Annuaire des structures de la Direction de la santé
[ACTUALITÉS] Journée mondiale des lépreux – 29 janvier
Légende: La Direction de la santé reçoit les supports de sensibilisation à la lèpre remis par la délégation de Polynésie française de l’Ordre de Malte France. De gauche à droite: Dr Teanini TEMATAHOTOA (Direction adjointe médicale), Florent ROY (Délégué pour la Polynésie française, Ordre de Malte France), Merehau MERVIN (Directrice), Dr Ngoc Lam NGUYEN (Responsable du centre de consultations des maladies tropicales et des infections sexuellement transmissibles), Karine VANNES (Directrice adjointe).
La lèpre, appelée « oovi » en tahitien ou « kovi » en marquisien est une maladie infectieuse chronique due à la Mycrobacterium leprae, une bactérie proche de l’agent responsable de la tuberculose. Celle-ci touche les nerfs périphériques, la peau et les muqueuses, en provoquant des infirmités sévères.
Chaque année le 29 janvier, la journée mondiale des lépreux met en lumière cette maladie.
Dans la majeure partie du monde, la lèpre est rare. C’est une infection complexe, mal comprise et difficile à étudier. Bien que la lèpre ne soit pas hautement contagieuse (contrairement à une croyance populaire), qu’elle entraîne rarement la mort et qu’elle puisse être efficacement traitée par des antibiotiques, elle est encore associée à une forte stigmatisation sociale.
Quelques informations au niveau mondial :
En fin 2020, 129 389 patients étaient encore sous traitement et la prévalence est de 16.7 par millions au niveau mondial. Parmi les nouveaux cas :
- 6.7% étaient des enfants
- 5.6% étaient détectés tardivement avec des infirmités
Quelques dates clés sur la lèpre en Polynésie française :
- 1874 : ouverture de la léproserie à Motu Uta, transférée en 1914 à Orofara. Fermeture en 1976.
- 1880 à 1924 : constructions de 3 léproseries à Hiva Oa, à Puamau, et Tehotu. Fermetures en 1935.
- 1934 : ouverture de la léproserie à Reao. Fermeture en 1956.
En décembre 2022, un enseignement post-universitaire (EPU) au sujet de la lèpre a été organisé par la Délégation de Polynésie française de l’Ordre de Malte France, en partenariat avec le Conservatoire National des Arts et Métiers (CNAM) Polynésie française et la Direction de la santé.
Cette maladie bactérienne circule toujours en Polynésie française, avec 10 nouveaux cas détectés en 2022. Or, la lèpre reste difficile à diagnostiquer car la période d’incubation peut aller jusqu’à 10 ans avant l’apparition des symptômes.
La sensibilisation à cette maladie reste donc essentielle pour les professionnels de santé, ainsi que pour le grand public à des fins de prévention.
Dans le cadre de la Journée Mondiale des Lépreux qui se déroule le 29 janvier. Vous pouvez retrouver la conférence de sensibilisation concernant cette maladie animée par le Dr Ngoc Lam NGUYEN, responsable du centre de consultations des maladies tropicales et des infections sexuellement transmissibles de la Direction de la santé : https://www.youtube.com/watch?v=H7rR6QQvfGM ainsi que tout support nécessaire à la prévention de la Lèpre.
Afin de soutenir cette association publique vous pouvez faire un don en vous rendant directement sur leur site web : https://www.ordredemaltefrance.org/
[ACTUALITÉS] Journée mondiale des lépreux – 29 janvier
La lèpre, appelée « oovi » en tahitien ou « kovi » en marquisien est une maladie infectieuse chronique due à la Mycrobacterium leprae, une bactérie proche de l’agent responsable de la tuberculose. Celle-ci touche les nerfs périphériques, la peau et les muqueuses, en provoquant des infirmités sévères.
Dans la majeure partie du monde, la lèpre est rare. C’est une infection complexe, mal comprise et difficile à étudier. Bien que la lèpre ne soit pas hautement contagieuse contrairement à une croyance populaire, qu’elle entraîne rarement la mort et qu’elle puisse être efficacement traitée par des antibiotiques, elle est encore associée à une forte stigmatisation sociale.
