Annuaire des structures
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Les responsables des structures de soins réunis autour du programme SSP
Les 28 et 29 mai 2019, la Direction de la santé a rassemblé l’ensemble des responsables des structures de soins (formations sanitaires, subdivisions et centres de consultations spécialisées) lors d’un séminaire consacré au programme de Modernisation des Soins de Santé Primaires (SSP), animé par deux intervenantes (DMRA et DAF).
Les travaux durant ces 2 jours ont permis de dégager des pistes de réflexion et des propositions d’amendements au programme, qui seront soumises au Ministère de la Santé et de la Prévention.
Au-delà de ce séminaire, les responsables des structures ont manifesté leur souhait de pouvoir se rencontrer plus fréquemment afin de partager leurs expériences dans une démarche d’amélioration des pratiques professionnelles. Une prochaine réunion entre les subdivisionnaires aura lieu le 18 juin 2019 et un prochain séminaire se profile pour le dernier trimestre 2019.
Thierry Beylier, responsable de la subdivision de santé des Îles Sous-le-Vent et Maire Tuheiava, responsable du centre de consultations spécialisées en protection maternelle et infantile, ont donné leurs impressions sur le séminaire et le programme SSP :
Le programme de Modernisation des Soins de Santé Primaires (SSP)
Afin de répondre aux enjeux sanitaires et ainsi améliorer l’état de santé de la population, le gouvernement de la Polynésie française a adopté le Schéma d’Organisation Sanitaire pour la période 2016-2021. Le programme de Modernisation des Soins de Santé Primaires, élaboré par une équipe de coordination projet à la Direction de la santé, s’inscrit pleinement dans cette démarche par ses objectifs et sa nature transversale et intersectorielle.
Le programme de modernisation des SSP de Polynésie française s’étale sur cinq ans, 2019 à 2023. Son objectif général est de participer à l’amélioration de l’état de santé de la population en contribuant au renforcement, selon une approche moderne et adaptée au contexte local, des SSP qui sont un ensemble de services curatifs, préventifs et promotionnels de santé :
- centrés sur l’individu et sa famille,
- complets, continus et intégrés,
- efficaces et pertinents,
- accessibles à tous (couverture sanitaire universelle),
- et qui tiennent compte des facteurs locaux déterminant la santé de la population.
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Depuis décembre 2018, 6 écoles de Moorea ont reçu le label « école en santé » et participent activement à la promotion de la santé et à la protection de l’environnement au sein de leurs établissements.
Le projet « école en santé » prend de l’ampleur.
- Le projet « école en santé » a démarré en 2016, par l’écriture d’un argumentaire en partenariat avec la circonscription scolaire et les directeurs d’établissement de Moorea. Il a été présenté à tous les enseignants des écoles entre 2017 et 2018.
- En 2018, les écoles de Teavaro et de Maharepa ont reçu le label « école en santé » par des experts de l’OMS.
- En 2019, 4 écoles volontaires, Haapiti maternelle, Haapiti élémentaire, Papetoai et Maatea ont également obtenu le label. Toutes ont répondu aux 10 critères attendus par la mise en place et le travail avec le comité de Santé de l’école.
- 4 écoles restantes se préparent pour l’année scolaire 2019-2020.
Un des objectifs est de faire bénéficier cette démarche dédiée à l’amélioration de la santé des enfants à toutes les écoles de Polynésie française. Les volontaires qui souhaiteraient candidater au label « école en santé » ont la possibilité de faire une demande auprès de la Direction de la santé.
Un projet pilote mobilisateur.
Les enjeux du projet « école en santé » sont importants pour nos enfants en matière de santé, de bien-être et de réussite scolaire. Il sollicite la participation des élèves, du corps enseignant, des parents d’élèves, des autorités compétentes et de partenaires extérieurs. En amont du projet, une convention de partenariat avait été signée par le ministère de la santé, le ministère de l’éducation, la commune de Moorea-Maiao et l’association « Les petits princes d’Aimeho ».
