Annuaire des structures
Succès de la 1ère édition du EA’ttitude challenge sur l’île de Hao aux Tuamotu
Samedi 29 février, le centre médical de Hao a organisé sa 1ère édition du EA’ttitude Challenge. Une journée récréative de 3 heures réunissant 76 participants. L’objectif de cette journée était de promouvoir le sport en groupe de façon ludique pour lutter contre la surcharge pondérale et la sédentarité chez les adultes.
L’évènement a débuté par une séance d’échauffement pour préparer les participants au challenge. Inspiré de la méthode HIIT (High Intensity Interval Training), le circuit était composé de six ateliers gérés par différentes associations sportives de Hao (futsal, handball, volleyball, cross-fit, course à pied, basketball) et de six ateliers de renforcement musculaire. Chaque atelier était réalisé en équipe de deux personnes. De cette façon, les activités étaient ludiques et non perçues comme une contrainte.
Les organisateurs ont aussi prévu le jeu de la balle aux prisonniers pour sortir des activités ordinaires. Également au programme, un marathon Zumba d’une heure et quart animé par 3 chorégraphes locaux. Des bouteilles d’eau et des collations composées de fruits ont été distribuées aux participants durant l’évènement. Dans une ambiance joyeuse et sportive, cet événement s’est clôturé autour d’une séance d’étirements.
Un grand merci aux personnels du Centre Médical de Hao, à la Commune de Hao et ses agents, aux associations sportives, au Département des Programmes de Prévention, à la Subdivision Tuamotu Gambier, à l’armateur Maris Stella, à la Brasserie de Tahiti.
Retrouvez toutes les photos de l’Évènement sur la page EA’ttitude.
Nous suivre
Succès de la 1ère édition du EA’ttitude challenge sur l’île de Hao aux Tuamotu
Samedi 29 février, le centre médical de Hao a organisé sa 1ère édition du EA’ttitude Challenge. Une journée récréative de 3 heures réunissant 76 participants. L’objectif de cette journée était de promouvoir le sport en groupe de façon ludique pour lutter contre la surcharge pondérale et la sédentarité chez les adultes.
L’évènement a débuté par une séance d’échauffement pour préparer les participants au challenge. Inspiré de la méthode HIIT (High Intensity Interval Training), le circuit était composé de six ateliers gérés par différentes associations sportives de Hao (futsal, handball, volleyball, cross-fit, course à pied, basketball) et de six ateliers de renforcement musculaire. Chaque atelier était réalisé en équipe de deux personnes. De cette façon, les activités étaient ludiques et non perçues comme une contrainte.
Les organisateurs ont aussi prévu le jeu de la balle aux prisonniers pour sortir des activités ordinaires. Également au programme, un marathon Zumba d’une heure et quart animé par 3 chorégraphes locaux. Des bouteilles d’eau et des collations composées de fruits ont été distribuées aux participants durant l’évènement. Dans une ambiance joyeuse et sportive, cet événement s’est clôturé autour d’une séance d’étirements.
Un grand merci aux personnels du Centre Médical de Hao, à la Commune de Hao et ses agents, aux associations sportives, au Département des Programmes de Prévention, à la Subdivision Tuamotu Gambier, à l’armateur Maris Stella, à la Brasserie de Tahiti.
Retrouvez toutes les photos de l’Évènement sur la page EA’ttitude.
Nous suivre
Mise en application de la mesure du 02 mars 2020 pour éviter l’introduction du COVID-19 (coronavirus) en Polynésie française
Par note du 28 février 2020, il a été indiqué qu’à compter du 2 mars 2020, toute personne (y compris les personnels navigants) doit présenter à l’embarquement d’un vol à destination de la Polynésie française, une attestation médicale datant de moins de 5 jours certifiant l’état de santé exempt de tout signe clinique d’infection décelable.
Afin de permettre la mise en application de cette mesure, il est décidé de la rendre applicable à compter du 9 mars et jusqu’au 31 mars. À cette date, il sera fait le point de la situation sanitaire du Pays pour une éventuelle reconduction de la mesure.
Jusqu’au 9 mars, les précédentes mesures restent en vigueur, à savoir la présentation d’une attestation médicale certifiant l’état de santé du voyageur datant de moins 5 jours, présentée à l’embarquement des vols à destination de la Polynésie française, par tout voyageur ayant séjourné dans une zone d’exposition à risque dans les 30 jours précédant le voyage.
