Annuaire des structures

  • Mise en ligne de la plateforme ETIS « Electronic Travel Information System »

    La plateforme ETIS – « Electronic Travel Information System » a été mise en ligne samedi 11 juillet, à midi, 3 jours avant la reprise du tourisme international. Mise en place par le gouvernement de la Polynésie française dans le cadre de la pandémie mondiale due au Covid-19, etis.pf est une plateforme qui permet la dématérialisation du formulaire sanitaire d’engagement (arrêté du Conseil des ministres du 24 juin 2020) obligatoire pour tout voyageur entrant en Polynésie française par voie aérienne.

    Communique ETIS

    Désormais, tout voyageur, résident et non résident, souhaitant entrer en Polynésie française par voie aérienne, est soumis à cette formalité déclarative.  La formalité sanitaire ETIS s’ajoute à celles relatives aux conditions d’entrée des étrangers sur le territoire polynésien.

    Conditions d’entrée et de séjour des voyageurs

    À compter du 15 juillet 2020, toute personne, quelle que soit sa nationalité et son âge, en provenance d’une région extérieure à la Polynésie française, ne sera autorisée à embarquer sur un vol à destination de la Polynésie française qu’après avoir présenté à la compagnie aérienne, au moment de l’enregistrement, un résultat négatif au test de dépistage au Covid-19 réalisé moins de 3 jours avant le vol ainsi que le récépissé d’enregistrement sur la plateforme polynésienne « Electronic travel information system » – « ETIS ».

    Pour les familles qui prévoient de voyager avec des enfants mineurs, chaque enfant pourra être sur le formulaire d’un des parents ou adulte autorisé à voyager avec ses enfants mineurs. Autrement, les enfants voyageant seuls devront disposer d’un formulaire individuel.

    Trois sections composent le formulaire ETIS :

    • Une sur les informations liées à l’identité, la nationalité, le lieu de résidence du voyageur.
    • Une sur ses engagements sanitaires;
    • Une sur son itinéraire de voyage en Polynésie française (uniquement pour les non-résidents).

    Le délai d’obtention d’une autorisation ETIS étant immédiat, le voyageur peut saisir sa demande jusqu’au moment de l’enregistrement.

    Une fois le formulaire rempli et validé, le voyageur reçoit immédiatement par email la confirmation et le numéro de son attestation ETIS qu’il présentera à la compagnie de transport aérienne au moment de l’enregistrement avec le résultat négatif du test de dépistage au Covid-19.

    Les autorités sanitaires polynésiennes pourront, à tout moment, consulter ces informations et contacter le voyageur en cas de besoin. Les renseignements recueillis ne sont consultables que par le bureau de veille sanitaire. Ils ne serviront qu’aux fins de protection de Santé publique et d’enquête épidémiologique.

    Enfin, à leur arrivée en Polynésie, les voyageurs se verront remettre un kit d’auto-prélèvement à réaliser 4 jours après leur arrivée sur le territoire polynésien. Mis en place par l’Institut Louis Malardé (ILM), ce kit d’auto-prélèvement vient renforcer le dispositif de surveillance sanitaire, qui a prouvé son efficacité à travers le monde, ces derniers mois.

    SOURCE OFFICIELLE : https://www.presidence.pf/mise-en-ligne-de-la-plateforme-etis-electronic-travel-information-system/

    Mise en ligne de la plateforme ETIS « Electronic Travel Information System »

    La plateforme ETIS – « Electronic Travel Information System » a été mise en ligne samedi 11 juillet, à midi, 3 jours avant la reprise du tourisme international. Mise en place par le gouvernement de la Polynésie française dans le cadre de la pandémie mondiale due au Covid-19, etis.pf est une plateforme qui permet la dématérialisation du formulaire sanitaire d’engagement (arrêté du Conseil des ministres du 24 juin 2020) obligatoire pour tout voyageur entrant en Polynésie française par voie aérienne.

    Désormais, tout voyageur, résident et non résident, souhaitant entrer en Polynésie française par voie aérienne, est soumis à cette formalité déclarative.  La formalité sanitaire ETIS s’ajoute à celles relatives aux conditions d’entrée des étrangers sur le territoire polynésien.

    Conditions d’entrée et de séjour des voyageurs

    À compter du 15 juillet 2020, toute personne, quelle que soit sa nationalité et son âge, en provenance d’une région extérieure à la Polynésie française, ne sera autorisée à embarquer sur un vol à destination de la Polynésie française qu’après avoir présenté à la compagnie aérienne, au moment de l’enregistrement, un résultat négatif au test de dépistage au Covid-19 réalisé moins de 3 jours avant le vol ainsi que le récépissé d’enregistrement sur la plateforme polynésienne « Electronic travel information system » – « ETIS ».

    Pour les familles qui prévoient de voyager avec des enfants mineurs, chaque enfant pourra être sur le formulaire d’un des parents ou adulte autorisé à voyager avec ses enfants mineurs. Autrement, les enfants voyageant seuls devront disposer d’un formulaire individuel.

    Trois sections composent le formulaire ETIS :

    • Une sur les informations liées à l’identité, la nationalité, le lieu de résidence du voyageur.
    • Une sur ses engagements sanitaires;
    • Une sur son itinéraire de voyage en Polynésie française (uniquement pour les non-résidents).

    Le délai d’obtention d’une autorisation ETIS étant immédiat, le voyageur peut saisir sa demande jusqu’au moment de l’enregistrement.

    Une fois le formulaire rempli et validé, le voyageur reçoit immédiatement par email la confirmation et le numéro de son attestation ETIS qu’il présentera à la compagnie de transport aérienne au moment de l’enregistrement avec le résultat négatif du test de dépistage au Covid-19.

    Les autorités sanitaires polynésiennes pourront, à tout moment, consulter ces informations et contacter le voyageur en cas de besoin. Les renseignements recueillis ne sont consultables que par le bureau de veille sanitaire. Ils ne serviront qu’aux fins de protection de Santé publique et d’enquête épidémiologique.

    Enfin, à leur arrivée en Polynésie, les voyageurs se verront remettre un kit d’auto-prélèvement à réaliser 4 jours après leur arrivée sur le territoire polynésien. Mis en place par l’Institut Louis Malardé (ILM), ce kit d’auto-prélèvement vient renforcer le dispositif de surveillance sanitaire, qui a prouvé son efficacité à travers le monde, ces derniers mois.

    SOURCE OFFICIELLE : https://www.presidence.pf/mise-en-ligne-de-la-plateforme-etis-electronic-travel-information-system/

    Communique ETIS

  • Reprise de l’activité touristique et rétablissement des liaisons aériennes à partir du 15 juillet prochain

    Le Haut-Commissaire de la République Dominique Sorain et le Président de la Polynésie française, Edouard Fritch, ont présenté jeudi les nouvelles modalités d’entrée en Polynésie française qui seront en vigueur à partir du 15 juillet prochain, date à laquelle l’activité touristique reprendra avec le rétablissement des liaisons aériennes avec les États-Unis.

    Photo de la déclaration du président et du haut-commissaire sur la reprise de l'activité touristique à compter du 15 juillet

    La réouverture de la Polynésie française à son environnement extérieur est plus que nécessaire pour limiter l’impact socio-économique de la crise sanitaire du Covid-19, avec l’objectif permanent de trouver un équilibre entre la protection sanitaire de la population et le redémarrage économique du Pays.

    Mais cette réouverture de nos frontières s’est effectuée de manière progressive avec le maintien des garanties sanitaires pour limiter la propagation du virus sur le territoire polynésien.

    À compter du 15 juillet, les modalités d’entrée en Polynésie française évoluent avec la fin des motifs impérieux pour se déplacer au fenua et la levée de la septaine obligatoire.

    Tous les nouveaux arrivants, au départ de la métropole ou des États-Unis, devront se soumettre au nouveau protocole d’entrée en Polynésie française basé sur les principes suivants :

    • L’obligation de présenter un résultat négatif au test de détection du génome du SARS-CoV-2 pour un dépistage du covid-19, (RT PCR), pratiqué dans les 3 jours précédant le vol ;
    • L’obligation de réalisation d’un test de surveillance par auto-prélèvement à une date précise fixée en fonction de l’arrivée en Polynésie française.
    • L’obligation de s’enregistrer sur une plateforme informatique, intitulée « Electronic Travel Information System » ou E.T.I.S., dans laquelle le passager indiquera sa résidence, pour les résidents polynésiens, ou son parcours en Polynésie française pour les touristes.
    • L’engagement sur l’honneur, au cours de l’enregistrement sur ETIS, notamment de :
      • Signaler tout symptôme évocateur de la covid-19 à la plateforme du bureau de veille sanitaire de la Direction de la santé au 40 455 000, ou en cas de signe de gravité l’appel au SAMU 15 ;
      • Se soumettre à la prise en charge proposée par le Pays en cas de confirmation de la maladie ;
      • Disposer d’une assurance de voyage, ou si l’assurance ne prend pas en charge le risque en cas de pandémie, l’engagement de prendre en charge les éventuels frais médicaux sur le territoire.