Pour en savoir plus sur les interventions de la circonscription pédagogique de Moorea-Maiao et la commune de Moorea-Maiao, un reportage est disponible sur la page Moorea attitude.
Suite à cette première année expérimentale, un bilan du projet sera dressé. Il s’agira d’évaluer l’atteinte des objectifs à moyen et long terme et d’envisager les réajustements pour l’année suivante.
L’épidémie de dengue 2 est déclarée sur l’île de Tahiti depuis le 10 avril.
La commune de Mahina est actuellement la commune la plus touchée, puisque 16 cas y sont recensés sur les 22 dengues autochtones déclarées.
Au-delà de la participation des communes dans la recherche et l’élimination des gîtes larvaires autour des foyers des cas identifiés avec pulvérisation périfocale, le ministère de la Santé encourage vivement les maires des communes touchées à mettre en œuvre leur plan communal de sauvegarde (PCS).
Sollicité par le Haut-commissariat, le maire de Mahina, Damas Teuira, a ainsi déclenché son PCS.
Une réunion de coordination entre la commune et la direction de la Santé s’est tenue ce mardi matin dans les locaux de la mairie. Une formation des agents techniques communaux sur le dégitage proactif aura lieu mercredi matin.
Communiqué de presse
Résumé :
La Campagne POD 2019 se déroule :
- du 1er avril au 31 mai 2019 aux ISLV et aux Marquises sud.
- en avril 2019 dans le reste de la Polynésie uniquement dans les structures de soins de la Direction de la santé et réservée aux personnes à risque.
Les évaluations menées sur l’ensemble de la Polynésie ont donné des résultats conformes aux recommandations de l’OMS sauf aux îles Sous-le-Vent et aux Marquises sud où le portage filarien reste supérieur à 1% (seuil défini par l’OMS).
Par conséquent, il a été décidé de :
- maintenir la distribution aux ISLV et aux Marquises sud
- permettre à plus de 75% de la population de ces 2 zones de bénéficier des médicaments
En dehors des ISLV et des Marquises sud, le risque très faible de transmission ne justifie pas la poursuite de la distribution de masse.
Toutefois, les personnes voyageant régulièrement aux ISLV et aux Marquises sud sont invitées à se rendre dans les structures des soins de la Direction de la santé durant le mois d’avril où des professionnels de santé évalueront leur risque et leur proposeront la POD.
Une mobilisation ciblée aux îles Sous-le-Vent et aux Marquises sud avec :
- La distribution dans les écoles
- La distribution communautaire par les ambassadeurs bénévoles
Les élèves internes résidant habituels de ces îles et scolarisés dans les établissements de Tahiti bénéficieront également de la distribution par les infirmières des établissements scolaires.
Rendez-vous sur la page Facebook POD 2019 pour plus d’informations.
Communiqué de presse
Suite à la confirmation de plusieurs cas autochtones de dengue de type 2, non liés entre eux et disséminés sur plusieurs communes, une épidémie de dengue est déclarée sur l’île de Tahiti le 10/04/2019. Les autres îles de Polynésie française sont pour l’instant épargnées.
La dengue de type 2 n’ayant pas circulé dans le Pays depuis l’an 2000, la population est faiblement immunisée et l’épidémie pourrait être de grande ampleur. Les personnes de moins de 20 ans ou arrivées en Polynésie française après 2000 sont les plus à risque d’être infectées.
Au-delà des actions de lutte anti-vectorielle mises en œuvre par la Direction de la santé (Centre d’hygiène et de salubrité publique) avec la collaboration des communes, chacun peut être acteur pour limiter l’ampleur de cette épidémie par les actions suivantes :
- Pour ne pas être infecté :
- éliminez chaque semaine les gîtes larvaires autour de votre domicile et de votre lieu de travail
- protégez-vous des piqûres de moustiques (répulsifs, moustiquaire, diffuseurs…)
- Si vous avez de la fièvre supérieure à 38°C, consultez un médecin. Ceci est d’autant plus important si vous venez de Tahiti et vous rendez dans une autre île de Polynésie française, non touchée par ce virus.
