Annuaire des structures de la Direction de la santé
Contexte
- L’Organisation mondiale de la santé à déclaré une urgence de santé publique de portée internationale le 30/01/2020.
- Un risque très élevé au niveau international a été a été déclaré le 28/02/2020.
- La pandémie a été annoncée officiellement le 11/03/2020.
La situation en Polynésie française
Le premier cas confirmé en Polynésie a été prélevé le 10 mars 2020.
Situation au 27/04/2020 :
À ce jour, il y a 1 nouveau cas confirmé de COVID-19 en Polynésie française. Le nombre total de cas confirmés est 58.
Contexte
- L’Organisation mondiale de la santé à déclaré une urgence de santé publique de portée internationale le 30/01/2020.
- Un risque très élevé au niveau international a été a été déclaré le 28/02/2020.
- La pandémie a été annoncée officiellement le 11/03/2020.
La situation en Polynésie française
Le premier cas confirmé en Polynésie a été prélevé le 10 mars 2020.
Situation au 26/04/2020 à 10h00 :
À ce jour, il n’y a aucun nouveau cas confirmé de COVID-19 en Polynésie française. Le nombre total de cas confirmés est 57.
BULLETIN D’INFORMATION #32 – Cellule de crise de la Polynésie française
118 tests ont été effectués vendredi par les opérateurs sanitaires. Aucune nouvelle personne positive au virus Covid-19 n’a été révélée. Le carré épidémiologique indique que 2187 analyses ont été pratiquées depuis le début de l’épidémie. Le chiffre de personnes ne présentant plus de signes cliniques de l’épidémie et qui ont reçu leur attestation de levée d’isolement strict reste à 41. 16 personnes atteintes par le virus demeurent également sous surveillance stricte, pour une personne hospitalisée. 57 personnes ont été atteintes depuis le début de la maladie. La vigilance reste de mise avec le respect nécessaire des gestes barrières et du confinement général.
Actions communautaires : quand la solidarité porte ses fruits
L’épidémie de Covid-19, qui a frappé le Fenua, et les conséquences du confinement sur la vie communautaire ont provoqué un élan de générosité de la part de nombreuses personnes bénévoles, œuvrant à divers degrés pour de nombreux actes de solidarité.
La plateforme interactive, que la cellule de crise sanitaire du Pays a lancé, de manière à regrouper par thème les possibilités d’action, fait partie de cet effort collectif. Les derniers chiffes recensés font état de 955 personnes inscrites et de 935 inscriptions agréés par les autorités.
Les premières formations de bénévoles ayant choisi d’œuvrer auprès des matahiapo ont déclenché les premières visites de nos personnes âgées. Chaque visite donne lieu à un rapport, communiqué à la cellule de crise : les premiers retours sont jugés très positifs. En fonction des affinités qui se créent à l’occasion de ces rencontres, les bénévoles, formés aux gestes barrières, pourront s’organiser par eux-mêmes afin de poursuivre cet accompagnement. Les formations d’équipes se poursuivent sur la côte Est, à Mahina notamment, dès le début de la semaine prochaine.
Il en est de même pour les brigades de magasin, qui intègrent désormais également des personnes bénévoles. Le but de ces brigades est d’aller au contact des populations des communes, en lien avec les autorités municipales, de manière à assister, soutenir et conseiller toutes les activités encore ouvertes aux populations, notamment les commerces, qui sont des lieux incontournables nécessitant une application stricte des gestes barrières.
En matière de soutien psychologique, la cellule de crise a immédiatement pris en charge le suivi des personnes évacuées sanitaires revenues de la métropole, et regroupées sur le site de Outumaoro.
Le dispositif mis en place repose sur l’intervention de psychologues cliniciennes agissant en étroite collaboration avec les équipes sanitaires.
Il en est de même avec les personnes encore atteintes du virus, qui ont été extraites de leur milieu familial. Ces personnes doivent bénéficier d’une attention particulière.
Le soutien psychologique est alors primordial : la possibilité de poser des mots, d’écouter, d’être accompagné de façon immédiate par un professionnel de l’écoute permet aux patients de traverser ce temps de confinement strict.
Enfin et dans un autre domaine, l’opération des caddies solidaires organisée avec le partenariat de quatre magasins U est bien perçue par la population. Les colis alimentaires qui sont constitués sur la base des dons sont distribués par les bénévoles de la Croix-Rouge et du Secours catholique.
Semaine mondiale de la vaccination
Il est important que les familles puissent, malgré les règles du confinement général, suivre ce programme car la vaccination est la seule mesure de protection, individuelle et collective, contre certaines maladies infectieuses.
BULLETIN D’INFORMATION #32 – Cellule de crise de la Polynésie française
118 hi’opo’ara’a tei ravehia i nanahi ra, aita hô’ê noa a’e ta’ata i ro’ohia i teie tirotiro. Mai te omuara’a o teie ma’i, 2 187 ta’ata tei hi’opo’ahia.
- E 57 rahira’a ta’ata tei ma’ihia i te Covid-19 :
- 16 ta’ata te hi’opo’a tâmau noa hia nei â ;
- 41 ta’ata tei ‘afaro roa i teie mahana, ‘aita te mau tapa’o ma’i e ‘itehia ra i nia ia râtou, e ‘ua ho’i i roto i tô râtou mau utuafare.
- 1 noa â ta’ata i roto i te fare ma’i, e te âfaro mâru noa maira.
- E te parau âpi oaoa ra, aore roa e ta’ata i fa’arue mai.
Teie ra, ia vai ara noa â tâtou, e ia tâmau noa â i te fa’a’ohipa i te mau ravea pârurura’a i teie ma’i e te vai ‘ôpipirira’a i te fare.
Te Orara’a autahi :
Na roto i teie fifi ma’i o te Covid-19, tei tae mai i ô tâtou nei, e te mau ‘ohipa tei tupu i muri ae i te ‘opanipanira’a hia i te fare, ‘ua ‘itehia te fâ ra’a mai te mana’o turu i roto i te mau ta’ata tei horo’a i tô ratou taime ma te tâmoni ore no te fa’atupura’a i te mau ‘ohipa autahi.
‘Ua ha’aputu te pû no te Orara’a autahi no te Pû e tia’au nei i te fifi ma’i Covid-19 a te Hau Fenua i te mau tâpura ‘ohipa o tei hina’arohia e fa’atupu. 955 ta’ata tei tapa’o mai ia râtou, e 935 tapa’ora’a ta’ata tei ha’amana roa hia e te mau Tia mana.
‘Ua ravehia te mau fa’aineinera’a (ha’api’ipi’ira’a) i teie mau ta’ata i nia i te tumu parau no te mau ravea pârurura’a i mua i teie ma’i.
Ua fa’aineinehia te mau pupu ta’ata o te ‘ohipa atu i piha’iho i te mau matahiapo. ‘Ua fa’ari’i maitai hia mai râtou e te mau matahiapo i roto i to râtou tere farereira’a. Ia tâmau noa â râtou i teie mau farererira’a. E ravehia â teie mau fa’aineinera’a i te oire no Mahina i teie hepetoma i muri nei.
E rave atoa hia teie huru fa’aineinera’a i te mau ta’ata no te ape’e atu i te mau tia o te Aupuru a Ea. Ma te turuhia râtou e te mau Oire, e tere atu râtou e farerei i te huira’atira no te ape’e, turu e te fa’aa’o i roto te mau tapura ‘ohipa huru rau atoa, i roto ihoa ra i te mau fare toa, ma te fa’aha’amana’o i te rave i te mau ravea pâruru i mua i teie ma’i Covid-19.
No te pae no te turura’a i te pae o te manava, ‘ua ha’apa’o atoa mai teie pû Orara’a autahi i tô tâtou mau ta’ata ma’i tei ho’i mai na Paris e o tei ha’aparahihia atu i Outuma’oro. Oia atoa no te feia tei ro’ohia i te ma’i Covid-19 o tei ‘iritihia mai, mai roto mai i tô râtou mau utuafare e tae noa atu i te mau ta’ata atoa tei fa’ahepohia e pârahi i roto i te fare tâ te Hau fenua i târahu hou a fa’aho’ihia atu ai i roto i tô râtou mau motu.
Ua fa’ari’i maitai te huira’atira te fa’anahora’a no te pereo’o turairai ô mâ’a i roto i te mau fare toa a te taite « U ». Na te Tatauro Ura e te Pû Tauturu Tatorita i ‘opere te mau afata ô mâ’a.
Te hepetoma nô te patia arai na te ao nei
Te fa’aha’amana’o hia nei ia tâtou i te faufa’a rahi i te parurura’a ia tatou na roto i teie patia arai, noa atu teie tau fa’ahepora’a e fa’aea i te fare.
Te patia arai o te rave hô’ê roa no te pârurura’a i te ta’ata tatai’tahi, ma’i tôna fanaura’ahia mai, i mua i te mau ma’i pe’e.
