Annuaire des structures de la Direction de la santé
Contexte
- L’Organisation mondiale de la santé à déclaré une urgence de santé publique de portée internationale le 30/01/2020.
- Un risque très élevé au niveau international a été a été déclaré le 28/02/2020.
- La pandémie a été annoncée officiellement le 11/03/2020.
La situation en Polynésie française
Le premier cas confirmé en Polynésie a été prélevé le 10 mars 2020.
Situation au 09/05/2020 à 10h00 :
À ce jour, il n’y a aucun nouveau cas confirmé de COVID-19 en Polynésie française. Le nombre total de cas confirmés est 60.
Contexte
- L’Organisation mondiale de la santé à déclaré une urgence de santé publique de portée internationale le 30/01/2020.
- Un risque très élevé au niveau international a été a été déclaré le 28/02/2020.
- La pandémie a été annoncée officiellement le 11/03/2020.
La situation en Polynésie française
Le premier cas confirmé en Polynésie a été prélevé le 10 mars 2020.
Situation au 08/05/2020 à 10h00 :
À ce jour, il n’y a aucun nouveau cas confirmé de COVID-19 en Polynésie française. Le nombre total de cas confirmés est 60.
BULLETIN D’INFORMATION #39 – Cellule de crise de la Polynésie française
60 personnes ont été dépistées positives sur les 2816 tests effectués depuis le début de l’épidémie en Polynésie française. À ce jour, 4 personnes sont toujours sous surveillance et 56 ont été autorisées à sortir d’isolement.
Nombre de dépistages
Malgré l’élargissement de la stratégie de dépistage toujours en cours, le nombre de personnes dépistées a diminué ces derniers jours. En effet, au cours des semaines précédentes, un nombre important de personnes ont été testées pour confirmer leur sortie d’isolement après un retour de voyage ou avant un retour dans les îles. Le nombre de personnes revenant d’un séjour à l’étranger ou de métropole ayant drastiquement diminué depuis l’arrêt des vols internationaux explique le ralentissement du nombre de dépistages réalisés. Par ailleurs, le nombre de personnes testées positives au virus est également faibles ces dernières semaines réduisant ainsi les dépistages des personnes contacts. Les autorités sanitaires insistent sur le fait que les médecins libéraux, ainsi que les médecins exerçants dans des structures de santé publique, sont habilités à prescrire des tests aux personnes présentant des symptômes évocateurs de la maladie ainsi qu’à des personnes ayant des professions particulièrement exposées au public.
Les autorités sanitaires rappellent que les personnes ne présentant plus de symptômes de la maladie depuis plus de 14 jours et donc à sortir d’isolement, sont autorisés à reprendre une activité professionnelle. Elles ne présentent pas de risque de contagion pour leur entourage.
Continuité territoriale : dispositifs de rapatriement
L’arrivée du prochain vol de continuité territoriale est prévue pour le dimanche 10 mai. Il devrait rapatrier un total de 80 personnes (résidents Polynésiens). L’ensemble des demandes de retour au Fenua adressées à la Cellule de crise sanitaire, au Haut-Commissariat ainsi qu’à la délégation de Polynésie française à Paris, ont été enregistrées.
Cependant, les conditions de retour obligent les autorités à procéder à une priorisation figurant en premier les retours d’évacuations sanitaires, les personnes fragiles ou démunies, les femmes enceintes, et les familles avec de jeunes enfants.
Les personnes voyageant sur les vols de la continuité territoriale doivent être munies d’un billet validé par la compagnie aérienne, Air Tahiti Nui. Hormis le coût de ce billet, les autorités chiffrent le coût des procédures sanitaires de retour (les dépistages, l’hébergement et la restauration durant la quarantaine, à l’arrivée) à environ 310.000 XPF par personne adulte, entièrement pris en charge par le Pays.
La lutte contre les violences intra familiales : un traitement prioritaire dans le contexte actuel
Si le confinement implique une nouvelle organisation de la vie des familles susceptible de renforcer la solidarité intrafamiliale, il peut aussi représenter un facteur important, aggravant de passage à l’acte pour un conjoint violent, ou de réitération de gestes violents de sa part.
En cas de danger grave et immédiat, avec nécessité d’une intervention sur place, il convient de contacter les services de première urgence : appelez le 17.
Un nouveau dispositif est mis en place en partenariat avec les partenaires de proximité, auprès de la commune, de la pharmacie et du dispensaire le plus proche de leur domicile. Aussi, les victimes de violences et les témoins de scènes de violences intrafamiliales peuvent se signaler discrètement auprès des officines de pharmacies.
Elles pourront compter sur un accueil personnalisé, une écoute, une information et une orientation spécifique vers des dispositifs d’accompagnement et de prise en charge.
Ce dispositif permet :
- une alerte efficace et discrète vis-à-vis de la personne violente ;
- une prise en charge rapide des victimes ;
- une orientation vers les dispositifs de prise en charge.
Ce dispositif est avant tout destiné aux femmes victimes de violences conjugales, mais également à toutes les victimes de violences dans le cercle familial, à commencer par les mineurs.
Masques chirurgicaux et FFP2 : un bilan sur les distributions gratuites
Depuis le début de la crise, les autorités sanitaires ont procédé à des distributions gratuites de masques auprès des professionnels de santé ainsi qu’à des professions particulièrement exposées. Plus de 550.000 masques ont ainsi été distribué :
- Aux professionnels de santé libéraux. Des masques chirurgicaux leur ont été attribués depuis le 12 mars, via l’agence de régulation de l’action sanitaire et sociale (ARASS) dans un premier temps puis via les pharmacies d’officine depuis le 23 mars (la stratégie de distribution des masques : lien ).
- Aux médecins libéraux et chirurgiens-dentistes. En plus de la dotation de masques chirurgicaux, des masques FFP2 sont en cours de distribution depuis le 4 mai.
- Aux professions exposées, hors secteur santé, soit près de 280.000 masques donnés notamment aux communes, aux administrations, aux pompiers, aux centres pénitenciers, aux personnels des crèches et garderies, aux compagnies transports, aux établissements funéraires, etc.
À noter toutefois, que la distribution aux professions exposées, hors secteur santé a vocation à s’arrêter progressivement suite à l’autorisation de vente des masques grand public par les pharmacies depuis le 27 avril.
Les autorités sanitaires recommandent, par ailleurs, le port du masque en tissu et rappellent que la direction de la santé a mis à disposition des fiches techniques pour accompagner la population dans le choix de confection d’un masque en tissu et dans les bonnes pratiques de celui-ci : lien.
