Annuaire des structures de la Direction de la santé

  • Contexte

    • L’Organisation mondiale de la santé à déclaré une urgence de santé publique de portée internationale le 30/01/2020.
    • Un risque très élevé au niveau international a été a été déclaré le 28/02/2020.
    • La pandémie a été annoncée officiellement le 11/03/2020.

    La situation en Polynésie française

    Le premier cas confirmé en Polynésie a été prélevé le 10 mars 2020.

    Situation au 16/04/2020 à 8h00:

    À ce jour, il n’y a aucun nouveau cas confirmé de COVID-19 en Polynésie française. Le nombre total de cas confirmés est 55.

  • BULLETIN D’INFORMATION #23 – Cellule de crise de la Polynésie française

    Sur les 43 dépistages effectués hier, aucune personne n’a été relevée positive au virus, pour 978 analyses effectuées depuis le début de l’épidémie. 55 personnes ont été dépistées positives depuis le début de l’épidémie. Une personne demeure hospitalisée, aucun décès n’est constaté.

    Stratégie de dépistage

    • les équipes du bureau de veille sanitaire (BVS), qui se déplacent sur le terrain, et qui sont à l’origine de plusieurs dizaines de tests actuellement en cours d’analyse sur des zones ciblées (Papara, notamment) ;
    • les tests réalisés par les équipes de l’Institut Louis Malardé (ILM) sur la base d’une ordonnance médicale, qui ont installé un « drive » permettant aux personnes de se faire tester dans leur voiture.

    On rajoutera également les dépistages spécifiques effectués au Centre hospitalier de la Polynésie française.

    L’Institut Louis Malardé, principal opérateur des analyses, est aujourd’hui en capacité d’effectuer 120 tests par jour suite à l’arrivée des matériels spécifiques par le premier vol de continuité territoriale. A l’échelle nationale, cela correspondrait à plus de 28.000 personnes testées quotidiennement.

    La stratégie de dépistage prend en compte plusieurs facteurs sociologiques, comme par exemple la transmission communautaire : les autorités sanitaires cherchent à savoir si le virus qui se répand partout sur le territoire, dans toutes les communautés – ce qui n’est pas le cas actuellement, suite aux mesures de confinement stricte adoptées par les autorités.

    Enfin, la stratégie de dépistage repose enfin sur un ciblage spécifique : en premier lieu, les populations ayant été en contact avec des personnes atteintes du virus ; les personnes ayant voyagé hors de nos frontières, qui constituent près de la moitié des cas importés ; les personnels en première ligne du combat contre l’épidémie (personnels de santé, personnels municipaux, forces de l’ordre, pompiers, personnels navigants). Et également, toute personne présentant les symptômes évocateurs de la maladie.

    Symptomatologie : surveiller son état de santé et se signaler

    Le virus du COVID-19 se transmet par les voies aériennes (sous formes de gouttelettes) via la bouche, le nez et les yeux.

    Parmi les symptômes de la maladie, certains peuvent s’apparenter à un rhume classique (fatigue générale, nez qui coule, gorge qui gratte et toux).

    Si vous ressentez ces symptômes, appelez rapidement votre médecin traitant, ou l’une des structures de la santé publique à proximité de votre domicile (dispensaires, centre de la mère et de l’enfant, hôpitaux périphériques). Il convient d’appeler les numéros 444 789 ou 15 si les premiers contacts ne répondent pas.

    D’autres symptômes plus graves peuvent être observés comme une gêne respiratoire, si votre état est alarmant, appelez le 15.

    Enfin, une attitude est recommandée : la prise de température régulière, car comme tout dérèglement ou maladie, le virus peut provoquer de la fièvre, même si cela n’est pas systématique. Si vous ressentez de la fièvre, appelez votre médecin.

    Vocabulaire de l’épidémie

    L’épidémie de COVID-19 draine un nouveau vocabulaire qu’il n’est parfois pas facile d’adopter dans le langage courant.

    Ce vocabulaire est pourtant important, car il permet, notamment, de ne pas stigmatiser les personnes atteintes du virus. On parle effectivement de « personnes atteintes du virus », quand les dépistages effectués sont déclarés positifs.

    Enquête eCovid-Pf

    La Direction de la santé lance une enquête auprès de la population concernant sa perception des messages de prévention liés à l’épidémie de Covid19.

    Pour faire face à l’épidémie du Covid-19 à laquelle est confrontée la population de la Polynésie française depuis le mois de mars 2020, de nombreuses mesures ont été prises pour freiner la propagation du virus et protéger la population.

    La communication relative à l’épidémie du Covid-19 vise à mieux informer la population sur l’évolution de la situation sur le territoire, l’inciter à adopter les gestes barrières et à rester confinée chez elle. Pour autant, nous ne savons pas comment et dans quelles conditions l’information est reçue et adoptée dans les foyers. Les gestes barrières et le confinement sont-ils bien appliqués ? Si non, pourquoi ? Nous avons conscience que le confinement de la population est une des mesures prises qui remet le plus en question le quotidien de chacun d’entre nous.

    C’est la raison pour laquelle, la Direction de la santé, lance une enquête pour mieux identifier vos besoins et vos attentes, vos difficultés et les conditions dans lesquelles l’ensemble des mesures de protection sont appliquées. Cette enquête anonyme s’adresse à l’ensemble de la population résidant actuellement en Polynésie française (Tahiti et tous les archipels) et âgée d’au moins 18 ans au moment de l’enquête.

    Participez à cette étude : https://www.service-public.pf/dsp/covid-19/ecovidpf-devenez-acteur-votre-sante-surveillance-epidemie-covid19-fenua/

    ENSEMBLE, LUTTONS CONTRE LA PROPAGATION DU VIRUS EN APPLIQUANT LES GESTES BARRIÈRES.

    PARAU FA’AARARA’A NĀ TE MAU VE’A #23

    I te mahana no nanahi ra, mahana piti 14 nô Eperera, ‘ua ravehia 43 mâ’imira’a. Aore roa e ta’ata i ‘itehia e ua ro’ohia ratou i te ma’i COVID-19.

    Mai te ‘omuara’a ‘o teie ma’i ‘i te fenua nei e tae roa mai ‘i teie mahana, teie te mau nûmera : 978 ta’ata tei hi’opo’ahia, 55 ta’ata tei ro’ohia ‘i te ma’i COVID-19. Hô’ê noa â ta’ata tei tapeahia ‘i te fare ma’i. ‘E te parau ‘oa’oa ra, ‘aore â ta’ata i fa’arue mai.

    Te mau fa’anahora’a no te hi’opo’ara’a

    ‘Ua mara’a te rahira’a o te mau hi’opo’ara’a mai tei fa’a’arahia e te Tia Fa’atere o te Ea i Porînetia nei. E ravehia te mau hi’opo’ara’a mai teie te huru :

    • Te mau pûpu rave ‘ohipa a te Pû Aupuruaea, te haere atu i roto i te mau tuhaa o te mau oire (mai ia Papara), tei nia i te faito hanere hi’opo’ara’a tâ ratou e rave.
    • Te mau rave ‘ohipa a te Pû Malardé ma te fa’ari’i i te mau ta’ata tâ tô ratou taote i tono mai ; ei roto noa ratou i tô ratou pereo’o e hi’opo’ahja ai.
    • E te vai nei te mau hi’opo’ara’a e ravehia nei e te fare ma’i no Taoone, no te ta’ata ma’i tâ ratou e ra’apau.

    Na roto i te taera’a mai te mau materia na nia i te manureva matamua i târahuhia e te Hau nui, e nehenehe atura ta te pû ma’imira’a Malarde e rave 120 hi’opo’ara’a i te mahana hô’ê.

    I roto i te mau ravea hi’opo’ara’a, e hi’opo’ahia te pârarera’a o te ma’i i roto i te hô’ê pûpu ta’ata. Te imi nei te mau tia Fa’atere o te Ea,e nohea mai teie tirotiro e pârare nei i nia i tô tatou fenua.

    Aita ra teie tirotiro e pârare nei i muri ae i te opaniopanira’a hia te ta’ata i roto i tô ratou mau utuafare.

    Tei nia atura teie mau hi’opo’ara’a i te mau ta’ata o tei piripiri i te feia i ro’ohia i teie tirotiro, mai te mau ta’ata i reva i rapae i tô tatou fenua (o te afa rahi ia o te ta’ata ma’i).

