Annuaire des structures

  • Les 3 lauréates sages-femmes de 2019
    Les lauréates sages-femmes avec la directrice et les enseignantes de l'ESF

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    Ce jeudi 11 juillet 2019, à l’École de Sages-Femmes de Papeete s’est déroulé « l’événement des lauréats » qui marque l’achèvement de 5 années d’études pour 3 étudiantes sages-femmes.

    C’est avec soulagement que ces étudiantes de Master 2 Maïeutique ont appris ce matin les résultats des examens. « C’était une période très stressante, mais ça valait le coup parce que maintenant nous pourrons exercer l’un des plus beaux métiers du monde : être sage-femme » témoigne une des lauréates. La directrice de l’École de sages-femmes, les enseignantes sages-femmes, les professionnels de santé et futures collègues de travail étaient présents pour célébrer avec les lauréates leurs réussites.

    Cette formation est dispensée par l’École de Sages-Femmes (ESF) de Papeete située au Centre Hospitalier de la Polynésie française. Il est nécessaire de réussir le concours de Première Année Commune des Études de Santé (PACES) à l’Université de la Polynésie française et de candidater pour les 2 places de sages-femmes disponibles. La poursuite des études se fait ensuite en licence 2 de Maïeutique à l’ESF. Les étudiant(e)s alterneront entre théorie et pratique clinique dans différents domaines tels que l’obstétrique, la gynécologie, la pédiatrie, etc. jusqu’à l’obtention du diplôme d’État de sage-femme. À ce jour, 30 promotions de sages-femmes sont sorties, soit au total 117 sages-femmes diplômées d’Etat.

  • Conférence de presse sur le bilan du projet école en santé

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    Le ministre de la Santé, Jacques Raynal, a présenté ce lundi 01 juillet 2019, le bilan de l’expérimentation du projet « école en santé » de l’année scolaire 2018-2019. La présentation s’est déroulée à la Présidence, en présence de Manuel Sanquer, directeur de cabinet de la ministre de l’Education, de Thierry Delmas, directeur général de la DGEE (Direction générale de l’Éducation et des Enseignements) et de Laurence Bonnac-Theron, directrice de la Santé.

    La prévalence des maladies non transmissibles comme l’obésité et le diabète dans toute la population ainsi que les problèmes d’addiction et d’infection sexuellement transmises chez les jeunes, imposent des réponses efficaces et durables. Pour cela, l’objectif du ministère de la santé est d’agir très en amont sur l’apprentissage par les enfants de comportements sains. Afin de répondre à ce défi, le ministère de la Santé et le ministère de l’Education ont décidé en aout 2018, à travers une convention signée avec la commune de Moorea-Maiao et l’association les petits princes d’Aimeho, de mettre en place une expérience pilote mettant en œuvre les principes de l’OMS (organisation mondiale de la santé) de l’école en santé.

    Cette expérience consiste à offrir un label école en santé aux écoles volontaires qui ont mis en place 10 actions de santé. Ces actions sont pilotées par un comité de santé de l’école incluant les représentants de la population du quartier. Un prix est remis aux écoles labellisées afin de leur permettre de financer des actions pour la santé des élèves.

    L’évaluation du projet effectuée au mois de juin pour l’année scolaire 2018-2019 à Moorea montre que sur 9 écoles sensibilisées au projet, 9 ont fait acte de candidature, 6 ont été labellisées école en santé, et 1250 enfants ont bénéficié de ce dispositif. Trois écoles sont en préparation et ont sollicité leur évaluation par le jury pour la rentrée 2019-2020. Cette évaluation a permis de confirmer que les apports de compétences aux enfants rentraient bien dans le cadre des programmes scolaires, que cette approche permettait aux enseignants d’utiliser des exemples d’application pratiques très pertinents intéressant les enfants, et que la mise en œuvre de l’expérience était simple. Par ailleurs l’ensemble des partenaires ont constaté une évolution positive du dynamisme de la communauté locale autour des écoles.

