Annuaire des structures de la Direction de la santé
[ACTUALITÉS]
Les lycéens du Diadème prennent leur santé en main
La Direction de la santé est ravie d’avoir pu accompagner, pour la première fois, les jeunes du lycée Te tara o Maiao de Pirae, qui ont lancé l’événement « Diadème en santé ». Un projet né du constat réalisé par la communauté éducative d’une augmentation de la consommation d’alcool ou de cannabis par les élèves, des difficultés rencontrées par certaines jeunes dans leurs familles, ou encore de prises de risques dans leurs relations sexuelles des adolescents
La Direction de la santé a participé à la réalisation de ces journées en apportant son expertise avec l’accompagnement, notamment, d’une diététicienne, de la chargée de projet « Préventions et addictions » ou encore de la chargée de projet « santé sexuelle », lors des comités de pilotage et en aidant les élèves à constituer leurs stands.
[ACTUALITÉS] Les lycéens du Diadème prennent leur santé en main
La Direction de la santé est ravie d’avoir pu accompagner, pour la première fois, les jeunes du lycée Te tara o Maiao de Pirae, qui ont lancé l’événement « Diadème en santé ». Un projet né du constat réalisé par la communauté éducative d’une augmentation de la consommation d’alcool ou de cannabis par les élèves, des difficultés rencontrées par certaines jeunes dans leurs familles, ou encore de prises de risques dans leurs relations sexuelles des adolescents
La Direction de la santé a participé à la réalisation de ces journées en apportant son expertise avec l’accompagnement, notamment, d’une diététicienne, de la chargée de projet « Préventions et addictions » ou encore de la chargée de projet « santé sexuelle », lors des comités de pilotage et en aidant les élèves à constituer leurs stands.
[ACTUALITÉS]
Inauguration du totem Super Optimist
Le mardi 28 mars 2023 a eu lieu l’inauguration du totem « Super Optimist » créé par l’association HOPE Team EAST qui accompagne quotidiennement les adultes et enfants atteints de cancer en proposant des programmes en Activité Physique Adaptée (APA).
Le totem « Super Optimist » se déploie sous différentes formes ludiques et vise à faciliter l’accès à une activité physique en milieu hospitalier.
Dans ce coffre à roulettes, de nombreuses activités physiques et ludiques s’adressent aussi bien aux enfants et adolescents qu’adultes. Le totem présente plusieurs faces, avec différents types de jeux : « Une surface avec des exercices de forces et de renforcement musculaires des membres supérieurs. Il y a une surface pour travailler l’adresse avec des jeux de lancer. Une autre qui est destinée à faire travailler la logique des enfants avec des jeux de construction de Lego par exemple. Et la dernière sera sur tablette tactile, avec des jeux cognitifs », a détaillé à Tahiti Infos Julien Bourrelier, le directeur de l’association qui a accompagné le projet Cap Optimist pendant l’inauguration.
Les bénéfices de l’activité physique sur la santé n’étant plus à démontrer, le totem sera mis à disposition des patients en cours et après leur traitement au sein des services de rééducation fonctionnelle, d’oncologie, de diabétologie ou encore, de pédiatrie du CHPF.
L’arrivée des waterwomen @Cap Optimist et le totem « Super-Optimist » encouragent le déploiement de l’offre en activité physique adaptée au sein des différents services hospitaliers de Polynésie française.
Projet en partenariat entre le ministère de la Santé, l’Institut du Cancer de Polynésie française (ICPF), l’association Hope Team East et le CHPF.
#superoptimist #totem #activitéphysique #activitéphysiqueadaptée
@Hope Team East @Cap Optimist @ICPF @CHPF @Direction de la santé @Amazones pacifiques
[ACTUALITÉS] Inauguration du totem Super Optimist
Le mardi 28 mars 2023 a eu lieu l’inauguration du totem « Super Optimist » créé par l’association HOPE Team EAST qui accompagne quotidiennement les adultes et enfants atteints de cancer en proposant des programmes en Activité Physique Adaptée (APA).
