Annuaire des structures
[ACTUALITÉS]
Enquête sur la santé en milieu scolaire en Polynésie française
Porté par l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS), le modèle d’enquête GSHS (Global Student Health Survey) vise à collecter anonymement des données sur la santé des jeunes scolarisés de 13 à 17 ans afin de pouvoir les comparer au niveau mondial et d’orienter les politiques internationales et locales de santé publique à destination de la jeunesse. En Polynésie française, les ministères de la Santé et de l’Education collaborent de nouveau en 2024 pour réaliser cette enquête auprès d’un échantillon d’élèves du second degré.
Grâce au concours de la Direction Générale de l’Enseignement et de l’Education (DGEE) et des directeurs d’établissements, 3906 élèves de 32 collèges et lycées, du public et du privé de tout le territoire, ont été sélectionnés pour y participer.
Comme lors de la dernière grande enquête de ce type, réalisée en 2016, l’enquête GSHS 2024 a pour objectif principal de mieux comprendre les comportements et les facteurs contribuant à la santé des jeunes scolarisés. Ainsi du 26 février au 28 mars 2024, les jeunes de 169 classes de la 5ème à la 1ère seront invités, durant une heure de cours classique, à répondre à un questionnaire totalement anonyme de 45 questions.
Focalisée sur les facteurs et comportements influençant leur santé, l’enquête vise à fournir des données cruciales pour établir des priorités et élaborer les programmes et les ressources en santé scolaire, ainsi que les politiques de santé spécifiquement dédiés aux jeunes. Les domaines explorés par cette enquête incluent l’alimentation, l’activité physique, l’hygiène, le bien-être mental, les actes de violences, les relations amoureuses, la consommation d’alcool, de tabac et de drogues ainsi que les actes de violences involontaires.
Les résultats de cette enquête, coordonnée par le bureau d’études et d’évaluation des programmes en santé de la Direction de la santé avec le support du Département de la vie des élèves, des écoles et des établissements de la DGEE, permettront non seulement de comparer les différentes prévalences des déterminants en santé chez les jeunes à l’échelle internationale et communautaire du Pacifique, mais également d’établir des tendances au fil des années.
Enquête sur la santé en milieu scolaire en Polynésie française
Porté par l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS), le modèle d’enquête GSHS (Global Student Health Survey) vise à collecter anonymement des données sur la santé des jeunes scolarisés de 13 à 17 ans afin de pouvoir les comparer au niveau mondial et d’orienter les politiques internationales et locales de santé publique à destination de la jeunesse. En Polynésie française, les ministères de la Santé et de l’Education collaborent de nouveau en 2024 pour réaliser cette enquête auprès d’un échantillon d’élèves du second degré.
Grâce au concours de la Direction Générale de l’Enseignement et de l’Education (DGEE) et des directeurs d’établissements, 3906 élèves de 32 collèges et lycées, du public et du privé de tout le territoire, ont été sélectionnés pour y participer.
Comme lors de la dernière grande enquête de ce type, réalisée en 2016, l’enquête GSHS 2024 a pour objectif principal de mieux comprendre les comportements et les facteurs contribuant à la santé des jeunes scolarisés. Ainsi du 26 février au 28 mars 2024, les jeunes de 169 classes de la 5ème à la 1ère seront invités, durant une heure de cours classique, à répondre à un questionnaire totalement anonyme de 45 questions.
Focalisée sur les facteurs et comportements influençant leur santé, l’enquête vise à fournir des données cruciales pour établir des priorités et élaborer les programmes et les ressources en santé scolaire, ainsi que les politiques de santé spécifiquement dédiés aux jeunes. Les domaines explorés par cette enquête incluent l’alimentation, l’activité physique, l’hygiène, le bien-être mental, les actes de violences, les relations amoureuses, la consommation d’alcool, de tabac et de drogues ainsi que les actes de violences involontaires.
Les résultats de cette enquête, coordonnée par le bureau d’études et d’évaluation des programmes en santé de la Direction de la santé avec le support du Département de la vie des élèves, des écoles et des établissements de la DGEE, permettront non seulement de comparer les différentes prévalences des déterminants en santé chez les jeunes à l’échelle internationale et communautaire du Pacifique, mais également d’établir des tendances au fil des années.
[ACTUALITÉS]
Alerte Dengue
10 cas autochtones de Dengue de type 2, domiciliés dans les communes de Papeete, Mahina, Faa’a, Punaauia et Moorea, ont été confirmés depuis le début de l’alerte le 27 novembre 2023, dont 2 début février. En conséquence pour Tahiti et Moorea la situation correspond à la phase d’alerte de niveau 2 du plan de lutte contre la dengue.
Cela signifie donc que celle-ci circule en Polynésie française alors qu’elle n’avait pas circulé depuis trois ans et cela, malgré la présence de moustiques vecteurs de la maladie à travers tous les archipels.
