Annuaire des structures de la Direction de la santé

  • Déclaration du Haut-Commissaire de la République en Polynésie française

    Le Haut-commissaire de la République en Polynésie française, Dominique Sorain, et le Président de la Polynésie française, Edouard Fritch, ont fait un point, mardi après-midi, sur la situation sanitaire de la Covid-19 en Polynésie française.

    Monsieur le Président,

    Mesdames, Messieurs,

    Chers polynésiens,

    Bonjour,

    Comme vous le savez, la crise Covid-19 a nécessité depuis le début la mise en place de mesures sanitaires fortes dès le mois de mars.

    Cela nous a permis d’éviter la propagation du virus sur notre territoire. Il en a été de même quand il a fallu rouvrir nos frontières.

    Nous n’avons pas baissé notre garde à travers le système mis en œuvre : 1 test RT-PCR 3 jours avant de partir, un auto prélèvement 4 jours après l’arrivée, la mise en place du protocole ETIS. Tout ceci fonctionne. Ce sont donc des mesures fortes et nous sommes très certainement l’un des seuls territoires à avoir mis en place un dispositif de cette envergure.

    Tracer, dépister, isoler, telle a été notre ligne de conduite ! C’est une réalité !

    Avec le Pays, nous avons mis en place un protocole de dépistage strict, un outil de traçage efficace qui a fait ses preuves et permis d’isoler rapidement les personnes détectées positives.

    Cependant, je l’ai déjà dit à plusieurs reprises, le risque zéro n’existe pas, et ce dispositif ne peut pas réussir pleinement sans l’adhésion de tous et la responsabilité individuelle et collective qui va avec.

    Force est de constater que comme dans d’autres territoires, et notre premier ministre vient de le rappeler ce matin, des manquements importants viennent de se produire, et le terme est faible.

    – Ils concernent certains établissements recevant du public qui ont accueilli un nombre important de personnes dans des espaces réduits, dans des conditions totalement irresponsables, c’est-à-dire sans application, aucune, des gestes barrières et sans distanciation physique. Je rappelle que les restaurants n’ont pas vocation à être un lieu de dancing et à être un lieu de grand rassemblement festif.

    Ceci est totalement inadmissible dans la situation sanitaire que le monde traverse actuellement. C’est le monde entier qui est concerné.

    – Ces manquements concernent également ceux qui arrivent de l’extérieur sur le territoire. Il faut rappeler que sans montrer les signes de la maladie, on peut être contaminant. Cela suppose que dans les premiers jours de présence sur le territoire, il ne faut pas se mêler à des rassemblements et adopter avec encore plus de rigueur les gestes barrières. Cela a été rappelé à plusieurs reprises, cela a été martelé à chacune de nos interventions, à chaque prise de parole. Force est de constater là aussi que les gestes barrières et la distanciation sociale n’ont pas été respectées par tous, y compris lorsque les résultats des auto-test n’étaient pas été encore connus ou lorsque les auto-tests n’ont pas encore été réalisés. Tout ceci est également inadmissible.

    La conjonction de ces manquements et le relâchement de la vigilance expliquent en grande partie la situation dans laquelle nous nous trouvons actuellement.

    En effet, depuis le 15 juillet, nous faisons face à une très forte augmentation de cas, 71 cas. Ceux-ci ont pour origine deux clusters importants qui ont généré de nombreuses contaminations locales.

    Les services de santé travaillent depuis maintenant plusieurs jours pour identifier ces cas contacts. Ce sont des enquêtes sanitaires complexes pour dépister l’ensemble de ces personnes qui ont été réalisées en très peu de temps (près de 850 tests pratiqués ce week-end). Et d’autres dépistages et analyses sont en cours.

    Vous l’aurez compris, la situation est vraiment très préoccupante mais elle n’est pas irréversible et spécifique au fenua. C’est un phénomène mondial qui touche tous les pays. Il peut y avoir des rebonds de l’épidémie. Et même, des pays qui ont mis en place des mesures drastiques comme les nôtres sont confrontés aujourd’hui à l’apparition de nouveaux cas.

    L’apparition de nouveaux cas était donc prévisible et aujourd’hui notre préoccupation première est donc de combattre les conséquences de l’émergence de ces deux clusters importants.

    OBJECTIFS

    Aussi, avec le Président du Pays, nous fixons deux objectifs immédiats :

    1- Le premier et le plus important c’est fermer les deux clusters en cours pour casser et arrêter la chaîne de transmission locale.

    C’est un objectif primordial. Face à cette situation, ce qui compte avant tout c’est que le bureau de veille sanitaire puisse terminer les enquêtes autour de tous les cas contacts.

    2- Le deuxième objectif, c’est de renforcer les gestes barrières et d’aider à les respecter. Cela nécessite la prise de mesures encadrant les rassemblements.

    ANNONCE DES MESURES

    Pour cela, nous avons décidé, avec le Président du Pays, de prendre des décisions ciblées pour une première durée de 14 jours. Ces mesures pourront être reconductibles si cela est nécessaire.

    Il s’agit d’éviter de renouveler les mesures de confinement général tel que nous l’avons fait au début de la crise ou de remettre en cause les mesures d’ouvertures du territoire qui sont nécessaires pour assurer la survie économique et sociale de notre Pays, ou la rentrée scolaire. Tout ceci doit se faire avec les mesures de précautions appliquées par tous.

    1 – Rassemblements

    Aussi, tout rassemblement de plus de 50 personnes, sur la voie publique ou dans tout lieu ouvert au public, sera soumis à déclaration préalable en lien avec les maires. Cette déclaration devra préciser les mesures sanitaires qui seront prises par les organisateurs et qui seront fixées par un arrêté. Si la manifestation ne remplit pas les conditions nécessaires, elle sera interdite.

    2- Fermeture des discothèques et des boites de nuit

    Ce sont des environnements clos propices au non-respect de la distanciation sociale et donc à une forte propagation du virus. Ces mesures seront précisées au tant que de besoin.

    3- Les restaurants et débits de boissons (bars)

    Pour éviter un nouveau « Piment rouge », les clients devront être assis, avec une distance d’un mètre entre chaque table et porter le masque lors de leur déplacement dans l’établissement. Les détails seront précisés dans un arrêté.

