FAQ VACCINATION COVID-19

INFORMATIONS GÉNÉRALES

Les vaccins sont des médicaments injectés à des personnes non malades pour stimuler leur système immunitaire et les protéger contre une maladie. Ils sont composés de microbes tué (virus ou bactéries) ou de fragments de microbes appelés « antigènes », que le système immunitaire va détecter comme « intrus » et chercher à éliminer. Lors de la vaccination, le système immunitaire apprend à reconnaitre l’antigène étranger et produit des anticorps spécifiques contre cet antigène. Par la suite, lorsque le vrai microbe pénètre dans l’organisme, il est immédiatement reconnu et neutralisé par les anticorps, la maladie ne se développe pas.

Se faire vacciner c’est se protéger soi contre des maladies dont les complications peuvent être graves voire mortelles mais c’est aussi protéger les autres. En évitant la maladie, on diminue le risque de contaminer les autres.

Lorsque qu’une part importante de la population est vaccinée, on parle d’immunité collective ou de groupe. Les personnes vaccinées, en ne participant pas à la propagation du virus, empêchent celui-ci de circuler, ce qui permet de protéger aussi ceux qui ne peuvent pas être vaccinés ou qui sont moins bien protégés par les vaccins.

La vaccination contre la Covid-19 est efficace à plus de 90% contre le risque de survenue de formes graves de la maladie. Elle permet d’éviter de développer des symptômes importants qui pourraient nécessiter une hospitalisation voire une réanimation.

Des premiers résultats d’études en cours permettent aussi de dire que les vaccins dont nous disposons permettent de diminuer la transmission du virus à d’autres personnes (nous sommes moins voire non contagieux pour les autres). Par conséquent, en nous vaccinant, nous nous protégeons de la maladie mais aussi les autres, en ne leur transmettant pas le virus. 

Se faire vacciner c’est se protéger contre la maladie et les complications qui peuvent être graves, voire mortelles.

La vaccination permet aussi de protéger les autres en diminuant le risque de les contaminer.

Toutes les personnes vaccinées empêchent la circulation du virus et protège ainsi ceux qui ne peuvent pas être vaccinés ou qui sont moins bien protégés par le vaccin (personnes âgées, personnes avec des longues maladies, etc)

Lorsqu’une part importante de la population est vaccinée, on parle d’immunité collective (ou de groupe).

OUI ! La vaccination est gratuite depuis son lancement en Polynésie française en janvier 2021.

Les centres de vaccination sont déployés sur Tahiti, Moorea et dans les îles éloignées

La liste complète est disponible sur le site internet de la Direction de la santé : https://www.service-public.pf/dsp/covid-19/vaccination-covid/

Des vaccinodromes sont également organisés régulièrement dans certaines communes.

OUI ! Tous les vaccinodromes déployés proposent les deux vaccins.

NON ! Pour des raisons de logistique, tous les centres ne peuvent pas proposer les deux vaccins.

Oui ! Cependant la vaccination va lui permettre de se protéger et d’éviter de développer la maladie avec des symptômes graves.

Oui ! Cependant la vaccination peut réduire sa charge virale et donc réduire ses risques d’être contagieuse ou de contaminer son entourage.

Oui ! Mais la vaccination diminue fortement le risque de développer une forme grave de la maladie, d’avoir des symptômes graves.

Il n’y a pas d’efficacité à 100 %, et chacun peut réagir différemment à la vaccination comme à la maladie. Une personne particulièrement fragile (maladies préexistantes, comorbidités, âge) peut faire une forme grave malgré la vaccination.

Dans la plupart des cas les gens vaccinés sont protégés des formes graves.

Car une personne vaccinée réduit sa charge virale en étant vaccinée et donc réduit ses risques d’être contagieuse ou de contaminer son entourage.

Nous pouvons tout à fait vacciner en période d’épidémie lorsqu’il y a « urgence »  à le faire. Nous sommes en situation d’urgence.

OUI. Au moins pour les vaccins ARNm que nous utilisons actuellement, les résultats d’études montrent une diminution de 80 à 90% du portage du virus (on a le virus, mais on n’est pas malade). Autrement dit, nous sommes moins contagieux et le risque de transmettre le virus à une autre personne est faible.
Il est fortement probable que les vaccins exercent un effet de groupe si les taux de couverture vaccinale sont suffisants, c’est-à-dire que plus nous sommes vaccinés moins le virus peut être transmis et donc le virus ne peux plus circuler dans la population.
La vaccination est non obligatoire depuis son lancement en Polynésie française en janvier 2021. Cependant, une loi de Pays a été votée (N°2021-37) le 23 aout 2021 relative à l’obligation de vaccination de certaines catégories de personnes.

Pour limiter la circulation du virus et protéger la collectivité (leur famille entre-autres) et pour limiter le nombre de formes graves et les arrêts de travail afin de préserver l’économie du pays.