Le totem « Super Optimist » se déploie sous différentes formes ludiques et vise à faciliter l’accès à une activité physique en milieu hospitalier.
Dans ce coffre à roulettes, de nombreuses activités physiques et ludiques s’adressent aussi bien aux enfants et adolescents qu’adultes. Le totem présente plusieurs faces, avec différents types de jeux : « Une surface avec des exercices de forces et de renforcement musculaires des membres supérieurs. Il y a une surface pour travailler l’adresse avec des jeux de lancer. Une autre qui est destinée à faire travailler la logique des enfants avec des jeux de construction de Lego par exemple. Et la dernière sera sur tablette tactile, avec des jeux cognitifs », a détaillé à Tahiti Infos Julien Bourrelier, le directeur de l’association qui a accompagné le projet Cap Optimist pendant l’inauguration.
Les bénéfices de l’activité physique sur la santé n’étant plus à démontrer, le totem sera mis à disposition des patients en cours et après leur traitement au sein des services de rééducation fonctionnelle, d’oncologie, de diabétologie ou encore, de pédiatrie du CHPF.
L’arrivée des waterwomen @Cap Optimist et le totem « Super-Optimist » encouragent le déploiement de l’offre en activité physique adaptée au sein des différents services hospitaliers de Polynésie française.
Projet en partenariat entre le ministère de la Santé, l’Institut du Cancer de Polynésie française (ICPF), l’association Hope Team East et le CHPF.
#superoptimist #totem #activitéphysique #activitéphysiqueadaptée
@Hope Team East @Cap Optimist @ICPF @CHPF @Direction de la santé @Amazones pacifiques
[ACTUALITÉS]
Ecole/CJA en santé : Labellisation de deux établissements des Raromatai à Faaroa (Raiatea) et Haamene (Taha’a)
Courant mars, nous avons eu le plaisir de décerner le label « Ecole/ CJA en santé » à deux établissements des Raromatai : le CJA de Haamene dans la commune de Taha’a, et celui de Faaroa dans la commune de Taputapuatea à Raiatea.
Le label « école et/ou CJA en santé » a pour but de promouvoir la santé à l’école en agissant sur les déterminants de santé, et en développant les compétences psycho-sociales des élèves.
Les établissements travaillent avec leurs élèves en rassemblant un comité de santé, afin de proposer 10 actions prenant en compte les déterminants prioritaires de la santé des jeunes, en lien avec les thématiques suivantes :
- Alimentation
- Activités physiques
- Hygiène corporelle
- Rythme de vie
- Ecole sans tabac ou vie sans dépendance
- Tri des déchets et espace public propre
- Lutte antivectorielle
- Accueil de tous les enfants et le bien vivre ensemble, ou estime de soi et bien vivre ensemble
- Accès aux soins pour tous les élèves
- Patrimoine culturel
Lors de leur labellisation, les élèves ont valorisé notamment les actions suivantes :
- un fa’a’apu entretenu par leurs soins, permettant de limiter la consommation d’aliments transformés au sein de l’établissement.
- des séances de sport collectives ou individuelles, d’une demi-heure par jour, ainsi que des rencontres sportives régulières inter-écoles.
- des discussions en classe autour des dangers des écrans et du rythme de sommeil.
- des échanges en classe sur l’importance d’une bonne hygiène dentaire et corporelle avec les bons gestes tels que lavage des mains .
- des temps d’échange réguliers animés par les élèves et encadrés par les enseignants sur le paka, l’alcool et les addictions médicamenteuses.
- la participation des élèves au « clean up day » annuel de la commune ainsi que l’apprentissage du tri des déchets .
- l’éradication des gites larvaires ainsi que la réalisation de débats en classe sur les différentes maladies transmises par les moustiques.
- des espaces de discussion créés pour lutter contre les violences physiques et morales, pour favoriser l’estime de soi et le respect des autres au sein de l’établissement.
- la mise en place d’une trousse de secours accessibles à tous ainsi que des prises de rendez-vous au centre dentaire public d’Uturoa pour des diagnostics et suivis.