    4 – renforcer le port du masque

    Par ailleurs, le port du masque sera obligatoire dans tous les commerces de Polynésie française, comme cela est déjà le cas à l’aéroport, à la gare maritime et dans les navettes maritimes ainsi que dans les transports publics. J’insiste sur ce point, le masque est un complément des gestes barrières qui doivent être appliquées par tous, en tout lieu et toute circonstance. Nous devons apprendre à vivre avec le virus et ses gestes doivent faire partie de notre vie quotidienne pour se protéger et protéger nos proches.

    D’ailleurs, pour lutter aussi contre l’irresponsabilité de certains, j’ai demandé aux forces de l’ordre de renforcer les contrôles du port masque obligatoire dans ces lieux. Les contrevenants seront sanctionnés par une amende de 89 000 francs. Nous serons intraitables sur ce point.

    CONCLUSION

    Vous le comprendrez, nous avons un cadre cohérent qui permet de faire face à l’arrivée de ce virus, et il s’agit de la conforter et de le renforcer, de façon, je le répète, à assurer la vie économique et sociale de notre territoire, en toute sécurité. Il faut redonner de la confiance à tout le monde.

    Toutefois, tous ces dispositifs, quelle que soit leur qualité, quelle que soit leur performance, ne sont rien sans la responsabilité individuelle et collective qui doit tous nous animer.

    Nous sommes dans une situation de crise, il ne faut jamais l’oublier.

    Et ce qui vient de se produire, doit nous rappeler que rien n’est acquis. Il faut donc rester vigilants sur les rassemblements, sur nos gestes quotidiens, qui peuvent, à cause d’un dérapage absurde mais au combien réel générer des clusters et donc une diffusion rapide du virus qu’il faut absolument stopper.

    Si nous insistons depuis le début sur les gestes barrières, c’est qu’il y a une raison. Nous devons tous nous mobiliser pour combattre ce fléau.

    Ce qui nous menace c’est le relâchement de nos comportements.

    Nous devons faire preuve d’une très grande vigilance collective.

    Car se mettre en danger personnellement c’est une chose mais c’est surtout un manque de respect pour les autres.

    J’en appelle à la responsabilité de tous, nous comptons sur vous pour surmonter cette épreuve et protéger notre fenua.

    Et si cela s’avère nécessaire, nous serons amenés à prendre d’autres mesures en fonction de l’évolution de la situation.

    SOURCE OFFICIELLE : http://www.polynesie-francaise.pref.gouv.fr/Actualites/Communiques-de-presse/2020/Declaration-du-Haut-Commissaire-de-la-Republique-en-Polynesie-francaise

    Déclaration du Haut-Commissaire de la République en Polynésie française

    Le Haut-commissaire de la République en Polynésie française, Dominique Sorain, et le Président de la Polynésie française, Edouard Fritch, ont fait un point, mardi après-midi, sur la situation sanitaire de la Covid-19 en Polynésie française.

    Monsieur le Président,

    Mesdames, Messieurs,

    Chers polynésiens,

    Bonjour,

    Comme vous le savez, la crise Covid-19 a nécessité depuis le début la mise en place de mesures sanitaires fortes dès le mois de mars.

    Cela nous a permis d’éviter la propagation du virus sur notre territoire. Il en a été de même quand il a fallu rouvrir nos frontières.

    Nous n’avons pas baissé notre garde à travers le système mis en œuvre : 1 test RT-PCR 3 jours avant de partir, un auto prélèvement 4 jours après l’arrivée, la mise en place du protocole ETIS. Tout ceci fonctionne. Ce sont donc des mesures fortes et nous sommes très certainement l’un des seuls territoires à avoir mis en place un dispositif de cette envergure.

    Tracer, dépister, isoler, telle a été notre ligne de conduite ! C’est une réalité !

    Avec le Pays, nous avons mis en place un protocole de dépistage strict, un outil de traçage efficace qui a fait ses preuves et permis d’isoler rapidement les personnes détectées positives.

    Cependant, je l’ai déjà dit à plusieurs reprises, le risque zéro n’existe pas, et ce dispositif ne peut pas réussir pleinement sans l’adhésion de tous et la responsabilité individuelle et collective qui va avec.

    Force est de constater que comme dans d’autres territoires, et notre premier ministre vient de le rappeler ce matin, des manquements importants viennent de se produire, et le terme est faible.

    – Ils concernent certains établissements recevant du public qui ont accueilli un nombre important de personnes dans des espaces réduits, dans des conditions totalement irresponsables, c’est-à-dire sans application, aucune, des gestes barrières et sans distanciation physique. Je rappelle que les restaurants n’ont pas vocation à être un lieu de dancing et à être un lieu de grand rassemblement festif.

    Ceci est totalement inadmissible dans la situation sanitaire que le monde traverse actuellement. C’est le monde entier qui est concerné.

    – Ces manquements concernent également ceux qui arrivent de l’extérieur sur le territoire. Il faut rappeler que sans montrer les signes de la maladie, on peut être contaminant. Cela suppose que dans les premiers jours de présence sur le territoire, il ne faut pas se mêler à des rassemblements et adopter avec encore plus de rigueur les gestes barrières. Cela a été rappelé à plusieurs reprises, cela a été martelé à chacune de nos interventions, à chaque prise de parole. Force est de constater là aussi que les gestes barrières et la distanciation sociale n’ont pas été respectées par tous, y compris lorsque les résultats des auto-test n’étaient pas été encore connus ou lorsque les auto-tests n’ont pas encore été réalisés. Tout ceci est également inadmissible.

    La conjonction de ces manquements et le relâchement de la vigilance expliquent en grande partie la situation dans laquelle nous nous trouvons actuellement.

    En effet, depuis le 15 juillet, nous faisons face à une très forte augmentation de cas, 71 cas. Ceux-ci ont pour origine deux clusters importants qui ont généré de nombreuses contaminations locales.

    Les services de santé travaillent depuis maintenant plusieurs jours pour identifier ces cas contacts. Ce sont des enquêtes sanitaires complexes pour dépister l’ensemble de ces personnes qui ont été réalisées en très peu de temps (près de 850 tests pratiqués ce week-end). Et d’autres dépistages et analyses sont en cours.

    Vous l’aurez compris, la situation est vraiment très préoccupante mais elle n’est pas irréversible et spécifique au fenua. C’est un phénomène mondial qui touche tous les pays. Il peut y avoir des rebonds de l’épidémie. Et même, des pays qui ont mis en place des mesures drastiques comme les nôtres sont confrontés aujourd’hui à l’apparition de nouveaux cas.

