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  • [ACTUALITÉ] Enquête Ea Piahi – Santé jeune 2024 :
    Un état des lieux sur la santé et les comportements des jeunes en Polynésie

    L’enquête Ea Piahi – Santé jeune 2024, est un outil essentiel pour comprendre l’évolution de la santé et des comportements des jeunes sur le territoire. Menée du 27 février au 17 avril 2024, cette enquête cible les élèves de la 5ème à la 1ère dans les établissements scolaires publics et privés des différents archipels de la Polynésie. Avec la participation de 3118 élèves, cette étude permet de dresser un état des lieux des comportements des adolescents polynésiens, tout en mettant en lumière des tendances importantes en matière de santé publique.

    Des résultats positifs mais des défis persistants

    L’enquête de 2024 révèle des résultats encourageants, mais aussi des problématiques inquiétantes qui nécessitent des réponses adaptées.

    Des signaux positifs : un engagement croissant pour une vie saine

    L’enquête met en évidence plusieurs tendances positives. Une grande majorité des jeunes interrogés affirment pratiquer une activité physique régulière, ce qui est essentiel pour la prévention des maladies chroniques et la promotion de la santé mentale. De plus, les élèves bénéficient en majorité d’un bon soutien familial, et se déclarent généralement en bonne santé. Ces résultats témoignent de l’efficacité des actions de sensibilisation menées ces dernières années pour encourager les comportements favorables à une bonne santé. Cela souligne également l’importance des initiatives éducatives et sociales mises en place pour soutenir les jeunes.

    Des préoccupations grandissantes : le cannabis, les écrans et la santé mentale

    Cependant, des préoccupations majeures subsistent, et l’enquête soulève des signaux
    d’alerte concernant certaines habitudes des jeunes polynésiens.

    – La consommation de cannabis : 40 % des adolescents interrogés déclarent avoir déjà fumé du cannabis. Des chiffres en augmentation de 7% par rapport à 2016.

    – L’usage excessif des écrans : l’utilisation excessive des écrans est un autre point préoccupant. Les adolescents passent de plus en plus de temps connectés, ce qui a des conséquences notables sur leur sommeil et leur concentration. Une tendance qui soulève des questions sur l’équilibre entre la vie en ligne et hors ligne des jeunes.

    -La santé mentale : l’un des résultats les plus alarmants de cette enquête concerne la santé mentale des adolescents polynésiens. Les données montrent une progression inquiétante des signes de mal-être, avec un taux croissant d’isolement social et des pensées suicidaires.

    – L’obésité et le surpoids : un autre défi majeur reste l’obésité et le surpoids chez les jeunes. Les taux d’obésité et de surpoids ne montrent aucune amélioration significative depuis 2016, ce qui reste préoccupant au regard des risques à long terme pour la santé physique des jeunes.

    Les résultats de cette enquête offrent cependant des leviers importants pour la mise en œuvre de politiques de prévention en matière de santé mentale, d’alimentation, d’activité physique, et de prévention des addictions.

    Retrouvez l’enquête via ce lien : https://www.calameo.com/read/0074445001db78a204940

    [ACTUALITÉ] Enquête Ea Piahi – Santé jeune 2024 :
    Un état des lieux sur la santé et les comportements des jeunes en Polynésie

    L’enquête Ea Piahi – Santé jeune 2024, est un outil essentiel pour comprendre l’évolution de la santé et des comportements des jeunes sur le territoire. Menée du 27 février au 17 avril 2024, cette enquête cible les élèves de la 5ème à la 1ère dans les établissements scolaires publics et privés des différents archipels de la Polynésie. Avec la participation de 3118 élèves, cette étude permet de dresser un état des lieux des comportements des adolescents polynésiens, tout en mettant en lumière des tendances importantes en matière de santé publique.

    Des résultats positifs mais des défis persistants

    L’enquête de 2024 révèle des résultats encourageants, mais aussi des problématiques inquiétantes qui nécessitent des réponses adaptées.

    Des signaux positifs : un engagement croissant pour une vie saine

    L’enquête met en évidence plusieurs tendances positives. Une grande majorité des jeunes interrogés affirment pratiquer une activité physique régulière, ce qui est essentiel pour la prévention des maladies chroniques et la promotion de la santé mentale. De plus, les élèves bénéficient en majorité d’un bon soutien familial, et se déclarent généralement en bonne santé. Ces résultats témoignent de l’efficacité des actions de sensibilisation menées ces dernières années pour encourager les comportements favorables à une bonne santé. Cela souligne également l’importance des initiatives éducatives et sociales mises en place pour soutenir les jeunes.