    Ainsi à compter du 15 juillet 2020, toute personne, quelle que soit sa nationalité et son âge, en provenance d’une région extérieure à la Polynésie française ne sera autorisée à embarquer sur un vol à destination de Papeete qu’après avoir présenté à la compagnie aérienne, au moment de l’enregistrement, un résultat négatif au test au COVID-19 réalisé trois jours avant le vol. Le voyageur devra également présenter le récépissé d’enregistrement sur la plateforme polynésienne « Electronic travel information system » – « ETIS ». Ce sont deux conditions obligatoires avant tout embarquement.

    A cette occasion, la ministre du Tourisme, Nicole Bouteau, a présenté l’outil numérique ETIS qui permettra aux autorités sanitaires de tracer le parcours de tous les nouveaux arrivants en Polynésie française.

    Ce dispositif électronique d’autorisation de voyage mis en place par le gouvernement dans le cadre de la pandémie mondiale due au COVID-19. Tout voyageur, résident et non résident, souhaitant entrer en Polynésie française par voie aérienne, sera soumis à une obligation déclarative. Il devra remplir sur la plateforme ETIS un formulaire sanitaire d’engagement et compléter des informations relatives à son identité, sa durée et son itinéraire de séjour. Cette plateforme entrera en vigueur le 11 juillet prochain, trois jours avant la reprise du tourisme international.

    Par ailleurs, chaque voyageur se verra remettre, à son arrivée à l’aéroport à Faaa, un kit d’auto-prélèvement, de type RT-PCR. Cet auto-prélèvement doit être réalisé 4 jours après son arrivée en Polynésie. Les tests seront collectés et envoyés pour analyse sur Tahiti, à l’Institut Louis Malardé, par la direction de la santé et ses structures délocalisées sur l’ensemble du territoire polynésien.

    Si un cas de Covid est avéré, il sera immédiatement isolé et pris en charge par l’organisation sanitaire polynésienne. S’il est dans les archipels, le Pays procèdera à son extraction immédiate par un vol sanitaire vers l’Hôpital de Taaone où il subira une visite médicale. Si le cas positif se confirme, cette personne sera mise en isolement dans un hébergement dédié à cet effet.

    Enfin, le Haut-Commissaire et le Président de la Polynésie ont appelé l’ensemble de la population à la vigilance en poursuivant leurs efforts et en appliquant à nouveau les gestes barrières et la distanciation physique, qui constituent notre meilleur remède pour prévenir les risques de contamination.

    Afin de se protéger soi-même mais surtout pour protéger son entourage et l’ensemble de la population, notamment les personnes les plus vulnérables, il est indispensable de respecter strictement les mesures d’hygiène et la distanciation physique. Le port du masque est fortement recommandé en dehors du lieu de résidence et en présence de toute personne hors du cercle familial.

    SOURCE OFFICIELLE : https://www.presidence.pf/reprise-de-lactivite-touristique-et-retablissement-des-liaisons-aeriennes-a-partir-du-15-juillet-prochain/

    Reprise de l’activité touristique et rétablissement des liaisons aériennes à partir du 15 juillet prochain

    Le Haut-Commissaire de la République Dominique Sorain et le Président de la Polynésie française, Edouard Fritch, ont présenté jeudi les nouvelles modalités d’entrée en Polynésie française qui seront en vigueur à partir du 15 juillet prochain, date à laquelle l’activité touristique reprendra avec le rétablissement des liaisons aériennes avec les États-Unis.

    La réouverture de la Polynésie française à son environnement extérieur est plus que nécessaire pour limiter l’impact socio-économique de la crise sanitaire du Covid-19, avec l’objectif permanent de trouver un équilibre entre la protection sanitaire de la population et le redémarrage économique du Pays.

    Mais cette réouverture de nos frontières s’est effectuée de manière progressive avec le maintien des garanties sanitaires pour limiter la propagation du virus sur le territoire polynésien.

    À compter du 15 juillet, les modalités d’entrée en Polynésie française évoluent avec la fin des motifs impérieux pour se déplacer au fenua et la levée de la septaine obligatoire.

    Tous les nouveaux arrivants, au départ de la métropole ou des États-Unis, devront se soumettre au nouveau protocole d’entrée en Polynésie française basé sur les principes suivants :

    • L’obligation de présenter un résultat négatif au test de détection du génome du SARS-CoV-2 pour un dépistage du covid-19, (RT PCR), pratiqué dans les 3 jours précédant le vol ;
    • L’obligation de réalisation d’un test de surveillance par auto-prélèvement à une date précise fixée en fonction de l’arrivée en Polynésie française.
    • L’obligation de s’enregistrer sur une plateforme informatique, intitulée « Electronic Travel Information System » ou E.T.I.S., dans laquelle le passager indiquera sa résidence, pour les résidents polynésiens, ou son parcours en Polynésie française pour les touristes.
    • L’engagement sur l’honneur, au cours de l’enregistrement sur ETIS, notamment de :
      • Signaler tout symptôme évocateur de la covid-19 à la plateforme du bureau de veille sanitaire de la Direction de la santé au 40 455 000, ou en cas de signe de gravité l’appel au SAMU 15 ;
      • Se soumettre à la prise en charge proposée par le Pays en cas de confirmation de la maladie ;
      • Disposer d’une assurance de voyage, ou si l’assurance ne prend pas en charge le risque en cas de pandémie, l’engagement de prendre en charge les éventuels frais médicaux sur le territoire.

    Ainsi à compter du 15 juillet 2020, toute personne, quelle que soit sa nationalité et son âge, en provenance d’une région extérieure à la Polynésie française ne sera autorisée à embarquer sur un vol à destination de Papeete qu’après avoir présenté à la compagnie aérienne, au moment de l’enregistrement, un résultat négatif au test au COVID-19 réalisé trois jours avant le vol. Le voyageur devra également présenter le récépissé d’enregistrement sur la plateforme polynésienne « Electronic travel information system » – « ETIS ». Ce sont deux conditions obligatoires avant tout embarquement.

    A cette occasion, la ministre du Tourisme, Nicole Bouteau, a présenté l’outil numérique ETIS qui permettra aux autorités sanitaires de tracer le parcours de tous les nouveaux arrivants en Polynésie française.

    Ce dispositif électronique d’autorisation de voyage mis en place par le gouvernement dans le cadre de la pandémie mondiale due au COVID-19. Tout voyageur, résident et non résident, souhaitant entrer en Polynésie française par voie aérienne, sera soumis à une obligation déclarative. Il devra remplir sur la plateforme ETIS un formulaire sanitaire d’engagement et compléter des informations relatives à son identité, sa durée et son itinéraire de séjour. Cette plateforme entrera en vigueur le 11 juillet prochain, trois jours avant la reprise du tourisme international.

    Par ailleurs, chaque voyageur se verra remettre, à son arrivée à l’aéroport à Faaa, un kit d’auto-prélèvement, de type RT-PCR. Cet auto-prélèvement doit être réalisé 4 jours après son arrivée en Polynésie. Les tests seront collectés et envoyés pour analyse sur Tahiti, à l’Institut Louis Malardé, par la direction de la santé et ses structures délocalisées sur l’ensemble du territoire polynésien.

    Si un cas de Covid est avéré, il sera immédiatement isolé et pris en charge par l’organisation sanitaire polynésienne. S’il est dans les archipels, le Pays procèdera à son extraction immédiate par un vol sanitaire vers l’Hôpital de Taaone où il subira une visite médicale. Si le cas positif se confirme, cette personne sera mise en isolement dans un hébergement dédié à cet effet.

    Enfin, le Haut-Commissaire et le Président de la Polynésie ont appelé l’ensemble de la population à la vigilance en poursuivant leurs efforts et en appliquant à nouveau les gestes barrières et la distanciation physique, qui constituent notre meilleur remède pour prévenir les risques de contamination.

    Afin de se protéger soi-même mais surtout pour protéger son entourage et l’ensemble de la population, notamment les personnes les plus vulnérables, il est indispensable de respecter strictement les mesures d’hygiène et la distanciation physique. Le port du masque est fortement recommandé en dehors du lieu de résidence et en présence de toute personne hors du cercle familial.

    SOURCE OFFICIELLE : https://www.presidence.pf/reprise-de-lactivite-touristique-et-retablissement-des-liaisons-aeriennes-a-partir-du-15-juillet-prochain/

    Photo de la déclaration du président et du haut-commissaire sur la reprise de l'activité touristique à compter du 15 juillet

  • Réouverture des frontières le 15 juillet : la ministre du Tourisme réunit les professionnels du tourisme

    Dans la perspective de la reprise du tourisme international, la ministre du Tourisme, Nicole Bouteau, a de nouveau réuni l’industrie touristique polynésienne, mercredi après-midi, afin de présenter aux professionnels du secteur les conditions d’entrée et de séjour des voyageurs en Polynésie française à compter du 15 juillet prochain et d’échanger avec eux sur le sujet.