    L’apparition de nouveaux cas était donc prévisible et aujourd’hui notre préoccupation première est donc de combattre les conséquences de l’émergence de ces deux clusters importants.

    OBJECTIFS

    Aussi, avec le Président du Pays, nous fixons deux objectifs immédiats :

    1- Le premier et le plus important c’est fermer les deux clusters en cours pour casser et arrêter la chaîne de transmission locale.

    C’est un objectif primordial. Face à cette situation, ce qui compte avant tout c’est que le bureau de veille sanitaire puisse terminer les enquêtes autour de tous les cas contacts.

    2- Le deuxième objectif, c’est de renforcer les gestes barrières et d’aider à les respecter. Cela nécessite la prise de mesures encadrant les rassemblements.

    ANNONCE DES MESURES

    Pour cela, nous avons décidé, avec le Président du Pays, de prendre des décisions ciblées pour une première durée de 14 jours. Ces mesures pourront être reconductibles si cela est nécessaire.

    Il s’agit d’éviter de renouveler les mesures de confinement général tel que nous l’avons fait au début de la crise ou de remettre en cause les mesures d’ouvertures du territoire qui sont nécessaires pour assurer la survie économique et sociale de notre Pays, ou la rentrée scolaire. Tout ceci doit se faire avec les mesures de précautions appliquées par tous.

    1 – Rassemblements

    Aussi, tout rassemblement de plus de 50 personnes, sur la voie publique ou dans tout lieu ouvert au public, sera soumis à déclaration préalable en lien avec les maires. Cette déclaration devra préciser les mesures sanitaires qui seront prises par les organisateurs et qui seront fixées par un arrêté. Si la manifestation ne remplit pas les conditions nécessaires, elle sera interdite.

    2- Fermeture des discothèques et des boites de nuit

    Ce sont des environnements clos propices au non-respect de la distanciation sociale et donc à une forte propagation du virus. Ces mesures seront précisées au tant que de besoin.

    3- Les restaurants et débits de boissons (bars)

    Pour éviter un nouveau « Piment rouge », les clients devront être assis, avec une distance d’un mètre entre chaque table et porter le masque lors de leur déplacement dans l’établissement. Les détails seront précisés dans un arrêté.

    4 – renforcer le port du masque

    Par ailleurs, le port du masque sera obligatoire dans tous les commerces de Polynésie française, comme cela est déjà le cas à l’aéroport, à la gare maritime et dans les navettes maritimes ainsi que dans les transports publics. J’insiste sur ce point, le masque est un complément des gestes barrières qui doivent être appliquées par tous, en tout lieu et toute circonstance. Nous devons apprendre à vivre avec le virus et ses gestes doivent faire partie de notre vie quotidienne pour se protéger et protéger nos proches.

    D’ailleurs, pour lutter aussi contre l’irresponsabilité de certains, j’ai demandé aux forces de l’ordre de renforcer les contrôles du port masque obligatoire dans ces lieux. Les contrevenants seront sanctionnés par une amende de 89 000 francs. Nous serons intraitables sur ce point.

    CONCLUSION

    Vous le comprendrez, nous avons un cadre cohérent qui permet de faire face à l’arrivée de ce virus, et il s’agit de la conforter et de le renforcer, de façon, je le répète, à assurer la vie économique et sociale de notre territoire, en toute sécurité. Il faut redonner de la confiance à tout le monde.

    Toutefois, tous ces dispositifs, quelle que soit leur qualité, quelle que soit leur performance, ne sont rien sans la responsabilité individuelle et collective qui doit tous nous animer.

    Nous sommes dans une situation de crise, il ne faut jamais l’oublier.

    Et ce qui vient de se produire, doit nous rappeler que rien n’est acquis. Il faut donc rester vigilants sur les rassemblements, sur nos gestes quotidiens, qui peuvent, à cause d’un dérapage absurde mais au combien réel générer des clusters et donc une diffusion rapide du virus qu’il faut absolument stopper.

    Si nous insistons depuis le début sur les gestes barrières, c’est qu’il y a une raison. Nous devons tous nous mobiliser pour combattre ce fléau.

    Ce qui nous menace c’est le relâchement de nos comportements.

    Nous devons faire preuve d’une très grande vigilance collective.

    Car se mettre en danger personnellement c’est une chose mais c’est surtout un manque de respect pour les autres.

    J’en appelle à la responsabilité de tous, nous comptons sur vous pour surmonter cette épreuve et protéger notre fenua.

    Et si cela s’avère nécessaire, nous serons amenés à prendre d’autres mesures en fonction de l’évolution de la situation.

    SOURCE OFFICIELLE : http://www.polynesie-francaise.pref.gouv.fr/Actualites/Communiques-de-presse/2020/Declaration-du-Haut-Commissaire-de-la-Republique-en-Polynesie-francaise

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  • Point de situation au 09/08/2020 à 10h00 et à/c du 15/07/2020

    43 nouveaux cas ont été confirmés entre le 7 et le 9 août. Au total, 50 cas ont été confirmés depuis le 15 juillet 2020. Tous les cas sont en isolement strict dont 3 en centre dédié à Tahiti. Un patient avec facteur de risque de gravité a été hospitalisé.

    Parmi les 50 cas, 10 cas ont été contaminés à l’étranger et 38 cas ont été contaminés localement au contact de cas confirmés ; pour 2 cas, aucun lien épidémiologique avec d’autres cas n’a pour l’instant été retrouvé.

    La majorité des cas sont regroupés dans des « clusters » où les contaminations se sont faites au sein de lieux publics fermés et sans respect des gestes barrières.

    Les cas ont été localisés principalement à Tahiti. Certains cas ont initialement été diagnostiqués à Bora-Bora, Moorea et Rangiroa.

    Il est essentiel pour toute la population d’appliquer systématiquement les gestes barrières, en particulier dans tous les lieux publics.