Sur un million de non vaccinés, 132 personnes sont hospitalisées et 35 admises en réanimation. Sur un million de personnes partiellement vaccinées, 37 sont hospitalisées et huit en réanimation. Sur un million de personnes complètement vaccinées, 16 sont hospitalisées et quatre en réanimation. Conclusion : le vaccin des formes graves.

Voir graphe :

Le vaccin PFIZER doit être conservé dans des conditions plus compliquées que le vaccin JANSSEN (très haute température, délais de conservation court, etc.)

De plus, le vaccin PFIZER nécessite 2 doses, il est donc nécessaire de faire déplacer les équipes et la logistique deux fois.

Le vaccin JANSSEN est plus facile à conserver et à utiliser.

Pour autant ces deux vaccins sont très efficace pour se protéger de la covid-19.

PERSONNES CONCERNÉES

Pas dans l’immédiat. Je dois avant tout m’isoler pendant 10 jours après le dernier contact avec le cas positif. Si je ne développe pas de symptôme durant cette période, je dois réaliser un test PCR de contrôle avant ma sortie d’isolement. S’il est négatif, je peux alors aller me faire vacciner.

Oui, c’est possible après un délai de 2 mois suite à mon infection. En règle générale, il n’y a aucune contre-indication à vacciner quelqu’un contre une maladie qu’il a déjà eue.

À partir de l’âge de 12 ans avec le vaccin PFIZER et à partir de l’âge de 18 ans pour le vaccin JANSSEN.

Un mineur de 12 à 15 ans inclus dois venir avec une autorisation écrite d’un des deux parents ou d’un tuteur légal.

Un mineur de 16 à 17 ans inclus peux se faire vacciner sans autorisation parentale. La présence de ses parents ou d’un tuteur légal est recommandée mais n’est plus obligatoire.

Le vaccin Pfizer permet de vacciner les adolescents à partir de 12 ans car il a été évalué à partir de cet âge.

Le vaccin Janssen permet de vacciner les personnes à partir de 18 ans car il a été évalué à partir de cet âge. Pour les personnes en dessous de 18 ans, les études sont encore en cours d’évaluation de l’efficacité du vaccin.

Oui, avec le vaccin PFIZER uniquement (pas avec le vaccin JANSSEN), les femmes enceintes dès le premier trimestre peuvent se faire vacciner. Au départ contre-indiqué par mesure de précaution, nous disposons maintenant de données solides de sécurité pour pouvoir recommander la vaccination des femmes enceintes. La vaccination des femmes enceintes est recommandée.

OUI ! Un test négatif signifie que vous n’êtes pas porteur du virus. Vous pouvez vous donc vous faire vacciner.

OUI ! Un test négatif signifie que vous n’êtes pas porteur du virus. Vous pouvez vous donc vous faire vacciner.

LES VACCINS

Les vaccins contre la Covid-19 actuellement disponibles en Polynésie sont le PFIZER et le JANSSEN.

Le virus SARS-Cov-2 responsable de la maladie Covid-19 possède une protéine particulière, la protéine S, qui lui permet d’entrer dans les cellules. Lorsque le virus entre dans l’organisme pour la première fois, le système immunitaire détecte la présence de la protéine S, aussi appelée antigène, et commence à produire des anticorps. Pendant ce temps le virus se multiplie et provoque la maladie entrainant l’apparition de symptômes.

Le PFIZER est un vaccin dit à « ARN messager » ou « ARNm ». L’ARNm contenu dans le vaccin est le code qui permet au virus de fabriquer la protéine S. Le vaccin ne contient que ce code, aucune autre partie du virus. Lors de l’injection du vaccin, l’ARNm entre dans nos cellules qui vont elles-mêmes fabriquer la protéine S. La protéine S n’est qu’une partie du virus, elle ne rend pas malade. Le système immunitaire va détecter la protéine S, aussi appelée antigène, et produire des anticorps contre cette protéine. Par la suite, lorsque le virus SARS-Cov-2 pénètrera dans l’organisme, il sera immédiatement reconnu et neutralisé par les anticorps, il ne pourra pas se multiplier, la maladie ne se développera pas.

Le JANSSEN est un vaccin dit à vecteur viral. Le vaccin est composé d’un virus inoffensif (adénovirus 26) qui a été modifié pour contenir le gène permettant de fabriquer la protéine de pointe S du SARS-CoV-2. Le système immunitaire de la personne reconnaît la protéine S comme étrangère et produira des anticorps neutralisants et autres.

Les vaccins à ARNm et les vaccins reposant sur des vecteurs viraux ne contiennent pas d’adjuvant, leur structure même permettant de stimuler le système immunitaire inné.

Les vaccins qui nécessitent l’utilisation d’adjuvant sont les vaccins inactivés et les vaccins protéiques.

De nombreux laboratoires ont été solicités pour développer un vaccin contre la covid-19. Plusieurs vaccins utilisant des techniques différentes ont ainsi été développés (PFIZER, MODERNA, JANSSEN, ASTRAZENECA, etc).