    Photo de la conférence de presse sur la réouverture des frontières

    Les professionnels du tourisme venus en nombre ont ainsi pu découvrir la plateforme ETIS (Electronic Travel Information System). Tel un ESTA sanitaire, ETIS est le dispositif électronique d’autorisation de voyage mis en place par le gouvernement. Cette plateforme entrera en vigueur le 11 juillet prochain, trois jours avant la reprise du tourisme international.

    À partir du 15 juillet 2020, tout voyageur, résident et non résident, souhaitant entrer en Polynésie française par voie aérienne, sera soumis à une obligation déclarative. Il devra remplir, sur la plateforme ETIS, un formulaire sanitaire d’engagement et compléter des informations relatives à son identité, la durée de son séjour et son itinéraire.

    Participaient également à cette réunion de travail, le ministère de la Santé ainsi que l’Institut Louis Malardé, qui ont évoqué les protocoles sanitaires dans le cadre de la réouverture des frontières et répondu aux interrogations des acteurs du tourisme.

    SOURCE OFFICIELLE : https://www.presidence.pf/reouverture-des-frontieres-le-15-juillet-la-ministre-du-tourisme-reunit-les-professionnels-du-tourisme/

    Réouverture des frontières le 15 juillet : la ministre du Tourisme réunit les professionnels du tourisme

    Dans la perspective de la reprise du tourisme international, la ministre du Tourisme, Nicole Bouteau, a de nouveau réuni l’industrie touristique polynésienne, mercredi après-midi, afin de présenter aux professionnels du secteur les conditions d’entrée et de séjour des voyageurs en Polynésie française à compter du 15 juillet prochain et d’échanger avec eux sur le sujet.

    Les professionnels du tourisme venus en nombre ont ainsi pu découvrir la plateforme ETIS (Electronic Travel Information System). Tel un ESTA sanitaire, ETIS est le dispositif électronique d’autorisation de voyage mis en place par le gouvernement. Cette plateforme entrera en vigueur le 11 juillet prochain, trois jours avant la reprise du tourisme international.

    À partir du 15 juillet 2020, tout voyageur, résident et non résident, souhaitant entrer en Polynésie française par voie aérienne, sera soumis à une obligation déclarative. Il devra remplir, sur la plateforme ETIS, un formulaire sanitaire d’engagement et compléter des informations relatives à son identité, la durée de son séjour et son itinéraire.

    Participaient également à cette réunion de travail, le ministère de la Santé ainsi que l’Institut Louis Malardé, qui ont évoqué les protocoles sanitaires dans le cadre de la réouverture des frontières et répondu aux interrogations des acteurs du tourisme.

    SOURCE OFFICIELLE : https://www.presidence.pf/reouverture-des-frontieres-le-15-juillet-la-ministre-du-tourisme-reunit-les-professionnels-du-tourisme/

    Photo de la conférence de presse sur la réouverture des frontières

  • Reprises des vols commerciaux : Modalités d’entrée en Polynésie française du 1er au 14 juillet

    À compter du 3 juillet, les vols commerciaux reprennent entre la Polynésie française et la métropole. Le premier vol commercial opéré par Air Tahiti Nui s’est posé à l’aéroport de Tahiti ce samedi 4 juillet au matin.

    Modalités d’entrée jusqu’au 14 juillet

    Jusqu’au 14 juillet les passagers devront justifier d’un motif impérieux pour se rendre en Polynésie française. Pour être autorisé à embarquer, les passagers devront présenter à la compagnie aérienne une attestation indiquant ce motif (santé urgent, familial impérieux ou professionnel) ainsi que les résultats négatifs de leur test RT-PCR.

    À leur arrivée, ils seront soumis à une quarantaine de sept jours à domicile. Seuls les passagers résidents des îles et qui n’ont pas de solution d’hébergement à Tahiti seront obligatoirement isolés dans un site dédié à Tahiti pendant sept jours.

    Les résidents de Moorea devront effectuer une première nuit à Tahiti, soit en étant hébergé chez des proches soit dans un centre dédié. Ils ne pourront prendre leur navette pour Moorea qu’à l’issue de cette première nuit de transit. Ils poursuivront leur isolement à domicile dans leur résidence à Moorea.

    Une déclaration sur l’honneur est exigée pour s’engager à respecter les modalités de la quarantaine.

    Tous les nouveaux arrivants en isolement à domicile seront régulièrement contactés par téléphone par des agents du Haut-commissariat.

    Plus d’informations dans la FAQ du Hautssariat.

    Respect des mesures barrières

    Dans tous les cas, la reprise des vols commerciaux nécessite l’engagement collectif de toute la population qui doit appliquer strictement les gestes barrières comme un réflexe au quotidien.

    Afin de se protéger soi-même mais surtout pour protéger son entourage et l’ensemble de la population, notamment les personnes les plus vulnérables, il est indispensable de respecter les mesures d’hygiène et de distanciation physique. Le port du masque est fortement recommandé dans toutes les situations où la distanciation physique ne peut être garantie.

    SOURCE OFFICIELLE : http://www.polynesie-francaise.pref.gouv.fr/Actualites/Communiques-de-presse/2020/Reprise-des-vols-commerciaux-Modalites-d-entree-en-Polynesie-francaise-du-1er-au-14-juillet

  • Deux nouveaux cas importés de Covid-19 en Polynésie française

    Ce jour, vendredi 26 juin 2020, deux personnes ont été testées positives au virus du Covid-19. Il s’agit de deux passagers, de la même famille, revenus sur le vol de continuité territoriale du vendredi 12 juin 2020. Ils avaient justifié d’un test négatif, effectué 72 heures avant d’embarquer sur le vol Paris-Papeete.

    Depuis leur retour au Fenua, ces personnes ont été confinées, ensemble à leur domicile, avec suivi sanitaire. Elles n’ont présenté aucun signe clinique évoquant la maladie depuis quatorze jours mais ont été testées positives lors du dépistage effectué en fin de quatorzaine. Ces personnes bénéficient d’une prise en charge médicale adaptée.

    Tous les autres résidents ayant voyagé sur ce vol de continuité territoriale ont été testés négatifs au virus à l’issue de leur quatorzaine.

    Les autorités sanitaires rappellent l’importance d’appliquer les gestes barrières et d’hygiène, qui permettent de limiter la propagation du virus et de casser la chaîne de transmission : lavage régulier des mains, distanciation physique, port du masque et aération et nettoyage des espaces de vie. Ces mesures de protection sont encore plus nécessaires en présence de personnes à risque : personnes de plus 65 ans, en longue maladie, ou maladie chronique, en situation d’obésité ou femmes enceintes.

  • BULLETIN D’INFORMATION #46 – Cellule de crise de la Polynésie française

    À ce jour, 4728 tests ont été effectués depuis le début de l’épidémie en Polynésie française. Il n’y a eu aucun nouveau cas confirmé de Covid-19 dans la population polynésienne depuis le 4 mai 2020.

    Retour des résidents et gestion de la quarantaine

    Depuis le début de la crise, dix vols de continuité territoriale ont été opérées. Ils ont permis de rapatrier plus de 750 résidents polynésiens (hors personnels naviguant, professionnels de santé et gendarmes). Parmi ces personnes, environ 650 ont accepté d’effectuer une quarantaine de quatorze jours dans des lieux dédiés et entièrement pris en charge par le Pays (transports, hébergement, restauration et test à l’issue des 14 jours). Environ 100 personnes ont choisi d’effectuer leur période de quarantaine à domicile.

    Pour les personnes qui ont été hébergées dans les lieux gérés par le Pays, de nombreuses activités encadrées par la cellule de crise Covid-19 ont été organisées sur place pour rendre cette période le plus agréable possible : conférence sur la culture, la langue et l’histoire polynésienne ; ateliers culinaires, de tressages ou de ‘ori Tahiti ; rendez-vous sportifs organisés par les confinés ou par des professionnels bénévoles (cours de yoga, initiation à différentes pratiques sportives, etc).

    Fermeture de la Cellule de crise Covid-19

    Le vendredi 3 juillet 2020, la Cellule de crise, fermera ses portes. En partie composée de professionnels issus des services et structures du ministère de la santé et de la prévention, il est important que l’ensemble de ces ressources regagnent leurs services d’origine afin que les structures de la direction de la santé (avec le bureau de veille sanitaire -BVS), l’agence de régulation de l’action sanitaire et sociale (ARASS) et le centre hospitalier de la Polynésie française (CHPF) soient en ordre de marche pour la prise en charge des soins, dans le cadre de la réouverture de nos frontières.

    L’ensemble des membres de la Cellule de crise souhaitent remercier les bénévoles qui se sont engagés et tous les professionnels qui ont œuvré pour gérer cette crise inédite.

    Mis en place du logiciel Firiora

    A partir du 1er juillet 2020, le dispositif de suivi sanitaire des entrants en Polynésie est entièrement repensé. La quarantaine de quatorze jours en sites dédiés est supprimées et remplacée par une quarantaine de sept jours à domicile, avec un suivi sanitaire pris en charge par le Pays.

    Le logiciel de suivi épidémiologique, FIRIORA, rentrera en phase de test opérationnel du 1er au 14 juillet, et sera mis pleinement en action à partir du 15 juillet 2020. Il aura pour but d’identifier le plus rapidement possible des personnes symptomatiques, pouvant être atteint de covid-19.

    Les informations de voyage, remplies par les voyageurs sur l’ETIS (mis en place par le ministère du tourisme et du travail), prérequis au voyage en Polynésie, pourraient être utilisées par les professionnels de santé utilisant Firiora, dans l’hypothèse d’une enquête sanitaire nécessaire au tour d’un cas de covid-19 détecté. ETIS fonctionnerait alors comme un annuaire de contact des voyageurs, pour identifier numéros d’appel et lieux de résidences temporaires.

    L’objectif étant d’améliorer la rapidité et l’efficacité de l’enquête sanitaire pour casser la chaîne de transmission du virus.

    Nouvelles mesures sanitaires mises en place en juillet 2020

    Les autorités sanitaires appellent la population à limiter au maximum les déplacements à l’étranger.

    Afin d’assurer un suivi attentif et une identification rapide des personnes étant susceptibles d’être porteur du virus, chaque personne revenant d’un séjour hors de Polynésie ou ayant été en contact avec un personne arrivant de l’étranger ou de métropole devra être attentive à son état de santé.

    Les personnes ressentant un symptôme évocateur de la maladie (fatigue, fièvre, maux de tête, perte du goût ou de l’odorat, courbatures, gêne respiratoire ou diarrhée), devront se signaler rapidement auprès de leur médecin ou de la plateforme d’appel de la santé : le 40.455.000.

    Ce numéro sera mis en place au début du mois de juillet et géré par des professionnels de santé du bureau de veille sanitaire (BVS).

    Avec la réouverture des frontières, les autorités sanitaires rappellent l’importance d’appliquer les gestes barrières (lavage régulier des mains, distanciation physique, port du masque et aération et nettoyage des espaces de vie). Ces mesures d’hygiène et de protection sont encore plus nécessaire en présence de personnes à risque : personnes de plus 65 ans, en longue maladie, ou maladie chronique, en situation d’obésité ou femmes enceintes au troisième trimestre). Il convient de les protéger.

    Le respect des gestes barrières sera une responsabilité citoyenne autant qu’une marque de respect. Protéger les autres, c’est les respecter.

    Mesures prises dans le cadre de l’épidémie de Covid-19 en Polynésie française, de mars à mai 2020

    BULLETIN D’INFORMATION #46 – Cellule de crise de la Polynésie française

    À ce jour, 4728 tests ont été effectués depuis le début de l’épidémie en Polynésie française. Il n’y a eu aucun nouveau cas confirmé de Covid-19 dans la population polynésienne depuis le 4 mai 2020.

    Retour des résidents et gestion de la quarantaine

    Depuis le début de la crise, dix vols de continuité territoriale ont été opérées. Ils ont permis de rapatrier plus de 750 résidents polynésiens (hors personnels naviguant, professionnels de santé et gendarmes). Parmi ces personnes, environ 650 ont accepté d’effectuer une quarantaine de quatorze jours dans des lieux dédiés et entièrement pris en charge par le Pays (transports, hébergement, restauration et test à l’issue des 14 jours). Environ 100 personnes ont choisi d’effectuer leur période de quarantaine à domicile.

    Pour les personnes qui ont été hébergées dans les lieux gérés par le Pays, de nombreuses activités encadrées par la cellule de crise Covid-19 ont été organisées sur place pour rendre cette période le plus agréable possible : conférence sur la culture, la langue et l’histoire polynésienne ; ateliers culinaires, de tressages ou de ‘ori Tahiti ; rendez-vous sportifs organisés par les confinés ou par des professionnels bénévoles (cours de yoga, initiation à différentes pratiques sportives, etc).

    Fermeture de la Cellule de crise Covid-19

    Le vendredi 3 juillet 2020, la Cellule de crise, fermera ses portes. En partie composée de professionnels issus des services et structures du ministère de la santé et de la prévention, il est important que l’ensemble de ces ressources regagnent leurs services d’origine afin que les structures de la direction de la santé (avec le bureau de veille sanitaire -BVS), l’agence de régulation de l’action sanitaire et sociale (ARASS) et le centre hospitalier de la Polynésie française (CHPF) soient en ordre de marche pour la prise en charge des soins, dans le cadre de la réouverture de nos frontières.

    L’ensemble des membres de la Cellule de crise souhaitent remercier les bénévoles qui se sont engagés et tous les professionnels qui ont œuvré pour gérer cette crise inédite.

    Mis en place du logiciel Firiora

    A partir du 1er juillet 2020, le dispositif de suivi sanitaire des entrants en Polynésie est entièrement repensé. La quarantaine de quatorze jours en sites dédiés est supprimées et remplacée par une quarantaine de sept jours à domicile, avec un suivi sanitaire pris en charge par le Pays.

    Le logiciel de suivi épidémiologique, FIRIORA, rentrera en phase de test opérationnel du 1er au 14 juillet, et sera mis pleinement en action à partir du 15 juillet 2020. Il aura pour but d’identifier le plus rapidement possible des personnes symptomatiques, pouvant être atteint de covid-19.

    Les informations de voyage, remplies par les voyageurs sur l’ETIS (mis en place par le ministère du tourisme et du travail), prérequis au voyage en Polynésie, pourraient être utilisées par les professionnels de santé utilisant Firiora, dans l’hypothèse d’une enquête sanitaire nécessaire au tour d’un cas de covid-19 détecté. ETIS fonctionnerait alors comme un annuaire de contact des voyageurs, pour identifier numéros d’appel et lieux de résidences temporaires.

    L’objectif étant d’améliorer la rapidité et l’efficacité de l’enquête sanitaire pour casser la chaîne de transmission du virus.

    Nouvelles mesures sanitaires mises en place en juillet 2020

    Les autorités sanitaires appellent la population à limiter au maximum les déplacements à l’étranger.

    Afin d’assurer un suivi attentif et une identification rapide des personnes étant susceptibles d’être porteur du virus, chaque personne revenant d’un séjour hors de Polynésie ou ayant été en contact avec un personne arrivant de l’étranger ou de métropole devra être attentive à son état de santé.

    Les personnes ressentant un symptôme évocateur de la maladie (fatigue, fièvre, maux de tête, perte du goût ou de l’odorat, courbatures, gêne respiratoire ou diarrhée), devront se signaler rapidement auprès de leur médecin ou de la plateforme d’appel de la santé : le 40.455.000.

    Ce numéro sera mis en place au début du mois de juillet et géré par des professionnels de santé du bureau de veille sanitaire (BVS).

    Avec la réouverture des frontières, les autorités sanitaires rappellent l’importance d’appliquer les gestes barrières (lavage régulier des mains, distanciation physique, port du masque et aération et nettoyage des espaces de vie). Ces mesures d’hygiène et de protection sont encore plus nécessaire en présence de personnes à risque : personnes de plus 65 ans, en longue maladie, ou maladie chronique, en situation d’obésité ou femmes enceintes au troisième trimestre). Il convient de les protéger.

    Le respect des gestes barrières sera une responsabilité citoyenne autant qu’une marque de respect. Protéger les autres, c’est les respecter.

    Mesures prises dans le cadre de l’épidémie de Covid-19 en Polynésie française, de mars à mai 2020
  • La liste des candidats admis sur dossier au titre de la formation professionnelle continue et de la reconversion professionnelle à la formation en soins infirmiers

    Depuis ce vendredi matin à 10h, la liste des candidats admis sur dossier relevant de la formation professionnelle continue et de la reconversion professionnelle pour une entrée en formation à l’IFPS Mathilde Frébault en septembre 2020 est accessible sur le site de la Direction de la santé.

    Découvrez les noms des candidats admis par l’Institut de formation des professions de santé Mathilde Frébault.

    La liste des candidats admis sur dossier au titre de la formation professionnelle continue et de la reconversion professionnelle à la formation en soins infirmiers

    Depuis ce vendredi matin à 10h, la liste des candidats admis sur dossier relevant de la formation professionnelle continue et de la reconversion professionnelle pour une entrée en formation à l’IFPS Mathilde Frébault en septembre 2020 est accessible sur le site de la Direction de la santé.