BULLETIN D’INFORMATION #39 – Cellule de crise de la Polynésie française
151 hi’opo’ara’a tei ravehia i te omuara’a no teie hope’a hepetoma, aita e ta’ata i ro’ohia i teie tirotiro. 2 816 ta’ata tei hi’opo’ahia, mai te omuara’a o teie ma’i. E 60 rahira’a ta’ata tei ma’ihia i te Covid-19 : 4 ta’ata tei roto noa â i te hi’opo’ara’a tâmau. 56 ta’ata tei ‘afaro roa mai, ‘aita te mau tapa’o ma’i e ‘itehia fa’ahouhia ra i nia ia râtou. Aore e ta’ata fa’ahou i roto i te piha rapa’aura’a ma’i fifi, ‘ua âfaro roa. E te parau âpi oaoa ra, aore roa e ta’ata i fa’arue mai.
Teie ra, ia vai ara noa â tâtou, e ia tâmau noa â i te fa’a’ohipa i te mau ravea pârurura’a i teie ma’i, e ia fa’a’iti i te teretere.
’Ua iti mai te mau hi’opo’ara’a i te ma’i Covid-19
Noa atu te fa’arahira’a hia te mau hi’opo’ara’a, ‘ua iti mai te mau taa’ta e hi’opo’ahia i teie mau mahana nei. Oia nei, i te mau hepetoma i ma’iri ‘ae nei, mea rahi te mau ta’ata tei hi’opoahia ; te vai nei te mau ta’ata tei ho’i mai na te ara mai, te tahi atu mau ta’ata atoa hou râtou a ho’i atu ai i roto i tô râtou mau motu. I te ‘opanira’ahia te mau ‘oti’a fenua, ‘ua iti mai ia te terera’a manureva mai te ara mai e nâ teie tumu i fa’aiti roa te mau hi’opo’ara’a. ‘Ua iti atoa te mau ta’ata tei piri atu i te tahi atu mau ta’ata, ‘ua iti atoa ia te ta’ata tei ro’ohia i teie ma’i. Te fa’aha’amana’o nei te mau Ti’a Fa’atere i te Ea, e nehenehe roa te mau taote atoa tâ te Hau e tae noa atu i te mau taote e ere i tâ te Hau e ani i te hi’opo’ara’a i te mau ta’ata tâ râtou e hi’opoa nei e te vai ra te mau tapa’o ma’i i nja ia râtou, no te ma’imira’a i te tirotiro Covid-19, e na reira atoa no te mau ta’ata e ‘ohipa fatata roa atu i te huira’atira.
No te hô’ê ta’ata, tei ma’i hia na i te ma’i Covid-19, e i muri ‘ae i te maorora’a e 14 mahana te opanipanira’a, ua hi’opo’a fa’ahou hia oia e aita i ‘itehia te tirotiro Covid-19 i roto ia’na, te ha’apapu atu nei te mau Ti’a Fa’atere o te Ea, e nehenehe roa teie ta’ata e ho’i i nia i tâna vahi ‘ohipara’a. Aita oia e ha’afifi ra i te mau ta’ata e ha’ati ra ia’na.
Te tere manureva a te Hau Nui (Continuité Territoriale) : te fa’anaho ra’a no te fa’aho’ira’a mai tô tâtou mau ta’ata i te fenua nei.
E tae mai te manureva a te taiete Air Tahiti Nui tei târahuhia e te Hau Nui i teie tapati 10 nô Mê. E 80 ta’ata no te fenua nei i nia i taua manureva ra. ‘Ua tapa’ohia te rahira’a anira’a no te ho’i mai i te fenau nei, i roto i te Pû tia’au i te fifi ma’i Covid-19 no te fenua nei, te piha toroa a te Tomitera Teitei, e te pû ‘ohipara’a no Pôrinetia farani i Paris. E ravehia te tahi mau fa’anahora’a mai teie te huru :
- nâ mua roa te feia tei haere atu i Paris no te rapa’aura’a i tô râtou ma’i e tae noa atu i tô râtou mau ta’ata ape’e ;
- te mau ta’ata te fifi ra i te pae te tino e tae noa atu i te pae o te monii ;
- te mau vahine tei tô ;
- te utuafare e tâ râtou mau tamari’i ;
O te mau ta’ata noa e titeti manureva papu tâ râtou a te taiete Air Tahiti Nui, o tei fa’ari’ihia e rave i taua manureva ra. Na te Hau fenua e ‘amo i te mau ha’amauara’a atoa, no tâ râtou mau hi’opo’ara’a e tô râtou nohora’a i roto i te fare tei fa’atahia nô râtou i te fenua nei. E ono ahuru ma piti tauatini tara, i te ta’ata hô’ê.
Te ara’ira’a i te mau pe’ape’a utuafare : te mau ravea rû i roto i te tau fifi o tâ tâtou e farerei nei.
Na roto i te tau fa’ahepora’a e fa’aea i te fare, e ‘itehia te tahi tauira’a rahi i roto i te orara’a utuafare na roto anei i te hô’ê tâhô’êra’a i te fêti’i e aore ra te fâ ra’a mai te tahi mau tauira’a o te huru o te ta’ata, mai te hô’ê tâne anei o te fa’atupu i te pe’ape’a i roto i tôna iho utuafare.
Ia ‘ite noa hia atu teie huru fifi e mea tîtauhia ia niuniu rû atu i te nûmera 17.
‘Ua ha’amau hia te tahi fa’anahora’a ‘âpî i roto anei i te mau ‘oire, te mau fare ra’au, e aore ra i roto i te mau fare utuutura’a ma’i fa’atata roa ‘ae i tô ‘outou nohora’a. E nehenehe ia te mau ta’ata e fa’aruru nei i teie huru pe’ape’a e aore ra te mau ‘ite o teie mau pe’ape’a ia haere atu e farerei i te mau ti’a no teie mau fare ra’au.
I reira e fa’ari’i mata’ihia râtou, e fa’aro’ohia râtou e i reira atoa te tahi mau ha’amaramaramara’a e horoa hia ai no te ‘âpe’era’a ia râtou i roto i teie fifi.
Na teie ravea e fa’aohie i te mau tauturu i te feia i fa’aruru i teie mau pe’ape’a utuafare. E nehenehe atoa teie ravea e fa’aohie i te fa’ahaerera’a i teie ta’ata i fifi i roto i te mau pû i fa’ata’ahia no te tautura’a ia râtou.
