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  • BULLETIN D’INFORMATION #26 – Cellule de crise de la Polynésie française

    139 tests ont été effectués hier, vendredi, par les opérateurs sanitaires, tandis qu’aucune personne n’a été relevée positive au virus Covid-19. 1302 analyses effectuées depuis le début de l’épidémie, et 413 depuis le début de la semaine. La vigilance reste de mise avec le respect des gestes barrières et du confinement général.

    A partir du lundi 20 avril : un nouveau carré épidémiologique

    Les autorités sanitaires proposeront, à partir de lundi, la lecture d’un nouveau carré épidémiologique présentant les chiffres liés à l’épidémie.

    Ce nouveau carré sera rendu public chaque jour en fin de matinée entre 11H30 et midi, afin de permettre aux équipes d’analyse d’intégrer dans leurs statistiques les résultats des analyses effectuées en J-1 le matin et l’après-midi.

    La nouveauté consiste à inclure dans les données actuelles une information très attendue, « les personnes ne présentant plus les signes de la maladie », dont le nombre sera soustrait du carré présentant les personnes encore porteuses du virus.

    À ce jour, ces personnes sont au nombre de 19 (18 + le patient d’origine étrangère) qui peuvent sortir de l’isolement strict car elles ne présentent plus de signes cliniques, à ce jour.

    Le terme « guérison » n’est pas évoqué : les scientifiques n’ont pas le recul nécessaire sur la maladie. Cependant ces personnes ne sont plus malades. Elles auront l’autorisation de sortir de l’isolement strict, et resteront soumises aux règles du confinement général, en respectant scrupuleusement les mesures barrières. D’autres autorisations de sortie de l’isolement strict suivront dans les jours à venir.

    Rappel des critères pour la sortie de l’isolement strict : l’absence de symptômes depuis au moins 14 jours voire 3 semaines pour certains patients, examen par un médecin, à domicile, au moment de leur sortie d’isolement.

    Lancement de l’opération « caddies solidaires » ce samedi

    Afin d’aider et de soutenir les personnes en difficulté suite aux multiples conséquences de l’épidémie de COVID-19, les bonnes volontés continuent de se manifester.

    Trois magasins du groupe U – Hyper U Pirae, Super U Venustar et Super U Tamanu – se mobilisent à partir d’aujourd’hui pour organiser des caddies solidaires, situés au sortir des caisses des magasins et dans lesquels la population pourra déposer quelques achats de produits de première nécessité (riz, pâtes, café, conserves…).

    Ce premier partenariat est organisé en étroite collaboration avec les magasins U, la cellule de crise Covid-19 du Pays et les équipes de la Croix rouge, chargées de récupérer, chaque jour, les denrées pour les redistribuer, soit dans les épiceries solidaires soit sous forme de paquets alimentaires remis aux familles nécessiteuses.

    Un second partenariat est organisé entre le magasin Super U Taravao et les équipes du Secours catholique pour les familles nécessiteuses de la Presqu’île. Ce partenariat débutera en début de semaine prochaine.

    La participation d’autres opérateurs économiques dans le secteur alimentaire est attendue.

    MALADIES CHRONIQUES : APPELEZ VOTRE MÉDECIN, POUR MAINTENIR VOTRE SUIVI MÉDICAL ET N’ARRÊTEZ PAS VOS TRAITEMENTS

    BULLETIN D’INFORMATION #26 – Cellule de crise de la Polynésie française

    ‘Ua fa’arahihia te mau hi’opo’ara’a mai tei fa’a’arahia atu na. 139 hi’opo’ara’a tei ravehia i nanahi ra mahana pae, i roto i teie rahira’a ta’ata tei hi’opo’ahia, ‘aita ho’e noa a’e ta’ata i ro’ohia i teie tirotiro.

    Mai te ‘omuara’a o teie ma’i 1302 ta’ata tei hi’opo’ahia, e mai te ‘omuara’a nô teie hepetoma 413 hi’opo’ara’a tei ravehia. Te titauhia nei ra tâtou ia vai ara noa e ia tâmau tâtou i te fa’a’ohipa i te mau rave’a parurura’a e ia tâmau â tâtou i te fa’aea i te fare.

    Mai teie atu mônirê 20 nô ‘êperêra e fana’o mai tatou i te ho’e hoho’a’âpî no ni’a i te nu’ura’a o te ma’i i te fenua nei

    Mai teie atu mônirê, te hina’aro nei te mau ti’a mana i te pae o te utuutura’a ma’i e tâui i tâna fa’anahora’a nô ni’a i te mau nûmera o te mau ta’ata ma’i e te rahira’a o te mau hi’opo’ara’a. Te vâhi ‘âpî, e horo’a ato’ahia te rahira’a ta’ata ‘aore to ratou e tapa’o fa’ahou nô teie ma’i. E ‘iritihia ia teie nûmera mai roto atu i te ‘oehâ o te rahira’a ta’ata ma’i. Te tahi noa hi’ora’a, i teie mahana, 19 ta’ata ‘aita fa’ahou tô râtou e tapa’o nô teie ma’i. I roto ia râtou, ua numera ato’ahia te ta’ata ratere no te fenua Herevetia.

    E pûharahia teie mau nûmera nâ te ta’ato’ara’a, e, i te mau mahana ato’a i roto i te area no te hora 11 e 11 e te ‘âfa.ia nehenehe te mau pupu hi’opo’a ia tu’u i teie mau nûmera i roto i ta ratou mau hi’opo’ara’a.

    I teie mahana mâ’a e ‘iritihia ai te fa’anahora’a « pere’o’o hopoi ma’a »

    Nô te tauturura’a i te feiâ e fifi nei na roto i te tupura’a o teie ma’i « COVID-19 » e rave rahi taiete e fa’atae mai nei i tâ râtou mau tauturu. I teie mahana, te fa’atupu nei te mau toa Hyper U Pirae, Super U Venustar e Super U Tamanu tei fa’aineine i te tahi mau père’o’o hopoi ma’a, ia nehenehe te huira’atira ia fa’a’î i teie mau père’o’o i te ma’a, mai te raiti, te punu ‘ina’i e te vai atu ra.

    Teie mau tauturu matamua, ua fa’anaho ‘amuihia e te pû e ti’a’au nei i te parau nô teie ma’i COVID19, te mau pupu no te Tatauru ‘Ura. Na ratou e ti’i i teie mau ma’a i te mau mahana ato’a e nâ râtou ato’a e ‘opere i roto i te mau ‘utuafare.

    Te piti o te pupu tauturu, te toa Super U nô Taravao e te mau pupu Tauturu a te Etaretia Tatorita no te feia no Taiarapu. E ha’amata mai ratou i teie hepetoma i muri nei.

    Te ti’aturihia nei ra e te vai nei a te tahi atu mau taiete e toro mai i to ratou rima nô teie fa’anahora’a.

    E ma’i tâmau tô ‘oe : A niuniu i tô ‘oe taote. A rave tâmau i tâ ‘oe ra’au.

    Te ha’apapu maira te mau taote e mea rahi roa ‘outou tei ore e ‘ite fa’ahouhia nei i roto i te piha hi’opo’ara’a a tô ‘outou taote. ‘Outou ihoa ra e ma’i « tension », ma’i mafatu, mariri ai ta’ata, « goutte », omaha tihota, e ua rau atu to ‘outou mau ma’i tau roa (longue maladie).

    Parau mau, ua fa’atiahia te mau taote e rave te mau aparaura’a na roto i te niuniu no te fafa atu i tô outou huru i roto i te ma’i e na reira atoa te fa’aroara’a ta ‘outou parau ra’au e 2 avae.

    Te ARAIRA’A ‘i teie ma’i. ‘E mea faufa’a ‘ia fâaha’amana’ohia, ‘e’ita teie tirotiro ‘e parare noa, nā tātou ra ‘e ta’ita’i nei iana no reira tatou ’e titauhia ai, ia fa’aea ‘i te fare.

    MĀURUURU E FA’AITOITO

    BULLETIN D’INFORMATION #26 – Cellule de crise de la Polynésie française

    139 tests ont été effectués hier, vendredi, par les opérateurs sanitaires, tandis qu’aucune personne n’a été relevée positive au virus Covid-19. 1302 analyses effectuées depuis le début de l’épidémie, et 413 depuis le début de la semaine. La vigilance reste de mise avec le respect des gestes barrières et du confinement général.

    A partir du lundi 20 avril : un nouveau carré épidémiologique

    Les autorités sanitaires proposeront, à partir de lundi, la lecture d’un nouveau carré épidémiologique présentant les chiffres liés à l’épidémie.

    Ce nouveau carré sera rendu public chaque jour en fin de matinée entre 11H30 et midi, afin de permettre aux équipes d’analyse d’intégrer dans leurs statistiques les résultats des analyses effectuées en J-1 le matin et l’après-midi.

    La nouveauté consiste à inclure dans les données actuelles une information très attendue, « les personnes ne présentant plus les signes de la maladie », dont le nombre sera soustrait du carré présentant les personnes encore porteuses du virus.

    À ce jour, ces personnes sont au nombre de 19 (18 + le patient d’origine étrangère) qui peuvent sortir de l’isolement strict car elles ne présentent plus de signes cliniques, à ce jour.

    Le terme « guérison » n’est pas évoqué : les scientifiques n’ont pas le recul nécessaire sur la maladie. Cependant ces personnes ne sont plus malades. Elles auront l’autorisation de sortir de l’isolement strict, et resteront soumises aux règles du confinement général, en respectant scrupuleusement les mesures barrières. D’autres autorisations de sortie de l’isolement strict suivront dans les jours à venir.

    Rappel des critères pour la sortie de l’isolement strict : l’absence de symptômes depuis au moins 14 jours voire 3 semaines pour certains patients, examen par un médecin, à domicile, au moment de leur sortie d’isolement.

    Lancement de l’opération « caddies solidaires » ce samedi

    Afin d’aider et de soutenir les personnes en difficulté suite aux multiples conséquences de l’épidémie de COVID-19, les bonnes volontés continuent de se manifester.

    Trois magasins du groupe U – Hyper U Pirae, Super U Venustar et Super U Tamanu – se mobilisent à partir d’aujourd’hui pour organiser des caddies solidaires, situés au sortir des caisses des magasins et dans lesquels la population pourra déposer quelques achats de produits de première nécessité (riz, pâtes, café, conserves…).

    Ce premier partenariat est organisé en étroite collaboration avec les magasins U, la cellule de crise Covid-19 du Pays et les équipes de la Croix rouge, chargées de récupérer, chaque jour, les denrées pour les redistribuer, soit dans les épiceries solidaires soit sous forme de paquets alimentaires remis aux familles nécessiteuses.

    Un second partenariat est organisé entre le magasin Super U Taravao et les équipes du Secours catholique pour les familles nécessiteuses de la Presqu’île. Ce partenariat débutera en début de semaine prochaine.

    La participation d’autres opérateurs économiques dans le secteur alimentaire est attendue.

    MALADIES CHRONIQUES : APPELEZ VOTRE MÉDECIN, POUR MAINTENIR VOTRE SUIVI MÉDICAL ET N’ARRÊTEZ PAS VOS TRAITEMENTS

    BULLETIN D’INFORMATION #26 – Cellule de crise de la Polynésie française

    ‘Ua fa’arahihia te mau hi’opo’ara’a mai tei fa’a’arahia atu na. 139 hi’opo’ara’a tei ravehia i nanahi ra mahana pae, i roto i teie rahira’a ta’ata tei hi’opo’ahia, ‘aita ho’e noa a’e ta’ata i ro’ohia i teie tirotiro.

