Annuaire des structures de la Direction de la santé
Une nouvelle organisation pour la Direction de la santé depuis 2004

Le Conseil des ministres a adopté le 26 août 2021 (Arrêté n° 1771 / CM) la nouvelle organisation de la direction de la santé.
Une démarche nécessaire après 17 ans
Afin de s’adapter aux nombreuses évolutions sanitaires et réglementaires, une nouvelle organisation structurelle de la Direction de la santé était indispensable. Madame Merehau MERVIN, Directrice de la santé, accompagnée de ses deux adjointes, Mesdames Karine VANNES et docteur Mathilde MELIN modernisent et donnent une nouvelle dynamique à la Direction de la santé et ses 1 100 agents répartis sur l’ensemble des archipels de la Polynésie française.
La Direction de la santé continue d’assurer ses missions
- La protection de la santé en matière de promotion et de prévention: elle est chargée de l’élaboration et de l’application des programmes, de la protection particulière de la santé des groupes à risque, de la santé environnementale et de la sécurité sanitaire.
- L’offre de soins de proximité : elle participe au service public hospitalier et assure les soins médicaux et paramédicaux qui comprennent les examens de diagnostic le traitement et les soins d’urgence.
- La formation professionnelle: elle assure la formation initiale aux professions paramédicales, la formation continue et l’enseignement professionnel de ses personnels médicaux et paramédicaux conformément à la réglementation en vigueur. Elle a un rôle d’orientation et de conseil à l’égard des étudiants qui suivent un enseignement médical et paramédical dans ou hors du territoire.
- La mise en œuvre et l’évaluation des programmes de santé publique.
Des changements qui devront être pris en considération par les usagers
Un nouvel organigramme fait apparaître : la création du Centre de lutte contre le rhumatisme articulaire aigu (RAA), du Centre de lutte contre la tuberculose (CLCT), et du Centre de coordination des dépistages des cancers (CCDC), le Centre de prévention et de soin des addictions (CPSA), anciennement nommé le Centre de consultations spécialisées d’alcoologie et toxicomanie (CSAT), le Bureau de santé environnementale (BSE), autrefois appelé le Centre d’hygiène et de salubrité publique (CHSP).
Une organisation à deux niveaux : administration centrale et échelon déconcentré
Pour favoriser l’action synergique et transversale, l’administration centrale de la Direction de la santé se composera désormais de trois départements :
I. Département de l’administration générale et de la planification (DAGP) :
-
- Bureau des ressources humaines et de la formation (BRHF) ;
- Bureau du budget, des finances, et du patrimoine (BBFP) ;
- Bureau des affaires juridiques (BAJ) ;
- Bureau du numérique et le Bureau de la qualité ;
II. Département de la sécurité sanitaire (DSS) :
-
- Bureau de veille sanitaire (BVS) ;
- Bureau de santé environnementale (BSE anciennement CHSP) ;
III. Département de santé publique et de modernisation des soins de santé primaire (DSSP) :
-
- Bureau des programmes de santé (BPS) ;
- Bureau d’étude et d’évaluation des programmes de santé (BEEPS) ;
La déconcentration de la Direction de la santé se décline comme suit :
I. Les Formations sanitaires de Tahiti Nui (FSTN), Tahiti Iti (FSTI), et Moorea – Maiao (FSMM) ;
II. Les Subdivisions santé des îles sous-le-vent (SSISLV), îles Marquises (SSIM), îles Australes (SSIA) et îles Tuamotu – Gambier (SSTG) ;
III. La Cellule de coordination du réseau des consultations spécialisées avancées (CSA)
IV. Les Cellules dénommées « Centre de consultations spécialisées » :
-
- Centre d’assistance médico-sociale précoce (CAMSP) ;
- Centre de protection maternelle et infantile (CPMI) ;
- Centre de santé scolaire (CSS) ;
- Centre de santé dentaire (CSD) ;
- Centre de prévention et de soin des addictions (CPSA) ;
- Centre médical de suivi (CMS) des anciens travailleurs civils et militaires des sites d’essais nucléaires et des populations vivant ou ayant vécu à proximité des sites de ces sites ;
- Centre des maladies infectieuses et tropicales (CMIT) ;
- Centre de lutte contre le rhumatisme articulaire aigu (RAA) ;
- Centre de lutte contre la tuberculose (CLCT) ;
- Centre de coordination des dépistages des cancers (CCDC) ;
V. La section supports opérationnels et expertise regroupant :
-
- La Cellule biomédicale (CBM) et la Pharmacie d’approvisionnement (PHAR) ;
VI. L’Institut de formation des professions de santé Mathilde Frébault (IFPS – MF) ;
Organigramme de la Direction de la santé 2021
La Direction de la santé renouvelle son organisation

Le Conseil des ministres a adopté le 26 août 2021 (Arrêté n° 1771 / CM) la nouvelle organisation de la direction de la santé.
Une démarche nécessaire après 17 ans
Afin de s’adapter aux nombreuses évolutions sanitaires et réglementaires, une nouvelle organisation structurelle de la Direction de la santé était indispensable. Madame Merehau MERVIN, Directrice de la santé, accompagnée de ses deux adjointes, Mesdames Karine VANNES et docteur Mathilde MELIN modernisent et donnent une nouvelle dynamique à la Direction de la santé et ses 1 100 agents répartis sur l’ensemble des archipels de la Polynésie française.
La Direction de la santé continue d’assurer ses missions
- La protection de la santé en matière de promotion et de prévention: elle est chargée de l’élaboration et de l’application des programmes, de la protection particulière de la santé des groupes à risque, de la santé environnementale et de la sécurité sanitaire.
- L’offre de soins de proximité : elle participe au service public hospitalier et assure les soins médicaux et paramédicaux qui comprennent les examens de diagnostic le traitement et les soins d’urgence.
- La formation professionnelle: elle assure la formation initiale aux professions paramédicales, la formation continue et l’enseignement professionnel de ses personnels médicaux et paramédicaux conformément à la réglementation en vigueur. Elle a un rôle d’orientation et de conseil à l’égard des étudiants qui suivent un enseignement médical et paramédical dans ou hors du territoire.
- La mise en œuvre et l’évaluation des programmes de santé publique.
Des changements qui devront être pris en considération par les usagers
Un nouvel organigramme fait apparaître : la création du Centre de lutte contre le rhumatisme articulaire aigu (RAA), du Centre de lutte contre la tuberculose (CLCT), et du Centre de coordination des dépistages des cancers (CCDC), le Centre de prévention et de soin des addictions (CPSA), anciennement nommé le Centre de consultations spécialisées d’alcoologie et toxicomanie (CSAT), le Bureau de santé environnementale (BSE), autrefois appelé le Centre d’hygiène et de salubrité publique (CHSP).