Voici quelques date clés sur la lèpre en Polynésie française :
- 1874 : ouverture de la léproserie à Motu Uta puis transférée en 1914 à Orofara. Fermeture en 1976.
- 1880 à 1924 : constructions de 3 léproseries à Hiva Oa à Puamau et Tehotu. Fermetures en 1935.
- 1934 : ouverture de la léprosseries à Reao. Fermeture en 1956.
En décembre 2022, un enseignement post-universitaire (EPU) au sujet de la lèpre a été organisé par la Délégation de Polynésie française de l’Ordre de Malte France, en partenariat avec le Conservatoire Nationale des Arts et Métiers (CNAM) Polynésie française et la Direction de la santé.
Ce qui en est ressorti est que cette maladie bactérienne circule toujours en Polynésie française, avec 10 nouveaux cas détectés en 2022. Or, la lèpre reste difficile à diagnostiquer car la période d’incubation peut aller jusqu’à 10 ans avant l’apparition des symptômes.
La sensibilisation à cette maladie reste donc essentielle pour les professionnels de santé, ainsi que pour le grand public à des fins de prévention.
Dans le cadre de la Journée Mondiale des Lépreux qui se déroule le 29 janvier. Vous pouvez retrouver la conférence de sensibilisation concernant cette maladie animée par le Dr Ngoc Lam NGUYEN, responsable du centre de consultations des maladies tropicales et des infections sexuellement transmissibles de la Direction de la santé : https://www.youtube.com/watch?v=H7rR6QQvfGM ainsi que tout support nécessaire à la prévention de la Lèpre.
Afin de soutenir cette association publique vous pouvez faire un don en vous rendant directement sur leur site web :
[COMMUNIQUÉ DE PRESSE] Dépistage du RAA en Polynésie française
Depuis 2019 la Direction de la santé de Polynésie française organise des campagnes de dépistage du RAA (Rhumatisme articulaire aigu) en milieu scolaire.
Le Rhumatisme Articulaire Aigu (RAA)
Le RAA qui touche essentiellement les enfants est une maladie encore très fréquente en Polynésie. Dans 2 cas sur 3, il peut atteindre le tissu cardiaque. S’il n’est pas diagnostiqué et pris en charge à temps, ses complications peuvent nécessiter une intervention de chirurgie cardiaque.
La détection précoce de cette atteinte cardiaque permet d’instaurer un traitement préventif efficace pour contrôler l’évolution de la maladie.
Combien y-a-t-il de malades du RAA en Pf ?
En 2021, 3804 personnes étaient inscrites en longue maladie au titre du RAA et 249 nouveaux cas ont été déclarés (données CPS).
Programme de lutte contre le RAA
La lutte contre le RAA est une priorité de santé publique en Polynésie française.
Le programme de lutte contre le RAA a été actualisé en 2019. Il a permis la création du centre du RAA, situé au centre de la mère et de l’enfant. Le dépistage scolaire représente une des activités majeures de l’équipe constituée d’un médecin et de trois infirmières. Ceux-ci travaillent en étroite collaboration avec les professionnels de santé du Fenua.
Le dépistage scolaire du RAA
Le Centre du RAA organise chaque année le dépistage scolaire en collaboration avec la Direction générale des enseignements et de l’éducation (DGEE) et les chefs d’établissement des collèges.
La population cible est l’ensemble des élèves de 6e de Polynésie. En 2022-2023, le dépistage concernera Tahiti, les Tuamotu-Gambier (Rangiroa, Hao), les Australes (Rurutu, Tubuai), une partie des Marquises (Hiva Oa et Nuku Hiva), Raiatea et les élèves de CM2 de Moorea. L’objectif est de couvrir l’ensemble du territoire polynésien en 2024.
Le dépistage scolaire a pour objectif principal est de repérer des enfants asymptomatiques, porteurs de maladies des valves cardiaques (valvulopathies). On utilise l’échocardiographie qui a une efficacité 10 fois supérieure à celle du stéthoscope.
