Annuaire des structures

  • Les inscriptions à la formation en soins infirmiers de l’IFPS sont ouvertes

    Présentation de l'atelier "Ergonomie" aux 50 ans de l'IFPS

    L’institut de formation des professions de santé Mathilde Frébault (IFPS) informe que les inscriptions pour accéder à la formation pour l’obtention du diplôme d’Etat d’infirmier sont ouvertes.

    • PARCOURSUP (11 places) dorénavant ouvert pour tout candidat bachelier ou futur bachelier. Pour se rendre sur la fiche de l’institut, veuillez suivre les étapes suivantes :
      • Se rendre à l’adresse : https://dossier.parcoursup.fr/Candidat/carte
      • Dans « Recherche des formations », inscrire « Formation Polynésie »
      • Cliquer ensuite sur « Voir les plus proches »
      • Dans les options qui correspondent à votre recherche, cliquer sur la fiche de l’Institut de Formation profession Sante Mathilde Frébault
    • CONCOURS (4 places) à compter d’aujourd’hui, lundi 24 février 2020 dès 8h pour les candidats relevant de la formation professionnelle continue et en reconversion professionnelle, justifiant de 3 ans d’expérience et 3 ans de cotisation à un régime de protection sociale. Le dossier d’inscription est téléchargeable sur le site internet de la Direction de la santé. Il devra impérativement être déposé complet au plus tard au secrétariat de l’IFPS le lundi 9 mars 2020 avant 16h00. Pour les envois par la poste, cachet de la poste faisant foi.

    Les inscriptions à la formation en soins infirmiers de l’IFPS sont ouvertes

    Présentation de l'atelier "Ergonomie" aux 50 ans de l'IFPS

    L’institut de formation des professions de santé Mathilde Frébault (IFPS) informe que les inscriptions pour accéder à la formation pour l’obtention du diplôme d’Etat d’infirmier sont ouvertes.

    • PARCOURSUP (11 places) dorénavant ouvert pour tout candidat bachelier ou futur bachelier. Pour se rendre sur la fiche de l’institut, veuillez suivre les étapes suivantes :
      • Se rendre à l’adresse : https://dossier.parcoursup.fr/Candidat/carte
      • Dans « Recherche des formations », inscrire « Formation Polynésie »
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      • Dans les options qui correspondent à votre recherche, cliquer sur la fiche de l’Institut de Formation profession Sante Mathilde Frébault
    • CONCOURS (4 places) à compter d’aujourd’hui, lundi 24 février 2020 dès 8h pour les candidats relevant de la formation professionnelle continue et en reconversion professionnelle, justifiant de 3 ans d’expérience et 3 ans de cotisation à un régime de protection sociale. Le dossier d’inscription est téléchargeable sur le site internet de la Direction de la santé. Il devra impérativement être déposé complet au plus tard au secrétariat de l’IFPS le lundi 9 mars 2020 avant 16h00. Pour les envois par la poste, cachet de la poste faisant foi.

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  • Création de deux structures pour femmes et mineurs victimes de violence

    Dans le cadre du plan de prévention de la délinquance 2018-2020, le Ministère de la Santé en collaboration avec le Procureur Général ont travaillé de concert afin de permettre la réalisation de 2 établissements d’accompagnement en faveur des femmes et des mineurs victimes de violences, regroupant les milieux sanitaire et judiciaire.

    En Polynésie française, chaque année :

    • près de 1 500 femmes sont victimes de violences criminelles ou délictuelles. Chaque jour, 4 femmes sont victimes d’un acte violent connu des services de police et de gendarmerie.
    • en moyenne 2 000 enfants font l’objet de mesure de protection judiciaire. 60% sont des enfants suivis pour violences physiques et sexuelles. Les violences faites aux enfants, ont des conséquences catastrophiques à court, moyen et long terme sur leur santé physique et psychique. Les conséquences sociales à long terme le sont également, car elles constituent le départ d’un véritable cycle d’échec et de violence (échecs scolaires, conduites addictives – tabac, alcool, drogues – marginalisation, isolement social, exclusion, délinquance).

    Le nombre de victimes de violences, augmente depuis plusieurs années et la tendance est à la hausse pour 2019.

    Face à ces constats alarmants, le Conseil de Prévention de la Délinquance en Polynésie française (C.P.D.P.F) co-présidé par le Haut-commissaire, le Président du Pays et le Procureur Général ont arrêté un plan de prévention de la délinquance 2018-2020 qui s’articulent autour de 4 priorités dont celle d’améliorer la prévention des violences intrafamiliales visant le développement des prises en charge médico-judiciaire des victimes.