En Polynésie, seuls les vaccins PFIZER et JANSSEN sont proposés.

Pfizer :

  • Antigène

ARNm COVID-19 (incorporé dans des nanoparticules lipidiques) : 30 microgrammes. Il s’agit de molécules d’acide ribonucléique (ARN) messager (ARNm) produit à l’aide d’une transcription in vitro sans cellule à partir des matrices d’ADN correspondantes, qui codent la protéine virale de spicule (appelée protéine Spike ou protéine S) du coronavirus SARS-CoV-2 responsable de la covid 19.

  • Excipients 

Lipides

  • ALC-0315
  • ALC-0159 Le composant ALC-0159 contient des molécules de polyéthylène glycol (PEG). Ces molécules, également présentes dans des produits cosmétiques et médicaments, pourraient être à l’origine des rares cas d’anaphylaxie (réaction allergique grave) qui ont été rapportés (fréquence d’environ un cas pour 100 000 vaccinations).
  • 1,2- distéaroyl-sn-glycéro-3-phosphocholine (DSPC)
  • Cholestérol

Autres composants

  • Chlorure de sodium
  • Chlorure de potassium
  • Phosphate monopotassique
  • Phosphate disodique dihydraté
  • Saccharose

JANSSEN :

Le vaccin consiste en un vecteur adénoviral recombinant de type 26 (Ad26.COV2-S) incapable de se répliquer et exprimant la glycoprotéine Spike* (encore appelée protéine S ou protéine de spicule) du coronavirus SARS-CoV-2. 

* : produit dans la lignée cellulaire PER.C6 TetR et par la technologie de l’ADN recombinant.

Une dose (0,5 mL) contient :

  1. Antigène
  • au moins de 8,92 log10 unités infectieuses (U.I.)

Le produit contient des organismes génétiquement modifiés (OGM).

  1. Excipients
  • Acide citrique monohydraté
  • Citrate trisodique dihydraté (uniquement pour les présentations en boîte de 10 flacons)
  • Éthanol (environ 2 mg par dose, soit une quantité faible sans effets notables)
  • 2-hydroxypropyl-β-cyclodextrine (HBCD)
  • Polysorbate 80
  • Chlorure de sodium (moins de 1 mmol de sodium par dose de 0,5 mL, soit 23 mg, c’est-à-dire qu’il peut être considéré comme étant « sans sodium »)
  • Hydroxyde de sodium

Acide chlorhydrique

Pour le Vaccin PFIZER, NON. Quand le schéma de vaccination doit s’effectuer en deux doses, il est recommandé de faire les deux doses en respectant l’intervalle de temps recommandé entre les deux. En effet, c’est après deux injections que l’on obtient la plus grande efficacité. Aussi, après deux doses, l’immunogénicité, c’est-à-dire notre capacité à réagir face au virus s’il venait à nous infecter par la suite, serait 10 à 100 fois supérieure, offrant une protection plus prolongée dans le temps.
Pour le Vaccin Janssen, OUI. Le schéma de vaccination s’effectue en une seule dose. Une seule dose est nécessaire pour obtenir la plus grande efficacité.

Comme tous les médicaments, les vaccins peuvent entraîner des effets indésirables.

Ils sont classiques, relativement fréquents et communs à tous les vaccins : douleur au point d’injection, fatigue, maux de tête, douleurs musculaires ou articulaires, frissons ou fièvre.

Ces effets secondaires/indésirables montrent que votre système immunitaire est en train de réagir pour se défendre contre l’antigène.

Ils sont souvent légers et ne durent que quelques jours.

Si des effets deviennent gênants ou importants, il faut le signaler à son médecin traitant qui déclarera la situation si nécéssaire à l’ARASS (Agence de régulation de l’action sanitaire et sociale).

C’est possible mais peu probable. Le SARS-Cov-2 mute régulièrement comme tous les virus, mais aucune mutation détectée à ce jour n’a affecté la protéine S (sur laquelle est basée le vaccin) au point d’altérer la capacité du corps humain à la reconnaître. Les mutations du SARS-Cov-2 sont surveillées de très près par les scientifiques, qui travailleront à l’adaptation du vaccin en cas de mutation importante.

Tous les vaccins autorisés en Polynésie française font l’objet d’un contrôle rigoureux pour s’assurer de leur efficacité et de leur sûreté. De plus, une fois disponible sur le Fenua, nous continuerons à les surveiller afin de s’assurer de leur sureté.

Pour en savoir plus sur la surveillance de ces vaccins en pratique, consulter le site de l’ARASS » avec le lien suivant : https://www.service-public.pf/arass/pharmacovigilance-des-vaccins-contre-la-covid-19/

Aucun vaccin à ARN n’avait été homologué avant le vaccin contre la Covid-19, mais ces vaccins font l’objet d’études depuis une vingtaine d’années et plusieurs essais cliniques y compris chez l’humain avaient déjà été menés.