‘Ua fa’anahohia teie mau ravea nâ mua roa no te mau vahine o teie taparahihia. ‘Ua fa’ata’a atoa hia ra te reira no te mau mero o te utuafare mai te mau tamari’i.
Te mau pâruru vaha (masque chirurgical e FFP2) : te huru tupura’a o te ‘operera’a tâmoni ore mai te omuara’a o teie fifi ma’i Covid-19
Mai te omuara’a o teie fifi ma’i Covid-19, ‘ua opere na te Fa’aterera’a o te Ea te mau pâruru vaha ma te tâmoni ore, no te feia rave ‘ohipa no te Ea e tae noa atu i te feia e ‘ohipa piri roa atu i te huira’atira. E 550 000 pâruru vaha tei operehia :
- No te mau taote e ere i tâ te Hau : ‘ua operehia te pâruru vaha (faito masque chirurgical) mai te 12 nô mati ra na roto atu i te pû ARASS e mai te 23 nô mati na roto i te mau fare ra’au. Area te pâruru vaha faito FFP2, ‘ua ha’amatahia te operera’a mai te 4 no Mê nei.
- Ta’a’e noa atu ai te feia rave ‘ohipa a te Ea, ‘ua opere atoa hia, mai te 23 nô mati ra, 280 000 pâruru vaha (masque chirurgical) no te feia e ‘ohipa piri roa tâ râtou i te huira’atira mai te rave ‘ohipa o te mau ‘Oire, te mau Pû a te Hau, te feia tûpohe auahi, te fare tape’ara’a, te mau fare ha’apa’ora’a tamari’i, te mau taiete pereo’o mateina’a, te pû ha’apa’o nei i te tino pohe.
- Mai te 8 no Eperera ra, ‘ua opere atoa hia na te huira’atira.
- Mea ta’a’e ihoa ia te rahira’a o te mau pâruru vaha tei operehia i roto i te mau fare utuutura’a ma’i.
E fa’aiti maru noa hia te operera’a pâruru vaha i te feia rave ‘ohipa piri roa i te huira’atira, no te mea, i teie nei, e nehenehe râtou e haere i roto i te mau fare ra’au e ho’o mai ai te mau pâruru vaha nô râtou ; ‘ua ha’amatahia teie huru operera’a mai te 27 nô Eperera ra.
Te poro’i nei te mau Ti’a mana o te Ea i te huira’atira ia omono te mau pâruru vaha nirahia ma te fa’a’ohipa i te ahu. Te vai nei te mau âpi parau ha’api’ira’a i te nirara’a i teie mau pâruru vaha. Haere atu i nia i te tahua Natirara a te Fa’aterera’a o te Ea : https://www.service-public.pf/dsp/covid-19/supports-coronavirus/
IA VAI ARA NOA RA TÂTOU
‘AITA Â TEIE FIFI MA’I I ORE ATURA A FA’A’OHIPA I TE MAU RAVEA PÂRURU
MĀURUURU E FA’AITOITOBULLETIN D’INFORMATION #39 – Cellule de crise de la Polynésie française
60 personnes ont été dépistées positives sur les 2816 tests effectués depuis le début de l’épidémie en Polynésie française. À ce jour, 4 personnes sont toujours sous surveillance et 56 ont été autorisées à sortir d’isolement.
Nombre de dépistages
Malgré l’élargissement de la stratégie de dépistage toujours en cours, le nombre de personnes dépistées a diminué ces derniers jours. En effet, au cours des semaines précédentes, un nombre important de personnes ont été testées pour confirmer leur sortie d’isolement après un retour de voyage ou avant un retour dans les îles. Le nombre de personnes revenant d’un séjour à l’étranger ou de métropole ayant drastiquement diminué depuis l’arrêt des vols internationaux explique le ralentissement du nombre de dépistages réalisés. Par ailleurs, le nombre de personnes testées positives au virus est également faibles ces dernières semaines réduisant ainsi les dépistages des personnes contacts. Les autorités sanitaires insistent sur le fait que les médecins libéraux, ainsi que les médecins exerçants dans des structures de santé publique, sont habilités à prescrire des tests aux personnes présentant des symptômes évocateurs de la maladie ainsi qu’à des personnes ayant des professions particulièrement exposées au public.
Les autorités sanitaires rappellent que les personnes ne présentant plus de symptômes de la maladie depuis plus de 14 jours et donc à sortir d’isolement, sont autorisés à reprendre une activité professionnelle. Elles ne présentent pas de risque de contagion pour leur entourage.
Continuité territoriale : dispositifs de rapatriement
L’arrivée du prochain vol de continuité territoriale est prévue pour le dimanche 10 mai. Il devrait rapatrier un total de 80 personnes (résidents Polynésiens). L’ensemble des demandes de retour au Fenua adressées à la Cellule de crise sanitaire, au Haut-Commissariat ainsi qu’à la délégation de Polynésie française à Paris, ont été enregistrées.
Cependant, les conditions de retour obligent les autorités à procéder à une priorisation figurant en premier les retours d’évacuations sanitaires, les personnes fragiles ou démunies, les femmes enceintes, et les familles avec de jeunes enfants.
Les personnes voyageant sur les vols de la continuité territoriale doivent être munies d’un billet validé par la compagnie aérienne, Air Tahiti Nui. Hormis le coût de ce billet, les autorités chiffrent le coût des procédures sanitaires de retour (les dépistages, l’hébergement et la restauration durant la quarantaine, à l’arrivée) à environ 310.000 XPF par personne adulte, entièrement pris en charge par le Pays.
La lutte contre les violences intra familiales : un traitement prioritaire dans le contexte actuel
Si le confinement implique une nouvelle organisation de la vie des familles susceptible de renforcer la solidarité intrafamiliale, il peut aussi représenter un facteur important, aggravant de passage à l’acte pour un conjoint violent, ou de réitération de gestes violents de sa part.
En cas de danger grave et immédiat, avec nécessité d’une intervention sur place, il convient de contacter les services de première urgence : appelez le 17.
Un nouveau dispositif est mis en place en partenariat avec les partenaires de proximité, auprès de la commune, de la pharmacie et du dispensaire le plus proche de leur domicile. Aussi, les victimes de violences et les témoins de scènes de violences intrafamiliales peuvent se signaler discrètement auprès des officines de pharmacies.
