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Nouveaux horaires du centre d’appel COVID 40 455 000
À compter du 01 octobre 2020, le centre d’appel 40 455 000 met en place de nouveaux horaires.
Le plan COVID Fenua place le secteur libéral au centre de la prise en charge des cas suspects et des cas actifs ayant eu un test positif à la COVID-19, au niveau des zones de circulation virale active (niveau 3).
Ce partenariat fort émergeant entre la Direction de la santé et les professionnels de santé libéraux, entraine une modification des plages d’ouverture du centre d’appel COVID :
- Du lundi au vendredi de 8h à 16h
- Le week-end de 8h à 13h
Des professionnels de santé réceptionnent essentiellement les appels des personnes présentant des symptômes évocateurs du COVID* et n’ayant aucun médecin traitant.
En cas de signe de gravité, appelez directement le centre 15.
Pour toute autre information, vous pouvez envoyer un mail à renseignements.COVID19@sante.gov.pf.
*Fièvre, sensation de fièvre, fatigue brutale, maux de tête, perte du goût ou de l’odorat, toux, maux de gorge, courbatures, gêne respiratoire, diarrhées.
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Nouveaux horaires du centre d’appel COVID 40 455 000
À compter du 01 octobre 2020, le centre d’appel 40 455 000 met en place de nouveaux horaires.
Le plan COVID Fenua place le secteur libéral au centre de la prise en charge des cas suspects et des cas actifs ayant eu un test positif à la COVID-19, au niveau des zones de circulation virale active (niveau 3).
Ce partenariat fort émergeant entre la Direction de la santé et les professionnels de santé libéraux, entraine une modification des plages d’ouverture du centre d’appel COVID :
- Du lundi au vendredi de 8h à 16h
- Le week-end de 8h à 13h
Des professionnels de santé réceptionnent essentiellement les appels des personnes présentant des symptômes évocateurs du COVID* et n’ayant aucun médecin traitant.
En cas de signe de gravité, appelez directement le centre 15.
Pour toute autre information, vous pouvez envoyer un mail à renseignements.COVID19@sante.gov.pf.
*Fièvre, sensation de fièvre, fatigue brutale, maux de tête, perte du goût ou de l’odorat, toux, maux de gorge, courbatures, gêne respiratoire, diarrhées.
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Indemnisation des salariés et entrepreneurs individuels identifiés cas contact à risque élevé par le Bureau de Veille Sanitaire
Le 7 septembre dernier, le gouvernement et l’intersyndicale de syndicats de salariés ont signé un protocole d’accord pour mettre fin au préavis de grève générale déposé le 28 août. Le protocole prévoit la prise en charge par le Pays de l’indemnisation des salariés et travailleurs indépendants identifiés cas contact à risque élevé par le bureau de veille sanitaire, en situation d’isolement et donc empêchés de travailler. Les partenaires sociaux, tant syndicats que représentant des employeurs, estimaient que cette situation pénalisait tant le salarié que l’entreprise dans un contexte économique déjà très tendu.
Indemnisation des salariés et entrepreneurs individuels identifiés cas contact à risque élevé par le Bureau de Veille Sanitaire
Dans le cadre la situation sanitaire que connaît la Polynésie, lorsqu’une personne a été en contact avec une personne covid+, une des mesures de prévention essentielle est d’éviter qu’elle ait tout contact à son tour avec d’autres personnes, durant sept jours suivant la date du dernier contact avec la personne malade.
En effet, c’est durant cette période que la maladie peut se déclarer, parfois sans qu’il y ait de manifestations cliniques. Un malade peut être asymptomatique et ainsi contaminer son entourage sans le savoir.
Si les personnes malades bénéficient d’un arrêt de travail, ce n’est pas le cas des sujets contact. Il est donc nécessaire de prendre des dispositions permettant au sujet contact à risque élevé de continuer son activité professionnelle en minimisant au maximum les risques de contamination sur son lieu de travail. Ainsi, un aménagement du poste de travail ou des conditions de travail est recommandé. Si cela s’avère impossible, une quarantaine est conseillée.
Ces recommandations font désormais l’objet d’une attestation délivrée par l’autorité sanitaire (bureau de veille sanitaire de la direction de la santé) aux personnes identifiées sujet à risque élevé, salarié ou travailleur indépendant.
Par ailleurs, sensible à la demande des partenaires sociaux, le gouvernement s’est engagé à réactiver le « revenu exceptionnel de solidarité » (RES), mis en place en mars dernier, dans le cadre du dispositif de confinement, en faveur des salariés et à étendre le bénéfice du DESETI aux entrepreneurs indépendants. Cette indemnisation est à la seule charge du Pays.
C’est dans ce contexte que le Conseil des ministres de ce mercredi 23 septembre a pris une série d’arrêtés, tenant ainsi ses engagements.