    Des préoccupations grandissantes : le cannabis, les écrans et la santé mentale

    Cependant, des préoccupations majeures subsistent, et l’enquête soulève des signaux
    d’alerte concernant certaines habitudes des jeunes polynésiens.

    – La consommation de cannabis : 40 % des adolescents interrogés déclarent avoir déjà fumé du cannabis. Des chiffres en augmentation de 7% par rapport à 2016.

    – L’usage excessif des écrans : l’utilisation excessive des écrans est un autre point préoccupant. Les adolescents passent de plus en plus de temps connectés, ce qui a des conséquences notables sur leur sommeil et leur concentration. Une tendance qui soulève des questions sur l’équilibre entre la vie en ligne et hors ligne des jeunes.

    -La santé mentale : l’un des résultats les plus alarmants de cette enquête concerne la santé mentale des adolescents polynésiens. Les données montrent une progression inquiétante des signes de mal-être, avec un taux croissant d’isolement social et des pensées suicidaires.

    – L’obésité et le surpoids : un autre défi majeur reste l’obésité et le surpoids chez les jeunes. Les taux d’obésité et de surpoids ne montrent aucune amélioration significative depuis 2016, ce qui reste préoccupant au regard des risques à long terme pour la santé physique des jeunes.

    Les résultats de cette enquête offrent cependant des leviers importants pour la mise en œuvre de politiques de prévention en matière de santé mentale, d’alimentation, d’activité physique, et de prévention des addictions.

    Retrouvez l’enquête via ce lien : https://www.calameo.com/read/0074445001db78a204940

  • Bulletin de Surveillance Sanitaire (BSS) n°41/2024

    Données consolidées jusqu’à la semaine S41-2024

  • [ACTUALITÉS]

    Qualité des eaux destinées à la consommation à Tahiti et dans les îles en 2023

    Le Centre de santé environnementale (CSE) de la Direction de la santé a poursuivi en 2023, sa mission de contrôle sanitaire de la qualité des eaux destinées à la consommation humaine distribuées par les réseaux et fontaines publics.

    En parallèle, 20 communes et le syndicat intercommunal Te Oropaa ont initié un programme de contrôle de la qualité de l’eau sur tout ou partie de leurs ressources, fontaines publiques et/ou réseaux de distribution et 7 communes des Tuamotu (Anaa, Arutua, Hao, Manihi, Rangiroa, Reao et Takaroa) ont initié leurs autocontrôles sur tout ou partie de leurs ressources et/ou fontaines à carte prépayée. Il est à relever les efforts mis en place par les communes éloignées pour lesquelles la logistique (du fait des faibles fréquences aériennes) est complexe et le coût de transport (du fait de l’éloignement) est plus important.

    Au total, 1584 prélèvements ont été effectués sur des réseaux de distribution, 29 prélèvements sur des fontaines de distribution à carte prépayée (Tuamotu), 313 prélèvements sur des fontaines publiques et 97 prélèvements sur des ressources.

    Les résultats de la qualité des eaux distribuées sont établis à partir de l’ensemble des résultats obtenus. Ils sont synthétisés dans les documents ci-joints et notamment sur les cartes ci-jointes.

    Il apparaît que 63% de la population a accès à l’eau potable en Polynésie française en 2023. Au sein de chaque archipel, la part de population ayant accès à l’eau potable est :

    – 69% aux Iles du Vent ;

    – 77% aux Iles Sous-le-Vent ;

    – 23% aux Australes ;

    – 1% aux Tuamotu-Gambier ;

    – 0% aux Marquises.

    Les principaux résultats sont les suivants :

    • En 2023, 12 communes ont distribué de l’eau potable sur l’ensemble de leur territoire : Arue, Faa’a, Mahina, Papeete, Pirae, Punaauia, Papara, Bora Bora, Huahine, Tumaraa, Taputapuatea et Uturoa.
    • 3 communes ont délivré de l’eau potable sur une partie de leur territoire : Taiarapu Est (réseaux Lucas, Hélène Auffray et Van Bastolaer), Moorea (réseaux Nuuroa, Papetoai, Temae, Maharepa 1 et 2 et Haumi) et Rurutu (réseaux Hauti et Moerai).
    • A Tahiti, l’excellente qualité de l’eau desservie dans la zone urbaine (sauf à Paea) et Papara se maintient. Concernant les communes de la zone rurale (hormis les réseaux Lucas, Hélène Auffray et Van Bastolaer de Taiarapu Est), l’eau distribuée est toujours non potable.
    • A Moorea, seuls 6 réseaux sur 22 sont potables. Néanmoins, leur extension régulière permet d’augmenter la part de la population ayant accès à l’eau potable d’année en année.
    • Aux îles Sous-le-Vent, la régularité de Bora Bora, Tumaraa et Uturoa dont l’eau est potable depuis 2017. Pour Taputapuatea la qualité de l’eau reste variable mais présente d’excellents résultats pour 2023, comme pour Huahine. La qualité de l’eau reste variable avec encore des non-conformités sur Tahaa.
    • Aux Australes, la qualité de l’eau reste variable, avec des efforts maintenus notamment sur Rurutu.
    • Quant aux archipels des Marquises et des Tuamotu-Gambier, encore beaucoup de mauvais résultats, voire l’absence d’analyses, qui imposent réglementairement de déclarer leurs eaux non potables.