Une organisation à deux niveaux : administration centrale et échelon déconcentré
Pour favoriser l’action synergique et transversale, l’administration centrale de la Direction de la santé se composera désormais de trois départements :
I. Département de l’administration générale et de la planification (DAGP) :
-
- Bureau des ressources humaines et de la formation (BRHF) ;
- Bureau du budget, des finances, et du patrimoine (BBFP) ;
- Bureau des affaires juridiques (BAJ) ;
- Bureau du numérique et le Bureau de la qualité ;
II. Département de la sécurité sanitaire (DSS) :
-
- Bureau de veille sanitaire (BVS) ;
- Bureau de santé environnementale (BSE anciennement CHSP) ;
III. Département de santé publique et de modernisation des soins de santé primaire (DSSP) :
-
- Bureau des programmes de santé (BPS) ;
- Bureau d’étude et d’évaluation des programmes de santé (BEEPS) ;
La déconcentration de la Direction de la santé se décline comme suit :
I. Les Formations sanitaires de Tahiti Nui (FSTN), Tahiti Iti (FSTI), et Moorea – Maiao (FSMM) ;
II. Les Subdivisions santé des îles sous-le-vent (SSISLV), îles Marquises (SSIM), îles Australes (SSIA) et îles Tuamotu – Gambier (SSTG) ;
III. La Cellule de coordination du réseau des consultations spécialisées avancées (CSA)
IV. Les Cellules dénommées « Centre de consultations spécialisées » :
-
- Centre d’assistance médico-sociale précoce (CAMSP) ;
- Centre de protection maternelle et infantile (CPMI) ;
- Centre de santé scolaire (CSS) ;
- Centre de santé dentaire (CSD) ;
- Centre de prévention et de soin des addictions (CPSA) ;
- Centre médical de suivi (CMS) des anciens travailleurs civils et militaires des sites d’essais nucléaires et des populations vivant ou ayant vécu à proximité des sites de ces sites ;
- Centre des maladies infectieuses et tropicales (CMIT) ;
- Centre de lutte contre le rhumatisme articulaire aigu (RAA) ;
- Centre de lutte contre la tuberculose (CLCT) ;
- Centre de coordination des dépistages des cancers (CCDC) ;
V. La section supports opérationnels et expertise regroupant :
-
- La Cellule biomédicale (CBM) et la Pharmacie d’approvisionnement (PHAR) ;
VI. L’Institut de formation des professions de santé Mathilde Frébault (IFPS – MF) ;
Organigramme de la Direction de la santé 2021
Lancement de la campagne Octobre Rose 2021

Du 1er au 31 octobre 2021, la campagne Octobre Rose mettra en scène cinq profils de femmes différents face à la décision de faire sa radio titi. Grâce à un nouveau format de communication, le message de prévention sera scénarisé et permettra de mettre en avant les ressources individuelles que chaque femme peut mobiliser pour aller faire son dépistage du cancer du sein.
Le Ministère de la santé, en charge de la prévention, et la Direction de la santé de la Polynésie française lancent cette année encore, et durant tout le mois d’octobre 2021, une campagne de communication, d’information et de sensibilisation autour du cancer du sein : Octobre Rose. C’est l’occasion de soutenir les femmes atteintes du cancer du sein et de mobiliser chacun autour de la lutte contre le cancer du sein. Octobre Rose est aussi l’occasion de rappeler à chaque femme âgée de 50 à 74 ans qu’elle peut agir pour sa santé, toute l’année, en participant au dépistage du cancer du sein.
En Polynésie française, le cancer du sein est le cancer le plus fréquent chez la femme avec en moyenne 135 nouveaux cas par an. Il reste la première cause de décès par cancer chez la femme. Avec un dépistage précoce, le cancer du sein peut être soigné avec des traitements moins lourds engendrant des séquelles moins graves.
Objectifs d’Octobre Rose 2021 – La campagne Octobre Rose 2021 vise, comme chaque année, à inciter les femmes ciblées par le dépistage du cancer du sein à y participer. Plus spécifiquement, la campagne 2021 aura pour vocation, par la mise en scène de différentes situations, de mettre en exergue les ressources que chaque femme a en elle afin d’agir pour sa santé et aller se faire dépister.
Notre message – « quelque soit ce qui te freine, tu peux trouver en toi les ressources pour le faire. Fais ta radio titi ! »
Nos actions 2021 – La campagne de communication radio et TV : la nouvelle campagne de communication utilise les techniques innovantes de la narration : grâce à 5 films courts, 5 profils de femmes différents (identifiés en amont par une enquête qualitative auprès de la population de femmes de Tahiti et Moorea) sont présentés. Cinq femmes dont le quotidien est mis en scène. Cinq femmes qui, pour des raisons différentes, reculent le rendez-vous pour leur dépistage du cancer du sein. Cinq femmes qui vont finir par trouver en elles les ressources nécessaires pour participer au dépistage du cancer du sein.
L’objectif est de provoquer l’identification au personnage du film, d’induire des émotions et ainsi provoquer un changement en montrant l’exemple. Comme le personnage principal, les femmes pourraient mobiliser leurs propres ressources pour agir pour leur santé et aller se faire dépister. Les femmes ont en elles les moyens d’agir pour leur santé.
La journée de mobilisation « tous concernés, tous en rose » et le concours photos : C’est la troisième année consécutive que la Direction de la santé donne rendez-vous à toute la population au mois d’octobre pour une journée de mobilisation « tous concernés, tous en rose ». Cette année 2021, mobilisons-nous le vendredi 08 octobre 2021 et mettons du rose dans cette journée. Alors tous en rose !
Partageons notre soutien en faveur de la lutte contre le cancer du sein en postant une photo de cette journée sur notre page facebook avec le #TousEnRosePf2021 ! Et pour plus de fun, il est possible de participer au concours photos lors de cette journée grâce à notre partenariat avec Fenua’Orama. Pour participer, il suffit d’ajouter le #OctobreRosePf2021 à sa publication. La photo gagnante sera publiée dans le Fenua’Orama de novembre 2021. Attention : Les photos doivent être prises dans le plus grand respect des mesures barrières !