Les mesures de prévention individuelles sont indispensables pour se protéger et éviter la propagation du virus. Pour ce faire, la recherche et l’élimination des gites larvaires en évacuant les eaux stagnantes de son environnement (pots de fleurs, gouttières, pneus…) au moins une fois par semaine et l’utilisation de traitements insecticides quotidiens sont nécessaires.
Pour rappel, les symptômes de la dengue se manifestent au bout de 3 à 14 jours après la piqûre infectante. Les signes cliniques les plus courants sont : une forte fièvre, des maux de tête, des courbatures, des nausées et une éruption cutanée. En cas d’apparition de ces symptômes, il est recommandé de consulter rapidement un médecin qui prescrira le test de diagnostic.
Alerte Dengue
10 cas autochtones de Dengue de type 2, domiciliés dans les communes de Papeete, Mahina, Faa’a, Punaauia et Moorea, ont été confirmés depuis le début de l’alerte le 27 novembre 2023, dont 2 début février. En conséquence pour Tahiti et Moorea la situation correspond à la phase d’alerte de niveau 2 du plan de lutte contre la dengue.
Cela signifie donc que celle-ci circule en Polynésie française alors qu’elle n’avait pas circulé depuis trois ans et cela, malgré la présence de moustiques vecteurs de la maladie à travers tous les archipels.
Les mesures de prévention individuelles sont indispensables pour se protéger et éviter la propagation du virus. Pour ce faire, la recherche et l’élimination des gites larvaires en évacuant les eaux stagnantes de son environnement (pots de fleurs, gouttières, pneus…) au moins une fois par semaine et l’utilisation de traitements insecticides quotidiens sont nécessaires.
Pour rappel, les symptômes de la dengue se manifestent au bout de 3 à 14 jours après la piqûre infectante. Les signes cliniques les plus courants sont : une forte fièvre, des maux de tête, des courbatures, des nausées et une éruption cutanée. En cas d’apparition de ces symptômes, il est recommandé de consulter rapidement un médecin qui prescrira le test de diagnostic.
[ACTUALITÉS]
Le dispensaire d’Uturoa reçoit l’appellation Fare Ea
La Direction de la santé convie les médias à la cérémonie d’appellation Fare Ea du dispensaire d’Uturoa à Raiatea le mardi 23 janvier à 8h30. Celle-ci se déroulera en présence de Cédric Mercadal ministre de la santé en charge de la prévention et de la protection sociale généralisée, accompagné du directeur de la santé Philippe Biarez, du tavana Matahi Brotherson et des adjoints aux maires de Taputapuatea et Tumaraa.
Portée par la Direction de la santé, l’appellation Fare Ea s’inscrit dans un programme ambitieux de modernisation des soins de santé primaire.
Le concept de soins de santé primaires, tel que défini par l’OMS, garantit que les personnes reçoivent des soins complets et de qualité, au plus près possible de leur environnement quotidien. Ces soins incluent des actions de promotion de santé (connaître les facteurs qui influencent la santé pour pouvoir la maîtriser et l’améliorer), de prévention (réduire les risques de maladies) jusqu’au traitement, à la rééducation et aux soins palliatifs.
Cette appellation est le gage de la mise en œuvre par l’établissement de soins d’un ensemble de services promotionnels de santé, préventifs et curatifs, visant à améliorer la santé physique, mentale et sociale de la population.
Pour obtenir cette appellation, la structure de santé doit remplir trois critères : – Mettre en œuvre les principes de soins de santé primaire ; – Créer ou renforcer des partenariats avec les acteurs locaux (commune, association…) ; – Mettre en place des actions de cohésion d’équipe entre professionnels de santé.
Par l’attribution de son appellation Fare Ea, le dispensaire d’Uturoa officialise sa volonté d’intégrer une vision globale de la santé et de proposer des soins complets et continus, en plaçant l’individu et sa famille au centre des prises en charge.
Pour les professionnels de santé de la structure, la notion de soins centrés sur la personne est plus complète que celle de soins centrés sur le patient et permet ainsi de prendre en compte les facteurs qui influent sur la santé de la population de Raiatea comme l’alimentation, l’isolement géographique, le mode de vie, la culture, l’accessibilité des soins…
Suite à cette cérémonie, qui permettra de présenter les différentes actions et projets menés par l’équipe du dispensaire de Uturoa et partenaires concernés, le ministre s’immergera dans le fonctionnement et la dynamique du dispositif « Commune en santé » à Uturoa, autre dispositif communautaire porté par la Direction de la santé. Les professionnels engagés auront ainsi l’occasion de présenter les divers dispositifs mis en place et leur impact.