EI HAU I ROTO I TO TATOU MAU UTUAFARE
MĀURUURU E FA’AITOITO
BULLETIN D’INFORMATION #32 – Cellule de crise de la Polynésie française
118 tests ont été effectués vendredi par les opérateurs sanitaires. Aucune nouvelle personne positive au virus Covid-19 n’a été révélée. Le carré épidémiologique indique que 2187 analyses ont été pratiquées depuis le début de l’épidémie. Le chiffre de personnes ne présentant plus de signes cliniques de l’épidémie et qui ont reçu leur attestation de levée d’isolement strict reste à 41. 16 personnes atteintes par le virus demeurent également sous surveillance stricte, pour une personne hospitalisée. 57 personnes ont été atteintes depuis le début de la maladie. La vigilance reste de mise avec le respect nécessaire des gestes barrières et du confinement général.
Actions communautaires : quand la solidarité porte ses fruits
L’épidémie de Covid-19, qui a frappé le Fenua, et les conséquences du confinement sur la vie communautaire ont provoqué un élan de générosité de la part de nombreuses personnes bénévoles, œuvrant à divers degrés pour de nombreux actes de solidarité.
La plateforme interactive, que la cellule de crise sanitaire du Pays a lancé, de manière à regrouper par thème les possibilités d’action, fait partie de cet effort collectif. Les derniers chiffes recensés font état de 955 personnes inscrites et de 935 inscriptions agréés par les autorités.
Les premières formations de bénévoles ayant choisi d’œuvrer auprès des matahiapo ont déclenché les premières visites de nos personnes âgées. Chaque visite donne lieu à un rapport, communiqué à la cellule de crise : les premiers retours sont jugés très positifs. En fonction des affinités qui se créent à l’occasion de ces rencontres, les bénévoles, formés aux gestes barrières, pourront s’organiser par eux-mêmes afin de poursuivre cet accompagnement. Les formations d’équipes se poursuivent sur la côte Est, à Mahina notamment, dès le début de la semaine prochaine.
Il en est de même pour les brigades de magasin, qui intègrent désormais également des personnes bénévoles. Le but de ces brigades est d’aller au contact des populations des communes, en lien avec les autorités municipales, de manière à assister, soutenir et conseiller toutes les activités encore ouvertes aux populations, notamment les commerces, qui sont des lieux incontournables nécessitant une application stricte des gestes barrières.
En matière de soutien psychologique, la cellule de crise a immédiatement pris en charge le suivi des personnes évacuées sanitaires revenues de la métropole, et regroupées sur le site de Outumaoro.
Le dispositif mis en place repose sur l’intervention de psychologues cliniciennes agissant en étroite collaboration avec les équipes sanitaires.
Il en est de même avec les personnes encore atteintes du virus, qui ont été extraites de leur milieu familial. Ces personnes doivent bénéficier d’une attention particulière.
Le soutien psychologique est alors primordial : la possibilité de poser des mots, d’écouter, d’être accompagné de façon immédiate par un professionnel de l’écoute permet aux patients de traverser ce temps de confinement strict.
Enfin et dans un autre domaine, l’opération des caddies solidaires organisée avec le partenariat de quatre magasins U est bien perçue par la population. Les colis alimentaires qui sont constitués sur la base des dons sont distribués par les bénévoles de la Croix-Rouge et du Secours catholique.
Semaine mondiale de la vaccination
Il est important que les familles puissent, malgré les règles du confinement général, suivre ce programme car la vaccination est la seule mesure de protection, individuelle et collective, contre certaines maladies infectieuses.
BULLETIN D’INFORMATION #32 – Cellule de crise de la Polynésie française
118 hi’opo’ara’a tei ravehia i nanahi ra, aita hô’ê noa a’e ta’ata i ro’ohia i teie tirotiro. Mai te omuara’a o teie ma’i, 2 187 ta’ata tei hi’opo’ahia.
- E 57 rahira’a ta’ata tei ma’ihia i te Covid-19 :
- 16 ta’ata te hi’opo’a tâmau noa hia nei â ;
- 41 ta’ata tei ‘afaro roa i teie mahana, ‘aita te mau tapa’o ma’i e ‘itehia ra i nia ia râtou, e ‘ua ho’i i roto i tô râtou mau utuafare.
- 1 noa â ta’ata i roto i te fare ma’i, e te âfaro mâru noa maira.
- E te parau âpi oaoa ra, aore roa e ta’ata i fa’arue mai.
Teie ra, ia vai ara noa â tâtou, e ia tâmau noa â i te fa’a’ohipa i te mau ravea pârurura’a i teie ma’i e te vai ‘ôpipirira’a i te fare.
Te Orara’a autahi :
Na roto i teie fifi ma’i o te Covid-19, tei tae mai i ô tâtou nei, e te mau ‘ohipa tei tupu i muri ae i te ‘opanipanira’a hia i te fare, ‘ua ‘itehia te fâ ra’a mai te mana’o turu i roto i te mau ta’ata tei horo’a i tô ratou taime ma te tâmoni ore no te fa’atupura’a i te mau ‘ohipa autahi.
‘Ua ha’aputu te pû no te Orara’a autahi no te Pû e tia’au nei i te fifi ma’i Covid-19 a te Hau Fenua i te mau tâpura ‘ohipa o tei hina’arohia e fa’atupu. 955 ta’ata tei tapa’o mai ia râtou, e 935 tapa’ora’a ta’ata tei ha’amana roa hia e te mau Tia mana.
‘Ua ravehia te mau fa’aineinera’a (ha’api’ipi’ira’a) i teie mau ta’ata i nia i te tumu parau no te mau ravea pârurura’a i mua i teie ma’i.
Ua fa’aineinehia te mau pupu ta’ata o te ‘ohipa atu i piha’iho i te mau matahiapo. ‘Ua fa’ari’i maitai hia mai râtou e te mau matahiapo i roto i to râtou tere farereira’a. Ia tâmau noa â râtou i teie mau farererira’a. E ravehia â teie mau fa’aineinera’a i te oire no Mahina i teie hepetoma i muri nei.
E rave atoa hia teie huru fa’aineinera’a i te mau ta’ata no te ape’e atu i te mau tia o te Aupuru a Ea. Ma te turuhia râtou e te mau Oire, e tere atu râtou e farerei i te huira’atira no te ape’e, turu e te fa’aa’o i roto te mau tapura ‘ohipa huru rau atoa, i roto ihoa ra i te mau fare toa, ma te fa’aha’amana’o i te rave i te mau ravea pâruru i mua i teie ma’i Covid-19.
No te pae no te turura’a i te pae o te manava, ‘ua ha’apa’o atoa mai teie pû Orara’a autahi i tô tâtou mau ta’ata ma’i tei ho’i mai na Paris e o tei ha’aparahihia atu i Outuma’oro. Oia atoa no te feia tei ro’ohia i te ma’i Covid-19 o tei ‘iritihia mai, mai roto mai i tô râtou mau utuafare e tae noa atu i te mau ta’ata atoa tei fa’ahepohia e pârahi i roto i te fare tâ te Hau fenua i târahu hou a fa’aho’ihia atu ai i roto i tô râtou mau motu.
Ua fa’ari’i maitai te huira’atira te fa’anahora’a no te pereo’o turairai ô mâ’a i roto i te mau fare toa a te taite « U ». Na te Tatauro Ura e te Pû Tauturu Tatorita i ‘opere te mau afata ô mâ’a.
Te hepetoma nô te patia arai na te ao nei
Te fa’aha’amana’o hia nei ia tâtou i te faufa’a rahi i te parurura’a ia tatou na roto i teie patia arai, noa atu teie tau fa’ahepora’a e fa’aea i te fare.
Te patia arai o te rave hô’ê roa no te pârurura’a i te ta’ata tatai’tahi, ma’i tôna fanaura’ahia mai, i mua i te mau ma’i pe’e.
EI HAU I ROTO I TO TATOU MAU UTUAFARE
MĀURUURU E FA’AITOITO
- E 57 rahira’a ta’ata tei ma’ihia i te Covid-19 :
Contexte
- L’Organisation mondiale de la santé à déclaré une urgence de santé publique de portée internationale le 30/01/2020.
- Un risque très élevé au niveau international a été a été déclaré le 28/02/2020.
- La pandémie a été annoncée officiellement le 11/03/2020.
La situation en Polynésie française
Le premier cas confirmé en Polynésie a été prélevé le 10 mars 2020.
Situation au 25/04/2020 à 10h00 :
À ce jour, il n’y a aucun nouveau cas confirmé de COVID-19 en Polynésie française. Le nombre total de cas confirmés est 57.
BULLETIN D’INFORMATION #31 – Cellule de crise de la Polynésie française
79 tests ont été effectués jeudi par les opérateurs sanitaires. Aucune nouvelle personne positive au virus Covid-19 n’a été révélée. Le carré épidémiologique indique que 2069 analyses ont été pratiquées depuis le début de l’épidémie. Le chiffre de personnes ne présentant plus de signes cliniques de l’épidémie et qui ont reçu leur attestation de levée d’isolement strict passe à 41. 16 personnes atteintes par le virus demeurent sous surveillance stricte, pour une personne hospitalisée. 57 personnes ont été atteintes depuis le début de la maladie. La vigilance reste de mise avec le respect nécessaire des gestes barrières et du confinement général.