- Si vous avez la dengue :
- protégez-vous des piqûres de moustiques pendant 10 jours
- limitez vos déplacements, pour ne pas contaminer d’autres zones géographiques.
- Pour ne pas être infecté :
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Le jeudi 4 avril 2019 s’est déroulée une réunion ayant pour objet d’optimiser la communication et la collaboration entre les élus locaux, les référents communaux et les services de santé. Par ce biais, le concept « village santé » était présenté.
De nombreux pays renforcent le partenariat entre le secteur de la santé et les organismes des administrations locales pour promouvoir localement des initiatives en faveur de la santé. Ainsi les partenaires se réunissent afin de mettre en évidence un constat concernant une thématique de santé publique avant de décliner des objectifs et des actions qui auront pour but de répondre à la/les problématique(s) ciblée(s).
Donner la possibilité à la population de se protéger et d’améliorer son état de santé qui est un défi majeur sur un plan mondial passe par l’engagement et les initiatives de tous. C’est pourquoi plusieurs regroupements comprenant la cellule de promotion de la santé de Tahiti-iti, les élus locaux et l’ensemble des partenaires ressources sont prévus prochainement. À terme, un comité local de santé verra le jour afin de pérenniser les actions à réévaluer et réadapter de façon continue et durable.
Communiqué de presse
Le vendredi 05 avril 2019, le Ministère et la Direction de la santé ont tenu une conférence de presse concernant le lancement de la campagne du Rhumatisme Articulaire Aigu (RAA).
Le Ministre de la santé, Jacques Raynal, la Directrice de la santé, Dr Laurence Bonnac-Théron, le Directeur de la Direction générale de l’éducation et des enseignements, Thierry Delmas et le responsable du Bureau des Pathologies Infectieuses, Dr Jean-Marc Ségalin ont présenté devant la presse, la maladie du RAA, les enjeux pour la Polynésie, le programme de lutte contre le RAA 2019-2023 et les diverses actions de communication prévues.
Le RAA, toujours présent en Polynésie
Le RAA reste fréquent en Polynésie française notamment chez les jeunes. En 2016, 243 nouveaux cas ont été déclarés. L’incidence du RAA en Polynésie française est comparable avec celle des autres pays du Pacifique ouest, qui possède une des plus hautes incidences mondiales.
En 2015, 60 « Evasan » internationales ont été effectuées pour chirurgie valvulaire. Par ailleurs, deux enquêtes pratiquées dans les classes de CM2 ont révélé que 2,8% des enfants de Moorea et 5% des enfants de Faaa étaient porteurs de cardiopathie rhumatismale chronique. En comparaison avec Nouvelle-Calédonie, ce taux est bien trop élevé.
Le rhumatisme articulaire aigu (RAA) représente un problème de santé publique majeur. Le RAA a un impact potentiel à tous les âges de la vie. Si la maladie se déclare le plus souvent entre 5 et 14 ans, elle peut laisser de lourdes séquelles conduisant à la chirurgie cardiaque jusque tard dans la vie. Le Ministre de la santé, Jacques Raynal insiste sur le fait de traiter correctement les angines et que si des douleurs articulaires sont ressenties, il faut consulter immédiatement son médecin.
Le programme de lutte contre le RAA 2019-2023
Début 2019, le Ministère de la santé a validé le programme de lutte contre le RAA 2019-2023 proposé par la Direction de la Santé. Ce programme permettra de planifier les actions nécessaires pour lutter contre cette endémie majeure, très coûteuse pour le pays d’évaluer leurs efficacités au cours du temps.