Elles pourront compter sur un accueil personnalisé, une écoute, une information et une orientation spécifique vers des dispositifs d’accompagnement et de prise en charge.
Ce dispositif permet :
- une alerte efficace et discrète vis-à-vis de la personne violente ;
- une prise en charge rapide des victimes ;
- une orientation vers les dispositifs de prise en charge.
Ce dispositif est avant tout destiné aux femmes victimes de violences conjugales, mais également à toutes les victimes de violences dans le cercle familial, à commencer par les mineurs.
Masques chirurgicaux et FFP2 : un bilan sur les distributions gratuites
Depuis le début de la crise, les autorités sanitaires ont procédé à des distributions gratuites de masques auprès des professionnels de santé ainsi qu’à des professions particulièrement exposées. Plus de 550.000 masques ont ainsi été distribué :
- Aux professionnels de santé libéraux. Des masques chirurgicaux leur ont été attribués depuis le 12 mars, via l’agence de régulation de l’action sanitaire et sociale (ARASS) dans un premier temps puis via les pharmacies d’officine depuis le 23 mars (la stratégie de distribution des masques : lien ).
- Aux médecins libéraux et chirurgiens-dentistes. En plus de la dotation de masques chirurgicaux, des masques FFP2 sont en cours de distribution depuis le 4 mai.
- Aux professions exposées, hors secteur santé, soit près de 280.000 masques donnés notamment aux communes, aux administrations, aux pompiers, aux centres pénitenciers, aux personnels des crèches et garderies, aux compagnies transports, aux établissements funéraires, etc.
À noter toutefois, que la distribution aux professions exposées, hors secteur santé a vocation à s’arrêter progressivement suite à l’autorisation de vente des masques grand public par les pharmacies depuis le 27 avril.
Les autorités sanitaires recommandent, par ailleurs, le port du masque en tissu et rappellent que la direction de la santé a mis à disposition des fiches techniques pour accompagner la population dans le choix de confection d’un masque en tissu et dans les bonnes pratiques de celui-ci : lien.
BULLETIN D’INFORMATION #39 – Cellule de crise de la Polynésie française
151 hi’opo’ara’a tei ravehia i te omuara’a no teie hope’a hepetoma, aita e ta’ata i ro’ohia i teie tirotiro. 2 816 ta’ata tei hi’opo’ahia, mai te omuara’a o teie ma’i. E 60 rahira’a ta’ata tei ma’ihia i te Covid-19 : 4 ta’ata tei roto noa â i te hi’opo’ara’a tâmau. 56 ta’ata tei ‘afaro roa mai, ‘aita te mau tapa’o ma’i e ‘itehia fa’ahouhia ra i nia ia râtou. Aore e ta’ata fa’ahou i roto i te piha rapa’aura’a ma’i fifi, ‘ua âfaro roa. E te parau âpi oaoa ra, aore roa e ta’ata i fa’arue mai.
Teie ra, ia vai ara noa â tâtou, e ia tâmau noa â i te fa’a’ohipa i te mau ravea pârurura’a i teie ma’i, e ia fa’a’iti i te teretere.
’Ua iti mai te mau hi’opo’ara’a i te ma’i Covid-19
Noa atu te fa’arahira’a hia te mau hi’opo’ara’a, ‘ua iti mai te mau taa’ta e hi’opo’ahia i teie mau mahana nei. Oia nei, i te mau hepetoma i ma’iri ‘ae nei, mea rahi te mau ta’ata tei hi’opoahia ; te vai nei te mau ta’ata tei ho’i mai na te ara mai, te tahi atu mau ta’ata atoa hou râtou a ho’i atu ai i roto i tô râtou mau motu. I te ‘opanira’ahia te mau ‘oti’a fenua, ‘ua iti mai ia te terera’a manureva mai te ara mai e nâ teie tumu i fa’aiti roa te mau hi’opo’ara’a. ‘Ua iti atoa te mau ta’ata tei piri atu i te tahi atu mau ta’ata, ‘ua iti atoa ia te ta’ata tei ro’ohia i teie ma’i. Te fa’aha’amana’o nei te mau Ti’a Fa’atere i te Ea, e nehenehe roa te mau taote atoa tâ te Hau e tae noa atu i te mau taote e ere i tâ te Hau e ani i te hi’opo’ara’a i te mau ta’ata tâ râtou e hi’opoa nei e te vai ra te mau tapa’o ma’i i nja ia râtou, no te ma’imira’a i te tirotiro Covid-19, e na reira atoa no te mau ta’ata e ‘ohipa fatata roa atu i te huira’atira.
No te hô’ê ta’ata, tei ma’i hia na i te ma’i Covid-19, e i muri ‘ae i te maorora’a e 14 mahana te opanipanira’a, ua hi’opo’a fa’ahou hia oia e aita i ‘itehia te tirotiro Covid-19 i roto ia’na, te ha’apapu atu nei te mau Ti’a Fa’atere o te Ea, e nehenehe roa teie ta’ata e ho’i i nia i tâna vahi ‘ohipara’a. Aita oia e ha’afifi ra i te mau ta’ata e ha’ati ra ia’na.
Te tere manureva a te Hau Nui (Continuité Territoriale) : te fa’anaho ra’a no te fa’aho’ira’a mai tô tâtou mau ta’ata i te fenua nei.
E tae mai te manureva a te taiete Air Tahiti Nui tei târahuhia e te Hau Nui i teie tapati 10 nô Mê. E 80 ta’ata no te fenua nei i nia i taua manureva ra. ‘Ua tapa’ohia te rahira’a anira’a no te ho’i mai i te fenau nei, i roto i te Pû tia’au i te fifi ma’i Covid-19 no te fenua nei, te piha toroa a te Tomitera Teitei, e te pû ‘ohipara’a no Pôrinetia farani i Paris. E ravehia te tahi mau fa’anahora’a mai teie te huru :
- nâ mua roa te feia tei haere atu i Paris no te rapa’aura’a i tô râtou ma’i e tae noa atu i tô râtou mau ta’ata ape’e ;
- te mau ta’ata te fifi ra i te pae te tino e tae noa atu i te pae o te monii ;
- te mau vahine tei tô ;
- te utuafare e tâ râtou mau tamari’i ;
O te mau ta’ata noa e titeti manureva papu tâ râtou a te taiete Air Tahiti Nui, o tei fa’ari’ihia e rave i taua manureva ra. Na te Hau fenua e ‘amo i te mau ha’amauara’a atoa, no tâ râtou mau hi’opo’ara’a e tô râtou nohora’a i roto i te fare tei fa’atahia nô râtou i te fenua nei. E ono ahuru ma piti tauatini tara, i te ta’ata hô’ê.