Cette information, ainsi que les points de situation sur le virus et les informations destinées aux voyageurs, sont disponibles et actualisés sur une page internet dédiée sur le site internet de la Direction de la santé à l’adresse suivante : https://www.service-public.pf/dsp/covid-19/
À ce jour, il n’y a aucune introduction de Covid 19 (coronavirus) en Polynésie française.
Nous suivre
Nous suivre
Coronavirus COVID-19 : Questions/réponses à la radio
Par note du 28 février 2020, il a été indiqué qu’à compter du 2 mars 2020, toute personne (y compris les personnels navigants) doit présenter à l’embarquement d’un vol à destination de la Polynésie française, une attestation médicale datant de moins de 5 jours certifiant l’état de santé exempt de tout signe clinique d’infection décelable.
Afin de permettre la mise en application de cette mesure, il est décidé de la rendre applicable à compter du 9 mars et jusqu’au 31 mars. A cette date, il sera fait le point de la situation sanitaire du Pays pour une éventuelle reconduction de la mesure.
Jusqu’au 9 mars, les précédentes mesures restent en vigueur, à savoir la présentation d’une attestation médicale certifiant l’état de santé du voyageur datant de moins 5 jours, présentée à l’embarquement des vols à destination de la Polynésie française, par tout voyageur ayant séjourné dans une zone d’exposition à risque dans les 30 jours précédant le voyage.
Cette information, ainsi que les points de situation sur le virus et les informations destinées aux voyageurs, sont disponibles et actualisés sur une page internet dédiée sur le site internet de la Direction de la santé à l’adresse suivante : https://www.service-public.pf/dsp/covid-19/
À ce jour, il n’y a aucune introduction de Covid 19 (coronavirus) en Polynésie française.
Nous suivre
Coronavirus COVID-19 : Questions/réponses à la radio
Ce vendredi 28 février, le docteur Segalin de la Direction de la santé accompagné du docteur Tetaria ont répondu aux questions de la population dans une émission spéciale dédiée au Coronavirus COVID-19 sur radio Polynésie la 1ère.
La Direction de la santé a souhaité répondre aux interrogations de la population polynésienne en organisant avec le concours de Polynésie la 1ère une émission radio sur le Coronavirus. Le docteur Segalin de la Direction de la santé et le docteur Charles Tetaria étaient à l’antenne dans l’émission « C’est que du bonheur » pour apporter en direct des réponses aux questions du public en français et en tahitien.
Réécoutez l’enregistrement de l’émission sur le site de Polynésie la 1ère : https://la1ere.francetvinfo.fr/polynesie/emissions-radio/8h-11h-c-est-que-du-bonheur
Nous suivre
Coronavirus COVID-19 : Questions/réponses à la radio
Ce vendredi 28 février, le docteur Segalin de la Direction de la santé accompagné du docteur Tetaria ont répondu aux questions de la population dans une émission spéciale dédiée au Coronavirus COVID-19 sur radio Polynésie la 1ère.
La Direction de la santé a souhaité répondre aux interrogations de la population polynésienne en organisant avec le concours de Polynésie la 1ère une émission radio sur le Coronavirus. Le docteur Segalin de la Direction de la santé et le docteur Charles Tetaria étaient à l’antenne dans l’émission « C’est que du bonheur » pour apporter en direct des réponses aux questions du public en français et en tahitien.
Réécoutez l’enregistrement de l’émission sur le site de Polynésie la 1ère : https://la1ere.francetvinfo.fr/polynesie/emissions-radio/8h-11h-c-est-que-du-bonheur
Nous suivre
Mission de la Direction de la santé à Rikitea
Le ministre de la Santé, Jacques Raynal, accompagné de la directrice de la santé, Laurence Bonnac-Théron, et du subdivisionnaire des Tuamotu-Gambier, François Laudon, s’est rendu à Mangareva, dans le village de Rikitea, du 15 au 18 février.
Cette mission avait pour objectif principal d’acter la réhabilitation du centre médical, mais aussi le renouvellement des contrats de travail du personnel soignant et la mise en place d’une collaboration avec les établissements scolaires et la municipalité.