    Découvrez les noms des candidats admis par l’Institut de formation des professions de santé Mathilde Frébault.

  • BULLETIN D’INFORMATION #45 – Cellule de crise de la Polynésie française

    4021 tests ont été effectués depuis le début de l’épidémie en Polynésie française. Il n’y a aucun nouveau cas confirmé de Covid-19 dans la population polynésienne. L’état général de santé du patient hospitalisé au centre hospitalier de Polynésie française (CHPF) est en nette voie d’amélioration.

    Le suivi sanitaire des personnes sans domiciles fixes

    Suite aux mesures de confinement général décidé au mois de mars 2020 sur la totalité du Fenua, les autorités du Pays avaient choisi de prendre en charge les personnes sans domiciles fixes dans des structures d’hébergement d’urgence. Au total, à Papeete, ce sont près de 120 personnes qui ont été orientées dans quatre lieux dédiés, gérés grâce au concours de la mairie de Papeete, la direction des solidarités, de la famille et de l’égalité (DSFE), de l’association Te Torea et du Pays.

    L’hébergement dans des lieux dédiés et définis, pendant près de deux mois, a permis aux professionnels de santé d’effectuer un travail de soin auprès de ces personnes sans domiciles fixes. Cela a permis de proposer un encadrement social, psychologique et sanitaire, d’ordinaire difficile à envisager. Ainsi, deux à trois fois par jour, infirmiers et médecins de santé publique se sont rendus dans ces centres d’hébergement d’urgence afin de remettre en place un suivi médical et hygiénique adéquate aux problématiques de santé individuelles.

    Les professionnels de santé ont pu constater la grande capacité d’adaptation et de résilience d’une majorité des SDF de la ville de Papeete. Si certains sont en voie d’insertion sociale et professionnelle, certains sont repartis vivre dans la rue, où une augmentation du nombre de personnes démunies suite à la crise a été notée. Des solutions de suivi médical sur un plus long terme sont à l’étude pour améliorer l’accès aux soins et à l’hygiène, de ces personnes.

    FIRIORA, une plateforme pour assurer le suivi épidémiologique

    La crise du Covid-19 a fait émerger la nécessité de se doter d’outils numériques performants pour améliorer le suivi des épidémies, assuré par le bureau de veille sanitaire (BVS) et les professionnels de santé, en Polynésie française.

    Depuis plusieurs semaines, les équipes de la Cellule de crise Covid-19, de la direction de la Santé, de l’agence de régulation pour l’action sanitaire et sociale (ARASS) et du service informatique du Pays, travaillent à l’adaptation au contexte sanitaire polynésien d’un logiciel spécialisé dans la prévention et le suivi des épidémies. L’outil développé s’inspire du logiciel DAMOC de la société Epiconcept, qui a fait ses preuves pour le suivi des cas de tuberculose, en métropole.

    Cet outil est une plateforme strictement réservée aux professionnels de santé et aux autorités sanitaires, dont le but est d’améliorer la communication entre les professionnels de santé pour le suivi des patients, dans le respect total du secret médical et des libertés individuelles. Seuls les professionnels directement impliqués dans la prise en charge des patients pourront accéder aux fiches de suivi des patients. Seules les informations relatives au coronavirus seront renseignées sur celle-ci, et les données seront détruites après la durée définie par le cadre légal (actuellement de 3 mois).

    La plateforme FIRIORA est destinée uniquement au suivi de l’enquête épidémiologique du Covid-19 en Polynésie. Elle permettra dans les jours qui arrivent d’optimiser la surveillance virologique des personnes arrivant sur le territoire.

    Et, dans l’hypothèse où le virus serait à nouveau en circulation dans la population, le logiciel permettra une gestion plus complète et plus sécurisée de l’enquête épidémiologique autour des cas : identifier les clusters infectieux, les personnes à risque d’infection et les personnes contacts (cette information ne sera accessible que par les équipes médicales du bureau de veille sanitaire, exclusivement).

    Il ne s’agit en aucun cas d’un outil permettant de géolocaliser les personnes, ni d’enregistrer de manière systématique les contacts entre les personnes.

    Son usage pourrait être réadapté dans un second temps pour le suivi d’autres épidémies au Fenua.

    Le numéro vert 444.789 ferme le 31 mai

    Pour faire face aux interrogations et aux inquiétudes de la population concernant le coronavirus, la Direction de la Santé avait ouvert une ligne spécifique : 444.789. Ce numéro gratuit permettait aux personnes présentant des symptômes, ayant des questions ou étant en souffrance d’entrer en contact avec un professionnel de santé. Depuis l’annonce de l’allègement du confinement puis du déconfinement total, le nombre d’appels au 444.789 a drastiquement diminué. Aussi, la Direction de la Santé a décidé de fermer la ligne, à la fin du mois de mai.

    A partir du 1er juin, les personnes ayant des questions d’ordre administrative, sur la continuité territoriale pourront joindre le Haut-Commissariat au : 40 46 87 00.

    Les personnes présentant des symptômes évocateurs de la maladie doivent appeler leur médecin, ou le 15 si leur état de santé est alarmant.

    Pour d’autres questions relatives à l’épidémie de Covid-19 en Polynésie française, il est possible de joindre le bureau de veille sanitaire au 40.488.246 du lundi au jeudi de 7H30 à 15h30 et le vendredi de 7H30 à 14H30.

    BULLETIN D’INFORMATION #43 – Cellule de crise de la Polynésie française

    3873 tests ont été effectués depuis le début de l’épidémie en Polynésie française. Il n’y a aucun nouveau cas confirmé de Covid-19 dans la population polynésienne.

    29 personnes ont été dépistées positives au virus sur un bateau de pêche équatorien le 20 mai 2020. Ces personnes sont considérées en transit et n’ayant pas été en contact avec la communauté, l’une d’elle est actuellement hospitalisée à l’hôpital du Taaone, et isolée selon les protocoles mis en place, afin de garantir la sécurité sanitaire du personnel et des autres patients de l’hôpital.

    Retour des résidents et sortie de quarantaine

    Le vol de continuité territoriale, arrivé vendredi soir, a amené 152 passagers, dont 4 médecins d’Europassistance et 110 résidents polynésiens qui ont accepté d’effectuer une quarantaine dans un lieu dédié et entièrement pris en charge par le Pays (transport, hébergement, restauration et test à l’issue des 14 jours). Certaines personnes ont été autorisées à ne pas faire leur quarantaine, justifiant d’avoir déjà contracté le Covid-19 et ne présentant plus de signes de la maladie depuis plus de 14 jours.

    Dimanche 24 mai, 47 personnes hébergées au centre d’hébergement étudiant (CHE) et à Tibériade ont été autorisées à sortir de leur quarantaine, suite à leur rapatriement de métropole le 10 mai 2020. Tous ont effectué un test de dépistage du Covid-19, analysé négatif, obligatoire pour lever la quarantaine.

    Les personnes rapatriées d’Australie et revenues le 16 mai dans l’avion de l’Etat A400M, devraient être autorisées à sortir le 30 mai prochain.

    Masques et gants à usage unique

    Malgré la levée du confinement annoncé par une allocution conjointe Etat / Pays, mercredi 20 mai, les autorités sanitaires rappellent l’importance de poursuivre l’application des gestes de protection : hygiène des mains, distanciation physique et port du masque. Il est essentiel de continuer à respecter ces comportements qui ont permis de limiter la propagation du virus, la vigilance reste de mise.

    Par ailleurs, si le masque en tissu ou « paruru vaha » est fortement recommandé, ce n’est pas le cas des gants à usage unique. Il est préférable de se laver les mains régulièrement pour garantir une bonne hygiène des mains. En effet, le port de gants ne protège pas toujours des virus, et mal porter des gants peut être pire que de ne rien porter du tout, notamment si l’on met des gants sans se laver les mains, ou que l’on se touche le visage avec.

    Les autorités sanitaires rappellent également que les masques et les gants à usage unique doivent être immédiatement jetés dans une poubelle, sans contact, après utilisation, pour éviter toute dissémination potentielle du virus et aussi pour ne pas polluer notre environnement.

    Quand cela est possible, il est préférable d’opter pour des masques en tissu, réutilisables et fabriqués localement.

    Vol de Shanghai

    Un vol de fret a atterri hier, dimanche 24 mai à l’aéroport de Tahiti-Faa’a. L’avion a débarqué une commande d’équipements de protection individuels (EPI) du centre hospitalier de Polynésie française (CHPF) de près de 60 mètres cube, en plus d’un reliquat de la commande effectuée par le Pays lors du premier vol de Shanghai. Se trouvait également à bord des dons de la Chine à destination des communes de Faa’a et Papeete, ainsi que des dons (essentiellement des EPI) de la Fondation Jack Ma à la Polynésie française, récupéré à Fidji.

    Suivi des dépistages effectués

    Depuis le début de la crise, la majorité des dépistages, soit 89%, a été réalisée dans les Îles du Vent.

