de plus grande ampleur.

    Mesures prises par le gouvernement

    À l’heure actuelle, le risque d’introduction en Polynésie française de ce virus est considéré comme possible mais de faible probabilité.

    Le ministère de la Santé et de la prévention, en lien avec les services de l’État, les ministères du Tourisme, de l’Éducation et des Transports supervise la mise en œuvre de mesures de prévention en Polynésie française.

    Bien qu’il n’y ait aucun vol direct en provenance de Chine, des mesures de prévention sont en cours et les informations à destination des voyageurs sont réévaluées en fonction de la situation épidémiologique.

    Les services d’urgence, les établissements hospitaliers et les professionnels de santé sont informés sur la situation et les recommandations. Ils disposent des matériels et des procédures adaptés à la prise en charge de patients susceptibles d’être contaminés par le coronavirus. Les moyens habituels de situation d’urgence sanitaire sont prêts et peuvent être mobilisés rapidement si besoin.

    Recommandations

    Le ministère de la santé et de la prévention rappelle, pour les personnes qui auraient séjourné en Chine récemment, les précautions à prendre en cas de signes d’infection respiratoire (fièvre, toux et difficulté respiratoires) :

    • Contacter le Samu Centre 15 en faisant état des symptômes et d’un séjour récent à Wuhan, ou plus généralement en Chine, afin de bénéficier d’une prise en charge médicale adaptée.

    Il est recommandé dans ce cas :

    • De porter un masque chirurgical lors de contacts avec d’autres personnes.
    • De se laver régulièrement les mains (solution hydro alcoolique) et d’utiliser des mouchoirs jetables.
    • Il est fortement recommandé d’éviter tout déplacement en Chine.

    Des informations complémentaires seront prochainement disponibles sur le site de la Direction de la santé https://www.service-public.pf/dsp/ et sur sa page Facebook.

    Pour plus d’informations, consultez la page https://www.gouvernement.fr/info-coronavirus où vous pourrez retrouver l’ensemble des informations sur le nouveau coronavirus.

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  • Coronavirus : Recommandations aux voyageurs

    Suite à la survenue de cas d’infections respiratoires à un nouveau virus (le 2019-nCoV jamais observé auparavant chez l’Homme) chez des personnes ayant fréquenté un marché de la ville de Wuhan, en Chine, une alerte sanitaire a été déclarée par les autorités chinoises et l’Organisation mondiale de la santé.

    Au 23/01/2020, 614 cas d’infection, à l’origine de 17 décès, ont été confirmés essentiellement dans la ville de Wuhan même si des cas sont observés dans d’autres provinces de Chine. Cinq pays ont déclarés un ou plusieurs cas importés (Thailande, Japon, Corée du Sud et les Etats Unis).

    De nombreuses incertitudes demeurent sur la source d’infection, le mode de transmission et les facteurs de risque associés. La possibilité de transmission interhumaine du virus est maintenant avérée (de patient à soignant ou via des contacts étroits entre personnes d’une même famille).

    Quels sont les symptômes ?

    Les signes d’infection les plus courants sont de la fièvre, de la toux, un essoufflement et des difficultés respiratoires.

    Risques pour la Polynésie française

    À l’heure actuelle, le risque d’introduction en Polynésie française de ce virus est considéré comme faible.

    Les services de la Santé de la Polynésie française et les services de l’Etat (Direction de la protection civile) se tiennent régulièrement informés de l’évolution épidémiologique de ce virus et des mesures de gestion préconisées par l’OMS pour limiter l’impact d’une épidémie de plus grande ampleur.