    I roto ia ratou, te mau utuutu ma’i, te feia rave ‘ohipa a te mau ‘oire, te mau mûto’i, te feia tûpohe auahi, te mau pairati manureva.

    Te mau tapa’o o te ma’i

    Te tirotiro o te ma’i Covid-19, e pe’e oia na roto mai i tô tatou vaha, te ihu e te mata. I roto i teie mau tapa’o, e piri ri’i i te ma’i hupe (Grippe) (paruparu te tino, tahe te hupe, maero te arapo’a, e te hota). No reira, ia ite outou teie mau tapa’o, a niuniu rû atu i tô outou taote e aore ra i te hô’ê pû utuutur’a ma’i fatata roa i tô outou nohora’a. E nehenehe atoa outou e niuniu i te nûmera 15.

    Te fa’auera’a hopea, ia faito tâmau outou i tô outou fiva i te mea na teie tirotiro e fa’atupu i te fiva. I taua taime ra, a niuniu atu i tô outou taote.

    Te mau ta’o o teiue ma’i

    « Personnes atteintes du virus » : ta’ata i ro’ohia i teie tirotiro. E ta’ata teie o tei hi’opo’ahia e ua ite papuhia te tirotiro i roto iana.

    Titorotorora’a

    Te fa’atupu nei te Fa’aterera’a o te Ea i te hô’ê titorotoro huira’atira no nia i tana hiora’a i te mau poro’i pârurura’a i te ma’i COVID-19.

    Te ARAIRA’A ‘i teie ma’i. ‘E mea faufa’a ‘ia fâaha’amana’ohia, ‘e’ita teie tirotiro ‘e parare noa, nā tātou ra ‘e ta’ita’i nei iana no reira tatou ’e titauhia ai, ia fa’aea ‘i te fare.

    MĀURUURU E FA’AITOITO

    BULLETIN D’INFORMATION #23 – Cellule de crise de la Polynésie française

    Sur les 43 dépistages effectués hier, aucune personne n’a été relevée positive au virus, pour 978 analyses effectuées depuis le début de l’épidémie. 55 personnes ont été dépistées positives depuis le début de l’épidémie. Une personne demeure hospitalisée, aucun décès n’est constaté.

    Stratégie de dépistage

    • les équipes du bureau de veille sanitaire (BVS), qui se déplacent sur le terrain, et qui sont à l’origine de plusieurs dizaines de tests actuellement en cours d’analyse sur des zones ciblées (Papara, notamment) ;
    • les tests réalisés par les équipes de l’Institut Louis Malardé (ILM) sur la base d’une ordonnance médicale, qui ont installé un « drive » permettant aux personnes de se faire tester dans leur voiture.

    On rajoutera également les dépistages spécifiques effectués au Centre hospitalier de la Polynésie française.

    L’Institut Louis Malardé, principal opérateur des analyses, est aujourd’hui en capacité d’effectuer 120 tests par jour suite à l’arrivée des matériels spécifiques par le premier vol de continuité territoriale. A l’échelle nationale, cela correspondrait à plus de 28.000 personnes testées quotidiennement.

    La stratégie de dépistage prend en compte plusieurs facteurs sociologiques, comme par exemple la transmission communautaire : les autorités sanitaires cherchent à savoir si le virus qui se répand partout sur le territoire, dans toutes les communautés – ce qui n’est pas le cas actuellement, suite aux mesures de confinement stricte adoptées par les autorités.

    Enfin, la stratégie de dépistage repose enfin sur un ciblage spécifique : en premier lieu, les populations ayant été en contact avec des personnes atteintes du virus ; les personnes ayant voyagé hors de nos frontières, qui constituent près de la moitié des cas importés ; les personnels en première ligne du combat contre l’épidémie (personnels de santé, personnels municipaux, forces de l’ordre, pompiers, personnels navigants). Et également, toute personne présentant les symptômes évocateurs de la maladie.

    Symptomatologie : surveiller son état de santé et se signaler

    Le virus du COVID-19 se transmet par les voies aériennes (sous formes de gouttelettes) via la bouche, le nez et les yeux.

    Parmi les symptômes de la maladie, certains peuvent s’apparenter à un rhume classique (fatigue générale, nez qui coule, gorge qui gratte et toux).

    Si vous ressentez ces symptômes, appelez rapidement votre médecin traitant, ou l’une des structures de la santé publique à proximité de votre domicile (dispensaires, centre de la mère et de l’enfant, hôpitaux périphériques). Il convient d’appeler les numéros 444 789 ou 15 si les premiers contacts ne répondent pas.

    D’autres symptômes plus graves peuvent être observés comme une gêne respiratoire, si votre état est alarmant, appelez le 15.

    Enfin, une attitude est recommandée : la prise de température régulière, car comme tout dérèglement ou maladie, le virus peut provoquer de la fièvre, même si cela n’est pas systématique. Si vous ressentez de la fièvre, appelez votre médecin.

    Vocabulaire de l’épidémie

    L’épidémie de COVID-19 draine un nouveau vocabulaire qu’il n’est parfois pas facile d’adopter dans le langage courant.

    Ce vocabulaire est pourtant important, car il permet, notamment, de ne pas stigmatiser les personnes atteintes du virus. On parle effectivement de « personnes atteintes du virus », quand les dépistages effectués sont déclarés positifs.

    Enquête eCovid-pf

    La Direction de la santé lance une enquête auprès de la population concernant sa perception des messages de prévention liés à l’épidémie de Covid19.

    Pour faire face à l’épidémie du Covid-19 à laquelle est confrontée la population de la Polynésie française depuis le mois de mars 2020, de nombreuses mesures ont été prises pour freiner la propagation du virus et protéger la population.

    La communication relative à l’épidémie du Covid-19 vise à mieux informer la population sur l’évolution de la situation sur le territoire, l’inciter à adopter les gestes barrières et à rester confinée chez elle. Pour autant, nous ne savons pas comment et dans quelles conditions l’information est reçue et adoptée dans les foyers. Les gestes barrières et le confinement sont-ils bien appliqués ? Si non, pourquoi ? Nous avons conscience que le confinement de la population est une des mesures prises qui remet le plus en question le quotidien de chacun d’entre nous.

    C’est la raison pour laquelle, la Direction de la santé, lance une enquête pour mieux identifier vos besoins et vos attentes, vos difficultés et les conditions dans lesquelles l’ensemble des mesures de protection sont appliquées. Cette enquête anonyme s’adresse à l’ensemble de la population résidant actuellement en Polynésie française (Tahiti et tous les archipels) et âgée d’au moins 18 ans au moment de l’enquête.

    Participez à cette étude : https://www.service-public.pf/dsp/covid-19/ecovidpf-devenez-acteur-votre-sante-surveillance-epidemie-covid19-fenua/

    ENSEMBLE, LUTTONS CONTRE LA PROPAGATION DU VIRUS EN APPLIQUANT LES GESTES BARRIÈRES.

    PARAU FA’AARARA’A NĀ TE MAU VE’A #23

    I te mahana no nanahi ra, mahana piti 14 nô Eperera, ‘ua ravehia 43 mâ’imira’a. Aore roa e ta’ata i ‘itehia e ua ro’ohia ratou i te ma’i COVID-19.

    Mai te ‘omuara’a ‘o teie ma’i ‘i te fenua nei e tae roa mai ‘i teie mahana, teie te mau nûmera : 978 ta’ata tei hi’opo’ahia, 55 ta’ata tei ro’ohia ‘i te ma’i COVID-19. Hô’ê noa â ta’ata tei tapeahia ‘i te fare ma’i. ‘E te parau ‘oa’oa ra, ‘aore â ta’ata i fa’arue mai.

    Te mau fa’anahora’a no te hi’opo’ara’a

    ‘Ua mara’a te rahira’a o te mau hi’opo’ara’a mai tei fa’a’arahia e te Tia Fa’atere o te Ea i Porînetia nei. E ravehia te mau hi’opo’ara’a mai teie te huru :

    • Te mau pûpu rave ‘ohipa a te Pû Aupuruaea, te haere atu i roto i te mau tuhaa o te mau oire (mai ia Papara), tei nia i te faito hanere hi’opo’ara’a tâ ratou e rave.
    • Te mau rave ‘ohipa a te Pû Malardé ma te fa’ari’i i te mau ta’ata tâ tô ratou taote i tono mai ; ei roto noa ratou i tô ratou pereo’o e hi’opo’ahja ai.
    • E te vai nei te mau hi’opo’ara’a e ravehia nei e te fare ma’i no Taoone, no te ta’ata ma’i tâ ratou e ra’apau.