    Mai te ‘omuara’a o teie ma’i 1302 ta’ata tei hi’opo’ahia, e mai te ‘omuara’a nô teie hepetoma 413 hi’opo’ara’a tei ravehia. Te titauhia nei ra tâtou ia vai ara noa e ia tâmau tâtou i te fa’a’ohipa i te mau rave’a parurura’a e ia tâmau â tâtou i te fa’aea i te fare.

    Mai teie atu mônirê 20 nô ‘êperêra e fana’o mai tatou i te ho’e hoho’a’âpî no ni’a i te nu’ura’a o te ma’i i te fenua nei

    Mai teie atu mônirê, te hina’aro nei te mau ti’a mana i te pae o te utuutura’a ma’i e tâui i tâna fa’anahora’a nô ni’a i te mau nûmera o te mau ta’ata ma’i e te rahira’a o te mau hi’opo’ara’a. Te vâhi ‘âpî, e horo’a ato’ahia te rahira’a ta’ata ‘aore to ratou e tapa’o fa’ahou nô teie ma’i. E ‘iritihia ia teie nûmera mai roto atu i te ‘oehâ o te rahira’a ta’ata ma’i. Te tahi noa hi’ora’a, i teie mahana, 19 ta’ata ‘aita fa’ahou tô râtou e tapa’o nô teie ma’i. I roto ia râtou, ua numera ato’ahia te ta’ata ratere no te fenua Herevetia.

    E pûharahia teie mau nûmera nâ te ta’ato’ara’a, e, i te mau mahana ato’a i roto i te area no te hora 11 e 11 e te ‘âfa.ia nehenehe te mau pupu hi’opo’a ia tu’u i teie mau nûmera i roto i ta ratou mau hi’opo’ara’a.

    I teie mahana mâ’a e ‘iritihia ai te fa’anahora’a « pere’o’o hopoi ma’a »

    Nô te tauturura’a i te feiâ e fifi nei na roto i te tupura’a o teie ma’i « COVID-19 » e rave rahi taiete e fa’atae mai nei i tâ râtou mau tauturu. I teie mahana, te fa’atupu nei te mau toa Hyper U Pirae, Super U Venustar e Super U Tamanu tei fa’aineine i te tahi mau père’o’o hopoi ma’a, ia nehenehe te huira’atira ia fa’a’î i teie mau père’o’o i te ma’a, mai te raiti, te punu ‘ina’i e te vai atu ra.

    Teie mau tauturu matamua, ua fa’anaho ‘amuihia e te pû e ti’a’au nei i te parau nô teie ma’i COVID19, te mau pupu no te Tatauru ‘Ura. Na ratou e ti’i i teie mau ma’a i te mau mahana ato’a e nâ râtou ato’a e ‘opere i roto i te mau ‘utuafare.

    Te piti o te pupu tauturu, te toa Super U nô Taravao e te mau pupu Tauturu a te Etaretia Tatorita no te feia no Taiarapu. E ha’amata mai ratou i teie hepetoma i muri nei.

    Te ti’aturihia nei ra e te vai nei a te tahi atu mau taiete e toro mai i to ratou rima nô teie fa’anahora’a.

    E ma’i tâmau tô ‘oe : A niuniu i tô ‘oe taote. A rave tâmau i tâ ‘oe ra’au.

    Te ha’apapu maira te mau taote e mea rahi roa ‘outou tei ore e ‘ite fa’ahouhia nei i roto i te piha hi’opo’ara’a a tô ‘outou taote. ‘Outou ihoa ra e ma’i « tension », ma’i mafatu, mariri ai ta’ata, « goutte », omaha tihota, e ua rau atu to ‘outou mau ma’i tau roa (longue maladie).

    Parau mau, ua fa’atiahia te mau taote e rave te mau aparaura’a na roto i te niuniu no te fafa atu i tô outou huru i roto i te ma’i e na reira atoa te fa’aroara’a ta ‘outou parau ra’au e 2 avae.

    Te ARAIRA’A ‘i teie ma’i. ‘E mea faufa’a ‘ia fâaha’amana’ohia, ‘e’ita teie tirotiro ‘e parare noa, nā tātou ra ‘e ta’ita’i nei iana no reira tatou ’e titauhia ai, ia fa’aea ‘i te fare.

    MĀURUURU E FA’AITOITO

  • BULLETIN D’INFORMATION #25 – Cellule de crise de la Polynésie française

    Comme l’avaient annoncé les autorités sanitaires, la pratique des dépistages s’est intensifiée. Sur 112 tests effectués hier, aucune personne n’a été relevée positive au virus, pour 1163 analyses effectuées depuis le début de l’épidémie. Ces résultats sont encourageants, mais la vigilance reste de mise avec le respect nécessaire des gestes barrières et du confinement général.

    Tuamotu-Gambier, Marquises, Australes et Iles-sous-le-Vent : allègement des mesures de confinement

    Après la constatation de la non présence du virus dans les archipels, les autorités de l’Etat et du Pays ont annoncé une série de mesures allégeant le confinement dans les archipels hors Iles-du-Vent. Le confinement général n’y est pas levé, mais des allègements, pris après concertation des maires, permettront de réinstaurer la liberté d’aller et venir au sein de chaque île et atoll, ainsi que l’ouverture des infrastructures scolaires (écoles et collèges) et la reprise des activités économiques. Les voyages inter-îles ne sont toujours pas autorisés.

    Concernant les Iles-du-vent, le confinement général est maintenu mais les autorités préparent un allègement des mesures dans le cadre de la reprise économique et le respect des mesures barrières.

    Retour des personnes évacuées sanitaires : un engagement à suivre les consignes

    Le principe du retour en Polynésie des personnes évacuées sanitaires et sorties des hôpitaux, qui sont actuellement en soins de suite en métropole, est acquis. Leur traitement peut donc se poursuivre sur le Fenua dès lors que leur état leur permet de voyager, sachant que ce retour est accompagné d’un engagement établi dans le cadre de la protection contre la diffusion du virus sur le territoire.

    Cet engagement stipule que :

    • Les personnes doivent attester ne pas présenter de symptôme évocateur du Covid-19, attestation complétée d’un test négatif ;
    • Elles doivent également accepter, à leur retour, un isolement strict en structure d’hébergement du Pays pour une durée de 21 jours, et un nouveau test à l’issue de cette période.

    Les autorités du Pays prendront en charge la structure d’hébergement, les repas, l’assistance logistique nécessaire et la surveillance sanitaire.

    Confinement et maladies chroniques : une priorité, poursuivre les soins

    Les mesures relatives au confinement général invitent la population à limiter ses déplacements au strict nécessaire, afin d’empêcher la propagation du virus sur le plan communautaire. Par contre, il est un point sur lequel l’ensemble de la communauté médicale insiste : les patients souffrant de maladies chroniques doivent absolument poursuivre leurs soins, de manière à ne pas aggraver leur état de santé.

    Cette poursuite des soins est considérée comme une priorité reconnue comme telle par les autorités délivrant les autorisations de déplacement. Il convient donc que les personnes en longue maladie ou suivies pour ces maladies chroniques – hypertension, diabète, cancers … – suivent leur médication et appellent leur médecin référent afin de poursuivre leurs traitements.

    Élargissement de la ligne verte sanitaire à un premier recours psychologique

    Les temps de crise sanitaire et de confinement sont une source de stress pour la population, qui peut générer des difficultés d’ordre psychologique en particulier pour les personnes fragiles et vulnérables. Cette période entraîne des situations de détresse morale ou d’inquiétudes, d’angoisses, d’épuisement, d’isolement, voire de panique et d’agitation.

    La ligne verte 444.789, ouverte à la population pour toute question concernant la crise sanitaire, s’est enrichie d’un dispositif de soutien psychologique permettant aux personnes en souffrance de trouver une écoute spécialisée.

    Il est question d’offrir un soutien social et psychologique proposé aux personnes touchées femmes, hommes, mineurs, personnes âgées, personnes isolées ou vulnérables. Soit une offre de soins humains et concrets à proposer aux personnes se trouvant en situation de détresse.

    Ces soins visent à les réconforter, les aider à répondre à leurs besoins essentiels, les accompagner dans la gestion de leurs problèmes et les aider à obtenir du soutien.

    Cette permanence psychologique, ouverte sept jours sur sept de 8:00 à 18:00, orientera également les personnes en détresse vers des interventions psychosociales et des professionnels spécialisés, afin de soutenir les ressources individuelles et cette capacité à surmonter cette période difficile, à favoriser la remise en lien avec les proches.

    Une précision : les professionnels à l’écoute sont des psychologues, garantissant l’anonymat et la confidentialité des appels.

    BULLETIN D’INFORMATION #25 – Cellule de crise de la Polynésie française

    ‘Ua fa’arahihia te mau hi’opo’ara’a mai tei fa’a’arahia atu na. 112 hi’opo’ara’a tei ravehia i nanahi ra. Aore roa e ta’ata i ‘itehia e ‘ua ro’ohia oia i teie ma’i COVID-19.

    Mai te ‘omuara’a ‘o teie ma’i ‘i te fenua nei e tae roa mai ‘i teie mahana, teie te mau nûmera : 1 163 ta’ata tei hi’opo’ahia, E 55 noa â ta’ata tei ro’ohia ‘i te ma’i COVID-19, mai te monire 13 no Eperera mai â. Hô’ê noa â ta’ata tei tapeahia ‘i te fare ma’i. ‘E te parau ‘oa’oa ra, ‘aore â ta’ata i fa’arue mai.

    Te ha’amamara’a te mau fa’ahepora’a e fa’aea i te fare : Tuamotu-Maareva, Fenua Enata, Raro mata’i, e Tuhaa Pae.

    I muri ae i te hiora’a e, e aita te tirotiro COVID19 e ite hia ra i roto i te mau taa motu atea atu i te fenua Nia Matai, ua fa’aara te Hau nui e te Hau fenua i te tahi mau fa’anahora’a no te ha’amama mai te fa’ahepora’a e fa’aea i te fare.

    E ara maitai ra ia tatou, aita te fa’anahora’a no te fa’ahepora’a e fa’aea i te fare i fa’aorehia.

    Ua ha’amama noa hia ra. Fa’aotira’a teie tei ravehia i muri ae i te fafara’ahia te mana’o o te mau tavana oire. E nehenehe atura ia e tere na roto i to ratou noa fenua, e matara atoa te mau fare ha’api’ira’a, te terera’a faufaa. Teie ra, eita e fa’ariihia ia tere i roto i te tahi atu mau motu.

    No te pae fenua Nia Matai ma, e tamau noa a te fa’ahepora’a e fa’aea i te fare e te opanira’a e tere i te pô.

    Te fa’anaho nei ra te fa’aterera’a no te fenua i te ha’amama atoa teie fa’ahepora’a e fa’aea i te fare no ta tatou imira’a faufaa ma te fa’aohipa tamau ra i te mau ravea pâruru. Tia’i â ia tatou i te mau fa’aotira’a hopea.