    Le Ministère de la Santé en collaboration avec le Procureur Général ont travaillé de concert afin de permettre la réalisation de 2 établissements d’accompagnement en faveur des femmes et des mineurs victimes de violences, regroupant les milieux sanitaire et judiciaire.

    La structure dénommée TUIAU TAMA destinée aux mineurs offrira un accueil dans un milieu sécurisant, spécialisé et protégé. Elle assurera un accompagnement pluridisciplinaire au plus près de l’événement traumatique afin de faciliter les procédures judiciaires. Pour ce faire, elle travaillera en relais direct avec les professionnels de la santé, de la justice et de l’action sociale.

    TUIAU TAMA sera équipé d’un matériel d’enregistrement professionnel permettant à l’équipe pluridisciplinaire (enquêteurs, magistrats, médecins, psychologues), de réaliser des auditions de mineurs victimes « afin d’éviter que l’enfant ne répète ses dires, parce que redire c’est revivre, et pour que ce ne soit pas cet enfant vulnérable, blessé qui aille à la rencontre des divers professionnels compétents mais que ce soit ces professionnels qui viennent vers l’enfant ».

    L’établissement nommé TUIAU a HINE, quant à lui, accueillera les femmes.

    Les équipes pluridisciplinaires offriront un espace d’écoute, de parole, de soins adaptés, mais aussi un espace de conseil et d’accompagnement dans les différentes démarches administratives et judiciaires. Les femmes seront accompagnées et aidées suivant leurs problématiques dans un lieu unique.

    Cet accompagnement global permettra d’assister la femme dans les différentes étapes de son parcours de sortie des violences. La structure sera amenée à travailler avec le Centre d’Information des Droits des Femmes et des Familles (CIDFF) et l’Association Polyvalente d’Actions Judiciaires (APAJ) ou avec d’autres associations.

    Ces 2 établissements disposeront d’un personnel qualifié parmi lesquels : médecins (pédiatre, gynécologue, généraliste), sage-femme, psychologue spécialisé ….

    Ouvert du lundi au vendredi de 7h à 17h et le samedi de 7h à 12h, en continu, ils offriront un accueil confidentiel et sécurisé. Ils seront implantés dans un espace proche de l’hôpital. La proximité géographique et le lien technique rapide avec les soins spécialisés offerts par l’hôpital sont un élément essentiel de la qualité et de la pertinence de ce projet.

    Ces deux établissements seront gérés par une association.

    NB : TUIAU signifie « accompagner, conduire, prendre par la main »,TAMA signifie « enfants », HINE signifie « femme »

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    Création de deux structures pour femmes et mineurs victimes de violence

    Dans le cadre du plan de prévention de la délinquance 2018-2020, le Ministère de la Santé en collaboration avec le Procureur Général ont travaillé de concert afin de permettre la réalisation de 2 établissements d’accompagnement en faveur des femmes et des mineurs victimes de violences, regroupant les milieux sanitaire et judiciaire.

    En Polynésie française, chaque année :

    • près de 1 500 femmes sont victimes de violences criminelles ou délictuelles. Chaque jour, 4 femmes sont victimes d’un acte violent connu des services de police et de gendarmerie.
    • en moyenne 2 000 enfants font l’objet de mesure de protection judiciaire. 60% sont des enfants suivis pour violences physiques et sexuelles. Les violences faites aux enfants, ont des conséquences catastrophiques à court, moyen et long terme sur leur santé physique et psychique. Les conséquences sociales à long terme le sont également, car elles constituent le départ d’un véritable cycle d’échec et de violence (échecs scolaires, conduites addictives – tabac, alcool, drogues – marginalisation, isolement social, exclusion, délinquance).

    Le nombre de victimes de violences, augmente depuis plusieurs années et la tendance est à la hausse pour 2019.

    Face à ces constats alarmants, le Conseil de Prévention de la Délinquance en Polynésie française (C.P.D.P.F) co-présidé par le Haut-commissaire, le Président du Pays et le Procureur Général ont arrêté un plan de prévention de la délinquance 2018-2020 qui s’articulent autour de 4 priorités dont celle d’améliorer la prévention des violences intrafamiliales visant le développement des prises en charge médico-judiciaire des victimes.

    Le Ministère de la Santé en collaboration avec le Procureur Général ont travaillé de concert afin de permettre la réalisation de 2 établissements d’accompagnement en faveur des femmes et des mineurs victimes de violences, regroupant les milieux sanitaire et judiciaire.

    La structure dénommée TUIAU TAMA destinée aux mineurs offrira un accueil dans un milieu sécurisant, spécialisé et protégé. Elle assurera un accompagnement pluridisciplinaire au plus près de l’événement traumatique afin de faciliter les procédures judiciaires. Pour ce faire, elle travaillera en relais direct avec les professionnels de la santé, de la justice et de l’action sociale.

