BULLETIN D’INFORMATION #32 – Cellule de crise de la Polynésie française

118 tests ont été effectués vendredi par les opérateurs sanitaires. Aucune nouvelle personne positive au virus Covid-19 n’a été révélée. Le carré épidémiologique indique que 2187 analyses ont été pratiquées depuis le début de l’épidémie. Le chiffre de personnes ne présentant plus de signes cliniques de l’épidémie et qui ont reçu leur attestation de levée d’isolement strict reste à 41. 16 personnes atteintes par le virus demeurent également sous surveillance stricte, pour une personne hospitalisée. 57 personnes ont été atteintes depuis le début de la maladie. La vigilance reste de mise avec le respect nécessaire des gestes barrières et du confinement général.

Actions communautaires : quand la solidarité porte ses fruits

L’épidémie de Covid-19, qui a frappé le Fenua, et les conséquences du confinement sur la vie communautaire ont provoqué un élan de générosité de la part de nombreuses personnes bénévoles, œuvrant à divers degrés pour de nombreux actes de solidarité.

La plateforme interactive, que la cellule de crise sanitaire du Pays a lancé, de manière à regrouper par thème les possibilités d’action, fait partie de cet effort collectif. Les derniers chiffes recensés font état de 955 personnes inscrites et de 935 inscriptions agréés par les autorités.

Les premières formations de bénévoles ayant choisi d’œuvrer auprès des matahiapo ont déclenché les premières visites de nos personnes âgées. Chaque visite donne lieu à un rapport, communiqué à la cellule de crise : les premiers retours sont jugés très positifs. En fonction des affinités qui se créent à l’occasion de ces rencontres, les bénévoles, formés aux gestes barrières, pourront s’organiser par eux-mêmes afin de poursuivre cet accompagnement. Les formations d’équipes se poursuivent sur la côte Est, à Mahina notamment, dès le début de la semaine prochaine.

Il en est de même pour les brigades de magasin, qui intègrent désormais également des personnes bénévoles. Le but de ces brigades est d’aller au contact des populations des communes, en lien avec les autorités municipales, de manière à assister, soutenir et conseiller toutes les activités encore ouvertes aux populations, notamment les commerces, qui sont des lieux incontournables nécessitant une application stricte des gestes barrières.

En matière de soutien psychologique, la cellule de crise a immédiatement pris en charge le suivi des personnes évacuées sanitaires revenues de la métropole, et regroupées sur le site de Outumaoro.

Le dispositif mis en place repose sur l’intervention de psychologues cliniciennes agissant en étroite collaboration avec les équipes sanitaires.

Il en est de même avec les personnes encore atteintes du virus, qui ont été extraites de leur milieu familial. Ces personnes doivent bénéficier d’une attention particulière.

Le soutien psychologique est alors primordial : la possibilité de poser des mots, d’écouter, d’être accompagné de façon immédiate par un professionnel de l’écoute permet aux patients de traverser ce temps de confinement strict.

Enfin et dans un autre domaine, l’opération des caddies solidaires organisée avec le partenariat de quatre magasins U est bien perçue par la population. Les colis alimentaires qui sont constitués sur la base des dons sont distribués par les bénévoles de la Croix-Rouge et du Secours catholique.

Semaine mondiale de la vaccination

Il est important que les familles puissent, malgré les règles du confinement général, suivre ce programme car la vaccination est la seule mesure de protection, individuelle et collective, contre certaines maladies infectieuses.

BULLETIN D’INFORMATION #32 – Cellule de crise de la Polynésie française

118 hi’opo’ara’a tei ravehia i nanahi ra, aita hô’ê noa a’e ta’ata i ro’ohia i teie tirotiro. Mai te omuara’a o teie ma’i, 2 187 ta’ata tei hi’opo’ahia.