    Te parau no tô tatou feia ma’i i tonohia atu na i Paris e to ratou mau ta’ata ape’e

    ‘Ua fa’arihia te parau no tô ratou ho’ira’a mai i te fenua nei. I ô nei ia ratou e tamau ai i te ra’apaura’a ia ratou ma te arataihia e tô ratou mau taote. E feia teie tei mahuti mai na roto i te mau fare ma’i i Paris e o tei tu’uhia atu i roto i te tahi mau fare fa’aeara’a a tiai noa atu ai i te ho’ira’a mai i te fenua nei.

    Teia ra, te vai nei te tahi titaura’a ia ratou :

    • Ia fa’arii ratou i te hi’opo’ara’a no te ma’imira’a i te tirotiro Convid-19 i roto ia ratou hou a ho’i mai ai; te mea e hina’aro hia ra, eiaha roa e tirotiro Covid-19 i roto ia ratou.
    • Ia fa’arii ratou i te fa’ahepora’a e noho i roto i te fare i fa’anahohia e te Hau fenua i te maorora’a e 21 mahana (3 hepetoma).
    • I muri ae, e rave hia a te mau hio’poara’a e hina’arohia ra.

    Na te Hau fenua e amo i te mau ha’amauara’a atoa : te piha taotora, te ma’a, etv…

    Te parau no te feia tei roto i te ma’i tau roa (Longue maladie)

    Te ha’apapu maira te mau taote e mea rahi roa ‘outou tei ore e ‘ite fa’ahouhia nei i roto i te piha hi’opo’ara’a a tô ‘outou taote. ‘Outou ihoa ra e ma’i « tension », ma’i mafatu, mariri ai ta’ata, « goutte », omaha tihota, e ua rau atu to ‘outou mau ma’i tau roa (longue maladie).

    Parau mau, ua fa’atiahia te mau taote e rave te mau aparaura’a na roto i te niuniu no te fafa atu i tô outou huru i roto i te ma’i e na reira atoa te fa’aroara’a ta ‘outou parau ra’au e 2 avae.

    No reira, eiaha e fa’aea noa i te fare mai te peu e te fifi ra ‘outou. A niuniu e aore ra a haere atu e farerei i tô outou taote noa atu e, tei roto tatou i te tau fa’ahepora’a e fa’aea i te fare.

    A fa’ai ta ‘outou parau fa’atia no te haere i te taote ra, mai ta ‘outou parau e fa’ai ra no te haere i te fare toa. Eiaha e tia’i ia uana roa tô ‘outou ma’i. A ha’apa’o maitai ia ‘outou.

    Te numera niuniu 444 789 tâmoni ore : te tauturu a te taote manava

    ‘Ua fifi roa tô tatou orara’a i roto i teie tau no teie fifi ma’i Covid-19 e te fa’ahepora’a e fa’aea i te fare e te opaniopanira’a ia tere i te po. Huru ê rii ihoa te ferurira’a e te manava, no te tahi pae o tatou. Te vai nei te hepohepo, te peapea, te fiu, te riaria, te iri’a, etv …

    I roto i teie piha ‘ohipa i reira ‘outou e niuniu atu ai, 444 789, no te ani i te mau haamaramaramara’a i nia i teie ma’i Covid-19, te fa’aarahia atu nei ‘outou e, e nehenehe atoa outou e aparau atu i te hô’ê taote manava, mai te hora 8 i te po’ipo’i e tae atu i te hora 6 i te tapera’a mahana. E fa’ariihia mai te mau huru ta’ata atoa, noa atu te faito o tô ratou matahiti : ruhiruhihia, ta’ata pa’ari, taurea, tamarii. E âpohia mai ta ‘outou mau anira’a. E horoa hia atu te tauturu e te fa’aitoitora’a ia matara to ‘outou fifi. Te ha’apapuhia atu nei ‘outou e, eita to ‘oe i’oa e fa’ahitihia, e te mau parau i roto i te mau aparaura’a e riro ia ei mau parau huna.

    Te ARAIRA’A ‘i teie ma’i. ‘E mea faufa’a ‘ia fâaha’amana’ohia, ‘e’ita teie tirotiro ‘e parare noa, nā tātou ra ‘e ta’ita’i nei iana no reira tatou ’e titauhia ai, ia fa’aea ‘i te fare.

    MĀURUURU E FA’AITOITO

    BULLETIN D’INFORMATION #25 – Cellule de crise de la Polynésie française

    Comme l’avaient annoncé les autorités sanitaires, la pratique des dépistages s’est intensifiée. Sur 112 tests effectués hier, aucune personne n’a été relevée positive au virus, pour 1163 analyses effectuées depuis le début de l’épidémie. Ces résultats sont encourageants, mais la vigilance reste de mise avec le respect nécessaire des gestes barrières et du confinement général.

    Tuamotu-Gambier, Marquises, Australes et Iles-sous-le-Vent : allègement des mesures de confinement

    Après la constatation de la non présence du virus dans les archipels, les autorités de l’Etat et du Pays ont annoncé une série de mesures allégeant le confinement dans les archipels hors Iles-du-Vent. Le confinement général n’y est pas levé, mais des allègements, pris après concertation des maires, permettront de réinstaurer la liberté d’aller et venir au sein de chaque île et atoll, ainsi que l’ouverture des infrastructures scolaires (écoles et collèges) et la reprise des activités économiques. Les voyages inter-îles ne sont toujours pas autorisés.

    Concernant les Iles-du-vent, le confinement général est maintenu mais les autorités préparent un allègement des mesures dans le cadre de la reprise économique et le respect des mesures barrières.

    Retour des personnes évacuées sanitaires : un engagement à suivre les consignes

    Le principe du retour en Polynésie des personnes évacuées sanitaires et sorties des hôpitaux, qui sont actuellement en soins de suite en métropole, est acquis. Leur traitement peut donc se poursuivre sur le Fenua dès lors que leur état leur permet de voyager, sachant que ce retour est accompagné d’un engagement établi dans le cadre de la protection contre la diffusion du virus sur le territoire.

    Cet engagement stipule que :

    • Les personnes doivent attester ne pas présenter de symptôme évocateur du Covid-19, attestation complétée d’un test négatif ;
    • Elles doivent également accepter, à leur retour, un isolement strict en structure d’hébergement du Pays pour une durée de 21 jours, et un nouveau test à l’issue de cette période.

    Les autorités du Pays prendront en charge la structure d’hébergement, les repas, l’assistance logistique nécessaire et la surveillance sanitaire.

    Confinement et maladies chroniques : une priorité, poursuivre les soins

    Les mesures relatives au confinement général invitent la population à limiter ses déplacements au strict nécessaire, afin d’empêcher la propagation du virus sur le plan communautaire. Par contre, il est un point sur lequel l’ensemble de la communauté médicale insiste : les patients souffrant de maladies chroniques doivent absolument poursuivre leurs soins, de manière à ne pas aggraver leur état de santé.

    Cette poursuite des soins est considérée comme une priorité reconnue comme telle par les autorités délivrant les autorisations de déplacement. Il convient donc que les personnes en longue maladie ou suivies pour ces maladies chroniques – hypertension, diabète, cancers … – suivent leur médication et appellent leur médecin référent afin de poursuivre leurs traitements.

    Élargissement de la ligne verte sanitaire à un premier recours psychologique

    Les temps de crise sanitaire et de confinement sont une source de stress pour la population, qui peut générer des difficultés d’ordre psychologique en particulier pour les personnes fragiles et vulnérables. Cette période entraîne des situations de détresse morale ou d’inquiétudes, d’angoisses, d’épuisement, d’isolement, voire de panique et d’agitation.

    La ligne verte 444.789, ouverte à la population pour toute question concernant la crise sanitaire, s’est enrichie d’un dispositif de soutien psychologique permettant aux personnes en souffrance de trouver une écoute spécialisée.

    Il est question d’offrir un soutien social et psychologique proposé aux personnes touchées femmes, hommes, mineurs, personnes âgées, personnes isolées ou vulnérables. Soit une offre de soins humains et concrets à proposer aux personnes se trouvant en situation de détresse.

    Ces soins visent à les réconforter, les aider à répondre à leurs besoins essentiels, les accompagner dans la gestion de leurs problèmes et les aider à obtenir du soutien.

    Cette permanence psychologique, ouverte sept jours sur sept de 8:00 à 18:00, orientera également les personnes en détresse vers des interventions psychosociales et des professionnels spécialisés, afin de soutenir les ressources individuelles et cette capacité à surmonter cette période difficile, à favoriser la remise en lien avec les proches.

    Une précision : les professionnels à l’écoute sont des psychologues, garantissant l’anonymat et la confidentialité des appels.

    BULLETIN D’INFORMATION #25 – Cellule de crise de la Polynésie française

    ‘Ua fa’arahihia te mau hi’opo’ara’a mai tei fa’a’arahia atu na. 112 hi’opo’ara’a tei ravehia i nanahi ra. Aore roa e ta’ata i ‘itehia e ‘ua ro’ohia oia i teie ma’i COVID-19.

    Mai te ‘omuara’a ‘o teie ma’i ‘i te fenua nei e tae roa mai ‘i teie mahana, teie te mau nûmera : 1 163 ta’ata tei hi’opo’ahia, E 55 noa â ta’ata tei ro’ohia ‘i te ma’i COVID-19, mai te monire 13 no Eperera mai â. Hô’ê noa â ta’ata tei tapeahia ‘i te fare ma’i. ‘E te parau ‘oa’oa ra, ‘aore â ta’ata i fa’arue mai.

    Te ha’amamara’a te mau fa’ahepora’a e fa’aea i te fare : Tuamotu-Maareva, Fenua Enata, Raro mata’i, e Tuhaa Pae.

    I muri ae i te hiora’a e, e aita te tirotiro COVID19 e ite hia ra i roto i te mau taa motu atea atu i te fenua Nia Matai, ua fa’aara te Hau nui e te Hau fenua i te tahi mau fa’anahora’a no te ha’amama mai te fa’ahepora’a e fa’aea i te fare.

    E ara maitai ra ia tatou, aita te fa’anahora’a no te fa’ahepora’a e fa’aea i te fare i fa’aorehia.

    Ua ha’amama noa hia ra. Fa’aotira’a teie tei ravehia i muri ae i te fafara’ahia te mana’o o te mau tavana oire. E nehenehe atura ia e tere na roto i to ratou noa fenua, e matara atoa te mau fare ha’api’ira’a, te terera’a faufaa. Teie ra, eita e fa’ariihia ia tere i roto i te tahi atu mau motu.

    No te pae fenua Nia Matai ma, e tamau noa a te fa’ahepora’a e fa’aea i te fare e te opanira’a e tere i te pô.

    Te fa’anaho nei ra te fa’aterera’a no te fenua i te ha’amama atoa teie fa’ahepora’a e fa’aea i te fare no ta tatou imira’a faufaa ma te fa’aohipa tamau ra i te mau ravea pâruru. Tia’i â ia tatou i te mau fa’aotira’a hopea.

    Te parau no tô tatou feia ma’i i tonohia atu na i Paris e to ratou mau ta’ata ape’e

    ‘Ua fa’arihia te parau no tô ratou ho’ira’a mai i te fenua nei. I ô nei ia ratou e tamau ai i te ra’apaura’a ia ratou ma te arataihia e tô ratou mau taote. E feia teie tei mahuti mai na roto i te mau fare ma’i i Paris e o tei tu’uhia atu i roto i te tahi mau fare fa’aeara’a a tiai noa atu ai i te ho’ira’a mai i te fenua nei.