    Carre Epidemio Situation COVID 100820

    Rappel du bilan au premier semestre 2020

    • Le premier cas de Covid 19 en Pf a été confirmé le 10/03/2020.
    • Un total de 62 cas, dont 32 cas importés, a été confirmé depuis le 10/03/2020 et jusqu’au 25/06/2020.
  • Aucun nouveau cas de covid-19 à bord du Paul Gauguin : les passagers vont pouvoir débarquer

    Le Haut-commissaire de la République, Dominique Sorain, et le président de la Polynésie française, Edouard Fritch, ont annoncé lundi après-midi les résultats des prélèvements de la totalité des passagers et membres d’équipage. Les résultats des test RT-PCR sont tous négatifs.

    Photo allocution du président sur l'absence de cas COVID sur le Paul Gauguin

    En conséquence, les passagers pourront débarquer du Paul Gauguin dans les heures qui viennent et rejoindre un lieu de confinement.

    Avant le débarquement, tous les passagers devront signer une attestation sur l’honneur les engageant à respecter une période de quarantaine.

    Toutes ces personnes feront ensuite l’objet d’une quarantaine d’une durée de sept jours, soit à domicile pour les résidents, soit dans une structure d’hébergement individuelle pour les non-résidents.

    Cette période de quarantaine sera assortie d’un suivi sanitaire assuré par le bureau de veille sanitaire (BVS).

    Par ailleurs, la plateforme téléphonique du Haut-Commissariat assurera un contact quotidiennement avec toutes les personnes en quarantaine afin de vérifier l’évolution de leur état de santé, le respect des mesures de confinement et leur présence sur le lieu indiqué pour effectuer la quarantaine.

    Afin de ne prendre aucun risque, à l’issue de cette période d’observation, chaque personne suivie sera à nouveau testée par un test RT- PCR.

    Le protocole sanitaire mis en œuvre et les mesures précoces appliquées par la compagnie maritime ont permis de détecter rapidement et d’isoler le cas confirmé de covid+, ce qui a permis de limiter la chaine de transmission à bord du navire.

    Ce protocole sanitaire sera renforcé avec l’obligation pour tous les passagers de croisière d’effectuer un auto-test avant de monter à bord du navire.

    SOURCE OFFICIELLE : https://www.presidence.pf/aucun-nouveau-cas-de-covid-19-a-bord-du-paul-gauguin-les-passagers-vont-pouvoir-debarquer/

    Aucun nouveau cas de covid-19 à bord du Paul Gauguin : les passagers vont pouvoir débarquer

    Le Haut-commissaire de la République, Dominique Sorain, et le président de la Polynésie française, Edouard Fritch, ont annoncé lundi après-midi les résultats des prélèvements de la totalité des passagers et membres d’équipage. Les résultats des test RT-PCR sont tous négatifs.

    Photo allocution du président sur l'absence de cas COVID sur le Paul Gauguin

    En conséquence, les passagers pourront débarquer du Paul Gauguin dans les heures qui viennent et rejoindre un lieu de confinement.

    Avant le débarquement, tous les passagers devront signer une attestation sur l’honneur les engageant à respecter une période de quarantaine.

    Toutes ces personnes feront ensuite l’objet d’une quarantaine d’une durée de sept jours, soit à domicile pour les résidents, soit dans une structure d’hébergement individuelle pour les non-résidents.

    Cette période de quarantaine sera assortie d’un suivi sanitaire assuré par le bureau de veille sanitaire (BVS).

    Par ailleurs, la plateforme téléphonique du Haut-Commissariat assurera un contact quotidiennement avec toutes les personnes en quarantaine afin de vérifier l’évolution de leur état de santé, le respect des mesures de confinement et leur présence sur le lieu indiqué pour effectuer la quarantaine.

    Afin de ne prendre aucun risque, à l’issue de cette période d’observation, chaque personne suivie sera à nouveau testée par un test RT- PCR.

    Le protocole sanitaire mis en œuvre et les mesures précoces appliquées par la compagnie maritime ont permis de détecter rapidement et d’isoler le cas confirmé de covid+, ce qui a permis de limiter la chaine de transmission à bord du navire.

    Ce protocole sanitaire sera renforcé avec l’obligation pour tous les passagers de croisière d’effectuer un auto-test avant de monter à bord du navire.

    SOURCE OFFICIELLE : https://www.presidence.pf/aucun-nouveau-cas-de-covid-19-a-bord-du-paul-gauguin-les-passagers-vont-pouvoir-debarquer/

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  • Enquête eCovid-Pf : Analyse des réponses aux deux sessions d’enquête menées auprès des Polynésiens pendant le confinement

    Dans ce rapport d’étude, la Direction de la santé présente les résultats de l’analyse de l’ensemble des réponses obtenues lors des deux sessions de l’enquête eCovid-Pf, réalisées pendant le confinement (du 15 au 17 avril et du 22 au 26 avril 2020) auprès des Polynésiens majeurs, confinés sur l’île de Tahiti.

    Illustration article sur l'enquête eCOVID

    Face à l’épidémie de Coronavirus (COVID-19) qui a touché la Polynésie française, de nombreuses mesures ont été mises en place pour freiner la propagation du virus, en particulier le confinement de la population, du 20 mars au 29 avril 2020.

    Afin d’évaluer le niveau de connaissance des gestes et mesures barrières et leur application au sein de la population, mais aussi d’appréhender la façon dont le confinement était vécu par les Polynésiens, l’enquête « eCovid-Pf – Devenez acteur de votre santé et de la surveillance de l’épidémie du Covid-19 au fenua », a été élaborée par le Dispositif d’exploitation des données de santé et le Département des programmes de prévention de la Direction de la santé. Celle-ci s’adressait à l’ensemble de la population âgée d’au moins 18 ans et résidant en Polynésie française au moment de sa diffusion. Trois sessions d’enquête ont été réalisées ; deux pendant le confinement et une à la sortie du confinement.

    Les résultats présentés dans ce rapport d’étude de la Direction de la santé concernent l’ensemble des 1959 Polynésiens, confinés sur l’île de Tahiti, ayant répondu à l’une ou l’autre des deux sessions de l’enquête eCovid-Pf.

    Sans prétendre être représentatives de la population polynésienne, les réponses collectées permettent déjà d’apprécier les grandes tendances qui se dessinaient au sein de la population, en matière de compréhension et d’application des mesures de protections contre la propagation du COVID-19, pendant le confinement à Tahiti.

    Tous les rapports de l’enquête eCovid-Pf sont accessibles sur ce lien.