Le dispensaire d’Uturoa reçoit l’appellation Fare Ea
La Direction de la santé convie les médias à la cérémonie d’appellation Fare Ea du dispensaire d’Uturoa à Raiatea le mardi 23 janvier à 8h30. Celle-ci se déroulera en présence de Cédric Mercadal ministre de la santé en charge de la prévention et de la protection sociale généralisée, accompagné du directeur de la santé Philippe Biarez, du tavana Matahi Brotherson et des adjoints aux maires de Taputapuatea et Tumaraa.
Portée par la Direction de la santé, l’appellation Fare Ea s’inscrit dans un programme ambitieux de modernisation des soins de santé primaire.
Le concept de soins de santé primaires, tel que défini par l’OMS, garantit que les personnes reçoivent des soins complets et de qualité, au plus près possible de leur environnement quotidien. Ces soins incluent des actions de promotion de santé (connaître les facteurs qui influencent la santé pour pouvoir la maîtriser et l’améliorer), de prévention (réduire les risques de maladies) jusqu’au traitement, à la rééducation et aux soins palliatifs.
Cette appellation est le gage de la mise en œuvre par l’établissement de soins d’un ensemble de services promotionnels de santé, préventifs et curatifs, visant à améliorer la santé physique, mentale et sociale de la population.
Pour obtenir cette appellation, la structure de santé doit remplir trois critères : – Mettre en œuvre les principes de soins de santé primaire ; – Créer ou renforcer des partenariats avec les acteurs locaux (commune, association…) ; – Mettre en place des actions de cohésion d’équipe entre professionnels de santé.
Par l’attribution de son appellation Fare Ea, le dispensaire d’Uturoa officialise sa volonté d’intégrer une vision globale de la santé et de proposer des soins complets et continus, en plaçant l’individu et sa famille au centre des prises en charge.
Pour les professionnels de santé de la structure, la notion de soins centrés sur la personne est plus complète que celle de soins centrés sur le patient et permet ainsi de prendre en compte les facteurs qui influent sur la santé de la population de Raiatea comme l’alimentation, l’isolement géographique, le mode de vie, la culture, l’accessibilité des soins…
Suite à cette cérémonie, qui permettra de présenter les différentes actions et projets menés par l’équipe du dispensaire de Uturoa et partenaires concernés, le ministre s’immergera dans le fonctionnement et la dynamique du dispositif « Commune en santé » à Uturoa, autre dispositif communautaire porté par la Direction de la santé. Les professionnels engagés auront ainsi l’occasion de présenter les divers dispositifs mis en place et leur impact.
[ACTUALITÉS]
Conduites à tenir face aux risques sanitaires liés aux fortes pluies et aux inondations
Le ministère de la Santé, en charge de la Prévention appelle toutes les familles et les personnes à une forte vigilance et à la prudence.
Les intempéries ces derniers jours et leurs conséquences sur la salubrité des habitats (inondations, boue, détritus, coupure d’eau…) sont extrêmement favorables à la transmission d’agents infectieux et aux accidents. Ces risques persistent même lorsque les conditions climatiques s’améliorent.
1. La leptospirose est le risque infectieux le plus fréquent. Marcher pieds nus dans l’eau sale ou la boue augmente les risques de contact entre la peau et ces germes infectieux.
La leptospirose est une maladie grave causée par des bactéries (leptospires) qui pénètrent à travers la peau, les muqueuses ou par des blessures (même petites), lors de contact prolongés avec la boue ou de l’eau sale, souillée par les urines d’animaux (rats, cochons, vaches, chiens…).
Après une incubation en moyenne de 10 jours (pouvant aller de 5 à 12 jours), la maladie débute comme une forte grippe avec une fièvre élevée, des maux de têtes, des douleurs musculaires et articulaires. Une consultation médicale doit avoir lieu le plus tôt possible.
Si le traitement n’est pas débuté assez tôt, des signes de complications peuvent apparaître : atteintes du foies et des reins (jaunisse, urines rouges foncé), hémorragies… Le décès peut survenir dans 5 à 10 % des cas.
La leptospirose est soignée efficacement par des antibiotiques, à condition de consulter un médecin dès les premiers signes.
Consultez rapidement un médecin dès les premiers signes suivants, surtout s’il y a eu de contacts avec de l’eau ou de la boue potentiellement souillées durant les 3 semaines précédentes :
- Fièvre élevée et brutale, avec malaise,
- Douleurs dans les muscles, les articulations, le ventre
- Forts maux de tête.
2. Les fortes pluies favorisent également le risque de propagation des germes fécaux ( à partir de fosses septiques défectueuses) ainsi que d’autres germes pathogènes.
Assurez-vous que l’eau que vous buvez est propre à la consommation. Il est possible de récupérer de l’eau des fontaines publiques ou chez des personnes.
De même, cuisinez bien les aliments et veillez à une bonne hygiène corporelle.