Focus sur les dépistages scolaires
Grâce à la collaboration et au soutien de la Direction Général de l’Éducation et de l’Enseignement (DGEE), les dépistages ont déjà débuté à Moorea et à Tahiti Iti. Cette opération durera jusqu’au mois de juin 2019. La zone urbaine de Tahiti, la côte Est, Rangiroa et Hao feront également partie des zones où les enfants de CM2 seront dépistés avant la fin de l’année scolaire. Les professionnels de santé utiliseront des équipements modernes qui améliorent significativement la qualité des résultats d’examen.
La DGEE souhaite faciliter au maximum les conditions de mise en oeuvre des dépistages scolaires prévus dans les écoles comme l’affirme Thierry Delmas, le Directeur de la DGEE. La collaboration avec la Direction de la santé est très ancienne.
Une communication polynésienne et décalée
Une nouvelle approche pour communiquer : Parodier la série télévisée de Dr House
Elle sera présente sur les réseaux sociaux et sera déployée tout au long de l’année à partir du 08 avril 2019. Des publications sous forme d’articles et de reportages seront également diffusées pour mettre en avant les actions sur le terrain telles que les dépistages.
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L’hôpital de Moorea-Maiao se prépare à la prévention des Infections Sexuellement Transmissibles (IST).
Ce vendredi 5 avril 2019 se sont déroulées des séances de mise à jour des connaissances et compétences en matière d’IST pour tout le personnel des Formations sanitaires de Moorea. Les infirmières, aides-soignantes, secrétaires, femmes de service, chauffeurs ouvriers polyvalents, médecins et sages femmes. Tous ont participé, chacun avec leur niveau de connaissance et de compétence, dans le but de mieux comprendre le fonctionnement des IST, leurs enjeux et qu’ils puissent efficacement accueillir, conseiller, prendre en charge et orienter la population.
Les prochaines étapes seront la sensibilisation des 600 élèves attendus à Moorea pour la course de Vaa Eimeho Race en mai, puis la tournée « Capote Moz Tour » auprès des jeunes de Moorea dans la soirée du 7 juin. Informations, dépistages rapides et gratuits avec le camion de maraude et enquête sur les IST seront prévus.
Les objectifs de ce projet sont de diminuer le risque de transmission des IST et de promouvoir une sexualité responsable et épanouie notamment auprès des jeunes.
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Les Cellules de Promotion de Santé (CPS) de Polynésie française se regroupent à Tahiti pour renforcer leurs compétences psychosociales et développer de nouvelles actions.
La Direction de la santé a organisé un regroupement rassemblant toutes les CPS de Polynésie française sur Tahiti. Ce regroupement qui se déroule en deux temps a débuté à partir du 26 février 2019 et se terminera au Village de l’Alimentation et de l’Innovation (VAI) le 30 mars 2019.
Chaque année, le regroupement des cellules se fixe des objectifs à atteindre. Pour l’année 2019, il est question de renforcer les compétences psychosociales des agents, de les impliquer dans les programmes de santé élaborés par les référents et de réfléchir en groupe à de nouvelles actions à mettre en place durant l’année à destination de la population. Le regroupement des CPS est d’une importance considérable dans l’amélioration des méthodes de travail et l’acquisition de compétences pour les agents, et ce afin de mieux accompagner et informer la population dans leurs archipels respectifs.
Le regroupement des CPS a démarré dans le vif du sujet, les agents ont assisté à la conférence de Mme Nathalie RIGAL sur l’éducation au goût chez les enfants tenue le mardi 26 février 2019. Une petite formation était ensuite prévue pour les former à l’animation d’expériences sensorielles en vue de leurs participations au Village de l’Alimentation et de l’Innovation (VAI). Du mercredi 27 février au vendredi 1er mars, les CPS ont actualisé leurs connaissances sur les programmes de santé concernant l’alimentation, les activités physiques et les addictions. Puis, ils ont travaillé ensemble à la mise en place d’actions concrètes dans un projet commun pour l’année 2019. Deux professionnels de santé du Centre de Consultations Spécialisées en Hygiène et Santé Scolaire (CCSHSS) ont également pris parti au regroupement.
Le mardi 26 mars 2019, les cellules de promotion de santé se sont penchées sur les programmes de santé liés aux maladies infectieuses telles que le RA’A, la tuberculose, les IST, la filariose, la dengue, etc… et ce jusqu’au 27 mars 2019. Le regroupement des CPS s’achève avec la participation des agents au Village de l’Alimentation et de l’Innovation sous la forme d’animation d’expériences sensorielles du 28 au 30 mars. Les CPS profiteront aussi du VAI pour présenter les actions qu’elles ont réalisé précédemment en lien avec l’alimentation.
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La 2ème édition du Village de l’Alimentation et de l’Innovation (VAI) se tiendra les 28, 29 et 30 mars 2019 à la Maison de la Culture sous le thème des sens et des émotions.
Créé en 2017, le Village de l’Alimentation et de l’Innovation (VAI) est un village pédagogique biennal, de 3 jours porté et organisé par Manihi LEFOC de ASAE Conseil. Il a été créé afin de promouvoir une façon de s’alimenter et de consommer plus respectueuse de la santé des individus et de l’environnement tout en valorisant la richesse de la culture polynésienne. La seconde édition du VAI s’annonce ainsi toute aussi riche que la première, et accueillera de nouveaux experts locaux et étrangers, proposera de nouvelles animations et expériences sensorielles, et mettra en avant les récentes initiatives pour une alimentation saine et durable.
En 2019, le VAI va s’animer autour de la thématique « des sens et des émotions » qui sera déclinée à travers chacun des espaces et chacune des animations, à destination de la communauté des professionnels mais aussi du grand public, et ce, avec des objectifs bien précis :
• Donner du sens à ce que nous mangeons et à la façon dont nous le consommons.
• Découvrir l’influence de nos sens dans notre rapport à l’Alimentation.
• Comprendre le lien étroit entre nos émotions et notre comportement alimentaire.
• Créer des émotions en cuisine au service d’une alimentation locale, saine et durable.Une conférence de presse a eu lieu ce lundi 25 mars 2019 à laquelle les différents partenaires du VAI ont pu s’exprimer. Le Ministère et la Direction de la santé s’investissent pleinement à la mise en œuvre de cette seconde édition. Ils soutiennent une nouvelle fois cette initiative financièrement et déploient de nombreux professionnels de santé qui ont été formés à l’animation d’expériences sensorielles brèves et d’ateliers du goût, notamment par leur renforcement des compétences psycho-sociales en matière d’éducation au goût chez les enfants. Ainsi deux agents du département des programmes de prévention, seize agents des cellules de promotion de la santé et deux agents de l’hygiène scolaire assureront lors du VAI :
- l’animation d’expériences sensorielles brèves et de certaines sessions d’ateliers du goût ;
- l’animation du débat à la fin de la projection du film documentaire Sugarland. Ce film est proposé aux visiteurs gratuitement ;
- l’animation d’un atelier sucre qui a pour objectif de sensibiliser sur la haute teneur en sucre des sodas et d’informer sur le sucre caché en incitant à lire les étiquettes alimentaires ;
- l’animation d’un stand d’information pour présenter les actions proposées par les agents de prévention de la DS dans les archipels en lien avec l’alimentation.
De plus, le Ministère de la Santé et de la Prévention accompagne aussi financièrement et techniquement le projet de l’expérience pilote des classes du goût. Il a débuté en septembre 2018 et se déroule dans 2 classes de CM1/CM2 (une à l’école Pamatai à Faa’a et l’autre à l’école Tamahana à Arue). Cette expérience consiste notamment en :
- la réalisation de séances d’éducation au goût ;
- la sensibilisation et l’implication des parents ;
- la participation des restaurants scolaires (information du personnel de cuisine).
Plan du VAI