Annuaire des structures de la Direction de la santé

  • La journée mondiale de lutte contre le SIDA

    La journée mondiale de lutte contre le Sida a lieu le 1er décembre, elle a été instituée lors du Sommet des ministres de la Santé sur les programmes de prévention du Sida de 1988. Elle est un temps fort de mobilisation et d’engagement afin de sensibiliser à l’importance d’apporter un soutien aux personnes vivant avec le VIH/Sida et de rendre hommage à ceux et celles qui ont perdu la vie à cause de celui-ci. Cette crise sanitaire est en effet révélatrice d’inégalités bien établies dans nos sociétés et qui se font davantage sentir chez les populations les plus vulnérables. La pandémie actuelle a renforcé les difficultés auxquelles sont confrontées les personnes vivant avec le VIH, notamment en ce qui concerne l’accès aux soins de santé vitaux. En Polynésie française, le contexte sanitaire de la Covid-19 a entraîné une situation préoccupante des infections sexuellement transmissibles (IST). En effet, le centre des maladies infectieuses et tropicales (CMIT) de la Direction de la santé fait les constats suivants:

    • 32,5% des personnes ayant des partenaires multiples utilisent peu ou pas de préservatif;

    • Les personnes qui se sont exposées aux risques de contracter une infection sexuellement transmissible tardent à aller consulter;

    • Les personnes porteuses du VIH augmentent les risques de surinfections des autres IST.

    Cette année, la Direction de la santé en partenariat avec l’association de lutte contre le Sida (ACS) organise des opérations coup de poing dans les grandes surfaces et les bars à Tahiti et dans les îles, le mercredi 1er décembre 2021. Dans les grandes surfaces : Champion, Carrefour et Easy market.

    • Les professionnels porteront un t-shirt à l’effigie du nœud rouge, emblème du Sida;

    • Des spots de prévention des IST/Sida seront diffusés à travers les canaux télévisés;

    • Vente de rubans rouges dont les fonds récoltés seront reversés à ACS.

    Dans les bars en soirée :

    • Les professionnels porteront un t-shirt à l’effigie du nœud rouge, emblème du Sida;

    • Mise à disposition de préservatifs et de rubans rouges pour les usagers;

    • Point lnfo.

    Au parc Bougainville, des dépistages et un point infos seront organisés par les professionnels de la santé toute la journée du 1er décembre.

    La journée mondiale de lutte contre le SIDA

    La journée mondiale de lutte contre le Sida a lieu le 1er décembre, elle a été instituée lors du Sommet des ministres de la Santé sur les programmes de prévention du Sida de 1988. Elle est un temps fort de mobilisation et d’engagement afin de sensibiliser à l’importance d’apporter un soutien aux personnes vivant avec le VIH/Sida et de rendre hommage à ceux et celles qui ont perdu la vie à cause de celui-ci. Cette crise sanitaire est en effet révélatrice d’inégalités bien établies dans nos sociétés et qui se font davantage sentir chez les populations les plus vulnérables. La pandémie actuelle a renforcé les difficultés auxquelles sont confrontées les personnes vivant avec le VIH, notamment en ce qui concerne l’accès aux soins de santé vitaux. En Polynésie française, le contexte sanitaire de la Covid-19 a entraîné une situation préoccupante des infections sexuellement transmissibles (IST). En effet, le centre des maladies infectieuses et tropicales (CMIT) de la Direction de la santé fait les constats suivants:

    • 32,5% des personnes ayant des partenaires multiples utilisent peu ou pas de préservatif;

    • Les personnes qui se sont exposées aux risques de contracter une infection sexuellement transmissible tardent à aller consulter;

    • Les personnes porteuses du VIH augmentent les risques de surinfections des autres IST.

    Cette année, la Direction de la santé en partenariat avec l’association de lutte contre le Sida (ACS) organise des opérations coup de poing dans les grandes surfaces et les bars à Tahiti et dans les îles, le mercredi 1er décembre 2021. Dans les grandes surfaces : Champion, Carrefour et Easy market.

    • Les professionnels porteront un t-shirt à l’effigie du nœud rouge, emblème du Sida;

    • Des spots de prévention des IST/Sida seront diffusés à travers les canaux télévisés;

    • Vente de rubans rouges dont les fonds récoltés seront reversés à ACS.

    Dans les bars en soirée :

    • Les professionnels porteront un t-shirt à l’effigie du nœud rouge, emblème du Sida;

    • Mise à disposition de préservatifs et de rubans rouges pour les usagers;

    • Point lnfo.

    Au parc Bougainville, des dépistages et un point infos seront organisés par les professionnels de la santé toute la journée du 1er décembre.