Les équipes dédiées au dépistage du RAA (médecin et/ou infirmier) se déplacent dans les collèges afin de réaliser ces échographies, gratuitement, pour tous les enfants concernés. Cet examen est rapide, il dure environ 5 minutes, et est sans douleur.
Aucun autre examen et aucune injection ne sont effectués lors du dépistage au sein des établissements scolaires.
Les enfants repérés lors du dépistage scolaire sont revus en consultation spécialisée avec un cardiologue au centre du RAA ou en cabinet privé.
Un suivi et un traitement adapté sont proposés aux enfants porteurs de lésions cardiaques post RAA.
Le pronostic de ces enfants est amélioré dès lors qu’ils sont traités et suivis régulièrement.
Le RAA est une maladie à déclaration obligatoire et prise en charge à 100% par la CPS (carnet rouge).
Au cours de l’année scolaire 2021/2022, 2 849 enfants ont bénéficié du dépistage, 262 ont été revus par un cardiologue. Au total, cette campagne a permis d’identifier précocement 91 enfants porteurs de séquelles cardiaques du RAA, soit 3,2% des enfants dépistés.
Centre de lutte contre le RAA
- CME Hamuta Pirae
- Tél : (+689) 40 47 33 68
- Courriel : raa@sante.gov.pf
[COMMUNIQUÉ DE PRESSE] Dépistage du RAA en Polynésie française
Depuis 2019 la Direction de la santé de Polynésie française organise des campagnes de dépistage du RAA (Rhumatisme articulaire aigu) en milieu scolaire.
Le Rhumatisme Articulaire Aigu (RAA)
Le RAA qui touche essentiellement les enfants est une maladie encore très fréquente en Polynésie. Dans 2 cas sur 3, il peut atteindre le tissu cardiaque. S’il n’est pas diagnostiqué et pris en charge à temps, ses complications peuvent nécessiter une intervention de chirurgie cardiaque.
La détection précoce de cette atteinte cardiaque permet d’instaurer un traitement préventif efficace pour contrôler l’évolution de la maladie.
Combien y-a-t-il de malades du RAA en Pf ?
En 2021, 3804 personnes étaient inscrites en longue maladie au titre du RAA et 249 nouveaux cas ont été déclarés (données CPS).
Programme de lutte contre le RAA
La lutte contre le RAA est une priorité de santé publique en Polynésie française.
Le programme de lutte contre le RAA a été actualisé en 2019. Il a permis la création du centre du RAA, situé au centre de la mère et de l’enfant. Le dépistage scolaire représente une des activités majeures de l’équipe constituée d’un médecin et de trois infirmières. Ceux-ci travaillent en étroite collaboration avec les professionnels de santé du Fenua.
Le dépistage scolaire du RAA
Le Centre du RAA organise chaque année le dépistage scolaire en collaboration avec la Direction générale des enseignements et de l’éducation (DGEE) et les chefs d’établissement des collèges.
La population cible est l’ensemble des élèves de 6e de Polynésie. En 2022-2023, le dépistage concernera Tahiti, les Tuamotu-Gambier (Rangiroa, Hao), les Australes (Rurutu, Tubuai), une partie des Marquises (Hiva Oa et Nuku Hiva), Raiatea et les élèves de CM2 de Moorea. L’objectif est de couvrir l’ensemble du territoire polynésien en 2024.
Le dépistage scolaire a pour objectif principal est de repérer des enfants asymptomatiques, porteurs de maladies des valves cardiaques (valvulopathies). On utilise l’échocardiographie qui a une efficacité 10 fois supérieure à celle du stéthoscope.
Les équipes dédiées au dépistage du RAA (médecin et/ou infirmier) se déplacent dans les collèges afin de réaliser ces échographies, gratuitement, pour tous les enfants concernés. Cet examen est rapide, il dure environ 5 minutes, et est sans douleur.
Aucun autre examen et aucune injection ne sont effectués lors du dépistage au sein des établissements scolaires.
Les enfants repérés lors du dépistage scolaire sont revus en consultation spécialisée avec un cardiologue au centre du RAA ou en cabinet privé.
Un suivi et un traitement adapté sont proposés aux enfants porteurs de lésions cardiaques post RAA.