    Na roto i te taera’a mai te mau materia na nia i te manureva matamua i târahuhia e te Hau nui, e nehenehe atura ta te pû ma’imira’a Malarde e rave 120 hi’opo’ara’a i te mahana hô’ê.

    I roto i te mau ravea hi’opo’ara’a, e hi’opo’ahia te pârarera’a o te ma’i i roto i te hô’ê pûpu ta’ata. Te imi nei te mau tia Fa’atere o te Ea,e nohea mai teie tirotiro e pârare nei i nia i tô tatou fenua.

    Aita ra teie tirotiro e pârare nei i muri ae i te opaniopanira’a hia te ta’ata i roto i tô ratou mau utuafare.

    Tei nia atura teie mau hi’opo’ara’a i te mau ta’ata o tei piripiri i te feia i ro’ohia i teie tirotiro, mai te mau ta’ata i reva i rapae i tô tatou fenua (o te afa rahi ia o te ta’ata ma’i).

    I roto ia ratou, te mau utuutu ma’i, te feia rave ‘ohipa a te mau ‘oire, te mau mûto’i, te feia tûpohe auahi, te mau pairati manureva.

    Te mau tapa’o o te ma’i

    Te tirotiro o te ma’i Covid-19, e pe’e oia na roto mai i tô tatou vaha, te ihu e te mata. I roto i teie mau tapa’o, e piri ri’i i te ma’i hupe (Grippe) (paruparu te tino, tahe te hupe, maero te arapo’a, e te hota). No reira, ia ite outou teie mau tapa’o, a niuniu rû atu i tô outou taote e aore ra i te hô’ê pû utuutur’a ma’i fatata roa i tô outou nohora’a. E nehenehe atoa outou e niuniu i te nûmera 15.

    Te fa’auera’a hopea, ia faito tâmau outou i tô outou fiva i te mea na teie tirotiro e fa’atupu i te fiva. I taua taime ra, a niuniu atu i tô outou taote.

    Te mau ta’o o teiue ma’i

    « Personnes atteintes du virus » : ta’ata i ro’ohia i teie tirotiro. E ta’ata teie o tei hi’opo’ahia e ua ite papuhia te tirotiro i roto iana.

    Titorotorora’a

    Te fa’atupu nei te Fa’aterera’a o te Ea i te hô’ê titorotoro huira’atira no nia i tana hiora’a i te mau poro’i pârurura’a i te ma’i COVID-19.

    Te ARAIRA’A ‘i teie ma’i. ‘E mea faufa’a ‘ia fâaha’amana’ohia, ‘e’ita teie tirotiro ‘e parare noa, nā tātou ra ‘e ta’ita’i nei iana no reira tatou ’e titauhia ai, ia fa’aea ‘i te fare.

    MĀURUURU E FA’AITOITO

  • Contexte

    • L’Organisation mondiale de la santé à déclaré une urgence de santé publique de portée internationale le 30/01/2020.
    • Un risque très élevé au niveau international a été a été déclaré le 28/02/2020.
    • La pandémie a été annoncée officiellement le 11/03/2020.

    La situation en Polynésie française

    Le premier cas confirmé en Polynésie a été prélevé le 10 mars 2020.

    Situation au 15/04/2020 à 8h00:

    À ce jour, il n’y a aucun nouveau cas confirmé de COVID-19 en Polynésie française. Le nombre total de cas confirmés est 55.

  • BULLETIN D’INFORMATION #22 – Cellule de crise de la Polynésie française

    Les derniers résultats des prélèvements effectués n’ont révélé aucune personne positive. 55 personnes ont été atteintes depuis le début de l’épidémie, pour 935 analyses effectuées. Une personne demeure hospitalisée, aucun décès n’est constaté.

    Dans un autre domaine et en près de 72 heures, 782 personnes se sont déclarées bénévoles sur le site de la plateforme interactive www.benevolescovidpf.com

    Le point sur les vols nationaux et internationaux

    Le second vol de continuité territoriale est programmé pour un départ à destination de Paris le vendredi 17 prochain.

    Le second vol à destination de Shanghai est également en cours. Afin de tenir compte du retour d’expérience de la première mission, son lancement sera lié à la présence effective des matériels sanitaires commandés dans les entrepôts.

    L’information du jour : lancement d’une campagne massive de dépistage

    Suite à l’arrivée des matériels sanitaires par le premier vol de continuité territoriale, les autorités sanitaires lancent une campagne massive de dépistage, qui permettra d’avoir une meilleure connaissance de la présence et de la circulation du virus COVID-19 au sein de la population.

    Cette campagne massive est organisée de manière à ce que l’Institut de recherche Louis Malardé, qui a mis au point un système de drive pour faciliter les prélèvements sur prescription médicale, puisse réaliser une centaine d’analyses par journée, de manière continue.

    Le Centre Hospitalier de la Polynésie française est également concerné par la réalisation de ces tests pour ses urgences. Le type de population concernée par cette stratégie de dépistage massif est un élément important de la stratégie. Les autorités sanitaires demandent que chaque personne puisse contacter son médecin traitant – ou un médecin – dès la présentation de l’un ou l’autre des symptômes du COVID-19 (toux, fièvre, perte d’odorat, maux de tête, écoulement nasal et fièvre pour l’essentiel).

    Parallèlement, les équipes tournantes du bureau de veille sanitaire de la direction de la santé poursuivront un dépistage plus ciblé, concernant essentiellement les personnes ayant été en contact avec les personnes atteintes du virus, les personnes revenues de métropole ou de l’étranger ainsi que tous les personnels en première ligne du combat contre l’épidémie. A ce jour, une centaine de personnes sont suivies par le BVS.

    ENSEMBLE, LUTTONS CONTRE LA PROPAGATION DU VIRUS EN APPLIQUANT LES GESTES BARRIÈRES.

    PARAU FA’AARARA’A NĀ TE MAU VE’A #22

    I te mahana no nanahi ra, monire 13 nô Eperera, ‘ua ravehia 16 mâ’imira’a. Aore roa e ta’ata i ‘itehia e ua ro’ohia ratou i te ma’i Covid-19.

    Mai te ‘omuara’a ‘o teie ma’i ‘i te fenua nei e tae roa mai ‘i teie mahana, teie te mau nûmera : 935 ta’ata tei hi’opo’ahia, 55 ta’ata tei ro’ohia ‘i te ma’i COVID-19. Hô’ê noa â ta’ata tei tapeahia ‘i te fare ma’i. ‘E te parau ‘oa’oa ra, ‘aore â ta’ata i fa’arue mai.

    Te mau tere manureva

    ‘Ua tâpurahia te piti o te tere no te manureva ATN na roto i te fa’anahora’a a te Hau Nui (Continuité territoriale), i teie mahana pae 17 no Eperera.

    ‘Ua tâpura atoa hia te piti no te tere i te ‘oire no Shanghai. E tere atu tô tâtou manureva ia ‘oti ana’e te mau tauiha’a tâ tâtou i poro’i i te ha’aputuhia mai i roto i te fare maeha’a.

    Te parau apî no teie mahana : te fa’uanara’a i te mau hi’opo’ara’a

    I muri ae i te taera’a mai te mau tauiha’a na nia mai i te manureva tei târahuhia e te Hau Nui no te fa’aho’ira’a mai i te mau materia no te pae o te ututura’a, ‘ua fa’aoti te Fa’aterera’a o te Ea i te fa’arahi atu â i te mau hi’opo’ara’a ia pâpu te parau o te nu’ura’a o teie tirotiro o te COVID-19 i rotopu i te huira’atira.

    ‘Ua fa’aineinehia teie mau hi’opo’ara’a e te pû ma’imira’a Louis Malardé ma te fa’anaho i te tahi mau hi’opo’ara’a i roto noa i te preo’o o te ta’ata, ia nehenehe te mau ta’ata hi’opo’a ia rave vitiviti tâ ratou ‘ohipa.

    Inaha te fâ e titauhia nei ia hau i te hanere ta’ata e hi’opo’ahia i te mahana hô’ê. Te na reira atoa nei te mau ta’ata hi’opo’a no te fare ma’i no Taaone.

    No te fa’aohie i teie mau hi’opo’ara’a, te titauhia nei te mau ta’ata ia haere e farerei i to ratou mau taote mai te mea e, te vai ra te mau tapa’o ma’i i nia ia ratou (fiva, hota, fifi no te hutira’a aho). E na tô ratou taote e hamani mai i te hô’ê parau fa’atia no te hi’iopo’ara’a ia ratou.