Le Vaccin PFIZER et le vaccin JANSSEN sont les seuls proposés en Polynésie.

Vous pouvez donc choisir entre l’un et l’autre, mais pas les deux.

Il est possible qu’un rappel soit recommandé prochainement pour une meilleure protection, mais cela sera confirmé ultérieurement.

Le Vaccin PFIZER est efficace à 95%, 7 jours après la deuxième dose.

Le Vaccin JANSSEN est efficace à 68%, 14 jours après la seule et unique dose.

  • Un antécédent de syndrome inflammatoire multi-systémique pédiatrique (PIMS), une complication extrêmement rare qui a atteint certains enfants et adolescents à la suite d’une infection par le SARS-CoV-2.
  • Un antécédent de myocardite, de péricardite ou d’hépatite grave ayant nécessité une hospitalisation et faisant suite à une première injection de vaccin d’ARNm.
  • Une allergie à l’un des composants du vaccin, le PEG 2000 ou polyéthylène glycol, une situation qui concernerait à peu près 10 cas en France selon le ministre de la Santé.
  • Une allergie de type anaphylactique à un composant du vaccin ou une réaction anaphylactique survenue après une première dose de vaccin. 
  • Le vaccin Vaxzevria (AstraZeneca) est spécifiquement contre-indiqué chez les personnes qui ont présenté un syndrome thrombotique thrombocytopénique (STT) suite à la vaccination par Vaxzevria et chez des personnes ayant déjà présenté des épisodes de syndrome de fuite capillaire.
  • Le vaccin Janssen COVID-19 Vaccine est contre-indiqué chez les personnes ayant présenté des épisodes de syndrome de fuite capillaire.

Ni la grossesse, ni un « antécédent d’allergie à un antibiotique ou une piqûre d’abeille » ne constituent des contre-indications à la vaccination.

Les anticorps sont suffisants, mais on ne sait pas pendant combien de temps. La vaccination agit comme un rappel permettant de prolonger la durée de l’immunité, et de la renforcer.

OUI ! Il faut attendre 2 à 6 mois pour recevoir votre deuxième dose à partir du jour de prélèvement positif.

IDÉES REÇUES ET DÉSINFORMATION

Non. Les études génétiques sur le virus permettent de retracer son histoire. Elles démontrent irréfutablement que le virus n’a pas été fabriqué par manipulation dans un laboratoire.

Non. Il n’y a ni adjuvant, ni métaux lourds, ni d’aluminium dans les vaccins utilisés actuellement.

Non ! Lors de l’expression des gènes, l’information circule uniquement dans le sens ADN à ARN. Par ailleurs, il n’est pas non plus possible que le contenu des vaccins à ARNm entre dans le noyau de nos cellules où se trouve notre ADN. L’ARNm vient de l’ADN mais n’y retourne pas !

NON ! Ceci est une FAKE NEWS !

Il s’agit de nanoparticules lipidiques (voir la composition du vaccin).

Parce que tous les laboratoires se sont saisis du problème Covid-19, que les moyens (humains et financiers) ont été mis à disposition des chercheurs et que tous les laboratoires ont collaboré ensemble. D’autre part,  la technique de l’ARN messager est utilisée depuis plus de 40 ans, elle est aujourd’hui maîtrisée et la technique plus classique des vaccins à vecteur viral (Janssen) est aussi très connue et maîtrisée.

NON ! Ceci est une fake News !

La composition des vaccins ne présente aucun composant magnétique.

Le fait d’avoir un objet qui peut coller sur la peau s’explique par (dans certains cas) la tenue en sébum de votre peau.

Plus la peau sera grasse, plus les objets à face plate pourront coller.

Aussi, une réaction inflammatoire peut se produit sur le point d’injection du vaccin, donnant une peau plus chaude et donc plus encline à ces phénomènes de ventouse.

Les vaccins contre la Covid ont tous été testés. 

Cela fait bien longtemps que la phase de test est terminée. 

Les tests ont largement prouvé leur efficacité et leur innocuité.

NON ! De nombreux essais complets ont été réalisés spécifiquement sur des femmes enceintes pour la vaccination.

Aucun effet néfaste n’a été enregistré pour la mère ou pour le foetus.

C’est également le cas chez les hommes pour qui la qualité du sperme n’a connu aucune différence avant et après le vaccin.

Ceci est une fausse rumeur ! En cas d’effet indésirable grave, le laboratoire concerné sera tenu responsable à condition de prouver le lien de cause à effet du vaccin et de l’effet indésirables. (Ex: avoir un problème au genoux en tombant et dénoncer le vaccin).

Le laboratoire lui, doit apporter la preuve qu’il a tout à fait pour éviter cet effets indésirables grave, conformément à la réglementation européenne.

Non, le laboratoire n’est pas déchargé de sa responsabilité.

Oui, le victime peut être indemnisé le cas échant.