La campagne d’information grand public cross media : deux publireportages afin de promouvoir le dépistage du cancer du sein dans la presse écrite seront publiés dans les numéros d’octobre 2021 d’Hine magazine et de Fenua’Orama. Des messages de promotion de la radio titi seront diffusés sur le
web, et par affichages urbains.L’émission Ea’ctus, magazine TV sur le thème de la prévention, sera diffusé sur TNTV et Polynésie la Première. Dès la deuxième semaine d’Octobre, 3 émissions autour du thème du cancer du sein et son dépistage seront proposées.
Durant tout le mois d’octobre, la page facebook Ea’ttitude sera entièrement consacrée à Octobre Rose.
Nos structures se mobilisent dans tous les archipels : comme tous les ans et en fonction de l’évolution de la crise sanitaire actuelle, nos structures de santé proposerons des ateliers, des journées dédiées, des points d’informations et des actions de sensibilisation dans chaque archipel pour informer sur le dépistage du cancer du sein (la population de Tahiti et ses îles peut se renseigner auprès des structures de santé sur place : dispensaires, centres médicaux, cellules de promotion de santé, Centre de consultations spécialisées en protection maternelle et infantile (CCSPMI), etc.).
La mobilisation de nos partenaires et des associations : cette année encore nous mettrons en valeur via notre page facebook Ea’ttitude le travail des associations et la mobilisation de nos partenaires dans la lutte contre le cancer du sein (activités de sensibilisation et d’information, initiatives diverses dans le domaine privé et public, port du nœud rose dans les entreprises, mobilisation en tout genre, etc.).
Pourquoi le dépistage du cancer du sein s’adresse aux femmes de 50 à 74 ans alors que le cancer du sein peut survenir en dehors de cette tranche d’âge ?
En Polynésie française, le cancer du sein chez la femme se développe autour de 55–60 ans. Le risque d’avoir un cancer du sein augmente avec l’âge même s’il peut atteindre des femmes à des âges très différents. 60% des femmes polynésiennes touchées par un cancer du sein ont entre 50 ans et 74 ans.
Les femmes âgées entre 50 et 74 ans sont donc invitées à réaliser, tous les 2 ans, une mammographie de dépistage. Celle–ci, ainsi que l’échographie lorsqu’elle s’avère nécessaire, sont prises en charge à 100%, sans avance de frais, par la Direction de la santé. Pour toutes les femmes à partir de 25 ans, un examen clinique annuel des seins réalisé par un professionnel de santé est recommandé.
Lancement de la campagne Octobre Rose 2021

Du 1er au 31 octobre 2021, la campagne Octobre Rose mettra en scène cinq profils de femmes différents face à la décision de faire sa radio titi. Grâce à un nouveau format de communication, le message de prévention sera scénarisé et permettra de mettre en avant les ressources individuelles que chaque femme peut mobiliser pour aller faire son dépistage du cancer du sein.
Le Ministère de la santé, en charge de la prévention, et la Direction de la santé de la Polynésie française lancent cette année encore, et durant tout le mois d’octobre 2021, une campagne de communication, d’information et de sensibilisation autour du cancer du sein : Octobre Rose. C’est l’occasion de soutenir les femmes atteintes du cancer du sein et de mobiliser chacun autour de la lutte contre le cancer du sein. Octobre Rose est aussi l’occasion de rappeler à chaque femme âgée de 50 à 74 ans qu’elle peut agir pour sa santé, toute l’année, en participant au dépistage du cancer du sein.
En Polynésie française, le cancer du sein est le cancer le plus fréquent chez la femme avec en moyenne 135 nouveaux cas par an. Il reste la première cause de décès par cancer chez la femme. Avec un dépistage précoce, le cancer du sein peut être soigné avec des traitements moins lourds engendrant des séquelles moins graves.
Objectifs d’Octobre Rose 2021 – La campagne Octobre Rose 2021 vise, comme chaque année, à inciter les femmes ciblées par le dépistage du cancer du sein à y participer. Plus spécifiquement, la campagne 2021 aura pour vocation, par la mise en scène de différentes situations, de mettre en exergue les ressources que chaque femme a en elle afin d’agir pour sa santé et aller se faire dépister.
Notre message – « quelque soit ce qui te freine, tu peux trouver en toi les ressources pour le faire. Fais ta radio titi ! »
Nos actions 2021 – La campagne de communication radio et TV : la nouvelle campagne de communication utilise les techniques innovantes de la narration : grâce à 5 films courts, 5 profils de femmes différents (identifiés en amont par une enquête qualitative auprès de la population de femmes de Tahiti et Moorea) sont présentés. Cinq femmes dont le quotidien est mis en scène. Cinq femmes qui, pour des raisons différentes, reculent le rendez-vous pour leur dépistage du cancer du sein. Cinq femmes qui vont finir par trouver en elles les ressources nécessaires pour participer au dépistage du cancer du sein.
L’objectif est de provoquer l’identification au personnage du film, d’induire des émotions et ainsi provoquer un changement en montrant l’exemple. Comme le personnage principal, les femmes pourraient mobiliser leurs propres ressources pour agir pour leur santé et aller se faire dépister. Les femmes ont en elles les moyens d’agir pour leur santé.
La journée de mobilisation « tous concernés, tous en rose » et le concours photos : C’est la troisième année consécutive que la Direction de la santé donne rendez-vous à toute la population au mois d’octobre pour une journée de mobilisation « tous concernés, tous en rose ». Cette année 2021, mobilisons-nous le vendredi 08 octobre 2021 et mettons du rose dans cette journée. Alors tous en rose !
Partageons notre soutien en faveur de la lutte contre le cancer du sein en postant une photo de cette journée sur notre page facebook avec le #TousEnRosePf2021 ! Et pour plus de fun, il est possible de participer au concours photos lors de cette journée grâce à notre partenariat avec Fenua’Orama. Pour participer, il suffit d’ajouter le #OctobreRosePf2021 à sa publication. La photo gagnante sera publiée dans le Fenua’Orama de novembre 2021. Attention : Les photos doivent être prises dans le plus grand respect des mesures barrières !

La campagne d’information grand public cross media : deux publireportages afin de promouvoir le dépistage du cancer du sein dans la presse écrite seront publiés dans les numéros d’octobre 2021 d’Hine magazine et de Fenua’Orama. Des messages de promotion de la radio titi seront diffusés sur le
web, et par affichages urbains.L’émission Ea’ctus, magazine TV sur le thème de la prévention, sera diffusé sur TNTV et Polynésie la Première. Dès la deuxième semaine d’Octobre, 3 émissions autour du thème du cancer du sein et son dépistage seront proposées.