Semaine mondiale de la vaccination : lancement sur le Fenua
L’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) rappelle aujourd’hui l’importance de la vaccination contre les maladies infectieuses, à l’occasion de l’ouverture de la semaine mondiale de la vaccination, du 24 au 30 avril prochains. Le thème de la campagne 2020 est « #les vaccins, ça marche pour tous ».
Dans le cadre spécifique de la campagne locale, qui démarre ce vendredi 24 avril 2020, il est demandé aux familles de maintenir voire de rattraper les retards de vaccination des enfants. Toutes les mesures de sécurisation de cet acte sont prises, avec notamment le respect scrupuleux des gestes barrières et des mesures d’hygiène. Il est important que les familles puissent, malgré les règles du confinement général, suivre ce programme car la vaccination est la seule mesure de protection, individuelle et collective, contre certaines maladies comme la rougeole, qui sévit dans le Pacifique insulaire.
D’autres infections virales sont concernées : l’hépatite B, la Tuberculose, le Tétanos, la Poliomyélite, la Coqueluche… Rappelons que deux types de vaccination sont effectués : les vaccinations obligatoires (de la naissance à 11 ans) et les vaccinations recommandées. Contactez votre médecin traitant ou l’une des structures de la Santé publique pour prendre rendez-vous et vous informer.
Éducation dans les archipels : le respect des gestes barrières
L’allègement du confinement dans les archipels hors les Iles-du-Vent s’est traduit par une reprise progressive dans les établissements scolaires. Les premiers constats font état d’un bon respect des gestes barrières dans les écoles et les collèges chargés d’accueillir 50% des effectifs habituels.
Virologie : le point sur le Coronavirus
Le Coronavirus Covid-19 est un nouveau virus, jusqu’à lors méconnu, qui a émergé en Chine entre la fin de l’année 2019 et le mois de janvier 2020. La rapidité d’expansion de ce virus au niveau mondial a pris de cours l’ensemble de la communauté scientifique internationale. De nombreuses équipes scientifiques dans le monde travaillent actuellement sur ce virus, et nous aident à mieux le connaître de jour en jour : ceci explique l’évolution quasi quotidienne des informations et recommandations sur les modalités de diagnostic, la prise en charge, la contagiosité de ce virus.
La période d’incubation, c’est à dire le délai entre l’entrée du virus dans l’organisme et les premiers symptômes, est en moyenne de 5 jours avec des extrêmes de 1 à 14 jours. Ce délai explique la raison pour laquelle il est préconisé une période de 14 jours d’isolement strict pour les personnes ayant pu être en contact avec une personne infectée par le virus.
La période de contagiosité de la maladie n’est à l’heure actuelle pas encore clairement établie. Les personnes infectées pourraient être contagieuses 24 à 48h avant le début de leurs symptômes. Les premières études scientifiques montrent qu’on ne retrouverait pas de virus vivant dans les prélèvements respiratoires au-delà de 8 jours après le début des symptômes. Ce délai explique la raison pour laquelle une période d’isolement d’un minimum de 8 à 10 jours est préconisée pour les patients diagnostiqués Covid-19 positifs. Par principe de précaution, cette période d’isolement peut être prolongée, notamment dans les pays où le virus ne circule pas intensément, ce qui est le cas en Polynésie Française. À ce jour le test de référence est la RT-PCR Covid-19. Cet examen détecte les gènes du Covid-19 (=ARN) dans des prélèvements respiratoires. Il nécessite de prélever les patients au fond du nez et de la gorge à l’aide d’un écouvillon. Cet examen est positif dès les premiers jours de la maladie, ou chez les personnes asymptomatiques.
La réalisation du test de RT-PCR impose d’avoir des kits de prélèvements adaptés ainsi que différents réactifs de laboratoire : des réactifs dits « d’extraction » permettant de « casser » le virus et récupérer son ARN, et des réactifs dits « d’amplification » qui permettent la détection du Covid-19 (= tests). Actuellement la pénurie mondiale repose essentiellement sur les kits de prélèvements et sur les réactifs dits « d’extraction ». L’ILM travaille donc depuis plusieurs semaines sur des méthodes alternatives permettant de pallier à cette pénurie, dans le but de pouvoir continuer à dépister la population. Les capacités de dépistage de l’ILM sont d’environ 200 tests/jour, 7 jours/7. Il est important de souligner que la RT-PCR détecte aussi bien du virus vivant que du virus « mort ». Ainsi, le lien entre une RT-PCR positive et le risque pour que la personne soit encore contagieuse diminue au fur et à mesure que l’on s’éloigne de la date de début de symptômes.
D’après les connaissances scientifiques dont nous disposons aujourd’hui, au-delà des 14 jours après la fin des signes cliniques, les personnes ne sont plus considérées comme contagieuses, quel que soit le résultat de la RT-PCR. D’autres tests diagnostiques émergent et en particuliers les tests sérologiques. La sérologie est un examen nécessitant une prise de sang. Il permet de détecter les anticorps produits par l’organisme pour se défendre face à une maladie. Les anticorps vont apparaitre en moyenne 7 à 10 jours après le début des symptômes. Compte-tenu de ce délai, ce test ne peut donc pas servir à identifier rapidement les nouvelles personnes malades. Les tests sérologiques restent positifs au minimum pendant plusieurs mois après l’infection. Ils peuvent donc servir à connaître le pourcentage de la population qui a été exposée au virus dans des endroits où celui-ci a circulé intensément. De nombreux tests sérologiques ont été récemment mis sur le marché avec des performances très variables et parfois inacceptables. Ils sont encore en phase d’évaluation dans les centres nationaux de références, il convient donc d’être prudent dans l’utilisation et le choix de ces tests – D’après l’Institut Louis Malardé – Dr Aurélie Guigon, Pharmacien Biologiste, Virologue.
BULLETIN D’INFORMATION #31 – Cellule de crise de la Polynésie française
79 hi’opo’ara’a tei ravehia i nanahi ra, e i roto i teie mau hi’opo’ara’a, ‘aita ho’e noa a’e ta’ata i ro’ohia i teie tirotiro.
Mai te ‘omuara’a o teie ma’i 2069 ta’ata tei hi’opo’ahia. 41 ta’ata o tei ‘afaro roa i teie mahana, ‘aita te mau tapa’o o te ma’i e ‘itehia ra i ni’a ia râtou. ‘Ua ho’i teie mau ta’ata i roto i tô râtou mau ‘utuafare. 16 ta’ata tei ro’ohia i te ma’i o te tamauhia nei i te hi’opo’a. 57 noa â ta’ata tei ro’ohia i teie ma’i mai te ‘omuara’a… Ia vai ara noa tâtou, e ia tamau noa tatou i te fa’a’ohipa i te mau rave’a parurura’a i teie ma’i.
Te hepetoma nô te patia arai na te ao nei
Te pû nô te ea no te ao nei (OMS) teie e fa’aha’amana’o nei ia tâtou i te faufa’a i te parurura’a ia tatou na roto i teie patia arai. ‘Ua ‘iriti ato’ahia teie fa’anahora’a i te fenua nei ma te turuhia e te fa’aterera’a o te ea. Te tumu parau o tei tape’ahia mai i teie matahiti :Te patia arai, no te maita’i o te ta’ato’ara’a.
Ua ‘iritihia teie hepetoma o te patia arai i te fenua nei i teie mahana pae 24 nô êperêra. Te anira’a rahi a te fa’aterera’a o te ea, ia tâmau â te mau ‘utuafare i te ha’apa’o i te mau patia o tâ râtou mau tamari’i, ma te ha’amana’o e te ravehia nei te mau rave’a ato’a nô te parurura’a i te tamari’i.
Te patia arai, o te rave’a ia nô te parurura’a i ta tatou mau tamari’i i mua i te tahi mau ma’i mai te « rougeole », te « hépatite B », te ma’i tuto’o, te « tetanos », te ma’i »polyo »….E 2 huru patia arai e vai nei : te mau patia fa’ahepohia, mai te fanaura’a o te tamari’i etae atu i te 11 ra’a o tôna matahiti. E te vai nei te mau patia e titau hia nei i te mau metua.
No te tahi mau ha’amaramaramara’a hau atu, a niuniu atu i te taote : Jean-Marc Segalin : N° 40 488 215, ‘aore ra ia Pauline Niva na roto i te reo Tahiti i te N° 40 488 222.
Te ha’amatara’a ha’api’ira’a i roto i te mau ta’a motu
I roto i te mau ta’a motu, ua ha’amata te ha’api’ira’a i roto i te tahi mau fare ha’api’ira’a. No teie ha’amatara’a, ua ‘itehia te fa’atura o te tamari’i e te mau ‘orometua i te mau fa’auera’a no te mau rave’a parurura’a i teie ma’i corona-virus. I teie taime te mau ha’api’ira’a tuatahi e tuarua teie ha’amata.