Ces dispositifs permettront d’indemniser les salariés identifiés comme « cas contacts à risque élevé », empêchés de travailler, du fait de la recommandation de « quarantaine » de 7 jours préconisée par le BVS pour éviter une dégradation trop importante de la situation financière des salariés et entrepreneurs individuels. Le montant global de l’indemnisation est à la seule charge du Pays.
Mise en œuvre du Revenu Exceptionnel de Solidarité
En pratique, si l’aménagement du poste de travail ou le télétravail n’est pas possible, le salarié pourra bénéficier du RES.
L’employeur pourra saisir une demande en ligne sur le site « net.pf » pour son salarié en situation d’isolement identifié comme sujet « contact » à risque élevé par le BVS (Bureau de veille sanitaire). Pour ce faire, il devra attester que le salarié lui a bien présenté une attestation du BVS en guise de justificatif d’absence.
Le montant de l’indemnité RES se base sur le montant du SMIG, au prorata du nombre de jours d’isolement, dans la limite de 7 jours maximum (recommandations sanitaires actuelles).
Mise en œuvre du DESETI pour le cas spécifique des entrepreneurs individuels en quarantaine
Sur la base d’une attestation délivrée par l’autorité sanitaire, les entrepreneurs individuels identifiés sujets « contact » à risque élevé qui ne pourront pas poursuivre leur activité pourront déposer une demande en ligne pour bénéficier du DESETI.
Le montant de l’indemnité est fixé à 50 000 Fcfp, au prorata en fonction du nombre de jours d’isolement, dans la limite de 7 jours maximum, préconisée par l’autorité sanitaire.
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Indemnisation des salariés et entrepreneurs individuels identifiés cas contact à risque élevé par le Bureau de Veille Sanitaire
Le 7 septembre dernier, le gouvernement et l’intersyndicale de syndicats de salariés ont signé un protocole d’accord pour mettre fin au préavis de grève générale déposé le 28 août. Le protocole prévoit la prise en charge par le Pays de l’indemnisation des salariés et travailleurs indépendants identifiés cas contact à risque élevé par le bureau de veille sanitaire, en situation d’isolement et donc empêchés de travailler. Les partenaires sociaux, tant syndicats que représentant des employeurs, estimaient que cette situation pénalisait tant le salarié que l’entreprise dans un contexte économique déjà très tendu.
Indemnisation des salariés et entrepreneurs individuels identifiés cas contact à risque élevé par le Bureau de Veille Sanitaire
Dans le cadre la situation sanitaire que connaît la Polynésie, lorsqu’une personne a été en contact avec une personne covid+, une des mesures de prévention essentielle est d’éviter qu’elle ait tout contact à son tour avec d’autres personnes, durant sept jours suivant la date du dernier contact avec la personne malade.
En effet, c’est durant cette période que la maladie peut se déclarer, parfois sans qu’il y ait de manifestations cliniques. Un malade peut être asymptomatique et ainsi contaminer son entourage sans le savoir.
Si les personnes malades bénéficient d’un arrêt de travail, ce n’est pas le cas des sujets contact. Il est donc nécessaire de prendre des dispositions permettant au sujet contact à risque élevé de continuer son activité professionnelle en minimisant au maximum les risques de contamination sur son lieu de travail. Ainsi, un aménagement du poste de travail ou des conditions de travail est recommandé. Si cela s’avère impossible, une quarantaine est conseillée.
Ces recommandations font désormais l’objet d’une attestation délivrée par l’autorité sanitaire (bureau de veille sanitaire de la direction de la santé) aux personnes identifiées sujet à risque élevé, salarié ou travailleur indépendant.
Par ailleurs, sensible à la demande des partenaires sociaux, le gouvernement s’est engagé à réactiver le « revenu exceptionnel de solidarité » (RES), mis en place en mars dernier, dans le cadre du dispositif de confinement, en faveur des salariés et à étendre le bénéfice du DESETI aux entrepreneurs indépendants. Cette indemnisation est à la seule charge du Pays.
C’est dans ce contexte que le Conseil des ministres de ce mercredi 23 septembre a pris une série d’arrêtés, tenant ainsi ses engagements.
Ces dispositifs permettront d’indemniser les salariés identifiés comme « cas contacts à risque élevé », empêchés de travailler, du fait de la recommandation de « quarantaine » de 7 jours préconisée par le BVS pour éviter une dégradation trop importante de la situation financière des salariés et entrepreneurs individuels. Le montant global de l’indemnisation est à la seule charge du Pays.
Mise en œuvre du Revenu Exceptionnel de Solidarité
En pratique, si l’aménagement du poste de travail ou le télétravail n’est pas possible, le salarié pourra bénéficier du RES.
L’employeur pourra saisir une demande en ligne sur le site « net.pf » pour son salarié en situation d’isolement identifié comme sujet « contact » à risque élevé par le BVS (Bureau de veille sanitaire). Pour ce faire, il devra attester que le salarié lui a bien présenté une attestation du BVS en guise de justificatif d’absence.