    A ta’a noa atu te mau hi’opo’ara’a tâ teie nâ pû e piti e rave ra, e tamau noa â te mau hi’opo’ara’a na te pû aupuru a ea a te Fa’aterera’a o te Ea, i te feia i farerei tino roa atu i te mau ta’ata i ro’ohia i teie tirotiro. Te mana’ohia ra hô’ê hanere ratou. E mau ta’ata teie tei ho’i mai, mai te fenua farâni e aore ra na te ara mai, e tae no’atu i te mau rave ‘ohipa e farerei pinepine nei i te feia ma’i.

    Te autaera’a

    I muri ae i na mahana toru i mahemo aenei i te haamaura’ahia teie tahua natirara www.benevolespf.com, 782 ta’ata tei ha’apapu mai e e horoa ratou i tô tratou taime e te turu i teie tâpura ‘ohipa.

    Te ARAIRA’A ‘i teie ma’i. ‘E mea faufa’a ‘ia fâaha’amana’ohia, ‘e’ita teie tirotiro ‘e parare noa, nā tātou ra ‘e ta’ita’i nei iana no reira tatou ’e titauhia ai, ia fa’aea ‘i te fare.

    MĀURUURU E FA’AITOITO

    BULLETIN D’INFORMATION #22 – Cellule de crise de la Polynésie française

    Les derniers résultats des prélèvements effectués n’ont révélé aucune personne positive. 55 personnes ont été atteintes depuis le début de l’épidémie, pour 935 analyses effectuées. Une personne demeure hospitalisée, aucun décès n’est constaté.

    Dans un autre domaine et en près de 72 heures, 782 personnes se sont déclarées bénévoles sur le site de la plateforme interactive www.benevolescovidpf.com

    Le point sur les vols nationaux et internationaux

    Le second vol de continuité territoriale est programmé pour un départ à destination de Paris le vendredi 17 prochain.

    Le second vol à destination de Shanghai est également en cours. Afin de tenir compte du retour d’expérience de la première mission, son lancement sera lié à la présence effective des matériels sanitaires commandés dans les entrepôts.

    L’information du jour : lancement d’une campagne massive de dépistage

    Suite à l’arrivée des matériels sanitaires par le premier vol de continuité territoriale, les autorités sanitaires lancent une campagne massive de dépistage, qui permettra d’avoir une meilleure connaissance de la présence et de la circulation du virus COVID-19 au sein de la population.

    Cette campagne massive est organisée de manière à ce que l’Institut de recherche Louis Malardé, qui a mis au point un système de drive pour faciliter les prélèvements sur prescription médicale, puisse réaliser une centaine d’analyses par journée, de manière continue.

    Le Centre Hospitalier de la Polynésie française est également concerné par la réalisation de ces tests pour ses urgences. Le type de population concernée par cette stratégie de dépistage massif est un élément important de la stratégie. Les autorités sanitaires demandent que chaque personne puisse contacter son médecin traitant – ou un médecin – dès la présentation de l’un ou l’autre des symptômes du COVID-19 (toux, fièvre, perte d’odorat, maux de tête, écoulement nasal et fièvre pour l’essentiel).

    Parallèlement, les équipes tournantes du bureau de veille sanitaire de la direction de la santé poursuivront un dépistage plus ciblé, concernant essentiellement les personnes ayant été en contact avec les personnes atteintes du virus, les personnes revenues de métropole ou de l’étranger ainsi que tous les personnels en première ligne du combat contre l’épidémie. A ce jour, une centaine de personnes sont suivies par le BVS.

    ENSEMBLE, LUTTONS CONTRE LA PROPAGATION DU VIRUS EN APPLIQUANT LES GESTES BARRIÈRES.

    PARAU FA’AARARA’A NĀ TE MAU VE’A #22

    I te mahana no nanahi ra, monire 13 nô Eperera, ‘ua ravehia 16 mâ’imira’a. Aore roa e ta’ata i ‘itehia e ua ro’ohia ratou i te ma’i Covid-19.

    Mai te ‘omuara’a ‘o teie ma’i ‘i te fenua nei e tae roa mai ‘i teie mahana, teie te mau nûmera : 935 ta’ata tei hi’opo’ahia, 55 ta’ata tei ro’ohia ‘i te ma’i COVID-19. Hô’ê noa â ta’ata tei tapeahia ‘i te fare ma’i. ‘E te parau ‘oa’oa ra, ‘aore â ta’ata i fa’arue mai.

    Te mau tere manureva

    ‘Ua tâpurahia te piti o te tere no te manureva ATN na roto i te fa’anahora’a a te Hau Nui (Continuité territoriale), i teie mahana pae 17 no Eperera.

    ‘Ua tâpura atoa hia te piti no te tere i te ‘oire no Shanghai. E tere atu tô tâtou manureva ia ‘oti ana’e te mau tauiha’a tâ tâtou i poro’i i te ha’aputuhia mai i roto i te fare maeha’a.

    Te parau apî no teie mahana : te fa’uanara’a i te mau hi’opo’ara’a

    I muri ae i te taera’a mai te mau tauiha’a na nia mai i te manureva tei târahuhia e te Hau Nui no te fa’aho’ira’a mai i te mau materia no te pae o te ututura’a, ‘ua fa’aoti te Fa’aterera’a o te Ea i te fa’arahi atu â i te mau hi’opo’ara’a ia pâpu te parau o te nu’ura’a o teie tirotiro o te COVID-19 i rotopu i te huira’atira.

    ‘Ua fa’aineinehia teie mau hi’opo’ara’a e te pû ma’imira’a Louis Malardé ma te fa’anaho i te tahi mau hi’opo’ara’a i roto noa i te preo’o o te ta’ata, ia nehenehe te mau ta’ata hi’opo’a ia rave vitiviti tâ ratou ‘ohipa.

    Inaha te fâ e titauhia nei ia hau i te hanere ta’ata e hi’opo’ahia i te mahana hô’ê. Te na reira atoa nei te mau ta’ata hi’opo’a no te fare ma’i no Taaone.

    No te fa’aohie i teie mau hi’opo’ara’a, te titauhia nei te mau ta’ata ia haere e farerei i to ratou mau taote mai te mea e, te vai ra te mau tapa’o ma’i i nia ia ratou (fiva, hota, fifi no te hutira’a aho). E na tô ratou taote e hamani mai i te hô’ê parau fa’atia no te hi’iopo’ara’a ia ratou.

    A ta’a noa atu te mau hi’opo’ara’a tâ teie nâ pû e piti e rave ra, e tamau noa â te mau hi’opo’ara’a na te pû aupuru a ea a te Fa’aterera’a o te Ea, i te feia i farerei tino roa atu i te mau ta’ata i ro’ohia i teie tirotiro. Te mana’ohia ra hô’ê hanere ratou. E mau ta’ata teie tei ho’i mai, mai te fenua farâni e aore ra na te ara mai, e tae no’atu i te mau rave ‘ohipa e farerei pinepine nei i te feia ma’i.

    Te autaera’a

    I muri ae i na mahana toru i mahemo aenei i te haamaura’ahia teie tahua natirara www.benevolespf.com, 782 ta’ata tei ha’apapu mai e e horoa ratou i tô tratou taime e te turu i teie tâpura ‘ohipa.

    Te ARAIRA’A ‘i teie ma’i. ‘E mea faufa’a ‘ia fâaha’amana’ohia, ‘e’ita teie tirotiro ‘e parare noa, nā tātou ra ‘e ta’ita’i nei iana no reira tatou ’e titauhia ai, ia fa’aea ‘i te fare.

    MĀURUURU E FA’AITOITO

  • Contexte

    • L’Organisation mondiale de la santé à déclaré une urgence de santé publique de portée internationale le 30/01/2020.
    • Un risque très élevé au niveau international a été a été déclaré le 28/02/2020.
    • La pandémie a été annoncée officiellement le 11/03/2020.

    La situation en Polynésie française

    Le premier cas confirmé en Polynésie a été prélevé le 10 mars 2020.

    Situation au 14/04/2020 à 8h00:

    À ce jour, il n’y a aucun nouveau cas confirmé de COVID-19 en Polynésie française. Le nombre total de cas confirmés est 55.