    Enquête eCovid-Pf : Analyse des réponses aux deux sessions d’enquête menées auprès des Polynésiens pendant le confinement

    Dans ce rapport d’étude, la Direction de la santé présente les résultats de l’analyse de l’ensemble des réponses obtenues lors des deux sessions de l’enquête eCovid-Pf, réalisées pendant le confinement (du 15 au 17 avril et du 22 au 26 avril 2020) auprès des Polynésiens majeurs, confinés sur l’île de Tahiti.

    Illustration article sur l'enquête eCOVID

    Face à l’épidémie de Coronavirus (COVID-19) qui a touché la Polynésie française, de nombreuses mesures ont été mises en place pour freiner la propagation du virus, en particulier le confinement de la population, du 20 mars au 29 avril 2020.

    Afin d’évaluer le niveau de connaissance des gestes et mesures barrières et leur application au sein de la population, mais aussi d’appréhender la façon dont le confinement était vécu par les Polynésiens, l’enquête « eCovid-Pf – Devenez acteur de votre santé et de la surveillance de l’épidémie du Covid-19 au fenua », a été élaborée par le Dispositif d’exploitation des données de santé et le Département des programmes de prévention de la Direction de la santé. Celle-ci
    s’adressait à l’ensemble de la population âgée d’au moins 18 ans et résidant en Polynésie française au moment de sa diffusion. Trois sessions d’enquête ont été réalisées ; deux pendant le confinement et une à la sortie du confinement.

    Les résultats présentés dans ce rapport d’étude de la Direction de la santé concernent l’ensemble des 1959 Polynésiens, confinés sur l’île de Tahiti, ayant répondu à l’une ou l’autre des deux sessions de l’enquête eCovid-Pf.

    Sans prétendre être représentatives de la population polynésienne, les réponses collectées permettent déjà d’apprécier les grandes tendances qui se dessinaient au sein de la population, en matière de compréhension et d’application des mesures de protections contre la propagation du COVID-19, pendant le confinement à Tahiti.

    Tous les rapports de l’enquête eCovid-Pf sont accessibles sur ce lien.

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  • Liste des candidats admis à la délivrance du certificat de préleveur

    Depuis ce jeudi 30 juillet 2020, la liste des candidats admis à la délivrance du certificat de préleveur pour effectuer des prélèvements sanguins en vue d’analyses de biologie médicale est accessible sur le site de la Direction de la santé.

    Découvrez les noms des candidats admis par l’Institut de formation des professions de santé Mathilde Frébault.

    Liste des candidats admis à la délivrance du certificat de préleveur

    Depuis ce jeudi 30 juillet 2020, la liste des candidats admis à la délivrance du certificat de préleveur pour effectuer des prélèvements sanguins en vue d’analyses de biologie médicale est accessible sur le site de la Direction de la santé.

    Découvrez les noms des candidats admis par l’Institut de formation des professions de santé Mathilde Frébault.

  • Vous présentez des symptômes évocateurs du COVID ? Un N° unique : 40 455 000

    Fièvre, sensation de fièvre, fatigue brutale, maux de tête, perte du goût ou de l’odorat, toux, maux de gorge, courbatures, gêne respiratoire, diarrhées ? Signalez-vous rapidement auprès de votre médecin traitant ou au centre d’appel du bureau de veille sanitaire de la Direction de la santé : 40 455 000.

    Des professionnels de santé sont à votre écoute et vous orientent vers un lieu de prélèvement si nécessaire, en fonction de votre état de santé et de l’évaluation du risque de contraction du virus (voyage dans une zone de circulation virale hors Polynésie, contact avec une personne détectée positive…).

    Ce centre d’appel est ouvert 7 jours sur 7 du lundi au vendredi de 8h à 18h et le week-end de 8h à 13h. En cas de signe de gravité, appelez le directement le centre 15.

    Pour toute autre information, vous pouvez envoyer un mail à renseignements.COVID19@sante.gov.pf.

    Vous présentez des symptômes évocateurs du COVID ? Un N° unique : 40 455 000

    Fièvre, sensation de fièvre, fatigue brutale, maux de tête, perte du goût ou de l’odorat, toux, maux de gorge, courbatures, gêne respiratoire, diarrhées ? Signalez-vous rapidement auprès de votre médecin traitant ou au centre d’appel du bureau de veille sanitaire de la Direction de la santé : 40 455 000.

    Des professionnels de santé sont à votre écoute et vous orientent vers un lieu de prélèvement si nécessaire, en fonction de votre état de santé et de l’évaluation du risque de contraction du virus (voyage dans une zone de circulation virale hors Polynésie, contact avec une personne détectée positive…).

    Ce centre d’appel est ouvert 7 jours sur 7 du lundi au vendredi de 8h à 18h et le week-end de 8h à 13h. En cas de signe de gravité, appelez le directement le centre 15.

    Pour toute autre information, vous pouvez envoyer un mail à renseignements.COVID19@sante.gov.pf.

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  • Guides sanitaires : remise des attestations de formation et de kits sanitaires à Mahina

    Le Président Edouard Fritch, le Vice-Président, Teva Rohfritsch, la ministre du Tourisme et du Travail, Nicole Bouteau, et le ministre de la Santé, Jaques Raynal se sont rendus, vendredi matin, à Mahina, à l’occasion de la cérémonie de clôture de la formation des guides sanitaires de la commune.

    Accueillis par le maire de Mahina, Damas Teuira, et une partie des membres de son conseil municipal, la délégation gouvernementale a participé à la remise des attestations de formation aux 19 stagiaires qui se sont également vus remettre un kit sanitaire qui leur permettra d’exercer leur mission de prévention et de sensibilisation aux gestes barrières auprès de la population et des visiteurs.

    Cette action s’inscrit dans le cadre de la réouverture des vols internationaux et de la reprise du tourisme international depuis le 15 juillet.

    Dans ce contexte, le Pays a renforcé son dispositif sanitaire ainsi que les conditions d’entrée et de séjour des voyageurs. Ainsi depuis le 15 juillet, tout voyageur, quelle que soit sa nationalité et son âge, n’est autorisé à embarquer sur un vol à destination de la Polynésie française qu’après avoir présenté à la compagnie aérienne, au moment de l’enregistrement, un résultat négatif au test de détection du Covid-19 réalisé moins de trois jours avant le vol et le récépissé d’enregistrement sur la plateforme polynésienne « Electronic travel information system » – « ETIS ». Par ailleurs, à l’arrivée en Polynésie française, chaque voyageur se voit remettre un kit d’auto-prélèvement à réaliser 4 jours après son arrivée en Polynésie.