    Recommandations aux voyageurs

    • Il est fortement recommandé d’éviter tout déplacement en Chine, particulièrement dans la ville de Wuhan.
    • Afin d’éviter la dissémination du 2019-nCoV sur le Fenua, devant une fièvre ou des symptômes respiratoires dans les jours qui suivent le retour d’un voyage en Chine, il est impératif de consulter rapidement un médecin.
    • Il est également recommandé :
      • De porter un masque chirurgical lors de contacts avec d’autres personnes.
      • De se laver régulièrement les mains (solution hydro alcoolique) et d’utiliser des mouchoirs jetables.
      • De contacter le Samu Centre 15 en faisant état des symptômes et d’un séjour récent à Wuhan, ou plus généralement en Chine, afin de bénéficier d’une prise en charge médicale adaptée.
    • En cas de voyage en Chine obligatoire, il est fortement recommandé de se faire vacciner contre la grippe en raison d’une épidémie en cours en Chine.

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    Coronavirus : Recommandations aux voyageurs

    Suite à la survenue de cas d’infections respiratoires à un nouveau virus (le 2019-nCoV jamais observé auparavant chez l’Homme) chez des personnes ayant fréquenté un marché de la ville de Wuhan, en Chine, une alerte sanitaire a été déclarée par les autorités chinoises et l’Organisation mondiale de la santé.

    Au 23/01/2020, 614 cas d’infection, à l’origine de 17 décès, ont été confirmés essentiellement dans la ville de Wuhan même si des cas sont observés dans d’autres provinces de Chine. Cinq pays ont déclarés un ou plusieurs cas importés (Thailande, Japon, Corée du Sud et les Etats Unis).

    De nombreuses incertitudes demeurent sur la source d’infection, le mode de transmission et les facteurs de risque associés. La possibilité de transmission interhumaine du virus est maintenant avérée (de patient à soignant ou via des contacts étroits entre personnes d’une même famille).

    Quels sont les symptômes ?

    Les signes d’infection les plus courants sont de la fièvre, de la toux, un essoufflement et des difficultés respiratoires.

    Risques pour la Polynésie française

    À l’heure actuelle, le risque d’introduction en Polynésie française de ce virus est considéré comme faible.

    Les services de la Santé de la Polynésie française et les services de l’Etat (Direction de la protection civile) se tiennent régulièrement informés de l’évolution épidémiologique de ce virus et des mesures de gestion préconisées par l’OMS pour limiter l’impact d’une épidémie de plus grande ampleur.

    Recommandations aux voyageurs

    • Il est fortement recommandé d’éviter tout déplacement en Chine, particulièrement dans la ville de Wuhan.
    • Afin d’éviter la dissémination du 2019-nCoV sur le Fenua, devant une fièvre ou des symptômes respiratoires dans les jours qui suivent le retour d’un voyage en Chine, il est impératif de consulter rapidement un médecin.
    • Il est également recommandé :
      • De porter un masque chirurgical lors de contacts avec d’autres personnes.
      • De se laver régulièrement les mains (solution hydro alcoolique) et d’utiliser des mouchoirs jetables.
      • De contacter le Samu Centre 15 en faisant état des symptômes et d’un séjour récent à Wuhan, ou plus généralement en Chine, afin de bénéficier d’une prise en charge médicale adaptée.
    • En cas de voyage en Chine obligatoire, il est fortement recommandé de se faire vacciner contre la grippe en raison d’une épidémie en cours en Chine.

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  • EA’ttitude Feti’i : une journée pour se bouger en famille !

    La Direction de la santé organise, le samedi 23 novembre 2019, de 10 heures à 20 heures au parc Paofai, l’événement EA’ttitude Feti’i – Bouge en famille. L’ensemble de la population est invité à participer gratuitement à cette manifestation qui vise à promouvoir les saines habitudes de vie.

    Plus de 20 activités gratuites pour se bouger en famille !

    Pour mobiliser un maximum de personnes, sportifs comme non sportifs, jeunes et moins jeunes, autour de la promotion de saines habitudes de vie, la Direction de la santé organise un grand événement gratuit dédié aux familles : EA’ttitude Feti’i – Bouge en famille.