Te ara’ira’a i te mau pe’ape’a utuafare : te mau ravea rû i roto i te tau fifi o tâ tâtou e farerei nei.
Na roto i te tau fa’ahepora’a e fa’aea i te fare, e ‘itehia te tahi tauira’a rahi i roto i te orara’a utuafare na roto anei i te hô’ê tâhô’êra’a i te fêti’i e aore ra te fâ ra’a mai te tahi mau tauira’a o te huru o te ta’ata, mai te hô’ê tâne anei o te fa’atupu i te pe’ape’a i roto i tôna iho utuafare.
Ia ‘ite noa hia atu teie huru fifi e mea tîtauhia ia niuniu rû atu i te nûmera 17.
‘Ua ha’amau hia te tahi fa’anahora’a ‘âpî i roto anei i te mau ‘oire, te mau fare ra’au, e aore ra i roto i te mau fare utuutura’a ma’i fa’atata roa ‘ae i tô ‘outou nohora’a. E nehenehe ia te mau ta’ata e fa’aruru nei i teie huru pe’ape’a e aore ra te mau ‘ite o teie mau pe’ape’a ia haere atu e farerei i te mau ti’a no teie mau fare ra’au.
I reira e fa’ari’i mata’ihia râtou, e fa’aro’ohia râtou e i reira atoa te tahi mau ha’amaramaramara’a e horoa hia ai no te ‘âpe’era’a ia râtou i roto i teie fifi.
Na teie ravea e fa’aohie i te mau tauturu i te feia i fa’aruru i teie mau pe’ape’a utuafare. E nehenehe atoa teie ravea e fa’aohie i te fa’ahaerera’a i teie ta’ata i fifi i roto i te mau pû i fa’ata’ahia no te tautura’a ia râtou.
‘Ua fa’anahohia teie mau ravea nâ mua roa no te mau vahine o teie taparahihia. ‘Ua fa’ata’a atoa hia ra te reira no te mau mero o te utuafare mai te mau tamari’i.
Te mau pâruru vaha (masque chirurgical e FFP2) : te huru tupura’a o te ‘operera’a tâmoni ore mai te omuara’a o teie fifi ma’i Covid-19
Mai te omuara’a o teie fifi ma’i Covid-19, ‘ua opere na te Fa’aterera’a o te Ea te mau pâruru vaha ma te tâmoni ore, no te feia rave ‘ohipa no te Ea e tae noa atu i te feia e ‘ohipa piri roa atu i te huira’atira. E 550 000 pâruru vaha tei operehia :
- No te mau taote e ere i tâ te Hau : ‘ua operehia te pâruru vaha (faito masque chirurgical) mai te 12 nô mati ra na roto atu i te pû ARASS e mai te 23 nô mati na roto i te mau fare ra’au. Area te pâruru vaha faito FFP2, ‘ua ha’amatahia te operera’a mai te 4 no Mê nei.
- Ta’a’e noa atu ai te feia rave ‘ohipa a te Ea, ‘ua opere atoa hia, mai te 23 nô mati ra, 280 000 pâruru vaha (masque chirurgical) no te feia e ‘ohipa piri roa tâ râtou i te huira’atira mai te rave ‘ohipa o te mau ‘Oire, te mau Pû a te Hau, te feia tûpohe auahi, te fare tape’ara’a, te mau fare ha’apa’ora’a tamari’i, te mau taiete pereo’o mateina’a, te pû ha’apa’o nei i te tino pohe.
- Mai te 8 no Eperera ra, ‘ua opere atoa hia na te huira’atira.
- Mea ta’a’e ihoa ia te rahira’a o te mau pâruru vaha tei operehia i roto i te mau fare utuutura’a ma’i.
E fa’aiti maru noa hia te operera’a pâruru vaha i te feia rave ‘ohipa piri roa i te huira’atira, no te mea, i teie nei, e nehenehe râtou e haere i roto i te mau fare ra’au e ho’o mai ai te mau pâruru vaha nô râtou ; ‘ua ha’amatahia teie huru operera’a mai te 27 nô Eperera ra.
Te poro’i nei te mau Ti’a mana o te Ea i te huira’atira ia omono te mau pâruru vaha nirahia ma te fa’a’ohipa i te ahu. Te vai nei te mau âpi parau ha’api’ira’a i te nirara’a i teie mau pâruru vaha. Haere atu i nia i te tahua Natirara a te Fa’aterera’a o te Ea : https://www.service-public.pf/dsp/covid-19/supports-coronavirus/
IA VAI ARA NOA RA TÂTOU
‘AITA Â TEIE FIFI MA’I I ORE ATURA A FA’A’OHIPA I TE MAU RAVEA PÂRURU
MĀURUURU E FA’AITOITOContexte
- L’Organisation mondiale de la santé à déclaré une urgence de santé publique de portée internationale le 30/01/2020.
- Un risque très élevé au niveau international a été a été déclaré le 28/02/2020.
- La pandémie a été annoncée officiellement le 11/03/2020.
La situation en Polynésie française
Le premier cas confirmé en Polynésie a été prélevé le 10 mars 2020.
Situation au 07/05/2020 à 10h00 :
À ce jour, il n’y a aucun nouveau cas confirmé de COVID-19 en Polynésie française. Le nombre total de cas confirmés est 60.
Formation hygiène et gestes barrières pour les « équipes magasins »
LE MINISTRE DE LA SANTÉ ENCOURAGE LES BÉNÉVOLES
Le ministre de la Santé, Jacques Raynal, a rendu visite mercredi 6 mai en début d’après-midi à une équipe de bénévoles en formation à la mairie de Papeete. Il a été accueilli par Michel Buillard, maire de Papeete.
Cette équipe de 20 bénévoles, inscrits sur la plateforme interactive de la cellule de crise sanitaire – www.benevolescovidpf.com – vont constituer des « EQUIPES MAGASINS » qui doivent sensibiliser et accompagner les commerces dans la mise en place et le respect des mesures barrières. Ils prendront ainsi le relai des brigades magasins, constituées de professionnels de santés, lancées depuis le début de la crise épidémique par la Direction de la santé.