    Parmi les dispositions également prises, le Pays a décidé la mise en place de guides sanitaires répartis dans les communes de Tahiti et des îles. Les guides sanitaires ont pour mission de sensibiliser et informer dans les lieux publics, les sites touristiques, les aéroports, ports, tant la population que les professionnels et les visiteurs aux mesures barrières et aux protocoles sanitaires. Ils auront un rôle de prévention dans ce contexte particulier. Ces guides qui participeront à la réassurance la population sont sous convention CAE (Convention d’Aide à l’Emploi) et sont sélectionnés par les communes et placés sous leur autorité, le Pays assurant leur formation, un suivi tout au long de leur mission, ainsi que les équipements de protection (uniforme, visières, masques, gel hydro-alcoolique).

    La formation, d’une durée totale de 29h, s’articule autour de trois axes: informer sur les protocoles sanitaires, doter les publics formés des fiches techniques et des éléments de langage, ainsi que sensibiliser les publics formés à l’accueil, à la relation clients et aux situations difficiles, avec des mises en situation.

    Ces actions viennent en complément du guide des recommandations sanitaires et des formations qui sont dispensées depuis fin mai, auprès des professionnels du tourisme.

    Les 19 stagiaires sélectionnés par la commune de Mahina se sont dit satisfaits du contenu de cette formation et motivés par la mission de prévention et d’information qui leur est confiée. Ils interviendront sur les zones publiques de Mahina et notamment le site très touristique de la Pointe Vénus ou sur la zone commerciale de la commune, et seront encadrés par la commune et plus particulièrement par l’adjoint au maire en charge de la santé, Poaru Maono. Les guides bénéficieront d’un suivi durant 6 mois assuré par l’organisme de formation auquel le Pays a fait appel pour ce programme, HSF Formation dirigé par Karine Villa.

    Le Président du Pays les a remercié et encouragé pour ce travail qui participera à la réassurance de la population. Il a également remercié la commune de son soutien dans le cadre de la reprise de l’économie et de l’accompagnement social de la population.

    « Nous sommes, avec vous, mobilisés et préparés à cette reprise par le renforcement de notre organisation sanitaire à Tahiti et dans les îles. Tout est mis en œuvre pour cette reprise tout en continuant à protéger notre population », a indiqué le Président.

    SOURCE OFFICIELLE : https://www.presidence.pf/guides-sanitaires-remise-des-attestations-de-formation-et-de-kits-sanitaires-a-mahina/

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    Guides sanitaires : remise des attestations de formation et de kits sanitaires à Mahina

    Le Président Edouard Fritch, le Vice-Président, Teva Rohfritsch, la ministre du Tourisme et du Travail, Nicole Bouteau, et le ministre de la Santé, Jaques Raynal se sont rendus, vendredi matin, à Mahina, à l’occasion de la cérémonie de clôture de la formation des guides sanitaires de la commune.

    Accueillis par le maire de Mahina, Damas Teuira, et une partie des membres de son conseil municipal, la délégation gouvernementale a participé à la remise des attestations de formation aux 19 stagiaires qui se sont également vus remettre un kit sanitaire qui leur permettra d’exercer leur mission de prévention et de sensibilisation aux gestes barrières auprès de la population et des visiteurs.

    Cette action s’inscrit dans le cadre de la réouverture des vols internationaux et de la reprise du tourisme international depuis le 15 juillet.

    Dans ce contexte, le Pays a renforcé son dispositif sanitaire ainsi que les conditions d’entrée et de séjour des voyageurs. Ainsi depuis le 15 juillet, tout voyageur, quelle que soit sa nationalité et son âge, n’est autorisé à embarquer sur un vol à destination de la Polynésie française qu’après avoir présenté à la compagnie aérienne, au moment de l’enregistrement, un résultat négatif au test de détection du Covid-19 réalisé moins de trois jours avant le vol et le récépissé d’enregistrement sur la plateforme polynésienne « Electronic travel information system » – « ETIS ». Par ailleurs, à l’arrivée en Polynésie française, chaque voyageur se voit remettre un kit d’auto-prélèvement à réaliser 4 jours après son arrivée en Polynésie.

    Parmi les dispositions également prises, le Pays a décidé la mise en place de guides sanitaires répartis dans les communes de Tahiti et des îles. Les guides sanitaires ont pour mission de sensibiliser et informer dans les lieux publics, les sites touristiques, les aéroports, ports, tant la population que les professionnels et les visiteurs aux mesures barrières et aux protocoles sanitaires. Ils auront un rôle de prévention dans ce contexte particulier. Ces guides qui participeront à la réassurance la population sont sous convention CAE (Convention d’Aide à l’Emploi) et sont sélectionnés par les communes et placés sous leur autorité, le Pays assurant leur formation, un suivi tout au long de leur mission, ainsi que les équipements de protection (uniforme, visières, masques, gel hydro-alcoolique).

    La formation, d’une durée totale de 29h, s’articule autour de trois axes: informer sur les protocoles sanitaires, doter les publics formés des fiches techniques et des éléments de langage, ainsi que sensibiliser les publics formés à l’accueil, à la relation clients et aux situations difficiles, avec des mises en situation.

    Ces actions viennent en complément du guide des recommandations sanitaires et des formations qui sont dispensées depuis fin mai, auprès des professionnels du tourisme.

    Les 19 stagiaires sélectionnés par la commune de Mahina se sont dit satisfaits du contenu de cette formation et motivés par la mission de prévention et d’information qui leur est confiée. Ils interviendront sur les zones publiques de Mahina et notamment le site très touristique de la Pointe Vénus ou sur la zone commerciale de la commune, et seront encadrés par la commune et plus particulièrement par l’adjoint au maire en charge de la santé, Poaru Maono. Les guides bénéficieront d’un suivi durant 6 mois assuré par l’organisme de formation auquel le Pays a fait appel pour ce programme, HSF Formation dirigé par Karine Villa.

    Le Président du Pays les a remercié et encouragé pour ce travail qui participera à la réassurance de la population. Il a également remercié la commune de son soutien dans le cadre de la reprise de l’économie et de l’accompagnement social de la population.