Durant tout le mois d’octobre, la page facebook Ea’ttitude sera entièrement consacrée à Octobre Rose.
Nos structures se mobilisent dans tous les archipels : comme tous les ans et en fonction de l’évolution de la crise sanitaire actuelle, nos structures de santé proposerons des ateliers, des journées dédiées, des points d’informations et des actions de sensibilisation dans chaque archipel pour informer sur le dépistage du cancer du sein (la population de Tahiti et ses îles peut se renseigner auprès des structures de santé sur place : dispensaires, centres médicaux, cellules de promotion de santé, Centre de consultations spécialisées en protection maternelle et infantile (CCSPMI), etc.).
La mobilisation de nos partenaires et des associations : cette année encore nous mettrons en valeur via notre page facebook Ea’ttitude le travail des associations et la mobilisation de nos partenaires dans la lutte contre le cancer du sein (activités de sensibilisation et d’information, initiatives diverses dans le domaine privé et public, port du nœud rose dans les entreprises, mobilisation en tout genre, etc.).
Pourquoi le dépistage du cancer du sein s’adresse aux femmes de 50 à 74 ans alors que le cancer du sein peut survenir en dehors de cette tranche d’âge ?
En Polynésie française, le cancer du sein chez la femme se développe autour de 55–60 ans. Le risque d’avoir un cancer du sein augmente avec l’âge même s’il peut atteindre des femmes à des âges très différents. 60% des femmes polynésiennes touchées par un cancer du sein ont entre 50 ans et 74 ans.
Les femmes âgées entre 50 et 74 ans sont donc invitées à réaliser, tous les 2 ans, une mammographie de dépistage. Celle–ci, ainsi que l’échographie lorsqu’elle s’avère nécessaire, sont prises en charge à 100%, sans avance de frais, par la Direction de la santé. Pour toutes les femmes à partir de 25 ans, un examen clinique annuel des seins réalisé par un professionnel de santé est recommandé.
Campagne de vaccination à Tureia, Pukarua et Vahitahi
Après avoir poursuivi la campagne de vaccination jeudi dernier sur l’atoll de Nukutavake, des agents de la Direction de la santé publique se sont rendus, vendredi et samedi dans 3 autres atolls de l’archipel des Tuamotu, à savoir Tureia, Pukarua et Vahitahi.
La population de Tureia est venue ce vendredi plus nombreux qu’en mai dernier, puisque 44 personnes ont été vaccinées au Janssen et 13 au Pfizer. En comptabilisant les 37 vaccinés en mai dernier, le taux vaccinal des plus de 18 ans sur cette île est désormais de 59 %.
Pour l’atoll de Pukarua, 128 habitants avaient été vaccinés lors de la première campagne en juin dernier. Vendredi, les agents de la santé publique ont vacciné 29 personnes au Janssen et 15 au Pfizer, avec donc un taux vaccinal « record » de 96% pour cette île.
Au terme de la mission effectuée sur l’île de Vahitahi en juin dernier avec la frégate militaire « Prairial », les infirmiers de la subdivision des Tuamotu-Gambier n’avaient vacciné que 2 habitants seulement. Ce samedi, le nombre de volontaires à la vaccination covid-19 a été nettement plus important puisque 20 personnes ont été vaccinées au Janssen et 12 au Pfizer. Le taux vaccinal sur cette île est désormais de 65%.
La Direction de la Santé et le subdivisionnaire santé des Tuamotu-Gambier, le docteur François Laudon, tiennent à remercier les conseils municipaux de Nukutavake, Tureia, Pukarua et Vahitahi d’avoir apporté leur soutien efficace à cette seconde campagne vaccinale.
La Santé publique remercie les tavana d’aider les auxiliaires de santé dans leur travail quotidien pour le bien être de la population.
Vaccination à Tureia
Vaccination à Pukarua
Vaccination à Vahitahi
Vaccination à Nukutavake
Campagne de vaccination à Tureia, Pukarua et Vahitahi
Après avoir poursuivi la campagne de vaccination jeudi dernier sur l’atoll de Nukutavake, des agents de la Direction de la santé publique se sont rendus, vendredi et samedi dans 3 autres atolls de l’archipel des Tuamotu, à savoir Tureia, Pukarua et Vahitahi.
La population de Tureia est venue ce vendredi plus nombreux qu’en mai dernier, puisque 44 personnes ont été vaccinées au Janssen et 13 au Pfizer. En comptabilisant les 37 vaccinés en mai dernier, le taux vaccinal des plus de 18 ans sur cette île est désormais de 59 %.
Pour l’atoll de Pukarua, 128 habitants avaient été vaccinés lors de la première campagne en juin dernier. Vendredi, les agents de la santé publique ont vacciné 29 personnes au Janssen et 15 au Pfizer, avec donc un taux vaccinal « record » de 96% pour cette île.
Au terme de la mission effectuée sur l’île de Vahitahi en juin dernier avec la frégate militaire « Prairial », les infirmiers de la subdivision des Tuamotu-Gambier n’avaient vacciné que 2 habitants seulement. Ce samedi, le nombre de volontaires à la vaccination covid-19 a été nettement plus important puisque 20 personnes ont été vaccinées au Janssen et 12 au Pfizer. Le taux vaccinal sur cette île est désormais de 65%.
La Direction de la Santé et le subdivisionnaire santé des Tuamotu-Gambier, le docteur François Laudon, tiennent à remercier les conseils municipaux de Nukutavake, Tureia, Pukarua et Vahitahi d’avoir apporté leur soutien efficace à cette seconde campagne vaccinale.
La Santé publique remercie les tavana d’aider les auxiliaires de santé dans leur travail quotidien pour le bien être de la population.
Vaccination à Tureia
Vaccination à Pukarua
Vaccination à Vahitahi
Vaccination à Nukutavake
Changement des lieux de vaccination à Moorea
Depuis le vendredi 24 septembre, les personnes souhaitant se faire vacciner à Moorea sont invitées à se rendre dans les nouveaux lieux de vaccination prévus par la Direction de la santé.
Le centre de vaccination de Afareaitu est ouvert du lundi au vendredi 8h-17h et le samedi de 10h à 15h à l’hôpital de Afareaitu. Le vaccin proposé est le PFIZER.
Concernant les lieux en dehors de l’hôpital :
- Au dispensaire de Papetoai, les vaccins JANSSEN et PFIZER sont proposés, les lundis de 8h à 12h.
- À la salle omnisports de Haapiti, les vaccins Janssen et PFIZER sont aussi proposés, les mercredis de 8h à 12h.
- Au centre commercial de Maharepa, seul le vaccin PFIZER est proposé, les vendredis de 8h à 12h.
De plus, une équipe mobile sillonne les quartiers tout autour de l’île du lundi au vendredi.
Changement des lieux de vaccination à Moorea
Depuis le vendredi 24 septembre, les personnes souhaitant se faire vacciner à Moorea sont invitées à se rendre dans les nouveaux lieux de vaccination prévus par la Direction de la santé.
Le centre de vaccination de Afareaitu est ouvert du lundi au vendredi 8h-17h et le samedi de 10h à 15h à l’hôpital de Afareaitu. Le vaccin proposé est le PFIZER.
Concernant les lieux en dehors de l’hôpital :
- Au dispensaire de Papetoai, les vaccins JANSSEN et PFIZER sont proposés, les lundis de 8h à 12h.
- À la salle omnisports de Haapiti, les vaccins Janssen et PFIZER sont aussi proposés, les mercredis de 8h à 12h.
- Au centre commercial de Maharepa, seul le vaccin PFIZER est proposé, les vendredis de 8h à 12h.
De plus, une équipe mobile sillonne les quartiers tout autour de l’île du lundi au vendredi.
Poursuite de la campagne de vaccination aux Tuamotu
Les agents de la Direction de la Santé ont entamé, jeudi 23 septembre, à Nukutavake, une nouvelle mission de vaccination de la population dans l’archipel des Tuamotu.
La mission, menée par le docteur François Laudon, subdivisionnaire santé des Tuamotu-Gambier, est arrivée jeudi, à la mi-journée, sur l’atoll de Nukutavake.
Pour rappel, une première campagne vaccinale Covid-19 a été mise en place dans l’archipel des Tuamotu-Gambier, la mission Ora Ora, en mai et juin derniers, avec la mise à disposition d’importants moyens logistiques militaires (aéronefs de type Gardian, Casa, et la frégate Prairial). Le 4 juin, 58 habitants de cet archipel avaient ainsi été vaccinés.
Pour l’opération de jeudi, la commune de Nukutavake avait installé un chapiteau devant l’abri de survie afin d’accueillir les volontaires à la vaccination. 26 habitants ont reçu une primo vaccination au Janssen et 12 autres, âgés de plus de 60 ans et porteurs de pathologies chroniques, ont reçu leur 2ème rappel de Pfizer. Avec les deux campagnes vaccinales depuis juin, la Direction de la Santé estime avoir vacciné 75% de la population de cette île âgée de plus de 18 ans.
L’équipe médicale sera vendredi à Tureia et Pukarua afin de continuer cette opération de vaccination.
Source officielle : https://www.presidence.pf/poursuite-de-la-campagne-de-vaccination-aux-tuamotu/
Poursuite de la campagne de vaccination aux Tuamotu
Les agents de la Direction de la Santé ont entamé, jeudi 23 septembre, à Nukutavake, une nouvelle mission de vaccination de la population dans l’archipel des Tuamotu.
La mission, menée par le docteur François Laudon, subdivisionnaire santé des Tuamotu-Gambier, est arrivée jeudi, à la mi-journée, sur l’atoll de Nukutavake.
Pour rappel, une première campagne vaccinale Covid-19 a été mise en place dans l’archipel des Tuamotu-Gambier, la mission Ora Ora, en mai et juin derniers, avec la mise à disposition d’importants moyens logistiques militaires (aéronefs de type Gardian, Casa, et la frégate Prairial). Le 4 juin, 58 habitants de cet archipel avaient ainsi été vaccinés.
Pour l’opération de jeudi, la commune de Nukutavake avait installé un chapiteau devant l’abri de survie afin d’accueillir les volontaires à la vaccination. 26 habitants ont reçu une primo vaccination au Janssen et 12 autres, âgés de plus de 60 ans et porteurs de pathologies chroniques, ont reçu leur 2ème rappel de Pfizer. Avec les deux campagnes vaccinales depuis juin, la Direction de la Santé estime avoir vacciné 75% de la population de cette île âgée de plus de 18 ans.
L’équipe médicale sera vendredi à Tureia et Pukarua afin de continuer cette opération de vaccination.
Source officielle : https://www.presidence.pf/poursuite-de-la-campagne-de-vaccination-aux-tuamotu/
Retour sur le passage du vaccinodrome à Amanu dans les Tuamotu Gambier
Du jeudi 9 au samedi 11 septembre 2021, un vaccinodrome a été mis en place sur l’île de Amanu et a permis de vacciner 53 personnes contre la COVID-19.
Depuis le mois d’août, les 3 vaccinodromes mis en place sur l’île de Hao ont permis de vacciner plus de 210 personnes. Yseult BUTCHER, maire de HAO et François TAKAMOANA, maire de AMANU ont ainsi sollicité le subdivisionnaire santé des TG, François Laudon pour la mise en place d’un vaccinodrome à AMANU.
Du jeudi 9 au samedi 11 septembre 2021, le Dr JAM Olivier médecin itinérant accompagné de Priscilla TAPAKIA ASP de HAO et Maire BROTHERSON infirmière de promotion de santé du DTG de TAHITI se sont déplacés par KAU sur Amanu.
Cette mission a permis de vacciner 53 habitants contre la COVID mais aussi de réaliser une vingtaine de consultations médicales dont 10 suivis de pathologies chroniques et de tenir une réunion de sensibilisation des habitants d’AMANU sur le thème de la promotion de la santé.
Félicitations à l’équipe médicale de HAO et AMANU pour cette action communautaire.
Retour sur le passage du vaccinodrome à Amanu dans les Tuamotu Gambier
Du jeudi 9 au samedi 11 septembre 2021, un vaccinodrome a été mis en place sur l’île de Amanu et a permis de vacciner 53 personnes contre la COVID-19.
Depuis le mois d’août, les 3 vaccinodromes mis en place sur l’île de Hao ont permis de vacciner plus de 210 personnes. Yseult BUTCHER, maire de HAO et François TAKAMOANA, maire de AMANU ont ainsi sollicité le subdivisionnaire santé des TG, François Laudon pour la mise en place d’un vaccinodrome à AMANU.
Du jeudi 9 au samedi 11 septembre 2021, le Dr JAM Olivier médecin itinérant accompagné de Priscilla TAPAKIA ASP de HAO et Maire BROTHERSON infirmière de promotion de santé du DTG de TAHITI se sont déplacés par KAU sur Amanu.
Cette mission a permis de vacciner 53 habitants contre la COVID mais aussi de réaliser une vingtaine de consultations médicales dont 10 suivis de pathologies chroniques et de tenir une réunion de sensibilisation des habitants d’AMANU sur le thème de la promotion de la santé.
Félicitations à l’équipe médicale de HAO et AMANU pour cette action communautaire.
eCovid-Pf : Devenez acteur de votre santé et de la surveillance de la vaccination contre la Covid-19 au fenua

La Direction de la santé lance une enquête confidentielle et anonyme sur le vécu et le ressenti de la population polynésienne concernant la Covid-19 et la vaccination. Elle concerne les personnes âgées de 15 ans ou plus, résidant actuellement en Polynésie française.
L’objectif de cette enquête est de comprendre comment la Covid-19, ainsi que la vaccination pour lutter contre la Covid-19, sont vécues et ressenties par la population de la Polynésie française.
Cette enquête est réalisée sur le site internet de la Direction de la santé au moyen d’un questionnaire regroupant des informations sur tes caractéristiques, la situation de ton foyer, ta perception de la Covid-19 et de la vaccination et ton état de santé. Les données recueillies sont traitées sur la base de ton consentement.
Toute personne est libre de participer ou non à cette enquête. Les réponses seront traitées de manière anonyme par la Direction de la santé et conservées de manière sécurisée, dans le respect de la législation informatique et libertés. Vos informations sont strictement réservées à cette enquête de la Direction de la santé et ne seront communiquées à aucun autre organisme.
Comme pour les enquêtes précédentes, les résultats de cette enquête feront l’objet d’un rapport consultable librement sur le site internet de la Direction de la santé.
eCovid-Pf : Devenez acteur de votre santé et de la surveillance de la vaccination contre la Covid-19 au fenua

La Direction de la santé lance une enquête confidentielle et anonyme sur le vécu et le ressenti de la population polynésienne concernant la Covid-19 et la vaccination. Elle concerne les personnes âgées de 15 ans ou plus, résidant actuellement en Polynésie française.
L’objectif de cette enquête est de comprendre comment la Covid-19, ainsi que la vaccination pour lutter contre la Covid-19, sont vécues et ressenties par la population de la Polynésie française.
Cette enquête est réalisée sur le site internet de la Direction de la santé au moyen d’un questionnaire regroupant des informations sur tes caractéristiques, la situation de ton foyer, ta perception de la Covid-19 et de la vaccination et ton état de santé. Les données recueillies sont traitées sur la base de ton consentement.
Toute personne est libre de participer ou non à cette enquête. Les réponses seront traitées de manière anonyme par la Direction de la santé et conservées de manière sécurisée, dans le respect de la législation informatique et libertés. Vos informations sont strictement réservées à cette enquête de la Direction de la santé et ne seront communiquées à aucun autre organisme.
Comme pour les enquêtes précédentes, les résultats de cette enquête feront l’objet d’un rapport consultable librement sur le site internet de la Direction de la santé.
Dons de denrées alimentaires aux personnels mobilisés contre la COVID-19

Dans un élan de solidarité, nombreuses sont les personnes et les enseignes à faire des dons de denrées alimentaires aux équipes médicales et administratives mobilisées dans la gestion de la crise sanitaire actuelle.
Ces intentions sont louables et cette générosité est très appréciée par les personnes qui se mobilisent face à cette épidémie.
Toutefois, la préparation de denrées alimentaires n’est pas sans risques, en particulier pour les produits d’origine animale (viandes, poissons, lait & crèmes, œufs…). Les bactéries et toxines transmissibles par les aliments ne sont pas confinées.
Une intoxication alimentaire peut aggraver les symptômes de la Covid-19 et impacter le personnel mobilisé.
Si vous souhaitez faire des dons alimentaires, il est donc conseillé de prendre toutes les précautions nécessaires afin d’offrir des aliments sans danger.
Lors de la préparation :
- respecter une hygiène stricte des locaux, du matériel, du personnel ;
- privilégier les portions individuelles, qui peuvent être rapidement consommées.
Lors de la livraison :
- utiliser des contenants propres et adaptés :
- glacières, norvégiennes, cambros propres pour garder au froid ou au chaud les préparations ;
- bacs en plastiques ou caisses propres pour les fruits et légumes bruts, ou pour les aliments stables à température ambiante, bien emballés.
- respecter les températures de conservation et faire des relevés de température pour s’en assurer :
- les produits réfrigérés entre 0 et + 4° C ;
- les plats chauds à + de 65° C.
Les professionnels sont invités à présenter aux personnes réceptionnant les dons leur numéro d’autorisation d’hygiène ou récépissé de déclaration auprès du Centre d’hygiène et de salubrité publique.
Les particuliers qui souhaitent contribuer à la solidarité par ce moyen sont invités à ne proposer que des denrées stables à température ambiante : biscuits secs / cookies, cakes et gâteaux beurre / éponge (sans crèmes), gaufres, fruits entiers etc.
Le moindre doute doit vous conduire à renoncer à votre don. La plus grande vigilance est attendue de tous, pour préserver la santé de chacun.
Toutes les informations sur les bonnes pratiques d’hygiène et sur les modalités de déclaration sont consultables sur le site internet du Centre d’hygiène et de salubrité publique :
http://www.hygiene-publique.gov.pf/
Le Centre d’hygiène et de salubrité publique (CHSP) reste ouvert pendant cette période de confinement, l’accueil téléphonique (Tel : 40 503 747) et courriel (chsp@sante.gov.pf) est privilégié.
Dons de denrées alimentaires aux personnels mobilisés contre la COVID-19

Dans un élan de solidarité, nombreuses sont les personnes et les enseignes à faire des dons de denrées alimentaires aux équipes médicales et administratives mobilisées dans la gestion de la crise sanitaire actuelle.
Ces intentions sont louables et cette générosité est très appréciée par les personnes qui se mobilisent face à cette épidémie.
Toutefois, la préparation de denrées alimentaires n’est pas sans risques, en particulier pour les produits d’origine animale (viandes, poissons, lait & crèmes, œufs…). Les bactéries et toxines transmissibles par les aliments ne sont pas confinées.
Une intoxication alimentaire peut aggraver les symptômes de la Covid-19 et impacter le personnel mobilisé.
Si vous souhaitez faire des dons alimentaires, il est donc conseillé de prendre toutes les précautions nécessaires afin d’offrir des aliments sans danger.
Lors de la préparation :
- respecter une hygiène stricte des locaux, du matériel, du personnel ;
- privilégier les portions individuelles, qui peuvent être rapidement consommées.