FAQ VACCINATION COVID-19

L’OBLIGATION VACCINALE

Retrouvez toutes les informations sur l’obligation vaccinale sur le site de la Direction du travail

INFORMATIONS GÉNÉRALES

Les vaccins sont des médicaments injectés à des personnes non malades pour stimuler leur système immunitaire et les protéger contre une maladie. Ils sont composés de microbes tué (virus ou bactéries) ou de fragments de microbes appelés « antigènes », que le système immunitaire va détecter comme « intrus » et chercher à éliminer. Lors de la vaccination, le système immunitaire apprend à reconnaitre l’antigène étranger et produit des anticorps spécifiques contre cet antigène. Par la suite, lorsque le vrai microbe pénètre dans l’organisme, il est immédiatement reconnu et neutralisé par les anticorps, la maladie ne se développe pas.

Se faire vacciner c’est se protéger soi contre des maladies dont les complications peuvent être graves voire mortelles mais c’est aussi protéger les autres. En évitant la maladie, on diminue le risque de contaminer les autres.

Lorsque qu’une part importante de la population est vaccinée, on parle d’immunité collective ou de groupe. Les personnes vaccinées, en ne participant pas à la propagation du virus, empêchent celui-ci de circuler, ce qui permet de protéger aussi ceux qui ne peuvent pas être vaccinés ou qui sont moins bien protégés par les vaccins.

La vaccination contre la Covid-19 est efficace à plus de 90% contre le risque de survenue de formes graves de la maladie. Elle permet d’éviter de développer des symptômes importants qui pourraient nécessiter une hospitalisation voire une réanimation.

Des premiers résultats d’études en cours permettent aussi de dire que les vaccins dont nous disposons permettent de diminuer la transmission du virus à d’autres personnes (nous sommes moins voire non contagieux pour les autres). Par conséquent, en nous vaccinant, nous nous protégeons de la maladie mais aussi les autres, en ne leur transmettant pas le virus. 

Se faire vacciner c’est se protéger contre la maladie et les complications qui peuvent être graves, voire mortelles.

La vaccination permet aussi de protéger les autres en diminuant le risque de les contaminer.

Toutes les personnes vaccinées empêchent la circulation du virus et protège ainsi ceux qui ne peuvent pas être vaccinés ou qui sont moins bien protégés par le vaccin (personnes âgées, personnes avec des longues maladies, etc)

Lorsqu’une part importante de la population est vaccinée, on parle d’immunité collective (ou de groupe).

OUI ! La vaccination est gratuite depuis son lancement en Polynésie française en janvier 2021.

Les centres de vaccination sont déployés sur Tahiti, Moorea et dans les îles éloignées

La liste complète est disponible sur le site internet de la Direction de la santé : https://www.service-public.pf/dsp/covid-19/vaccination-covid/

Des vaccinodromes sont également organisés régulièrement dans certaines communes.

OUI ! Tous les vaccinodromes déployés proposent les deux vaccins.

NON ! Pour des raisons de logistique, tous les centres ne peuvent pas proposer les deux vaccins.

Oui ! Cependant la vaccination va lui permettre de se protéger et d’éviter de développer la maladie avec des symptômes graves.

Oui ! Cependant la vaccination peut réduire sa charge virale et donc réduire ses risques d’être contagieuse ou de contaminer son entourage.

Oui ! Mais la vaccination diminue fortement le risque de développer une forme grave de la maladie, d’avoir des symptômes graves.

Il n’y a pas d’efficacité à 100 %, et chacun peut réagir différemment à la vaccination comme à la maladie. Une personne particulièrement fragile (maladies préexistantes, comorbidités, âge) peut faire une forme grave malgré la vaccination.

Dans la plupart des cas les gens vaccinés sont protégés des formes graves.

Car une personne vaccinée réduit sa charge virale en étant vaccinée et donc réduit ses risques d’être contagieuse ou de contaminer son entourage.

Nous pouvons tout à fait vacciner en période d’épidémie lorsqu’il y a « urgence »  à le faire. Nous sommes en situation d’urgence.

OUI. Au moins pour les vaccins ARNm que nous utilisons actuellement, les résultats d’études montrent une diminution de 80 à 90% du portage du virus (on a le virus, mais on n’est pas malade). Autrement dit, nous sommes moins contagieux et le risque de transmettre le virus à une autre personne est faible.
Il est fortement probable que les vaccins exercent un effet de groupe si les taux de couverture vaccinale sont suffisants, c’est-à-dire que plus nous sommes vaccinés moins le virus peut être transmis et donc le virus ne peux plus circuler dans la population.
La vaccination est non obligatoire depuis son lancement en Polynésie française en janvier 2021. Cependant, une loi de Pays a été votée (N°2021-37) le 23 aout 2021 relative à l’obligation de vaccination de certaines catégories de personnes.

Pour limiter la circulation du virus et protéger la collectivité (leur famille entre-autres) et pour limiter le nombre de formes graves et les arrêts de travail afin de préserver l’économie du pays.