3. La saison des pluies est propice à la prolifération des gîtes larvaires et des moustiques. Depuis le 27 novembre 2023, la Polynésie française est en alerte dengue de type II suite à la détection d’un cas autochtone. Pour éviter les risques de dengue, maladie à potentiel épidémie, protégez-vous contre les piqûre de moustiques. Éliminez les gîtes larvaires.
Recommandations particulièrement importantes à suivre :
- Ne marchez pas pieds nus dans la boue et dans des eaux susceptibles d’être souillées
- Ne vous baignez pas à la rivière ou à la mer lors de fortes pluies
- Lavez-vous les mains fréquemment, gardez une peau propre
- Désinfectez rapidement toute blessure au niveau de la peau
- Assurez-vous que l’eau que vous consommez est potable : buvez de l’eau embouteillée, faites bouillir de l’eau du robinet pendant 10 à 15 minutes, si vous récupérez de l’eau des fontaines publiques ou chez des personnes utilisez des contenants propres et uniquement pour contenir de l’eau (bouteilles, bonbonnes d’eau…). Ces eaux doivent être bouillies pendant 10 à 15 minutes avant de les consommer.
- Cuisinez bien les aliments avant de les consommer
- Contre les piqûres de moustiques, appliquez un répulsif cutané efficace.Utilisez des moustiquaires de lits, des diffuseurs insecticides, des raquettes électriques…
- Recherchez et éliminez les gîtes larvaires au moins une fois par semaine : eaux stagnantes, seaux à boutures, vases, sous-pots, récipients, pneus, gouttières, caniveaux…
- En cas de fièvres brutales, de douleurs musculaires ou articulaires, n’attendez pas pour consulter un médecin. Redoublez de vigilance pour les personnes âgées, bébés et enfants, femmes enceintes, malades chroniques.
Contacts :
Agence de régulation de l’action sanitaire et sociales (ARASS) : Bureau de la Veille Sanitaire et de l’Observation (BVSO) – 40 48 82 01
Direction de la santé : Centre de Santé Environnementale (CSE) : 40 50 37 45
Conduites à tenir face aux risques sanitaires liés aux fortes pluies et aux inondations
Le ministère de la Santé, en charge de la Prévention appelle toutes les familles et les personnes à une forte vigilance et à la prudence.
Les intempéries ces derniers jours et leurs conséquences sur la salubrité des habitats (inondations, boue, détritus, coupure d’eau…) sont extrêmement favorables à la transmission d’agents infectieux et aux accidents. Ces risques persistent même lorsque les conditions climatiques s’améliorent.
1. La leptospirose est le risque infectieux le plus fréquent. Marcher pieds nus dans l’eau sale ou la boue augmente les risques de contact entre la peau et ces germes infectieux.
La leptospirose est une maladie grave causée par des bactéries (leptospires) qui pénètrent à travers la peau, les muqueuses ou par des blessures (même petites), lors de contact prolongés avec la boue ou de l’eau sale, souillée par les urines d’animaux (rats, cochons, vaches, chiens…).
Après une incubation en moyenne de 10 jours (pouvant aller de 5 à 12 jours), la maladie débute comme une forte grippe avec une fièvre élevée, des maux de têtes, des douleurs musculaires et articulaires. Une consultation médicale doit avoir lieu le plus tôt possible.
Si le traitement n’est pas débuté assez tôt, des signes de complications peuvent apparaître : atteintes du foies et des reins (jaunisse, urines rouges foncé), hémorragies… Le décès peut survenir dans 5 à 10 % des cas.
La leptospirose est soignée efficacement par des antibiotiques, à condition de consulter un médecin dès les premiers signes.
Consultez rapidement un médecin dès les premiers signes suivants, surtout s’il y a eu de contacts avec de l’eau ou de la boue potentiellement souillées durant les 3 semaines précédentes :
- Fièvre élevée et brutale, avec malaise,
- Douleurs dans les muscles, les articulations, le ventre
- Forts maux de tête.
2. Les fortes pluies favorisent également le risque de propagation des germes fécaux ( à partir de fosses septiques défectueuses) ainsi que d’autres germes pathogènes.
Assurez-vous que l’eau que vous buvez est propre à la consommation. Il est possible de récupérer de l’eau des fontaines publiques ou chez des personnes.
De même, cuisinez bien les aliments et veillez à une bonne hygiène corporelle.
3. La saison des pluies est propice à la prolifération des gîtes larvaires et des moustiques. Depuis le 27 novembre 2023, la Polynésie française est en alerte dengue de type II suite à la détection d’un cas autochtone. Pour éviter les risques de dengue, maladie à potentiel épidémie, protégez-vous contre les piqûre de moustiques. Éliminez les gîtes larvaires.