    TUIAU TAMA sera équipé d’un matériel d’enregistrement professionnel permettant à l’équipe pluridisciplinaire (enquêteurs, magistrats, médecins, psychologues), de réaliser des auditions de mineurs victimes « afin d’éviter que l’enfant ne répète ses dires, parce que redire c’est revivre, et pour que ce ne soit pas cet enfant vulnérable, blessé qui aille à la rencontre des divers professionnels compétents mais que ce soit ces professionnels qui viennent vers l’enfant ».

    L’établissement nommé TUIAU a HINE, quant à lui, accueillera les femmes.

    Les équipes pluridisciplinaires offriront un espace d’écoute, de parole, de soins adaptés, mais aussi un espace de conseil et d’accompagnement dans les différentes démarches administratives et judiciaires. Les femmes seront accompagnées et aidées suivant leurs problématiques dans un lieu unique.

    Cet accompagnement global permettra d’assister la femme dans les différentes étapes de son parcours de sortie des violences. La structure sera amenée à travailler avec le Centre d’Information des Droits des Femmes et des Familles (CIDFF) et l’Association Polyvalente d’Actions Judiciaires (APAJ) ou avec d’autres associations.

    Ces 2 établissements disposeront d’un personnel qualifié parmi lesquels : médecins (pédiatre, gynécologue, généraliste), sage-femme, psychologue spécialisé ….

    Ouvert du lundi au vendredi de 7h à 17h et le samedi de 7h à 12h, en continu, ils offriront un accueil confidentiel et sécurisé. Ils seront implantés dans un espace proche de l’hôpital. La proximité géographique et le lien technique rapide avec les soins spécialisés offerts par l’hôpital sont un élément essentiel de la qualité et de la pertinence de ce projet.

    Ces deux établissements seront gérés par une association.

    NB : TUIAU signifie « accompagner, conduire, prendre par la main »,TAMA signifie « enfants », HINE signifie « femme »

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  • La Direction de la santé organise son premier Comité de direction élargi de l’année 2020

    Ce vendredi 31 janvier 2020, la Direction de la santé a rassemblé l’ensemble de ses responsables lors du premier Comité de direction élargi (CODIREL) de l’année 2020.

    Le docteur Laurence Bonnac-Théron a réuni en CODIREL, tous les responsables de structures de la Direction de la santé, provenant de tous les archipels sur lesquels elle est implantée. En ce début d’année, cette réunion qui est trimestrielle, a été l’occasion de faire un bilan, au niveau des ressources humaines (nombre de postes créés depuis 3 ans), du budget, du numérique et des données statistiques en santé recueillies ces dernières années, mais également d’établir les perspectives pour les prochaines années à venir.

    Les sujets abordés lors de la réunion ont permis de répondre aux interrogations des responsables dans le but d’encourager le développement de futurs projets visant à améliorer l’état de santé de la population. Le programme de modernisation des soins de santé primaires 2019-2023 fait partie des grands challenges pour ces prochaines années. Ce programme ambitieux a fait l’objet d’une communication en conseil des ministres le 30 janvier dernier (https://www.presidence.pf/conseil_ministres/conseil-des-ministres-du-30-janvier-2020/).

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    La Direction de la santé organise son premier Comité de direction élargi de l’année 2020

    Ce vendredi 31 janvier 2020, la Direction de la santé a rassemblé l’ensemble de ses responsables lors du premier Comité de direction élargi (CODIREL) de l’année 2020.

    Le docteur Laurence Bonnac-Théron a réuni en CODIREL, tous les responsables de structures de la Direction de la santé, provenant de tous les archipels sur lesquels elle est implantée. En ce début d’année, cette réunion qui est trimestrielle, a été l’occasion de faire un bilan, au niveau des ressources humaines (nombre de postes créés depuis 3 ans), du budget, du numérique et des données statistiques en santé recueillies ces dernières années, mais également d’établir les perspectives pour les prochaines années à venir.

    Les sujets abordés lors de la réunion ont permis de répondre aux interrogations des responsables dans le but d’encourager le développement de futurs projets visant à améliorer l’état de santé de la population. Le programme de modernisation des soins de santé primaires 2019-2023 fait partie des grands challenges pour ces prochaines années. Ce programme ambitieux a fait l’objet d’une communication en conseil des ministres le 30 janvier dernier (https://www.presidence.pf/conseil_ministres/conseil-des-ministres-du-30-janvier-2020/).

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  • Le dispensaire de Papara obtient le label Fare EA

    Ce vendredi 23 janvier 2020, le dispensaire de Papara a obtenu le label Fare EA en présence du Ministère et de la Direction de la santé ainsi que des représentants de la commune de Papara.