Les questions liées à la gestion des flux de populations au sein des commerces sont au cœur de la formation, avec tous les autres gestes barrières (les masques, lavage des mains et hygiène des lieux). Chaque commune sera ainsi soutenue par plusieurs équipes de bénévoles qui évolueront sur son territoire de manière autonome, sillonnant ainsi quelques 200 magasins et commerces à Tahiti.
Cette opération, qui a débuté hier mardi par les communes de Papara et Paea, est menée avec la collaboration des communes et de la chambre de commerce, de l’industrie, des services et des métiers (CCISM).
Le Ministre de la santé a souhaité féliciter l’engagement et le dévouement des bénévoles et ainsi que celui de l’ensemble des gens qui se sont illustrés par leur solidarité tout au long de ces semaines inédites.
Il a également rappelé que l’allègement du confinement ne devait pas alléger les mesures d’hygiène imposées au début du confinement. Celles-ci sont toujours applicables et doivent l’être.
Enfin, il a tenu à remercier les commerçants pour leur collaboration dans l’application des mesures d’hygiène, dans le respect de celles-ci et pour être un relai de ces messages citoyens, essentiels à la sécurité de tous.
Contexte
- L’Organisation mondiale de la santé à déclaré une urgence de santé publique de portée internationale le 30/01/2020.
- Un risque très élevé au niveau international a été a été déclaré le 28/02/2020.
- La pandémie a été annoncée officiellement le 11/03/2020.
La situation en Polynésie française
Le premier cas confirmé en Polynésie a été prélevé le 10 mars 2020.
Situation au 06/05/2020 à 10h00 :
À ce jour, il n’y a aucun nouveau cas confirmé de COVID-19 en Polynésie française. Le nombre total de cas confirmés est 60.
Contexte
- L’Organisation mondiale de la santé à déclaré une urgence de santé publique de portée internationale le 30/01/2020.
- Un risque très élevé au niveau international a été a été déclaré le 28/02/2020.
- La pandémie a été annoncée officiellement le 11/03/2020.
La situation en Polynésie française
Le premier cas confirmé en Polynésie a été prélevé le 10 mars 2020.
Situation au 05/05/2020 à 10h00 :
À ce jour, il a deux nouveaux cas confirmés de COVID-19 en Polynésie française. Le nombre total de cas confirmés est 60.
BULLETIN D’INFORMATION #38 – Cellule de crise de la Polynésie française
Aucune nouvelle personne n’a été révélée positive au virus Covid-19. 2665 personnes ont été dépistées depuis le début d’épidémie. 53 personnes ne présentent plus de signes de la maladie et sont autorisées à sortir d’isolement. 5 personnes demeurent sous surveillance, dont un patient hospitalisé dont l’état global est en voie d’amélioration. Le bilan demeure à 58 personnes touchées depuis le début de l’épidémie. Les autorités sanitaires recommandent, avec l’allègement du confinement, la vigilance et le respect des mesures barrières.
Reprise des consultations sanitaires : le point de la situation
Le confinement avait modifié beaucoup d’habitudes de vie au sein de la population, en restreignant notamment de nombreux actes de la vie courante. Son allègement doit inciter une reprise des bonnes pratiques, notamment en matière de santé.
Les autorités sanitaires insistent sur l’importance de maintenir voire de reprendre les protocoles de soin et de traitements existants, qu’il soit question de consultations en médecine libérale ou dans les différentes structures de la Santé publique. Il en est de même pour tous les soins dentaires, avec la réouverture des cabinets des chirurgiens-dentistes.
Les consultations reprennent ainsi au centre hospitalier de la Polynésie française, avec une série de recommandations à suivre pour les patients : le strict respect de l’heure du rendez-vous, le port du masque et toujours, le respect des gestes barrières avec notamment la distanciation sociale et dans les salles d’attente, une disposition des patients un siège sur deux et une rangée sur deux. Les patients seront par ailleurs appelés la veille de leur rendez-vous et interrogés sur la présence ou l’absence des symptômes épidémiques.
Le centre hospitalier de la Polynésie française et les autres structures de santé sont particulièrement stricts sur le respect de ces mesures d’hygiène, afin de garantir à la population un accès aux soins dans les meilleures conditions.
Caddies solidaires : les entreprises se mobilisent
L’opération des caddies solidaires, lancée de manière à soutenir l’effort de solidarité en matière de dons alimentaire pour les familles dans le besoin, trouve de nouveaux partenaires.
Le groupe Wan rejoint ainsi les magasins U en disposant, à la sortie de ses caisses, des caddies qui pourront accueillir les dons de la population en matière de produits secs de première nécessité et de produits d’hygiène.
Le travail de répartition de ces dons s’effectue en lien étroit avec les associations de terrain. Des bons alimentaires ont également été collectés et remis aux circonscriptions d’action sociale. Enfin, de nombreux paquets ont été acheminés à Tubuai.
Les bénévoles en action avec les « équipes » des magasins
L’appellation change mais pas le principe d’action : les « équipes » de magasins remplacent les « brigades » et s’apprêtent à entamer, dès la semaine prochaine, les visites de tous les établissements de commerce alimentaire.
Il est ici question de sensibiliser les gérants et les personnels de ces commerces, mais également, les usagers, à la vigilance et au respect des mesures barrières.
Ces équipes sont constituées de bénévoles recensés sur la plateforme interactive – www.benevolescovid.pf – lancée par la cellule de crise sanitaire.Elles seront formées par des professionnels de santé tout au long de la semaine, commune par commune, afin de permettre la diffusion dans de bonnes conditions des règles de distanciation sociale et d’hygiène.
BULLETIN D’INFORMATION #38 – Cellule de crise de la Polynésie française
I teie mahana, aita e ta’ata i ro’ohia i teie tirotiro. 2 665 ta’ata tei hi’opo’ahia, mai te omuara’a o teie ma’i. E 58 rahira’a ta’ata tei ma’ihia i te Covid-19 : 5 ta’ata tei roto noa â i te hi’opo’ara’a tâmau. 53 ta’ata tei ‘afaro roa mai, ‘aita te mau tapa’o ma’i e ‘itehia fa’ahouhia ra i nia ia râtou. Aore e ta’ata fa’ahou i roto i te piha rapa’aura’a ma’i fifi, ‘ua âfaro roa. E te parau âpi oaoa ra, aore roa e ta’ata i fa’arue mai.