  • E 57 rahira’a ta’ata tei ma’ihia i te Covid-19 :
    • 16 ta’ata te hi’opo’a tâmau noa hia nei â ;
    • 41 ta’ata tei ‘afaro roa i teie mahana, ‘aita te mau tapa’o ma’i e ‘itehia ra i nia ia râtou, e ‘ua ho’i i roto i tô râtou mau utuafare.
  • 1 noa â ta’ata i roto i te fare ma’i, e te âfaro mâru noa maira.
  • E te parau âpi oaoa ra, aore roa e ta’ata i fa’arue mai.

Teie ra, ia vai ara noa â tâtou, e ia tâmau noa â i te fa’a’ohipa i te mau ravea pârurura’a i teie ma’i e te vai ‘ôpipirira’a i te fare.

Te Orara’a autahi :

Na roto i teie fifi ma’i o te Covid-19, tei tae mai i ô tâtou nei, e te mau ‘ohipa tei tupu i muri ae i te ‘opanipanira’a hia i te fare, ‘ua ‘itehia te fâ ra’a mai te mana’o turu i roto i te mau ta’ata tei horo’a i tô ratou taime ma te tâmoni ore no te fa’atupura’a i te mau ‘ohipa autahi.

‘Ua ha’aputu te pû no te Orara’a autahi no te Pû e tia’au nei i te fifi ma’i Covid-19 a te Hau Fenua i te mau tâpura ‘ohipa o tei hina’arohia e fa’atupu. 955 ta’ata tei tapa’o mai ia râtou, e 935 tapa’ora’a ta’ata tei ha’amana roa hia e te mau Tia mana.

‘Ua ravehia te mau fa’aineinera’a (ha’api’ipi’ira’a) i teie mau ta’ata i nia i te tumu parau no te mau ravea pârurura’a i mua i teie ma’i.

Ua fa’aineinehia te mau pupu ta’ata o te ‘ohipa atu i piha’iho i te mau matahiapo. ‘Ua fa’ari’i maitai hia mai râtou e te mau matahiapo i roto i to râtou tere farereira’a. Ia tâmau noa â râtou i teie mau farererira’a. E ravehia â teie mau fa’aineinera’a i te oire no Mahina i teie hepetoma i muri nei.

E rave atoa hia teie huru fa’aineinera’a i te mau ta’ata no te ape’e atu i te mau tia o te Aupuru a Ea. Ma te turuhia râtou e te mau Oire, e tere atu râtou e farerei i te huira’atira no te ape’e, turu e te fa’aa’o i roto te mau tapura ‘ohipa huru rau atoa, i roto ihoa ra i te mau fare toa, ma te fa’aha’amana’o i te rave i te mau ravea pâruru i mua i teie ma’i Covid-19.

No te pae no te turura’a i te pae o te manava, ‘ua ha’apa’o atoa mai teie pû Orara’a autahi i tô tâtou mau ta’ata ma’i tei ho’i mai na Paris e o tei ha’aparahihia atu i Outuma’oro. Oia atoa no te feia tei ro’ohia i te ma’i Covid-19 o tei ‘iritihia mai, mai roto mai i tô râtou mau utuafare e tae noa atu i te mau ta’ata atoa tei fa’ahepohia e pârahi i roto i te fare tâ te Hau fenua i târahu hou a fa’aho’ihia atu ai i roto i tô râtou mau motu.

Ua fa’ari’i maitai te huira’atira te fa’anahora’a no te pereo’o turairai ô mâ’a i roto i te mau fare toa a te taite « U ». Na te Tatauro Ura e te Pû Tauturu Tatorita i ‘opere te mau afata ô mâ’a.

Te hepetoma nô te patia arai na te ao nei

Te fa’aha’amana’o hia nei ia tâtou i te faufa’a rahi i te parurura’a ia tatou na roto i teie patia arai, noa atu teie tau fa’ahepora’a e fa’aea i te fare.

Te patia arai o te rave hô’ê roa no te pârurura’a i te ta’ata tatai’tahi, ma’i tôna fanaura’ahia mai, i mua i te mau ma’i pe’e.