EI HAU I ROTO I TO TATOU MAU UTUAFARE
MĀURUURU E FA’AITOITO
BULLETIN D’INFORMATION #31 – Cellule de crise de la Polynésie française
79 tests ont été effectués jeudi par les opérateurs sanitaires. Aucune nouvelle personne positive au virus Covid-19 n’a été révélée. Le carré épidémiologique indique que 2069 analyses ont été pratiquées depuis le début de l’épidémie. Le chiffre de personnes ne présentant plus de signes cliniques de l’épidémie et qui ont reçu leur attestation de levée d’isolement strict passe à 41. 16 personnes atteintes par le virus demeurent sous surveillance stricte, pour une personne hospitalisée. 57 personnes ont été atteintes depuis le début de la maladie. La vigilance reste de mise avec le respect nécessaire des gestes barrières et du confinement général.
Semaine mondiale de la vaccination : lancement sur le Fenua
L’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) rappelle aujourd’hui l’importance de la vaccination contre les maladies infectieuses, à l’occasion de l’ouverture de la semaine mondiale de la vaccination, du 24 au 30 avril prochains. Le thème de la campagne 2020 est « #les vaccins, ça marche pour tous ».
Dans le cadre spécifique de la campagne locale, qui démarre ce vendredi 24 avril 2020, il est demandé aux familles de maintenir voire de rattraper les retards de vaccination des enfants. Toutes les mesures de sécurisation de cet acte sont prises, avec notamment le respect scrupuleux des gestes barrières et des mesures d’hygiène. Il est important que les familles puissent, malgré les règles du confinement général, suivre ce programme car la vaccination est la seule mesure de protection, individuelle et collective, contre certaines maladies comme la rougeole, qui sévit dans le Pacifique insulaire.
D’autres infections virales sont concernées : l’hépatite B, la Tuberculose, le Tétanos, la Poliomyélite, la Coqueluche… Rappelons que deux types de vaccination sont effectués : les vaccinations obligatoires (de la naissance à 11 ans) et les vaccinations recommandées. Contactez votre médecin traitant ou l’une des structures de la Santé publique pour prendre rendez-vous et vous informer.
Éducation dans les archipels : le respect des gestes barrières
L’allègement du confinement dans les archipels hors les Iles-du-Vent s’est traduit par une reprise progressive dans les établissements scolaires. Les premiers constats font état d’un bon respect des gestes barrières dans les écoles et les collèges chargés d’accueillir 50% des effectifs habituels.
Virologie : le point sur le Coronavirus
Le Coronavirus Covid-19 est un nouveau virus, jusqu’à lors méconnu, qui a émergé en Chine entre la fin de l’année 2019 et le mois de janvier 2020. La rapidité d’expansion de ce virus au niveau mondial a pris de cours l’ensemble de la communauté scientifique internationale. De nombreuses équipes scientifiques dans le monde travaillent actuellement sur ce virus, et nous aident à mieux le connaître de jour en jour : ceci explique l’évolution quasi quotidienne des informations et recommandations sur les modalités de diagnostic, la prise en charge, la contagiosité de ce virus.
La période d’incubation, c’est à dire le délai entre l’entrée du virus dans l’organisme et les premiers symptômes, est en moyenne de 5 jours avec des extrêmes de 1 à 14 jours. Ce délai explique la raison pour laquelle il est préconisé une période de 14 jours d’isolement strict pour les personnes ayant pu être en contact avec une personne infectée par le virus.
La période de contagiosité de la maladie n’est à l’heure actuelle pas encore clairement établie. Les personnes infectées pourraient être contagieuses 24 à 48h avant le début de leurs symptômes. Les premières études scientifiques montrent qu’on ne retrouverait pas de virus vivant dans les prélèvements respiratoires au-delà de 8 jours après le début des symptômes. Ce délai explique la raison pour laquelle une période d’isolement d’un minimum de 8 à 10 jours est préconisée pour les patients diagnostiqués Covid-19 positifs. Par principe de précaution, cette période d’isolement peut être prolongée, notamment dans les pays où le virus ne circule pas intensément, ce qui est le cas en Polynésie Française. À ce jour le test de référence est la RT-PCR Covid-19. Cet examen détecte les gènes du Covid-19 (=ARN) dans des prélèvements respiratoires. Il nécessite de prélever les patients au fond du nez et de la gorge à l’aide d’un écouvillon. Cet examen est positif dès les premiers jours de la maladie, ou chez les personnes asymptomatiques.
La réalisation du test de RT-PCR impose d’avoir des kits de prélèvements adaptés ainsi que différents réactifs de laboratoire : des réactifs dits « d’extraction » permettant de « casser » le virus et récupérer son ARN, et des réactifs dits « d’amplification » qui permettent la détection du Covid-19 (= tests). Actuellement la pénurie mondiale repose essentiellement sur les kits de prélèvements et sur les réactifs dits « d’extraction ». L’ILM travaille donc depuis plusieurs semaines sur des méthodes alternatives permettant de pallier à cette pénurie, dans le but de pouvoir continuer à dépister la population. Les capacités de dépistage de l’ILM sont d’environ 200 tests/jour, 7 jours/7. Il est important de souligner que la RT-PCR détecte aussi bien du virus vivant que du virus « mort ». Ainsi, le lien entre une RT-PCR positive et le risque pour que la personne soit encore contagieuse diminue au fur et à mesure que l’on s’éloigne de la date de début de symptômes.
D’après les connaissances scientifiques dont nous disposons aujourd’hui, au-delà des 14 jours après la fin des signes cliniques, les personnes ne sont plus considérées comme contagieuses, quel que soit le résultat de la RT-PCR. D’autres tests diagnostiques émergent et en particuliers les tests sérologiques. La sérologie est un examen nécessitant une prise de sang. Il permet de détecter les anticorps produits par l’organisme pour se défendre face à une maladie. Les anticorps vont apparaitre en moyenne 7 à 10 jours après le début des symptômes. Compte-tenu de ce délai, ce test ne peut donc pas servir à identifier rapidement les nouvelles personnes malades. Les tests sérologiques restent positifs au minimum pendant plusieurs mois après l’infection. Ils peuvent donc servir à connaître le pourcentage de la population qui a été exposée au virus dans des endroits où celui-ci a circulé intensément. De nombreux tests sérologiques ont été récemment mis sur le marché avec des performances très variables et parfois inacceptables. Ils sont encore en phase d’évaluation dans les centres nationaux de références, il convient donc d’être prudent dans l’utilisation et le choix de ces tests – D’après l’Institut Louis Malardé – Dr Aurélie Guigon, Pharmacien Biologiste, Virologue.
BULLETIN D’INFORMATION #31 – Cellule de crise de la Polynésie française
79 hi’opo’ara’a tei ravehia i nanahi ra, e i roto i teie mau hi’opo’ara’a, ‘aita ho’e noa a’e ta’ata i ro’ohia i teie tirotiro.
Mai te ‘omuara’a o teie ma’i 2069 ta’ata tei hi’opo’ahia. 41 ta’ata o tei ‘afaro roa i teie mahana, ‘aita te mau tapa’o o te ma’i e ‘itehia ra i ni’a ia râtou. ‘Ua ho’i teie mau ta’ata i roto i tô râtou mau ‘utuafare. 16 ta’ata tei ro’ohia i te ma’i o te tamauhia nei i te hi’opo’a. 57 noa â ta’ata tei ro’ohia i teie ma’i mai te ‘omuara’a… Ia vai ara noa tâtou, e ia tamau noa tatou i te fa’a’ohipa i te mau rave’a parurura’a i teie ma’i.
Te hepetoma nô te patia arai na te ao nei
Te pû nô te ea no te ao nei (OMS) teie e fa’aha’amana’o nei ia tâtou i te faufa’a i te parurura’a ia tatou na roto i teie patia arai. ‘Ua ‘iriti ato’ahia teie fa’anahora’a i te fenua nei ma te turuhia e te fa’aterera’a o te ea. Te tumu parau o tei tape’ahia mai i teie matahiti :Te patia arai, no te maita’i o te ta’ato’ara’a.
Ua ‘iritihia teie hepetoma o te patia arai i te fenua nei i teie mahana pae 24 nô êperêra. Te anira’a rahi a te fa’aterera’a o te ea, ia tâmau â te mau ‘utuafare i te ha’apa’o i te mau patia o tâ râtou mau tamari’i, ma te ha’amana’o e te ravehia nei te mau rave’a ato’a nô te parurura’a i te tamari’i.
Te patia arai, o te rave’a ia nô te parurura’a i ta tatou mau tamari’i i mua i te tahi mau ma’i mai te « rougeole », te « hépatite B », te ma’i tuto’o, te « tetanos », te ma’i »polyo »….E 2 huru patia arai e vai nei : te mau patia fa’ahepohia, mai te fanaura’a o te tamari’i etae atu i te 11 ra’a o tôna matahiti. E te vai nei te mau patia e titau hia nei i te mau metua.