Le montant de l’indemnité RES se base sur le montant du SMIG, au prorata du nombre de jours d’isolement, dans la limite de 7 jours maximum (recommandations sanitaires actuelles).
Mise en œuvre du DESETI pour le cas spécifique des entrepreneurs individuels en quarantaine
Sur la base d’une attestation délivrée par l’autorité sanitaire, les entrepreneurs individuels identifiés sujets « contact » à risque élevé qui ne pourront pas poursuivre leur activité pourront déposer une demande en ligne pour bénéficier du DESETI.
Le montant de l’indemnité est fixé à 50 000 Fcfp, au prorata en fonction du nombre de jours d’isolement, dans la limite de 7 jours maximum, préconisée par l’autorité sanitaire.
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Trois nouveaux décès liés à la pandémie de covid
Trois décès sont à déplorer en cette fin de journée du fait de la pandémie de covid.
Il s’agit d’un patient âgé de 77 ans qui avait été admis au CHPF (Centre hospitalier de Polynésie française) le 11 septembre dernier. Ce patient présentait de multiples comorbidités.
La deuxième personne, âgée de 79 ans, avait été admise aux urgences le 14 septembre dernier. Prise en charge en filière classique, elle a présenté, durant son hospitalisation, des symptômes évocateurs du covid durant son hospitalisation.
Une troisième personne, une dame âgée, est également décédée.
Dans le contexte de la pandémie de covid, il est plus que jamais indispensable de respecter les gestes barrière, notamment pour les personnes âgées atteintes d’autres pathologies.
Le président Edouard Fritch et l’ensemble du gouvernement apportent tout leur soutien à la famille et aux proches de ces trois personnes.
SOURCE : https://www.presidence.pf/trois-nouveaux-deces-lies-a-la-pandemie-de-covid/
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Trois nouveaux décès liés à la pandémie de covid
Trois décès sont à déplorer en cette fin de journée du fait de la pandémie de covid.
Il s’agit d’un patient âgé de 77 ans qui avait été admis au CHPF (Centre hospitalier de Polynésie française) le 11 septembre dernier. Ce patient présentait de multiples comorbidités.
La deuxième personne, âgée de 79 ans, avait été admise aux urgences le 14 septembre dernier. Prise en charge en filière classique, elle a présenté, durant son hospitalisation, des symptômes évocateurs du covid durant son hospitalisation.
Une troisième personne, une dame âgée, est également décédée.
Dans le contexte de la pandémie de covid, il est plus que jamais indispensable de respecter les gestes barrière, notamment pour les personnes âgées atteintes d’autres pathologies.
Le président Edouard Fritch et l’ensemble du gouvernement apportent tout leur soutien à la famille et aux proches de ces trois personnes.
SOURCE : https://www.presidence.pf/trois-nouveaux-deces-lies-a-la-pandemie-de-covid/
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Situation au 21/09/2020 à 8h00 et à/c du 15/07/2020
Un total de 1332 cas de Covid-19 a été confirmé depuis le 15 juillet 2020. Parmi eux, 1108 sont sortis d’isolement.
Les autres cas confirmés durant ces 7 derniers jours sont tous isolés (224 cas actifs) dont 18 en centre d’hébergement dédié.
Du 15 juillet au 20 septembre , 20 965 auto-prélèvements ont été testés par RT-PCR à l’ILM.
Parmi les 22 personnes actuellement hospitalisées au CHPf pour des signes de Covid, 5 sont en service de réanimation.
Les cas actifs sont principalement localisés dans les communes urbaines de Tahiti. Quelques cas isolés sont suivis à Moorea (18), Bora Bora (1), Raiatea (1) et Tubuai (1).
Il est essentiel pour toute la population d’appliquer systématiquement les gestes barrières, en particulier dans tous les lieux publics.
Rappel du bilan au premier semestre 2020
- Le premier cas de Covid 19 en Pf a été confirmé le 10/03/2020.
- Un total de 62 cas, dont 32 cas importés, a été confirmé depuis le 10/03/2020 et jusqu’au 25/06/2020.
Point presse du 18 septembre du ministre de la Santé
Le ministre de la Santé, Jacques Raynal en présence du directeur général de la DGEE (Direction générale de l’Education et des enseignements), Thierry Delmas, a fait un point sur la situation sanitaire de la Covid, à l’occasion d’une conférence de presse organisée, vendredi après-midi, à la Présidence.
Le ministre de la Santé, Jacques Raynal, a fait un point, vendredi après-midi, sur la stratégie sanitaire mise en place dans le cadre de la lutte contre la propagation de la Covid.
Le directeur général de DGEE (Direction générale de l’Education et des enseignements), Thierry Delmas, était présent également pour évoquer le protocole sanitaire mis en place pour les établissements scolaires.