EI HAU I ROTO I TO TATOU MAU UTUAFARE

MĀURUURU E FA’AITOITO

BULLETIN D’INFORMATION #32 – Cellule de crise de la Polynésie française

118 tests ont été effectués vendredi par les opérateurs sanitaires. Aucune nouvelle personne positive au virus Covid-19 n’a été révélée. Le carré épidémiologique indique que 2187 analyses ont été pratiquées depuis le début de l’épidémie. Le chiffre de personnes ne présentant plus de signes cliniques de l’épidémie et qui ont reçu leur attestation de levée d’isolement strict reste à 41. 16 personnes atteintes par le virus demeurent également sous surveillance stricte, pour une personne hospitalisée. 57 personnes ont été atteintes depuis le début de la maladie. La vigilance reste de mise avec le respect nécessaire des gestes barrières et du confinement général.

Actions communautaires : quand la solidarité porte ses fruits

L’épidémie de Covid-19, qui a frappé le Fenua, et les conséquences du confinement sur la vie communautaire ont provoqué un élan de générosité de la part de nombreuses personnes bénévoles, œuvrant à divers degrés pour de nombreux actes de solidarité.

La plateforme interactive, que la cellule de crise sanitaire du Pays a lancé, de manière à regrouper par thème les possibilités d’action, fait partie de cet effort collectif. Les derniers chiffes recensés font état de 955 personnes inscrites et de 935 inscriptions agréés par les autorités.

Les premières formations de bénévoles ayant choisi d’œuvrer auprès des matahiapo ont déclenché les premières visites de nos personnes âgées. Chaque visite donne lieu à un rapport, communiqué à la cellule de crise : les premiers retours sont jugés très positifs. En fonction des affinités qui se créent à l’occasion de ces rencontres, les bénévoles, formés aux gestes barrières, pourront s’organiser par eux-mêmes afin de poursuivre cet accompagnement. Les formations d’équipes se poursuivent sur la côte Est, à Mahina notamment, dès le début de la semaine prochaine.

Il en est de même pour les brigades de magasin, qui intègrent désormais également des personnes bénévoles. Le but de ces brigades est d’aller au contact des populations des communes, en lien avec les autorités municipales, de manière à assister, soutenir et conseiller toutes les activités encore ouvertes aux populations, notamment les commerces, qui sont des lieux incontournables nécessitant une application stricte des gestes barrières.

En matière de soutien psychologique, la cellule de crise a immédiatement pris en charge le suivi des personnes évacuées sanitaires revenues de la métropole, et regroupées sur le site de Outumaoro.

Le dispositif mis en place repose sur l’intervention de psychologues cliniciennes agissant en étroite collaboration avec les équipes sanitaires.

Il en est de même avec les personnes encore atteintes du virus, qui ont été extraites de leur milieu familial. Ces personnes doivent bénéficier d’une attention particulière.

Le soutien psychologique est alors primordial : la possibilité de poser des mots, d’écouter, d’être accompagné de façon immédiate par un professionnel de l’écoute permet aux patients de traverser ce temps de confinement strict.

Enfin et dans un autre domaine, l’opération des caddies solidaires organisée avec le partenariat de quatre magasins U est bien perçue par la population. Les colis alimentaires qui sont constitués sur la base des dons sont distribués par les bénévoles de la Croix-Rouge et du Secours catholique.

Semaine mondiale de la vaccination

Il est important que les familles puissent, malgré les règles du confinement général, suivre ce programme car la vaccination est la seule mesure de protection, individuelle et collective, contre certaines maladies infectieuses.

BULLETIN D’INFORMATION #32 – Cellule de crise de la Polynésie française

118 hi’opo’ara’a tei ravehia i nanahi ra, aita hô’ê noa a’e ta’ata i ro’ohia i teie tirotiro. Mai te omuara’a o teie ma’i, 2 187 ta’ata tei hi’opo’ahia.