    Un travail de suivi des dépistages a été effectué. Au total, à la fin de la 20eme semaine de l’année (S20), le 17 mai 2020, 3330 personnes avaient été dépistées sur l’ensemble des 5 archipels.

    BULLETIN D’INFORMATION #44 – Cellule de crise de la Polynésie française

    3 964 hi’opo’ara’a tei ravehia mai te omuara’a o teie ma’i. Aore roa ta’ata ma’i fa’ahou nô te fenua nei. Teie ra 29 ihita’i i nia i te pahi rava’ai no te fenua Etuatoria tei hi’opo’ahia i te 20 nô Mê 2020. ‘Ua fa’arue mai teie pahi i tô tâtou otia moana i te mahana mâ’a ra i te tapera’a mahana i muri ‘ae i tôna faa’arara’a i te Pû ‘ohipa a te Hau Nui. Tei roto noa â o te hô’ê o te ihita’i nô teie pahi i roto i te rima o te mau taote nô te Fare Ma’i nô Taaone. Mea huru matai oia i teie mahana.

    ô reira, ia tâmau noa â i te fa’a’ohipa i te mau ravea pârurura’a i teie tirotiro Corona.

    Te mau terera’a manureva tei târahuhia e te Hau Nui

    ‘Ua ho’i mai te feia nô te fenua nei i reva atu i te fenua Fârâni. Te manureva i târahuhia e te Hau Fârâni (Continuité Territoriale), ‘ua tapae mai oia i te a’ahi’ata mahana mâ’a ra. 152 horopatete i nia i taua manureva ra. I rotopu ia râtou e 4 taote nô te Tâ’atira’a Europeassistance. 110 feia nô te fenua nei tei fa’ari’i i te hô’ê tau hi’opo’ara’a e 2 hepetoma, i roto i te hô’ê hotera tei târahuhia e te Hau Fenua (te mau ha’amauara’a no te utara’a, te nohora’a, te mâ’a e te mau hi’opo’ara’a nô na mahana 14). E rave rahi ta’ata o tei ani e ho’i i roto i tô râtou mau utuafare, inaha ‘ua ro’ohia na râtou i te ma’i Covid-19, e i teie mahana i muri ‘ae i te mau hi’opo’ara’a aita tô râtou e tirotiro fa’ahou.

    I nanahi ra tapati 24 nô Mê, 47 ta’ata i noho na i roto i te mau fare o te mau piahi nô te Ha’apirira’a Tua Toru nô Outumaoro (CHE) e tae noa atu i te feia o tei hi’opo’ahia ana i Mitirapa (Tibériade) o tei fa’ati’ahia i te ho’i i roto i tô râtou mau utuafare i muri ’ae i tô râtou hi’opo’ara’ahia 14 mahana. Aita e tirotiro fa’ahou i roto ia râtou.

    Te mau ta’ata i fa’aho’ihia mai, mai te fenua Auteraria e tei ho’i mai i te 16 nô Mê na nia i te manureva a te Nu’u A400M, o râtou ato’a o te fa’ati’ahia ia ho’i i roto i tô râtou mau utuafare i te 30 nô Mê i muri nei.

    Te mau pâruru vaha e te mau rimarima

    A ta’a noa atu te parau nô te fa’aorera’ahia te vai ‘opanipanira’a i faa’ara amuihia e te Hau Fenua e te Tomitera Teitei i te mahana 20 nô Mê 2020, te tâmau nei ia te mau Tia mana nô te Ea i te fa’aha’amana’o ia tâtou i te faufa’a rahi nô te fa’aturara’a i te mau fa’a’ohipara’a i te mau ravea pâruru. Na te reira ho’i i fa’a’iti roa i te pârarera’a o te tirotiro i roto i tô tâtou nei fenua.

    Mai te peu e, e titauhia tâtou i te fa’a’ohipa i te pâruru vaha i nirahia e tô tâtou mau Mama, te faa’arahia nei tâtou e mea matai ‘ae nô tâtou i te horoi pinepine i tô tâtou nâ rima i te omono i te rimarima. Inaha, ‘ua pâpû i teie mahana e aita te rimarima e pâruru nei ia tâtou i teie tirotiro.

    Ia hope te fa’a’ohipara’a i te pâruru vaha e tae noa atu i te mau rimarima, e mea tîtauhia tâtou ia fa’aru’e i te reira i roto i te hô’ê fari’i pehu nô te araira’a i te pârarera’a o teie tirotioro e nô te pârurura’a i te arutaimareva.

    Te faa’ara ato’a hia nei tâtou, e mea hau ‘ae i te fa’a’ohipa i te hô’ê pâruru vaha o tei nirahia, inaha e nehenehe â teie mau pâruru vaha i te fa’a’ohipa fa’ahouhia i muri ‘ae i te pu’ara’a iâna

    Te tere manureva nô Shanghai

    ‘Ua ho’i mai teie manureva i nanahi avatea ra, tapati 24 nô Mê i Tahiti-Faa’a. I nia i teie manureva e rave rahi tauihaa (60 metera afata) mai te mau pâruru vaha, matini hutira’a aho, te mau rave’a hi’opo’ara’a. Te rahira’a o teie mau tao’a nô te Fare Ma’i nô Taaone ia, mai te mau tauihaa pâruru.

    Te vai ato’a nei te mau ô tâ te fenua Tinito i fa’ata’a nô te ‘Oire nô Papete e Fa’aa, e te tahi atoa mau ô nô Te Ta’atira’a Jack Ma i te fenua nei e o tei ohihia mai i te fenua Fiti.

    Te parau nô te mau mau hi’opo’ara’a

    Mai te omuara’a o teie ma’i i te fenua nei, te rahira’a o te mau hi’opo’ara’a (89 i nia i te hanere), ‘ua ravehia te reira i nia Mata’i nei. I te 17 nô Mê, 3 330 ta’ata tei hi’opo’ahia i nia i nâ ta’a motu e pae.

    IA VAI ARA NOA Â TÂTOU. A TÂMAU NOA A I TE FA’A’OHIPA I TE MAU RAVEA PÂRURU. MĀURUURU E FA’AITOITO

  • Information de l’institut de formation des professions de santé Mathilde Frébault (IFPS) relative à l’admission des candidats relevant de la formation professionnelle continue et de la reconversion professionnelle

    En application de l’arrêté du 15 mai 2020 relatif à l’adaptation des modalités d’admission à la formation en soins infirmiers dans le cadre de la lutte contre la propagation du virus covid-19, les admissions en formation en soins infirmiers seront effectuées, pour la rentrée 2020, uniquement sur la base des dossiers des candidats déposés à l’occasion de leur inscription au concours.

    L’étude des dossiers sera effectuée par la commission d’examen des voeux de l’IFPS le mercredi 3 juin 2020.

    Le nombre de places à attribuer est fixé à 2, les 2 autres places étant réservées aux candidats ayant bénéficié d’un report d’admission en formation en 2019.

    Les résultats seront affichés à l’IFPS le vendredi 05 juin 2020 à 10h00 et publiés sur le site de la direction de la santé : https://www.service-public.pf/dsp/ifps/.

  • BULLETIN D’INFORMATION #44 – Cellule de crise de la Polynésie française

    3964 tests ont été effectués depuis le début de l’épidémie en Polynésie française. Il n’y a aucun nouveau cas confirmé de Covid-19 dans la population polynésienne.

    29 personnes ont été dépistées positives au virus sur un bateau de pêche équatorien le 20 mai 2020. Le bateau a quitté les eaux de la zone économique exclusive (ZEE) polynésienne samedi 23 mai en fin de journée, après avoir averti le JRCC. Le marin équatorien est toujours hospitalisé à l’hôpital du Taaone, son état est stable.

    Retour des résidents et sortie de quarantaine

    Le vol de continuité territoriale, arrivé vendredi soir, a amené 152 passagers, dont 4 médecins d’Europassistance et 110 résidents polynésiens qui ont accepté d’effectuer une quarantaine dans un lieu dédié et entièrement pris en charge par le Pays (transport, hébergement, restauration et test à l’issue des 14 jours). Certaines personnes ont été autorisées à ne pas faire leur quarantaine, justifiant d’avoir déjà contracté le Covid-19 et ne présentant plus de signes de la maladie depuis plus de 14 jours.

    Dimanche 24 mai, 47 personnes hébergées au centre d’hébergement étudiant (CHE) et à Tibériade ont été autorisées à sortir de leur quarantaine, suite à leur rapatriement de métropole le 10 mai 2020. Tous ont effectué un test de dépistage du Covid-19, analysé négatif, obligatoire pour lever la quarantaine.

    Les personnes rapatriées d’Australie et revenues le 16 mai dans l’avion de l’Etat A400M, devraient être autorisées à sortir le 30 mai prochain.