    Teia ra, te vai nei te tahi titaura’a ia ratou :

    • Ia fa’arii ratou i te hi’opo’ara’a no te ma’imira’a i te tirotiro Convid-19 i roto ia ratou hou a ho’i mai ai; te mea e hina’aro hia ra, eiaha roa e tirotiro Covid-19 i roto ia ratou.
    • Ia fa’arii ratou i te fa’ahepora’a e noho i roto i te fare i fa’anahohia e te Hau fenua i te maorora’a e 21 mahana (3 hepetoma).
    • I muri ae, e rave hia a te mau hio’poara’a e hina’arohia ra.

    Na te Hau fenua e amo i te mau ha’amauara’a atoa : te piha taotora, te ma’a, etv…

    Te parau no te feia tei roto i te ma’i tau roa (Longue maladie)

    Te ha’apapu maira te mau taote e mea rahi roa ‘outou tei ore e ‘ite fa’ahouhia nei i roto i te piha hi’opo’ara’a a tô ‘outou taote. ‘Outou ihoa ra e ma’i « tension », ma’i mafatu, mariri ai ta’ata, « goutte », omaha tihota, e ua rau atu to ‘outou mau ma’i tau roa (longue maladie).

    Parau mau, ua fa’atiahia te mau taote e rave te mau aparaura’a na roto i te niuniu no te fafa atu i tô outou huru i roto i te ma’i e na reira atoa te fa’aroara’a ta ‘outou parau ra’au e 2 avae.

    No reira, eiaha e fa’aea noa i te fare mai te peu e te fifi ra ‘outou. A niuniu e aore ra a haere atu e farerei i tô outou taote noa atu e, tei roto tatou i te tau fa’ahepora’a e fa’aea i te fare.

    A fa’ai ta ‘outou parau fa’atia no te haere i te taote ra, mai ta ‘outou parau e fa’ai ra no te haere i te fare toa. Eiaha e tia’i ia uana roa tô ‘outou ma’i. A ha’apa’o maitai ia ‘outou.

    Te numera niuniu 444 789 tâmoni ore : te tauturu a te taote manava

    ‘Ua fifi roa tô tatou orara’a i roto i teie tau no teie fifi ma’i Covid-19 e te fa’ahepora’a e fa’aea i te fare e te opaniopanira’a ia tere i te po. Huru ê rii ihoa te ferurira’a e te manava, no te tahi pae o tatou. Te vai nei te hepohepo, te peapea, te fiu, te riaria, te iri’a, etv …

    I roto i teie piha ‘ohipa i reira ‘outou e niuniu atu ai, 444 789, no te ani i te mau haamaramaramara’a i nia i teie ma’i Covid-19, te fa’aarahia atu nei ‘outou e, e nehenehe atoa outou e aparau atu i te hô’ê taote manava, mai te hora 8 i te po’ipo’i e tae atu i te hora 6 i te tapera’a mahana. E fa’ariihia mai te mau huru ta’ata atoa, noa atu te faito o tô ratou matahiti : ruhiruhihia, ta’ata pa’ari, taurea, tamarii. E âpohia mai ta ‘outou mau anira’a. E horoa hia atu te tauturu e te fa’aitoitora’a ia matara to ‘outou fifi. Te ha’apapuhia atu nei ‘outou e, eita to ‘oe i’oa e fa’ahitihia, e te mau parau i roto i te mau aparaura’a e riro ia ei mau parau huna.

    Te ARAIRA’A ‘i teie ma’i. ‘E mea faufa’a ‘ia fâaha’amana’ohia, ‘e’ita teie tirotiro ‘e parare noa, nā tātou ra ‘e ta’ita’i nei iana no reira tatou ’e titauhia ai, ia fa’aea ‘i te fare.

    MĀURUURU E FA’AITOITO

  • BULLETIN D’INFORMATION #24 – Cellule de crise de la Polynésie française

    Le nombre de dépistages augmente. Sur 73 tests effectués hier aucune personne n’a été relevée positive au virus, pour 1051 analyses effectuées. 55 personnes ont été dépistées positives depuis le début de l’épidémie, soit 6.3 % de la totalité des populations testées. Une personne demeure hospitalisée, aucun décès n’est constaté.

    Dépistages : les actions ciblées du bureau de veille sanitaire

    Les agents du bureau de veille sanitaire (BVS) poursuivent et élargissent leurs travaux de dépistage du virus. Une centaine de tests a été lancée à l’intention des personnes ayant été en contact avec des cas s’étant révélés positifs.

    Opération « Pu Aho » : des masques en tissu pour l’Administration

    Afin de lutter contre la propagation du virus et dans le cadre d’une reprise progressive de l’activité de l’Administration, le conseil des ministres a lancé l’opération « Pu Aho », consistant à imposer le port du masque en tissu, obligatoire pour les agents du Pays – services et établissements publics – en situation d‘activité, hors personnels spécialisés comme les acteurs sanitaires disposant de masques spécifiques.

    Cette opération concerne près de 4.000 agents et 16.000 masques, soit quatre masques par agent. La Direction de la modernisation et des réformes de l’administration (DMRA) s’occupe du recensement des besoins, tandis que le Service de l’artisanat traditionnel est chargé du suivi de la production des masques.

    « Episurveillance » : une vision globale de l’épidémie depuis le début des opérations

    La cellule de crise COVID-19 du Pays analyse, avec l’épisurveillance, l’évolution de la maladie en fonction de plusieurs critères dont le nombre d’analyse effectuées et les résultats des tests. Le regard des spécialistes se porte bien sur les chiffres du jour, mais également sur les semaines passées.

    Des tests de dépistage du Covid-19 sont réalisés depuis le début du mois de mars. Ils ont d’abord été prescrits essentiellement pour des personnes ayant développé des symptômes au retour de voyage international ou après contact étroit avec des cas positifs.

    Suite à l’élargissement de la stratégie de dépistage rendue récemment possible par la disponibilité plus importante des tests, le nombre de tests réalisés s’est accru, de 269 dépistages la semaine dernière en semaine 15 contre 181 en semaine 14. Sur le total de la période, 872 personnes ont été dépistées avec un taux de positivité moyen de 6,3%. Pour la semaine 15, le taux de positivité des dépistages était de 5,1%.

    Le diagramme présenté aujourd’hui (figure 3) fait le point de cette épisurveillance depuis le début mars.

    BULLETIN D’INFORMATION #24 – Cellule de crise de la Polynésie française

    ‘Ua mara’a te mau hi’opo’ara’a mai tei fa’aarahia atu na. I nia i na rahira’a hio’po’ara’a 73 tei ravehia. Aore roa e ta’ata i ‘itehia e ua ro’ohia oia i teie ma’i COVID-19.

    Mai te ‘omuara’a ‘o teie ma’i ‘i te fenua nei e tae roa mai ‘i teie mahana, teie te mau nûmera : 1 051 ta’ata tei hi’opo’ahia, E 55 noa â ta’ata tei ro’ohia ‘i te ma’i COVID-19, mai te monire 13 no Eperera mai â. E 6,3 i nia i te hanere ia fa’aau anaehia i nia i te ta’atoara’a o te mau hi’opo’ara’a. Hô’ê noa â ta’ata tei tapeahia ‘i te fare ma’i. ‘E te parau ‘oa’oa ra, ‘aore â ta’ata i fa’arue mai.

    Te mau hi’opo’ara’a

    Te fa’auana nei te mau pûpu rave ‘ohipa a te Pû Aupuruaea, i tâ ratou mau hi’opo’ara’a i nia i te faito hô’ê hanere i te mahana hô’ê, no te mau ta’ata ihoa ra tei piri atu i te feia ma’i COVID-19.

    Te fa’anahora’a « Pû Aho » : te mau pâruru vaha no te mau rave ‘ohipa a te Hau.

    No te arora’a i te pârarera’a o te tirotiro Covid19, e no te ha’amata fa’ahou ra’a te mau ‘ohipa i roto i te mau pû a te Hau, ‘ua ha’amau mai te Fa’aterera’a Hau fenua i teie fa’anahora’a « Pû Aho ». E fa’ahepohia te ta’atoara’a o te mau feia rave ‘ohipa i roto i te mau pû atoa a te Hau fenua, i te tamaura’a i te pâruru vaha.

    Aita ra te mau feia rave ‘ohipa i roto i te mau fare utuutura’a ma’i e ô i roto i teie fa’anahora’a.

    E maha tauatini rave ‘ohipa a te Hau fenua, e maha paruru vaha i te ta’ata rave ‘ohipa tâta’itahi, ‘ahuru mâ ono tauatini ia rahira’a pâruru vaha e operehia.

    Na te Fa’aterera’a o te mau fa’anahora’a ‘ohipa a te Hau Fenua e tapa’o mai te rahira’a pâruru vaha e hina’arohia ra et na te Pû o te Rima’i e hi’o mai i te hamanira’a teie mau pâruru vaha.

    Te amaa ‘ohipa hi’opo’ara’a i te mau ma’i : te hi’ora’a amui i teie fifi ma’i mai te omuara’a mai

    Te tuatapapa nei te Pû ti’aau i te fifi ma’i Covid-19, ma te turuhia mai e te amaa ‘ohipa hi’opo’ara’a i te huru o teie ma’i ma te turui i nia i te nûmera tei ro’aa mai i muri ae te mau hi’opo’ara’a. Te tutonu nei te mau taote aivana’a i nja i te nûmera o te mahana tataitahi e i nia atoa i tô te mau hepetoma i mahemo.

    ‘Ua ha’amatahia mai te mau hi’opo’ara’a mai te mau mahana matamua no mâti ra. O te mau feia noa te vai ra te mau tapa’o ma’i i nia ia ratou e o tei ho’i mai na te ara e aita ra o te piri fatata roa i te hô’ê ta’ata ma’i.

    I muri ae i te fa’arahira’ahia te mau hi’opo’ara’a, i muri ae i te tae ra’a mai te mau materia hi’opo’ara’a, ‘ua mara’a atoa te mau hi’opo’ara’a. 269 hi’opo’ara’a i te hepetoma i mahemo, 15 noa hi’opoa’ra’a i tera hepetoma i muri roa atu. I roto i teie area taime 872 feia tei hi’opo’ahia, 6,3 i nja i te hanere te itehia e e tirotiro Covid-19 tô roto ia ratou. I te hepetoma i mairi aenei, 5,1 i nia i te hanere te itehia e e tirotiro Covid-19 tô roto ia ratou.

    A hio i te ha’apâpu ra’a i nia i te hohioa i muri nei.

    Te ARAIRA’A ‘i teie ma’i. ‘E mea faufa’a ‘ia fâaha’amana’ohia, ‘e’ita teie tirotiro ‘e parare noa, nā tātou ra ‘e ta’ita’i nei iana no reira tatou ’e titauhia ai, ia fa’aea ‘i te fare.

    BULLETIN D’INFORMATION #24 – Cellule de crise de la Polynésie française

    Le nombre de dépistages augmente. Sur 73 tests effectués hier aucune personne n’a été relevée positive au virus, pour 1051 analyses effectuées. 55 personnes ont été dépistées positives depuis le début de l’épidémie, soit 6.3 % de la totalité des populations testées. Une personne demeure hospitalisée, aucun décès n’est constaté.

    Dépistages : les actions ciblées du bureau de veille sanitaire

    Les agents du bureau de veille sanitaire (BVS) poursuivent et élargissent leurs travaux de dépistage du virus. Une centaine de tests a été lancée à l’intention des personnes ayant été en contact avec des cas s’étant révélés positifs.