    Ces actions, au-delà des principes de bonne santé alimentaire, et physique connus de tous, mettent l’accent sur la bonne santé mentale et sociale des élèves à travers des actions citoyennes en faveur de l’environnement et des actions d’insertion culturelles. Ce label est remis en jeu chaque année. Le fonds de prévention sanitaire et social de la Polynésie française participe à cette action en finançant les prix des écoles labellisées.

    Ce programme expérimental après validation de son évaluation par les deux ministères concernés, a vocation à devenir l’unique dispositif standardisé de promotion de santé dans l’ensemble des écoles primaires et des centres des jeunes adolescents (CJA) de Polynésie française.

    Pour mémoire, les principes de l’OMS de l’école en santé sont les suivants: on apprend mieux lorsqu’on est en bonne santé. Et lorsqu’on apprend mieux, cela favorise l’apport de connaissance et donc la bonne santé. L’éducation et la santé sont donc indissociables. Les écoles peuvent contribuer à promouvoir la santé des familles, de la communauté et des enseignants en même temps que celles des élèves, à travers une éducation pour la santé fondée sur les compétences à acquérir prévues dans les programmes scolaires. En faisant participer la communauté autour de l’école au projet de santé de l’école, on améliore aussi indirectement la santé de toute une population.

  • Nouveaux arrivants BRHF

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    La Direction de la santé accueille 3 nouveaux agents au Bureau des Ressources Humaines et Formation (BRHF), Vaimihi LAURENT, Hinavai DOOM et Alexandre DUBOCAGE.

    Mesdames Vaimihi et Hinavai auront pour mission la gestion des consultations spécialisées avancées dans le but de programmer et gérer administrativement les missions des médecins spécialistes de la Direction de la santé, du secteur libéral et du CHPF pour les habitants des îles permettant l’accès aux spécialistes. Ce programme est mis en place dans le cadre d’un contrat d’objectif et de moyens tripartite avec la CPS, qui finance le dispositif, le CHPF qui met à disposition ses médecins spécialistes ainsi que la Direction de la santé avec les spécialistes dont elle dispose.

    Mr Alexandre DUBOCAGE viendra renforcer l’équipe en charge de la formation de la Direction de la santé dont l’objectif est de développer pour les agents des actions de formation dans le cadre de la formation continue. Actuellement, le projet de service de la Direction de la santé est la mise en place des Soins de Santé Primaires. Ce projet tient compte d’une série de formations du personnel qui viennent s’articuler avec les formations obligatoires de l’administration et les formations liées aux métiers de la santé.

    Dans chacune des cellules, ces agents auront à travailler en partenariat avec les responsables de structures selon les missions qui leurs sont confiées.

  • Signature de la convention de collaboration de l'enquête STEPWISE 2019
    Signature de la convention de collaboration de l'enquête STEPWISE 2019

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    Ce vendredi 28 juin 2019, le Dr Laurence Bonnac-Théron, Directrice de la santé, et M. Hervé Varet, Directeur de l’Institut Louis Malardé, ont signé, en présence du Dr Jacques RAYNAL, Ministre de la Santé et de la prévention, une convention de collaboration pour le lancement d’une vaste enquête de santé publique sur les facteurs de risque des maladies chroniques en Polynésie française.

    Cette étude repose sur le protocole standardisé (STEPS) de l’Organisation mondiale de la santé (OMS). Elle permet de comparer les données de santé des différents pays, y compris de la région Pacifique. La dernière enquête datant de 2010, la Direction de la santé souhaite réactualiser les données. Sa réalisation est confiée à l’Institut Louis Malardé.

    La nouvelle étude s’échelonnera sur les deux années 2019 et 2020. Elle débutera en septembre prochain et sera étendue aux 5 archipels. Le but est de dresser une cartographie précise des différents facteurs de risque à l’ensemble de la Polynésie française. En effet, les facteurs de risque sont les maladies de demain. La connaissance de ces facteurs est indispensable pour mettre en place les mesures de prévention nécessaires. La population polynésienne étant particulièrement exposée au risque de maladies chroniques.