Teie ra, ia vai ara noa â tâtou, e ia tâmau noa â i te fa’a’ohipa i te mau ravea pârurura’a i teie ma’i, e ia fa’a’iti i te teretere.
Te ha’amata fa’ahou nei te mau hi’opo’ara’a taote
Ua taui roa te huru o te huira’atira i muri ‘ae i te tau fa’ahepora’a e fa’aea i te fare, i nia ihoa ra i te parau no te hi’opo’ara’a taote.
Te titau nei te mau ti’a mana o te Ea ia tâmau te ta’ata i te farerei i tô râtou mau taote, na reira atoa i te rave tâmaura’a i te mau rapa’aura’a e te ravera’a i tâ ratou mau ra’au. Na reira atoa no te mau ta’ata e haere nei i tô ratou mau taote niho ra, ‘ua matara tâ ratou mau piha hi’opo’ara’a.
I te fare ma’i no Taaone, ‘ua ha’amata atoa te mau hi’opo’ara’a taote. Te titauhia nei ra te mau ta’ata ia fa’atura i te mau hora farereira’a, ia omono i te pâruru vaha e ia fa’atura i te mau ravea pârurura’a, mai te parau no te ate’ate’ara’a te tahi e te tahi i roto i te mau piha ti’a’ira’a.
E niuniuhia atu te feia ma’i, hô’ê mahana na mua ‘ae i te mahana farereira’a e tô ratou taote. E anianihia te mana’o o te feia ma’i no nia i te mau tapa’o o te ma’i Covid-19.
Te fare ma’i e tae noa atu e te tahi atu mau pû hi’opo’ara’a ma’i no te fenua nei, o te fa’a’etaeta i te mau hi’opo’ara’a no teie mau fa’auera’a ia tupu maita’i teie mau hi’opo’ara’a.
Te pere’o’o tura’ira’i ô mâ’a : te tauturu a te mau taiete
Te fa’anahora’a no teie mau pereo’o tura’ira’i, o tei fa’a’ihia e te ô mâ’a, ei ravea tauturu i te mau utuafare i roto i te hepohepo.
‘Ua amui mai te mau taiete âpi mai te pupu Wan e te mau toa U o tei fa’ata’a i te tahi mau pereo’o tura’ira’i i piha’iho i te uputa o te mau vahi aufaura’a. I roto i teie mau pereo’o, e nehenehe ‘outou e tu’u atu i tâ ‘outou mau taururu.
Na te mau pû totiare e ha’apa’o i te tuhara’a i teie mau tauturu. I roto i teie mau ô, te vai atoa nei te mau tauturu titeti mâ’a. E rave rahi atoa mau pû’ohu mâ’a tei operehia i Tupuai na roto i te nina roa ra’a hia te fare toa rahi.
Te ha’amata nei te feia tauturu tâmoni ore i tâ ratou mau ‘ohipa i roto i te mau fare toa.
Te mau fa’aa’o o te mau fare toa teie te tâmau nei i tâ ratou mau ‘ohipa i teie hepetoma i muri nei i roto i te ta’ato’ara’a o te mau fare toa ho’o mâ’a o te fenua nei. Te titau nei teie mau fa’aa’o o teie mau fare toa ia ha’api’ipi’i i te mau fare toa e te mau rave ‘ohipa e tae noa atu i te mau hoani i te mau ravea pârurura’a.
Te rahira’a o teie mau fa’aa’o no roto mai ia i te fa’anahora’a o te feia tauturu tâmoni ore a te Pû e ti’a’au nei i te mau fifi o te Covid-19. ‘Ua fa’ata’ahia te tahi mau ha’api’ipi’ira’a i teie mau ravea
IA VAI ARA NOA RA TÂTOU
‘AITA Â TEIE FIFI MA’I I ORE ATURA A FA’A’OHIPA I TE MAU RAVEA PÂRURU
MĀURUURU E FA’AITOITOBULLETIN D’INFORMATION #38 – Cellule de crise de la Polynésie française
Aucune nouvelle personne n’a été révélée positive au virus Covid-19. 2665 personnes ont été dépistées depuis le début d’épidémie. 53 personnes ne présentent plus de signes de la maladie et sont autorisées à sortir d’isolement. 5 personnes demeurent sous surveillance, dont un patient hospitalisé dont l’état global est en voie d’amélioration. Le bilan demeure à 58 personnes touchées depuis le début de l’épidémie. Les autorités sanitaires recommandent, avec l’allègement du confinement, la vigilance et le respect des mesures barrières.
Reprise des consultations sanitaires : le point de la situation
Le confinement avait modifié beaucoup d’habitudes de vie au sein de la population, en restreignant notamment de nombreux actes de la vie courante. Son allègement doit inciter une reprise des bonnes pratiques, notamment en matière de santé.
Les autorités sanitaires insistent sur l’importance de maintenir voire de reprendre les protocoles de soin et de traitements existants, qu’il soit question de consultations en médecine libérale ou dans les différentes structures de la Santé publique. Il en est de même pour tous les soins dentaires, avec la réouverture des cabinets des chirurgiens-dentistes.
Les consultations reprennent ainsi au centre hospitalier de la Polynésie française, avec une série de recommandations à suivre pour les patients : le strict respect de l’heure du rendez-vous, le port du masque et toujours, le respect des gestes barrières avec notamment la distanciation sociale et dans les salles d’attente, une disposition des patients un siège sur deux et une rangée sur deux. Les patients seront par ailleurs appelés la veille de leur rendez-vous et interrogés sur la présence ou l’absence des symptômes épidémiques.
Le centre hospitalier de la Polynésie française et les autres structures de santé sont particulièrement stricts sur le respect de ces mesures d’hygiène, afin de garantir à la population un accès aux soins dans les meilleures conditions.
Caddies solidaires : les entreprises se mobilisent
L’opération des caddies solidaires, lancée de manière à soutenir l’effort de solidarité en matière de dons alimentaire pour les familles dans le besoin, trouve de nouveaux partenaires.
Le groupe Wan rejoint ainsi les magasins U en disposant, à la sortie de ses caisses, des caddies qui pourront accueillir les dons de la population en matière de produits secs de première nécessité et de produits d’hygiène.
Le travail de répartition de ces dons s’effectue en lien étroit avec les associations de terrain. Des bons alimentaires ont également été collectés et remis aux circonscriptions d’action sociale. Enfin, de nombreux paquets ont été acheminés à Tubuai.