La direction de la santé a lancé plusieurs audits techniques et de sécurité des centres de soins de l’archipel des Tuamotu Gambier au dernier trimestre. Le centre médical de Rikitea construit dans les années 1980 est devenu, aujourd’hui, un établissement peu conforme avec la règlementation sanitaire en vigueur.
Reçu par le conseil municipal de Rikitea, le ministre de la Santé a saisi le maire de l’île, Vai Gooding, sur la nécessité de réhabiliter le centre médical destiné à recevoir du public. A ce titre, les travaux de réfection de la toiture, la sécurisation du réseau électrique, la mise aux normes de la plomberie et de l’assainissement devront démarrer au second semestre de cette année. Durant la durée des travaux, le maire de Rikitea accueillera l’équipe soignante dans des locaux de « transit » de la commune.
Une rencontre avec le personnel soignant a aussi permis à la délégation de prendre la pleine mesure des conditions de travail dans un milieu insulaire isolé, en particulier à Mangareva, l’île la plus orientale de Polynésie à 1650 km de Tahiti avec un seul vol aérien commercial par semaine. Dans l’attente de l’organisation de concours de recrutement, le ministre Jacques Raynal va proposer au gouvernement de proroger les contrats de travail de personnels déjà présents sur l’île afin d’assurer une continuité pour des soins de qualité.
La délégation a ensuite été reçue par Joséphine Labeyie-Lehartel, directrice de l’école élémentaire de l’île, et Dany Paheo, adjoint de la directrice du collège Saint Raphael et référent en langues mangaréviennes. Ils ont pu échanger sur la mise en place du projet « Ecole en Santé » ainsi que sur les actions d’éducation à la sexualité et de lutte contre les addictions. Cette rencontre a permis de renforcer l’orientation vers davantage de prévention pour le centre médical adapté au milieu scolaire.
Par ailleurs, l’infirmière de promotion de santé communautaire, recrutée au dispensaire des Tuamotu Gambier viendra régulièrement en mission pour accompagner les acteurs de terrain.
La délégation et le maire se sont rendus sur le site où se trouve le bassin de filtration d’eau potable soit par captage d’eau de ruissellement ou par forage. A ce jour, Rikitea est la seule commune de l’archipel à avoir un réseau communal de distribution d’eau potable, soit 12 300 mètres de canalisations pour 300 abonnés. Le ministre de la Santé, Jacques Raynal, demandera, dès son retour de mission, au service d’hygiène publique d’accompagner la commune pour améliorer la qualité de l’eau potable par une surveillance bactériologique active.
Source : Présidence de la Polynésie française
Nous suivre
Nous suivre
Mission de la Direction de la santé à Rikitea
Le ministre de la Santé, Jacques Raynal, accompagné de la directrice de la santé, Laurence Bonnac-Théron, et du subdivisionnaire des Tuamotu-Gambier, François Laudon, s’est rendu à Mangareva, dans le village de Rikitea, du 15 au 18 février.
Cette mission avait pour objectif principal d’acter la réhabilitation du centre médical, mais aussi le renouvellement des contrats de travail du personnel soignant et la mise en place d’une collaboration avec les établissements scolaires et la municipalité.
La direction de la santé a lancé plusieurs audits techniques et de sécurité des centres de soins de l’archipel des Tuamotu Gambier au dernier trimestre. Le centre médical de Rikitea construit dans les années 1980 est devenu, aujourd’hui, un établissement peu conforme avec la règlementation sanitaire en vigueur.
Reçu par le conseil municipal de Rikitea, le ministre de la Santé a saisi le maire de l’île, Vai Gooding, sur la nécessité de réhabiliter le centre médical destiné à recevoir du public. A ce titre, les travaux de réfection de la toiture, la sécurisation du réseau électrique, la mise aux normes de la plomberie et de l’assainissement devront démarrer au second semestre de cette année. Durant la durée des travaux, le maire de Rikitea accueillera l’équipe soignante dans des locaux de « transit » de la commune.
Une rencontre avec le personnel soignant a aussi permis à la délégation de prendre la pleine mesure des conditions de travail dans un milieu insulaire isolé, en particulier à Mangareva, l’île la plus orientale de Polynésie à 1650 km de Tahiti avec un seul vol aérien commercial par semaine. Dans l’attente de l’organisation de concours de recrutement, le ministre Jacques Raynal va proposer au gouvernement de proroger les contrats de travail de personnels déjà présents sur l’île afin d’assurer une continuité pour des soins de qualité.