Lors de la livraison :
- utiliser des contenants propres et adaptés :
- glacières, norvégiennes, cambros propres pour garder au froid ou au chaud les préparations ;
- bacs en plastiques ou caisses propres pour les fruits et légumes bruts, ou pour les aliments stables à température ambiante, bien emballés.
- respecter les températures de conservation et faire des relevés de température pour s’en assurer :
- les produits réfrigérés entre 0 et + 4° C ;
- les plats chauds à + de 65° C.
Les professionnels sont invités à présenter aux personnes réceptionnant les dons leur numéro d’autorisation d’hygiène ou récépissé de déclaration auprès du Centre d’hygiène et de salubrité publique.
Les particuliers qui souhaitent contribuer à la solidarité par ce moyen sont invités à ne proposer que des denrées stables à température ambiante : biscuits secs / cookies, cakes et gâteaux beurre / éponge (sans crèmes), gaufres, fruits entiers etc.
Le moindre doute doit vous conduire à renoncer à votre don. La plus grande vigilance est attendue de tous, pour préserver la santé de chacun.
Toutes les informations sur les bonnes pratiques d’hygiène et sur les modalités de déclaration sont consultables sur le site internet du Centre d’hygiène et de salubrité publique :
http://www.hygiene-publique.gov.pf/
Le Centre d’hygiène et de salubrité publique (CHSP) reste ouvert pendant cette période de confinement, l’accueil téléphonique (Tel : 40 503 747) et courriel (chsp@sante.gov.pf) est privilégié.
Mise en place d’une ligne d’écoute et de soutien psychologique pour les personnes impactées par la crise de la COVID-19

La Direction de la santé lance un numéro vert – 40 46 00 47 – gratuit et anonyme pour les personnes en souffrance et impactées par la crise de la COVID-19. La plateforme d’écoute téléphonique est assurée du lundi au vendredi de 8h00 à 18h00.
La mise en œuvre d’une démarche proactive : une stratégie de prévention primaire
La crise sanitaire du Covid 19, l’évolution explosive et la situation critique de l’ensemble du système de santé provoque des bouleversements individuels et collectifs dans tous les champs de la vie sociale. La prise en compte de la souffrance psychosociale est une préoccupation de premier plan.
La pandémie de Covid-19 soumet la population générale à une pression psychologique importante. Au cœur de cette crise sanitaire se trouvent les personnels de première ligne, les personnels les plus exposés à de multiples facteurs stressants voire traumatisants :
• un risque majoré d’anxiété et d’épuisement, pouvant générer un état de souffrance psychique,
• voire des symptômes dépressifs avec un risque suicidaire,
• ou encore un trouble de stress post-traumatique pendant et dans les suites de la crise.Un environnement anxiogène : un environnement traumatique de la mort dans un contexte d’épidémie et de distanciation sociale ; un chamboulement des rites funéraires habituels, accompagner des patients en fin de vie, la confrontation face à la brutalité de la mort, du nombre important de décès,
du cumul, des conditions de fin de vie, une confrontation aux limites et au vécu d’impuissance, des facteurs de risques psychosociaux particuliers. Les personnes risquent d’être durablement fragilisés.Une mission d’écoute, de soutien, d’accompagnement et d’orientation
Une plateforme d’accompagnement psychologique ouverte aux personnels de première ligne :
- tout professionnel ayant vécu une situation particulière en lien avec la gestion de l’épidémie de Covid-19. (cf la partie « Pour qui » qui liste les professions concernées)
- Une ligne d’écoute pour les proches et aidants des personnes atteintes de covid-19
Ce dispositif nécessite l’intervention de professionnels spécialistes, notamment des psychologues, pour permettre l’expression des émotions et favoriser la verbalisation des situations vécues et l’orientation en cas de besoin vers une prise en charge spécialisée.
Une offre de temps d’écoute, un espace de parole, dans un cadre sécurisant. L’écoute téléphonique est un premier point d’accroche où la personne peut se sortir de la solitude, peut se confier, peut se sentir écoutée sans se sentir jugée.
Les modalités
Les appels sont anonymes et confidentiels. Les entretiens peuvent être uniques avec une orientation vers des structures adaptées.
La plateforme d’écoute téléphonique est assurée du lundi au vendredi de 8h00 à 18h00, dans un premier temps.
La gratuité va permettre de rendre cette ligne encore plus accessible à la population.
Le numéro : 40 46 00 47
Population ciblée :
✓ Pour les professionnels de première ligne, les plus exposés :
❑ Pompiers
❑ Gendarmes/policiers
❑ Les personnes chargées de l’organisation des obsèques
❑ Agents municipaux
❑ Transports/Ambulanciers
❑ Les secrétaires
❑ Les services d’aide et d’accompagnement à domicile
❑ les associations
❑ Personnels des laboratoires d’analyses
❑ Les libéraux : kiné, aides soignantes, les IDEL, les médecins généralistes et spécialistes
❑ Les cliniques privées
❑ Établissements, unités de vie, foyers, maison d’accueil pour personnes âgées
❑ AutresLes professionnels de première ligne sont mis à rude épreuve par la pandémie, exposés à un système de soins en tension, un environnement de crises : l’exposition directe aux patients ayant une charge virale haute, l’exposition au risque de contamination, l’épuisement physique et psychique, le nombre inhabituellement élevé de décès parmi les patients, des collègues, des connaissances ou des proches.
✓ Pour les proches et aidants des personnes atteintes du covid-19
Les objectifs opérationnels : Ecoute – Soutien – Orientation
- Favoriser la résilience : une stratégie de prévention primaire.
- Cette plateforme d’écoute est déployée pour soutenir les personnes et les professionnels de santé pour lesquels la crise sanitaire peut générer des difficultés psychologiques (stress, angoisse, épuisement, isolement, deuil…).
- Orienter vers un accompagnement spécialisé.
Mise en place d’une ligne d’écoute et de soutien psychologique pour les personnes impactées par la COVID-19

La Direction de la santé lance un numéro vert – 40 46 00 47 – gratuit et anonyme pour les personnes en souffrance et impactées par la crise de la COVID-19. La plateforme d’écoute téléphonique est assurée du lundi au vendredi de 8h00 à 18h00.
La mise en œuvre d’une démarche proactive : une stratégie de prévention primaire
La crise sanitaire du Covid 19, l’évolution explosive et la situation critique de l’ensemble du système de santé provoque des bouleversements individuels et collectifs dans tous les champs de la vie sociale. La prise en compte de la souffrance psychosociale est une préoccupation de premier plan.