    « Nous sommes, avec vous, mobilisés et préparés à cette reprise par le renforcement de notre organisation sanitaire à Tahiti et dans les îles. Tout est mis en œuvre pour cette reprise tout en continuant à protéger notre population », a indiqué le Président.

    SOURCE OFFICIELLE : https://www.presidence.pf/guides-sanitaires-remise-des-attestations-de-formation-et-de-kits-sanitaires-a-mahina/

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    PLUS D’INFORMATIONS

    Actualités

  • Le ministre de la Santé rencontre les professionnels de santé libéraux

    La cellule de crise covid du Pays a pris fin au 4 juillet et les agents de cette cellule ont été redéployés dans leurs services respectifs, à la Direction de la santé et à l’ARASS, l’agence de régulation de l’action sanitaire et sociale.

    Photo rencontre du ministre avec les professionnels de santé libéraux concernant le covid-19

    Le ministre de la Santé et de la Prévention, Jacques Raynal, accompagné de représentants de ces deux services, a rencontré, jeudi en fin de journée, au Fare pote’e de la Direction de la santé, les professionnels de santé libéraux, médecins, chirurgiens- dentistes, sages-femmes, pharmaciens, infirmiers, masseurs-kinésithérapeutes et orthophonistes.

    Cette rencontre a été l’occasion de présenter la nouvelle organisation mise en place pour la lutte contre la covid-19 depuis début juillet. La nouvelle organisation des services de la Direction de la santé et de l’ARASS a ainsi été expliquée, afin que chacun, pour ce qui le concerne, puisse s’employer à une vigilance active, ainsi qu’à une surveillance spécifique et adaptée aux conséquences d’une éventuelle réapparition du virus.

    L’un des objectifs majeurs de cette nouvelle organisation est d’avoir une réactivité optimale avec la mise en place, à cet effet, d’une plateforme de signalement au Bureau de veille sanitaire de la Direction de la santé (numéro de téléphone: 40.455.000) avec également une cellule de coordination s’il devait y avoir des cas confirmés de covid-19.

    Les sujets abordés ont concerné notamment l’actualisation de la définition des cas suspects, la reprise active de la surveillance syndromique, et l’outil « Firiora » mis en place pour le suivi des cas.

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    Le ministre de la Santé rencontre les professionnels de santé libéraux

    La cellule de crise covid du Pays a pris fin au 4 juillet et les agents de cette cellule ont été redéployés dans leurs services respectifs, à la Direction de la santé et à l’ARASS, l’agence de régulation de l’action sanitaire et sociale.

    Photo rencontre du ministre avec les professionnels de santé libéraux concernant le covid-19

    Le ministre de la Santé et de la Prévention, Jacques Raynal, accompagné de représentants de ces deux services, a rencontré, jeudi en fin de journée, au Fare pote’e de la Direction de la santé, les professionnels de santé libéraux, médecins, chirurgiens- dentistes, sages-femmes, pharmaciens, infirmiers, masseurs-kinésithérapeutes et orthophonistes.

    Cette rencontre a été l’occasion de présenter la nouvelle organisation mise en place pour la lutte contre la covid-19 depuis début juillet. La nouvelle organisation des services de la Direction de la santé et de l’ARASS a ainsi été expliquée, afin que chacun, pour ce qui le concerne, puisse s’employer à une vigilance active, ainsi qu’à une surveillance spécifique et adaptée aux conséquences d’une éventuelle réapparition du virus.

    L’un des objectifs majeurs de cette nouvelle organisation est d’avoir une réactivité optimale avec la mise en place, à cet effet, d’une plateforme de signalement au Bureau de veille sanitaire de la Direction de la santé (numéro de téléphone: 40.455.000) avec également une cellule de coordination s’il devait y avoir des cas confirmés de covid-19.

    Les sujets abordés ont concerné notamment l’actualisation de la définition des cas suspects, la reprise active de la surveillance syndromique, et l’outil « Firiora » mis en place pour le suivi des cas.

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  • Pas de nouveaux cas de Covid en Polynésie française

    Le gouvernement a pris connaissance de la rumeur qui circule sur les réseaux sociaux selon laquelle de nouveaux cas de Covid seraient déclarés en Polynésie française. Il dément fermement cette rumeur.

    Coronavirus Dépistage

    Depuis le début de la pandémie, le gouvernement a toujours agi en pleine transparence – tous les cas déclarés de Covid ont été portés, sans délai, à la connaissance de la population – et il s’engage à continuer dans cette voie.

    Le gouvernement invite la population à conserver les bonnes pratiques prises depuis le début de la pandémie et à continuer à respecter les gestes barrières.

    Par ailleurs, dans le cadre de la réouverture des frontières, toutes les mesures visant à éviter la propagation du virus ont été mises en place, notamment par un test avant le départ pour tous les visiteurs, suivi d’un nouveau test quatre jours après leur arrivée.

    SOURCE OFFICIELLE : https://www.presidence.pf/pas-de-nouveaux-cas-de-covid-en-polynesie-francaise/

    Pas de nouveaux cas de Covid en Polynésie française

    Le gouvernement a pris connaissance de la rumeur qui circule sur les réseaux sociaux selon laquelle de nouveaux cas de Covid seraient déclarés en Polynésie française. Il dément fermement cette rumeur.

    Coronavirus Dépistage

    Depuis le début de la pandémie, le gouvernement a toujours agi en pleine transparence – tous les cas déclarés de Covid ont été portés, sans délai, à la connaissance de la population – et il s’engage à continuer dans cette voie.

    Le gouvernement invite la population à conserver les bonnes pratiques prises depuis le début de la pandémie et à continuer à respecter les gestes barrières.

    Par ailleurs, dans le cadre de la réouverture des frontières, toutes les mesures visant à éviter la propagation du virus ont été mises en place, notamment par un test avant le départ pour tous les visiteurs, suivi d’un nouveau test quatre jours après leur arrivée.

    SOURCE OFFICIELLE : https://www.presidence.pf/pas-de-nouveaux-cas-de-covid-en-polynesie-francaise/

  • Mise en ligne de la plateforme ETIS « Electronic Travel Information System »

    La plateforme ETIS – « Electronic Travel Information System » a été mise en ligne samedi 11 juillet, à midi, 3 jours avant la reprise du tourisme international. Mise en place par le gouvernement de la Polynésie française dans le cadre de la pandémie mondiale due au Covid-19, etis.pf est une plateforme qui permet la dématérialisation du formulaire sanitaire d’engagement (arrêté du Conseil des ministres du 24 juin 2020) obligatoire pour tout voyageur entrant en Polynésie française par voie aérienne.