No te tahi mau ha’amaramaramara’a hau atu, a niuniu atu i te taote : Jean-Marc Segalin : N° 40 488 215, ‘aore ra ia Pauline Niva na roto i te reo Tahiti i te N° 40 488 222.
Te ha’amatara’a ha’api’ira’a i roto i te mau ta’a motu
I roto i te mau ta’a motu, ua ha’amata te ha’api’ira’a i roto i te tahi mau fare ha’api’ira’a. No teie ha’amatara’a, ua ‘itehia te fa’atura o te tamari’i e te mau ‘orometua i te mau fa’auera’a no te mau rave’a parurura’a i teie ma’i corona-virus. I teie taime te mau ha’api’ira’a tuatahi e tuarua teie ha’amata.
EI HAU I ROTO I TO TATOU MAU UTUAFARE
MĀURUURU E FA’AITOITO
Contexte
- L’Organisation mondiale de la santé à déclaré une urgence de santé publique de portée internationale le 30/01/2020.
- Un risque très élevé au niveau international a été a été déclaré le 28/02/2020.
- La pandémie a été annoncée officiellement le 11/03/2020.
La situation en Polynésie française
Le premier cas confirmé en Polynésie a été prélevé le 10 mars 2020.
Situation au 24/04/2020 à 10h00 :
À ce jour, il n’y a aucun nouveau cas confirmé de COVID-19 en Polynésie française. Le nombre total de cas confirmés est 57.
BULLETIN D’INFORMATION #30 – Cellule de crise de la Polynésie française
187 tests ont été effectués mercredi par les opérateurs sanitaires ; aucune nouvelle personne positive au virus Covid-19 n’a été révélée. Le carré épidémiologique indique donc 1990 analyses effectuées depuis le début de l’épidémie. 36 personnes ne présentant plus de signes cliniques de l’épidémie ont reçu leur attestation de levée d’isolement strict. 21 personnes restent atteintes et sous surveillance stricte. L’unique personne hospitalisée est dans un état stable, avec une amélioration observée ces dernières 24H. Depuis le début de la maladie 57 personnes ont été atteintes. La vigilance reste de mise avec le respect nécessaire des gestes barrières et du confinement général.
Continuité territoriale : premiers retours des personnes évacuées sanitaires
Les 25 personnes évacuées sanitaires de métropole sont arrivées ce jeudi matin à l’aéroport de Tahiti-Faa’a par le second vol de la continuité territoriale. Elles ont été prises en charge par les autorités sanitaires afin d’être regroupées dans une structure d’accueil prévue à leur intention par le Pays. Elles resteront confinées trois semaines durant. Leur retour a été financé par la Caisse de prévoyance sociale.
Sur le volume de matériel embarqué à bord de ce vol se trouvent une partie des commandes prioritaires des autorités sanitaires, dont 1300 kits de prélèvement, permettant d’assurer la réalisation des opérations de dépistage à un rythme soutenu. Également présents à bord, des masques spéciaux FFP2 (10.000).
L’airbus A400M devrait arriver à Tahiti ce samedi 25 avril, avec à son bord les six militaires chargés des opérations de décontamination à venir, et du matériel médical avec notamment, une dizaine de respirateurs portables.
Le prochain vol de continuité territoriale est prévu pour le lundi 27 avril prochain.
BULLETIN D’INFORMATION #30 – Cellule de crise de la Polynésie française
187 hi’opo’ara’a tei ravehia i te mahana nô nanahi ra, aore roa e ta’ata ma’i i ‘itehia. E nehenehe e parau e, mai te omuara’a o teie ma’i, 1990 hi’opo’ara’a tei ravehia mai te mahana matamua nô mâti ra, e 57 ta’ata tei ma’ihia i te Covid-19; i roto i teie rahira’a ta’ata e 57, e 36 tei roto noa â ratou i te hi’opo’ara’a a te mau taote, e 21 e aita i ‘ite fa’ahouhia ra te tirotiro Covid-19 i roto ia ratou ; ‘ua horoahia ra tâ ratou parau fa’atia no te hahaerera’a na rapae. Hô’ê noa â ta’ata tei tapeahia i te fare ma’i ; ‘ua maitai mai oia. Te parau âpi oaoa ra, aita â e ta’ata i fa’arue mai.
Te tîtauhia nei â tatou, ia vai ara noa, ma te fa’atura i te mau fa’auera’a no te pârurura’a ia tâtou e tae noa atu i te fa’aeara’a i te fare.
Te tere manureva ta‘a ê (Continuité territoriale) : e 25 ta’ata ma’i no te fenua o tei ho’i mai.
‘Ua tapae mai ratou i teie po’ipo’i mahana maha i te tahua tâura’a manureva no TahitiFaa’a, na nia i te piti o te manureva ta’a ê a te Hau Nui (Continuité territoriale).
Na te mau ti’a no te Fa’aterera’a o te Ea i ha’aputuputu ia ratou i roto i te mau fare i târahuhia e te Hau fenua. E vai ‘opanipani noa ratou i roto i teie mau fare no te hô’ê mâorora’a e 3 hepetoma. Na te Afata Turu’uta’a i amo i te mau ha’amauara’a no te fa‘aho’ira’a mai ia ratou.
Nô te mau tauiha’a rapa’au ra’a ma’i e vai ra i nia i teie manureva, te vai nei 1300 tao’a hi’opo’ara’a ma’i Covid-19 (kits de tests), no te fa’aohie i te mau fa’anahora’a hi’opo’ara’a tâmau. I nia atoa i teie manureva, 52 000 pâruru vaha e fa’aohipahia nei e te utuutu ma’i no te ra’apau i te feia ma’i pe’e (FFP2).
Ua tarenahia te tere o te manureva ta’a ê a te Hau Nui (Coninuité territoriale), i te monire 27 no Eperera i muri nei.
Te tere manureva ta‘a ê a te Nu’u
Te manureva Air Bus A400M a te Nu’u e tae mai i Tahiti nei i teie mahana 25 no Eperera. I nia i teie manureva e 6 faehau aravihi no te mau fa’anahora’a tûpohera’a i te manumanu e te tirotiro, e te vai atoa ra te tahi mau matini hutira’a aho afa’ifa’i.
EI HAU I ROTO I TO TATOU MAU UTUAFARE
MĀURUURU E FA’AITOITO
BULLETIN D’INFORMATION #30 – Cellule de crise de la Polynésie française
187 tests ont été effectués mercredi par les opérateurs sanitaires ; aucune nouvelle personne positive au virus Covid-19 n’a été révélée. Le carré épidémiologique indique donc 1990 analyses effectuées depuis le début de l’épidémie. 36 personnes ne présentant plus de signes cliniques de l’épidémie ont reçu leur attestation de levée d’isolement strict. 21 personnes restent atteintes et sous surveillance stricte. L’unique personne hospitalisée est dans un état stable, avec une amélioration observée ces dernières 24H. Depuis le début de la maladie 57 personnes ont été atteintes. La vigilance reste de mise avec le respect nécessaire des gestes barrières et du confinement général.
Continuité territoriale : premiers retours des personnes évacuées sanitaires
Les 25 personnes évacuées sanitaires de métropole sont arrivées ce jeudi matin à l’aéroport de Tahiti-Faa’a par le second vol de la continuité territoriale. Elles ont été prises en charge par les autorités sanitaires afin d’être regroupées dans une structure d’accueil prévue à leur intention par le Pays. Elles resteront confinées trois semaines durant. Leur retour a été financé par la Caisse de prévoyance sociale.
Sur le volume de matériel embarqué à bord de ce vol se trouvent une partie des commandes prioritaires des autorités sanitaires, dont 1300 kits de prélèvement, permettant d’assurer la réalisation des opérations de dépistage à un rythme soutenu. Également présents à bord, des masques spéciaux FFP2 (10.000).
L’airbus A400M devrait arriver à Tahiti ce samedi 25 avril, avec à son bord les six militaires chargés des opérations de décontamination à venir, et du matériel médical avec notamment, une dizaine de respirateurs portables.
Le prochain vol de continuité territoriale est prévu pour le lundi 27 avril prochain.
BULLETIN D’INFORMATION #30 – Cellule de crise de la Polynésie française
187 hi’opo’ara’a tei ravehia i te mahana nô nanahi ra, aore roa e ta’ata ma’i i ‘itehia. E nehenehe e parau e, mai te omuara’a o teie ma’i, 1990 hi’opo’ara’a tei ravehia mai te mahana matamua nô mâti ra, e 57 ta’ata tei ma’ihia i te Covid-19; i roto i teie rahira’a ta’ata e 57, e 36 tei roto noa â ratou i te hi’opo’ara’a a te mau taote, e 21 e aita i ‘ite fa’ahouhia ra te tirotiro Covid-19 i roto ia ratou ; ‘ua horoahia ra tâ ratou parau fa’atia no te hahaerera’a na rapae. Hô’ê noa â ta’ata tei tapeahia i te fare ma’i ; ‘ua maitai mai oia. Te parau âpi oaoa ra, aita â e ta’ata i fa’arue mai.