Recommandations particulièrement importantes à suivre :
- Ne marchez pas pieds nus dans la boue et dans des eaux susceptibles d’être souillées
- Ne vous baignez pas à la rivière ou à la mer lors de fortes pluies
- Lavez-vous les mains fréquemment, gardez une peau propre
- Désinfectez rapidement toute blessure au niveau de la peau
- Assurez-vous que l’eau que vous consommez est potable : buvez de l’eau embouteillée, faites bouillir de l’eau du robinet pendant 10 à 15 minutes, si vous récupérez de l’eau des fontaines publiques ou chez des personnes utilisez des contenants propres et uniquement pour contenir de l’eau (bouteilles, bonbonnes d’eau…). Ces eaux doivent être bouillies pendant 10 à 15 minutes avant de les consommer.
- Cuisinez bien les aliments avant de les consommer
- Contre les piqûres de moustiques, appliquez un répulsif cutané efficace.Utilisez des moustiquaires de lits, des diffuseurs insecticides, des raquettes électriques…
- Recherchez et éliminez les gîtes larvaires au moins une fois par semaine : eaux stagnantes, seaux à boutures, vases, sous-pots, récipients, pneus, gouttières, caniveaux…
- En cas de fièvres brutales, de douleurs musculaires ou articulaires, n’attendez pas pour consulter un médecin. Redoublez de vigilance pour les personnes âgées, bébés et enfants, femmes enceintes, malades chroniques.
Contacts :
Agence de régulation de l’action sanitaire et sociales (ARASS) : Bureau de la Veille Sanitaire et de l’Observation (BVSO) – 40 48 82 01
Direction de la santé : Centre de Santé Environnementale (CSE) : 40 50 37 45
[ACTUALITÉS]
Prévention des risques pendant le Matavaa o te Enana
A l’occasion du Matavaa o te Enana, le festival des arts et de la cultures des Marquises, plusieurs milliers de participants sont attendus à Nuku Hiva du 14 au 26 décembre 2023.
Les équipes de la Direction de la santé, en particulier celle de l’hôpital de Nuku Hiva se sont préparées depuis plusieurs mois afin d’avoir la capacité de répondre à tout phénomène de santé ou urgence pendant ce temps de festivités.
Afin d’optimiser la réponse aux aléas de santé potentiels, la Direction de la santé invite les professionnels de santé volontaires présents pendant le festival en ta,t que visiteurs, à se signaler auprès de l’équipe médicale de l’hôpital de Taiohae. L’objectif est ‘établir une petite réserve sanitaire bénévole en cas de besoin de renfort.
Par ailleurs, la Direction de la santé appelle les visiteurs et la population de Nuku Hiva à la plus grande prudence pendant ces festivités afin de profiter pleinement de la culture, des arts et du lien social au cours des deux semaines de festivités.
Notre santé est l’affaire de tous !
Prévention des risques pendant le Matavaa o te Enana
A l’occasion du Matavaa o te Enana, le festival des arts et de la cultures des Marquises, plusieurs milliers de participants sont attendus à Nuku Hiva du 14 au 26 décembre 2023.
Les équipes de la Direction de la santé, en particulier celle de l’hôpital de Nuku Hiva se sont préparées depuis plusieurs mois afin d’avoir la capacité de répondre à tout phénomène de santé ou urgence pendant ce temps de festivités.
Afin d’optimiser la réponse aux aléas de santé potentiels, la Direction de la santé invite les professionnels de santé volontaires présents pendant le festival en ta,t que visiteurs, à se signaler auprès de l’équipe médicale de l’hôpital de Taiohae. L’objectif est ‘établir une petite réserve sanitaire bénévole en cas de besoin de renfort.
Par ailleurs, la Direction de la santé appelle les visiteurs et la population de Nuku Hiva à la plus grande prudence pendant ces festivités afin de profiter pleinement de la culture, des arts et du lien social au cours des deux semaines de festivités.
Notre santé est l’affaire de tous !
[ACTUALITÉS]
Les programmes de prévention en santé pour les enfants mineurs scolarisés en Polynésie française
Pour pouvoir intervenir auprès de votre enfant en établissement scolaire, la Direction de la Santé nécessite votre autorisation parentale signée par l’un des parents ou représentant légal.
Pour la rentrée scolaire 2023, la Direction de la Santé simplifie le recueil des autorisations parentales.
– Autorisation parentale unique : un seul formulaire regroupant l’ensemble des autorisations
– « Dites-le-nous une fois » : votre autorisation est valable pour toute la scolarité de votre enfant. Vous pouvez retirer une autorisation à tout moment en vous manifestant auprès de la Direction de la Santé.
Les programmes de prévention en santé pour les enfants mineurs scolarisés en Polynésie française
Pour pouvoir intervenir auprès de votre enfant en établissement scolaire, la Direction de la Santé nécessite votre autorisation parentale signée par l’un des parents ou représentant légal.
Pour la rentrée scolaire 2023, la Direction de la Santé simplifie le recueil des autorisations parentales.