    Communique ETIS

    Désormais, tout voyageur, résident et non résident, souhaitant entrer en Polynésie française par voie aérienne, est soumis à cette formalité déclarative.  La formalité sanitaire ETIS s’ajoute à celles relatives aux conditions d’entrée des étrangers sur le territoire polynésien.

    Conditions d’entrée et de séjour des voyageurs

    À compter du 15 juillet 2020, toute personne, quelle que soit sa nationalité et son âge, en provenance d’une région extérieure à la Polynésie française, ne sera autorisée à embarquer sur un vol à destination de la Polynésie française qu’après avoir présenté à la compagnie aérienne, au moment de l’enregistrement, un résultat négatif au test de dépistage au Covid-19 réalisé moins de 3 jours avant le vol ainsi que le récépissé d’enregistrement sur la plateforme polynésienne « Electronic travel information system » – « ETIS ».

    Pour les familles qui prévoient de voyager avec des enfants mineurs, chaque enfant pourra être sur le formulaire d’un des parents ou adulte autorisé à voyager avec ses enfants mineurs. Autrement, les enfants voyageant seuls devront disposer d’un formulaire individuel.

    Trois sections composent le formulaire ETIS :

    • Une sur les informations liées à l’identité, la nationalité, le lieu de résidence du voyageur.
    • Une sur ses engagements sanitaires;
    • Une sur son itinéraire de voyage en Polynésie française (uniquement pour les non-résidents).

    Le délai d’obtention d’une autorisation ETIS étant immédiat, le voyageur peut saisir sa demande jusqu’au moment de l’enregistrement.

    Une fois le formulaire rempli et validé, le voyageur reçoit immédiatement par email la confirmation et le numéro de son attestation ETIS qu’il présentera à la compagnie de transport aérienne au moment de l’enregistrement avec le résultat négatif du test de dépistage au Covid-19.

    Les autorités sanitaires polynésiennes pourront, à tout moment, consulter ces informations et contacter le voyageur en cas de besoin. Les renseignements recueillis ne sont consultables que par le bureau de veille sanitaire. Ils ne serviront qu’aux fins de protection de Santé publique et d’enquête épidémiologique.

    Enfin, à leur arrivée en Polynésie, les voyageurs se verront remettre un kit d’auto-prélèvement à réaliser 4 jours après leur arrivée sur le territoire polynésien. Mis en place par l’Institut Louis Malardé (ILM), ce kit d’auto-prélèvement vient renforcer le dispositif de surveillance sanitaire, qui a prouvé son efficacité à travers le monde, ces derniers mois.

    SOURCE OFFICIELLE : https://www.presidence.pf/mise-en-ligne-de-la-plateforme-etis-electronic-travel-information-system/

    Mise en ligne de la plateforme ETIS « Electronic Travel Information System »

    La plateforme ETIS – « Electronic Travel Information System » a été mise en ligne samedi 11 juillet, à midi, 3 jours avant la reprise du tourisme international. Mise en place par le gouvernement de la Polynésie française dans le cadre de la pandémie mondiale due au Covid-19, etis.pf est une plateforme qui permet la dématérialisation du formulaire sanitaire d’engagement (arrêté du Conseil des ministres du 24 juin 2020) obligatoire pour tout voyageur entrant en Polynésie française par voie aérienne.

    Désormais, tout voyageur, résident et non résident, souhaitant entrer en Polynésie française par voie aérienne, est soumis à cette formalité déclarative.  La formalité sanitaire ETIS s’ajoute à celles relatives aux conditions d’entrée des étrangers sur le territoire polynésien.

    Conditions d’entrée et de séjour des voyageurs

    À compter du 15 juillet 2020, toute personne, quelle que soit sa nationalité et son âge, en provenance d’une région extérieure à la Polynésie française, ne sera autorisée à embarquer sur un vol à destination de la Polynésie française qu’après avoir présenté à la compagnie aérienne, au moment de l’enregistrement, un résultat négatif au test de dépistage au Covid-19 réalisé moins de 3 jours avant le vol ainsi que le récépissé d’enregistrement sur la plateforme polynésienne « Electronic travel information system » – « ETIS ».

    Pour les familles qui prévoient de voyager avec des enfants mineurs, chaque enfant pourra être sur le formulaire d’un des parents ou adulte autorisé à voyager avec ses enfants mineurs. Autrement, les enfants voyageant seuls devront disposer d’un formulaire individuel.

    Trois sections composent le formulaire ETIS :

    • Une sur les informations liées à l’identité, la nationalité, le lieu de résidence du voyageur.
    • Une sur ses engagements sanitaires;
    • Une sur son itinéraire de voyage en Polynésie française (uniquement pour les non-résidents).

    Le délai d’obtention d’une autorisation ETIS étant immédiat, le voyageur peut saisir sa demande jusqu’au moment de l’enregistrement.

    Une fois le formulaire rempli et validé, le voyageur reçoit immédiatement par email la confirmation et le numéro de son attestation ETIS qu’il présentera à la compagnie de transport aérienne au moment de l’enregistrement avec le résultat négatif du test de dépistage au Covid-19.

    Les autorités sanitaires polynésiennes pourront, à tout moment, consulter ces informations et contacter le voyageur en cas de besoin. Les renseignements recueillis ne sont consultables que par le bureau de veille sanitaire. Ils ne serviront qu’aux fins de protection de Santé publique et d’enquête épidémiologique.

    Enfin, à leur arrivée en Polynésie, les voyageurs se verront remettre un kit d’auto-prélèvement à réaliser 4 jours après leur arrivée sur le territoire polynésien. Mis en place par l’Institut Louis Malardé (ILM), ce kit d’auto-prélèvement vient renforcer le dispositif de surveillance sanitaire, qui a prouvé son efficacité à travers le monde, ces derniers mois.

    SOURCE OFFICIELLE : https://www.presidence.pf/mise-en-ligne-de-la-plateforme-etis-electronic-travel-information-system/

    Communique ETIS