    Les raisons de la mauvaise qualité de l’eau distribuée sont connues : l’utilisation exclusive de captages d’eaux superficielles, la mauvaise exploitation des installations de traitement d’eau potable, la vétusté des ouvrages existants, l’absence de traitement adapté et de désinfection des ressources, le non fonctionnement d’installations de traitement d’eau alors qu’elles ont été réceptionnées.

    Sur les 272 résultats non conformes relevés sur les réseaux, 261 (soit 96%) montraient la présence de germes témoins de contamination fécale. A noter que 128 analyses présentaient des Escherichia coli, bactéries pathogènes pour l’homme. 58 analyses (21%) présentaient des non-conformités physico-chimiques, et notamment une forte turbidité, signe du recours à des eaux de surface connues pour être vulnérables aux apports terrigènes.

    En 2023, sur les 23 fontaines publiques contrôlées (hors Tuamotu), seules les fontaines Papemato à Papara, Van Bastolaer et Hélène Auffray à Taiarapu Est et Temae, Paopao, Nuuroa, Afareaitu et Vaiare à Moorea ont délivré une eau potable. Pour certaines fontaines publiques pourtant équipées de systèmes de traitement de l’eau, les résultats s’avèrent variables et généralement non potables. C’est également le constat qui est fait aux Tuamotu sur les 23 fontaines à cartes prépayées contrôlées, bien que le peu de résultats ne permette pas de généraliser la situation.

    Les efforts et les investissements doivent se poursuivre. En outre, le recours à des outils d’aide peut également s’avérer utile, tels que la mise en œuvre des Plans de Sécurité Sanitaire des Eaux (PSSE), outil préconisé par l’OMS depuis 2004. Il convient de relever que 4 PSSE ont été établis par les communes de Bora Bora, Papeete, Pirae et Moorea et que dans le cadre du programme PROTEGE (Projet régional océanien des Territoires pour la gestion durable des écosystèmes), 6 PSSE supplémentaires ont été finalisés (Rimatara, Paea, Tumaraa, Mahina, Hao et Tubuai). Grâce au projet PROTEGE, des outils d’aide et de communication ont également pu être réalisés et un atelier interrégional s’est tenu en avril 2024 pour présenter notamment les PSSE aux maires de Polynésie française.

    Le rapport 2023 et les cartes de qualité des eaux de consommation sont disponibles sous les liens suivants :

    1. Descriptif des ressources en eau et des travaux réalisés et programmés sur les réseaux de distribution par les communes de Polynésie française au 31 décembre 2023
    2. Carte présentant la qualité de l’eau distribuée à Tahiti et Moorea en 2023
    3. Carte présentant la qualité de l’eau distribuée aux îles Sous-le-Vent en 2023
    4. Carte présentant la qualité de l’eau distribuée aux Australes et Marquises en 2023
    5. Carte présentant la qualité de l’eau distribuée aux Tuamotu-Gambier en 2023
    6. Qualité des eaux distribuées par les réseaux publics de distribution en 2023
    7. Qualité des eaux distribuées par les fontaines publiques en 2023
    8. Qualité des ressources en eau exploitées en 2023
    9. Evolution de la qualité de l’eau par réseau public de distribution

    Qualité des eaux destinées à la consommation à Tahiti et dans les îles en 2023

    Le Centre de santé environnementale (CSE) de la Direction de la santé a poursuivi en 2023, sa mission de contrôle sanitaire de la qualité des eaux destinées à la consommation humaine distribuées par les réseaux et fontaines publics.