Des visites culturelles comme le Marae de Taputapuatea ou des rencontres avec des matahiapo de la commune sur les thèmes des contes et légendes de l’île, permettant de renouer avec la culture.
[ACTUALITÉS]
Ecole/CJA en santé : Labellisation de deux établissements des Raromatai à Faaroa (Raiatea) et Haamene (Taha’a)
Courant mars, nous avons eu le plaisir de décerner le label « Ecole/ CJA en santé » à deux établissements des Raromatai : le CJA de Haamene dans la commune de Taha’a, et celui de Faaroa dans la commune de Taputapuatea à Raiatea.
Le label « école et/ou CJA en santé » a pour but de promouvoir la santé à l’école en agissant sur les déterminants de santé, et en développant les compétences psycho-sociales des élèves.
Les établissements travaillent avec leurs élèves en rassemblant un comité de santé, afin de proposer 10 actions prenant en compte les déterminants prioritaires de la santé des jeunes, en lien avec les thématiques suivantes :
- Alimentation
- Activités physiques
- Hygiène corporelle
- Rythme de vie
- Ecole sans tabac ou vie sans dépendance
- Tri des déchets et espace public propre
- Lutte antivectorielle
- Accueil de tous les enfants et le bien vivre ensemble, ou estime de soi et bien vivre ensemble
- Accès aux soins pour tous les élèves
- Patrimoine culturel
Lors de leur labellisation, les élèves ont valorisé notamment les actions suivantes :
- un fa’a’apu entretenu par leurs soins, permettant de limiter la consommation d’aliments transformés au sein de l’établissement.
- des séances de sport collectives ou individuelles, d’une demi-heure par jour, ainsi que des rencontres sportives régulières inter-écoles.
- des discussions en classe autour des dangers des écrans et du rythme de sommeil.
- des échanges en classe sur l’importance d’une bonne hygiène dentaire et corporelle avec les bons gestes tels que lavage des mains .
- des temps d’échange réguliers animés par les élèves et encadrés par les enseignants sur le paka, l’alcool et les addictions médicamenteuses.
- la participation des élèves au « clean up day » annuel de la commune ainsi que l’apprentissage du tri des déchets .
- l’éradication des gites larvaires ainsi que la réalisation de débats en classe sur les différentes maladies transmises par les moustiques.
- des espaces de discussion créés pour lutter contre les violences physiques et morales, pour favoriser l’estime de soi et le respect des autres au sein de l’établissement.
- la mise en place d’une trousse de secours accessibles à tous ainsi que des prises de rendez-vous au centre dentaire public d’Uturoa pour des diagnostics et suivis.
Des visites culturelles comme le Marae de Taputapuatea ou des rencontres avec des matahiapo de la commune sur les thèmes des contes et légendes de l’île, permettant de renouer avec la culture.
La campagne de lutte contre la Filariose 2018
En Polynésie française, la filariose lymphatique (FL) est provoquée par un ver parasite, Wuchereria bancrofti.
Le principal vecteur de transmission de la maladie est le moustique Aedes polynesiensis.
Cette maladie a fait l’objet d’une lutte en santé publique depuis des décennies. Depuis 1999, la Polynésie française adhère au programme PacELF (Plan d’élimination de la filariose lymphatique dans le Pacifique) qui intègre :
– la distribution annuelle de médicaments (association de DEC – diéthylcarbamazine et d’albendazole) ;
– la prise en charge des malades atteints de filariose ;
– la lutte contre les vecteurs.L’administration supervisée des médicaments ou POD (Prise Observée Directe) a été mise en place en Polynésie française en 2010. Elle a pour objectif de rendre plus efficace la distribution de masse des médicaments en s’assurant que les personnes prennent réellement les médicaments. L’objectif est une couverture médicamenteuse de 75% de la population cible (excluant les enfants de moins de 2 ans et les femmes enceintes).
Ces médicaments sont utilisés pour détruire les microfilaires chez les porteurs asymptomatiques afin d’interrompre la transmission de la maladie. Ils ont également une action sur les parasites adultes (macrofilaires).