    Cette étude sera menée auprès de 4140 participants tirés au sort à partir de la base de données de l’Institut de la Statistique de Polynésie française (ISPF), en fonction de leur genre (féminin ou masculin) et de leur âge (entre 18 et 69 ans). Chaque participant sera visité à domicile par un enquêteur qui leur proposera :

    • de répondre à un questionnaire sur les habitudes de vie,
    • de réaliser des mesures anthropométriques des participants (poids, taille, tour de taille) ainsi que la tension artérielle,
    • de prélever du sang capillaire au bout du doigt pour la réalisation de la glycémie (taux de sucres dans le sang).

    Une campagne de communication sera menée dans les communes concernées ainsi que dans les médias locaux afin d’informer la population sur les objectifs et le déroulement de l’enquête.

    La réussite de cette étude sera possible grâce au concours des personnes identifiées. La Direction de la santé remercie ces personnes du bon accueil qu’ils réserveront aux enquêteurs.

    Pour plus d’informations, le dossier de presse est consultable à l’adresse : https://www.service-public.pf/dsp/2019/06/28/presse-signature-stepwise-2019/

  • Accueil du docteur Guy Tehio

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    Dr Guy Tehio est l’un des premiers médecins polynésiens. Il a obtenu sa thèse en 1973 à la faculté de médecine de Montpellier. Ayant effectué toute sa carrière professionnelle à Ganges dans le département d’Hérault en France, il a décidé de revenir travailler au Fenua, plus précisément au centre médical de Rikitea, jusqu’en juin 2020.

    Le ministre de la santé, Jacques Raynal, la directrice de la santé, Laurence Bonnac-Théron, la représentante à l’Assemblée de la Polynésie française et 1er adjointe au maire de Rikitea, Joséphine Teakarotu ont accueilli ce mardi 25 juin 2019 dans la matinée le Dr Guy Tehio avant son départ pour Rikitea le 08 juillet 2019.

  • Conference de Presse Tuberculose

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    Ce mardi 25 juin s’est tenu au Fare Potee de la Direction de la santé à 14h00, la conférence de presse démarrant la campagne sur la tuberculose. Le Ministre de la santé, Jacques Raynal, la Directrice de la santé, Laurence Bonnac-Théron, la responsable du programme tuberculose, Marine Giard et la chargée de communication de la Direction de la santé, Pauline Niva ont présenté aux journalistes, l’évolution de la tuberculose, ses enjeux et quelles seront les actions menées pour lutter contre cette maladie.

    Émergence de cas de tuberculoses multirésistantes

    En Polynésie française, la maladie est endémique et 50 à 60 nouveaux cas sont déclarés chaque année. L’incidence (nombre de cas nouveaux) est restée stable au cours des dix dernières années, avec une moyenne de 19,6 nouveaux cas/100 000 habitants (soit en environ 50 cas/an). Chaque année, des décès dus à la tuberculose sont encore recensés en Polynésie. L’émergence récente de tuberculoses multirésistantes aux antibiotiques à Tahiti confirme la nécessité de renforcer la lutte contre cette maladie en Polynésie française. Le traitement de ces formes est plus compliqué, plus long, plus coûteux.

    Les étapes du dépistage

    Les sujets contacts à dépister sont les personnes qui ont passé du temps auprès de la personne malade, a fortiori dans un lieu confiné.

    Le dépistage de la tuberculose nécessite plusieurs étapes, toutes importantes :

    • un interrogatoire à la recherche d’antécédents personnels ou familiaux de tuberculose, de signes de vulnérabilité et de signes cliniques évocateurs de tuberculose,
    • un examen clinique complémentaire si nécessaire,
    • une radiographie pulmonaire,
    • un test immunologique (test sanguin ou intradermo-réaction).

    Le dépistage permet de savoir si le contact n’est pas infecté, s’il a une infection tuberculeuse latente (infection asymptomatique qui entraînera la maladie dans 1 cas sur 10) ou s’il est malade. Le dépistage est gratuit.