    À cette occasion, les adultes pourront, tout au long de la journée, découvrir et participer à de nombreux cours collectifs et activités individuelles :

    • Ori Tahiti ;
    • Beach Soccer ;
    • Body Combat ;
    • Street basket ;
    • RPM ;
    • Pole Dance ;
    • Marche nordique ;
    • Yoga ;
    • Challenge Bras de fer…

    De leur côté, les enfants pourront eux-aussi prendre part à différentes activités funs et sportives :

    • Bubble foot ;
    • Brazilian Ju-Jitsu ;
    • Beach wrestling ;
    • Beach volley…

    Un espace garderie pour les enfants âgés de 3 à 8 ans permettra à toute la famille de profiter un maximum de toutes les activités proposées tout au long de la journée.

    EATTITUDE FETII

    « Seul, on va plus vite, ensemble, on va plus loin »

    L’après-midi sera notamment placé sous le signe des challenges ! Ils permettront de souder les familles mais aussi les salariés des entreprises et agents de l’administration. Ainsi, les familles pourront s’unir par équipes de 3 personnes et prouver qu’elles sont les meilleures en participant au relais famille.

    Les entreprises et administrations auront elles-aussi l’occasion de se mesurer les unes aux autres. Une seule condition pour participer et tenter de remporter la victoire : composer son équipe de 4 personnes !

    Des activités sportives, mais pas que !

    EA’ttitude Feti’i est aussi l’occasion pour les participants de déguster une nourriture saine et de se désaltérer avec des eaux aromatisées de manière naturelle.
    Enfin, les familles pourront s’informer et se détendre grâce aux différents stands tenus par des professionnels et experts dans leur domaine. De quoi inspirer l’adoption de saines habitudes de vie dans tous les aspects de leur quotidien !

    Promouvoir de saines habitudes de vie

    L’objectif de cette mobilisation est d’inciter les familles à adopter de saines habitudes de vie. Cet événement permet en effet de :

    •  Promouvoir un mode de vie actif, la santé et le bien-être au quotidien.
    • Encourager les familles à pratiquer une activité physique ensemble.
    • Prévenir et combattre les maladies liées aux modes de vies.
    • Valoriser l’alimentation équilibrer et favoriser la consommation de fruits et légumes.

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  • Recrudescence de la rougeole dans le Pacifique, les recommandations contre ce virus

    Une recrudescence des cas de rougeole est observée dans toutes les régions du monde et des épidémies sont actuellement en cours dans plusieurs pays de la zone Pacifique.

    La vaccination peut éviter une épidémie sur le Fenua

    La Direction de la santé recommande dès maintenant la vaccination pour les voyageurs, les professionnels de santé et les personnes non vaccinées ou incomplètement vaccinées. En cas de doute, il est possible de faire vérifier son statut vaccinal auprès d’un professionnel de santé pour bénéficier si nécessaire d’un rattrapage vaccinal [toute personne de plus de 12 mois et née depuis 1980 doit avoir bénéficié de deux doses de vaccin].

    Souvent considérée à tort comme bénigne, la rougeole peut entraîner des hospitalisations, parfois même de graves complications (pneumonies, encéphalites). La rougeole n’est pas seulement une maladie infantile et concerne également les adolescents et les jeunes adultes. C’est une maladie due à un virus qui se transmet très facilement à partir de la toux ou les éternuements.

    La vaccination est le seul moyen de se protéger

    En se vaccinant, on se protège et on protège aussi son entourage notamment les enfants de moins d’un an, les femmes enceintes et les personnes immunodéprimées qui ne peuvent pas bénéficier de la vaccination.

    Le seul moyen de se protéger efficacement contre la rougeole est de se faire vacciner, deux doses de vaccin sont indispensables.

    En Polynésie française, aucun cas de rougeole n’a été déclaré depuis 2001

    La vaccination est obligatoire depuis 1985. Le taux d’immunisation est très élevé chez les enfants et probablement chez les plus de 40-45 ans mais il existe un risque chez les trentenaires (absence de rougeole dans l’enfance ou sujets non vaccinés ou n’ayant reçu qu’une seule dose de vaccin).

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