La délégation a ensuite été reçue par Joséphine Labeyie-Lehartel, directrice de l’école élémentaire de l’île, et Dany Paheo, adjoint de la directrice du collège Saint Raphael et référent en langues mangaréviennes. Ils ont pu échanger sur la mise en place du projet « Ecole en Santé » ainsi que sur les actions d’éducation à la sexualité et de lutte contre les addictions. Cette rencontre a permis de renforcer l’orientation vers davantage de prévention pour le centre médical adapté au milieu scolaire.
Par ailleurs, l’infirmière de promotion de santé communautaire, recrutée au dispensaire des Tuamotu Gambier viendra régulièrement en mission pour accompagner les acteurs de terrain.
La délégation et le maire se sont rendus sur le site où se trouve le bassin de filtration d’eau potable soit par captage d’eau de ruissellement ou par forage. A ce jour, Rikitea est la seule commune de l’archipel à avoir un réseau communal de distribution d’eau potable, soit 12 300 mètres de canalisations pour 300 abonnés. Le ministre de la Santé, Jacques Raynal, demandera, dès son retour de mission, au service d’hygiène publique d’accompagner la commune pour améliorer la qualité de l’eau potable par une surveillance bactériologique active.
Source : Présidence de la Polynésie française
Nous suivre
Les inscriptions à la formation en soins infirmiers de l’IFPS sont ouvertes
L’institut de formation des professions de santé Mathilde Frébault (IFPS) informe que les inscriptions pour accéder à la formation pour l’obtention du diplôme d’Etat d’infirmier sont ouvertes.
- PARCOURSUP (11 places) dorénavant ouvert pour tout candidat bachelier ou futur bachelier. Pour se rendre sur la fiche de l’institut, veuillez suivre les étapes suivantes :
- Se rendre à l’adresse : https://dossier.parcoursup.fr/Candidat/carte
- Dans « Recherche des formations », inscrire « Formation Polynésie »
- Cliquer ensuite sur « Voir les plus proches »
- Dans les options qui correspondent à votre recherche, cliquer sur la fiche de l’Institut de Formation profession Sante Mathilde Frébault
- CONCOURS (4 places) à compter d’aujourd’hui, lundi 24 février 2020 dès 8h pour les candidats relevant de la formation professionnelle continue et en reconversion professionnelle, justifiant de 3 ans d’expérience et 3 ans de cotisation à un régime de protection sociale. Le dossier d’inscription est téléchargeable sur le site internet de la Direction de la santé. Il devra impérativement être déposé complet au plus tard au secrétariat de l’IFPS le lundi 9 mars 2020 avant 16h00. Pour les envois par la poste, cachet de la poste faisant foi.
Les inscriptions à la formation en soins infirmiers de l’IFPS sont ouvertes
L’institut de formation des professions de santé Mathilde Frébault (IFPS) informe que les inscriptions pour accéder à la formation pour l’obtention du diplôme d’Etat d’infirmier sont ouvertes.
- PARCOURSUP (11 places) dorénavant ouvert pour tout candidat bachelier ou futur bachelier. Pour se rendre sur la fiche de l’institut, veuillez suivre les étapes suivantes :
- Se rendre à l’adresse : https://dossier.parcoursup.fr/Candidat/carte
- Dans « Recherche des formations », inscrire « Formation Polynésie »
- Cliquer ensuite sur « Voir les plus proches »
- Dans les options qui correspondent à votre recherche, cliquer sur la fiche de l’Institut de Formation profession Sante Mathilde Frébault
- CONCOURS (4 places) à compter d’aujourd’hui, lundi 24 février 2020 dès 8h pour les candidats relevant de la formation professionnelle continue et en reconversion professionnelle, justifiant de 3 ans d’expérience et 3 ans de cotisation à un régime de protection sociale. Le dossier d’inscription est téléchargeable sur le site internet de la Direction de la santé. Il devra impérativement être déposé complet au plus tard au secrétariat de l’IFPS le lundi 9 mars 2020 avant 16h00. Pour les envois par la poste, cachet de la poste faisant foi.