La pandémie de Covid-19 soumet la population générale à une pression psychologique importante. Au cœur de cette crise sanitaire se trouvent les personnels de première ligne, les personnels les plus exposés à de multiples facteurs stressants voire traumatisants :
• un risque majoré d’anxiété et d’épuisement, pouvant générer un état de souffrance psychique,
• voire des symptômes dépressifs avec un risque suicidaire,
• ou encore un trouble de stress post-traumatique pendant et dans les suites de la crise.Un environnement anxiogène : un environnement traumatique de la mort dans un contexte d’épidémie et de distanciation sociale ; un chamboulement des rites funéraires habituels, accompagner des patients en fin de vie, la confrontation face à la brutalité de la mort, du nombre important de décès,
du cumul, des conditions de fin de vie, une confrontation aux limites et au vécu d’impuissance, des facteurs de risques psychosociaux particuliers. Les personnes risquent d’être durablement fragilisés.Une mission d’écoute, de soutien, d’accompagnement et d’orientation
Une plateforme d’accompagnement psychologique ouverte aux personnels de première ligne :
- tout professionnel ayant vécu une situation particulière en lien avec la gestion de l’épidémie de Covid-19. (cf la partie « Pour qui » qui liste les professions concernées)
- Une ligne d’écoute pour les proches et aidants des personnes atteintes de covid-19
Ce dispositif nécessite l’intervention de professionnels spécialistes, notamment des psychologues, pour permettre l’expression des émotions et favoriser la verbalisation des situations vécues et l’orientation en cas de besoin vers une prise en charge spécialisée.
Une offre de temps d’écoute, un espace de parole, dans un cadre sécurisant. L’écoute téléphonique est un premier point d’accroche où la personne peut se sortir de la solitude, peut se confier, peut se sentir écoutée sans se sentir jugée.
Les modalités
Les appels sont anonymes et confidentiels. Les entretiens peuvent être uniques avec une orientation vers des structures adaptées.
La plateforme d’écoute téléphonique est assurée du lundi au vendredi de 8h00 à 18h00, dans un premier temps.
La gratuité va permettre de rendre cette ligne encore plus accessible à la population.
Le numéro : 40 46 00 47
Population ciblée :
✓ Pour les professionnels de première ligne, les plus exposés :
❑ Pompiers
❑ Gendarmes/policiers
❑ Les personnes chargées de l’organisation des obsèques
❑ Agents municipaux
❑ Transports/Ambulanciers
❑ Les secrétaires
❑ Les services d’aide et d’accompagnement à domicile
❑ les associations
❑ Personnels des laboratoires d’analyses
❑ Les libéraux : kiné, aides soignantes, les IDEL, les médecins généralistes et spécialistes
❑ Les cliniques privées
❑ Établissements, unités de vie, foyers, maison d’accueil pour personnes âgées
❑ AutresLes professionnels de première ligne sont mis à rude épreuve par la pandémie, exposés à un système de soins en tension, un environnement de crises : l’exposition directe aux patients ayant une charge virale haute, l’exposition au risque de contamination, l’épuisement physique et psychique, le nombre inhabituellement élevé de décès parmi les patients, des collègues, des connaissances ou des proches.
✓ Pour les proches et aidants des personnes atteintes du covid-19
Les objectifs opérationnels : Ecoute – Soutien – Orientation
- Favoriser la résilience : une stratégie de prévention primaire.
- Cette plateforme d’écoute est déployée pour soutenir les personnes et les professionnels de santé pour lesquels la crise sanitaire peut générer des difficultés psychologiques (stress, angoisse, épuisement, isolement, deuil…).
- Orienter vers un accompagnement spécialisé.
Les renforts de la réserve sanitaire et de la solidarité nationale prêts à être déployés sur Tahiti et dans les îles

34 soignants de la réserve sanitaire et 50 de la solidarité nationale sont arrivés depuis Paris en Polynésie française. Leurs avions ont atterri à l’aéroport de Tahiti – Faa’a mercredi soir et jeudi matin.
Ils ont été accueilli par les services du haut-commissariat, de la Direction de la santé, du Pays et du CHPF.
Face à la pandémie de Coronavirus qui touche actuellement la Polynésie française, l’arrivée de ces nouveaux renforts représente un soutien majeur et immédiat pour les services hospitaliers du fenua devant faire face à une situation de très forte tension. Cette mission d’appui sanitaire sera déployée à Tahiti et dans les îles, notamment au CHPF du Taaone et dans les hôpitaux de Moorea et d’Uturoa.
Ces nouveaux renforts viennent compléter et renforcer la première équipe de 15 infirmiers de la réserve sanitaire, arrivée le 11 août dernier, et la deuxième équipe de 12 personnes mobilisées depuis le 26 août 2021. D’autres renforts sont attendus en fin de semaine pour protéger durablement le territoire et pour appuyer les structures sanitaires dans leur lutte contre le virus. Au total, c’est déjà plus d’une centaine de soignants arrivés de France hexagonale qui se mobilisent fortement pour la Polynésie française.
Crédit photo : Haut-commissariat
Les renforts de la réserve sanitaire et de la solidarité nationale prêts à être déployés sur Tahiti et dans les îles

34 soignants de la réserve sanitaire et 50 de la solidarité nationale sont arrivés depuis Paris en Polynésie française. Leurs avions ont atterri à l’aéroport de Tahiti – Faa’a mercredi soir et jeudi matin.
Ils ont été accueilli par les services du haut-commissariat, de la Direction de la santé, du Pays et du CHPF.
Face à la pandémie de Coronavirus qui touche actuellement la Polynésie française, l’arrivée de ces nouveaux renforts représente un soutien majeur et immédiat pour les services hospitaliers du fenua devant faire face à une situation de très forte tension. Cette mission d’appui sanitaire sera déployée à Tahiti et dans les îles, notamment au CHPF du Taaone et dans les hôpitaux de Moorea et d’Uturoa.
Ces nouveaux renforts viennent compléter et renforcer la première équipe de 15 infirmiers de la réserve sanitaire, arrivée le 11 août dernier, et la deuxième équipe de 12 personnes mobilisées depuis le 26 août 2021. D’autres renforts sont attendus en fin de semaine pour protéger durablement le territoire et pour appuyer les structures sanitaires dans leur lutte contre le virus. Au total, c’est déjà plus d’une centaine de soignants arrivés de France hexagonale qui se mobilisent fortement pour la Polynésie française.
Crédit photo : Haut-commissariat

