  • La Direction de la santé organise un séminaire sur l’éducation à la sexualité

    Du 23 septembre au 4 octobre 2019 se déroulera un séminaire sur l’éducation à la sexualité organisé par la Direction de la santé dans les locaux de l’IFPS à Mamao. Il réunira des professionnels de santé et de l’éducation. Ce séminaire sera animé par deux experts du CRIPS Ile-de-France (Centre régional d’information et de prévention du sida et pour la santé des jeunes).

    La Direction de la santé organise, du 23 septembre au 4 octobre 2019, un séminaire sur l’éducation à la sexualité. Deux experts du CRIPS Île-de-France, Mme Laura BELTRAN, psychologue et sexologue, et M. Benoît FELIX, formateur de professionnels de santé, fondateur du Cybercrips, seront présents pour renforcer les compétences des professionnels de santé et de l’éducation du territoire. En effet, le présent séminaire vise à :

    • Actualiser les connaissances des intervenants en éducation et promotion à la santé sexuelle.
    • Harmoniser et favoriser les pratiques s’inspirant du counseling et des techniques de la communication brève.

    Il comportera trois temps forts :

    • Le regroupement de 60 professionnels.
    • Des rencontres avec les éducateurs des IIME accueillant des enfants et adolescents atteints de handicap.
    • Une conférence-débat « Sexualité et adolescence » animée par les experts et destinée aux professionnels de la santé, de l’éducation, du secteur social et de la jeunesse.

    Les professionnels régulièrement formés à l’éducation à la sexualité

    Depuis 2001, la Direction de la santé a mis en place plusieurs formations de professionnels sur cette thématique : de 2001 à 2009, formations de formateurs et des premiers professionnels relais ; en 2012, formation à la promotion à la santé ciblant l’éducation à la sexualité. Elle assure aussi la formation d’élèves relais.

    Contribuer à la construction de la personne et à l’éducation du citoyen

    L’éducation à la sexualité ou éducation à la vie affective et sexuelle consiste à apporter aux enfants, adolescents et adultes des connaissances, des compétences et des valeurs afin qu’ils accèdent à une sexualité libre, respectueuse, responsable et saine à la fois sur le plan physique, psychologique et social. L’éducation à la sexualité contribue ainsi non seulement à la construction de la personne mais aussi à l’éducation du citoyen.

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  • Communiqué de presse

    La Direction de la santé organise un séminaire sur l’éducation à la sexualité

    Résumé:

    Du 23 septembre au 4 octobre 2019 se déroulera un séminaire sur l’éducation à la sexualité organisé par la Direction de la santé dans les locaux de l’IFPS à
    Mamao. Il réunira des professionnels de santé et de l’éducation. Ce séminaire sera animé par deux experts du CRIPS Ile-de-France (Centre régional d’information et de prévention du sida et pour la santé des jeunes).

  • Article

    L’hôpital de Moorea-Maiao se prépare à la prévention des Infections Sexuellement Transmissibles (IST).

    Ce vendredi 5 avril 2019 se sont déroulées des séances de mise à jour des connaissances et compétences en matière d’IST pour tout le personnel des Formations sanitaires de Moorea. Les infirmières, aides-soignantes, secrétaires, femmes de service, chauffeurs ouvriers polyvalents, médecins et sages femmes. Tous ont participé, chacun avec leur niveau de connaissance et de compétence, dans le but de mieux comprendre le fonctionnement des IST, leurs enjeux et qu’ils puissent efficacement accueillir, conseiller, prendre en charge et orienter la population.

    Les prochaines étapes seront la sensibilisation des 600 élèves attendus à Moorea pour la course de Vaa Eimeho Race en mai, puis la tournée « Capote Moz Tour » auprès des jeunes de Moorea dans la soirée du 7 juin. Informations, dépistages rapides et gratuits avec le camion de maraude et enquête sur les IST seront prévus.

    Les objectifs de ce projet sont de diminuer le risque de transmission des IST et de promouvoir une sexualité responsable et épanouie notamment auprès des jeunes.

  • Article

    Le bus médicalisé a opéré 66 dépistages lors de l’élection Miss Vahine-Tane.

    Le vendredi 15 mars, le camion de l’espoir s’est rendu à partir de 18h30 devant l’entrée du restaurant Captain Blight pour l’élection de Miss Vahine Tane. Des médecins et infirmiers bénévoles ont procédé pendant la soirée a des dépistages IST (Infections Sexuellement Transmissibles).

    Malgré la timidité des passants, au total ce sont 66 tests qui ont été réalisés, dont 2 personnes surprises par le résultat positif à la syphilis. Les cas positifs peuvent choisir de se faire traiter ultérieurement, ainsi ils sont rappelés plus tard pour convenir d’un rendez-vous et pouvoir compléter les recherches d’éventuelles autres IST et traiter la syphilis d’une manière plus confidentielle, plus discrètement.