Te tîtauhia nei â tatou, ia vai ara noa, ma te fa’atura i te mau fa’auera’a no te pârurura’a ia tâtou e tae noa atu i te fa’aeara’a i te fare.
Te tere manureva ta‘a ê (Continuité territoriale) : e 25 ta’ata ma’i no te fenua o tei ho’i mai.
‘Ua tapae mai ratou i teie po’ipo’i mahana maha i te tahua tâura’a manureva no TahitiFaa’a, na nia i te piti o te manureva ta’a ê a te Hau Nui (Continuité territoriale).
Na te mau ti’a no te Fa’aterera’a o te Ea i ha’aputuputu ia ratou i roto i te mau fare i târahuhia e te Hau fenua. E vai ‘opanipani noa ratou i roto i teie mau fare no te hô’ê mâorora’a e 3 hepetoma. Na te Afata Turu’uta’a i amo i te mau ha’amauara’a no te fa‘aho’ira’a mai ia ratou.
Nô te mau tauiha’a rapa’au ra’a ma’i e vai ra i nia i teie manureva, te vai nei 1300 tao’a hi’opo’ara’a ma’i Covid-19 (kits de tests), no te fa’aohie i te mau fa’anahora’a hi’opo’ara’a tâmau. I nia atoa i teie manureva, 52 000 pâruru vaha e fa’aohipahia nei e te utuutu ma’i no te ra’apau i te feia ma’i pe’e (FFP2).
Ua tarenahia te tere o te manureva ta’a ê a te Hau Nui (Coninuité territoriale), i te monire 27 no Eperera i muri nei.
Te tere manureva ta‘a ê a te Nu’u
Te manureva Air Bus A400M a te Nu’u e tae mai i Tahiti nei i teie mahana 25 no Eperera. I nia i teie manureva e 6 faehau aravihi no te mau fa’anahora’a tûpohera’a i te manumanu e te tirotiro, e te vai atoa ra te tahi mau matini hutira’a aho afa’ifa’i.
EI HAU I ROTO I TO TATOU MAU UTUAFARE
MĀURUURU E FA’AITOITO
Contexte
- L’Organisation mondiale de la santé à déclaré une urgence de santé publique de portée internationale le 30/01/2020.
- Un risque très élevé au niveau international a été a été déclaré le 28/02/2020.
- La pandémie a été annoncée officiellement le 11/03/2020.
La situation en Polynésie française
Le premier cas confirmé en Polynésie a été prélevé le 10 mars 2020.
Situation au 23/04/2020 à 10h00 :
À ce jour, il n’y a aucun nouveau cas confirmé de COVID-19 en Polynésie française. Le nombre total de cas confirmés est 57.
BULLETIN D’INFORMATION #29 – Cellule de crise de la Polynésie française
Sur les 148 tests effectués mardi par les opérateurs sanitaires, aucune personne positive au virus Covid19 n’a été révélée positive. Le nouveau carré épidémiologique indique donc 1803 analyses, effectuées depuis le début de l’épidémie. Le chiffre de personnes ne présentant plus de signes cliniques de l’épidémie et qui ont reçu leur attestation de levée d’isolement monte à 36 (+1), tandis que 21 restent atteintes et sous surveillance, dont une personne hospitalisée. 57 personnes ont été atteintes depuis le début de la maladie. La vigilance reste de mise avec le respect nécessaire des gestes barrières et du confinement général.
Évacuations sanitaires : 24 retours de métropole
Le second vol de la compagnie Air Tahiti Nui affrété dans le cadre de la continuité territoriale ramène jeudi matin au Fenua 24 patients et accompagnateurs. Ces personnes ont toutes été déclarées négatives au test effectué avant leur départ et ont été examinées par un médecin. Elles ont également signé un engagement de confinement dans une structure du Pays dès leur retour. La durée de ce confinement strict sera de trois semaines.
CCSAT : 40 46 00 67, une aide majeure dans la lutte contre les addictions
La crise épidémique et le confinement appliqué depuis plusieurs semaines placent la population dans une situation psychologique particulière.
La cellule de crise sanitaire du Pays propose des réponses à ces situations particulières, en complément des services de la direction de la Santé publique. Sur ce plan, le centre de consultation spécialisée en alcoologie et toxicomanie, le CCSAT, poursuit la prise en charge des patients. Son organisation s’est adaptée à la situation particulière : du fait du confinement, la plupart des entretiens de suivi ont été téléphoniques mais les consultations dans le service sont également maintenues pour les cas le nécessitant.
L’anxiété liée au sevrage étant majorée, comme cela était attendu, les demandes d’aide pour le sevrage et de soutien psychologique ont naturellement fortement augmentées. Une ligne téléphonique dédié a été ouverte pour une réponse immédiate – 40 46 00 67.
Certains patients ont mis à profit cette période pour débuter un projet d’abstinence à long terme. Pour la plupart, cette période a permis une réflexion sur le rôle de l’alcool – ou autre produit – dans leur vie.
La reprise des ventes et de la consommation d’alcool doit se faire à la lumière de ce sevrage imposé. Nombreux sont les témoignages des effets positifs de cette abstinence, notamment au sein des familles. Il convient, enfin, de refuser avec fermeté tout excès pouvant entrainer des conduites dangereuses.
Des réponses communautaires et solidaires aux problèmes de confinement
La crise que traverse la Polynésie depuis près de cinq semaines engendre des problématiques économiques, mais également sociales et des risques psycho-sociaux.
La cellule de crise Covid-21 du Pays a ainsi mis en place une plateforme d’écoute (444 789) répondant aux questions sanitaires et depuis plusieurs jours déjà, aux souffrances liées au confinement mais plus généralement à cet état de fait. Plusieurs psychologues sont à l’écoute des populations en difficulté.
Parallèlement, de nombreuses initiatives privées se sont mises en place, initiatives de solidarité envers une population fragilisée par la situation actuelle. Certains initiateurs privés ont sollicité la cellule de crise, initiative qui a abouti à la création de la plateforme interactive d’échange et de lien entre les initiatives bénévoles et les besoins de la population.
Aujourd’hui on compte près de 1000 inscriptions sur l’espace public, dans des domaines proposés par le site, comme les livraisons, la confection des colis, les dons alimentaires et vestimentaires, le soutien psychologique ou sanitaire, la couture et enfin l’hébergement pour les personnels de santé. Un espace privé est tout spécialement dédié aux communes qui disposent depuis ce début de semaine d’un code d’accès. Nous invitons ainsi les communes à nous contacter si elles n’ont pas reçu leur code. Sur cet espace privé les communes formulent leurs besoins et la plateforme leur permet d’accéder à la liste des bénévoles de leur territoire qui correspondent à ces besoins. Quant aux associations, pour l’heure, c’est la cellule de crise qui réceptionne les demandes spécifiques, filtre les potentialités par la lecture des fiches d’inscription et envoie les listes pouvant répondre à ces demandes. Pour exemple, la cellule a répondu à l’initiative privée d’un médecin et d’une infirmière de Pirae qui proposent de confectionner et de distribuer à la population des masques en tissu, (page Facebook « Masques solidaires de Tahiti »), en partageant la liste des couturières de la zone urbaine.
Toutes les propositions de dons alimentaires de la zone urbaine ont été de même envoyées à la Croix Rouge qui s’est proposée de les réceptionner pour la confection de colis alimentaires.
La cellule de crise a de même mis en place une action de suivi régulier des structures d’accueil des personnes âgées, action rendue possible grâce à ces bénévoles inscrits sur cette plateforme. Les bénévoles sont formés avant de débuter leur action de suivi. Il appartient aux communes et aux associations de contacter directement les bénévoles inscrits. La cellule permet le lien entre les propositions solidaires et les besoins de la population.
NON AUX VIOLENCES DANS LES FAMILLES !
BULLETIN D’INFORMATION #29 – Cellule de crise de la Polynésie française
178 hi’opo’ara’a tei ravehia i te mahana nô nanahi ra, aore roa e ta’ata ma’i i itehia. E nehenehe ia e parau e, mai te omuara’a o teie ma’i, 1803 hi’opo’ara’a tei ravehia, e 57 ta’ata tei ma’ihia i te Covid-19 ; i roto i teie rahira’a ta’ata e 57, e 21 ta’ata tei roto noa â ratou i te hi’opo’ara’a a te mau taote, e 36 ta’ata e aita i ‘ite fa’ahouhia ra te tirotiro Covid-19 i roto ia ratou ; ‘ua horoahia ra tâ ratou parau fa’atia no te hahaerera’a na rapae. Hô’ê noa â ta’ata tei tapeahia i te fare ma’i. Te parau âpi oaoa ra, aita â e ta’ata i fa’arue mai.