Les personnes infectées par ces parasites sont le plus souvent asymptomatiques : on dit qu’elles sont porteuses de filaires. Le diagnostic est fait grâce à un test sanguin qui met en évidence l’«antigène filarien». Ce test est utilisé pour évaluer l’efficacité des programmes de lutte contre la filariose lymphatique : ces tests sanguins sont faits chez des personnes tirées au sort qui représentent l’ensemble de la population. Lorsque la prévalence (%) de la maladie est inférieure à 1%, on considère que l’objectif d’élimination est atteint.
De 2014 à 2016, des enquêtes d’évaluation ont été menées dans l’ensemble des archipels. Les résultats obtenus sont conformes aux recommandations de l’Organisation Mondiale de la Santé l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) aux Tuamotu-Gambier, aux îles du Vent, aux Australes et aux Marquises Nord. Dans ces archipels il a été possible d’arrêter la POD systématique.Pour les îles Sous-le-Vent (ISLV) et les Marquises sud, la prévalence de l’antigénémie filarienne était >1%, c’est la raison pour laquelle la distribution communautaire et scolaire doit être maintenue en 2018.
Les personnes qui pour des raisons professionnelles ou familiales se rendent fréquemment dans ces deux archipels sont invitées à prendre également les médicaments : ceux-ci seront disponibles dans toutes les structures de santé publique du 1er mars au 30 avril 2018.
Bonne POD 2018 !
Afin de répondre au mieux aux questions de la population, comme chaque année, une page Facebook dédiée à la POD a été mise en place.
Suivez-nous sur la page Facebook POD 2018 pour tout savoir sur la campagne : où poder? qui doit poder? pourquoi poder?
MAITA’I SPORT SANTE
Le réseau Maita’i Sport Santé présente ses ateliers d’activités physiques adaptées le samedi matin 10 mars 2018, de 8H à 11H30, aux jardins de Paofai, dans le cadre de l’évènement Virtual World Rowing Indoor. Si vous souhaitez découvrir le réseau et participer aux ateliers, vous êtes les bienvenus.
Forum Santé au Travail
Le Dr Jacques Raynal, ministre des Solidarités et de la santé, a ouvert ce jeudi, à la Présidence, le Forum santé au travail, en présence des entreprises actives engagées dans la démarche, de l’administration publique, de certains partenaires et des membres du gouvernement.
Ce forum a pour objectif de valoriser les actions menées sur le terrain par les entreprises du secteur privé et des services administratifs du Pays et de venir enrichir la réflexion menée au sein des organisations par l’intervention de plusieurs professionnels (médecin du sport, diététicienne, juriste et le Club Idéo).
Les bénéfices attendus de la promotion de la santé au travail portent à la fois sur l’individu lui-même en termes de santé, de l’entreprise en termes de productivité, de la famille et des communautés par transmission de connaissances mais aussi pour tout un chacun car le service rendu à la population n’en sera que renforcé qualitativement.
En Polynésie française, 70% de la population adulte est en surpoids. Afin d’inverser la tendance et d’agir sur les nombreux facteurs de risque qui influencent négativement l’état de santé de la population (sédentarité, consommation d’aliments néfastes pour la santé, alcoolisme, rythmes alimentaires, stress, etc.), il est nécessaire d’agir sur différents fronts. Le ministère et la Direction de la santé, en application du Schéma de prévention, ont considéré la promotion de la santé comme un axe dominant et transversal. En effet, ce schéma prône des environnements favorables à l’alimentation, à un mode de vie physiquement actif, à la prévention des problèmes reliés au poids, au maintien et à l’amélioration de la santé de chacun.
En 2015, huit entreprises ont signé la charte d’engagement avec le ministre des Solidarités et de la Santé. Elles sont aujourd’hui 19 : Air Tahiti Nui, la Caisse de Prévoyance Sociale, Electricité de Tahiti, Brasserie de Tahiti, Tahitienne de Services Publics, Polynésienne des Eaux, Intercontinental Tahiti, Le Méridien, Intercontinental Bora Bora Resort&Spa, SIPAC, Newrest, Interoute, Avis, Plastiserd, Wan D, Nestlé, TEP, Vini, et enfin la Banque de Tahiti.