Dans un premier temps, le Dr Henri Pierre Mallet, médecin épidémiologiste au sein de la plateforme Covid, a présenté la situation épidémiologique de ce vendredi et exposé les modifications auxquelles il a été procédé dans le rectangle épidémiologique.
Comme l’a annoncé le Président Edouard Fritch, dans son allocution, mardi dernier, compte tenu de l’évolution sanitaire, il a été procédé à une réadaptation de la stratégie sanitaire.
Un « Plan covid Fenua » a ainsi été élaboré sur la base de l’expérience du premier épisode de covid sur le territoire et sur l’évolution récente des connaissances sur ce virus. Il comprend 4 niveaux.
La mobilisation doit être générale. La population, les partenaires sociaux, les employeurs, les communes, l’Etat et l’ensemble du gouvernement, chacun dans son domaine de compétence doit s’employer à mettre en œuvre ces mesures et à les rappeler quotidiennement à son entourage.
Les équipes de la Santé publique continuent leurs efforts en matière de sensibilisation et mettent en place une stratégie de mobilisation communautaire. Par ailleurs, les enquêtes du BVS (bureau de veille sanitaire) seront dorénavant ciblées sur les clusters à risque.
En ce qui concerne le risque de transmission en établissement scolaire, l’expérience acquise depuis la rentrée montre que le risque de contamination entre élèves d’une même classe est faible lors du temps scolaire et donc qu’il est finalement plus bénéfique pour les élèves de conserver les classes ouvertes.
Sur le suivi médical des cas positifs, pour ceux qui se trouvent en zone d’activation du niveau 3 du plan Covid Fenua, c’est-à-dire Tahiti et Moorea, ils devront continuer à être isolés pour une durée initiale de 7 jours. Cette période sera réévaluée en cas de symptômes, comme le préconise désormais le conseil scientifique.
Enfin, il est recommandé d’éviter tout déplacement non impératif depuis Tahiti ou Moorea vers les autres îles. Il s’agit par ce moyen de faire en sorte que les archipels éloignés ne soient pas impactés par la covid.
SOURCE : https://www.presidence.pf/point-presse-du-ministre-de-la-sante-5/
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Point presse du 18 septembre du ministre de la Santé
Le ministre de la Santé, Jacques Raynal en présence du directeur général de la DGEE (Direction générale de l’Education et des enseignements), Thierry Delmas, a fait un point sur la situation sanitaire de la Covid, à l’occasion d’une conférence de presse organisée, vendredi après-midi, à la Présidence.
Le ministre de la Santé, Jacques Raynal, a fait un point, vendredi après-midi, sur la stratégie sanitaire mise en place dans le cadre de la lutte contre la propagation de la Covid.
Le directeur général de DGEE (Direction générale de l’Education et des enseignements), Thierry Delmas, était présent également pour évoquer le protocole sanitaire mis en place pour les établissements scolaires.
Dans un premier temps, le Dr Henri Pierre Mallet, médecin épidémiologiste au sein de la plateforme Covid, a présenté la situation épidémiologique de ce vendredi et exposé les modifications auxquelles il a été procédé dans le rectangle épidémiologique.
Comme l’a annoncé le Président Edouard Fritch, dans son allocution, mardi dernier, compte tenu de l’évolution sanitaire, il a été procédé à une réadaptation de la stratégie sanitaire.
Un « Plan covid Fenua » a ainsi été élaboré sur la base de l’expérience du premier épisode de covid sur le territoire et sur l’évolution récente des connaissances sur ce virus. Il comprend 4 niveaux.
La mobilisation doit être générale. La population, les partenaires sociaux, les employeurs, les communes, l’Etat et l’ensemble du gouvernement, chacun dans son domaine de compétence doit s’employer à mettre en œuvre ces mesures et à les rappeler quotidiennement à son entourage.
Les équipes de la Santé publique continuent leurs efforts en matière de sensibilisation et mettent en place une stratégie de mobilisation communautaire. Par ailleurs, les enquêtes du BVS (bureau de veille sanitaire) seront dorénavant ciblées sur les clusters à risque.
En ce qui concerne le risque de transmission en établissement scolaire, l’expérience acquise depuis la rentrée montre que le risque de contamination entre élèves d’une même classe est faible lors du temps scolaire et donc qu’il est finalement plus bénéfique pour les élèves de conserver les classes ouvertes.
Sur le suivi médical des cas positifs, pour ceux qui se trouvent en zone d’activation du niveau 3 du plan Covid Fenua, c’est-à-dire Tahiti et Moorea, ils devront continuer à être isolés pour une durée initiale de 7 jours. Cette période sera réévaluée en cas de symptômes, comme le préconise désormais le conseil scientifique.
Enfin, il est recommandé d’éviter tout déplacement non impératif depuis Tahiti ou Moorea vers les autres îles. Il s’agit par ce moyen de faire en sorte que les archipels éloignés ne soient pas impactés par la covid.