  • BULLETIN D’INFORMATION #21 – Cellule de crise de la Polynésie française

    Entre les journées des samedi 11 et dimanche 12 avril 2020, quatre personnes atteintes du virus ont été dépistées positives sur 43 analyses effectuées. Trois des personnes atteintes sont des cas importés et une, un cas contact. Trois de ces nouveaux cas sont localisés en zone urbaine. 55 personnes ont été atteintes depuis le début de l’épidémie, pour 920 analyses effectuées. Une personne demeure hospitalisée, aucun décès n’est constaté.

    Cas importés : redoubler de vigilance

    En matière de stratégie de dépistage, la situation des personnes ayant voyagé hors du territoire fait l’objet d’une attention particulière des autorités sanitaires. En effet, un nombre important de personnes déclarées positives – appelées cas importés – en fait partie. Il est donc demandé de redoubler de vigilance et d’appeler le 15 dés l’apparition de symptômes, avant toute auto médication.

    Se pose également, toujours dans le cadre des cas importés, la question asymptomatique : ce sont les personnes atteintes par le virus, mais qui ne présentent aucun symptôme repérable et qui peuvent transmettre le virus sans le savoir.

    Ces personnes peuvent néanmoins être dépistées par les enquêtes réalisées autour de l’entourage des cas contacts, à qui elles auraient transmis le virus.

    Gestes barrières : le lavage simple des mains

    La lutte collective contre l’épidémie passe par le respect des règles du confinement, général et particulier, et également par la répétition des gestes barrières, dont l’un des principaux est le lavage des mains.

    Les équipes de la direction de la santé proposent une série de visuels rappelant comment se laver les mains :

    https://www.service-public.pf/dsp/wp-content/uploads/sites/12/2020/04/FT-1-lavagesimple-des-mains.pdf

    BON COURAGE A TOUTES ET A TOUS. FAAITOITO

    PARAU FA’AARARA’A NĀ TE MAU VE’A #21

    I te mahana mâ’a 11 e te tâpati 12 nô Eperera, ‘ua ravehia 43 mâ’imira’a : e 4 ta’ata tei pâpû e ‘ua ro’ohia ratou i te ma’i Covid-19 (e 3 ta’ata tei ho’i mai na te ara, no roto râtou i nâ ‘oire rarahi no Tahiti, e hô’ê ta’ata te piri atu i te hô’ê ta’ata ma’i).

    Mai te ‘omuara’a ‘o teie ma’i ‘i te fenua nei e tae roa mai ‘i teie mahana, teie te mau numera : 920 ta’ata tei hi’opo’ahia, 55 ta’ata tei ro’ohia ‘i te ma’i COVID-19. Hô’ê noa ta’ata tei tapeahia ‘i te fare ma’i. ‘E te parau ‘oa’oa ra, ‘aore â ta’ata i fa’arue mai.

    Te mau feia ma’i no te ara mai : ia vai ara noa tâtou

    Te vai ara nei te mau ti’a no te Ea i te feia o tei tere na, na te ara, e o te ho’i mai i te fenua nei. Tei roto i teie pu’e ta’ata te parau no te mau ma’i o tei pi’ihia « ma’i no te ara mai ».

    O ratou teie e hi’opoa mâite hia nei e te ani hia nei ia ratou ia ‘ite noa hia atu te mau tapa’o ma’i, ia niuniu atu ratou i te numera 15. Na mua ae i te mau hi’opo’ara’a, te titau hia atu nei te feia e haere e hi’opo’a ia râtou, eiaha roa atu e tâhoro i te huero ra’au, ia ore te mau hi’opo’ara’a ia hape.

    Te vai atoa nei, no teie mau ta’ata, te hô’ê fifi rahi. Inaha, i rotopû ia râtou, te vai nei aita roa atu e tapa’o no te ma’i Covid-19. E ia au i te mau hi’opo’ara’a, tei roto ia râtou te tirotiro o teie ma’i. E riro teie ma’i i te pe’e i nia i te tahi atu mau ta’ata ma te ‘ite ore hia e râtou.

    E nehenehe ra teie mau ta’ata, i pe’ehia i teie tirotiro, i te hi’opo’ahia i muri ae i te hô’ê titorotorora’a.

    Te mau ravea parurura’a : te horoira’a i to tâtou mau rima

    No te pârurura’a i te huira’atira i teie ma’i, te titauhia nei tatou ia fa’atura i te mau fa’aturera’a no te fa’aeara’a i te fare ma te fa’atura atoa ra i te mau ravea pârurura’a mai te horo’i tâmaura’a i to tâtou mau rima. ‘Ua fata’a te mau pupu no te Faaterera’a o te Ea i te tahi mau hohoa no nia i teie tumu pârau.

    No te tahi mau ha’amaramaramlara’a hau atu, haere atu i nia te tahua natirara i muri nei :

    https://www.service-public.pf/dsp/wpcontent/uploads/sites/12/2020/04/FT-1-lavage-simpledes-mains.pdf

    MĀURUURU E FA’AITOITO

    BULLETIN D’INFORMATION #21 – Cellule de crise de la Polynésie française

    Entre les journées des samedi 11 et dimanche 12 avril 2020, quatre personnes atteintes du virus ont été dépistées positives sur 43 analyses effectuées. Trois des personnes atteintes sont des cas importés et une, un cas contact. Trois de ces nouveaux cas sont localisés en zone urbaine. 55 personnes ont été atteintes depuis le début de l’épidémie, pour 920 analyses effectuées. Une personne demeure hospitalisée, aucun décès n’est constaté.

    Cas importés : redoubler de vigilance

    En matière de stratégie de dépistage, la situation des personnes ayant voyagé hors du territoire fait l’objet d’une attention particulière des autorités sanitaires. En effet, un nombre important de personnes déclarées positives – appelées cas importés – en fait partie. Il est donc demandé de redoubler de vigilance et d’appeler le 15 dés l’apparition de symptômes, avant toute auto médication.

    Se pose également, toujours dans le cadre des cas importés, la question asymptomatique : ce sont les personnes atteintes par le virus, mais qui ne présentent aucun symptôme repérable et qui peuvent transmettre le virus sans le savoir.

    Ces personnes peuvent néanmoins être dépistées par les enquêtes réalisées autour de l’entourage des cas contacts, à qui elles auraient transmis le virus.

    Gestes barrières : le lavage simple des mains

    La lutte collective contre l’épidémie passe par le respect des règles du confinement, général et particulier, et également par la répétition des gestes barrières, dont l’un des principaux est le lavage des mains.

    Les équipes de la direction de la santé proposent une série de visuels rappelant comment se laver les mains :

    https://www.service-public.pf/dsp/wp-content/uploads/sites/12/2020/04/FT-1-lavagesimple-des-mains.pdf

    BON COURAGE A TOUTES ET A TOUS. FAAITOITO

    PARAU FA’AARARA’A NĀ TE MAU VE’A #21

    I te mahana mâ’a 11 e te tâpati 12 nô Eperera, ‘ua ravehia 43 mâ’imira’a : e 4 ta’ata tei pâpû e ‘ua ro’ohia ratou i te ma’i Covid-19 (e 3 ta’ata tei ho’i mai na te ara, no roto râtou i nâ ‘oire rarahi no Tahiti, e hô’ê ta’ata te piri atu i te hô’ê ta’ata ma’i).

    Mai te ‘omuara’a ‘o teie ma’i ‘i te fenua nei e tae roa mai ‘i teie mahana, teie te mau numera : 920 ta’ata tei hi’opo’ahia, 55 ta’ata tei ro’ohia ‘i te ma’i COVID-19. Hô’ê noa ta’ata tei tapeahia ‘i te fare ma’i. ‘E te parau ‘oa’oa ra, ‘aore â ta’ata i fa’arue mai.

    Te mau feia ma’i no te ara mai : ia vai ara noa tâtou

    Te vai ara nei te mau ti’a no te Ea i te feia o tei tere na, na te ara, e o te ho’i mai i te fenua nei. Tei roto i teie pu’e ta’ata te parau no te mau ma’i o tei pi’ihia « ma’i no te ara mai ».

    O ratou teie e hi’opoa mâite hia nei e te ani hia nei ia ratou ia ‘ite noa hia atu te mau tapa’o ma’i, ia niuniu atu ratou i te numera 15. Na mua ae i te mau hi’opo’ara’a, te titau hia atu nei te feia e haere e hi’opo’a ia râtou, eiaha roa atu e tâhoro i te huero ra’au, ia ore te mau hi’opo’ara’a ia hape.