Sur un million de non vaccinés, 132 personnes sont hospitalisées et 35 admises en réanimation. Sur un million de personnes partiellement vaccinées, 37 sont hospitalisées et huit en réanimation. Sur un million de personnes complètement vaccinées, 16 sont hospitalisées et quatre en réanimation. Conclusion : le vaccin des formes graves.

Voir graphe :

Le vaccin PFIZER doit être conservé dans des conditions plus compliquées que le vaccin JANSSEN (très haute température, délais de conservation court, etc.)

De plus, le vaccin PFIZER nécessite 2 doses, il est donc nécessaire de faire déplacer les équipes et la logistique deux fois.

Le vaccin JANSSEN est plus facile à conserver et à utiliser.

Pour autant ces deux vaccins sont très efficace pour se protéger de la covid-19.

PERSONNES CONCERNÉES

Pas dans l’immédiat. Je dois avant tout m’isoler pendant 10 jours après le dernier contact avec le cas positif. Si je ne développe pas de symptôme durant cette période, je dois réaliser un test PCR de contrôle avant ma sortie d’isolement. S’il est négatif, je peux alors aller me faire vacciner.

Oui, c’est possible après un délai de 2 mois suite à mon infection. En règle générale, il n’y a aucune contre-indication à vacciner quelqu’un contre une maladie qu’il a déjà eue.

À partir de l’âge de 12 ans avec le vaccin PFIZER et à partir de l’âge de 18 ans pour le vaccin JANSSEN.

Un mineur de 12 à 15 ans inclus dois venir avec une autorisation écrite d’un des deux parents ou d’un tuteur légal.

Un mineur de 16 à 17 ans inclus peux se faire vacciner sans autorisation parentale. La présence de ses parents ou d’un tuteur légal est recommandée mais n’est plus obligatoire.

Le vaccin Pfizer permet de vacciner les adolescents à partir de 12 ans car il a été évalué à partir de cet âge.

Le vaccin Janssen permet de vacciner les personnes à partir de 18 ans car il a été évalué à partir de cet âge. Pour les personnes en dessous de 18 ans, les études sont encore en cours d’évaluation de l’efficacité du vaccin.

Oui, avec le vaccin PFIZER uniquement (pas avec le vaccin JANSSEN), les femmes enceintes dès le premier trimestre peuvent se faire vacciner. Au départ contre-indiqué par mesure de précaution, nous disposons maintenant de données solides de sécurité pour pouvoir recommander la vaccination des femmes enceintes. La vaccination des femmes enceintes est recommandée.

OUI ! Un test négatif signifie que vous n’êtes pas porteur du virus. Vous pouvez vous donc vous faire vacciner.

OUI ! Un test négatif signifie que vous n’êtes pas porteur du virus. Vous pouvez vous donc vous faire vacciner.

LES VACCINS

Les vaccins contre la Covid-19 actuellement disponibles en Polynésie sont le PFIZER et le JANSSEN.

Le virus SARS-Cov-2 responsable de la maladie Covid-19 possède une protéine particulière, la protéine S, qui lui permet d’entrer dans les cellules. Lorsque le virus entre dans l’organisme pour la première fois, le système immunitaire détecte la présence de la protéine S, aussi appelée antigène, et commence à produire des anticorps. Pendant ce temps le virus se multiplie et provoque la maladie entrainant l’apparition de symptômes.

Le PFIZER est un vaccin dit à « ARN messager » ou « ARNm ». L’ARNm contenu dans le vaccin est le code qui permet au virus de fabriquer la protéine S. Le vaccin ne contient que ce code, aucune autre partie du virus. Lors de l’injection du vaccin, l’ARNm entre dans nos cellules qui vont elles-mêmes fabriquer la protéine S. La protéine S n’est qu’une partie du virus, elle ne rend pas malade. Le système immunitaire va détecter la protéine S, aussi appelée antigène, et produire des anticorps contre cette protéine. Par la suite, lorsque le virus SARS-Cov-2 pénètrera dans l’organisme, il sera immédiatement reconnu et neutralisé par les anticorps, il ne pourra pas se multiplier, la maladie ne se développera pas.

Le JANSSEN est un vaccin dit à vecteur viral. Le vaccin est composé d’un virus inoffensif (adénovirus 26) qui a été modifié pour contenir le gène permettant de fabriquer la protéine de pointe S du SARS-CoV-2. Le système immunitaire de la personne reconnaît la protéine S comme étrangère et produira des anticorps neutralisants et autres.

Les vaccins à ARNm et les vaccins reposant sur des vecteurs viraux ne contiennent pas d’adjuvant, leur structure même permettant de stimuler le système immunitaire inné.

Les vaccins qui nécessitent l’utilisation d’adjuvant sont les vaccins inactivés et les vaccins protéiques.

De nombreux laboratoires ont été solicités pour développer un vaccin contre la covid-19. Plusieurs vaccins utilisant des techniques différentes ont ainsi été développés (PFIZER, MODERNA, JANSSEN, ASTRAZENECA, etc).