    Le dispensaire de Papara obtient le 2ème label Fare EA après l’infirmerie de Rimatara. En tant qu’un des sites pilotes du programme de modernisation des soins de santé primaires (SSP), le dispensaire de Papara est engagé depuis 2017, dans une démarche d’accompagnement au changement des pratiques professionnelles, que ce soit au niveau de la protection infantile, la médecine scolaire, l’hygiène dentaire ou de la prise en soins des adultes.

    Dans son discours, la Directrice de la santé, docteur Laurence Bonnac-Théron a mis en avant la nécessité d’agir aujourd’hui sur les comportements de la population. Les maladies non transmissibles comme le diabète ou les maladies cardio-vasculaires peuvent être évitées grâce à une meilleure hygiène de vie. Les SSP définis par l’organisation mondiale de la santé prennent en compte tous les déterminants de santé de la population et incitent la structure de santé à renforcer ses liens avec la mairie, les écoles, les associations, les communautés religieuses… dans le but de mobiliser le plus de monde possible à l’amélioration de l’état de santé des Polynésiens.

    La Santé est l’affaire de tous.

    Le label Fare Ea, créé en 2019 dans le cadre du programme de modernisation des soins de santé primaires (SSP) 2019-2023 en Polynésie, est un gage de qualité des services rendus à la population de proximité au sein d’une structure de santé de la Direction de la santé. Pour l’obtenir, la structure de santé s’engage volontairement dans un processus d’amélioration de la qualité et l’efficacité des soins, reconnaissant la mise en œuvre d’actions à la fois préventives, curatives, promotionnelles de santé au sein d’un réseau de partenaires locaux, respectant les concepts SSP définis par l’organisation mondiale de la santé et prenant en compte les déterminants de santé de la population.

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    Le dispensaire de Papara obtient le label Fare EA

    Ce vendredi 23 janvier 2020, le dispensaire de Papara a obtenu le label Fare EA en présence du Ministère et de la Direction de la santé ainsi que des représentants de la commune de Papara.

    Le dispensaire de Papara obtient le 2ème label Fare EA après l’infirmerie de Rimatara. En tant qu’un des sites pilotes du programme de modernisation des soins de santé primaires (SSP), le dispensaire de Papara est engagé depuis 2017, dans une démarche d’accompagnement au changement des pratiques professionnelles, que ce soit au niveau de la protection infantile, la médecine scolaire, l’hygiène dentaire ou de la prise en soins des adultes…

    Dans son discours, la Directrice de la santé, docteur Laurence Bonnac-Théron a mis en avant la nécessité d’agir aujourd’hui sur les comportements de la population. Les maladies non transmissibles comme le diabète ou les maladies cardio-vasculaires peuvent être évitées grâce à une meilleure hygiène de vie. Les SSP définis par l’organisation mondiale de la santé prennent en compte tous les déterminants de santé de la population et incitent la structure de santé à renforcer ses liens avec la mairie, les écoles, les associations, les communautés religieuses… dans le but de mobiliser le plus de monde possible à l’amélioration de l’état de santé des Polynésiens.

    La Santé est l’affaire de tous.

    Le label Fare Ea, créé en 2019 dans le cadre du programme de modernisation des soins de santé primaires (SSP) 2019-2023 en Polynésie, est un gage de qualité des services rendus à la population de proximité au sein d’une structure de santé de la Direction de la santé. Pour l’obtenir, la structure de santé s’engage volontairement dans un processus d’amélioration de la qualité et l’efficacité des soins, reconnaissant la mise en œuvre d’actions à la fois préventives, curatives, promotionnelles de santé au sein d’un réseau de partenaires locaux, respectant les concepts SSP définis par l’organisation mondiale de la santé et prenant en compte les déterminants de santé de la population.

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  • Situation sur le nouveau coronavirus 2019-nCoV au 26 janvier 2020

    La situation épidémiologique continue à évoluer tant sur la répartition géographique des cas que sur le nombre de cas confirmés. Au 25 janvier 2020, plus de 1300 cas ont été confirmés en Chine ainsi que 41 décès. Des cas importés ont été reportés en Corée du Sud, au Japon, en Thailande, à Taiwan, aux Etats-Unis, à Singapour, en Malaisie, au Vietnam, en Australie, au Népal et en France (source : Centre opérationnel de régulation et de réponse aux urgences sanitaires et sociales, daté du 25 janvier 2020).

    Suite à la survenue de cas d’infections respiratoires à un nouveau virus (le 2019-nCoV jamais observé auparavant chez l’Homme) chez des personnes ayant fréquenté un marché de la ville de Wuhan, en Chine, une alerte sanitaire a été déclarée par les autorités chinoises et l’Organisation mondiale de la santé.

    Les autorités chinoises ont mis en quarantaine la province de Hubei, où se trouve Wuhan et ont décidé de suspendre les voyages de groupe à l’étranger.

    Les services de la Santé de la Polynésie française et les services de l’Etat (Direction de la protection civile) se tiennent régulièrement informés de l’évolution épidémiologique de ce virus et des mesures de gestion préconisées par l’OMS pour limiter l’impact d’une épidémie de plus grande ampleur.

    Mesures prises par le gouvernement

    À l’heure actuelle, le risque d’introduction en Polynésie française de ce virus est considéré comme possible mais de faible probabilité.

    Le ministère de la Santé et de la prévention, en lien avec les services de l’État, les ministères du Tourisme, de l’Éducation et des Transports supervise la mise en œuvre de mesures de prévention en Polynésie française.

    Bien qu’il n’y ait aucun vol direct en provenance de Chine, des mesures de prévention sont en cours et les informations à destination des voyageurs sont réévaluées en fonction de la situation épidémiologique.

    Les services d’urgence, les établissements hospitaliers et les professionnels de santé sont informés sur la situation et les recommandations. Ils disposent des matériels et des procédures adaptés à la prise en charge de patients susceptibles d’être contaminés par le coronavirus. Les moyens habituels de situation d’urgence sanitaire sont prêts et peuvent être mobilisés rapidement si besoin.

    Recommandations

    Le ministère de la santé et de la prévention rappelle, pour les personnes qui auraient séjourné en Chine récemment, les précautions à prendre en cas de signes d’infection respiratoire (fièvre, toux et difficulté respiratoires) :

    • Contacter le Samu Centre 15 en faisant état des symptômes et d’un séjour récent à Wuhan, ou plus généralement en Chine, afin de bénéficier d’une prise en charge médicale adaptée.

    Il est recommandé dans ce cas :

    • De porter un masque chirurgical lors de contacts avec d’autres personnes.
    • De se laver régulièrement les mains (solution hydro alcoolique) et d’utiliser des mouchoirs jetables.
    • Il est fortement recommandé d’éviter tout déplacement en Chine.

    Des informations complémentaires seront prochainement disponibles sur le site de la Direction de la santé https://www.service-public.pf/dsp/ et sur sa page Facebook.

    Pour plus d’informations, consultez la page https://www.gouvernement.fr/info-coronavirus où vous pourrez retrouver l’ensemble des informations sur le nouveau coronavirus.

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    Situation sur le nouveau coronavirus 2019-nCoV au 26 janvier 2020

    La situation épidémiologique continue à évoluer tant sur la répartition géographique des cas que sur le nombre de cas confirmés. Au 25 janvier 2020, plus de 1300 cas ont été confirmés en Chine ainsi que 41 décès. Des cas importés ont été reportés en Corée du Sud, au Japon, en Thailande, à Taiwan, aux Etats-Unis, à Singapour, en Malaisie, au Vietnam, en Australie, au Népal et en France (source : Centre opérationnel de régulation et de réponse aux urgences sanitaires et sociales, daté du 25 janvier 2020).

    Suite à la survenue de cas d’infections respiratoires à un nouveau virus (le 2019-nCoV jamais observé auparavant chez l’Homme) chez des personnes ayant fréquenté un marché de la ville de Wuhan, en Chine, une alerte sanitaire a été déclarée par les autorités chinoises et l’Organisation mondiale de la santé.

    Les autorités chinoises ont mis en quarantaine la province de Hubei, où se trouve Wuhan et ont décidé de suspendre les voyages de groupe à l’étranger.

    Les services de la Santé de la Polynésie française et les services de l’Etat (Direction de la protection civile) se tiennent régulièrement informés de l’évolution épidémiologique de ce virus et des mesures de gestion préconisées par l’OMS pour limiter l’impact d’une épidémie de plus grande ampleur.

    Mesures prises par le gouvernement

    À l’heure actuelle, le risque d’introduction en Polynésie française de ce virus est considéré comme possible mais de faible probabilité.

    Le ministère de la Santé et de la prévention, en lien avec les services de l’État, les ministères du Tourisme, de l’Éducation et des Transports supervise la mise en œuvre de mesures de prévention en Polynésie française.

    Bien qu’il n’y ait aucun vol direct en provenance de Chine, des mesures de prévention sont en cours et les informations à destination des voyageurs sont réévaluées en fonction de la situation épidémiologique.

    Les services d’urgence, les établissements hospitaliers et les professionnels de santé sont informés sur la situation et les recommandations. Ils disposent des matériels et des procédures adaptés à la prise en charge de patients susceptibles d’être contaminés par le coronavirus. Les moyens habituels de situation d’urgence sanitaire sont prêts et peuvent être mobilisés rapidement si besoin.

    Recommandations

    Le ministère de la santé et de la prévention rappelle, pour les personnes qui auraient séjourné en Chine récemment, les précautions à prendre en cas de signes d’infection respiratoire (fièvre, toux et difficulté respiratoires) :

    • Contacter le Samu Centre 15 en faisant état des symptômes et d’un séjour récent à Wuhan, ou plus généralement en Chine, afin de bénéficier d’une prise en charge médicale adaptée.

    Il est recommandé dans ce cas :

    • De porter un masque chirurgical lors de contacts avec d’autres personnes.
    • De se laver régulièrement les mains (solution hydro alcoolique) et d’utiliser des mouchoirs jetables.
    • Il est fortement recommandé d’éviter tout déplacement en Chine.

    Des informations complémentaires seront prochainement disponibles sur le site de la Direction de la santé https://www.service-public.pf/dsp/ et sur sa page Facebook.

    Pour plus d’informations, consultez la page https://www.gouvernement.fr/info-coronavirus où vous pourrez retrouver l’ensemble des informations sur le nouveau coronavirus.

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  • Coronavirus : Recommandations aux voyageurs

    Suite à la survenue de cas d’infections respiratoires à un nouveau virus (le 2019-nCoV jamais observé auparavant chez l’Homme) chez des personnes ayant fréquenté un marché de la ville de Wuhan, en Chine, une alerte sanitaire a été déclarée par les autorités chinoises et l’Organisation mondiale de la santé.

    Au 23/01/2020, 614 cas d’infection, à l’origine de 17 décès, ont été confirmés essentiellement dans la ville de Wuhan même si des cas sont observés dans d’autres provinces de Chine. Cinq pays ont déclarés un ou plusieurs cas importés (Thailande, Japon, Corée du Sud et les Etats Unis).

    De nombreuses incertitudes demeurent sur la source d’infection, le mode de transmission et les facteurs de risque associés. La possibilité de transmission interhumaine du virus est maintenant avérée (de patient à soignant ou via des contacts étroits entre personnes d’une même famille).

    Quels sont les symptômes ?

    Les signes d’infection les plus courants sont de la fièvre, de la toux, un essoufflement et des difficultés respiratoires.

    Risques pour la Polynésie française

    À l’heure actuelle, le risque d’introduction en Polynésie française de ce virus est considéré comme faible.

    Les services de la Santé de la Polynésie française et les services de l’Etat (Direction de la protection civile) se tiennent régulièrement informés de l’évolution épidémiologique de ce virus et des mesures de gestion préconisées par l’OMS pour limiter l’impact d’une épidémie de plus grande ampleur.

    Recommandations aux voyageurs

    • Il est fortement recommandé d’éviter tout déplacement en Chine, particulièrement dans la ville de Wuhan.
    • Afin d’éviter la dissémination du 2019-nCoV sur le Fenua, devant une fièvre ou des symptômes respiratoires dans les jours qui suivent le retour d’un voyage en Chine, il est impératif de consulter rapidement un médecin.
    • Il est également recommandé :
      • De porter un masque chirurgical lors de contacts avec d’autres personnes.
      • De se laver régulièrement les mains (solution hydro alcoolique) et d’utiliser des mouchoirs jetables.
      • De contacter le Samu Centre 15 en faisant état des symptômes et d’un séjour récent à Wuhan, ou plus généralement en Chine, afin de bénéficier d’une prise en charge médicale adaptée.
    • En cas de voyage en Chine obligatoire, il est fortement recommandé de se faire vacciner contre la grippe en raison d’une épidémie en cours en Chine.

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    Coronavirus : Recommandations aux voyageurs

    Suite à la survenue de cas d’infections respiratoires à un nouveau virus (le 2019-nCoV jamais observé auparavant chez l’Homme) chez des personnes ayant fréquenté un marché de la ville de Wuhan, en Chine, une alerte sanitaire a été déclarée par les autorités chinoises et l’Organisation mondiale de la santé.

    Au 23/01/2020, 614 cas d’infection, à l’origine de 17 décès, ont été confirmés essentiellement dans la ville de Wuhan même si des cas sont observés dans d’autres provinces de Chine. Cinq pays ont déclarés un ou plusieurs cas importés (Thailande, Japon, Corée du Sud et les Etats Unis).

    De nombreuses incertitudes demeurent sur la source d’infection, le mode de transmission et les facteurs de risque associés. La possibilité de transmission interhumaine du virus est maintenant avérée (de patient à soignant ou via des contacts étroits entre personnes d’une même famille).

    Quels sont les symptômes ?

    Les signes d’infection les plus courants sont de la fièvre, de la toux, un essoufflement et des difficultés respiratoires.

    Risques pour la Polynésie française

    À l’heure actuelle, le risque d’introduction en Polynésie française de ce virus est considéré comme faible.

    Les services de la Santé de la Polynésie française et les services de l’Etat (Direction de la protection civile) se tiennent régulièrement informés de l’évolution épidémiologique de ce virus et des mesures de gestion préconisées par l’OMS pour limiter l’impact d’une épidémie de plus grande ampleur.

    Recommandations aux voyageurs

    • Il est fortement recommandé d’éviter tout déplacement en Chine, particulièrement dans la ville de Wuhan.
    • Afin d’éviter la dissémination du 2019-nCoV sur le Fenua, devant une fièvre ou des symptômes respiratoires dans les jours qui suivent le retour d’un voyage en Chine, il est impératif de consulter rapidement un médecin.
    • Il est également recommandé :
      • De porter un masque chirurgical lors de contacts avec d’autres personnes.
      • De se laver régulièrement les mains (solution hydro alcoolique) et d’utiliser des mouchoirs jetables.
      • De contacter le Samu Centre 15 en faisant état des symptômes et d’un séjour récent à Wuhan, ou plus généralement en Chine, afin de bénéficier d’une prise en charge médicale adaptée.
    • En cas de voyage en Chine obligatoire, il est fortement recommandé de se faire vacciner contre la grippe en raison d’une épidémie en cours en Chine.

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  • Remise du label Fare EA à l'infirmerie de Rimatara

    Le Ministre de la santé et de la prévention décerne le premier label Fare Ea à l’infirmerie de Rimatara

    Le ministre de la santé et de la prévention a remis le premier label Fare EA à l’infirmerie de Rimatara, le 21 janvier 2020, en inaugurant un panneau symbolique, en présence de Rachel Tau, Tavana hau des îles Australes et de Georges Hatitio, maire de Rimatara.

    Une belle reconnaissance pour les équipes mais également une fierté pour les habitants de l’île. L’équipe de l’infirmerie de Rimatara s’est lancée dans cette démarche depuis octobre 2018, qui aboutit aujourd’hui, après une évaluation réalisée par la cellule d’expertise SSP de la Direction de la santé, à l’obtention du label Fare Ea.

    Le label Fare Ea, créé en 2019 dans le cadre du programme de modernisation des soins de santé primaires (SSP) 2019-2023 en Polynésie, est un gage de qualité des services rendus à la population de proximité au sein d’une structure de santé de la Direction de la santé.

    Pour l’obtenir, la structure de santé s’engage volontairement dans un processus d’amélioration de la qualité et l’efficacité des soins, reconnaissant la mise en œuvre d’actions à la fois préventives, curatives, promotionnelles de santé au sein d’un réseau de partenaires locaux, respectant les concepts SSP définis par l’organisation mondiale de la santé et prenant en compte les déterminants de santé de la population.

    Chaque site volontaire bénéficie d’un accompagnement technique, d’un programme de formation important aux nouvelles techniques de promotion de santé et de mise à jour des pratiques de soins, dans le but de construire un nouveau projet de structure.

    Remise du label Fare EA à l'infirmerie de Rimatara
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    Remise du label Fare EA à l'infirmerie de Rimatara

    Le Ministre de la santé et de la prévention décerne le premier label Fare Ea à l’infirmerie de Rimatara

    Le ministre de la santé et de la prévention a remis le premier label Fare EA à l’infirmerie de Rimatara, le 21 janvier 2020, en inaugurant un panneau symbolique, en présence de Rachel Tau, Tavana hau des îles Australes et de Georges Hatitio, maire de Rimatara.

    Une belle reconnaissance pour les équipes mais également une fierté pour les habitants de l’île. L’équipe de l’infirmerie de Rimatara s’est lancée dans cette démarche depuis octobre 2018, qui aboutit aujourd’hui, après une évaluation réalisée par la cellule d’expertise SSP de la Direction de la santé, à l’obtention du label Fare Ea.

    Le label Fare Ea, créé en 2019 dans le cadre du programme de modernisation des soins de santé primaires (SSP) 2019-2023 en Polynésie, est un gage de qualité des services rendus à la population de proximité au sein d’une structure de santé de la Direction de la santé.

    Pour l’obtenir, la structure de santé s’engage volontairement dans un processus d’amélioration de la qualité et l’efficacité des soins, reconnaissant la mise en œuvre d’actions à la fois préventives, curatives, promotionnelles de santé au sein d’un réseau de partenaires locaux, respectant les concepts SSP définis par l’organisation mondiale de la santé et prenant en compte les déterminants de santé de la population.