    Opération « Pu Aho » : des masques en tissu pour l’Administration

    Afin de lutter contre la propagation du virus et dans le cadre d’une reprise progressive de l’activité de l’Administration, le conseil des ministres a lancé l’opération « Pu Aho », consistant à imposer le port du masque en tissu, obligatoire pour les agents du Pays – services et établissements publics – en situation d‘activité, hors personnels spécialisés comme les acteurs sanitaires disposant de masques spécifiques.

    Cette opération concerne près de 4.000 agents et 16.000 masques, soit quatre masques par agent. La Direction de la modernisation et des réformes de l’administration (DMRA) s’occupe du recensement des besoins, tandis que le Service de l’artisanat traditionnel est chargé du suivi de la production des masques.

    « Episurveillance » : une vision globale de l’épidémie depuis le début des opérations

    La cellule de crise COVID-19 du Pays analyse, avec l’épisurveillance, l’évolution de la maladie en fonction de plusieurs critères dont le nombre d’analyse effectuées et les résultats des tests. Le regard des spécialistes se porte bien sur les chiffres du jour, mais également sur les semaines passées.

    Des tests de dépistage du Covid-19 sont réalisés depuis le début du mois de mars. Ils ont d’abord été prescrits essentiellement pour des personnes ayant développé des symptômes au retour de voyage international ou après contact étroit avec des cas positifs.

    Suite à l’élargissement de la stratégie de dépistage rendue récemment possible par la disponibilité plus importante des tests, le nombre de tests réalisés s’est accru, de 269 dépistages la semaine dernière en semaine 15 contre 181 en semaine 14. Sur le total de la période, 872 personnes ont été dépistées avec un taux de positivité moyen de 6,3%. Pour la semaine 15, le taux de positivité des dépistages était de 5,1%.

    Le diagramme présenté aujourd’hui (figure 3) fait le point de cette épisurveillance depuis le début mars.

    BULLETIN D’INFORMATION #24 – Cellule de crise de la Polynésie française

    ‘Ua mara’a te mau hi’opo’ara’a mai tei fa’aarahia atu na. I nia i na rahira’a hio’po’ara’a 73 tei ravehia. Aore roa e ta’ata i ‘itehia e ua ro’ohia oia i teie ma’i COVID-19.

    Mai te ‘omuara’a ‘o teie ma’i ‘i te fenua nei e tae roa mai ‘i teie mahana, teie te mau nûmera : 1 051 ta’ata tei hi’opo’ahia, E 55 noa â ta’ata tei ro’ohia ‘i te ma’i COVID-19, mai te monire 13 no Eperera mai â. E 6,3 i nia i te hanere ia fa’aau anaehia i nia i te ta’atoara’a o te mau hi’opo’ara’a. Hô’ê noa â ta’ata tei tapeahia ‘i te fare ma’i. ‘E te parau ‘oa’oa ra, ‘aore â ta’ata i fa’arue mai.

    Te mau hi’opo’ara’a

    Te fa’auana nei te mau pûpu rave ‘ohipa a te Pû Aupuruaea, i tâ ratou mau hi’opo’ara’a i nia i te faito hô’ê hanere i te mahana hô’ê, no te mau ta’ata ihoa ra tei piri atu i te feia ma’i COVID-19.

    Te fa’anahora’a « Pû Aho » : te mau pâruru vaha no te mau rave ‘ohipa a te Hau.

    No te arora’a i te pârarera’a o te tirotiro Covid19, e no te ha’amata fa’ahou ra’a te mau ‘ohipa i roto i te mau pû a te Hau, ‘ua ha’amau mai te Fa’aterera’a Hau fenua i teie fa’anahora’a « Pû Aho ». E fa’ahepohia te ta’atoara’a o te mau feia rave ‘ohipa i roto i te mau pû atoa a te Hau fenua, i te tamaura’a i te pâruru vaha.

    Aita ra te mau feia rave ‘ohipa i roto i te mau fare utuutura’a ma’i e ô i roto i teie fa’anahora’a.

    E maha tauatini rave ‘ohipa a te Hau fenua, e maha paruru vaha i te ta’ata rave ‘ohipa tâta’itahi, ‘ahuru mâ ono tauatini ia rahira’a pâruru vaha e operehia.

    Na te Fa’aterera’a o te mau fa’anahora’a ‘ohipa a te Hau Fenua e tapa’o mai te rahira’a pâruru vaha e hina’arohia ra et na te Pû o te Rima’i e hi’o mai i te hamanira’a teie mau pâruru vaha.

    Te amaa ‘ohipa hi’opo’ara’a i te mau ma’i : te hi’ora’a amui i teie fifi ma’i mai te omuara’a mai

    Te tuatapapa nei te Pû ti’aau i te fifi ma’i Covid-19, ma te turuhia mai e te amaa ‘ohipa hi’opo’ara’a i te huru o teie ma’i ma te turui i nia i te nûmera tei ro’aa mai i muri ae te mau hi’opo’ara’a. Te tutonu nei te mau taote aivana’a i nja i te nûmera o te mahana tataitahi e i nia atoa i tô te mau hepetoma i mahemo.

    ‘Ua ha’amatahia mai te mau hi’opo’ara’a mai te mau mahana matamua no mâti ra. O te mau feia noa te vai ra te mau tapa’o ma’i i nia ia ratou e o tei ho’i mai na te ara e aita ra o te piri fatata roa i te hô’ê ta’ata ma’i.

    I muri ae i te fa’arahira’ahia te mau hi’opo’ara’a, i muri ae i te tae ra’a mai te mau materia hi’opo’ara’a, ‘ua mara’a atoa te mau hi’opo’ara’a. 269 hi’opo’ara’a i te hepetoma i mahemo, 15 noa hi’opoa’ra’a i tera hepetoma i muri roa atu. I roto i teie area taime 872 feia tei hi’opo’ahia, 6,3 i nja i te hanere te itehia e e tirotiro Covid-19 tô roto ia ratou. I te hepetoma i mairi aenei, 5,1 i nia i te hanere te itehia e e tirotiro Covid-19 tô roto ia ratou.

    A hio i te ha’apâpu ra’a i nia i te hohioa i muri nei.

    Te ARAIRA’A ‘i teie ma’i. ‘E mea faufa’a ‘ia fâaha’amana’ohia, ‘e’ita teie tirotiro ‘e parare noa, nā tātou ra ‘e ta’ita’i nei iana no reira tatou ’e titauhia ai, ia fa’aea ‘i te fare.

  • BULLETIN D’INFORMATION #23 – Cellule de crise de la Polynésie française

    Sur les 43 dépistages effectués hier, aucune personne n’a été relevée positive au virus, pour 978 analyses effectuées depuis le début de l’épidémie. 55 personnes ont été dépistées positives depuis le début de l’épidémie. Une personne demeure hospitalisée, aucun décès n’est constaté.

    Stratégie de dépistage

    • les équipes du bureau de veille sanitaire (BVS), qui se déplacent sur le terrain, et qui sont à l’origine de plusieurs dizaines de tests actuellement en cours d’analyse sur des zones ciblées (Papara, notamment) ;
    • les tests réalisés par les équipes de l’Institut Louis Malardé (ILM) sur la base d’une ordonnance médicale, qui ont installé un « drive » permettant aux personnes de se faire tester dans leur voiture.

    On rajoutera également les dépistages spécifiques effectués au Centre hospitalier de la Polynésie française.

    L’Institut Louis Malardé, principal opérateur des analyses, est aujourd’hui en capacité d’effectuer 120 tests par jour suite à l’arrivée des matériels spécifiques par le premier vol de continuité territoriale. A l’échelle nationale, cela correspondrait à plus de 28.000 personnes testées quotidiennement.

    La stratégie de dépistage prend en compte plusieurs facteurs sociologiques, comme par exemple la transmission communautaire : les autorités sanitaires cherchent à savoir si le virus qui se répand partout sur le territoire, dans toutes les communautés – ce qui n’est pas le cas actuellement, suite aux mesures de confinement stricte adoptées par les autorités.

    Enfin, la stratégie de dépistage repose enfin sur un ciblage spécifique : en premier lieu, les populations ayant été en contact avec des personnes atteintes du virus ; les personnes ayant voyagé hors de nos frontières, qui constituent près de la moitié des cas importés ; les personnels en première ligne du combat contre l’épidémie (personnels de santé, personnels municipaux, forces de l’ordre, pompiers, personnels navigants). Et également, toute personne présentant les symptômes évocateurs de la maladie.

    Symptomatologie : surveiller son état de santé et se signaler

    Le virus du COVID-19 se transmet par les voies aériennes (sous formes de gouttelettes) via la bouche, le nez et les yeux.

    Parmi les symptômes de la maladie, certains peuvent s’apparenter à un rhume classique (fatigue générale, nez qui coule, gorge qui gratte et toux).

    Si vous ressentez ces symptômes, appelez rapidement votre médecin traitant, ou l’une des structures de la santé publique à proximité de votre domicile (dispensaires, centre de la mère et de l’enfant, hôpitaux périphériques). Il convient d’appeler les numéros 444 789 ou 15 si les premiers contacts ne répondent pas.

    D’autres symptômes plus graves peuvent être observés comme une gêne respiratoire, si votre état est alarmant, appelez le 15.

    Enfin, une attitude est recommandée : la prise de température régulière, car comme tout dérèglement ou maladie, le virus peut provoquer de la fièvre, même si cela n’est pas systématique. Si vous ressentez de la fièvre, appelez votre médecin.

    Vocabulaire de l’épidémie

    L’épidémie de COVID-19 draine un nouveau vocabulaire qu’il n’est parfois pas facile d’adopter dans le langage courant.

    Ce vocabulaire est pourtant important, car il permet, notamment, de ne pas stigmatiser les personnes atteintes du virus. On parle effectivement de « personnes atteintes du virus », quand les dépistages effectués sont déclarés positifs.

    Enquête eCovid-Pf

    La Direction de la santé lance une enquête auprès de la population concernant sa perception des messages de prévention liés à l’épidémie de Covid19.

    Pour faire face à l’épidémie du Covid-19 à laquelle est confrontée la population de la Polynésie française depuis le mois de mars 2020, de nombreuses mesures ont été prises pour freiner la propagation du virus et protéger la population.

    La communication relative à l’épidémie du Covid-19 vise à mieux informer la population sur l’évolution de la situation sur le territoire, l’inciter à adopter les gestes barrières et à rester confinée chez elle. Pour autant, nous ne savons pas comment et dans quelles conditions l’information est reçue et adoptée dans les foyers. Les gestes barrières et le confinement sont-ils bien appliqués ? Si non, pourquoi ? Nous avons conscience que le confinement de la population est une des mesures prises qui remet le plus en question le quotidien de chacun d’entre nous.

    C’est la raison pour laquelle, la Direction de la santé, lance une enquête pour mieux identifier vos besoins et vos attentes, vos difficultés et les conditions dans lesquelles l’ensemble des mesures de protection sont appliquées. Cette enquête anonyme s’adresse à l’ensemble de la population résidant actuellement en Polynésie française (Tahiti et tous les archipels) et âgée d’au moins 18 ans au moment de l’enquête.

    Participez à cette étude : https://www.service-public.pf/dsp/covid-19/ecovidpf-devenez-acteur-votre-sante-surveillance-epidemie-covid19-fenua/

    ENSEMBLE, LUTTONS CONTRE LA PROPAGATION DU VIRUS EN APPLIQUANT LES GESTES BARRIÈRES.