    La pluie était au RDV mais elle n’est pas restée bien longtemps ! Ce fut une très très belle soirée avec de belles rencontres, de beaux échanges, des questions pertinentes sur les IST et la prévention.

    Stéphane ALARCON, infirmier au centre de consultations spécialisées en maladies infectieuses et tropicales (CCSMIT).

  • Crédit photo : Présidence de la Polynésie française

    Communiqué de presse

    Le ministre de la Santé et de la prévention, Jacques Raynal, a officiellement présenté, jeudi après-midi, à la Direction de la santé, le nouveau bus IST (Infections sexuellement transmissibles) pour les populations précaires.

    A la fin de 2014, devant la ré-émergence rapide d’infections sexuellement transmises, le centre de consultations spécialisées en maladies infectieuses et tropicales a lancé le projet de suivi des populations précaires. Il s’agit principalement des travailleurs du sexe et des personnes sans domicile fixe qui sont souvent sortis du système de soins normal car étant marginalisés. Ce projet visait à offrir une prise en charge rapide de ces personnes vulnérables devant ces pathologies et mal suivies médicalement. L’objectif initial était de ralentir, voire empêcher la diffusion de ces pathologies dans ces populations et, par extension, dans la population en général.

    Ces populations sont non seulement en situation sociale précaire, mais elles sont aussi difficiles à atteindre sur le plan médical car souvent invisibles dans le système médical. La nécessité de pouvoir les suivre sur le terrain et dans des bonnes conditions (respect de secret médical, respect du standard de soins et d’accès rapides aux informations médicales) implique un outil adapté : un camion spécifique pour effectuer ces consultations mobiles.

    Par ailleurs, devant les difficultés croissantes et l’augmentation des personnes sans domicile fixe, le ministère de la Santé et la direction de la Santé ont donné une impulsion décisive à ce projet en élargissant ses actions et ses moyens pour la prise en charge dans ces populations des personnes souffrant de troubles psychiatriques.

    Le camion de consultation mobile est équipé pour pouvoir mener un entretien médical en toute discrétion, effectuer des prélèvements et des traitements dans des conditions médicalement adéquates et pouvoir suivre ces populations extrêmement mouvantes et dispersées. L’objectif principal est d’établir une relation de confiance avec ces personnes et d’apporter une réponse médicale rapide à ces populations isolées socialement et médicalement. Dans un 2ème temps, un des objectifs est de les réinsérer dans un système de soins classique et les orienter vers les structures sanitaires les plus adaptées pour leur suivi. Dans ce sens, ce camion de consultation mobile ne se substitue pas aux structures de soins classiques mais travaille en complémentarité et en synergie avec ces structures.

    A moyen et à long terme il s’agit de favoriser la réinsertion médicale, et si possible, sociale de ces personnes par une approche multi disciplinaire de terrain impliquant différents partenaires médico-sociaux.

    De façon plus globale, les autorités sanitaires veulent souligner la spécificité des besoins de ces personnes précaires et proposent des réponses adaptées à leur situation. Il s’agit de réduire les inégalités à l’accès aux soins et de favoriser la réinsertion médico-sociale de ces personnes.

  • Communiqué de presse

    Journée mondiale de lutte contre le Sida

    Résumé:

    Pour lutter contre les infections sexuellement transmissibles (IST) observées en Polynésie française, la Direction de la santé met en place des actions de dépistage et de prévention.

    Téléchargez le dossier de presse complet : Communiqué de Presse – Journée mondiale de lutte contre le Sida

  • La Direction de la santé est partenaire de la Nuit des Publivores

    La lutte contre les Infections Sexuellement Transmissibles (IST) a été mise à l’honneur ce samedi 14 octobre 2017 lors de la Nuit des Publivores qui a été organisée au Grand Théâtre de la maison de la Culture à Tahiti.

    Née à Paris, la Nuit des Publivores est devenue en 37 ans le rendez-vous incontournable des amoureux du cinéma publicitaire sur les 5 continents. On oublie le côté commercial des films et on apprécie les publicités pour leurs qualités artistiques et cinématographiques. L’an dernier à Tahiti ce sont plus de 900 personnes (jeunes étudiants principalement) qui étaient venues apprécier une soirée fun faite de jeux, d’animations et de spectacles. Une cible importante dans la campagne de lutte contre les IST. Cette année, environ 700 personnes ont été rassemblées. Lors de cette soirée, des spots de prévention contre les IST ont été diffusés et une distribution de préservatifs a été assurée pour tous les participants


  • La zone Pacifique se mobilise pour lutter contre les Maladies Non Transmissibles

    En partenariat avec le ministère des Solidarités et de la santé et la Direction de la santé, la Division santé de la Communauté du Pacifique a ouvert une deuxième session de formation, centrée sur l’analyse des données recueillies, ce lundi matin, à l’Institut de formation des Professions de santé (IFPS) Mathilde Frébault, à Papeete.