Les bénévoles en action avec les « équipes » des magasins
L’appellation change mais pas le principe d’action : les « équipes » de magasins remplacent les « brigades » et s’apprêtent à entamer, dès la semaine prochaine, les visites de tous les établissements de commerce alimentaire.
Il est ici question de sensibiliser les gérants et les personnels de ces commerces, mais également, les usagers, à la vigilance et au respect des mesures barrières.
Ces équipes sont constituées de bénévoles recensés sur la plateforme interactive – www.benevolescovid.pf – lancée par la cellule de crise sanitaire.Elles seront formées par des professionnels de santé tout au long de la semaine, commune par commune, afin de permettre la diffusion dans de bonnes conditions des règles de distanciation sociale et d’hygiène.
BULLETIN D’INFORMATION #38 – Cellule de crise de la Polynésie française
I teie mahana, aita e ta’ata i ro’ohia i teie tirotiro. 2 665 ta’ata tei hi’opo’ahia, mai te omuara’a o teie ma’i. E 58 rahira’a ta’ata tei ma’ihia i te Covid-19 : 5 ta’ata tei roto noa â i te hi’opo’ara’a tâmau. 53 ta’ata tei ‘afaro roa mai, ‘aita te mau tapa’o ma’i e ‘itehia fa’ahouhia ra i nia ia râtou. Aore e ta’ata fa’ahou i roto i te piha rapa’aura’a ma’i fifi, ‘ua âfaro roa. E te parau âpi oaoa ra, aore roa e ta’ata i fa’arue mai.
Teie ra, ia vai ara noa â tâtou, e ia tâmau noa â i te fa’a’ohipa i te mau ravea pârurura’a i teie ma’i, e ia fa’a’iti i te teretere.
Te ha’amata fa’ahou nei te mau hi’opo’ara’a taote
Ua taui roa te huru o te huira’atira i muri ‘ae i te tau fa’ahepora’a e fa’aea i te fare, i nia ihoa ra i te parau no te hi’opo’ara’a taote.
Te titau nei te mau ti’a mana o te Ea ia tâmau te ta’ata i te farerei i tô râtou mau taote, na reira atoa i te rave tâmaura’a i te mau rapa’aura’a e te ravera’a i tâ ratou mau ra’au. Na reira atoa no te mau ta’ata e haere nei i tô ratou mau taote niho ra, ‘ua matara tâ ratou mau piha hi’opo’ara’a.
I te fare ma’i no Taaone, ‘ua ha’amata atoa te mau hi’opo’ara’a taote. Te titauhia nei ra te mau ta’ata ia fa’atura i te mau hora farereira’a, ia omono i te pâruru vaha e ia fa’atura i te mau ravea pârurura’a, mai te parau no te ate’ate’ara’a te tahi e te tahi i roto i te mau piha ti’a’ira’a.
E niuniuhia atu te feia ma’i, hô’ê mahana na mua ‘ae i te mahana farereira’a e tô ratou taote. E anianihia te mana’o o te feia ma’i no nia i te mau tapa’o o te ma’i Covid-19.
Te fare ma’i e tae noa atu e te tahi atu mau pû hi’opo’ara’a ma’i no te fenua nei, o te fa’a’etaeta i te mau hi’opo’ara’a no teie mau fa’auera’a ia tupu maita’i teie mau hi’opo’ara’a.
Te pere’o’o tura’ira’i ô mâ’a : te tauturu a te mau taiete
Te fa’anahora’a no teie mau pereo’o tura’ira’i, o tei fa’a’ihia e te ô mâ’a, ei ravea tauturu i te mau utuafare i roto i te hepohepo.
‘Ua amui mai te mau taiete âpi mai te pupu Wan e te mau toa U o tei fa’ata’a i te tahi mau pereo’o tura’ira’i i piha’iho i te uputa o te mau vahi aufaura’a. I roto i teie mau pereo’o, e nehenehe ‘outou e tu’u atu i tâ ‘outou mau taururu.
Na te mau pû totiare e ha’apa’o i te tuhara’a i teie mau tauturu. I roto i teie mau ô, te vai atoa nei te mau tauturu titeti mâ’a. E rave rahi atoa mau pû’ohu mâ’a tei operehia i Tupuai na roto i te nina roa ra’a hia te fare toa rahi.
Te ha’amata nei te feia tauturu tâmoni ore i tâ ratou mau ‘ohipa i roto i te mau fare toa.
Te mau fa’aa’o o te mau fare toa teie te tâmau nei i tâ ratou mau ‘ohipa i teie hepetoma i muri nei i roto i te ta’ato’ara’a o te mau fare toa ho’o mâ’a o te fenua nei. Te titau nei teie mau fa’aa’o o teie mau fare toa ia ha’api’ipi’i i te mau fare toa e te mau rave ‘ohipa e tae noa atu i te mau hoani i te mau ravea pârurura’a.
Te rahira’a o teie mau fa’aa’o no roto mai ia i te fa’anahora’a o te feia tauturu tâmoni ore a te Pû e ti’a’au nei i te mau fifi o te Covid-19. ‘Ua fa’ata’ahia te tahi mau ha’api’ipi’ira’a i teie mau ravea
IA VAI ARA NOA RA TÂTOU
‘AITA Â TEIE FIFI MA’I I ORE ATURA A FA’A’OHIPA I TE MAU RAVEA PÂRURU
MĀURUURU E FA’AITOITOContexte
- L’Organisation mondiale de la santé à déclaré une urgence de santé publique de portée internationale le 30/01/2020.
- Un risque très élevé au niveau international a été a été déclaré le 28/02/2020.
- La pandémie a été annoncée officiellement le 11/03/2020.
La situation en Polynésie française
Le premier cas confirmé en Polynésie a été prélevé le 10 mars 2020.
Situation au 04/05/2020 à 10h00 :
À ce jour, il n’y a aucun nouveau cas confirmé de COVID-19 en Polynésie française. Le nombre total de cas confirmés est 58.
Contexte
- L’Organisation mondiale de la santé à déclaré une urgence de santé publique de portée internationale le 30/01/2020.
- Un risque très élevé au niveau international a été a été déclaré le 28/02/2020.
- La pandémie a été annoncée officiellement le 11/03/2020.
La situation en Polynésie française
Le premier cas confirmé en Polynésie a été prélevé le 10 mars 2020.
Situation au 03/05/2020 à 10h00 :
À ce jour, il n’y a aucun nouveau cas confirmé de COVID-19 en Polynésie française. Le nombre total de cas confirmés est 58.