    Masques et gants à usage unique

    Malgré la levée du confinement annoncé par une allocution conjointe Etat / Pays, mercredi 20 mai, les autorités sanitaires rappellent l’importance de poursuivre l’application des gestes de protection : hygiène des mains, distanciation physique et port du masque. Il est essentiel de continuer à respecter ces comportements qui ont permis de limiter la propagation du virus, la vigilance reste de mise.

    Par ailleurs, si le masque en tissu ou « paruru vaha » est fortement recommandé, ce n’est pas le cas des gants à usage unique. Il est préférable de se laver les mains régulièrement pour garantir une bonne hygiène des mains. En effet, le port de gants ne protège pas toujours des virus, et mal porter des gants peut être pire que de ne rien porter du tout, notamment si l’on met des gants sans se laver les mains, ou que l’on se touche le visage avec.

    Les autorités sanitaires rappellent également que les masques et les gants à usage unique doivent être immédiatement jetés dans une poubelle, sans contact, après utilisation, pour éviter toute dissémination potentielle du virus et aussi pour ne pas polluer notre environnement.

    Quand cela est possible, il est préférable d’opter pour des masques en tissu, réutilisables et fabriqués localement.

    Vol de Shanghai

    Un vol de fret a atterri hier, dimanche 24 mai à l’aéroport de Tahiti-Faa’a. L’avion a débarqué une commande d’équipements de protection individuels (EPI) du centre hospitalier de Polynésie française (CHPF) de près de 60 mètres cube, en plus d’un reliquat de la commande effectuée par le Pays lors du premier vol de Shanghai. Se trouvait également à bord des dons de la Chine à destination des communes de Faa’a et Papeete, ainsi que des dons (essentiellement des EPI) de la Fondation Jack Ma à la Polynésie française, récupéré à Fidji.

    Suivi des dépistages effectués

    Depuis le début de la crise, la majorité des dépistages, soit 89%, a été réalisée dans les Îles du Vent.

    Un travail de suivi des dépistages a été effectué. Au total, à la fin de la 20eme semaine de l’année (S20), le 17 mai 2020, 3330 personnes avaient été dépistées sur l’ensemble des 5 archipels.

    BULLETIN D’INFORMATION #44 – Cellule de crise de la Polynésie française

    3 964 hi’opo’ara’a tei ravehia mai te omuara’a o teie ma’i. Aore roa ta’ata ma’i fa’ahou nô te fenua nei. Teie ra 29 ihita’i i nia i te pahi rava’ai no te fenua Etuatoria tei hi’opo’ahia i te 20 nô Mê 2020. ‘Ua fa’arue mai teie pahi i tô tâtou otia moana i te mahana mâ’a ra i te tapera’a mahana i muri ‘ae i tôna faa’arara’a i te Pû ‘ohipa a te Hau Nui. Tei roto noa â o te hô’ê o te ihita’i nô teie pahi i roto i te rima o te mau taote nô te Fare Ma’i nô Taaone. Mea huru matai oia i teie mahana.

    ô reira, ia tâmau noa â i te fa’a’ohipa i te mau ravea pârurura’a i teie tirotiro Corona.

    Te mau terera’a manureva tei târahuhia e te Hau Nui

    ‘Ua ho’i mai te feia nô te fenua nei i reva atu i te fenua Fârâni. Te manureva i târahuhia e te Hau Fârâni (Continuité Territoriale), ‘ua tapae mai oia i te a’ahi’ata mahana mâ’a ra. 152 horopatete i nia i taua manureva ra. I rotopu ia râtou e 4 taote nô te Tâ’atira’a Europeassistance. 110 feia nô te fenua nei tei fa’ari’i i te hô’ê tau hi’opo’ara’a e 2 hepetoma, i roto i te hô’ê hotera tei târahuhia e te Hau Fenua (te mau ha’amauara’a no te utara’a, te nohora’a, te mâ’a e te mau hi’opo’ara’a nô na mahana 14). E rave rahi ta’ata o tei ani e ho’i i roto i tô râtou mau utuafare, inaha ‘ua ro’ohia na râtou i te ma’i Covid-19, e i teie mahana i muri ‘ae i te mau hi’opo’ara’a aita tô râtou e tirotiro fa’ahou.

    I nanahi ra tapati 24 nô Mê, 47 ta’ata i noho na i roto i te mau fare o te mau piahi nô te Ha’apirira’a Tua Toru nô Outumaoro (CHE) e tae noa atu i te feia o tei hi’opo’ahia ana i Mitirapa (Tibériade) o tei fa’ati’ahia i te ho’i i roto i tô râtou mau utuafare i muri ’ae i tô râtou hi’opo’ara’ahia 14 mahana. Aita e tirotiro fa’ahou i roto ia râtou.

    Te mau ta’ata i fa’aho’ihia mai, mai te fenua Auteraria e tei ho’i mai i te 16 nô Mê na nia i te manureva a te Nu’u A400M, o râtou ato’a o te fa’ati’ahia ia ho’i i roto i tô râtou mau utuafare i te 30 nô Mê i muri nei.

    Te mau pâruru vaha e te mau rimarima

    A ta’a noa atu te parau nô te fa’aorera’ahia te vai ‘opanipanira’a i faa’ara amuihia e te Hau Fenua e te Tomitera Teitei i te mahana 20 nô Mê 2020, te tâmau nei ia te mau Tia mana nô te Ea i te fa’aha’amana’o ia tâtou i te faufa’a rahi nô te fa’aturara’a i te mau fa’a’ohipara’a i te mau ravea pâruru. Na te reira ho’i i fa’a’iti roa i te pârarera’a o te tirotiro i roto i tô tâtou nei fenua.

    Mai te peu e, e titauhia tâtou i te fa’a’ohipa i te pâruru vaha i nirahia e tô tâtou mau Mama, te faa’arahia nei tâtou e mea matai ‘ae nô tâtou i te horoi pinepine i tô tâtou nâ rima i te omono i te rimarima. Inaha, ‘ua pâpû i teie mahana e aita te rimarima e pâruru nei ia tâtou i teie tirotiro.

    Ia hope te fa’a’ohipara’a i te pâruru vaha e tae noa atu i te mau rimarima, e mea tîtauhia tâtou ia fa’aru’e i te reira i roto i te hô’ê fari’i pehu nô te araira’a i te pârarera’a o teie tirotioro e nô te pârurura’a i te arutaimareva.

    Te faa’ara ato’a hia nei tâtou, e mea hau ‘ae i te fa’a’ohipa i te hô’ê pâruru vaha o tei nirahia, inaha e nehenehe â teie mau pâruru vaha i te fa’a’ohipa fa’ahouhia i muri ‘ae i te pu’ara’a iâna

    Te tere manureva nô Shanghai

    ‘Ua ho’i mai teie manureva i nanahi avatea ra, tapati 24 nô Mê i Tahiti-Faa’a. I nia i teie manureva e rave rahi tauihaa (60 metera afata) mai te mau pâruru vaha, matini hutira’a aho, te mau rave’a hi’opo’ara’a. Te rahira’a o teie mau tao’a nô te Fare Ma’i nô Taaone ia, mai te mau tauihaa pâruru.

    Te vai ato’a nei te mau ô tâ te fenua Tinito i fa’ata’a nô te ‘Oire nô Papete e Fa’aa, e te tahi atoa mau ô nô Te Ta’atira’a Jack Ma i te fenua nei e o tei ohihia mai i te fenua Fiti.

    Te parau nô te mau mau hi’opo’ara’a

    Mai te omuara’a o teie ma’i i te fenua nei, te rahira’a o te mau hi’opo’ara’a (89 i nia i te hanere), ‘ua ravehia te reira i nia Mata’i nei. I te 17 nô Mê, 3 330 ta’ata tei hi’opo’ahia i nia i nâ ta’a motu e pae.

    IA VAI ARA NOA Â TÂTOU. A TÂMAU NOA A I TE FA’A’OHIPA I TE MAU RAVEA PÂRURU. MĀURUURU E FA’AITOITO

    BULLETIN D’INFORMATION #43 – Cellule de crise de la Polynésie française

    3873 tests ont été effectués depuis le début de l’épidémie en Polynésie française. Il n’y a aucun nouveau cas confirmé de Covid-19 dans la population polynésienne.

    29 personnes ont été dépistées positives au virus sur un bateau de pêche équatorien le 20 mai 2020. Ces personnes sont considérées en transit et n’ayant pas été en contact avec la communauté, l’une d’elle est actuellement hospitalisée à l’hôpital du Taaone, et isolée selon les protocoles mis en place, afin de garantir la sécurité sanitaire du personnel et des autres patients de l’hôpital.