Te tîtauhia nei â tatou, ia vai ara noa, ma te fa’atura i te mau fa’auera’a no te pârurura’a ia tatou e tae noa atu i te fa’aeara’a i te fare.
Te tere manureva ta‘a ê (Continuité territoriale) : e 24 ta’ata ma’i no te fenua o te ho’i maira.
E ho’i mai te piti o te tere no te manureva a te taiete Air Tahiti Nui o tei târahuhia e te Hau Nui (Coninuité territoriale) mai Paris mai, i teie nei mahana maha i te po’ipo’i. I roto i taua manureva ra, te vai nei te tahi mau tauiha’a rapa’au ra’a ma’i. E ho’i atoa mai e 24 ta’ata ma’i e tô ratou mau ta’ata ape’e. ‘Ua hi’opo’ahia ratou e te hô’ê taote nâ mua noa ae i te paiuma ra’a i nia i te manureva. E aita e tirotiro i ’itehia i roto ia ratou. ‘Ua tu’u rima ratou i te hô’ê parau fa’aau ia tae mai ratou i te fenua nei, e ‘ôpipiri hia ratou i roto i te hô’ê fare tei târahuhia e te Hau Fenua i te roara’a e 3 hepetoma.
Te pû araira’a ma’i no nia i te parau o te inura’a ava e te ra’au taero.
Na roto i teie fifi ma’i Covid-19 e te fa’ahepora’a e ‘ôpipiri i te fare, ua huru fifi roa te orara’a manava o te huira’atira.
Ua rave te Pû e ti’aau nei i te fifi ma’i Covid-19 no te fenua nei i te mau fa’anahora’a no teie mau fifi tâ’â ‘ê, a ta’a noa atu ai te ‘ohipa araraira’a a te Fa’aterera’a o te Ea. Na roto i teie fifi ma’i Covid19, ua tamau noa ihioa te ‘ohipara’a a te pû araira’a ma’i no te parau o te inura’a ava e te ra’au taero i roto i tâna pû ‘ohipa. Ua fa’aohipa atoa ratou i te niuniu parauparau no te tauara’a parau i te ta’ata ma’i.
Na roto i te ‘opanira’a hia te ho’ora’a ava, ua ‘itehia te tahi mau ta’ata o teie topa i roto i te fifi i te pae o te ferurira’a, i ha’amauhia ai te hô’ê niuniu tâ’â ‘ê no ratou : 40 46 00 67.
No vetahi, ua riro ia teie tau ‘opanira’a ava ei tau no te hô’ê opuara’a ha’aparera’a i te inu i te ava. E riro atoa ei tau no te ferurira’a i nia i te mau fifi o tâ te ava e fa’atupu i roto i tô ratou orara’a.
Ua ha’amata fa’ahou te ho’ora’a ava e ua riro te reira ei ravea no vetahi i te ha’apapu i te mau hi’ora’a tâ ratou i ‘ite na roto i teie ha’apaera’a i roto ihoa ra i tô ratou mau utuafare. E mea titauhia tatou ia pâto’i uana i te inura’a e nehenehe e fa’atupu i te fifi i roto i tô tatou orara’a.
Orara’a autahi : te fifi o te vai opanipanira’a
‘Ua riro teie fifi ma’i o tâ Pôrinetia e ora nei, a 5 hepetoma i teie nei, e fa’atupu oia i te fifi i te pae o te orara’a faufaa e totiare. Ua ha’amau te Pû e ti’au nei i te fifi no te ma’i Covid-19, i te hô’ê fa’anahora’a no te torora’a i te taria o te mau ta’ata e pârahi nei i roto i te fa’aoromai e te mauiui, na roto i te vai opanipanira’a.
E rave rahi taote manava i fata’ahia no te fa’aroo i te reo o teie mau huira’atira e fifi nei (444 789).
A ta’a noa atu teie fa’anahora’a, ua ha’amau atoahia te tahi reni natirara ei ravea aitaiuira’a mana’o i rotopu i te huira’atira e te mau ta’ata tauturu.
I teie mahana, piri i te tautini ta’ata i tapa’o i tô ratou mau i’oa i nia i teie tahua natirara no te tauturura’a i te huira’atira na roto anei i te ôperera’a maa, ôperera’a ahu, te turura’a te ta’ata i te pae no te ma’i, te mau ha’api’ipi’i ra’a nira ahu, e te vai atura â. Te titau nei matou i te mau oire ia fa’atae mai i tâ tatou mau anira’a ia fana’o atoa ratou i te mau ‘ohipa e ravehia nei e teie mau ta’ata tauturu. E nehenehe atoa te mau ta’atira’a e fana’o i teie mau tauturu, te hô’ê hi’ora’a : te ani ra’a a te hô’ê taote e te hô’ê vahine utuutu ma’i no Pirae no te hamanira’a i te pâruru vaha ma te fa’aohipa i te ahu. E rave rahi vahine nira ahu no Pirae tei pâhono i tâ raua anira’a.
Te feia e hina’aro nei e fa’atae i tâ ratou mau ô (ma’a), e fa’ataehia teie mau anira’a i te Tatauro Ura ; e nâna ia e fa’arii i teie mau ô e te tâ’afatara’a i teie mau ma’a.
‘Ua ha’amau atoa te Pû e ti’aau nei i te fifi ma’i Covid-19 no te fenua nei, i te hô’ê farereira’a i te mau matahiapo i roto i te mau pû e fata’ahia no ratou. E rave rahi ratou ta’ata taturu i fana’o i te tahi ha’api’ira’a hou a farerei atu ai i tô tatou mau matahiapo.
EI HAU I ROTO I TO TATOU MAU UTUAFARE
MĀURUURU E FA’AITOITO
BULLETIN D’INFORMATION #29 – Cellule de crise de la Polynésie française
Sur les 148 tests effectués mardi par les opérateurs sanitaires, aucune personne positive au virus Covid19 n’a été révélée positive. Le nouveau carré épidémiologique indique donc 1803 analyses, effectuées depuis le début de l’épidémie. Le chiffre de personnes ne présentant plus de signes cliniques de l’épidémie et qui ont reçu leur attestation de levée d’isolement monte à 36 (+1), tandis que 21 restent atteintes et sous surveillance, dont une personne hospitalisée. 57 personnes ont été atteintes depuis le début de la maladie. La vigilance reste de mise avec le respect nécessaire des gestes barrières et du confinement général.
Évacuations sanitaires : 24 retours de métropole
Le second vol de la compagnie Air Tahiti Nui affrété dans le cadre de la continuité territoriale ramène jeudi matin au Fenua 24 patients et accompagnateurs. Ces personnes ont toutes été déclarées négatives au test effectué avant leur départ et ont été examinées par un médecin. Elles ont également signé un engagement de confinement dans une structure du Pays dès leur retour. La durée de ce confinement strict sera de trois semaines.
CCSAT : 40 46 00 67, une aide majeure dans la lutte contre les addictions
La crise épidémique et le confinement appliqué depuis plusieurs semaines placent la population dans une situation psychologique particulière.
La cellule de crise sanitaire du Pays propose des réponses à ces situations particulières, en complément des services de la direction de la Santé publique. Sur ce plan, le centre de consultation spécialisée en alcoologie et toxicomanie, le CCSAT, poursuit la prise en charge des patients. Son organisation s’est adaptée à la situation particulière : du fait du confinement, la plupart des entretiens de suivi ont été téléphoniques mais les consultations dans le service sont également maintenues pour les cas le nécessitant.
L’anxiété liée au sevrage étant majorée, comme cela était attendu, les demandes d’aide pour le sevrage et de soutien psychologique ont naturellement fortement augmentées. Une ligne téléphonique dédié a été ouverte pour une réponse immédiate – 40 46 00 67.
Certains patients ont mis à profit cette période pour débuter un projet d’abstinence à long terme. Pour la plupart, cette période a permis une réflexion sur le rôle de l’alcool – ou autre produit – dans leur vie.
La reprise des ventes et de la consommation d’alcool doit se faire à la lumière de ce sevrage imposé. Nombreux sont les témoignages des effets positifs de cette abstinence, notamment au sein des familles. Il convient, enfin, de refuser avec fermeté tout excès pouvant entrainer des conduites dangereuses.
Des réponses communautaires et solidaires aux problèmes de confinement
La crise que traverse la Polynésie depuis près de cinq semaines engendre des problématiques économiques, mais également sociales et des risques psycho-sociaux.
La cellule de crise Covid-21 du Pays a ainsi mis en place une plateforme d’écoute (444 789) répondant aux questions sanitaires et depuis plusieurs jours déjà, aux souffrances liées au confinement mais plus généralement à cet état de fait. Plusieurs psychologues sont à l’écoute des populations en difficulté.
Parallèlement, de nombreuses initiatives privées se sont mises en place, initiatives de solidarité envers une population fragilisée par la situation actuelle. Certains initiateurs privés ont sollicité la cellule de crise, initiative qui a abouti à la création de la plateforme interactive d’échange et de lien entre les initiatives bénévoles et les besoins de la population.