    Mise en place avec la Division santé de la Communauté du Pacifique, cette formation se déroulera jusqu’au 12 octobre prochain. En juin dernier, la première session s’est déroulée à Nouméa et avait pour objectif d’élaborer un questionnaire, de collecter des données sur le terrain et de saisir ces données dans un logiciel.

    L’objectif est de former les agents de terrains à la collecte et l’analyse de données concernant les maladies non transmissibles afin de leur permettre par la suite de réaliser des enquêtes auprès de leur population, ce qui permettra de cibler et adapter au mieux leurs interventions et actions de promotion de la santé/prévention. C’est une formation qui se veut pratique et appliquée : alternance de session de formation et de mise en application par les participants.

    La thématique choisie pour cette formation : études des habitudes de vie des jeunes femmes de 18 à 25 ans car cette tranche d’âge de la population est aujourd’hui peu étudiée alors qu’il s’agit d’une phase clef de la vie (fin des études, installation en couple, entrée dans la vie active, premier enfant, autant d’évènements qui influencent les comportements et les modes de vie).

    Six agents de la Direction de la santé de Polynésie française participent à cette session ainsi que des agents issus des pays et territoires francophones de la région, Wallis et Futuna, Nouvelle-Calédonie et Vanuatu.

    Source La Présidence de la Polynésie française

  • L’Ecole de commerce de Tahiti réalise deux spots vidéos sur les IST en collaboration avec la Direction de la santé

     

     

    Après une semaine de défi d’intégration, les étudiants en première année de l’École de commerce de Tahiti ont réussi à créer deux spots vidéos informant les jeunes de la prévention contre les infections sexuellement transmissibles. Ils ont présenté leurs travaux vendredi dernier devant les officiels de la direction de la Santé. 

    Comment faire passer simplement aux jeunes le message de la prévention contre les maladies sexuellement transmissibles (IST) ? Comment leur faire savoir que le test est gratuit, prend quelques minutes seulement et est totalement anonyme dans les 8 centres de dépistage de Polynésie ? 

    Les campagnes officielles jouent leur rôle, mais les chiffres montrent une recrudescence des IST ces dernières années… Pour toucher la nouvelle génération, il faut clairement changer d’approche. Et pour ça, le mieux c’est de laisser faire les jeunes ! C’est en tout cas l’idée derrière le défi lancé aux premières années de l’École de Commerce de Tahiti (ECT) par deux élève de troisième année en stage à la CPS. Aidés de leurs aînés de deuxième année, de leurs coachs et de deux spécialistes de la question – Stéphane Alarcon et le docteur Lam Nguyen – ils ont relevé le défi. 

    Ils ont produit deux vidéos (qui devraient être partagées sur les réseaux sociaux) avec une approche narrative originale. Mickaël Travers, l’un des producteurs des vidéos, explique que « pour faire passer le message, particulièrement aux jeunes, nous avons personnifier l’IST pour montrer qu’elle peut toucher tout le monde, qu’ils se la représentent bien dans la tête. On a beaucoup travailler sur ça, je pense que ça peut aider à faire passer un bon message ! » 

    « Je trouve qu’ils parlent beaucoup mieux du sexe que nous » 

    Et ils ont convaincu à la fois le docteur Laurence Bonnac-Theron (directrice de la direction de la Santé, leur donneur d’ordre) qui a validé les productions, et surtout ceux qui les ont accompagnés pendant ces cinq jours intenses. 

    Le docteur Lam Nguyen explique ainsi que « c’est absolument indispensable de collaborer avec des jeunes sur ces sujets. Comme vous le savez, les IST sont liées aux activités sexuelles et les jeunes sont particulièrement actifs dans ce domaine. Ils sont beaux, ils sont plein d’énergie… Mais c’est leur avenir qui est en jeu ! La sensibilisation est un travail de longue haleine, donc j’espère qu’il y aura une collaboration continue avec les jeunes, ceux de l’ECT et les autres. Surtout que je trouve qu’ils parlent beaucoup mieux du sexe que nous, nous on est trop vieux ! » 

    Julie Maugey, du magazine Hine, les a coaché toute la semaine. Elle explique leur avoir apporté « des outils et des techniques pour les rendre autonomes et travailler en équipe. On leur a donné les moyens de se répartir les tâches, de créer des groupes, d’avoir des objectifs à respecter chaque jour… Et bien sûr de la motivation. Maintenant il faut que vous regardiez les vidéos pour me dire ce que vous en pensez ! »

    Source Tahiti Infos