– Autorisation parentale unique : un seul formulaire regroupant l’ensemble des autorisations
– « Dites-le-nous une fois » : votre autorisation est valable pour toute la scolarité de votre enfant. Vous pouvez retirer une autorisation à tout moment en vous manifestant auprès de la Direction de la Santé.
https://www.service-public.pf/dsp/wp-content/uploads/sites/12/2023/09/Explication-APU-V2.pptx
[ACTUALITÉS]
L’ inauguration du kiosque Feti’a Ora
La Santé de la population et le bien-être de chacun constituent des enjeux majeurs pour l’avenir du Pays et sont au cœur de l’action gouvernementale (Fa’atura).
Moetai Brotherson, président du Pays, Cédric Mercadal, ministre de la Santé, Taivini Teai, ministre de l’Agriculture, accompagnés de plusieurs autres membres du gouvernement ont inauguré, le kiosque Feti’a Ora, ce vendredi 25 août.
La cérémonie s’est déroulée en présence également de plusieurs représentants de l’Assemblée de Polynésie française (APF), Toate Philippe Biarez, directeur de la Santé (DS) et son équipe, Philippe Couraud, directeur de l’Agriculture (DAG), Thomas Mouthame, tāvana de la commune de Taputapuatea et d’autres personnalités étaient également présentes. A l’occasion, une classe de l’école élémentaire de Saint Jean-Baptiste a pu visiter les locaux et le jardin potager en exclusivité.
Du kiosque-infos santé, au kiosque Feti’a Ora
Ce nouveau dispositif de la direction de la Santé, le kiosque Feti’a Ora succède au kiosque info-Santé précédemment installé à Paofai, et fermé depuis le début de la crise sanitaire en mars 2020.
Feti’a Ora, ou « l’étoile qui guide la vie », cible essentiellement les enfants et adolescents de la zone urbaine de Papeete. Installé rue frère Alain (face au collège et lycée La Mennais, dans les locaux de l’ex-plateforme covid-19), il bénéficie d’un emplacement idéal à proximité des écoles, collèges et lycées du centre-ville. Ce kiosque a vocation à devenir un vrai lieu de vie, convivial et facilement accessible.
Il a pour missions principales de :
– Promouvoir un mode de vie sain en éduquant le public aux mesures préventives essentielles ;
– Rendre clairs et attrayants les outils d’informations en termes de santé et d’activité physique, pour qu’enfants et adolescents soient sensibilisés et concernés ;
– Proposer un espace de communication et de formation pour les associations de promotion et de prévention de la Santé.
Un lieu de rendez-vous pour les jeunes des établissements aux alentours
Afin que les écoliers, collégiens et lycéens puissent s’approprier le lieu et en faire un lieu de rendez-vous immanquable pour leurs recherches personnelles ou scolaires sur des sujets de Santé.
Des événements réguliers y seront organisés, à savoir :
– Des ateliers culinaires avec la mise en avant de fruits, légumes et aromates locaux à découvrir sur place dans le jardin potager nourricier ;
– Des animations mensuelles avec des professionnels de santé ou des associations autour de thématiques variées comme l’alimentation saine et équilibrée, le sport et l’activité physique, la santé sexuelle, la contraception, la prévention des addictions… ;
– Des groupes de discussion pour aider à la mise en place de projets de prévention et d’éducation à la santé ;
– Des visites du kiosque pour les écoles du premier et second degré.
L’ inauguration du kiosque Feti’a Ora
La Santé de la population et le bien-être de chacun constituent des enjeux majeurs pour l’avenir du Pays et sont au cœur de l’action gouvernementale (Fa’atura).
Moetai Brotherson, président du Pays, Cédric Mercadal, ministre de la Santé, Taivini Teai, ministre de l’Agriculture, accompagnés de plusieurs autres membres du gouvernement ont inauguré, le kiosque Feti’a Ora, ce vendredi 25 août.
La cérémonie s’est déroulée en présence également de plusieurs représentants de l’Assemblée de Polynésie française (APF), Toate Philippe Biarez, directeur de la Santé (DS) et son équipe, Philippe Couraud, directeur de l’Agriculture (DAG), Thomas Mouthame, tāvana de la commune de Taputapuatea et d’autres personnalités étaient également présentes. A l’occasion, une classe de l’école élémentaire de Saint Jean-Baptiste a pu visiter les locaux et le jardin potager en exclusivité.
Du kiosque-infos santé, au kiosque Feti’a Ora
Ce nouveau dispositif de la direction de la Santé, le kiosque Feti’a Ora succède au kiosque info-Santé précédemment installé à Paofai, et fermé depuis le début de la crise sanitaire en mars 2020.