SOURCE : https://www.presidence.pf/point-presse-du-ministre-de-la-sante-5/
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Situation au 18/09/2020 à 8h00 et à/c du 15/07/2020
Un total de 1209 cas de Covid-19 a été confirmé depuis le 15 juillet 2020. Parmi eux, 966 sont sortis d’isolement.
Les autres cas confirmés durant ces 7 derniers jours sont tous isolés (241 cas actifs) dont 29 en centre d’hébergement dédié.
Du 15 juillet au 17 septembre , 20 484 auto-prélèvements ont été testés par RT-PCR à L’ILM.
Parmi les 25 personnes actuellement hospitalisées au CHPf pour des signes de Covid, 5 sont en service de réanimation.
Les cas actifs sont principalement localisés dans les communes urbaines de Tahiti. Quelques cas isolés sont suivis à Moorea (11), Raiatea (1) et Tubuai (1).
Il est essentiel pour toute la population d’appliquer systématiquement les gestes barrières, en particulier dans tous les lieux publics.
Rappel du bilan au premier semestre 2020
- Le premier cas de Covid 19 en Pf a été confirmé le 10/03/2020.
- Un total de 62 cas, dont 32 cas importés, a été confirmé depuis le 10/03/2020 et jusqu’au 25/06/2020.
Allocution du Président de la Polynésie française sur la situation sanitaire au 15 septembre 2020
Le Haut-commissaire de la République en Polynésie française, Dominique Sorain, et le Président de la Polynésie française, Edouard Fritch, ont fait un point, mardi, sur la situation sanitaire de la Covid 19 en Polynésie française.
Mesdames, messieurs,
A ce jour, nous comptabilisons 236 cas positifs actifs, 873 cas guéris, 16 personnes hospitalisées dont 4 en réanimation, et 2 décès.
Tels sont les indicateurs sanitaires pertinents que nous devons suivre au jour le jour, pour mieux appréhender l’évolution de l’épidémie du coronavirus dans notre Pays.
Le nouveau fait réside dans l’enregistrement de deux personnes, mari et femme, atteintes du covid au moment de leur décès. J’adresse à nouveau mes sincères condoléances à la famille des défunts. Les personnes décédées étaient âgées de 80 et de 84 ans. Elles étaient connues pour des difficultés respiratoires, cardiaques, de surpoids. Toute forme de grippe plaçait ces deux personnes fragiles en situation de danger.
Ce couple d’octogénaire fait partie de ces personnes vulnérables et fragiles de notre Pays, dont on vous parle et répète depuis 6 mois.
Je regrette ces deux décès, car j’ai le sentiment que certains n’ont pas accordé suffisamment d’importance à nos recommandations, depuis presque 6 mois.
Ces deux premiers cas de décès doivent désormais nous pousser à intensifier la prévention et à appliquer les gestes barrières.
Décéder du covid n’est pas une fatalité.
Si nous voulons protéger nos matahiapo, nos personnes handicapées, nos personnes en longue maladie, nos diabétiques, nos malades cardiovasculaires, nos malades du cancer, c’est-à-dire toutes nos personnes ayant une santé fragile, nous devons appliquer et mettre en œuvre tous les gestes barrières d’une manière stricte. Les gestes barrières deviennent aujourd’hui des gestes de vie. Ce sont nos seuls remèdes.
En l’absence d’un vaccin, en l’absence de médicament, les gestes barrières sont le seul et l’unique remède au virus. De ce fait, chaque individu, par son comportement, devient le remède et le seul protecteur de lui-même et des autres.
J’insiste. Nous sommes les seuls médecins de cette maladie. Nous sommes les seuls remèdes de la Covid19
Ce matin, j’appelle solennellement à nouveau, chaque polynésien et chaque polynésienne, à prendre à cœur et au sérieux les gestes barrières, à minimiser les contacts physiques, avec vos proches, vos amis, vos collègues et avec toute personne rencontrée dans les espaces publics.
Je sais que vous avez déjà beaucoup fait. Je profite pour vous féliciter des gros efforts déjà déployés. Mais, il faut aller plus loin. Il faut tenir et ne pas capituler contre cet ennemi.
Certaines personnes manifestent publiquement pour refuser le port du masque. Je ne sais pas quoi penser de cette contestation qui rassemble des motivations disparates. Chaque citoyen est libre de s’exprimer.
En revanche, les jugements portés par les protestataires sont excessifs. Nous accuser gratuitement d’obscurantisme, de mensonges, de dictature ou de satanisme…. Nous n’avons jamais parlé du port du masque pour les enfants de 4 ans, par exemple. Cela relève plus de l’attaque politique que du vrai débat sanitaire.
A Tahiti, nous sommes au stade 3 de la gravité sanitaire sur une échelle maximale de 4.