    Une campagne pour relayer des messages forts sur la tuberculose

    Le but de cette campagne est de sensibiliser les Polynésiens sur l’importance d’aller se faire dépister lorsqu’un professionnel de santé les contacte.

    Les actions de communications ont déjà débuté. Du 19 au 24 juin, des publications « teasing » ont été diffusées sur les pages Facebook Direction de la santé et EA’ttitude pour éveiller la curiosité des Polynésiens autour d’une maladie inconnue et mystérieuse.

    À partir d’aujourd’hui, la phase « révélation » est lancée, il s’agit de la diffusion d’un spot de 30 secondes en version française et tahitienne en TV, radio et réseaux sociaux. Des messages seront diffusés également sur les réseaux sociaux pour informer davantage la population.

    Un livret dédié aux sujets contacts qui doivent se faire dépister a également été réalisé afin d’accompagner ces derniers au cours du dépistage.

  • Article

    Une 2nde édition pleine de surprises

    Environ 240 agents des services administratifs ont bougé pour leurs santés au parc Vairai de Punaauia ce samedi 15 juin 2019, lors de la journée « Amui Ana’e » organisée par la Direction de la Modernisation et des Réformes de l’Administration (DMRA).

    Durant la matinée, les participants ont été placés dans des équipes aléatoires, le but étant de créer un esprit d’équipe entre agents de différents services. Ainsi, ils ont participé aux différentes activités sportives, culturelles et sensorielles proposées telles que le Vohi face to face, le paddle, le yoga, le taekwondo, le surf fitness, le ori tahiti, la salsa, les ateliers d’expériences sensorielles et d’alimentation…

    Un déjeuner healthy a été servi à midi à tous les inscrits récompensant les efforts de chacun.

    L’après-midi, les services se sont affrontés dans le tournoi interservices au Huti pa’ari (tir à la corde), au paddle fitness, au bubble foot, au beach volley, au Vohi face to face et à l’ultimate frisbee.

    La journée s’est terminée en musique, les participants ont chanté quelques chansons avant la remise des prix aux gagnants de chaque épreuve.

    La Direction de la santé au rendez-vous

    Que ce soit pour animer la journée ou bien pour participer aux nombreuses activités, les agents de la santé étaient bien présents. Les ateliers d’expériences sensorielles présentés par la Direction de la santé faisaient partie du programme de la matinée. Ainsi, les différentes équipes n’ont pas seulement fait
    travailler leurs muscles, mais aussi leurs sens du goût et de l’odorat et ont pu découvrir de nouvelles saveurs. Ces ateliers d’expériences sensorielles étaient proposés au cours du Village de l’Alimentation et de l’Innovation (VAI) et avaient rencontré un grand succès.

    Les agents de la santé venus pour participer aux ateliers et au tournoi interservices se sont donnés à fond dans chaque activité. Reconnaissables grâce à leurs tenues roses, ils ont enchaînés les nombreuses épreuves toujours avec le sourire et la cohésion d’équipe.

  • Cérémonie de remise des diplômes d'état d'infirmiers et d'aide-soignant territorial

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    Le Président Edouard Fritch, l’administrateur, chef des subdivisions des îles du Vent et des îles Sous-le-Vent, Raymond Yeddou, représentant le Secrétaire général chargé de l’administration de l’État en Polynésie française, et le ministre de la Santé et de la prévention, Jacques Raynal, ont remis leurs diplômes à 5 lauréats infirmiers et à 18 aides-soignants issus de la session 2018, ce vendredi 14 juin 2019 à la Présidence de la Polynésie française.

    Cette cérémonie, présidée conjointement par les représentants de l’État et du Pays, illustre le caractère partenarial de la formation d’infirmier en Polynésie française et de la délivrance d’un diplôme hautement « professionnalisant ». En effet, conformément à la convention du 18 août 2009, le Pays assure la formation des élèves au sein de l’Institut Mathilde Frébault tandis que l’État garantit l’adéquation de cette formation avec les exigences du référentiel national. À ce titre, le Secrétaire général, représentant l’Agence régionale de Santé et la Direction régionale de la jeunesse, des sports et de la cohésion sociale de Bretagne, délivre les diplômes d’État en Polynésie française.