Aujourd’hui on compte près de 1000 inscriptions sur l’espace public, dans des domaines proposés par le site, comme les livraisons, la confection des colis, les dons alimentaires et vestimentaires, le soutien psychologique ou sanitaire, la couture et enfin l’hébergement pour les personnels de santé. Un espace privé est tout spécialement dédié aux communes qui disposent depuis ce début de semaine d’un code d’accès. Nous invitons ainsi les communes à nous contacter si elles n’ont pas reçu leur code. Sur cet espace privé les communes formulent leurs besoins et la plateforme leur permet d’accéder à la liste des bénévoles de leur territoire qui correspondent à ces besoins. Quant aux associations, pour l’heure, c’est la cellule de crise qui réceptionne les demandes spécifiques, filtre les potentialités par la lecture des fiches d’inscription et envoie les listes pouvant répondre à ces demandes. Pour exemple, la cellule a répondu à l’initiative privée d’un médecin et d’une infirmière de Pirae qui proposent de confectionner et de distribuer à la population des masques en tissu, (page Facebook « Masques solidaires de Tahiti »), en partageant la liste des couturières de la zone urbaine.
Toutes les propositions de dons alimentaires de la zone urbaine ont été de même envoyées à la Croix Rouge qui s’est proposée de les réceptionner pour la confection de colis alimentaires.
La cellule de crise a de même mis en place une action de suivi régulier des structures d’accueil des personnes âgées, action rendue possible grâce à ces bénévoles inscrits sur cette plateforme. Les bénévoles sont formés avant de débuter leur action de suivi. Il appartient aux communes et aux associations de contacter directement les bénévoles inscrits. La cellule permet le lien entre les propositions solidaires et les besoins de la population.
NON AUX VIOLENCES DANS LES FAMILLES !
BULLETIN D’INFORMATION #29 – Cellule de crise de la Polynésie française
178 hi’opo’ara’a tei ravehia i te mahana nô nanahi ra, aore roa e ta’ata ma’i i itehia. E nehenehe ia e parau e, mai te omuara’a o teie ma’i, 1803 hi’opo’ara’a tei ravehia, e 57 ta’ata tei ma’ihia i te Covid-19 ; i roto i teie rahira’a ta’ata e 57, e 21 ta’ata tei roto noa â ratou i te hi’opo’ara’a a te mau taote, e 36 ta’ata e aita i ‘ite fa’ahouhia ra te tirotiro Covid-19 i roto ia ratou ; ‘ua horoahia ra tâ ratou parau fa’atia no te hahaerera’a na rapae. Hô’ê noa â ta’ata tei tapeahia i te fare ma’i. Te parau âpi oaoa ra, aita â e ta’ata i fa’arue mai.
Te tîtauhia nei â tatou, ia vai ara noa, ma te fa’atura i te mau fa’auera’a no te pârurura’a ia tatou e tae noa atu i te fa’aeara’a i te fare.
Te tere manureva ta‘a ê (Continuité territoriale) : e 24 ta’ata ma’i no te fenua o te ho’i maira.
E ho’i mai te piti o te tere no te manureva a te taiete Air Tahiti Nui o tei târahuhia e te Hau Nui (Coninuité territoriale) mai Paris mai, i teie nei mahana maha i te po’ipo’i. I roto i taua manureva ra, te vai nei te tahi mau tauiha’a rapa’au ra’a ma’i. E ho’i atoa mai e 24 ta’ata ma’i e tô ratou mau ta’ata ape’e. ‘Ua hi’opo’ahia ratou e te hô’ê taote nâ mua noa ae i te paiuma ra’a i nia i te manureva. E aita e tirotiro i ’itehia i roto ia ratou. ‘Ua tu’u rima ratou i te hô’ê parau fa’aau ia tae mai ratou i te fenua nei, e ‘ôpipiri hia ratou i roto i te hô’ê fare tei târahuhia e te Hau Fenua i te roara’a e 3 hepetoma.
Te pû araira’a ma’i no nia i te parau o te inura’a ava e te ra’au taero.
Na roto i teie fifi ma’i Covid-19 e te fa’ahepora’a e ‘ôpipiri i te fare, ua huru fifi roa te orara’a manava o te huira’atira.
Ua rave te Pû e ti’aau nei i te fifi ma’i Covid-19 no te fenua nei i te mau fa’anahora’a no teie mau fifi tâ’â ‘ê, a ta’a noa atu ai te ‘ohipa araraira’a a te Fa’aterera’a o te Ea. Na roto i teie fifi ma’i Covid19, ua tamau noa ihioa te ‘ohipara’a a te pû araira’a ma’i no te parau o te inura’a ava e te ra’au taero i roto i tâna pû ‘ohipa. Ua fa’aohipa atoa ratou i te niuniu parauparau no te tauara’a parau i te ta’ata ma’i.
Na roto i te ‘opanira’a hia te ho’ora’a ava, ua ‘itehia te tahi mau ta’ata o teie topa i roto i te fifi i te pae o te ferurira’a, i ha’amauhia ai te hô’ê niuniu tâ’â ‘ê no ratou : 40 46 00 67.
No vetahi, ua riro ia teie tau ‘opanira’a ava ei tau no te hô’ê opuara’a ha’aparera’a i te inu i te ava. E riro atoa ei tau no te ferurira’a i nia i te mau fifi o tâ te ava e fa’atupu i roto i tô ratou orara’a.
Ua ha’amata fa’ahou te ho’ora’a ava e ua riro te reira ei ravea no vetahi i te ha’apapu i te mau hi’ora’a tâ ratou i ‘ite na roto i teie ha’apaera’a i roto ihoa ra i tô ratou mau utuafare. E mea titauhia tatou ia pâto’i uana i te inura’a e nehenehe e fa’atupu i te fifi i roto i tô tatou orara’a.
Orara’a autahi : te fifi o te vai opanipanira’a
‘Ua riro teie fifi ma’i o tâ Pôrinetia e ora nei, a 5 hepetoma i teie nei, e fa’atupu oia i te fifi i te pae o te orara’a faufaa e totiare. Ua ha’amau te Pû e ti’au nei i te fifi no te ma’i Covid-19, i te hô’ê fa’anahora’a no te torora’a i te taria o te mau ta’ata e pârahi nei i roto i te fa’aoromai e te mauiui, na roto i te vai opanipanira’a.
E rave rahi taote manava i fata’ahia no te fa’aroo i te reo o teie mau huira’atira e fifi nei (444 789).
A ta’a noa atu teie fa’anahora’a, ua ha’amau atoahia te tahi reni natirara ei ravea aitaiuira’a mana’o i rotopu i te huira’atira e te mau ta’ata tauturu.
I teie mahana, piri i te tautini ta’ata i tapa’o i tô ratou mau i’oa i nia i teie tahua natirara no te tauturura’a i te huira’atira na roto anei i te ôperera’a maa, ôperera’a ahu, te turura’a te ta’ata i te pae no te ma’i, te mau ha’api’ipi’i ra’a nira ahu, e te vai atura â. Te titau nei matou i te mau oire ia fa’atae mai i tâ tatou mau anira’a ia fana’o atoa ratou i te mau ‘ohipa e ravehia nei e teie mau ta’ata tauturu. E nehenehe atoa te mau ta’atira’a e fana’o i teie mau tauturu, te hô’ê hi’ora’a : te ani ra’a a te hô’ê taote e te hô’ê vahine utuutu ma’i no Pirae no te hamanira’a i te pâruru vaha ma te fa’aohipa i te ahu. E rave rahi vahine nira ahu no Pirae tei pâhono i tâ raua anira’a.
Te feia e hina’aro nei e fa’atae i tâ ratou mau ô (ma’a), e fa’ataehia teie mau anira’a i te Tatauro Ura ; e nâna ia e fa’arii i teie mau ô e te tâ’afatara’a i teie mau ma’a.
‘Ua ha’amau atoa te Pû e ti’aau nei i te fifi ma’i Covid-19 no te fenua nei, i te hô’ê farereira’a i te mau matahiapo i roto i te mau pû e fata’ahia no ratou. E rave rahi ratou ta’ata taturu i fana’o i te tahi ha’api’ira’a hou a farerei atu ai i tô tatou mau matahiapo.
EI HAU I ROTO I TO TATOU MAU UTUAFARE
MĀURUURU E FA’AITOITO
Contexte
- L’Organisation mondiale de la santé à déclaré une urgence de santé publique de portée internationale le 30/01/2020.
- Un risque très élevé au niveau international a été a été déclaré le 28/02/2020.
- La pandémie a été annoncée officiellement le 11/03/2020.
La situation en Polynésie française
Le premier cas confirmé en Polynésie a été prélevé le 10 mars 2020.
Situation au 22/04/2020 à 10h00 :
À ce jour, il n’y a aucun nouveau cas confirmé de COVID-19 en Polynésie française. Le nombre total de cas confirmés est 57.