    En parallèle, 20 communes et le syndicat intercommunal Te Oropaa ont initié un programme de contrôle de la qualité de l’eau sur tout ou partie de leurs ressources, fontaines publiques et/ou réseaux de distribution et 7 communes des Tuamotu (Anaa, Arutua, Hao, Manihi, Rangiroa, Reao et Takaroa) ont initié leurs autocontrôles sur tout ou partie de leurs ressources et/ou fontaines à carte prépayée. Il est à relever les efforts mis en place par les communes éloignées pour lesquelles la logistique (du fait des faibles fréquences aériennes) est complexe et le coût de transport (du fait de l’éloignement) est plus important.

    Au total, 1584 prélèvements ont été effectués sur des réseaux de distribution, 29 prélèvements sur des fontaines de distribution à carte prépayée (Tuamotu), 313 prélèvements sur des fontaines publiques et 97 prélèvements sur des ressources.

    Les résultats de la qualité des eaux distribuées sont établis à partir de l’ensemble des résultats obtenus. Ils sont synthétisés dans les documents ci-joints et notamment sur les cartes ci-jointes.

    Il apparaît que 63% de la population a accès à l’eau potable en Polynésie française en 2023. Au sein de chaque archipel, la part de population ayant accès à l’eau potable est :

    – 69% aux Iles du Vent ;

    – 77% aux Iles Sous-le-Vent ;

    – 23% aux Australes ;

    – 1% aux Tuamotu-Gambier ;

    – 0% aux Marquises.

    Les principaux résultats sont les suivants :

    • En 2023, 12 communes ont distribué de l’eau potable sur l’ensemble de leur territoire : Arue, Faa’a, Mahina, Papeete, Pirae, Punaauia, Papara, Bora Bora, Huahine, Tumaraa, Taputapuatea et Uturoa.
    • 3 communes ont délivré de l’eau potable sur une partie de leur territoire : Taiarapu Est (réseaux Lucas, Hélène Auffray et Van Bastolaer), Moorea (réseaux Nuuroa, Papetoai, Temae, Maharepa 1 et 2 et Haumi) et Rurutu (réseaux Hauti et Moerai).
    • A Tahiti, l’excellente qualité de l’eau desservie dans la zone urbaine (sauf à Paea) et Papara se maintient. Concernant les communes de la zone rurale (hormis les réseaux Lucas, Hélène Auffray et Van Bastolaer de Taiarapu Est), l’eau distribuée est toujours non potable.
    • A Moorea, seuls 6 réseaux sur 22 sont potables. Néanmoins, leur extension régulière permet d’augmenter la part de la population ayant accès à l’eau potable d’année en année.
    • Aux îles Sous-le-Vent, la régularité de Bora Bora, Tumaraa et Uturoa dont l’eau est potable depuis 2017. Pour Taputapuatea la qualité de l’eau reste variable mais présente d’excellents résultats pour 2023, comme pour Huahine. La qualité de l’eau reste variable avec encore des non-conformités sur Tahaa.
    • Aux Australes, la qualité de l’eau reste variable, avec des efforts maintenus notamment sur Rurutu.
    • Quant aux archipels des Marquises et des Tuamotu-Gambier, encore beaucoup de mauvais résultats, voire l’absence d’analyses, qui imposent réglementairement de déclarer leurs eaux non potables.

    Les raisons de la mauvaise qualité de l’eau distribuée sont connues : l’utilisation exclusive de captages d’eaux superficielles, la mauvaise exploitation des installations de traitement d’eau potable, la vétusté des ouvrages existants, l’absence de traitement adapté et de désinfection des ressources, le non fonctionnement d’installations de traitement d’eau alors qu’elles ont été réceptionnées.

    Sur les 272 résultats non conformes relevés sur les réseaux, 261 (soit 96%) montraient la présence de germes témoins de contamination fécale. A noter que 128 analyses présentaient des Escherichia coli, bactéries pathogènes pour l’homme. 58 analyses (21%) présentaient des non-conformités physico-chimiques, et notamment une forte turbidité, signe du recours à des eaux de surface connues pour être vulnérables aux apports terrigènes.

    En 2023, sur les 23 fontaines publiques contrôlées (hors Tuamotu), seules les fontaines Papemato à Papara, Van Bastolaer et Hélène Auffray à Taiarapu Est et Temae, Paopao, Nuuroa, Afareaitu et Vaiare à Moorea ont délivré une eau potable. Pour certaines fontaines publiques pourtant équipées de systèmes de traitement de l’eau, les résultats s’avèrent variables et généralement non potables. C’est également le constat qui est fait aux Tuamotu sur les 23 fontaines à cartes prépayées contrôlées, bien que le peu de résultats ne permette pas de généraliser la situation.