Feti’a Ora, ou « l’étoile qui guide la vie », cible essentiellement les enfants et adolescents de la zone urbaine de Papeete. Installé rue frère Alain (face au collège et lycée La Mennais, dans les locaux de l’ex-plateforme covid-19), il bénéficie d’un emplacement idéal à proximité des écoles, collèges et lycées du centre-ville. Ce kiosque a vocation à devenir un vrai lieu de vie, convivial et facilement accessible.
Il a pour missions principales de :
– Promouvoir un mode de vie sain en éduquant le public aux mesures préventives essentielles ;
– Rendre clairs et attrayants les outils d’informations en termes de santé et d’activité physique, pour qu’enfants et adolescents soient sensibilisés et concernés ;
– Proposer un espace de communication et de formation pour les associations de promotion et de prévention de la Santé.
Un lieu de rendez-vous pour les jeunes des établissements aux alentours
Afin que les écoliers, collégiens et lycéens puissent s’approprier le lieu et en faire un lieu de rendez-vous immanquable pour leurs recherches personnelles ou scolaires sur des sujets de Santé.
Des événements réguliers y seront organisés, à savoir :
– Des ateliers culinaires avec la mise en avant de fruits, légumes et aromates locaux à découvrir sur place dans le jardin potager nourricier ;
– Des animations mensuelles avec des professionnels de santé ou des associations autour de thématiques variées comme l’alimentation saine et équilibrée, le sport et l’activité physique, la santé sexuelle, la contraception, la prévention des addictions… ;
– Des groupes de discussion pour aider à la mise en place de projets de prévention et d’éducation à la santé ;
– Des visites du kiosque pour les écoles du premier et second degré.
[ACTUALITÉS]
« Petits déjeuners en Santé » : Partenariat Pays – Communes volontaires
Ce mardi 22 août, le ministre de la Santé en charge de la Prévention et de la Protection sociale généralisée, Cédric Mercadal, a signé une convention de partenariat liée à l’initiative « Petits déjeuners en santé » avec les communes de Paea, Papara et Taiarapu-Est sous l’égide du Président de la Polynésie française, Moetai Brotherson. Cette convention sera signée avec la commune de Mahina demain matin en conseil des ministres.
Ce partenariat vise à améliorer la santé et le bien-être des enfants en priorisant une alimentation saine, à optimiser les conditions d’apprentissage en fournissant aux élèves les apports énergétiques nécessaires, à promouvoir des habitudes alimentaires saines et durables et à encourager à la consommation de produits locaux frais. Cette initiative du ministère de la santé est menée en étroite collaboration avec le ministère de l’Education, le ministère de l’Agriculture et des Ressources marines en partenariat avec les communes volontaires.
Cette initiative financée par le Pays s’inscrit dans la volonté gouvernementale de mener une politique renforcée de prévention. Elle innove en plaçant au cœur de son approche les besoins et les motivations de l’enfant et de sa famille en les engageant dans un parcours de sensibilisation animé par la direction de la santé et des jeunes du service civique. A l’issue d’une phase test au cours de l’année 2023 -2024, le dispositif fera l’objet d’une évaluation et pourra être étendue aux autres « écoles en santé » volontaires.
Cérémonie de clôture de la plateforme Covid-19
La Plateforme Covid-19 de la direction de la Santé a officiellement fermé ses portes ce mercredi 26 juillet. Pour l’occasion, plusieurs personnalités et acteurs de la Santé ont été conviés à la cérémonie de clôture qui s’est déroulée au 3ème étage du bâtiment de la direction de la Santé ce même jour à 13h30 (immeuble Atitiafa, 56 rue du commandant Destremeau, à côté du musée de la perle Robert Wan).
Depuis 2020, de nombreux acteurs du territoire se sont mobilisés face à cette crise sanitaire sans précédent. Cet événement a permis de remercier ceux qui ont œuvré durant trois ans à protéger la population en informant, soignant et vaccinant contre la covid-19.
Cette cérémonie a également été l’occasion pour les responsables de la plateforme Covid-19 et de la vaccination de revenir sur les moments déterminants de la crise sanitaire, depuis la découverte du premier cas à Tahiti, à la fin des systèmes d’information du pass sanitaire et des QR codes.[ACTUALITÉS]
Mammographe des Marquises Sud : Partenariat entre le ministère de la Santé
Ce mardi 22 août, Cédric Mercadal, ministre de la Santé en charge de la Prévention et de la Protection sociale généralisée, a signé une convention de partenariat avec Natacha Helme, Présidente de la ligue contre le cancer, en présence de Patricia Grand, Présidente d’honneur de l’association, et de Taote Pierre Catteau, vice-Président.
Ce partenariat a pour objectif de permettre à la Ligue contre le Cancer de mener une campagne de prévention en collaboration avec la direction de la Santé dans le cadre du déploiement d’un mammographe aux Marquises Sud. Il permettra de faciliter l’accès au dépistage du cancer du sein qui est le cancer le plus le plus répandu chez les femmes en Polynésie française, touchant environ 200 d’entre elles chaque année. En effet, les femmes des Marquises Sud sont actuellement obligées de se déplacer vers Nuku Hiva à leurs frais pour effectuer des dépistages et sont confrontées à la rareté des liaisons interinsulaires. Or un dépistage précoce est capital dans la prévention de cette maladie.