    PARAU FA’AARARA’A NĀ TE MAU VE’A #23

    I te mahana no nanahi ra, mahana piti 14 nô Eperera, ‘ua ravehia 43 mâ’imira’a. Aore roa e ta’ata i ‘itehia e ua ro’ohia ratou i te ma’i COVID-19.

    Mai te ‘omuara’a ‘o teie ma’i ‘i te fenua nei e tae roa mai ‘i teie mahana, teie te mau nûmera : 978 ta’ata tei hi’opo’ahia, 55 ta’ata tei ro’ohia ‘i te ma’i COVID-19. Hô’ê noa â ta’ata tei tapeahia ‘i te fare ma’i. ‘E te parau ‘oa’oa ra, ‘aore â ta’ata i fa’arue mai.

    Te mau fa’anahora’a no te hi’opo’ara’a

    ‘Ua mara’a te rahira’a o te mau hi’opo’ara’a mai tei fa’a’arahia e te Tia Fa’atere o te Ea i Porînetia nei. E ravehia te mau hi’opo’ara’a mai teie te huru :

    • Te mau pûpu rave ‘ohipa a te Pû Aupuruaea, te haere atu i roto i te mau tuhaa o te mau oire (mai ia Papara), tei nia i te faito hanere hi’opo’ara’a tâ ratou e rave.
    • Te mau rave ‘ohipa a te Pû Malardé ma te fa’ari’i i te mau ta’ata tâ tô ratou taote i tono mai ; ei roto noa ratou i tô ratou pereo’o e hi’opo’ahja ai.
    • E te vai nei te mau hi’opo’ara’a e ravehia nei e te fare ma’i no Taoone, no te ta’ata ma’i tâ ratou e ra’apau.

    Na roto i te taera’a mai te mau materia na nia i te manureva matamua i târahuhia e te Hau nui, e nehenehe atura ta te pû ma’imira’a Malarde e rave 120 hi’opo’ara’a i te mahana hô’ê.

    I roto i te mau ravea hi’opo’ara’a, e hi’opo’ahia te pârarera’a o te ma’i i roto i te hô’ê pûpu ta’ata. Te imi nei te mau tia Fa’atere o te Ea,e nohea mai teie tirotiro e pârare nei i nia i tô tatou fenua.

    Aita ra teie tirotiro e pârare nei i muri ae i te opaniopanira’a hia te ta’ata i roto i tô ratou mau utuafare.

    Tei nia atura teie mau hi’opo’ara’a i te mau ta’ata o tei piripiri i te feia i ro’ohia i teie tirotiro, mai te mau ta’ata i reva i rapae i tô tatou fenua (o te afa rahi ia o te ta’ata ma’i).

    I roto ia ratou, te mau utuutu ma’i, te feia rave ‘ohipa a te mau ‘oire, te mau mûto’i, te feia tûpohe auahi, te mau pairati manureva.

    Te mau tapa’o o te ma’i

    Te tirotiro o te ma’i Covid-19, e pe’e oia na roto mai i tô tatou vaha, te ihu e te mata. I roto i teie mau tapa’o, e piri ri’i i te ma’i hupe (Grippe) (paruparu te tino, tahe te hupe, maero te arapo’a, e te hota). No reira, ia ite outou teie mau tapa’o, a niuniu rû atu i tô outou taote e aore ra i te hô’ê pû utuutur’a ma’i fatata roa i tô outou nohora’a. E nehenehe atoa outou e niuniu i te nûmera 15.

    Te fa’auera’a hopea, ia faito tâmau outou i tô outou fiva i te mea na teie tirotiro e fa’atupu i te fiva. I taua taime ra, a niuniu atu i tô outou taote.

    Te mau ta’o o teiue ma’i

    « Personnes atteintes du virus » : ta’ata i ro’ohia i teie tirotiro. E ta’ata teie o tei hi’opo’ahia e ua ite papuhia te tirotiro i roto iana.

    Titorotorora’a

    Te fa’atupu nei te Fa’aterera’a o te Ea i te hô’ê titorotoro huira’atira no nia i tana hiora’a i te mau poro’i pârurura’a i te ma’i COVID-19.

    Te ARAIRA’A ‘i teie ma’i. ‘E mea faufa’a ‘ia fâaha’amana’ohia, ‘e’ita teie tirotiro ‘e parare noa, nā tātou ra ‘e ta’ita’i nei iana no reira tatou ’e titauhia ai, ia fa’aea ‘i te fare.

    MĀURUURU E FA’AITOITO

    BULLETIN D’INFORMATION #23 – Cellule de crise de la Polynésie française

    Sur les 43 dépistages effectués hier, aucune personne n’a été relevée positive au virus, pour 978 analyses effectuées depuis le début de l’épidémie. 55 personnes ont été dépistées positives depuis le début de l’épidémie. Une personne demeure hospitalisée, aucun décès n’est constaté.

    Stratégie de dépistage

    • les équipes du bureau de veille sanitaire (BVS), qui se déplacent sur le terrain, et qui sont à l’origine de plusieurs dizaines de tests actuellement en cours d’analyse sur des zones ciblées (Papara, notamment) ;
    • les tests réalisés par les équipes de l’Institut Louis Malardé (ILM) sur la base d’une ordonnance médicale, qui ont installé un « drive » permettant aux personnes de se faire tester dans leur voiture.

    On rajoutera également les dépistages spécifiques effectués au Centre hospitalier de la Polynésie française.

    L’Institut Louis Malardé, principal opérateur des analyses, est aujourd’hui en capacité d’effectuer 120 tests par jour suite à l’arrivée des matériels spécifiques par le premier vol de continuité territoriale. A l’échelle nationale, cela correspondrait à plus de 28.000 personnes testées quotidiennement.

    La stratégie de dépistage prend en compte plusieurs facteurs sociologiques, comme par exemple la transmission communautaire : les autorités sanitaires cherchent à savoir si le virus qui se répand partout sur le territoire, dans toutes les communautés – ce qui n’est pas le cas actuellement, suite aux mesures de confinement stricte adoptées par les autorités.

    Enfin, la stratégie de dépistage repose enfin sur un ciblage spécifique : en premier lieu, les populations ayant été en contact avec des personnes atteintes du virus ; les personnes ayant voyagé hors de nos frontières, qui constituent près de la moitié des cas importés ; les personnels en première ligne du combat contre l’épidémie (personnels de santé, personnels municipaux, forces de l’ordre, pompiers, personnels navigants). Et également, toute personne présentant les symptômes évocateurs de la maladie.

    Symptomatologie : surveiller son état de santé et se signaler

    Le virus du COVID-19 se transmet par les voies aériennes (sous formes de gouttelettes) via la bouche, le nez et les yeux.

    Parmi les symptômes de la maladie, certains peuvent s’apparenter à un rhume classique (fatigue générale, nez qui coule, gorge qui gratte et toux).

    Si vous ressentez ces symptômes, appelez rapidement votre médecin traitant, ou l’une des structures de la santé publique à proximité de votre domicile (dispensaires, centre de la mère et de l’enfant, hôpitaux périphériques). Il convient d’appeler les numéros 444 789 ou 15 si les premiers contacts ne répondent pas.

    D’autres symptômes plus graves peuvent être observés comme une gêne respiratoire, si votre état est alarmant, appelez le 15.

    Enfin, une attitude est recommandée : la prise de température régulière, car comme tout dérèglement ou maladie, le virus peut provoquer de la fièvre, même si cela n’est pas systématique. Si vous ressentez de la fièvre, appelez votre médecin.

    Vocabulaire de l’épidémie

    L’épidémie de COVID-19 draine un nouveau vocabulaire qu’il n’est parfois pas facile d’adopter dans le langage courant.

    Ce vocabulaire est pourtant important, car il permet, notamment, de ne pas stigmatiser les personnes atteintes du virus. On parle effectivement de « personnes atteintes du virus », quand les dépistages effectués sont déclarés positifs.

    Enquête eCovid-pf

    La Direction de la santé lance une enquête auprès de la population concernant sa perception des messages de prévention liés à l’épidémie de Covid19.

    Pour faire face à l’épidémie du Covid-19 à laquelle est confrontée la population de la Polynésie française depuis le mois de mars 2020, de nombreuses mesures ont été prises pour freiner la propagation du virus et protéger la population.

    La communication relative à l’épidémie du Covid-19 vise à mieux informer la population sur l’évolution de la situation sur le territoire, l’inciter à adopter les gestes barrières et à rester confinée chez elle. Pour autant, nous ne savons pas comment et dans quelles conditions l’information est reçue et adoptée dans les foyers. Les gestes barrières et le confinement sont-ils bien appliqués ? Si non, pourquoi ? Nous avons conscience que le confinement de la population est une des mesures prises qui remet le plus en question le quotidien de chacun d’entre nous.

    C’est la raison pour laquelle, la Direction de la santé, lance une enquête pour mieux identifier vos besoins et vos attentes, vos difficultés et les conditions dans lesquelles l’ensemble des mesures de protection sont appliquées. Cette enquête anonyme s’adresse à l’ensemble de la population résidant actuellement en Polynésie française (Tahiti et tous les archipels) et âgée d’au moins 18 ans au moment de l’enquête.

    Participez à cette étude : https://www.service-public.pf/dsp/covid-19/ecovidpf-devenez-acteur-votre-sante-surveillance-epidemie-covid19-fenua/

    ENSEMBLE, LUTTONS CONTRE LA PROPAGATION DU VIRUS EN APPLIQUANT LES GESTES BARRIÈRES.

    PARAU FA’AARARA’A NĀ TE MAU VE’A #23

    I te mahana no nanahi ra, mahana piti 14 nô Eperera, ‘ua ravehia 43 mâ’imira’a. Aore roa e ta’ata i ‘itehia e ua ro’ohia ratou i te ma’i COVID-19.

    Mai te ‘omuara’a ‘o teie ma’i ‘i te fenua nei e tae roa mai ‘i teie mahana, teie te mau nûmera : 978 ta’ata tei hi’opo’ahia, 55 ta’ata tei ro’ohia ‘i te ma’i COVID-19. Hô’ê noa â ta’ata tei tapeahia ‘i te fare ma’i. ‘E te parau ‘oa’oa ra, ‘aore â ta’ata i fa’arue mai.

    Te mau fa’anahora’a no te hi’opo’ara’a

    ‘Ua mara’a te rahira’a o te mau hi’opo’ara’a mai tei fa’a’arahia e te Tia Fa’atere o te Ea i Porînetia nei. E ravehia te mau hi’opo’ara’a mai teie te huru :

    • Te mau pûpu rave ‘ohipa a te Pû Aupuruaea, te haere atu i roto i te mau tuhaa o te mau oire (mai ia Papara), tei nia i te faito hanere hi’opo’ara’a tâ ratou e rave.
    • Te mau rave ‘ohipa a te Pû Malardé ma te fa’ari’i i te mau ta’ata tâ tô ratou taote i tono mai ; ei roto noa ratou i tô ratou pereo’o e hi’opo’ahja ai.
    • E te vai nei te mau hi’opo’ara’a e ravehia nei e te fare ma’i no Taoone, no te ta’ata ma’i tâ ratou e ra’apau.