    Te vai atoa nei, no teie mau ta’ata, te hô’ê fifi rahi. Inaha, i rotopû ia râtou, te vai nei aita roa atu e tapa’o no te ma’i Covid-19. E ia au i te mau hi’opo’ara’a, tei roto ia râtou te tirotiro o teie ma’i. E riro teie ma’i i te pe’e i nia i te tahi atu mau ta’ata ma te ‘ite ore hia e râtou.

    E nehenehe ra teie mau ta’ata, i pe’ehia i teie tirotiro, i te hi’opo’ahia i muri ae i te hô’ê titorotorora’a.

    Te mau ravea parurura’a : te horoira’a i to tâtou mau rima

    No te pârurura’a i te huira’atira i teie ma’i, te titauhia nei tatou ia fa’atura i te mau fa’aturera’a no te fa’aeara’a i te fare ma te fa’atura atoa ra i te mau ravea pârurura’a mai te horo’i tâmaura’a i to tâtou mau rima. ‘Ua fata’a te mau pupu no te Faaterera’a o te Ea i te tahi mau hohoa no nia i teie tumu pârau.

    No te tahi mau ha’amaramaramlara’a hau atu, haere atu i nia te tahua natirara i muri nei :

    https://www.service-public.pf/dsp/wpcontent/uploads/sites/12/2020/04/FT-1-lavage-simpledes-mains.pdf

    MĀURUURU E FA’AITOITO

  • Contexte

    • L’Organisation mondiale de la santé à déclaré une urgence de santé publique de portée internationale le 30/01/2020.
    • Un risque très élevé au niveau international a été a été déclaré le 28/02/2020.
    • La pandémie a été annoncée officiellement le 11/03/2020.

    La situation en Polynésie française

    Le premier cas confirmé en Polynésie a été prélevé le 10 mars 2020.

    Situation au 13/04/2020 à 8h00:

    À ce jour, il y a deux nouveaux cas confirmés de COVID-19 en Polynésie française. Le nombre total de cas confirmés est 55.

  • Contexte

    • L’Organisation mondiale de la santé à déclaré une urgence de santé publique de portée internationale le 30/01/2020.
    • Un risque très élevé au niveau international a été a été déclaré le 28/02/2020.
    • La pandémie a été annoncée officiellement le 11/03/2020.

    La situation en Polynésie française

    Le premier cas confirmé en Polynésie a été prélevé le 10 mars 2020.

    Situation au 12/04/2020 à 8h00:

    À ce jour, il y a deux nouveaux cas confirmés de COVID-19 en Polynésie française. Le nombre total de cas confirmés est 53.

  • Contexte

    • L’Organisation mondiale de la santé à déclaré une urgence de santé publique de portée internationale le 30/01/2020.
    • Un risque très élevé au niveau international a été a été déclaré le 28/02/2020.
    • La pandémie a été annoncée officiellement le 11/03/2020.

    La situation en Polynésie française

    Le premier cas confirmé en Polynésie a été prélevé le 10 mars 2020.

    Situation au 11/04/2020 à 8h00:

    À ce jour, il n’y a aucun nouveau cas confirmé de COVID-19 en Polynésie française. Le nombre total de cas confirmés reste à 51.

  • BULLETIN D’INFORMATION #19 – Cellule de crise de la Polynésie française

    Sur les 51 dépistages effectués hier, aucun cas positif n’a été relevé. 843 analyses ont été effectuées depuis le début de l’épidémie. Une personne demeure hospitalisée, aucun décès n’est constaté.

    C’est le second jour consécutif qu’aucune personne ne soit dépistée positive. Les analyses ont été effectuées sur des personnes situées à Tahiti, Moorea et dans les Raromata’i.

    Confinement : les effets sur la situation psychologique

    Le confinement général auquel la population polynésienne est astreinte, mais également, les confinements spéciaux concernant les personnes atteintes du virus, ou en quatorzaine, ont des effets sur le bien-être. Plusieurs dispositifs d’aide et de soutien psychologique sont mis en place face à la crise.

    Une expérience exceptionnelle qui a de lourdes conséquences

    Le confinement est une mesure inédite, de santé publique, une expérience exceptionnelle qui n’est pas sans conséquences sur la santé mentale et le bien-être psychologique. Elle marque les corps et les esprits. Elle bouleverse les habitudes et peut être difficile à vivre.

    Cette restriction des libertés de façon imposée est une cause importante de stress. C’est une expérience désagréable du fait qu’elle soit subie. Elle entraîne la séparation avec les êtres chers, la perte de liberté, l’incertitude par rapport à la maladie.

    Chacun réagit différemment aux situations stressantes. La façon dont vous réagissez à l’épidémie peut dépendre de votre histoire personnelle, des choses qui vous distinguent des autres et de la communauté dans laquelle vous vivez.

    L’impact psycho-social

    Plusieurs facteurs peuvent changer la façon dont nous réagissons positivement ou négativement.

    Elle peut avoir un impact psychologique délétère :

    • chez certains, cela peut provoquer des troubles de l’humeur, des confusions, voire un syndrome posttraumatique ;
    • cela peut également être à l’origine de nombreux troubles mentaux à plus ou moins long terme, tels que des symptômes de stress post-traumatique, de la dépression, de l’anxiété, des peurs, de l’’abus de médicament, de l’irritabilité, ou encore de l’insomnie.

    Ces risques augmentent avec la durée de l’isolement mais aussi avec d’autres facteurs :

    • les conditions de logement, la promiscuité, la perte de revenus, l’absence d’informations, les tensions intrafamiliales, conjugales…

    Mais faire face au stress vous rendra, vous, les personnes qui vous sont chères et votre communauté, plus forts.

    Les composantes du stress

    Le stress post-traumatique peut inclure :

    • la précarisation encore plus importante des personnes les plus fragiles (notamment les personnes en situation de handicap et les matahiapo),
    • la tension dans les couples,
    • la tension dans les familles de manière plus élargie.

    L’information est essentielle

    Communiquer régulièrement en apportant des faits pour justifier la quarantaine et expliquer ce qui se passe permet de mieux vivre cette période, notamment pour les enfants.

    Les effets d’une quarantaine se poursuivent au-delà de la levée de l’interdiction de circuler. Cela est dû d’une part à l’impact de la quarantaine sur les finances personnelles des personnes concernées et les manques à gagner qu’elle génère.

    Soyez prêt donc prêt à voir les tensions perdurer.

    Des pistes, des solutions pour faire face

    Plusieurs clés nous sont données pour traverser ensemble cette période de crise sanitaire sans précédent.

    Parmi ces clés, il y a le retour aux valeurs traditionnelles de la famille : être ENSEMBLE. Les valeurs communautaires du Partage, de la Solidarité, qui sont des ressources personnelles, individuelles, groupales et familiales.

    Il y a comme un passage par l’Identité, par l’Identitaire à partir des valeurs Traditionnelles avec un savoir-être Polynésien. Revenir à des valeurs simplifiées avec LA NECESSITE D’INTEGRER LES INTERDITS, LE CADRE ET LES MESURES DU CONFINEMENT.

    Le virus du COVID-19 est invisible. La pandémie n’a pas de frontière, ni de nationalité, ni d’ethnie. Nous devons faire preuve d’empathie, de compassion, de patience envers tous et chacun de nous.

    Nous avons besoin de solidarité humaine, sociale, fraternelle et scientifique pour être à l’écoute de nos proches, de tous nos proches.

    Les services du pays à votre écoute

    Pendant cette période difficile de nombreux services se sont organisés pour répondre aux besoins d’accompagnement, d’écoute et de soutien de la population.

    BON COURAGE A TOUTES ET A TOUS. FAAITOITO

    PARAU FA’AARARA’A NĀ TE MAU VE’A #19

    Mai te ‘omuara’a ‘o teie ma’i ‘i te fenua nei e tae roa mai ‘i teie mahana, teie te mau nûmera : 843 ta’ata tei hi’opo’ahia (51 hi’opo’ara’a i nanahi ra), 51 ta’ata tei ro’ohia ‘i te ma’i COVID-19. Hô’ê noa ta’ata tei tapeahia ‘i te fare ma’i. ‘E te parau ‘oa’oa, ‘aore â ta’ata i fa’aru’e mai.

    Teie te pitira’a o te mahana e aita e ta’ata i itehia e, e tirotiro to roto iana i muri ae i te mau ma’imira’a tei ravehia i Tahiti, Moorea e Raromata’i.

    Te mau fifi ‘o te ferurira’a na roto ‘i te vai ‘opanipanira’a

    ‘Ua riro te ‘opanipanira’a o te ta’ata na roto i te ma’i COVID-19, ‘ei fa’anahora’a ‘api roa io tatou nei, ‘a tahi roa ‘a ‘itehia ai.

    ‘E taui roa teie fa’aotira’a i te orara’a ‘e te huru o te ta’ata, inaha ‘e fa’ahepora’a teie.

    ‘E nehenehe te ta’ata e ‘iria, ‘e ‘ore tona ‘ana‘anatae. ‘E fa’atupu ‘oia i te fa’ata’a’era’a i rotopu i te feia i herehia e tatou, ‘e ‘aita to tatou
    ‘e ti’amara’a fa’ahou no te haere i te vahi ta tatou e hina’aro.

    ‘E hepohepo te ta’ata no te papu ‘ore o te tupura’a o teie ma’i.

    No te ‘orera’a tona ti’amara’a, e mo’e roa iana te mau ‘avei’a o te orara’a, e iti roa mai te mau farereira’a i te tahi e i te tahi.

    ‘E fa’atupu ’oia i te ma‘ino‘ino, te pe’ape’a, te tapitapi, te mana’ona’o, te ha’umani e te fiu.

    Ia vai ‘opanipani te ta’ata i te fare e fa’atupu te reira i te hepohepo e te mata’u. No te feia ihoa ra i fa’ata’a’e roa hia i roto i to ratou ‘utuafare.

    E rahi roa atu a to ratou pe’ape’a no teie ma’i. E mea ta’a’e to te tahi e to te tahi huru i mua i teie fifi.

    Ta tatou huru hi’ora’a i teie ma’i pe’e, e mea na roto mai ia i te mau mea i orahia mai e tatou, te mau mea e fa’ata’a’e ia tatou e te pupu ta’ata i reira tatou i te orara’a.

    ‘Eaha tona tupura’a i ni’a i te manava e te orara’a totiare ?

    ‘Ua rau te mau tumu ‘e fa’ataui i to tatou huru i mua i teie ma’i pe’e : te vai nei tei fa’ari’i e te vai ra o te ‘ore e fa’ari’i .

    ‘E fa’a’ino ‘oia i te ferurira’a o te ta’ata.

    Te tauiuira’a o te huru, te ‘ahuehue e tae roa i te a’oaoa.

    Te vai ‘ato’a nei te ‘aravira’a, fa’aturumara’a, te hepohepo, te ahoaho, te mata’u, te ‘amu rahira’a i te ra’au, te ‘iriara’a, e ‘aore ra te moe ‘ata.

    E rahi roa atu teie mau fifi ia maoro noa a te ‘opanipanira’a.

    Teie ato’a te tahi atu mau tumu :

    Te orara’a fifi, te ‘orara’a ‘opiripiri, te fifi ‘ohipa, te vai noara’a i roto i te ta’a ‘ore, te mau pe’ape’a ‘utuafare….

    ‘E‘ita teie mau fifi e ‘ore i muri a’e i te tau ‘opanipanira’a. Te tumu, te fifi moni na roto i te ‘ohipa ‘ore. Ia riro teie mau fifi ‘ei rave’a ha’apa’arira’a ia tatou.

    Na te reira e horo’a mai i te ho’e puai ta’a’e i te utuafare :

    • E nehenehe teie mau fifi manava e ha’afifi roa atu i te feia o tei fa’aea noa i te fare ma te ‘ohipa ‘ore, e te moni ‘ore.
    • Te fifi no te ho’ira’a i ni’a i te vahi ‘ohipara’a.
    • Te fifi ‘ohipa i rotopu i te ho’e tane e tona hoa vahine.
    • Te hi’o ‘e ra’a i te tahi mau ta’ata no roto mai i te ho’e tuha’a o tei fa’aruru i teie ma’i, e ‘aore ra te ho’e ta’ata ma’i.

    « E mea faufa’a roa te mau ha’amaramaramara’a »

    Ia fa’a’ara tamau, ma te horo’a i te mau ha’apapura’a no ni’a i te tumu o teie mau ‘opanipanira’a, ia maramarama te ta’ata i ni’a i te ‘ohipa e tupu ra, e maita’i ato’a ia tona orara’a.

    ‘Eaha te mau ave’ia ?

    Ia fa’aiho fa’ahou mai â tô tatou hiroa tumu o te nûna’a mâ’ohi : te hô’êra’a, te opere maitera’a, te ‘autaera’a, te aroha e te here.

    Te vai atoa ra te fa’atura e te fa’ari’i, i nehenehe ai ia tâtou ia fa’ari’i i te mau tapu, te mau fa’ahepora’a no te fa’aea noa i te vahi hô’ê.

    Teie fifi ma’i e mea ite ore hia e te mata, aita tôna e ‘otia fenua, aita tona e fenua.

    No reira ia vai hô’ê noa tatou, ia vai noa tera ta’amura’a i roto ia tatou, te autaera’a ma te fa’atae atoa tâ tatou turu e te tiaturira’a i te mau taote aivana’a no te ra’apaura’a e te pârurura’a ia tatou.

    Te ma pû ‘ohipa e tâna tautura

    Na roto i teie tau hepohepo e rave rahi mau pû’ohipa tei vai ineine noa no te pâhonora’a i ta ‘outou mau uiuira’a, te tauturu ra’a ia ‘outou.

    Na roto i teie tau hepohepo e rave rahi te mau pû ‘ohipa no te pahonora’a i ta ‘outou uiuira’a.

    Te ARAIRA’A ‘i teie ma’i. ‘E mea faufa’a ‘ia fâaha’amana’ohia, ‘e’ita teie tirotiro ‘e parare noa, nā tātou ra ‘e ta’ita’i nei iana no reira tatou ’e titauhia ai, ia fa’aea ‘i te fare.

    MĀURUURU E FA’AITOITO

    BULLETIN D’INFORMATION #19 – Cellule de crise de la Polynésie française

    Sur les 51 dépistages effectués hier, aucun cas positif n’a été relevé. 843 analyses ont été effectuées depuis le début de l’épidémie. Une personne demeure hospitalisée, aucun décès n’est constaté.

    C’est le second jour consécutif qu’aucune personne ne soit dépistée positive. Les analyses ont été effectuées sur des personnes situées à Tahiti, Moorea et dans les Raromata’i.

    Confinement : les effets sur la situation psychologique

    Le confinement général auquel la population polynésienne est astreinte, mais également, les confinements spéciaux concernant les personnes atteintes du virus, ou en quatorzaine, ont des effets sur le bien-être. Plusieurs dispositifs d’aide et de soutien psychologique sont mis en place face à la crise.

    Une expérience exceptionnelle qui a de lourdes conséquences

    Le confinement est une mesure inédite, de santé publique, une expérience exceptionnelle qui n’est pas sans conséquences sur la santé mentale et le bien-être psychologique. Elle marque les corps et les esprits. Elle bouleverse les habitudes et peut être difficile à vivre.

    Cette restriction des libertés de façon imposée est une cause importante de stress. C’est une expérience désagréable du fait qu’elle soit subie. Elle entraîne la séparation avec les êtres chers, la perte de liberté, l’incertitude par rapport à la maladie.

    Chacun réagit différemment aux situations stressantes. La façon dont vous réagissez à l’épidémie peut dépendre de votre histoire personnelle, des choses qui vous distinguent des autres et de la communauté dans laquelle vous vivez.

    L’impact psycho-social

    Plusieurs facteurs peuvent changer la façon dont nous réagissons positivement ou négativement.

    Elle peut avoir un impact psychologique délétère :

    • chez certains, cela peut provoquer des troubles de l’humeur, des confusions, voire un syndrome posttraumatique ;
    • cela peut également être à l’origine de nombreux troubles mentaux à plus ou moins long terme, tels que des symptômes de stress post-traumatique, de la dépression, de l’anxiété, des peurs, de l’’abus de médicament, de l’irritabilité, ou encore de l’insomnie.

    Ces risques augmentent avec la durée de l’isolement mais aussi avec d’autres facteurs :

    • les conditions de logement, la promiscuité, la perte de revenus, l’absence d’informations, les tensions intrafamiliales, conjugales…

    Mais faire face au stress vous rendra, vous, les personnes qui vous sont chères et votre communauté, plus forts.

    Les composantes du stress

    Le stress post-traumatique peut inclure :

    • la précarisation encore plus importante des personnes les plus fragiles (notamment les personnes en situation de handicap et les matahiapo),
    • la tension dans les couples,
    • la tension dans les familles de manière plus élargie.