Le pronostic de ces enfants est amélioré dès lors qu’ils sont traités et suivis régulièrement.
Le RAA est une maladie à déclaration obligatoire et prise en charge à 100% par la CPS (carnet rouge).
Au cours de l’année scolaire 2021/2022, 2 849 enfants ont bénéficié du dépistage, 262 ont été revus par un cardiologue. Au total, cette campagne a permis d’identifier précocement 91 enfants porteurs de séquelles cardiaques du RAA, soit 3,2% des enfants dépistés.
Centre de lutte contre le RAA
- CME Hamuta Pirae
- Tél : (+689) 40 47 33 68
- Courriel : raa@sante.gov.pf
Bulletin de Surveillance Sanitaire (BSS) n°3/2023
Données consolidées jusqu’à la semaine S03-2023
[ZOOM SUR LES ARCHIPELS] Inauguration du centre médical et dentaire de Maupiti
Le 11 juillet, le centre médical et dentaire de Maupiti a été inauguré. Ce projet, initié en 2015 et dont les travaux ont commencé en 2020, permet de doter la population d’un centre médical moderne proposant des salles de consultations médicale et dentaire, d’urgences, de soins, de radiologie, ainsi qu’une pharmacie et une chambre d’observation. Le financement de ce projet est réparti entre le Pays et l’État. Les trois logements de fonction annexés au centre ont également été inaugurés, permettant d’assurer une proximité en cas d’astreinte et de fidéliser le personnel soignant sur l’île de Maupiti.
Avec le soutien de la subdivision des îles sous-le-vent, la cellule Patrimoine a effectué la coordination entre la DEQ (Direction de l’Équipement), les équipes médicales et paramédicales de Maupiti et les différents intervenants (OPT, Onati, SIPF…), permettant d’apporter un support technique et un accompagnement global du projet et ainsi d’identifier les points d’améliorations nécessaires pour les autres projets de la Direction de la santé.
[ZOOM SUR LES ARCHIPELS] Inauguration du centre médical et dentaire de Maupiti
Le 11 juillet, le centre médical et dentaire de Maupiti a été inauguré. Ce projet, initié en 2015 et dont les travaux ont commencé en 2020, permet de doter la population d’un centre médical moderne proposant des salles de consultations médicale et dentaire, d’urgences, de soins, de radiologie, ainsi qu’une pharmacie et une chambre d’observation. Le financement de ce projet est réparti entre le Pays et l’État. Les trois logements de fonction annexés au centre ont également été inaugurés, permettant d’assurer une proximité en cas d’astreinte et de fidéliser le personnel soignant sur l’île de Maupiti.
Avec le soutien de la subdivision des îles sous-le-vent, la cellule Patrimoine a effectué la coordination entre la DEQ (Direction de l’Équipement), les équipes médicales et paramédicales de Maupiti et les différents intervenants (OPT, Onati, SIPF…), permettant d’apporter un support technique et un accompagnement global du projet et ainsi d’identifier les points d’améliorations nécessaires pour les autres projets de la Direction de la santé.
[ACTUALITÉS : École/ CJA en santé] Labellisation des écoles et CJA en santé
Durant la période de septembre à décembre, 3 établissements scolaires ont obtenu le label « École en santé » et un CJA a communiqué sur le suivi de sa labellisation :
- Le CJA de Moorea
- L’école maternelle Hitimahana de Mahina
- L’école primaire Teroma de Faa’a
- L’école primaire Potii de Vairao
Pour rappel, les dispositifs « École en santé » et « CJA en santé » de Polynésie française ont pour but de promouvoir la santé à l’école en agissant sur les déterminants de santé accessibles à l’école, et en développant les compétences psycho-sociales des élèves.
Pour bénéficier de ces dispositifs les écoles/CJA doivent mettre en place 10 actions prenant en compte les déterminants prioritaires de la santé des jeunes et en lien avec les thématiques suivantes :
- Alimentation,
- Activité physique,
- Hygiène corporelle,
- Rythme de vie,
- École sans tabac, ou vie sans dépendance,
- Tri des déchets et espace public propre,
- Lutte antivectorielle,
- Accueil de tous les enfants et bien-vivre ensemble,
- Accès aux soins pour tous,
- Valorisation du patrimoine culturel.
[ACTUALITÉS : École/ CJA en santé] Labellisation des écoles et CJA en santé
Durant la période de septembre à décembre, 3 établissements scolaires ont obtenu le label « École en santé » et un CJA a communiqué sur le suivi de sa labellisation :
- Le CJA de Moorea
- L’école maternelle Hitimahana de Mahina
- L’école primaire Teroma de Faa’a
- L’école primaire Potii de Vairao
Pour rappel, les dispositifs « École en santé » et « CJA en santé » de Polynésie française ont pour but de promouvoir la santé à l’école en agissant sur les déterminants de santé accessibles à l’école, et en développant les compétences psycho-sociales des élèves.
Pour bénéficier de ces dispositifs les écoles/CJA doivent mettre en place 10 actions prenant en compte les déterminants prioritaires de la santé des jeunes et en lien avec les thématiques suivantes :
- Alimentation,
- Activité physique,
- Hygiène corporelle,
- Rythme de vie,
- École sans tabac, ou vie sans dépendance,
- Tri des déchets et espace public propre,
- Lutte antivectorielle,
- Accueil de tous les enfants et bien-vivre ensemble,
- Accès aux soins pour tous,
- Valorisation du patrimoine culturel.
[ACTUALITÉS] Des professionnels formés à l’éducation à la Vie Affective et Sexuelle (VAS)
En 2022 la DS a réalisé un nouvel outil pédagogique : le kit [VAS]. Celui-ci permet de développer les connaissances et les compétences psychosociales des adolescents pour une vie affective et sexuelle saine, responsable et respectueuse. Ce kit s’adapte à chaque niveau de classe, selon la maturité des adolescents. De plus, ce kit ouvre la possibilité à l’ensemble des équipes éducative et des établissements de l’intégrer au parcours éducatif à la santé.
Plusieurs professionnels de la DPJJ (Direction de la Protection Judiciaire de la Jeunesse), de la DSFE (Direction des Solidarités, de la Famille et de l’Egalité), du FTH (Fare Tama Hau), de la pédopsychiatrie du CHPF (Centre Hospitalier de PF), de la DGEE (Direction Générale de l’Education et des Enseignements), des MFR (Maisons Familiales Rurales) et des professionnels ou bénévoles du milieu de la jeunesse ont bénéficié d’une formation à l’utilisation de ce kit, dispensée par le Dr Sabrina CHANTEAU, chargée du déploiement de ce kit sur l’éducation à la vie affective et sexuelle [labellisé par l’UNESCO en 2020].
[ACTUALITÉS] Des professionnels formés à l’éducation à la Vie Affective et Sexuelle (VAS)
En 2022 la DS a réalisé un nouvel outil pédagogique : le kit [VAS]. Celui-ci permet de développer les connaissances et les compétences psychosociales des adolescents pour une vie affective et sexuelle saine, responsable et respectueuse. Ce kit s’adapte à chaque niveau de classe, selon la maturité des adolescents. De plus, ce kit ouvre la possibilité à l’ensemble des équipes éducative et des établissements de l’intégrer au parcours éducatif à la santé.
Plusieurs professionnels de la DPJJ (Direction de la Protection Judiciaire de la Jeunesse), de la DSFE (Direction des Solidarités, de la Famille et de l’Egalité), du FTH (Fare Tama Hau), de la pédopsychiatrie du CHPF (Centre Hospitalier de PF), de la DGEE (Direction Générale de l’Education et des Enseignements), des MFR (Maisons Familiales Rurales) et des professionnels ou bénévoles du milieu de la jeunesse ont bénéficié d’une formation à l’utilisation de ce kit, dispensée par le Dr Sabrina CHANTEAU, chargée du déploiement de ce kit sur l’éducation à la vie affective et sexuelle [labellisé par l’UNESCO en 2020].