Le stade 4 signifierait une contamination générale de la population. Nous n’en sommes pas encore là. Je ne le souhaite pas au même titre que vous.
Notre souhait est que nous nous mobilisions, tous ensemble, pour arrêter cette propagation. Et, c’est possible.
Nous sommes un peuple à taille humaine. Nous sommes au total 280 000 habitants. Les zones de forte concentration de cas positifs se situent entre Punaauia et Mahina qui comptent 130 000 habitants. Nous n’avons pas à traiter, fort heureusement, une communauté humaine de plusieurs millions d’habitants. Si nous nous mobilisons, si nous restons soudés et solidaires, nous pouvons réussir.
Quant aux archipels, ils sont restés au stade 1 de l’épidémie. Je rentre des Iles Sous le Vent, j’observe que les habitants respectent à la lettre les consignes de protection. Ce respect des consignes reflète, à mon avis, le grand sens communautaire de ces populations. Les habitants de nos archipels ont compris et intégré l’idée que se protéger, c’est aussi respecter les autres, et qu’il faut protéger les autres pour se protéger soi-même. Grâce à ce sens communautaire, les populations nos archipels se sont maintenues au stade 1 de l’épidémie. C’est le sens même de la vie en communauté : respecter l’autre, c’est se protéger.
Mes chers compatriotes, la seule bonne manière de vaincre le coronavirus est de casser la chaîne de propagation de ce virus.
C’est pour cette raison que nous faisons les tests à grande échelle, dans les quartiers touchés par le virus afin d’identifier très rapidement les personnes infectées et les isoler aussitôt pour casser la chaîne de propagation. C’est notre objectif.
Comment le faire ?
Je vous rappelle ici les recommandations essentielles qui vont nous sauver :
- Discipline et respect de tous les gestes barrières: Tout d’abord par les gestes barrières de chacune et chacun d’entre vous. Je vous implore de les mettre en œuvre et de les respecter avec rigueur, encore plus si vous avez parmi vos proches des personnes ayant une santé fragile. Je le répète, chaque personne, par ses gestes barrières, est son propre remède et le remède pour ses proches. Le nombre de nouveaux cas positifs ne pourra diminuer, à coup sûr, que si et seulement si nous adopterons et respecterons tous les gestes barrières.
- Isolement de 7 jours des cas contacts à risque élevé: Les personnes qui ont été en contact avec des cas positifs sont des personnes à risque élevé. Elles seront placées en isolement durant 7 jours à compter du jour de la dernière rencontre avec le cas positif.
- Eviter les rencontres festives: Nous devons, durant le mois à venir c’est-à-dire jusqu’au 15 octobre, faire l’effort de ne plus organiser des tamaaraa, des fêtes quelles qu’elles soient, comme des anniversaires en famille ou entre amis, des fêtes à domicile ou en lieu privé. Ce n’est pas parce que vous serez entre amis et proches que le virus n’y est pas invité également. Il y a beaucoup de cas asymptomatiques. Beaucoup de personnes sont porteuses du virus sans le savoir. La propagation observée aujourd’hui, à Tahiti, relève beaucoup de ces cas asymptomatiques. Cette réalité est un piège pour les familles. En particulier, lorsque nous n’avons pas les bons gestes de protection face à ces personnes.
- Complément d’agents de prévention sanitaire pour les quartiers à risque: Pour promouvoir les gestes barrières et éviter les rassemblements en lieux privés, le gouvernement dotera les communes d’agents de prévention sanitaire, sous la forme de CAE, qui seront dédiés aux quartiers prioritaires touchés par l’épidémie. Ils auront pour mission de rappeler sans cesse que les gestes barrières doivent faire partie de nos habitudes de vie. Je réunirai, à nouveau les maires de Tahiti et de Moorea, pour convenir de ce nouveau dispositif de prévention sanitaire.
- Renforcer la protection des personnes fragiles: Nous voulons également intensifier la protection de nos personnes ayant une santé fragile. Les moyens de dépistage seront dédiés en priorité à ces personnes fragiles.
- Gestes barrières et auto-confinement de 4 jours des passagers arrivant en Polynésie: Je rappelle à tous les passagers arrivant en Polynésie, qu’ils soient résidents, en mission professionnelle ou en tourisme affinitaire, qu’ils doivent respecter strictement les gestes barrières. Ils doivent éviter de se mêler à la population, durant les 4 jours qui précèdent le second test par auto-prélèvement, donc ne sortir que pour des raisons impérieuses, essentielles à la vie quotidienne.
- Maintien du protocole sanitaire ETIS à tous les passagers entrant en Polynésie : Le protocole sanitaire appliqué actuellement à tous les passagers entrant en Polynésie sera maintenu, avec un test RT-PCR 3 jours avant l’embarquement, un formulaire ETIS à remplir et un second test RT-PCR par auto-prélèvement.