Deux autres entreprises (Air Tahiti et Sodimark) ont, par ailleurs, rejoint la démarche et signé un accord de collaboration, avant une signature, prochainement, de la charte d’engagement des entreprises actives pour la santé des salariés.
Les actions menées sont diverses et variées, et portent sur l’alimentation et l’activité physique : des rencontres régulières pour faire du sport adapté à tous, des programmes lancés sur le bien-être et la cohésion d’équipe, des nouvelles approches pour les postes de travail (travailler sur un ballon, debout…), des ateliers diététiques, des journées sans ascenseur ou encore des modifications dans les repas d’entreprises…
Les services du Pays ont également rejoint cette démarche depuis l’année dernière, avec, en parallèle, la réalisation d’une enquête sur les besoins et attentes des agents et la rédaction d’un plan d’actions validé en Conseil des ministres en ce début d’année.
Source La Présidence
Des conseils diététiques aux Marquises Sud
Du 21 août au 1er septembre 2017, Hélène Thual (diététicienne au Département des Programmes de Prévention) et Stéphanie Nouel (responsable de la cellule de promotion de la santé de la Subdivision de santé des Marquises) se sont déplacées à l’infirmerie de Vaitahu, l’infirmerie de Omoa et au Centre médical de Hiva Oa.
La formation avait pour objectif d’intégrer des conseils diététiques harmonisés dans le suivi des patients atteintes de certaines Maladies Non Transmissibles (MNT) (obésité, HTA, goutte…) et de développer une technique de communication engageante et motivante pour favoriser le changement de comportement vers des habitudes alimentaires plus saines.
Des temps appréciés par les agents qui ont pu exprimer leurs besoins et difficultés de mise en place du suivi des patients atteints de MNT mais qui sont repartis avec des outils et des méthodes d’application concrètes pour la suite.
Une formation aux couleurs de PEN selon le modèle OMS pour ce projet pilote en Polynésie
« Afin de prévenir les maladies cardiovasculaires, à l’origine de 25 à 30% des décès en Polynésie française, un outil de détection et de prise en charge précoce de ces maladies est en cours d’expérimentation en Polynésie. Cet outil est basé sur le concept PEN (Package for Essential Non communicable diseases), modèle de l’Organisation Mondiale de la Santé.
L’objectif de cet outil est de donner aux professionnels de santé, non médicaux, les compétences et les moyens leur permettant d’identifier les facteurs de risques cardiovasculaires, d’évaluer le risque de maladie grave et de mortalité, et enfin de proposer, si nécessaire, un plan de réduction des risques adapté à chaque situation.
Les professionnels participant à cette démarche pilote ont été conviés, dans un premier temps, à une formation, les 25 et 26 septembre 2017.
Il s’agissait, lors de la première journée animée par Dr Philippe Biarez et Dr Francis Spaack, de faire un rappel des connaissances de base concernant les maladies cardiovasculaires puis de présenter et d’échanger sur les différents supports qui composent l’outil (fiches techniques, méthodologie, etc.). La seconde journée s’attardait sur la communication aux personnes intégrant le programme : « Comment les sensibiliser, les engager, les valoriser pour faire évoluer leurs habitudes de vie vers un comportement sain, plus protecteur pour leur santé ». Ce temps de formation a permis d’échanger sur la technique d’entretien motivationnel avec Dr Marie-Françoise Brugiroux, responsable du Centre de Consultations Spécialisées en Alcoologie et en Toxicomanie (CCSAT) et de développer les aspects diététiques autour de l »équilibre alimentaire avec Mme Hélène Thual (diététicienne au Département des Programmes de Prévention (DPP).
Suite à cette formation, l’outil sera expérimenté sur le terrain et évalué, entre Octobre 2017 et Mars 2018, afin d’y apporter l’ensemble des améliorations nécessaires avant un déploiement plus large. »