    Na roto i te taera’a mai te mau materia na nia i te manureva matamua i târahuhia e te Hau nui, e nehenehe atura ta te pû ma’imira’a Malarde e rave 120 hi’opo’ara’a i te mahana hô’ê.

    I roto i te mau ravea hi’opo’ara’a, e hi’opo’ahia te pârarera’a o te ma’i i roto i te hô’ê pûpu ta’ata. Te imi nei te mau tia Fa’atere o te Ea,e nohea mai teie tirotiro e pârare nei i nia i tô tatou fenua.

    Aita ra teie tirotiro e pârare nei i muri ae i te opaniopanira’a hia te ta’ata i roto i tô ratou mau utuafare.

    Tei nia atura teie mau hi’opo’ara’a i te mau ta’ata o tei piripiri i te feia i ro’ohia i teie tirotiro, mai te mau ta’ata i reva i rapae i tô tatou fenua (o te afa rahi ia o te ta’ata ma’i).

    I roto ia ratou, te mau utuutu ma’i, te feia rave ‘ohipa a te mau ‘oire, te mau mûto’i, te feia tûpohe auahi, te mau pairati manureva.

    Te mau tapa’o o te ma’i

    Te tirotiro o te ma’i Covid-19, e pe’e oia na roto mai i tô tatou vaha, te ihu e te mata. I roto i teie mau tapa’o, e piri ri’i i te ma’i hupe (Grippe) (paruparu te tino, tahe te hupe, maero te arapo’a, e te hota). No reira, ia ite outou teie mau tapa’o, a niuniu rû atu i tô outou taote e aore ra i te hô’ê pû utuutur’a ma’i fatata roa i tô outou nohora’a. E nehenehe atoa outou e niuniu i te nûmera 15.

    Te fa’auera’a hopea, ia faito tâmau outou i tô outou fiva i te mea na teie tirotiro e fa’atupu i te fiva. I taua taime ra, a niuniu atu i tô outou taote.

    Te mau ta’o o teiue ma’i

    « Personnes atteintes du virus » : ta’ata i ro’ohia i teie tirotiro. E ta’ata teie o tei hi’opo’ahia e ua ite papuhia te tirotiro i roto iana.

    Titorotorora’a

    Te fa’atupu nei te Fa’aterera’a o te Ea i te hô’ê titorotoro huira’atira no nia i tana hiora’a i te mau poro’i pârurura’a i te ma’i COVID-19.

    Te ARAIRA’A ‘i teie ma’i. ‘E mea faufa’a ‘ia fâaha’amana’ohia, ‘e’ita teie tirotiro ‘e parare noa, nā tātou ra ‘e ta’ita’i nei iana no reira tatou ’e titauhia ai, ia fa’aea ‘i te fare.

    MĀURUURU E FA’AITOITO

  • BULLETIN D’INFORMATION #22 – Cellule de crise de la Polynésie française

    Les derniers résultats des prélèvements effectués n’ont révélé aucune personne positive. 55 personnes ont été atteintes depuis le début de l’épidémie, pour 935 analyses effectuées. Une personne demeure hospitalisée, aucun décès n’est constaté.

    Dans un autre domaine et en près de 72 heures, 782 personnes se sont déclarées bénévoles sur le site de la plateforme interactive www.benevolescovidpf.com

    Le point sur les vols nationaux et internationaux

    Le second vol de continuité territoriale est programmé pour un départ à destination de Paris le vendredi 17 prochain.

    Le second vol à destination de Shanghai est également en cours. Afin de tenir compte du retour d’expérience de la première mission, son lancement sera lié à la présence effective des matériels sanitaires commandés dans les entrepôts.

    L’information du jour : lancement d’une campagne massive de dépistage

    Suite à l’arrivée des matériels sanitaires par le premier vol de continuité territoriale, les autorités sanitaires lancent une campagne massive de dépistage, qui permettra d’avoir une meilleure connaissance de la présence et de la circulation du virus COVID-19 au sein de la population.

    Cette campagne massive est organisée de manière à ce que l’Institut de recherche Louis Malardé, qui a mis au point un système de drive pour faciliter les prélèvements sur prescription médicale, puisse réaliser une centaine d’analyses par journée, de manière continue.

    Le Centre Hospitalier de la Polynésie française est également concerné par la réalisation de ces tests pour ses urgences. Le type de population concernée par cette stratégie de dépistage massif est un élément important de la stratégie. Les autorités sanitaires demandent que chaque personne puisse contacter son médecin traitant – ou un médecin – dès la présentation de l’un ou l’autre des symptômes du COVID-19 (toux, fièvre, perte d’odorat, maux de tête, écoulement nasal et fièvre pour l’essentiel).

    Parallèlement, les équipes tournantes du bureau de veille sanitaire de la direction de la santé poursuivront un dépistage plus ciblé, concernant essentiellement les personnes ayant été en contact avec les personnes atteintes du virus, les personnes revenues de métropole ou de l’étranger ainsi que tous les personnels en première ligne du combat contre l’épidémie. A ce jour, une centaine de personnes sont suivies par le BVS.

    ENSEMBLE, LUTTONS CONTRE LA PROPAGATION DU VIRUS EN APPLIQUANT LES GESTES BARRIÈRES.

    PARAU FA’AARARA’A NĀ TE MAU VE’A #22

    I te mahana no nanahi ra, monire 13 nô Eperera, ‘ua ravehia 16 mâ’imira’a. Aore roa e ta’ata i ‘itehia e ua ro’ohia ratou i te ma’i Covid-19.

    Mai te ‘omuara’a ‘o teie ma’i ‘i te fenua nei e tae roa mai ‘i teie mahana, teie te mau nûmera : 935 ta’ata tei hi’opo’ahia, 55 ta’ata tei ro’ohia ‘i te ma’i COVID-19. Hô’ê noa â ta’ata tei tapeahia ‘i te fare ma’i. ‘E te parau ‘oa’oa ra, ‘aore â ta’ata i fa’arue mai.

    Te mau tere manureva

    ‘Ua tâpurahia te piti o te tere no te manureva ATN na roto i te fa’anahora’a a te Hau Nui (Continuité territoriale), i teie mahana pae 17 no Eperera.

    ‘Ua tâpura atoa hia te piti no te tere i te ‘oire no Shanghai. E tere atu tô tâtou manureva ia ‘oti ana’e te mau tauiha’a tâ tâtou i poro’i i te ha’aputuhia mai i roto i te fare maeha’a.

    Te parau apî no teie mahana : te fa’uanara’a i te mau hi’opo’ara’a

    I muri ae i te taera’a mai te mau tauiha’a na nia mai i te manureva tei târahuhia e te Hau Nui no te fa’aho’ira’a mai i te mau materia no te pae o te ututura’a, ‘ua fa’aoti te Fa’aterera’a o te Ea i te fa’arahi atu â i te mau hi’opo’ara’a ia pâpu te parau o te nu’ura’a o teie tirotiro o te COVID-19 i rotopu i te huira’atira.

    ‘Ua fa’aineinehia teie mau hi’opo’ara’a e te pû ma’imira’a Louis Malardé ma te fa’anaho i te tahi mau hi’opo’ara’a i roto noa i te preo’o o te ta’ata, ia nehenehe te mau ta’ata hi’opo’a ia rave vitiviti tâ ratou ‘ohipa.

    Inaha te fâ e titauhia nei ia hau i te hanere ta’ata e hi’opo’ahia i te mahana hô’ê. Te na reira atoa nei te mau ta’ata hi’opo’a no te fare ma’i no Taaone.

    No te fa’aohie i teie mau hi’opo’ara’a, te titauhia nei te mau ta’ata ia haere e farerei i to ratou mau taote mai te mea e, te vai ra te mau tapa’o ma’i i nia ia ratou (fiva, hota, fifi no te hutira’a aho). E na tô ratou taote e hamani mai i te hô’ê parau fa’atia no te hi’iopo’ara’a ia ratou.

    A ta’a noa atu te mau hi’opo’ara’a tâ teie nâ pû e piti e rave ra, e tamau noa â te mau hi’opo’ara’a na te pû aupuru a ea a te Fa’aterera’a o te Ea, i te feia i farerei tino roa atu i te mau ta’ata i ro’ohia i teie tirotiro. Te mana’ohia ra hô’ê hanere ratou. E mau ta’ata teie tei ho’i mai, mai te fenua farâni e aore ra na te ara mai, e tae no’atu i te mau rave ‘ohipa e farerei pinepine nei i te feia ma’i.

    Te autaera’a

    I muri ae i na mahana toru i mahemo aenei i te haamaura’ahia teie tahua natirara www.benevolespf.com, 782 ta’ata tei ha’apapu mai e e horoa ratou i tô tratou taime e te turu i teie tâpura ‘ohipa.

    Te ARAIRA’A ‘i teie ma’i. ‘E mea faufa’a ‘ia fâaha’amana’ohia, ‘e’ita teie tirotiro ‘e parare noa, nā tātou ra ‘e ta’ita’i nei iana no reira tatou ’e titauhia ai, ia fa’aea ‘i te fare.

    MĀURUURU E FA’AITOITO

    BULLETIN D’INFORMATION #22 – Cellule de crise de la Polynésie française

    Les derniers résultats des prélèvements effectués n’ont révélé aucune personne positive. 55 personnes ont été atteintes depuis le début de l’épidémie, pour 935 analyses effectuées. Une personne demeure hospitalisée, aucun décès n’est constaté.

    Dans un autre domaine et en près de 72 heures, 782 personnes se sont déclarées bénévoles sur le site de la plateforme interactive www.benevolescovidpf.com

    Le point sur les vols nationaux et internationaux

    Le second vol de continuité territoriale est programmé pour un départ à destination de Paris le vendredi 17 prochain.

    Le second vol à destination de Shanghai est également en cours. Afin de tenir compte du retour d’expérience de la première mission, son lancement sera lié à la présence effective des matériels sanitaires commandés dans les entrepôts.

    L’information du jour : lancement d’une campagne massive de dépistage

    Suite à l’arrivée des matériels sanitaires par le premier vol de continuité territoriale, les autorités sanitaires lancent une campagne massive de dépistage, qui permettra d’avoir une meilleure connaissance de la présence et de la circulation du virus COVID-19 au sein de la population.

    Cette campagne massive est organisée de manière à ce que l’Institut de recherche Louis Malardé, qui a mis au point un système de drive pour faciliter les prélèvements sur prescription médicale, puisse réaliser une centaine d’analyses par journée, de manière continue.

    Le Centre Hospitalier de la Polynésie française est également concerné par la réalisation de ces tests pour ses urgences. Le type de population concernée par cette stratégie de dépistage massif est un élément important de la stratégie. Les autorités sanitaires demandent que chaque personne puisse contacter son médecin traitant – ou un médecin – dès la présentation de l’un ou l’autre des symptômes du COVID-19 (toux, fièvre, perte d’odorat, maux de tête, écoulement nasal et fièvre pour l’essentiel).

    Parallèlement, les équipes tournantes du bureau de veille sanitaire de la direction de la santé poursuivront un dépistage plus ciblé, concernant essentiellement les personnes ayant été en contact avec les personnes atteintes du virus, les personnes revenues de métropole ou de l’étranger ainsi que tous les personnels en première ligne du combat contre l’épidémie. A ce jour, une centaine de personnes sont suivies par le BVS.

    ENSEMBLE, LUTTONS CONTRE LA PROPAGATION DU VIRUS EN APPLIQUANT LES GESTES BARRIÈRES.