Le mammographe, entièrement financé par le Pays, est en cours d’acquisition avec une installation prévue pour le premier trimestre 2024 au centre médical de Hiva-Oa. Ce projet permettra de réduire l’inégalité de l’accès au dépistage après l’installation d’un premier mammographe aux Marquises Nord en juin 2018. Plus de 660 mammographies ont été réalisées à ce jour grâce à quatre missions annuelles effectuées par un médecin radiologue dans le cadre des Consultations spécialisées avancées (CSA) de la direction de la Santé.
Le ministre s’est réjoui de ce partenariat qui s’inscrit pleinement dans la volonté gouvernementale de renforcer l’offre de soins de proximité au bénéfice des familles polynésiennes, notamment dans les archipels éloignés.
Cérémonie de clôture de la plateforme Covid-19
La Plateforme Covid-19 de la direction de la Santé a officiellement fermé ses portes ce mercredi 26 juillet. Pour l’occasion, plusieurs personnalités et acteurs de la Santé ont été conviés à la cérémonie de clôture qui s’est déroulée au 3ème étage du bâtiment de la direction de la Santé ce même jour à 13h30 (immeuble Atitiafa, 56 rue du commandant Destremeau, à côté du musée de la perle Robert Wan).
Depuis 2020, de nombreux acteurs du territoire se sont mobilisés face à cette crise sanitaire sans précédent. Cet événement a permis de remercier ceux qui ont œuvré durant trois ans à protéger la population en informant, soignant et vaccinant contre la covid-19.
Cette cérémonie a également été l’occasion pour les responsables de la plateforme Covid-19 et de la vaccination de revenir sur les moments déterminants de la crise sanitaire, depuis la découverte du premier cas à Tahiti, à la fin des systèmes d’information du pass sanitaire et des QR codes.[ACTUALITÉS]
Santé des populations isolées : Partenariat entre le ministère de la Santé et la Compagnie Ponant
Lundi 21 août, Cédric Mercadal, ministre de la Santé en charge de la Prévention et de la Protection sociale généralisée, a signé une convention de partenariat médical « Taote Gauguin » en présence de Florence Courbière, représentante de la Compagnie Ponant/Paul Gauguin Cruises.
Ce partenariat a pour ambition de répondre aux besoins de Santé des populations des îles isolées de la Polynésie française en établissant une coopération sanitaire entre la Direction de la Santé Publique (DSP) du Pays et la compagnie du Ponant, propriétaire du navire Paul Gauguin.
Deux volets sont ainsi prévus. D’une part, des consultations bénévoles seront effectuées par les médecins du Ponant dans les structures de la direction de la Santé des îles isolées de la Polynésie française, lors des escales programmées du navire en commençant aux Marquises nord et sud. Un accès gracieux aux capacités de radiographie à bord sera également possible. D’autre part, les professionnels de Santé missionnés par la direction de la Santé seront transportés à titre gracieux à bord du Paul Gauguin pour assurer des consultations spécialisées avancées (CSA) dans les structures de Santé des îles les plus difficiles d’accès. Le partenariat permettra ainsi d’étoffer le dispositif CSA existant. Cette collaboration est une première mondiale dans le milieu de la croisière.
Le ministre s’est vivement félicité de ce partenariat public-privé établi avec une entreprise majeure du développement économique du Pays qui s’inscrit pleinement dans la volonté gouvernementale de renforcer l’offre de soins de proximité au bénéfice des familles polynésiennes, notamment dans les archipels éloignés.
Cérémonie de clôture de la plateforme Covid-19
La Plateforme Covid-19 de la direction de la Santé a officiellement fermé ses portes ce mercredi 26 juillet. Pour l’occasion, plusieurs personnalités et acteurs de la Santé ont été conviés à la cérémonie de clôture qui s’est déroulée au 3ème étage du bâtiment de la direction de la Santé ce même jour à 13h30 (immeuble Atitiafa, 56 rue du commandant Destremeau, à côté du musée de la perle Robert Wan).
Depuis 2020, de nombreux acteurs du territoire se sont mobilisés face à cette crise sanitaire sans précédent. Cet événement a permis de remercier ceux qui ont œuvré durant trois ans à protéger la population en informant, soignant et vaccinant contre la covid-19.
Cette cérémonie a également été l’occasion pour les responsables de la plateforme Covid-19 et de la vaccination de revenir sur les moments déterminants de la crise sanitaire, depuis la découverte du premier cas à Tahiti, à la fin des systèmes d’information du pass sanitaire et des QR codes.