Nous suivre
- PARCOURSUP (11 places) dorénavant ouvert pour tout candidat bachelier ou futur bachelier. Pour se rendre sur la fiche de l’institut, veuillez suivre les étapes suivantes :
Communiqué de presse
Inscriptions à la formation en soins infirmiers 2020 à l’institut de formation des professions de santé Mathilde Frébault (IFPS)
Résumé:
L’institut de formation des professions de santé Mathilde Frébault (IFPS) informe que les inscriptions pour accéder à la formation pour l’obtention du diplôme d’Etat d’infirmier sont ouvertes.
Création de deux structures pour femmes et mineurs victimes de violence
Dans le cadre du plan de prévention de la délinquance 2018-2020, le Ministère de la Santé en collaboration avec le Procureur Général ont travaillé de concert afin de permettre la réalisation de 2 établissements d’accompagnement en faveur des femmes et des mineurs victimes de violences, regroupant les milieux sanitaire et judiciaire.
En Polynésie française, chaque année :
- près de 1 500 femmes sont victimes de violences criminelles ou délictuelles. Chaque jour, 4 femmes sont victimes d’un acte violent connu des services de police et de gendarmerie.
- en moyenne 2 000 enfants font l’objet de mesure de protection judiciaire. 60% sont des enfants suivis pour violences physiques et sexuelles. Les violences faites aux enfants, ont des conséquences catastrophiques à court, moyen et long terme sur leur santé physique et psychique. Les conséquences sociales à long terme le sont également, car elles constituent le départ d’un véritable cycle d’échec et de violence (échecs scolaires, conduites addictives – tabac, alcool, drogues – marginalisation, isolement social, exclusion, délinquance).
Le nombre de victimes de violences, augmente depuis plusieurs années et la tendance est à la hausse pour 2019.
Face à ces constats alarmants, le Conseil de Prévention de la Délinquance en Polynésie française (C.P.D.P.F) co-présidé par le Haut-commissaire, le Président du Pays et le Procureur Général ont arrêté un plan de prévention de la délinquance 2018-2020 qui s’articulent autour de 4 priorités dont celle d’améliorer la prévention des violences intrafamiliales visant le développement des prises en charge médico-judiciaire des victimes.
Le Ministère de la Santé en collaboration avec le Procureur Général ont travaillé de concert afin de permettre la réalisation de 2 établissements d’accompagnement en faveur des femmes et des mineurs victimes de violences, regroupant les milieux sanitaire et judiciaire.
La structure dénommée TUIAU TAMA destinée aux mineurs offrira un accueil dans un milieu sécurisant, spécialisé et protégé. Elle assurera un accompagnement pluridisciplinaire au plus près de l’événement traumatique afin de faciliter les procédures judiciaires. Pour ce faire, elle travaillera en relais direct avec les professionnels de la santé, de la justice et de l’action sociale.
TUIAU TAMA sera équipé d’un matériel d’enregistrement professionnel permettant à l’équipe pluridisciplinaire (enquêteurs, magistrats, médecins, psychologues), de réaliser des auditions de mineurs victimes « afin d’éviter que l’enfant ne répète ses dires, parce que redire c’est revivre, et pour que ce ne soit pas cet enfant vulnérable, blessé qui aille à la rencontre des divers professionnels compétents mais que ce soit ces professionnels qui viennent vers l’enfant ».
L’établissement nommé TUIAU a HINE, quant à lui, accueillera les femmes.
Les équipes pluridisciplinaires offriront un espace d’écoute, de parole, de soins adaptés, mais aussi un espace de conseil et d’accompagnement dans les différentes démarches administratives et judiciaires. Les femmes seront accompagnées et aidées suivant leurs problématiques dans un lieu unique.
Cet accompagnement global permettra d’assister la femme dans les différentes étapes de son parcours de sortie des violences. La structure sera amenée à travailler avec le Centre d’Information des Droits des Femmes et des Familles (CIDFF) et l’Association Polyvalente d’Actions Judiciaires (APAJ) ou avec d’autres associations.
Ces 2 établissements disposeront d’un personnel qualifié parmi lesquels : médecins (pédiatre, gynécologue, généraliste), sage-femme, psychologue spécialisé ….
Ouvert du lundi au vendredi de 7h à 17h et le samedi de 7h à 12h, en continu, ils offriront un accueil confidentiel et sécurisé. Ils seront implantés dans un espace proche de l’hôpital. La proximité géographique et le lien technique rapide avec les soins spécialisés offerts par l’hôpital sont un élément essentiel de la qualité et de la pertinence de ce projet.
Ces deux établissements seront gérés par une association.
NB : TUIAU signifie « accompagner, conduire, prendre par la main »,TAMA signifie « enfants », HINE signifie « femme »
Nous suivre
Création de deux structures pour femmes et mineurs victimes de violence
Dans le cadre du plan de prévention de la délinquance 2018-2020, le Ministère de la Santé en collaboration avec le Procureur Général ont travaillé de concert afin de permettre la réalisation de 2 établissements d’accompagnement en faveur des femmes et des mineurs victimes de violences, regroupant les milieux sanitaire et judiciaire.
En Polynésie française, chaque année :
- près de 1 500 femmes sont victimes de violences criminelles ou délictuelles. Chaque jour, 4 femmes sont victimes d’un acte violent connu des services de police et de gendarmerie.
- en moyenne 2 000 enfants font l’objet de mesure de protection judiciaire. 60% sont des enfants suivis pour violences physiques et sexuelles. Les violences faites aux enfants, ont des conséquences catastrophiques à court, moyen et long terme sur leur santé physique et psychique. Les conséquences sociales à long terme le sont également, car elles constituent le départ d’un véritable cycle d’échec et de violence (échecs scolaires, conduites addictives – tabac, alcool, drogues – marginalisation, isolement social, exclusion, délinquance).
Le nombre de victimes de violences, augmente depuis plusieurs années et la tendance est à la hausse pour 2019.
Face à ces constats alarmants, le Conseil de Prévention de la Délinquance en Polynésie française (C.P.D.P.F) co-présidé par le Haut-commissaire, le Président du Pays et le Procureur Général ont arrêté un plan de prévention de la délinquance 2018-2020 qui s’articulent autour de 4 priorités dont celle d’améliorer la prévention des violences intrafamiliales visant le développement des prises en charge médico-judiciaire des victimes.
Le Ministère de la Santé en collaboration avec le Procureur Général ont travaillé de concert afin de permettre la réalisation de 2 établissements d’accompagnement en faveur des femmes et des mineurs victimes de violences, regroupant les milieux sanitaire et judiciaire.
La structure dénommée TUIAU TAMA destinée aux mineurs offrira un accueil dans un milieu sécurisant, spécialisé et protégé. Elle assurera un accompagnement pluridisciplinaire au plus près de l’événement traumatique afin de faciliter les procédures judiciaires. Pour ce faire, elle travaillera en relais direct avec les professionnels de la santé, de la justice et de l’action sociale.
TUIAU TAMA sera équipé d’un matériel d’enregistrement professionnel permettant à l’équipe pluridisciplinaire (enquêteurs, magistrats, médecins, psychologues), de réaliser des auditions de mineurs victimes « afin d’éviter que l’enfant ne répète ses dires, parce que redire c’est revivre, et pour que ce ne soit pas cet enfant vulnérable, blessé qui aille à la rencontre des divers professionnels compétents mais que ce soit ces professionnels qui viennent vers l’enfant ».
L’établissement nommé TUIAU a HINE, quant à lui, accueillera les femmes.
Les équipes pluridisciplinaires offriront un espace d’écoute, de parole, de soins adaptés, mais aussi un espace de conseil et d’accompagnement dans les différentes démarches administratives et judiciaires. Les femmes seront accompagnées et aidées suivant leurs problématiques dans un lieu unique.
Cet accompagnement global permettra d’assister la femme dans les différentes étapes de son parcours de sortie des violences. La structure sera amenée à travailler avec le Centre d’Information des Droits des Femmes et des Familles (CIDFF) et l’Association Polyvalente d’Actions Judiciaires (APAJ) ou avec d’autres associations.
Ces 2 établissements disposeront d’un personnel qualifié parmi lesquels : médecins (pédiatre, gynécologue, généraliste), sage-femme, psychologue spécialisé ….
Ouvert du lundi au vendredi de 7h à 17h et le samedi de 7h à 12h, en continu, ils offriront un accueil confidentiel et sécurisé. Ils seront implantés dans un espace proche de l’hôpital. La proximité géographique et le lien technique rapide avec les soins spécialisés offerts par l’hôpital sont un élément essentiel de la qualité et de la pertinence de ce projet.
Ces deux établissements seront gérés par une association.
NB : TUIAU signifie « accompagner, conduire, prendre par la main »,TAMA signifie « enfants », HINE signifie « femme »
Nous suivre
Communiqué de presse
Création de deux structures pour femmes et mineurs victimes de violence
Résumé:
Le nombre de victimes de violences, augmente depuis plusieurs années et la tendance est à la hausse pour 2019.
Face à ces constats alarmants, le Conseil de Prévention de la Délinquance en Polynésie française (C.P.D.P.F) co-présidé par le Haut-commissaire, le Président du Pays et le Procureur Général ont arrêté un plan de prévention de la délinquance 2018-2020 qui s’articulent autour de 4 priorités dont celle d’améliorer la prévention des violences intrafamiliales visant le développement des prises en charge médico-judiciaire des victimes.
Le Ministère de la Santé en collaboration avec le Procureur Général ont travaillé de concert afin de permettre la réalisation de 2 établissements d’accompagnement en faveur des femmes et des mineurs victimes de violences, regroupant les milieux sanitaire et judiciaire.
Note d’information
Renforcement des mesures prises par le gouvernement pour éviter l’entrée du coronavirus 2019-nCoV en Polynésie française
Résumé:
Dans le prolongement des mesures mises en place le 28 janvier dernier afin d’éviter l’entrée du coronavirus en Polynésie française, le gouvernement du pays a décidé de renforcer certaines mesures et d’en préciser les modalités d’application.
Summary:
Following the measures put in place on 28 January aiming to avoid the entry of the coronavirus in French Polynesia, French Polynesia’s government has decided to strengthen some measures and specify the conditions of implementation thereof.
La Direction de la santé organise son premier Comité de direction élargi de l’année 2020
Ce vendredi 31 janvier 2020, la Direction de la santé a rassemblé l’ensemble de ses responsables lors du premier Comité de direction élargi (CODIREL) de l’année 2020.
Le docteur Laurence Bonnac-Théron a réuni en CODIREL, tous les responsables de structures de la Direction de la santé, provenant de tous les archipels sur lesquels elle est implantée. En ce début d’année, cette réunion qui est trimestrielle, a été l’occasion de faire un bilan, au niveau des ressources humaines (nombre de postes créés depuis 3 ans), du budget, du numérique et des données statistiques en santé recueillies ces dernières années, mais également d’établir les perspectives pour les prochaines années à venir.
Les sujets abordés lors de la réunion ont permis de répondre aux interrogations des responsables dans le but d’encourager le développement de futurs projets visant à améliorer l’état de santé de la population. Le programme de modernisation des soins de santé primaires 2019-2023 fait partie des grands challenges pour ces prochaines années. Ce programme ambitieux a fait l’objet d’une communication en conseil des ministres le 30 janvier dernier (https://www.presidence.pf/conseil_ministres/conseil-des-ministres-du-30-janvier-2020/).
Nous suivre
La Direction de la santé organise son premier Comité de direction élargi de l’année 2020
Ce vendredi 31 janvier 2020, la Direction de la santé a rassemblé l’ensemble de ses responsables lors du premier Comité de direction élargi (CODIREL) de l’année 2020.
Le docteur Laurence Bonnac-Théron a réuni en CODIREL, tous les responsables de structures de la Direction de la santé, provenant de tous les archipels sur lesquels elle est implantée. En ce début d’année, cette réunion qui est trimestrielle, a été l’occasion de faire un bilan, au niveau des ressources humaines (nombre de postes créés depuis 3 ans), du budget, du numérique et des données statistiques en santé recueillies ces dernières années, mais également d’établir les perspectives pour les prochaines années à venir.
Les sujets abordés lors de la réunion ont permis de répondre aux interrogations des responsables dans le but d’encourager le développement de futurs projets visant à améliorer l’état de santé de la population. Le programme de modernisation des soins de santé primaires 2019-2023 fait partie des grands challenges pour ces prochaines années. Ce programme ambitieux a fait l’objet d’une communication en conseil des ministres le 30 janvier dernier (https://www.presidence.pf/conseil_ministres/conseil-des-ministres-du-30-janvier-2020/).
Nous suivre