    Retour des résidents et sortie de quarantaine

    Le vol de continuité territoriale, arrivé vendredi soir, a amené 152 passagers, dont 4 médecins d’Europassistance et 110 résidents polynésiens qui ont accepté d’effectuer une quarantaine dans un lieu dédié et entièrement pris en charge par le Pays (transport, hébergement, restauration et test à l’issue des 14 jours). Certaines personnes ont été autorisées à ne pas faire leur quarantaine, justifiant d’avoir déjà contracté le Covid-19 et ne présentant plus de signes de la maladie depuis plus de 14 jours.

    Dimanche 24 mai, 47 personnes hébergées au centre d’hébergement étudiant (CHE) et à Tibériade ont été autorisées à sortir de leur quarantaine, suite à leur rapatriement de métropole le 10 mai 2020. Tous ont effectué un test de dépistage du Covid-19, analysé négatif, obligatoire pour lever la quarantaine.

    Les personnes rapatriées d’Australie et revenues le 16 mai dans l’avion de l’Etat A400M, devraient être autorisées à sortir le 30 mai prochain.

    Masques et gants à usage unique

    Malgré la levée du confinement annoncé par une allocution conjointe Etat / Pays, mercredi 20 mai, les autorités sanitaires rappellent l’importance de poursuivre l’application des gestes de protection : hygiène des mains, distanciation physique et port du masque. Il est essentiel de continuer à respecter ces comportements qui ont permis de limiter la propagation du virus, la vigilance reste de mise.

    Par ailleurs, si le masque en tissu ou « paruru vaha » est fortement recommandé, ce n’est pas le cas des gants à usage unique. Il est préférable de se laver les mains régulièrement pour garantir une bonne hygiène des mains. En effet, le port de gants ne protège pas toujours des virus, et mal porter des gants peut être pire que de ne rien porter du tout, notamment si l’on met des gants sans se laver les mains, ou que l’on se touche le visage avec.

    Les autorités sanitaires rappellent également que les masques et les gants à usage unique doivent être immédiatement jetés dans une poubelle, sans contact, après utilisation, pour éviter toute dissémination potentielle du virus et aussi pour ne pas polluer notre environnement.

    Quand cela est possible, il est préférable d’opter pour des masques en tissu, réutilisables et fabriqués localement.

    Vol de Shanghai

    Un vol de fret a atterri hier, dimanche 24 mai à l’aéroport de Tahiti-Faa’a. L’avion a débarqué une commande d’équipements de protection individuels (EPI) du centre hospitalier de Polynésie française (CHPF) de près de 60 mètres cube, en plus d’un reliquat de la commande effectuée par le Pays lors du premier vol de Shanghai. Se trouvait également à bord des dons de la Chine à destination des communes de Faa’a et Papeete, ainsi que des dons (essentiellement des EPI) de la Fondation Jack Ma à la Polynésie française, récupéré à Fidji.

    Suivi des dépistages effectués

    Depuis le début de la crise, la majorité des dépistages, soit 89%, a été réalisée dans les Îles du Vent.

    Un travail de suivi des dépistages a été effectué. Au total, à la fin de la 20eme semaine de l’année (S20), le 17 mai 2020, 3330 personnes avaient été dépistées sur l’ensemble des 5 archipels.

    BULLETIN D’INFORMATION #44 – Cellule de crise de la Polynésie française

    3 964 hi’opo’ara’a tei ravehia mai te omuara’a o teie ma’i. Aore roa ta’ata ma’i fa’ahou nô te fenua nei. Teie ra 29 ihita’i i nia i te pahi rava’ai no te fenua Etuatoria tei hi’opo’ahia i te 20 nô Mê 2020. ‘Ua fa’arue mai teie pahi i tô tâtou otia moana i te mahana mâ’a ra i te tapera’a mahana i muri ‘ae i tôna faa’arara’a i te Pû ‘ohipa a te Hau Nui. Tei roto noa â o te hô’ê o te ihita’i nô teie pahi i roto i te rima o te mau taote nô te Fare Ma’i nô Taaone. Mea huru matai oia i teie mahana.

    ô reira, ia tâmau noa â i te fa’a’ohipa i te mau ravea pârurura’a i teie tirotiro Corona.

    Te mau terera’a manureva tei târahuhia e te Hau Nui

    ‘Ua ho’i mai te feia nô te fenua nei i reva atu i te fenua Fârâni. Te manureva i târahuhia e te Hau Fârâni (Continuité Territoriale), ‘ua tapae mai oia i te a’ahi’ata mahana mâ’a ra. 152 horopatete i nia i taua manureva ra. I rotopu ia râtou e 4 taote nô te Tâ’atira’a Europeassistance. 110 feia nô te fenua nei tei fa’ari’i i te hô’ê tau hi’opo’ara’a e 2 hepetoma, i roto i te hô’ê hotera tei târahuhia e te Hau Fenua (te mau ha’amauara’a no te utara’a, te nohora’a, te mâ’a e te mau hi’opo’ara’a nô na mahana 14). E rave rahi ta’ata o tei ani e ho’i i roto i tô râtou mau utuafare, inaha ‘ua ro’ohia na râtou i te ma’i Covid-19, e i teie mahana i muri ‘ae i te mau hi’opo’ara’a aita tô râtou e tirotiro fa’ahou.

    I nanahi ra tapati 24 nô Mê, 47 ta’ata i noho na i roto i te mau fare o te mau piahi nô te Ha’apirira’a Tua Toru nô Outumaoro (CHE) e tae noa atu i te feia o tei hi’opo’ahia ana i Mitirapa (Tibériade) o tei fa’ati’ahia i te ho’i i roto i tô râtou mau utuafare i muri ’ae i tô râtou hi’opo’ara’ahia 14 mahana. Aita e tirotiro fa’ahou i roto ia râtou.

    Te mau ta’ata i fa’aho’ihia mai, mai te fenua Auteraria e tei ho’i mai i te 16 nô Mê na nia i te manureva a te Nu’u A400M, o râtou ato’a o te fa’ati’ahia ia ho’i i roto i tô râtou mau utuafare i te 30 nô Mê i muri nei.

    Te mau pâruru vaha e te mau rimarima

    A ta’a noa atu te parau nô te fa’aorera’ahia te vai ‘opanipanira’a i faa’ara amuihia e te Hau Fenua e te Tomitera Teitei i te mahana 20 nô Mê 2020, te tâmau nei ia te mau Tia mana nô te Ea i te fa’aha’amana’o ia tâtou i te faufa’a rahi nô te fa’aturara’a i te mau fa’a’ohipara’a i te mau ravea pâruru. Na te reira ho’i i fa’a’iti roa i te pârarera’a o te tirotiro i roto i tô tâtou nei fenua.

    Mai te peu e, e titauhia tâtou i te fa’a’ohipa i te pâruru vaha i nirahia e tô tâtou mau Mama, te faa’arahia nei tâtou e mea matai ‘ae nô tâtou i te horoi pinepine i tô tâtou nâ rima i te omono i te rimarima. Inaha, ‘ua pâpû i teie mahana e aita te rimarima e pâruru nei ia tâtou i teie tirotiro.

    Ia hope te fa’a’ohipara’a i te pâruru vaha e tae noa atu i te mau rimarima, e mea tîtauhia tâtou ia fa’aru’e i te reira i roto i te hô’ê fari’i pehu nô te araira’a i te pârarera’a o teie tirotioro e nô te pârurura’a i te arutaimareva.

    Te faa’ara ato’a hia nei tâtou, e mea hau ‘ae i te fa’a’ohipa i te hô’ê pâruru vaha o tei nirahia, inaha e nehenehe â teie mau pâruru vaha i te fa’a’ohipa fa’ahouhia i muri ‘ae i te pu’ara’a iâna

    Te tere manureva nô Shanghai

    ‘Ua ho’i mai teie manureva i nanahi avatea ra, tapati 24 nô Mê i Tahiti-Faa’a. I nia i teie manureva e rave rahi tauihaa (60 metera afata) mai te mau pâruru vaha, matini hutira’a aho, te mau rave’a hi’opo’ara’a. Te rahira’a o teie mau tao’a nô te Fare Ma’i nô Taaone ia, mai te mau tauihaa pâruru.

    Te vai ato’a nei te mau ô tâ te fenua Tinito i fa’ata’a nô te ‘Oire nô Papete e Fa’aa, e te tahi atoa mau ô nô Te Ta’atira’a Jack Ma i te fenua nei e o tei ohihia mai i te fenua Fiti.

    Te parau nô te mau mau hi’opo’ara’a

    Mai te omuara’a o teie ma’i i te fenua nei, te rahira’a o te mau hi’opo’ara’a (89 i nia i te hanere), ‘ua ravehia te reira i nia Mata’i nei. I te 17 nô Mê, 3 330 ta’ata tei hi’opo’ahia i nia i nâ ta’a motu e pae.

    IA VAI ARA NOA Â TÂTOU. A TÂMAU NOA A I TE FA’A’OHIPA I TE MAU RAVEA PÂRURU. MĀURUURU E FA’AITOITO