[ACTUALITÉS] Diplôme Inter-Universitaire portant sur le Cannabis
Le Centre de Prévention et de Soin des Addictions (CPSA) reçoit des patients en demande d’un accompagnement pour le sevrage de leurs addictions. Les professionnels de santé du CPSA réalisent des consultations ambulatoires et animent des groupes thérapeutiques (groupe prévention de la rechute, groupe motivationnel, groupe de marche, etc…). Le cannabis (« paka ») est consommé par près de 80% des patients qui consultent le centre.
Lors des permanences scolaires ou lors de prise en charge en groupe, la question du cannabis comme « élément culturel » ou « ra’au tahiti » est souvent mise en avant par les patients pour justifier leur consommation. C’est dans ce contexte que le Dr Romain BOURDONCLE a souhaité approfondir ses connaissances sur le « cannabis médical » afin d’apporter une information claire et loyale aux patients pris en charge au CPSA. Son inscription au Diplôme Inter-Universitaire (D.I.U) « Cannabis Médical » organisé par l’université Paris Saclay a été soutenue et financée par la Direction de la santé. La formation s’est déroulée à distance et s’est soldée par un examen écrit ainsi que d’un mémoire intitulé « Le Cannabis Médical en Polynésie française : qu’elles utilisations anciennes, actuelles et futures ? »
[ACTUALITÉS] Diplôme Inter-Universitaire portant sur le Cannabis
Le Centre de Prévention et de Soin des Addictions (CPSA) reçoit des patients en demande d’un accompagnement pour le sevrage de leurs addictions. Les professionnels de santé du CPSA réalisent des consultations ambulatoires et animent des groupes thérapeutiques (groupe prévention de la rechute, groupe motivationnel, groupe de marche, etc…). Le cannabis (« paka ») est consommé par près de 80% des patients qui consultent le centre.
Lors des permanences scolaires ou lors de prise en charge en groupe, la question du cannabis comme « élément culturel » ou « ra’au tahiti » est souvent mise en avant par les patients pour justifier leur consommation. C’est dans ce contexte que le Dr Romain BOURDONCLE a souhaité approfondir ses connaissances sur le « cannabis médical » afin d’apporter une information claire et loyale aux patients pris en charge au CPSA. Son inscription au Diplôme Inter-Universitaire (D.I.U) « Cannabis Médical » organisé par l’université Paris Saclay a été soutenue et financée par la Direction de la santé. La formation s’est déroulée à distance et s’est soldée par un examen écrit ainsi que d’un mémoire intitulé « Le Cannabis Médical en Polynésie française : qu’elles utilisations anciennes, actuelles et futures ? »
[ACTUALITÉS: Santé de l’adolescent] Lauréats du diplôme universitaire
En 2022, plusieurs professionnels de la Direction de la santé et du secteur socio-sanitaire de Polynésie ont participé à un diplôme universitaire organisé conjointement par la Direction de la santé, le Fare Tama Hau et l’Université de Polynésie.
Le Docteur Sabrina CHANTEAU est sorti major de promotion avec une note de 18/20 pour sa soutenance de mémoire intitulé « Impact d’un parcours d’éducation à la vie affective et sexuelle chez des adolescents de foyers socio-éducatifs de Tahiti ».
Pour consultez les mémoires : https://www.service-public.pf/dsp/espace-pro-2/memoires/
[ACTUALITÉS: Santé de l’adolescent] Lauréats du diplôme universitaire
En 2022, plusieurs professionnels de la Direction de la santé et du secteur socio-sanitaire de Polynésie ont participé à un diplôme universitaire organisé conjointement par la Direction de la santé, le Fare Tama Hau et l’Université de Polynésie.
Le Docteur Sabrina CHANTEAU est sorti major de promotion avec une note de 18/20 pour sa soutenance de mémoire intitulé « Impact d’un parcours d’éducation à la vie affective et sexuelle chez des adolescents de foyers socio-éducatifs de Tahiti ».
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Avis d’appel public à la concurrence « Location longue durée de véhicules pour le compte de la Direction de la santé ».
Consultation de l’appel public à la concurrence: cliquer ici
Date et heure limites de réception des offres: Mercredi 18 janvier 2023 à 12 heures
Pour tout renseignement, contacter par email : pauline.lafarge@administration.gov.pf