    Ainsi, au terme d’un cursus de trois années pour les infirmiers et d’un an pour les aides-soignants, les lauréats se sont vu décerner leur diplôme, attestant leur qualification professionnelle et leur permettant, en outre et le cas échéant pour les infirmiers, de poursuivre des études universitaires.

    Le diplôme d’aide-soignant est, quant à lui, délivré par le Pays depuis 2009. L’obtention de ce diplôme arrive au terme de 10 mois de formation.

    À l’issue de leur formation, les 23 lauréats ont été affectés dans des structures de la Direction de la santé et au Centre Hospitalier du Taaone.

  • Formation sur la lutte antivectorielle au CHSP
    Formation à la lutte antivectorielle au CHSP

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    Deux sessions de formation auprès des référents communaux pour la lutte antivectorielle sont organisées les 6 et 7 juin 2019 au Centre d’hygiène et de salubrité publique à Papeete.

    La dengue de type 2 connaît une progression rapide sur l’île de Tahiti. La plupart des communes sont déjà touchées, et un accroissement rapide du nombre de personnes atteintes par la dengue est à prévoir. La lutte contre les moustiques vecteurs est préconisée pour tenter de ralentir l’épidémie. La recherche et l’élimination des gîtes à moustiques à tous les niveaux constituent l’aspect principal de cette lutte.

    Les services des communes sont appelés à agir au niveau du terrain pour la lutte contre les moustiques par des actions contre leurs gîtes. Il pourra notamment être question très prochainement d’activer les plans communaux de sauvegarde.

    Afin d’aider les communes à se préparer pour de telles opérations, la Direction de la santé propose, en concertation et avec la Direction de la protection civile, une séance de formation et de réponses aux questions, destinée à des référents pour la lutte antivectorielle (LAV) des communes. Ils seront ensuite amenés à former des agents de terrain et participer à l’organisation des opérations LAV de grande envergure et aux échanges avec les partenaires de l’État et du Pays.

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    Les EA’Games, l’événement sportif des entreprises actives

    Afin de mobiliser et rassembler les salariés des entreprises actives autour de la promotion de la santé au travail, la Direction de la santé a organisé un événement sportif qui leur a été exclusivement dédié. De nombreuses entreprises ayant adhéré à la démarche « Entreprise Active » se sont retrouvées au parc Vairai de Punaauia, le 18 mai de 8 h à 14 h 30 pour participer aux « EA’Games » 2019.

    Trente équipes ont participé au challenge inter-entreprises  composé de 8 ateliers à réaliser en un temps record. Il a été remporté par la Brasserie de Tahiti devant TSP et la Polynésienne des Eaux.

    Les participants ont pu aussi pratiquer d’autres activités pour s’initier au yoga, au body-attack, au body-jam, au body-combat, au crossfit, à l’aviron indoor et à la marche nordique.

    La charte « Entreprise active pour la santé de ses salariés »

    Les salariés passent une part importante de leur vie sur leur lieu de travail. Ainsi, le milieu professionnel doit être propice à l’adoption de comportements favorables à la santé et favoriser une alimentation équilibrée et la pratique de l’activité physique au quotidien.

    Au-delà de l’intérêt individuel des salariés, ces actions participent véritablement à l’amélioration de la qualité de vie au travail et peuvent s’avérer très bénéfiques pour l’entreprise en contribuant notamment à la prévention des pathologies et des accidents de travail, et à la réduction de l’absentéisme.

    Cette charte d’engagement offre ainsi l’opportunité aux entreprises publiques et privées ou aux établissements, sur une base volontaire, de s’inscrire dans une démarche citoyenne en proposant à leurs salariés des actions allant dans le sens des objectifs de santé publique du Pays.