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Allocution du Président de la Polynésie française sur la situation sanitaire au 15 septembre 2020
Le Haut-commissaire de la République en Polynésie française, Dominique Sorain, et le Président de la Polynésie française, Edouard Fritch, ont fait un point, mardi, sur la situation sanitaire de la Covid 19 en Polynésie française.
Mesdames, messieurs,
A ce jour, nous comptabilisons 236 cas positifs actifs, 873 cas guéris, 16 personnes hospitalisées dont 4 en réanimation, et 2 décès.
Tels sont les indicateurs sanitaires pertinents que nous devons suivre au jour le jour, pour mieux appréhender l’évolution de l’épidémie du coronavirus dans notre Pays.
Le nouveau fait réside dans l’enregistrement de deux personnes, mari et femme, atteintes du covid au moment de leur décès. J’adresse à nouveau mes sincères condoléances à la famille des défunts. Les personnes décédées étaient âgées de 80 et de 84 ans. Elles étaient connues pour des difficultés respiratoires, cardiaques, de surpoids. Toute forme de grippe plaçait ces deux personnes fragiles en situation de danger.
Ce couple d’octogénaire fait partie de ces personnes vulnérables et fragiles de notre Pays, dont on vous parle et répète depuis 6 mois.
Je regrette ces deux décès, car j’ai le sentiment que certains n’ont pas accordé suffisamment d’importance à nos recommandations, depuis presque 6 mois.
Ces deux premiers cas de décès doivent désormais nous pousser à intensifier la prévention et à appliquer les gestes barrières.
Décéder du covid n’est pas une fatalité.
Si nous voulons protéger nos matahiapo, nos personnes handicapées, nos personnes en longue maladie, nos diabétiques, nos malades cardiovasculaires, nos malades du cancer, c’est-à-dire toutes nos personnes ayant une santé fragile, nous devons appliquer et mettre en œuvre tous les gestes barrières d’une manière stricte. Les gestes barrières deviennent aujourd’hui des gestes de vie. Ce sont nos seuls remèdes.
En l’absence d’un vaccin, en l’absence de médicament, les gestes barrières sont le seul et l’unique remède au virus. De ce fait, chaque individu, par son comportement, devient le remède et le seul protecteur de lui-même et des autres.
J’insiste. Nous sommes les seuls médecins de cette maladie. Nous sommes les seuls remèdes de la Covid19
Ce matin, j’appelle solennellement à nouveau, chaque polynésien et chaque polynésienne, à prendre à cœur et au sérieux les gestes barrières, à minimiser les contacts physiques, avec vos proches, vos amis, vos collègues et avec toute personne rencontrée dans les espaces publics.
Je sais que vous avez déjà beaucoup fait. Je profite pour vous féliciter des gros efforts déjà déployés. Mais, il faut aller plus loin. Il faut tenir et ne pas capituler contre cet ennemi.
Certaines personnes manifestent publiquement pour refuser le port du masque. Je ne sais pas quoi penser de cette contestation qui rassemble des motivations disparates. Chaque citoyen est libre de s’exprimer.
En revanche, les jugements portés par les protestataires sont excessifs. Nous accuser gratuitement d’obscurantisme, de mensonges, de dictature ou de satanisme…. Nous n’avons jamais parlé du port du masque pour les enfants de 4 ans, par exemple. Cela relève plus de l’attaque politique que du vrai débat sanitaire.
A Tahiti, nous sommes au stade 3 de la gravité sanitaire sur une échelle maximale de 4.
Le stade 4 signifierait une contamination générale de la population. Nous n’en sommes pas encore là. Je ne le souhaite pas au même titre que vous.
Notre souhait est que nous nous mobilisions, tous ensemble, pour arrêter cette propagation. Et, c’est possible.
Nous sommes un peuple à taille humaine. Nous sommes au total 280 000 habitants. Les zones de forte concentration de cas positifs se situent entre Punaauia et Mahina qui comptent 130 000 habitants. Nous n’avons pas à traiter, fort heureusement, une communauté humaine de plusieurs millions d’habitants. Si nous nous mobilisons, si nous restons soudés et solidaires, nous pouvons réussir.
Quant aux archipels, ils sont restés au stade 1 de l’épidémie. Je rentre des Iles Sous le Vent, j’observe que les habitants respectent à la lettre les consignes de protection. Ce respect des consignes reflète, à mon avis, le grand sens communautaire de ces populations. Les habitants de nos archipels ont compris et intégré l’idée que se protéger, c’est aussi respecter les autres, et qu’il faut protéger les autres pour se protéger soi-même. Grâce à ce sens communautaire, les populations nos archipels se sont maintenues au stade 1 de l’épidémie. C’est le sens même de la vie en communauté : respecter l’autre, c’est se protéger.
Mes chers compatriotes, la seule bonne manière de vaincre le coronavirus est de casser la chaîne de propagation de ce virus.