En Polynésie, seuls les vaccins PFIZER et JANSSEN sont proposés.

Pfizer :

  • Antigène

ARNm COVID-19 (incorporé dans des nanoparticules lipidiques) : 30 microgrammes. Il s’agit de molécules d’acide ribonucléique (ARN) messager (ARNm) produit à l’aide d’une transcription in vitro sans cellule à partir des matrices d’ADN correspondantes, qui codent la protéine virale de spicule (appelée protéine Spike ou protéine S) du coronavirus SARS-CoV-2 responsable de la covid 19.

  • Excipients 

Lipides

  • ALC-0315
  • ALC-0159 Le composant ALC-0159 contient des molécules de polyéthylène glycol (PEG). Ces molécules, également présentes dans des produits cosmétiques et médicaments, pourraient être à l’origine des rares cas d’anaphylaxie (réaction allergique grave) qui ont été rapportés (fréquence d’environ un cas pour 100 000 vaccinations).
  • 1,2- distéaroyl-sn-glycéro-3-phosphocholine (DSPC)
  • Cholestérol

Autres composants

  • Chlorure de sodium
  • Chlorure de potassium
  • Phosphate monopotassique
  • Phosphate disodique dihydraté
  • Saccharose

JANSSEN :

Le vaccin consiste en un vecteur adénoviral recombinant de type 26 (Ad26.COV2-S) incapable de se répliquer et exprimant la glycoprotéine Spike* (encore appelée protéine S ou protéine de spicule) du coronavirus SARS-CoV-2. 

* : produit dans la lignée cellulaire PER.C6 TetR et par la technologie de l’ADN recombinant.

Une dose (0,5 mL) contient :

  1. Antigène
  • au moins de 8,92 log10 unités infectieuses (U.I.)

Le produit contient des organismes génétiquement modifiés (OGM).

  1. Excipients
  • Acide citrique monohydraté
  • Citrate trisodique dihydraté (uniquement pour les présentations en boîte de 10 flacons)
  • Éthanol (environ 2 mg par dose, soit une quantité faible sans effets notables)
  • 2-hydroxypropyl-β-cyclodextrine (HBCD)
  • Polysorbate 80
  • Chlorure de sodium (moins de 1 mmol de sodium par dose de 0,5 mL, soit 23 mg, c’est-à-dire qu’il peut être considéré comme étant « sans sodium »)
  • Hydroxyde de sodium

Acide chlorhydrique

Pour le Vaccin PFIZER, NON. Quand le schéma de vaccination doit s’effectuer en deux doses, il est recommandé de faire les deux doses en respectant l’intervalle de temps recommandé entre les deux. En effet, c’est après deux injections que l’on obtient la plus grande efficacité. Aussi, après deux doses, l’immunogénicité, c’est-à-dire notre capacité à réagir face au virus s’il venait à nous infecter par la suite, serait 10 à 100 fois supérieure, offrant une protection plus prolongée dans le temps.
Pour le Vaccin Janssen, OUI. Le schéma de vaccination s’effectue en une seule dose. Une seule dose est nécessaire pour obtenir la plus grande efficacité.

Comme tous les médicaments, les vaccins peuvent entraîner des effets indésirables.

Ils sont classiques, relativement fréquents et communs à tous les vaccins : douleur au point d’injection, fatigue, maux de tête, douleurs musculaires ou articulaires, frissons ou fièvre.

Ces effets secondaires/indésirables montrent que votre système immunitaire est en train de réagir pour se défendre contre l’antigène.

Ils sont souvent légers et ne durent que quelques jours.

Si des effets deviennent gênants ou importants, il faut le signaler à son médecin traitant qui déclarera la situation si nécéssaire à l’ARASS (Agence de régulation de l’action sanitaire et sociale).

C’est possible mais peu probable. Le SARS-Cov-2 mute régulièrement comme tous les virus, mais aucune mutation détectée à ce jour n’a affecté la protéine S (sur laquelle est basée le vaccin) au point d’altérer la capacité du corps humain à la reconnaître. Les mutations du SARS-Cov-2 sont surveillées de très près par les scientifiques, qui travailleront à l’adaptation du vaccin en cas de mutation importante.

Tous les vaccins autorisés en Polynésie française font l’objet d’un contrôle rigoureux pour s’assurer de leur efficacité et de leur sûreté. De plus, une fois disponible sur le Fenua, nous continuerons à les surveiller afin de s’assurer de leur sureté.

Pour en savoir plus sur la surveillance de ces vaccins en pratique, consulter le site de l’ARASS » avec le lien suivant : https://www.service-public.pf/arass/pharmacovigilance-des-vaccins-contre-la-covid-19/

Aucun vaccin à ARN n’avait été homologué avant le vaccin contre la Covid-19, mais ces vaccins font l’objet d’études depuis une vingtaine d’années et plusieurs essais cliniques y compris chez l’humain avaient déjà été menés.

Le Vaccin PFIZER et le vaccin JANSSEN sont les seuls proposés en Polynésie.

Vous pouvez donc choisir entre l’un et l’autre, mais pas les deux.

Il est possible qu’un rappel soit recommandé prochainement pour une meilleure protection, mais cela sera confirmé ultérieurement.

Le Vaccin PFIZER est efficace à 95%, 7 jours après la deuxième dose.

Le Vaccin JANSSEN est efficace à 68%, 14 jours après la seule et unique dose.

  • Un antécédent de syndrome inflammatoire multi-systémique pédiatrique (PIMS), une complication extrêmement rare qui a atteint certains enfants et adolescents à la suite d’une infection par le SARS-CoV-2.
  • Un antécédent de myocardite, de péricardite ou d’hépatite grave ayant nécessité une hospitalisation et faisant suite à une première injection de vaccin d’ARNm.
  • Une allergie à l’un des composants du vaccin, le PEG 2000 ou polyéthylène glycol, une situation qui concernerait à peu près 10 cas en France selon le ministre de la Santé.
  • Une allergie de type anaphylactique à un composant du vaccin ou une réaction anaphylactique survenue après une première dose de vaccin. 
  • Le vaccin Vaxzevria (AstraZeneca) est spécifiquement contre-indiqué chez les personnes qui ont présenté un syndrome thrombotique thrombocytopénique (STT) suite à la vaccination par Vaxzevria et chez des personnes ayant déjà présenté des épisodes de syndrome de fuite capillaire.
  • Le vaccin Janssen COVID-19 Vaccine est contre-indiqué chez les personnes ayant présenté des épisodes de syndrome de fuite capillaire.

Ni la grossesse, ni un « antécédent d’allergie à un antibiotique ou une piqûre d’abeille » ne constituent des contre-indications à la vaccination.

Les anticorps sont suffisants, mais on ne sait pas pendant combien de temps. La vaccination agit comme un rappel permettant de prolonger la durée de l’immunité, et de la renforcer.

OUI ! Il faut attendre 2 à 6 mois pour recevoir votre deuxième dose à partir du jour de prélèvement positif.

IDÉES REÇUES ET DÉSINFORMATION

Non. Les études génétiques sur le virus permettent de retracer son histoire. Elles démontrent irréfutablement que le virus n’a pas été fabriqué par manipulation dans un laboratoire.

Non. Il n’y a ni adjuvant, ni métaux lourds, ni d’aluminium dans les vaccins utilisés actuellement.

Non ! Lors de l’expression des gènes, l’information circule uniquement dans le sens ADN à ARN. Par ailleurs, il n’est pas non plus possible que le contenu des vaccins à ARNm entre dans le noyau de nos cellules où se trouve notre ADN. L’ARNm vient de l’ADN mais n’y retourne pas !

NON ! Ceci est une FAKE NEWS !

Il s’agit de nanoparticules lipidiques (voir la composition du vaccin).

Parce que tous les laboratoires se sont saisis du problème Covid-19, que les moyens (humains et financiers) ont été mis à disposition des chercheurs et que tous les laboratoires ont collaboré ensemble. D’autre part,  la technique de l’ARN messager est utilisée depuis plus de 40 ans, elle est aujourd’hui maîtrisée et la technique plus classique des vaccins à vecteur viral (Janssen) est aussi très connue et maîtrisée.

NON ! Ceci est une fake News !

La composition des vaccins ne présente aucun composant magnétique.

Le fait d’avoir un objet qui peut coller sur la peau s’explique par (dans certains cas) la tenue en sébum de votre peau.

Plus la peau sera grasse, plus les objets à face plate pourront coller.

Aussi, une réaction inflammatoire peut se produit sur le point d’injection du vaccin, donnant une peau plus chaude et donc plus encline à ces phénomènes de ventouse.

Les vaccins contre la Covid ont tous été testés. 

Cela fait bien longtemps que la phase de test est terminée. 

Les tests ont largement prouvé leur efficacité et leur innocuité.

NON ! De nombreux essais complets ont été réalisés spécifiquement sur des femmes enceintes pour la vaccination.

Aucun effet néfaste n’a été enregistré pour la mère ou pour le foetus.

C’est également le cas chez les hommes pour qui la qualité du sperme n’a connu aucune différence avant et après le vaccin.

Ceci est une fausse rumeur ! En cas d’effet indésirable grave, le laboratoire concerné sera tenu responsable à condition de prouver le lien de cause à effet du vaccin et de l’effet indésirables. (Ex: avoir un problème au genoux en tombant et dénoncer le vaccin).

Le laboratoire lui, doit apporter la preuve qu’il a tout à fait pour éviter cet effets indésirables grave, conformément à la réglementation européenne.

Non, le laboratoire n’est pas déchargé de sa responsabilité.

Oui, le victime peut être indemnisé le cas échant.