    Les efforts et les investissements doivent se poursuivre. En outre, le recours à des outils d’aide peut également s’avérer utile, tels que la mise en œuvre des Plans de Sécurité Sanitaire des Eaux (PSSE), outil préconisé par l’OMS depuis 2004. Il convient de relever que 4 PSSE ont été établis par les communes de Bora Bora, Papeete, Pirae et Moorea et que dans le cadre du programme PROTEGE (Projet régional océanien des Territoires pour la gestion durable des écosystèmes), 6 PSSE supplémentaires ont été finalisés (Rimatara, Paea, Tumaraa, Mahina, Hao et Tubuai). Grâce au projet PROTEGE, des outils d’aide et de communication ont également pu être réalisés et un atelier interrégional s’est tenu en avril 2024 pour présenter notamment les PSSE aux maires de Polynésie française.

    Le rapport 2023 et les cartes de qualité des eaux de consommation sont disponibles sous les liens suivants :

    1. Descriptif des ressources en eau et des travaux réalisés et programmés sur les réseaux de distribution par les communes de Polynésie française au 31 décembre 2023
    2. Carte présentant la qualité de l’eau distribuée à Tahiti et Moorea en 2023
    3. Carte présentant la qualité de l’eau distribuée aux îles Sous-le-Vent en 2023
    4. Carte présentant la qualité de l’eau distribuée aux Australes et Marquises en 2023
    5. Carte présentant la qualité de l’eau distribuée aux Tuamotu-Gambier en 2023
    6. Qualité des eaux distribuées par les réseaux publics de distribution en 2023
    7. Qualité des eaux distribuées par les fontaines publiques en 2023
    8. Qualité des ressources en eau exploitées en 2023
    9. Evolution de la qualité de l’eau par réseau public de distribution
  • Réalisation d’une collecte de données de santé dites sensibles au domicile du participant pour le projet STEPS FENUA 2025

    OBJET : Réalisation d’une collecte de données de santé dites sensibles au domicile du participant pour le projet STEPS FENUA 2025

    PROCÉDURE : Procédure adaptée

    PUBLICATION LE : Jeudi 29 août 2024

    DATE ET HEURE LIMITES DE RÉCEPTION DES OFFRES : Vendredi 27 septembre 2024 à 11h00, heure de Papeete

    Consultation de l’appel public à la concurrence: cliquer ici

    Pour tout renseignement, contacter par email : pauline.lafarge@administration.gov.pf et marches-publics.dsp@administration.gov.pf

  • Prestations de sécurité et de gardiennage du centre médical de Bora Bora

    OBJET : Prestations de sécurité et de gardiennage du centre médical de Bora Bora

    PROCÉDURE : Appel d’offres ouvert

    PUBLICATION LE : Lundi 26 août 2024

    DATE ET HEURE LIMITES DE RÉCEPTION DES OFFRES : Vendredi 27 septembre 2024 à 11h00, heure de Papeete

    Consultation de l’appel public à la concurrence: cliquer ici

    Pour tout renseignement, contacter par email : pauline.lafarge@administration.gov.pf et marches-publics.dsp@administration.gov.pf

  • Prestations d’un éducateur spécialisé pour le centre d’accueil pour personnes âgées « Te Fare Matahiapo »

    OBJET : Prestations d’un éducateur spécialisé pour le centre d’accueil pour personnes âgées « Te Fare Matahiapo »

    PROCÉDURE : Procédure adaptée

    PUBLICATION LE : Lundi 12 août 2024

    DATE ET HEURE LIMITES DE RÉCEPTION DES OFFRES : Mardi 20 août 2024 à 12h00, heure de Papeete

    Consultation de l’appel public à la concurrence: cliquer ici

    Pour tout renseignement, contacter par email : gestion.taravao.dsp@administration.gov.pf

  • Construction du module administratif de l’hôpital de Taravao

    OBJET : Construction du module administratif de l’hôpital de Taravao

    PROCÉDURE : Procédure adaptée

    PUBLICATION LE : Lundi 12 août 2024

    DATE ET HEURE LIMITES DE RÉCEPTION DES OFFRES : Lundi 9 septembre 2024 à 11h00, heure de Papeete

    Consultation de l’appel public à la concurrence: cliquer ici

    Pour tout renseignement, contacter par email : marches-publics.dsp@administration.gov.pf et pauline.lafarge@administration.gov.pf

  • Bulletin de Surveillance Sanitaire (BSS) n°37/2023

    Données consolidées jusqu’à la semaine S39-2023

  • Bulletin de Surveillance Sanitaire (BSS) n°34/2023

    Données consolidées jusqu’à la semaine S36-2023

  • Bulletin de Surveillance Sanitaire (BSS) n°32/2023

    Données consolidées jusqu’à la semaine S33-2023