    L’information est essentielle

    Communiquer régulièrement en apportant des faits pour justifier la quarantaine et expliquer ce qui se passe permet de mieux vivre cette période, notamment pour les enfants.

    Les effets d’une quarantaine se poursuivent au-delà de la levée de l’interdiction de circuler. Cela est dû d’une part à l’impact de la quarantaine sur les finances personnelles des personnes concernées et les manques à gagner qu’elle génère.

    Soyez prêt donc prêt à voir les tensions perdurer.

    Des pistes, des solutions pour faire face

    Plusieurs clés nous sont données pour traverser ensemble cette période de crise sanitaire sans précédent.

    Parmi ces clés, il y a le retour aux valeurs traditionnelles de la famille : être ENSEMBLE. Les valeurs communautaires du Partage, de la Solidarité, qui sont des ressources personnelles, individuelles, groupales et familiales.

    Il y a comme un passage par l’Identité, par l’Identitaire à partir des valeurs Traditionnelles avec un savoir-être Polynésien. Revenir à des valeurs simplifiées avec LA NECESSITE D’INTEGRER LES INTERDITS, LE CADRE ET LES MESURES DU CONFINEMENT.

    Le virus du COVID-19 est invisible. La pandémie n’a pas de frontière, ni de nationalité, ni d’ethnie. Nous devons faire preuve d’empathie, de compassion, de patience envers tous et chacun de nous.

    Nous avons besoin de solidarité humaine, sociale, fraternelle et scientifique pour être à l’écoute de nos proches, de tous nos proches.

    Les services du pays à votre écoute

    Pendant cette période difficile de nombreux services se sont organisés pour répondre aux besoins d’accompagnement, d’écoute et de soutien de la population.

    BON COURAGE A TOUTES ET A TOUS. FAAITOITO

    PARAU FA’AARARA’A NĀ TE MAU VE’A #19

    Mai te ‘omuara’a ‘o teie ma’i ‘i te fenua nei e tae roa mai ‘i teie mahana, teie te mau nûmera : 843 ta’ata tei hi’opo’ahia (51 hi’opo’ara’a i nanahi ra), 51 ta’ata tei ro’ohia ‘i te ma’i COVID-19. Hô’ê noa ta’ata tei tapeahia ‘i te fare ma’i. ‘E te parau ‘oa’oa, ‘aore â ta’ata i fa’aru’e mai.

    Teie te pitira’a o te mahana e aita e ta’ata i itehia e, e tirotiro to roto iana i muri ae i te mau ma’imira’a tei ravehia i Tahiti, Moorea e Raromata’i.

    Te mau fifi ‘o te ferurira’a na roto ‘i te vai ‘opanipanira’a

    ‘Ua riro te ‘opanipanira’a o te ta’ata na roto i te ma’i COVID-19, ‘ei fa’anahora’a ‘api roa io tatou nei, ‘a tahi roa ‘a ‘itehia ai.

    ‘E taui roa teie fa’aotira’a i te orara’a ‘e te huru o te ta’ata, inaha ‘e fa’ahepora’a teie.

    ‘E nehenehe te ta’ata e ‘iria, ‘e ‘ore tona ‘ana‘anatae. ‘E fa’atupu ‘oia i te fa’ata’a’era’a i rotopu i te feia i herehia e tatou, ‘e ‘aita to tatou
    ‘e ti’amara’a fa’ahou no te haere i te vahi ta tatou e hina’aro.

    ‘E hepohepo te ta’ata no te papu ‘ore o te tupura’a o teie ma’i.

    No te ‘orera’a tona ti’amara’a, e mo’e roa iana te mau ‘avei’a o te orara’a, e iti roa mai te mau farereira’a i te tahi e i te tahi.

    ‘E fa’atupu ’oia i te ma‘ino‘ino, te pe’ape’a, te tapitapi, te mana’ona’o, te ha’umani e te fiu.

    Ia vai ‘opanipani te ta’ata i te fare e fa’atupu te reira i te hepohepo e te mata’u. No te feia ihoa ra i fa’ata’a’e roa hia i roto i to ratou ‘utuafare.

    E rahi roa atu a to ratou pe’ape’a no teie ma’i. E mea ta’a’e to te tahi e to te tahi huru i mua i teie fifi.

    Ta tatou huru hi’ora’a i teie ma’i pe’e, e mea na roto mai ia i te mau mea i orahia mai e tatou, te mau mea e fa’ata’a’e ia tatou e te pupu ta’ata i reira tatou i te orara’a.

    ‘Eaha tona tupura’a i ni’a i te manava e te orara’a totiare ?

    ‘Ua rau te mau tumu ‘e fa’ataui i to tatou huru i mua i teie ma’i pe’e : te vai nei tei fa’ari’i e te vai ra o te ‘ore e fa’ari’i .

    ‘E fa’a’ino ‘oia i te ferurira’a o te ta’ata.

    Te tauiuira’a o te huru, te ‘ahuehue e tae roa i te a’oaoa.

    Te vai ‘ato’a nei te ‘aravira’a, fa’aturumara’a, te hepohepo, te ahoaho, te mata’u, te ‘amu rahira’a i te ra’au, te ‘iriara’a, e ‘aore ra te moe ‘ata.

    E rahi roa atu teie mau fifi ia maoro noa a te ‘opanipanira’a.

    Teie ato’a te tahi atu mau tumu :

    Te orara’a fifi, te ‘orara’a ‘opiripiri, te fifi ‘ohipa, te vai noara’a i roto i te ta’a ‘ore, te mau pe’ape’a ‘utuafare….

    ‘E‘ita teie mau fifi e ‘ore i muri a’e i te tau ‘opanipanira’a. Te tumu, te fifi moni na roto i te ‘ohipa ‘ore. Ia riro teie mau fifi ‘ei rave’a ha’apa’arira’a ia tatou.

    Na te reira e horo’a mai i te ho’e puai ta’a’e i te utuafare :

    • E nehenehe teie mau fifi manava e ha’afifi roa atu i te feia o tei fa’aea noa i te fare ma te ‘ohipa ‘ore, e te moni ‘ore.
    • Te fifi no te ho’ira’a i ni’a i te vahi ‘ohipara’a.
    • Te fifi ‘ohipa i rotopu i te ho’e tane e tona hoa vahine.
    • Te hi’o ‘e ra’a i te tahi mau ta’ata no roto mai i te ho’e tuha’a o tei fa’aruru i teie ma’i, e ‘aore ra te ho’e ta’ata ma’i.

    « E mea faufa’a roa te mau ha’amaramaramara’a »

    Ia fa’a’ara tamau, ma te horo’a i te mau ha’apapura’a no ni’a i te tumu o teie mau ‘opanipanira’a, ia maramarama te ta’ata i ni’a i te ‘ohipa e tupu ra, e maita’i ato’a ia tona orara’a.

    ‘Eaha te mau ave’ia ?

    Ia fa’aiho fa’ahou mai â tô tatou hiroa tumu o te nûna’a mâ’ohi : te hô’êra’a, te opere maitera’a, te ‘autaera’a, te aroha e te here.

    Te vai atoa ra te fa’atura e te fa’ari’i, i nehenehe ai ia tâtou ia fa’ari’i i te mau tapu, te mau fa’ahepora’a no te fa’aea noa i te vahi hô’ê.

    Teie fifi ma’i e mea ite ore hia e te mata, aita tôna e ‘otia fenua, aita tona e fenua.

    No reira ia vai hô’ê noa tatou, ia vai noa tera ta’amura’a i roto ia tatou, te autaera’a ma te fa’atae atoa tâ tatou turu e te tiaturira’a i te mau taote aivana’a no te ra’apaura’a e te pârurura’a ia tatou.

    Te ma pû ‘ohipa e tâna tautura

    Na roto i teie tau hepohepo e rave rahi mau pû’ohipa tei vai ineine noa no te pâhonora’a i ta ‘outou mau uiuira’a, te tauturu ra’a ia ‘outou.

    Na roto i teie tau hepohepo e rave rahi te mau pû ‘ohipa no te pahonora’a i ta ‘outou uiuira’a.

    Te ARAIRA’A ‘i teie ma’i. ‘E mea faufa’a ‘ia fâaha’amana’ohia, ‘e’ita teie tirotiro ‘e parare noa, nā tātou ra ‘e ta’ita’i nei iana no reira tatou ’e titauhia ai, ia fa’aea ‘i te fare.

    MĀURUURU E FA’AITOITO