C’est pour cette raison que nous faisons les tests à grande échelle, dans les quartiers touchés par le virus afin d’identifier très rapidement les personnes infectées et les isoler aussitôt pour casser la chaîne de propagation. C’est notre objectif.
Comment le faire ?
Je vous rappelle ici les recommandations essentielles qui vont nous sauver :
- Discipline et respect de tous les gestes barrières: Tout d’abord par les gestes barrières de chacune et chacun d’entre vous. Je vous implore de les mettre en œuvre et de les respecter avec rigueur, encore plus si vous avez parmi vos proches des personnes ayant une santé fragile. Je le répète, chaque personne, par ses gestes barrières, est son propre remède et le remède pour ses proches. Le nombre de nouveaux cas positifs ne pourra diminuer, à coup sûr, que si et seulement si nous adopterons et respecterons tous les gestes barrières.
- Isolement de 7 jours des cas contacts à risque élevé: Les personnes qui ont été en contact avec des cas positifs sont des personnes à risque élevé. Elles seront placées en isolement durant 7 jours à compter du jour de la dernière rencontre avec le cas positif.
- Eviter les rencontres festives: Nous devons, durant le mois à venir c’est-à-dire jusqu’au 15 octobre, faire l’effort de ne plus organiser des tamaaraa, des fêtes quelles qu’elles soient, comme des anniversaires en famille ou entre amis, des fêtes à domicile ou en lieu privé. Ce n’est pas parce que vous serez entre amis et proches que le virus n’y est pas invité également. Il y a beaucoup de cas asymptomatiques. Beaucoup de personnes sont porteuses du virus sans le savoir. La propagation observée aujourd’hui, à Tahiti, relève beaucoup de ces cas asymptomatiques. Cette réalité est un piège pour les familles. En particulier, lorsque nous n’avons pas les bons gestes de protection face à ces personnes.
- Complément d’agents de prévention sanitaire pour les quartiers à risque: Pour promouvoir les gestes barrières et éviter les rassemblements en lieux privés, le gouvernement dotera les communes d’agents de prévention sanitaire, sous la forme de CAE, qui seront dédiés aux quartiers prioritaires touchés par l’épidémie. Ils auront pour mission de rappeler sans cesse que les gestes barrières doivent faire partie de nos habitudes de vie. Je réunirai, à nouveau les maires de Tahiti et de Moorea, pour convenir de ce nouveau dispositif de prévention sanitaire.
- Renforcer la protection des personnes fragiles: Nous voulons également intensifier la protection de nos personnes ayant une santé fragile. Les moyens de dépistage seront dédiés en priorité à ces personnes fragiles.
- Gestes barrières et auto-confinement de 4 jours des passagers arrivant en Polynésie: Je rappelle à tous les passagers arrivant en Polynésie, qu’ils soient résidents, en mission professionnelle ou en tourisme affinitaire, qu’ils doivent respecter strictement les gestes barrières. Ils doivent éviter de se mêler à la population, durant les 4 jours qui précèdent le second test par auto-prélèvement, donc ne sortir que pour des raisons impérieuses, essentielles à la vie quotidienne.
- Maintien du protocole sanitaire ETIS à tous les passagers entrant en Polynésie : Le protocole sanitaire appliqué actuellement à tous les passagers entrant en Polynésie sera maintenu, avec un test RT-PCR 3 jours avant l’embarquement, un formulaire ETIS à remplir et un second test RT-PCR par auto-prélèvement.
PLUS D’INFORMATIONS
Actualités
Situation au 14/09/2020 à 8h00 et à/c du 15/07/2020
Un total de 1037 cas de Covid-19 a été confirmé depuis le 15 juillet 2020. Parmi eux, 610 sont sortis d’isolement et considérés comme guéris. La moyenne d’âge de l’ensemble des cas est de 35 ans. Les autres cas confirmés durant ces 10 derniers jours sont tous isolés (425 cas actifs) dont 25 en centre d’hébergement dédié.
Depuis le 15 juillet, 18 802 auto-prélèvements ont été testés par RT-PCR à L’ILM.
Parmi les 16 personnes actuellement hospitalisées au CHPf pour des signes de Covid-19, 3 sont en service de réanimation. La moyenne d’âge des personnes hospitalisées est de 53 ans.
Les cas actifs sont principalement localisés dans les communes urbaines de Tahiti. Quelques cas isolés sont suivis à Moorea (16) et Hao (2).
Il est essentiel pour toute la population d’appliquer systématiquement les gestes barrières, en particulier dans tous les lieux publics.
Rappel du bilan au premier semestre 2020
- Le premier cas de Covid 19 en Pf a été confirmé le 10/03/2020.
- Un total de 62 cas, dont 32 cas importés, a été confirmé depuis le 10/03/2020 et jusqu’au 25/06/2020.