  • E 57 rahira’a ta’ata tei ma’ihia i te Covid-19 :
    • 16 ta’ata te hi’opo’a tâmau noa hia nei â ;
    • 41 ta’ata tei ‘afaro roa i teie mahana, ‘aita te mau tapa’o ma’i e ‘itehia ra i nia ia râtou, e ‘ua ho’i i roto i tô râtou mau utuafare.
  • 1 noa â ta’ata i roto i te fare ma’i, e te âfaro mâru noa maira.
  • E te parau âpi oaoa ra, aore roa e ta’ata i fa’arue mai.

Teie ra, ia vai ara noa â tâtou, e ia tâmau noa â i te fa’a’ohipa i te mau ravea pârurura’a i teie ma’i e te vai ‘ôpipirira’a i te fare.

Te Orara’a autahi :

Na roto i teie fifi ma’i o te Covid-19, tei tae mai i ô tâtou nei, e te mau ‘ohipa tei tupu i muri ae i te ‘opanipanira’a hia i te fare, ‘ua ‘itehia te fâ ra’a mai te mana’o turu i roto i te mau ta’ata tei horo’a i tô ratou taime ma te tâmoni ore no te fa’atupura’a i te mau ‘ohipa autahi.

‘Ua ha’aputu te pû no te Orara’a autahi no te Pû e tia’au nei i te fifi ma’i Covid-19 a te Hau Fenua i te mau tâpura ‘ohipa o tei hina’arohia e fa’atupu. 955 ta’ata tei tapa’o mai ia râtou, e 935 tapa’ora’a ta’ata tei ha’amana roa hia e te mau Tia mana.

‘Ua ravehia te mau fa’aineinera’a (ha’api’ipi’ira’a) i teie mau ta’ata i nia i te tumu parau no te mau ravea pârurura’a i mua i teie ma’i.

Ua fa’aineinehia te mau pupu ta’ata o te ‘ohipa atu i piha’iho i te mau matahiapo. ‘Ua fa’ari’i maitai hia mai râtou e te mau matahiapo i roto i to râtou tere farereira’a. Ia tâmau noa â râtou i teie mau farererira’a. E ravehia â teie mau fa’aineinera’a i te oire no Mahina i teie hepetoma i muri nei.

E rave atoa hia teie huru fa’aineinera’a i te mau ta’ata no te ape’e atu i te mau tia o te Aupuru a Ea. Ma te turuhia râtou e te mau Oire, e tere atu râtou e farerei i te huira’atira no te ape’e, turu e te fa’aa’o i roto te mau tapura ‘ohipa huru rau atoa, i roto ihoa ra i te mau fare toa, ma te fa’aha’amana’o i te rave i te mau ravea pâruru i mua i teie ma’i Covid-19.

No te pae no te turura’a i te pae o te manava, ‘ua ha’apa’o atoa mai teie pû Orara’a autahi i tô tâtou mau ta’ata ma’i tei ho’i mai na Paris e o tei ha’aparahihia atu i Outuma’oro. Oia atoa no te feia tei ro’ohia i te ma’i Covid-19 o tei ‘iritihia mai, mai roto mai i tô râtou mau utuafare e tae noa atu i te mau ta’ata atoa tei fa’ahepohia e pârahi i roto i te fare tâ te Hau fenua i târahu hou a fa’aho’ihia atu ai i roto i tô râtou mau motu.

Ua fa’ari’i maitai te huira’atira te fa’anahora’a no te pereo’o turairai ô mâ’a i roto i te mau fare toa a te taite « U ». Na te Tatauro Ura e te Pû Tauturu Tatorita i ‘opere te mau afata ô mâ’a.

Te hepetoma nô te patia arai na te ao nei

Te fa’aha’amana’o hia nei ia tâtou i te faufa’a rahi i te parurura’a ia tatou na roto i teie patia arai, noa atu teie tau fa’ahepora’a e fa’aea i te fare.

Te patia arai o te rave hô’ê roa no te pârurura’a i te ta’ata tatai’tahi, ma’i tôna fanaura’ahia mai, i mua i te mau ma’i pe’e.

EI HAU I ROTO I TO TATOU MAU UTUAFARE

MĀURUURU E FA’AITOITO