    PARAU FA’AARARA’A NĀ TE MAU VE’A #22

    I te mahana no nanahi ra, monire 13 nô Eperera, ‘ua ravehia 16 mâ’imira’a. Aore roa e ta’ata i ‘itehia e ua ro’ohia ratou i te ma’i Covid-19.

    Mai te ‘omuara’a ‘o teie ma’i ‘i te fenua nei e tae roa mai ‘i teie mahana, teie te mau nûmera : 935 ta’ata tei hi’opo’ahia, 55 ta’ata tei ro’ohia ‘i te ma’i COVID-19. Hô’ê noa â ta’ata tei tapeahia ‘i te fare ma’i. ‘E te parau ‘oa’oa ra, ‘aore â ta’ata i fa’arue mai.

    Te mau tere manureva

    ‘Ua tâpurahia te piti o te tere no te manureva ATN na roto i te fa’anahora’a a te Hau Nui (Continuité territoriale), i teie mahana pae 17 no Eperera.

    ‘Ua tâpura atoa hia te piti no te tere i te ‘oire no Shanghai. E tere atu tô tâtou manureva ia ‘oti ana’e te mau tauiha’a tâ tâtou i poro’i i te ha’aputuhia mai i roto i te fare maeha’a.

    Te parau apî no teie mahana : te fa’uanara’a i te mau hi’opo’ara’a

    I muri ae i te taera’a mai te mau tauiha’a na nia mai i te manureva tei târahuhia e te Hau Nui no te fa’aho’ira’a mai i te mau materia no te pae o te ututura’a, ‘ua fa’aoti te Fa’aterera’a o te Ea i te fa’arahi atu â i te mau hi’opo’ara’a ia pâpu te parau o te nu’ura’a o teie tirotiro o te COVID-19 i rotopu i te huira’atira.

    ‘Ua fa’aineinehia teie mau hi’opo’ara’a e te pû ma’imira’a Louis Malardé ma te fa’anaho i te tahi mau hi’opo’ara’a i roto noa i te preo’o o te ta’ata, ia nehenehe te mau ta’ata hi’opo’a ia rave vitiviti tâ ratou ‘ohipa.

    Inaha te fâ e titauhia nei ia hau i te hanere ta’ata e hi’opo’ahia i te mahana hô’ê. Te na reira atoa nei te mau ta’ata hi’opo’a no te fare ma’i no Taaone.

    No te fa’aohie i teie mau hi’opo’ara’a, te titauhia nei te mau ta’ata ia haere e farerei i to ratou mau taote mai te mea e, te vai ra te mau tapa’o ma’i i nia ia ratou (fiva, hota, fifi no te hutira’a aho). E na tô ratou taote e hamani mai i te hô’ê parau fa’atia no te hi’iopo’ara’a ia ratou.

    A ta’a noa atu te mau hi’opo’ara’a tâ teie nâ pû e piti e rave ra, e tamau noa â te mau hi’opo’ara’a na te pû aupuru a ea a te Fa’aterera’a o te Ea, i te feia i farerei tino roa atu i te mau ta’ata i ro’ohia i teie tirotiro. Te mana’ohia ra hô’ê hanere ratou. E mau ta’ata teie tei ho’i mai, mai te fenua farâni e aore ra na te ara mai, e tae no’atu i te mau rave ‘ohipa e farerei pinepine nei i te feia ma’i.

    Te autaera’a

    I muri ae i na mahana toru i mahemo aenei i te haamaura’ahia teie tahua natirara www.benevolespf.com, 782 ta’ata tei ha’apapu mai e e horoa ratou i tô tratou taime e te turu i teie tâpura ‘ohipa.

    Te ARAIRA’A ‘i teie ma’i. ‘E mea faufa’a ‘ia fâaha’amana’ohia, ‘e’ita teie tirotiro ‘e parare noa, nā tātou ra ‘e ta’ita’i nei iana no reira tatou ’e titauhia ai, ia fa’aea ‘i te fare.

    MĀURUURU E FA’AITOITO

  • BULLETIN D’INFORMATION #21 – Cellule de crise de la Polynésie française

    Entre les journées des samedi 11 et dimanche 12 avril 2020, quatre personnes atteintes du virus ont été dépistées positives sur 43 analyses effectuées. Trois des personnes atteintes sont des cas importés et une, un cas contact. Trois de ces nouveaux cas sont localisés en zone urbaine. 55 personnes ont été atteintes depuis le début de l’épidémie, pour 920 analyses effectuées. Une personne demeure hospitalisée, aucun décès n’est constaté.

    Cas importés : redoubler de vigilance

    En matière de stratégie de dépistage, la situation des personnes ayant voyagé hors du territoire fait l’objet d’une attention particulière des autorités sanitaires. En effet, un nombre important de personnes déclarées positives – appelées cas importés – en fait partie. Il est donc demandé de redoubler de vigilance et d’appeler le 15 dés l’apparition de symptômes, avant toute auto médication.

    Se pose également, toujours dans le cadre des cas importés, la question asymptomatique : ce sont les personnes atteintes par le virus, mais qui ne présentent aucun symptôme repérable et qui peuvent transmettre le virus sans le savoir.

    Ces personnes peuvent néanmoins être dépistées par les enquêtes réalisées autour de l’entourage des cas contacts, à qui elles auraient transmis le virus.

    Gestes barrières : le lavage simple des mains

    La lutte collective contre l’épidémie passe par le respect des règles du confinement, général et particulier, et également par la répétition des gestes barrières, dont l’un des principaux est le lavage des mains.

    Les équipes de la direction de la santé proposent une série de visuels rappelant comment se laver les mains :

    https://www.service-public.pf/dsp/wp-content/uploads/sites/12/2020/04/FT-1-lavagesimple-des-mains.pdf

    BON COURAGE A TOUTES ET A TOUS. FAAITOITO

    PARAU FA’AARARA’A NĀ TE MAU VE’A #21

    I te mahana mâ’a 11 e te tâpati 12 nô Eperera, ‘ua ravehia 43 mâ’imira’a : e 4 ta’ata tei pâpû e ‘ua ro’ohia ratou i te ma’i Covid-19 (e 3 ta’ata tei ho’i mai na te ara, no roto râtou i nâ ‘oire rarahi no Tahiti, e hô’ê ta’ata te piri atu i te hô’ê ta’ata ma’i).

    Mai te ‘omuara’a ‘o teie ma’i ‘i te fenua nei e tae roa mai ‘i teie mahana, teie te mau numera : 920 ta’ata tei hi’opo’ahia, 55 ta’ata tei ro’ohia ‘i te ma’i COVID-19. Hô’ê noa ta’ata tei tapeahia ‘i te fare ma’i. ‘E te parau ‘oa’oa ra, ‘aore â ta’ata i fa’arue mai.

    Te mau feia ma’i no te ara mai : ia vai ara noa tâtou

    Te vai ara nei te mau ti’a no te Ea i te feia o tei tere na, na te ara, e o te ho’i mai i te fenua nei. Tei roto i teie pu’e ta’ata te parau no te mau ma’i o tei pi’ihia « ma’i no te ara mai ».

    O ratou teie e hi’opoa mâite hia nei e te ani hia nei ia ratou ia ‘ite noa hia atu te mau tapa’o ma’i, ia niuniu atu ratou i te numera 15. Na mua ae i te mau hi’opo’ara’a, te titau hia atu nei te feia e haere e hi’opo’a ia râtou, eiaha roa atu e tâhoro i te huero ra’au, ia ore te mau hi’opo’ara’a ia hape.

    Te vai atoa nei, no teie mau ta’ata, te hô’ê fifi rahi. Inaha, i rotopû ia râtou, te vai nei aita roa atu e tapa’o no te ma’i Covid-19. E ia au i te mau hi’opo’ara’a, tei roto ia râtou te tirotiro o teie ma’i. E riro teie ma’i i te pe’e i nia i te tahi atu mau ta’ata ma te ‘ite ore hia e râtou.

    E nehenehe ra teie mau ta’ata, i pe’ehia i teie tirotiro, i te hi’opo’ahia i muri ae i te hô’ê titorotorora’a.

    Te mau ravea parurura’a : te horoira’a i to tâtou mau rima

    No te pârurura’a i te huira’atira i teie ma’i, te titauhia nei tatou ia fa’atura i te mau fa’aturera’a no te fa’aeara’a i te fare ma te fa’atura atoa ra i te mau ravea pârurura’a mai te horo’i tâmaura’a i to tâtou mau rima. ‘Ua fata’a te mau pupu no te Faaterera’a o te Ea i te tahi mau hohoa no nia i teie tumu pârau.

    No te tahi mau ha’amaramaramlara’a hau atu, haere atu i nia te tahua natirara i muri nei :

    https://www.service-public.pf/dsp/wpcontent/uploads/sites/12/2020/04/FT-1-lavage-simpledes-mains.pdf

    MĀURUURU E FA’AITOITO

    BULLETIN D’INFORMATION #21 – Cellule de crise de la Polynésie française

    Entre les journées des samedi 11 et dimanche 12 avril 2020, quatre personnes atteintes du virus ont été dépistées positives sur 43 analyses effectuées. Trois des personnes atteintes sont des cas importés et une, un cas contact. Trois de ces nouveaux cas sont localisés en zone urbaine. 55 personnes ont été atteintes depuis le début de l’épidémie, pour 920 analyses effectuées. Une personne demeure hospitalisée, aucun décès n’est constaté.

    Cas importés : redoubler de vigilance

    En matière de stratégie de dépistage, la situation des personnes ayant voyagé hors du territoire fait l’objet d’une attention particulière des autorités sanitaires. En effet, un nombre important de personnes déclarées positives – appelées cas importés – en fait partie. Il est donc demandé de redoubler de vigilance et d’appeler le 15 dés l’apparition de symptômes, avant toute auto médication.

    Se pose également, toujours dans le cadre des cas importés, la question asymptomatique : ce sont les personnes atteintes par le virus, mais qui ne présentent aucun symptôme repérable et qui peuvent transmettre le virus sans le savoir.

    Ces personnes peuvent néanmoins être dépistées par les enquêtes réalisées autour de l’entourage des cas contacts, à qui elles auraient transmis le virus.

    Gestes barrières : le lavage simple des mains

    La lutte collective contre l’épidémie passe par le respect des règles du confinement, général et particulier, et également par la répétition des gestes barrières, dont l’un des principaux est le lavage des mains.

    Les équipes de la direction de la santé proposent une série de visuels rappelant comment se laver les mains :

    https://www.service-public.pf/dsp/wp-content/uploads/sites/12/2020/04/FT-1-lavagesimple-des-mains.pdf

    BON COURAGE A TOUTES ET A TOUS. FAAITOITO

    PARAU FA’AARARA’A NĀ TE MAU VE’A #21

    I te mahana mâ’a 11 e te tâpati 12 nô Eperera, ‘ua ravehia 43 mâ’imira’a : e 4 ta’ata tei pâpû e ‘ua ro’ohia ratou i te ma’i Covid-19 (e 3 ta’ata tei ho’i mai na te ara, no roto râtou i nâ ‘oire rarahi no Tahiti, e hô’ê ta’ata te piri atu i te hô’ê ta’ata ma’i).

    Mai te ‘omuara’a ‘o teie ma’i ‘i te fenua nei e tae roa mai ‘i teie mahana, teie te mau numera : 920 ta’ata tei hi’opo’ahia, 55 ta’ata tei ro’ohia ