Annuaire des structures de la Direction de la santé
La vaccination mobile s’organise dans les quartiers de Pirae
Le Président maire de Pirae, Edouard Fritch, s’est rendu ce mardi 18 mai à la salle omnisport – Vaipahu – dans la vallée de Hamuta à l’occasion du lancement du programme de la vaccination mobile dans les quartiers de la commune.
Durant quatre jours, la vaccination à Pirae s’organise dans les quartiers. Après la mise en place depuis le 15 février dernier du centre de vaccination fixe de Pirae dans les anciens locaux de la crèche municipale, la Direction de la santé, avec la contribution de la commune de Pirae, s’engage dans la mise en œuvre d’un programme communautaire de vaccination au sein des quartiers. Dans sa stratégie vaccinale, le Pays ouvre le principe de rendre la vaccination plus accessible dans les quartiers enclavés en misant sur la proximité.
Cette campagne de vaccination mobile organisée à Pirae sur des sites implantés au cœur des quartiers privilégie le vaccin unidose JANSSEN pour des raisons logistiques.
La commune invite les volontaires, des personnes de 18 ans et plus, à se manifester en téléphonant le 444 101 (numéro vert GRATUIT) ou le 40 50 83 20 pour se pré-enregistrer sur une liste qui sera traitée par les équipes médicales présentes à chaque lieux et dates de rendez-vous. Ouvert à partir de 14h00 jusqu’en fin de journée selon la participation de la population, cette action vient en complément du centre de vaccination fixe pour permettre aux familles des quartiers démunis de transport de recevoir le vaccin tout près de chez eux.
Les élus de proximité accompagnés des guides sanitaires sillonnent les quartiers prioritaires depuis week-end dernier et cette semaine encore pour informer la population du bien-fondé de la vaccination, utile pour atteindre une immunité collective plus rapidement et participer à la réouverture nécessaire des frontières du fenua.
Le centre de vaccination fixe de Pirae situé dans les anciens locaux de la crèche municipale reste ouvert pour accueillir les volontaires au vaccin Pfizer avec deux doses (personnes âgées de 16 ans à plus), tous les jours de la semaine de 8h00 à 12h00 et 12h45 à 15h00.
Aujourd’hui dans la vallée de Vaipahu, 94 doses ont pu être délivrées en trois heure de temps par les équipes de la Direction de la santé.
A l’issue de cette campagne de vaccination mobile programmée sur quatre jours, un bilan du terrain sera réalisé pour convenir des actions à poursuivre dans l’intérêt de la communauté.
La vaccination mobile s’organise dans les quartiers de Pirae
Le Président maire de Pirae, Edouard Fritch, s’est rendu ce mardi 18 mai à la salle omnisport – Vaipahu – dans la vallée de Hamuta à l’occasion du lancement du programme de la vaccination mobile dans les quartiers de la commune.
Durant quatre jours, la vaccination à Pirae s’organise dans les quartiers. Après la mise en place depuis le 15 février dernier du centre de vaccination fixe de Pirae dans les anciens locaux de la crèche municipale, la Direction de la santé, avec la contribution de la commune de Pirae, s’engage dans la mise en œuvre d’un programme communautaire de vaccination au sein des quartiers. Dans sa stratégie vaccinale, le Pays ouvre le principe de rendre la vaccination plus accessible dans les quartiers enclavés en misant sur la proximité.
Cette campagne de vaccination mobile organisée à Pirae sur des sites implantés au cœur des quartiers privilégie le vaccin unidose JANSSEN pour des raisons logistiques.
La commune invite les volontaires, des personnes de 18 ans et plus, à se manifester en téléphonant le 444 101 (numéro vert GRATUIT) ou le 40 50 83 20 pour se pré-enregistrer sur une liste qui sera traitée par les équipes médicales présentes à chaque lieux et dates de rendez-vous. Ouvert à partir de 14h00 jusqu’en fin de journée selon la participation de la population, cette action vient en complément du centre de vaccination fixe pour permettre aux familles des quartiers démunis de transport de recevoir le vaccin tout près de chez eux.
Les élus de proximité accompagnés des guides sanitaires sillonnent les quartiers prioritaires depuis week-end dernier et cette semaine encore pour informer la population du bien-fondé de la vaccination, utile pour atteindre une immunité collective plus rapidement et participer à la réouverture nécessaire des frontières du fenua.
Le centre de vaccination fixe de Pirae situé dans les anciens locaux de la crèche municipale reste ouvert pour accueillir les volontaires au vaccin Pfizer avec deux doses (personnes âgées de 16 ans à plus), tous les jours de la semaine de 8h00 à 12h00 et 12h45 à 15h00.
Aujourd’hui dans la vallée de Vaipahu, 94 doses ont pu être délivrées en trois heure de temps par les équipes de la Direction de la santé.
A l’issue de cette campagne de vaccination mobile programmée sur quatre jours, un bilan du terrain sera réalisé pour convenir des actions à poursuivre dans l’intérêt de la communauté.
Inauguration du centre de santé et de prévention de Taravao et remise du troisième label Fare Ea
Le ministre de la Santé, Jacques Raynal, a officiellement inauguré, mardi après-midi à Taravao, le centre de santé et de prévention de la presqu’île et a, à cette occasion, décerné à ce centre le troisième label Fare Ea. La cérémonie s’est déroulée en présence également du Vice-Président, Tearii Te Moana Alpha, et du représentant de l’Etat, chef des subdivisions des îles du Vent et des îles Sous-le-Vent, Guy Fitzer.
Le centre de santé et de prévention de la presqu’île a en fait ouvert ses portes en juin 2020. Ce projet a réuni tous les services de prévention et de santé dans un même lieu, à proximité de l’hôpital de Taravao et de la maison de retraite Fare matahiapo.
L’objectif principal de cette nouvelle construction, avec un financement dans le cadre du Contrat de projets Etat-Pays, était la réunion des différents services de soins de santé primaires (SSP) avec le relogement des services de consultations médicales et de prévention, le centre d’hygiène dentaire, l’hygiène scolaire, le centre de protection infantile et le centre de protection maternelle de la Direction de la santé.
Dès son ouverture, le centre s’est lancé dans une démarche d’obtention du label Fare Ea, gage de qualité des services rendus à la population de proximité, qui rentre dans le cadre du programme de modernisation des services de santé primaires 2019-2023 en Polynésie.
Pour l’obtenir, la structure de santé s’engage volontairement dans un processus d’amélioration de qualité et d’efficacité des soins, reconnaissant la mise en œuvre d’actions à la fois préventives, curatives, promotionnelles de santé au sein d’un réseau de partenaires locaux, respectant les concepts des services de santé primaires définis par l’organisation mondiale de la santé (OMS) et prenant en compte les déterminants de santé de la population.
Le centre a concrétisé ce projet de labellisation, avec l’accompagnement technique de la cellule d’expertise SSP de la Direction de la santé, en ayant atteint les objectifs suivants :
- l’amélioration de la qualité de travail des professionnels dans un espace aménagé et choisi par les professionnels (23 personnes, au total, y travaillent) ;
- l’amélioration de l’accueil des patients :
- avec des espaces dédiés pour l’apprentissage de la culture au sol de végétaux comestibles ;
- par la détente dans des salles d’attente individuelle, avec des espaces aménagés pour écouter des émissions de prévention à la télévision ;
- par la possibilité d’effectuer des exercices musculaires sur des pédaliers à proximité des salles d’attente ;
- la mutualisation des interventions auprès d’un même public: l’aménagement d’une salle de classe a permis aux professionnels d’adapter leurs missions de prévention auprès des élèves scolarisés de la presqu’île. En moyenne, 12 élèves par classe fréquentent le centre de santé et de prévention pour des soins dentaires, d’hygiène scolaire et d’hygiène alimentaire.
- la création d’un service d’archives médicales regroupant toutes les données médicales de l’hôpital de Taravao et du centre de santé et de prévention de la presqu’île, l’objectif, au final, étant de dématérialiser toutes les données archivées et créer un seul dossier patient. A ce jour, plus de 100 000 dossiers scolaires ont été scannés, archivés par un agent fonctionnaire avec l’aide de deux CAE à temps plein.
Dans ce contexte favorable, les professionnels sont impliqués, sur un même site, dans toutes les activités centrées sur la prise en charge des patients et de leur famille, de la conception d’un enfant, avec son suivi scolaire, et jusqu’à la personne âgée.
Le ministre de la Santé, en charge de la prévention, a donc remis ce troisième label Fare Ea – après l’infirmerie de Rimatara et le dispensaire de Papara – en inaugurant ce nouveau centre avec le panneau symbolique du label. Cela constitue une belle reconnnaisance pour les équipes de santé sur place, et c’est également une fierté pour les habitants de la presqu’île.
Inauguration du centre de santé et de prévention de Taravao et remise du troisième label Fare Ea
Le ministre de la Santé, Jacques Raynal, a officiellement inauguré, mardi après-midi à Taravao, le centre de santé et de prévention de la presqu’île et a, à cette occasion, décerné à ce centre le troisième label Fare Ea. La cérémonie s’est déroulée en présence également du Vice-Président, Tearii Te Moana Alpha, et du représentant de l’Etat, chef des subdivisions des îles du Vent et des îles Sous-le-Vent, Guy Fitzer.
Le centre de santé et de prévention de la presqu’île a en fait ouvert ses portes en juin 2020. Ce projet a réuni tous les services de prévention et de santé dans un même lieu, à proximité de l’hôpital de Taravao et de la maison de retraite Fare matahiapo.
L’objectif principal de cette nouvelle construction, avec un financement dans le cadre du Contrat de projets Etat-Pays, était la réunion des différents services de soins de santé primaires (SSP) avec le relogement des services de consultations médicales et de prévention, le centre d’hygiène dentaire, l’hygiène scolaire, le centre de protection infantile et le centre de protection maternelle de la Direction de la santé.
Dès son ouverture, le centre s’est lancé dans une démarche d’obtention du label Fare Ea, gage de qualité des services rendus à la population de proximité, qui rentre dans le cadre du programme de modernisation des services de santé primaires 2019-2023 en Polynésie.
Pour l’obtenir, la structure de santé s’engage volontairement dans un processus d’amélioration de qualité et d’efficacité des soins, reconnaissant la mise en œuvre d’actions à la fois préventives, curatives, promotionnelles de santé au sein d’un réseau de partenaires locaux, respectant les concepts des services de santé primaires définis par l’organisation mondiale de la santé (OMS) et prenant en compte les déterminants de santé de la population.
Le centre a concrétisé ce projet de labellisation, avec l’accompagnement technique de la cellule d’expertise SSP de la Direction de la santé, en ayant atteint les objectifs suivants :
- l’amélioration de la qualité de travail des professionnels dans un espace aménagé et choisi par les professionnels (23 personnes, au total, y travaillent) ;
- l’amélioration de l’accueil des patients :
- avec des espaces dédiés pour l’apprentissage de la culture au sol de végétaux comestibles ;
- par la détente dans des salles d’attente individuelle, avec des espaces aménagés pour écouter des émissions de prévention à la télévision ;
- par la possibilité d’effectuer des exercices musculaires sur des pédaliers à proximité des salles d’attente ;
- la mutualisation des interventions auprès d’un même public: l’aménagement d’une salle de classe a permis aux professionnels d’adapter leurs missions de prévention auprès des élèves scolarisés de la presqu’île. En moyenne, 12 élèves par classe fréquentent le centre de santé et de prévention pour des soins dentaires, d’hygiène scolaire et d’hygiène alimentaire.
- la création d’un service d’archives médicales regroupant toutes les données médicales de l’hôpital de Taravao et du centre de santé et de prévention de la presqu’île, l’objectif, au final, étant de dématérialiser toutes les données archivées et créer un seul dossier patient. A ce jour, plus de 100 000 dossiers scolaires ont été scannés, archivés par un agent fonctionnaire avec l’aide de deux CAE à temps plein.
Dans ce contexte favorable, les professionnels sont impliqués, sur un même site, dans toutes les activités centrées sur la prise en charge des patients et de leur famille, de la conception d’un enfant, avec son suivi scolaire, et jusqu’à la personne âgée.
Le ministre de la Santé, en charge de la prévention, a donc remis ce troisième label Fare Ea – après l’infirmerie de Rimatara et le dispensaire de Papara – en inaugurant ce nouveau centre avec le panneau symbolique du label. Cela constitue une belle reconnnaisance pour les équipes de santé sur place, et c’est également une fierté pour les habitants de la presqu’île.
Vaccination anti covid-19 avec le vaccin Janssen au dispensaire des Tuamotu-Gambier
Au sein de la Polynésie française (4 000 km² de terres émergées réparties sur un espace maritime de plus de 4 000 000 de km²), l’archipel des Tuamotu-Gambier se caractérise par son étendue (78 iles éparses dont 45 habitées), et une population de 16 881 habitants (6% de la population polynésienne), avec un morcellement disparate sur ces 45 atolls habités (16% d’atolls de moins de 100 habitants, 39% d’atolls de moins de 300 habitants, 16% d’atolls de moins de 500 habitants, 21% d’atolls de moins de 1 000 habitants et 8% d’atolls de plus de 1 000 habitants). Trente-trois îles sont équipées d’infrastructures aéroportuaires et douze atolls sont dépourvus de pistes d’aviation.
Au vu de cette dispersion géographique et démographique, le centre médical de Papeete (DTG) installé dans les locaux du centre d’hygiène et salubrité publique à Mamao (immeuble Toriri) composé notamment de personnel médical itinérant (7 médecins, 3 sages-femmes, 4 infirmiers, 3 adjoints de soins, 14 auxiliaires de santé publique) a reçu, en 2020, 4911 paumotu venus consulter au DTG, dont 3452 patients évasanés à l’hôpital du Taaone qui retournaient dans leur atoll.
Il a donc été décidé d’ouvrir, et ce depuis le lundi 17 mai, un centre vaccinal anti-covid 19 (vaccin Janssen), au DTG de Papeete pour vacciner en priorité ces évasanés avant leur départ de Tahiti. Puis il sera ensuite offert, à tous les résidents paumotu en déplacement à Papeete, la possibilité d’être vacciné en prenant un rendez-vous au DTG, du lundi à vendredi de 7h30 à 15h. Les contacts, par téléphone, pour cela, sont les suivants: 40 46 07 00 et le 40 46 07 07.
Vaccination anti covid-19 avec le vaccin Janssen au dispensaire des Tuamotu-Gambier
Au sein de la Polynésie française (4 000 km² de terres émergées réparties sur un espace maritime de plus de 4 000 000 de km²), l’archipel des Tuamotu-Gambier se caractérise par son étendue (78 iles éparses dont 45 habitées), et une population de 16 881 habitants (6% de la population polynésienne), avec un morcellement disparate sur ces 45 atolls habités (16% d’atolls de moins de 100 habitants, 39% d’atolls de moins de 300 habitants, 16% d’atolls de moins de 500 habitants, 21% d’atolls de moins de 1 000 habitants et 8% d’atolls de plus de 1 000 habitants). Trente-trois îles sont équipées d’infrastructures aéroportuaires et douze atolls sont dépourvus de pistes d’aviation.
Au vu de cette dispersion géographique et démographique, le centre médical de Papeete (DTG) installé dans les locaux du centre d’hygiène et salubrité publique à Mamao (immeuble Toriri) composé notamment de personnel médical itinérant (7 médecins, 3 sages-femmes, 4 infirmiers, 3 adjoints de soins, 14 auxiliaires de santé publique) a reçu, en 2020, 4911 paumotu venus consulter au DTG, dont 3452 patients évasanés à l’hôpital du Taaone qui retournaient dans leur atoll.
Il a donc été décidé d’ouvrir, et ce depuis le lundi 17 mai, un centre vaccinal anti-covid 19 (vaccin Janssen), au DTG de Papeete pour vacciner en priorité ces évasanés avant leur départ de Tahiti. Puis il sera ensuite offert, à tous les résidents paumotu en déplacement à Papeete, la possibilité d’être vacciné en prenant un rendez-vous au DTG, du lundi à vendredi de 7h30 à 15h. Les contacts, par téléphone, pour cela, sont les suivants: 40 46 07 00 et le 40 46 07 07.
Mission d’évaluation du fonctionnement de la valise de Télémédecine à KATIU
Dès la fourniture au poste de santé de KATIU d’un ordinateur de bureau en début d’année 2020, puis d’un VINIBOX d’accès à l’internet à la mi année 2020, la SSTG a sollicité Nati-Medex pour installer une valise de télémédecine PARSYS en fin d’année 2020.
Après un trimestre de fonctionnement de cette connexion numérique, il a été décidé de retourner sur l’atoll pour évaluer son fonctionnement quotidien, d’où le déplacement du subdivisionnaire santé des TG (Dr François LAUDON) du 26 au 28 avril 2021. Pour cette mission, s’est greffé l’équipe médicale de la cellule tuberculose (Bureau Veille Sanitaire, BVS) pour une enquête de cluster de cas de tuberculose.
L’auxiliaire de santé publique Noemie OPUHI utilise cette valise PARYS fréquemment plusieurs fois par semaine en liaison avec le centre médial de MAKEMO.
Cette liaison numérique avec MAKEMO sera quotidienne dès le mois prochain. Il est aussi envisagé en cas d’absence du médecin de MAKEMO le lien numérique avec les médecins du dispensaire paumotu de Tahiti (DTG). La connexion avec le SAMU de TAHITI sera opérationnelle en juin prochain.
Dr Valentine DEGLAIRE et ses 2 infirmières (Laurence et Anais) en mission à KATIU pour la surveillance de la tuberculose pourront suivre ensuite à distance les patients grâce à cette valise de télémédecine. Il a été décidé que les cellules spécialisées de promotion de la santé (tuberculose, RAA, surveillance des cancers, …) seront reliés à ce réseau de télémédecine.
La finalité de cet outil numérique permettant le suivi médical à distance est donc atteinte.
Mission d’évaluation du fonctionnement de la valise de Télémédecine à KATIU
Dès la fourniture au poste de santé de KATIU d’un ordinateur de bureau en début d’année 2020, puis d’un VINIBOX d’accès à l’internet à la mi année 2020, la SSTG a sollicité Nati-Medex pour installer une valise de télémédecine PARSYS en fin d’année 2020.
Après un trimestre de fonctionnement de cette connexion numérique, il a été décidé de retourner sur l’atoll pour évaluer son fonctionnement quotidien, d’où le déplacement du subdivisionnaire santé des TG (Dr François LAUDON) du 26 au 28 avril 2021. Pour cette mission, s’est greffé l’équipe médicale de la cellule tuberculose (Bureau Veille Sanitaire, BVS) pour une enquête de cluster de cas de tuberculose.
L’auxiliaire de santé publique Noemie OPUHI utilise cette valise PARYS fréquemment plusieurs fois par semaine en liaison avec le centre médial de MAKEMO.
Cette liaison numérique avec MAKEMO sera quotidienne dès le mois prochain. Il est aussi envisagé en cas d’absence du médecin de MAKEMO le lien numérique avec les médecins du dispensaire paumotu de Tahiti (DTG). La connexion avec le SAMU de TAHITI sera opérationnelle en juin prochain.
Dr Valentine DEGLAIRE et ses 2 infirmières (Laurence et Anais) en mission à KATIU pour la surveillance de la tuberculose pourront suivre ensuite à distance les patients grâce à cette valise de télémédecine. Il a été décidé que les cellules spécialisées de promotion de la santé (tuberculose, RAA, surveillance des cancers, …) seront reliés à ce réseau de télémédecine.
La finalité de cet outil numérique permettant le suivi médical à distance est donc atteinte.
Second atelier « Restauration de la santé et développement communal en post-COVID »
Photo : Présidence
Après une première édition le 16 mars dernier, un nouvel atelier organisé par la Direction de la Santé sur le thème « La restauration de la santé et le développement communal en post-COVID » s’est tenu mardi 20 avril 2021 de 09h00 à 11h30.
Cette seconde session a eu lieu en salle du Gouvernement située dans l’ancien bâtiment de la Présidence à destination des sept communes des Îles du Vent n’ayant pas pu participer à la première session.
En effet, c’est dans le contexte de son plan de mobilisation communautaire « COVID Amui » que la Direction de la Santé a souhaité partager avec les communes, acteurs institutionnels les plus proches des habitants, certains dispositifs de promotion de la santé leur permettant de contribuer à restaurer la santé des familles polynésiennes afin qu’elles puissent participer activement à la relance économique du Pays.
Peu coûteux et faciles à mettre en œuvre, ces dispositifs ne visent pas seulement la réduction de maladies ou de symptômes, mais la création d’environnements quotidiens ayant une influence positive sur la santé. L’objectif à terme est d’améliorer la qualité de vie de la population, car une population plus épanouie, bien intégrée dans son environnement et bien dans son corps pourra davantage s’impliquer dans la réalisation de ses projets personnels, familiaux et professionnels, et ainsi contribuer au développement de la commune et du Pays.
En ce sens, la santé ne représente donc pas un objectif à atteindre, mais bien une ressource qui va permettre de faire face aux conséquences sociales et économiques non négligeables provoquées par la COVID-19.
Des communes ont déjà sauté le pas : suite au premier atelier, la commune de Papara a par exemple souhaité bénéficier d’une présentation des dispositifs de promotion de la santé à l’ensemble du personnel communal. La commune de Moorea-Maiao quant à elle, a organisé le premier rassemblement de son Comité local de santé le 24 mars 2021 en présence de représentants de l’État et du Pays, d’élus et de personnels des services communaux ou encore des associations.
Des ateliers techniques d’approfondissement seront proposés aux communes des Îles du Vent au cours des mois de mai et juin, tandis qu’un rassemblement des communes plus éloignées est prévu en parallèle.
Source officielle : https://www.presidence.pf/deuxieme-session-des-ateliers-sur-la-restauration-de-la-sante-et-le-developpement-communal-en-post-covid/
Second atelier « Restauration de la santé et développement communal en post-COVID »
Photo : Présidence
Après une première édition le 16 mars dernier, un nouvel atelier organisé par la Direction de la Santé sur le thème « La restauration de la santé et le développement communal en post-COVID » s’est tenu mardi 20 avril 2021 de 09h00 à 11h30.
Cette seconde session a eu lieu en salle du Gouvernement située dans l’ancien bâtiment de la Présidence à destination des sept communes des Îles du Vent n’ayant pas pu participer à la première session.
En effet, c’est dans le contexte de son plan de mobilisation communautaire « COVID Amui » que la Direction de la Santé a souhaité partager avec les communes, acteurs institutionnels les plus proches des habitants, certains dispositifs de promotion de la santé leur permettant de contribuer à restaurer la santé des familles polynésiennes afin qu’elles puissent participer activement à la relance économique du Pays.
Peu coûteux et faciles à mettre en œuvre, ces dispositifs ne visent pas seulement la réduction de maladies ou de symptômes, mais la création d’environnements quotidiens ayant une influence positive sur la santé. L’objectif à terme est d’améliorer la qualité de vie de la population, car une population plus épanouie, bien intégrée dans son environnement et bien dans son corps pourra davantage s’impliquer dans la réalisation de ses projets personnels, familiaux et professionnels, et ainsi contribuer au développement de la commune et du Pays.
En ce sens, la santé ne représente donc pas un objectif à atteindre, mais bien une ressource qui va permettre de faire face aux conséquences sociales et économiques non négligeables provoquées par la COVID-19.
Des communes ont déjà sauté le pas : suite au premier atelier, la commune de Papara a par exemple souhaité bénéficier d’une présentation des dispositifs de promotion de la santé à l’ensemble du personnel communal. La commune de Moorea-Maiao quant à elle, a organisé le premier rassemblement de son Comité local de santé le 24 mars 2021 en présence de représentants de l’État et du Pays, d’élus et de personnels des services communaux ou encore des associations.
Des ateliers techniques d’approfondissement seront proposés aux communes des Îles du Vent au cours des mois de mai et juin, tandis qu’un rassemblement des communes plus éloignées est prévu en parallèle.
Source officielle : https://www.presidence.pf/deuxieme-session-des-ateliers-sur-la-restauration-de-la-sante-et-le-developpement-communal-en-post-covid/
Inauguration du nouveau scanner de l’hôpital de Taiohae
Photo : Marie CURVAT
Le vendredi 16 avril, le Président de la Polynésie française, Édouard FRITCH et le Haut-commissaire, Dominique SORAIN ont inauguré le nouveau scanner de l’hôpital de Taiohae qui permettra d’améliorer l’accès aux soins aux habitants des îles Marquises.
Un scanner Optima 540 GE vient d’être installé à l’hôpital de Taiohae. Cette installation qui desservira l’ensemble de l’archipel des Marquises répond à un double objectif : disposer d’un outil diagnostic performant qui permette une prise en charge rapide et sur place des patients et diminuer le nombre d’Evasan.
Les images seront acheminées en haut débit sur l’hôpital d’Uturoa afin d’être lues par les radiologues de l’établissement puis leur diagnostic établi sera ensuite communiqué à l’équipe médicale de Taiohae.
Le scanner a nécessité le réaménagement de deux salles de l’hôpital pour lequel les travaux coordonnés par la Direction de l’Equipement ont débuté en décembre. Le coût total des travaux avec la climatisation est de 35 100 000 FCFP.
L’appareil commandé par le service biomédical de la Direction de la Santé a été livré le 23 février et installé par Assystem fin mars. Le coût du scanner et de son environnement technique est de 60 325 389 FCFP.
La commission de sécurité a procédé le 22 mars à toutes les vérifications préalables à la visite de conformité par l’ARASS et la CPS le 6 avril 2020.
Inauguration du nouveau scanner de l’hôpital de Taiohae
Photo : Marie CURVAT
Le vendredi 16 avril, le Président de la Polynésie française, Édouard FRITCH et le Haut-commissaire, Dominique SORAIN ont inauguré le nouveau scanner de l’hôpital de Taiohae qui permettra d’améliorer l’accès aux soins aux habitants des îles Marquises.
Un scanner Optima 540 GE vient d’être installé à l’hôpital de Taiohae. Cette installation qui desservira l’ensemble de l’archipel des Marquises répond à un double objectif : disposer d’un outil diagnostic performant qui permette une prise en charge rapide et sur place des patients et diminuer le nombre d’Evasan.
Les images seront acheminées en haut débit sur l’hôpital d’Uturoa afin d’être lues par les radiologues de l’établissement puis leur diagnostic établi sera ensuite communiqué à l’équipe médicale de Taiohae.
Le scanner a nécessité le réaménagement de deux salles de l’hôpital pour lequel les travaux coordonnés par la Direction de l’Equipement ont débuté en décembre. Le coût total des travaux avec la climatisation est de 35 100 000 FCFP.
L’appareil commandé par le service biomédical de la Direction de la Santé a été livré le 23 février et installé par Assystem fin mars. Le coût du scanner et de son environnement technique est de 60 325 389 FCFP.
La commission de sécurité a procédé le 22 mars à toutes les vérifications préalables à la visite de conformité par l’ARASS et la CPS le 6 avril 2020.
Missions aux Tuamotu-Gambier pour l’installation de la valise de télémédecine PARSYS
Le subdivisionnaire santé des Tuamotu Gambier (Dr François LAUDON) et le gérant de la société NATI-MEDEX se sont déplacés à Rangiroa puis Makatea pour l’installation de la valise de télémédecine PARSYS.
Au vu de sa dispersion géographique et démographique (78 iles éparses dont 45 habitées, 740 km² de terres émergées sur une superficie maritime de 2 000 000 km²; douze (12) atolls sans piste d’aviation) la S.S.T.G fait figure d’exception dans le paysage sanitaire polynésien. L’organisation des soins dans l’archipel des Tuamotu-Gambier n’est pas conventionnelle en regard des référentiels de France ou d’Europe.
Dans les années 50, la médecine dite coloniale avait imaginé un système de soins mobiles, en organisant des tournées médicales. Aujourd’hui, elles sont toujours maintenues mais avec une évolution du système de santé centré sur les agents paramédicaux. Très peu d’atolls sont médicalisés. Aujourd’hui, cinq (5) atolls sont médicalisés en permanence (Rangiroa, Makemo, Hao, Rikitea et Fakarava). Douze (12) infirmeries sont placées dans les atolls de moins de 700 habitants. (Takaroa, Takapoto, Ahe, Manihi, Anaa, Napuka, Arutua, Reao, Tikehau, Tiputa, Apataki, Kaukura). Vingt-six (26) atolls sont tenus par des auxiliaires de santé publique (ASP) qui ont reçu une formation initiale courte d’un mois.
Afin de réduire cette inégalité d’accès aux soins, la Direction de la santé a décidé de s’équiper de valises de télémédecine de la société PARSYS représentée localement par la société NATI MEDEX. Cette société développe et commercialise, dans le monde entier des solutions logicielles et matérielles de télémédecine, sécurisées et intuitives, au service des patients et des professionnels de santé. En fin 2020, la Direction de la santé a installé une dizaine de valises PARSYS dans les iles dépourvus de médecins.
Ce projet pilote, en particulier aux Tuamotu-Gambier a permis de sortir les auxiliaires de santé publique (A.S.P) de l’obscurité technologique vers la lumière sanitaire. Le matériel technique de l’ASP se limitait hier au stéthoscope, au tensiomètre, au thermomètre et empêchait parfois l’ASP à transmettre les paramètres vitaux du malade au médecin de Papeete joint par téléphone. La mise à disposition récente de cette valise PARSYS de haute technologie numérique (stéthoscope électronique, ECG compact, tensiomètre, oxymètre de pouls, glycémie capillaire, échographie, visioconférence cryptée et sécurisée) a permis une excellente coordination entre l’ASP isolé, le médecin référent de la commune et le SMUR de Tahiti. Le médecin réceptionnant en instantané les constantes vitales et surtout voyant le patient en « direct » lui permet de choisir les moyens d’actions adaptés au contexte du malade. En définitive, pour le personnel non médical basé en poste isolé, c’est une assistance aux soins, importante dans les gestes à assurer dans les situations d’urgence vitale, dans les déclenchements des évacuations sanitaires. Le contact quotidien entre le soignant isolé et le médecin permet une formation adaptée continue et de rompre son isolement intellectuel.
Du 24 au 26 mars, se joignant à une mission planifiée par le ministère de l’équipement (réception des travaux de la darse de MAKATEA), Dr François LAUDON, Hervé VERGAUD et Stéphane MELLADO ont d’abord formé les professionnels de santé du centre médical d’AVATORU sur la station de télémédecine puis se sont déplacé à MAKATEA pour installer la valise PARSYS au poste de santé. L’A.S.P Mehotea VAITAHE s’est vite approprié l’outil numérique, a réalisé avec l’aide du médecin de Rangiroa une échographie obstétricale d’une jeune parturiente. Le débit INTERNET (ViniBox, abonnement MOTU CONFORT) a permis une connexion en vision-conférence avec le poste de santé d’AMANU, premier pas d’un réseau connecté des ASP.
Lorsque l’évaluation finale de ce projet pilote au 4ième trimestre 2021 serait positive, la livraison de ces valises se fera progressivement dans tous les autres postes de soins paumotu. En conclusion, cette télémédecine participe à l’instauration d’une médecine égalitaire et de qualité en facilitant l’accès des populations aux soins.
Missions aux Tuamotu-Gambier pour l’installation de la valise de télémédecine PARSYS
Le subdivisionnaire santé des Tuamotu Gambier (Dr François LAUDON) et le gérant de la société NATI-MEDEX se sont déplacés à Rangiroa puis Makatea pour l’installation de la valise de télémédecine PARSYS.
Au vu de sa dispersion géographique et démographique (78 iles éparses dont 45 habitées, 740 km² de terres émergées sur une superficie maritime de 2 000 000 km²; douze (12) atolls sans piste d’aviation) la S.S.T.G fait figure d’exception dans le paysage sanitaire polynésien. L’organisation des soins dans l’archipel des Tuamotu-Gambier n’est pas conventionnelle en regard des référentiels de France ou d’Europe.
Dans les années 50, la médecine dite coloniale avait imaginé un système de soins mobiles, en organisant des tournées médicales. Aujourd’hui, elles sont toujours maintenues mais avec une évolution du système de santé centré sur les agents paramédicaux. Très peu d’atolls sont médicalisés. Aujourd’hui, cinq (5) atolls sont médicalisés en permanence (Rangiroa, Makemo, Hao, Rikitea et Fakarava). Douze (12) infirmeries sont placées dans les atolls de moins de 700 habitants. (Takaroa, Takapoto, Ahe, Manihi, Anaa, Napuka, Arutua, Reao, Tikehau, Tiputa, Apataki, Kaukura). Vingt-six (26) atolls sont tenus par des auxiliaires de santé publique (ASP) qui ont reçu une formation initiale courte d’un mois.
Afin de réduire cette inégalité d’accès aux soins, la Direction de la santé a décidé de s’équiper de valises de télémédecine de la société PARSYS représentée localement par la société NATI MEDEX. Cette société développe et commercialise, dans le monde entier des solutions logicielles et matérielles de télémédecine, sécurisées et intuitives, au service des patients et des professionnels de santé. En fin 2020, la Direction de la santé a installé une dizaine de valises PARSYS dans les iles dépourvus de médecins.
Ce projet pilote, en particulier aux Tuamotu-Gambier a permis de sortir les auxiliaires de santé publique (A.S.P) de l’obscurité technologique vers la lumière sanitaire. Le matériel technique de l’ASP se limitait hier au stéthoscope, au tensiomètre, au thermomètre et empêchait parfois l’ASP à transmettre les paramètres vitaux du malade au médecin de Papeete joint par téléphone. La mise à disposition récente de cette valise PARSYS de haute technologie numérique (stéthoscope électronique, ECG compact, tensiomètre, oxymètre de pouls, glycémie capillaire, échographie, visioconférence cryptée et sécurisée) a permis une excellente coordination entre l’ASP isolé, le médecin référent de la commune et le SMUR de Tahiti. Le médecin réceptionnant en instantané les constantes vitales et surtout voyant le patient en « direct » lui permet de choisir les moyens d’actions adaptés au contexte du malade. En définitive, pour le personnel non médical basé en poste isolé, c’est une assistance aux soins, importante dans les gestes à assurer dans les situations d’urgence vitale, dans les déclenchements des évacuations sanitaires. Le contact quotidien entre le soignant isolé et le médecin permet une formation adaptée continue et de rompre son isolement intellectuel.
Du 24 au 26 mars, se joignant à une mission planifiée par le ministère de l’équipement (réception des travaux de la darse de MAKATEA), Dr François LAUDON, Hervé VERGAUD et Stéphane MELLADO ont d’abord formé les professionnels de santé du centre médical d’AVATORU sur la station de télémédecine puis se sont déplacé à MAKATEA pour installer la valise PARSYS au poste de santé. L’A.S.P Mehotea VAITAHE s’est vite approprié l’outil numérique, a réalisé avec l’aide du médecin de Rangiroa une échographie obstétricale d’une jeune parturiente. Le débit INTERNET (ViniBox, abonnement MOTU CONFORT) a permis une connexion en vision-conférence avec le poste de santé d’AMANU, premier pas d’un réseau connecté des ASP.
Lorsque l’évaluation finale de ce projet pilote au 4ième trimestre 2021 serait positive, la livraison de ces valises se fera progressivement dans tous les autres postes de soins paumotu. En conclusion, cette télémédecine participe à l’instauration d’une médecine égalitaire et de qualité en facilitant l’accès des populations aux soins.
Le Centre de santé et de prévention de la presqu’île devient le 3ème site labellisé Fare EA de la Polynésie
Ce mercredi 17 mars, le centre de santé et de prévention de la presqu’ile a obtenu le label Fare EA et ainsi devenu le 3ème site à s’inscrire dans cette démarche en Polynésie française.
En présence de la Directrice de la santé, Dr Laurence Bonnac-Théron, la Directrice de ce centre, Marie-Pierre Tefaafana et son équipe ont présenté au jury, les diverses actions et projets qui s’inscrivent dans le cadre du programme de modernisation des soins de santé primaires. Pour rappel, le label Fare EA, créé en 2019, est un gage de qualité des services rendus à la population.
Un Fare EA récent et complet
Après l’infirmerie de Rimatara et le dispensaire de Papara, ce nouveau centre labellisé a la particularité de réunir en un même lieu les consultations médicales, le centre de protection maternelle et infantile, le centre médico-scolaire, le centre d’hygiène dentaire, la cellule de promotion de santé, etc. au service de plus de 21 000 habitants. La modernisation des Soins de Santé Primaires engage tous les agents ainsi que les parties prenantes (mairie, écoles, associations, etc.) dans la refonte des pratiques et des méthodes utilisées vers une approche globale et adaptée au contexte local. Un challenge relevé après des travaux initiés en fin 2019.
Des actions de thématiques différentes en accord avec les principes de soins de santé primaires
Afin d’obtenir le label, la structure doit montrer son engagement à travers la mise en place d’actions en accord avec les principes de soins de santé primaires. Les agents du centre ont ainsi présenté plusieurs projets au jury, composé d’un membre de l’équipe SSP, d’un représentant de la Direction de la santé et de la subdivisionnaire :
- « Ma grossesse en pleine forme » : des ateliers organisés par le CPM des FSTI regroupant pilate, alimentation saine, crochet, sophrologie et autres activités pour accompagner les femmes enceintes tout au long de leur grossesse.
- « Les consultations de proximité » : des consultations pluridisciplinaires effectuées au plus proche des lieux de vie des familles, permettant à ces dernières d’éviter les problèmes de transport. (Ex : Fenua Aihere)
- Le dépistage du RAA dans les établissements scolaires.
- Le CJA en santé et l’école en santé, qui s’inscrivent désormais dans les projets de déploiement des formations sanitaires de Tahiti-iti.
- « Pédale pour ta santé et ton environnement » : mise à disposition de pédaliers générateurs d’électricité au profit des patients dans diverses zones de l’hôpital.
- « Ensemble, motivons-nous » : depuis 2018, il est proposé des activités sportives intégrées à l’activité professionnelle.
- « Santé le potager ! » : mise à disposition de potagers ouverts au public, entretenu par le personnel de l’hôpital.
- Les campagnes de promotion et de prévention de santé publique.
À travers le label Fare EA, la prise en charge globale du patient et de sa famille passe par des actions curatives, préventives et de promotion de la santé en collaboration avec d’autres secteurs d’activités. Un concept de l’organisation mondiale de la santé qui a réussi à s’implanter en Polynésie.
La Santé est l’affaire de tous.
Le Centre de santé et de prévention de la presqu’île devient le 3ème site labellisé Fare EA de la Polynésie
Ce mercredi 17 mars, le centre de santé et de prévention de la presqu’ile a obtenu le label Fare EA et ainsi devenu le 3ème site à s’inscrire dans cette démarche en Polynésie française.
En présence de la Directrice de la santé, Dr Laurence Bonnac-Théron, la Directrice de ce centre, Marie-Pierre Tefaafana et son équipe ont présenté au jury, les diverses actions et projets qui s’inscrivent dans le cadre du programme de modernisation des soins de santé primaires. Pour rappel, le label Fare EA, créé en 2019, est un gage de qualité des services rendus à la population.
Un Fare EA récent et complet
Après l’infirmerie de Rimatara et le dispensaire de Papara, ce nouveau centre labellisé a la particularité de réunir en un même lieu les consultations médicales, le centre de protection maternelle et infantile, le centre médico-scolaire, le centre d’hygiène dentaire, la cellule de promotion de santé, etc. au service de plus de 21 000 habitants. La modernisation des Soins de Santé Primaires engage tous les agents ainsi que les parties prenantes (mairie, écoles, associations, etc.) dans la refonte des pratiques et des méthodes utilisées vers une approche globale et adaptée au contexte local. Un challenge relevé après des travaux initiés en fin 2019.
Des actions de thématiques différentes en accord avec les principes de soins de santé primaires
Afin d’obtenir le label, la structure doit montrer son engagement à travers la mise en place d’actions en accord avec les principes de soins de santé primaires. Les agents du centre ont ainsi présenté plusieurs projets au jury, composé d’un membre de l’équipe SSP, d’un représentant de la Direction de la santé et de la subdivisionnaire :
- « Ma grossesse en pleine forme » : des ateliers organisés par le CPM des FSTI regroupant pilate, alimentation saine, crochet, sophrologie et autres activités pour accompagner les femmes enceintes tout au long de leur grossesse.
- « Les consultations de proximité » : des consultations pluridisciplinaires effectuées au plus proche des lieux de vie des familles, permettant à ces dernières d’éviter les problèmes de transport. (Ex : Fenua Aihere)
- Le dépistage du RAA dans les établissements scolaires.
- Le CJA en santé et l’école en santé, qui s’inscrivent désormais dans les projets de déploiement des formations sanitaires de Tahiti-iti.
- « Pédale pour ta santé et ton environnement » : mise à disposition de pédaliers générateurs d’électricité au profit des patients dans diverses zones de l’hôpital.
- « Ensemble, motivons-nous » : depuis 2018, il est proposé des activités sportives intégrées à l’activité professionnelle.
- « Santé le potager ! » : mise à disposition de potagers ouverts au public, entretenu par le personnel de l’hôpital.
- Les campagnes de promotion et de prévention de santé publique.
À travers le label Fare EA, la prise en charge globale du patient et de sa famille passe par des actions curatives, préventives et de promotion de la santé en collaboration avec d’autres secteurs d’activités. Un concept de l’organisation mondiale de la santé qui a réussi à s’implanter en Polynésie.
La Santé est l’affaire de tous.
Atelier sur la restauration de la santé et le développement communal en post Covid
La Direction de la Santé a organisé, mardi 16 mars 2021 en matinée, à Papeete, un atelier portant sur la restauration de la santé et le développement communal en post-covid.
La situation épidémique de la covid-19 c’est nettement améliorée ces dernières semaines, et la situation est actuellement maitrisée. Néanmoins, il faut rester très prudent car une reprise épidémique reste toujours possible, notamment en cas d’introduction d’un variant. Les mesures de protection restent toujours fondamentales jusqu’à la fin de la campagne de vaccination.
Cette situation favorable a été rendue possible, certes par la mise en place de mesures sanitaires et réglementaires, mais également par un immense effort de mobilisation communautaire porté en grande partie par les communes de Polynésie dans le cadre du plan « Covid Amui ». Il faut, à cette occasion, remercier les élus communaux et tous leurs agents ayant travaillé sur le terrain avec les guides sanitaires, jour après jour, pour informer et accompagner leur population dans cette période difficile.
Il faut désormais gérer la phase post-épidémique, et en particulier de restaurer la santé de la population pour permettre de relancer le développement économique et social des communes et du Pays.
En effet, en plus de ses effets directs sur la santé, toute épidémie de grande ampleur s’accompagne de phénomènes collatéraux impactant indirectement l’état de santé d’une population. Il s’agit notamment des phénomènes économiques, des ruptures de liens sociaux et familiaux, des maladies chroniques n’ayant pas été suivies, des phénomènes psychologiques, de l’arrêt des activités physiques et culturelles. Tous ces éléments concourent à aggraver l’état de santé de la population.
Or, la bonne santé des populations est un élément fondamentalement nécessaire au développement économique et social. En effet, la bonne santé définie par l’OMS comme un état de bien-être physique, mental et social, est un outil indispensable à chaque individu, lui permettant de réaliser ses projets personnels, familiaux et professionnels. L’économie a été fortement impactée par l’épidémie et le retour de la population à une meilleure santé est un impératif pour le développement.
Atelier sur la restauration de la santé et le développement communal en post Covid
La Direction de la Santé a organisé, mardi 16 mars 2021 en matinée, à Papeete, un atelier portant sur la restauration de la santé et le développement communal en post-covid.
La situation épidémique de la covid-19 c’est nettement améliorée ces dernières semaines, et la situation est actuellement maitrisée. Néanmoins, il faut rester très prudent car une reprise épidémique reste toujours possible, notamment en cas d’introduction d’un variant. Les mesures de protection restent toujours fondamentales jusqu’à la fin de la campagne de vaccination.
Cette situation favorable a été rendue possible, certes par la mise en place de mesures sanitaires et réglementaires, mais également par un immense effort de mobilisation communautaire porté en grande partie par les communes de Polynésie dans le cadre du plan « Covid Amui ». Il faut, à cette occasion, remercier les élus communaux et tous leurs agents ayant travaillé sur le terrain avec les guides sanitaires, jour après jour, pour informer et accompagner leur population dans cette période difficile.
Il faut désormais gérer la phase post-épidémique, et en particulier de restaurer la santé de la population pour permettre de relancer le développement économique et social des communes et du Pays.
En effet, en plus de ses effets directs sur la santé, toute épidémie de grande ampleur s’accompagne de phénomènes collatéraux impactant indirectement l’état de santé d’une population. Il s’agit notamment des phénomènes économiques, des ruptures de liens sociaux et familiaux, des maladies chroniques n’ayant pas été suivies, des phénomènes psychologiques, de l’arrêt des activités physiques et culturelles. Tous ces éléments concourent à aggraver l’état de santé de la population.
Or, la bonne santé des populations est un élément fondamentalement nécessaire au développement économique et social. En effet, la bonne santé définie par l’OMS comme un état de bien-être physique, mental et social, est un outil indispensable à chaque individu, lui permettant de réaliser ses projets personnels, familiaux et professionnels. L’économie a été fortement impactée par l’épidémie et le retour de la population à une meilleure santé est un impératif pour le développement.
La brigade de prévention de la plateforme COVID-19 informe et accompagne les communes
Ce mercredi 10 février, la brigade de prévention de la plateforme COVID-19 est intervenue auprès des guides sanitaires et des responsables religieux de la Presqu’île dans le but d’informer et de sensibiliser sur la vaccination et les mesures barrières.
Depuis le début de l’épidémie de la COVID-19, la Direction de la santé mobilise des agents chargés de former et d’informer les intervenants qui vont régulièrement au contact de la population. Parmi eux, les élus communaux, les responsables des confessions religieuses et les guides sanitaires jouent un rôle important dans la communication auprès des familles qui souhaitent trouver des réponses à leurs questions. Ces actions de proximité permettent de transmettre des informations à jour et adaptées au contexte socio-économique.
Mercredi 10 février, en matinée, c’est avec un accueil chaleureux que les guides sanitaires de la commune de Taiarapu Est ont accueilli la brigade de prévention. Il était question de renforcer les connaissances des guides sanitaires et répondre aux questions tirées de leurs expériences sur le terrain. La commune de Taiarapu Est est très impliquée dans ce travail de prévention, car, d’une part il s’agit d’une seconde formation demandée par la mairie et d’autre part, ils étaient, au total, 25 guides sanitaires à suivre cette intervention. Des solutions hydroalcooliques et des masques en tissu ont également été distribués.
Dans la même journée, la brigade s’est déplacée dans les communes de Pueu et de Tautira pour rencontrer les responsables communaux (maire délégué de Tautira, HAMBLIN Samuel et de l’adjoint au maire, PATER Marcel) et les référents des confessions religieuses (catholique, protestant, adventiste et mormone). De nombreux échanges, partages et questionnements ont marqué l’importance et la nécessité de ces formations. La communication ne doit pas s’arrêter aux médias, il est aussi important de se déplacer au plus près de la communauté. Ces actions de proximité sont une force dans la sensibilisation de la vaccination COVID-19 et des gestes barrières.
De prochaines interventions sont déjà programmées sous la demande des communes et des services publics. Ce vendredi 19, la brigade se déplacera à Punaauia et la semaine prochaine, elle rencontrera les agents de la Direction de la culture et du patrimoine et les agents de la commune de Teahupoo.
Depuis le début d’année, la brigade de prévention a offert un accompagnement à plus de 360 personnes. Au cours de nos interventions, les échanges et retours d’expérience de chacun ont permis de développer de la confiance et de la cohésion avec les communes. Les actions communautaires comme celles-ci ont toutes leurs places dans la promotion de la santé de la population.
La brigade de prévention de la plateforme COVID-19 informe et accompagne les communes
Ce mercredi 10 février, la brigade de prévention de la plateforme COVID-19 est intervenue auprès des guides sanitaires et des responsables religieux de la Presqu’île dans le but d’informer et de sensibiliser sur la vaccination et les mesures barrières.
Depuis le début de l’épidémie de la COVID-19, la Direction de la santé mobilise des agents chargés de former et d’informer les intervenants qui vont régulièrement au contact de la population. Parmi eux, les élus communaux, les responsables des confessions religieuses et les guides sanitaires jouent un rôle important dans la communication auprès des familles qui souhaitent trouver des réponses à leurs questions. Ces actions de proximité permettent de transmettre des informations à jour et adaptées au contexte socio-économique.
Mercredi 10 février, en matinée, c’est avec un accueil chaleureux que les guides sanitaires de la commune de Taiarapu Est ont accueilli la brigade de prévention. Il était question de renforcer les connaissances des guides sanitaires et répondre aux questions tirées de leurs expériences sur le terrain. La commune de Taiarapu Est est très impliquée dans ce travail de prévention, car, d’une part il s’agit d’une seconde formation demandée par la mairie et d’autre part, ils étaient, au total, 25 guides sanitaires à suivre cette intervention. Des solutions hydroalcooliques et des masques en tissu ont également été distribués.
Dans la même journée, la brigade s’est déplacée dans les communes de Pueu et de Tautira pour rencontrer les responsables communaux (maire délégué de Tautira, HAMBLIN Samuel et de l’adjoint au maire, PATER Marcel) et les référents des confessions religieuses (catholique, protestant, adventiste et mormone). De nombreux échanges, partages et questionnements ont marqué l’importance et la nécessité de ces formations. La communication ne doit pas s’arrêter aux médias, il est aussi important de se déplacer au plus près de la communauté. Ces actions de proximité sont une force dans la sensibilisation de la vaccination COVID-19 et des gestes barrières.
De prochaines interventions sont déjà programmées sous la demande des communes et des services publics. Ce vendredi 19, la brigade se déplacera à Punaauia et la semaine prochaine, elle rencontrera les agents de la Direction de la culture et du patrimoine et les agents de la commune de Teahupoo.
Depuis le début d’année, la brigade de prévention a offert un accompagnement à plus de 360 personnes. Au cours de nos interventions, les échanges et retours d’expérience de chacun ont permis de développer de la confiance et de la cohésion avec les communes. Les actions communautaires comme celles-ci ont toutes leurs places dans la promotion de la santé de la population.