    Chaque site volontaire bénéficie d’un accompagnement technique, d’un programme de formation important aux nouvelles techniques de promotion de santé et de mise à jour des pratiques de soins, dans le but de construire un nouveau projet de structure.

    Remise du label Fare EA à l'infirmerie de Rimatara
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  • Campagnes de prévention et de promotion de la santé : ton avis nous intéresse

    Chaque année, la Direction de la santé mène une dizaine de campagnes d’information et de sensibilisation. Ces campagnes sont diffusées à la télévision, à la radio, en affichage urbain, sur Internet, dans la presse et au cinéma.

    Aujourd’hui, la Direction de la santé invite la population à répondre à une enquête en ligne. En répondant, vous nous aiderez à :

    • mieux comprendre vos besoins et vos attentes ;
    • mieux vous informer.

    Nous vous remercions de prendre 5 minutes pour remplir le questionnaire ci-dessous.

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    Campagnes de prévention et de promotion de la santé : ton avis nous intéresse

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  • Les listes des candidats admis au concours d’entrée à la formation d’aide-soignant dévoilées

    Depuis ce vendredi matin, la liste principale et la liste complémentaire des candidats admis au concours d’entrée à la formation d’aide-soignant sont accessibles sur le site de la Direction de la santé. Découvrez les noms des 33 candidats qui ont réussi le concours organisé par l’Institut de formation des professions de santé Mathilde Frébault.

    Les listes des candidats admis au concours d’entrée à la formation d’aide-soignant dévoilées

    Depuis ce vendredi matin, la liste principale et la liste complémentaire des candidats admis au concours d’entrée à la formation d’aide-soignant sont accessibles sur le site de la Direction de la santé. Découvrez les noms des 33 candidats qui ont réussi le concours organisé par l’Institut de formation des professions de santé Mathilde Frébault.

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  • Ouverture d’un concours pour le recrutement d’infirmiers de l’État pour l’administration de la Polynésie française au titre de l’année 2020

    Un concours sur titres pour le recrutement d’infirmiers de l’Etat pour l’administration de la Polynésie française est officiellement lancé. Les inscriptions sont ouvertes du 25 novembre 2019 jusqu’au 20 décembre 2019.

    L’arrêté portant ouverture d’un concours sur titres pour le recrutement d’infirmiers de l’État pour l’administration de la Polynésie française au titre de l’année 2020, est paru au journal officiel de la Polynésie française.

    Vous êtes infirmiers ? Ce concours est pour vous !

    Ce concours est ouvert aux candidats titulaires d’un titre de formation ou diplôme mentionnés aux articles L. 4311-3 et L. 4311-5 du code de la santé publique ou d’une autorisation d’exercer la profession d’infirmier délivrée en application de l’article L.4311-4 du même code et remplissant les conditions générales d’accès aux emplois publics de l’État comme suit :

    • Posséder la nationalité française ou être ressortissant(e) d’un État membre de l’Union européenne ou d’un État partie à l’accord sur l’Espace économique européen.
    • Jouir de ses droits civiques (pour les communautaires, dans l’État dont ils sont ressortissants).
    • Se trouver en possession d’un casier judiciaire dont les mentions portées sur le bulletin n° 2 ne sont pas incompatibles avec l’exercice des fonctions.
    • Se trouver en position régulière au regard du Code du service national (pour les communautaires, dans l’État dont ils sont ressortissants).
    • Remplir les conditions d’aptitude physique exigées pour l’exercice de la fonction compte tenu des possibilités de compensation du handicap.

    Devenir infirmier en Polynésie française

    Le concours comporte une épreuve écrite d’admissibilité et une épreuve orale d’admission. À l’issue du concours, les lauréats seront affectés sur des postes d’infirmiers en milieu isolé dans les archipels des Tuamotu et des Marquises, ainsi qu’à la cellule des soignants itinérants de la Direction de la santé.

    L’épreuve d’admissibilité se déroulera à Tahiti, le mardi 11 février 2020 et l’épreuve d’admission se déroulera à partir du lundi 23 mars 2020.

    Toutes les informations sur le concours sont disponibles sur le site internet du haut-commissariat. Il est possible de télécharger le dossier d’inscription ci-dessous ou bien de retirer le dossier d’inscription à l’accueil général du haut-commissariat (coordonnées ci-dessous) du lundi 25 novembre au vendredi 20 décembre 2019.

    Les dossiers de candidature dûment complétés sont à retourner au plus tard vendredi 20 décembre 2019 au Bureau des Ressources Humaines et des Traitements uniquement par voie postale, le cachet de la poste faisant foi. Tout dossier expédié après cette date ou incomplet sera rejeté.

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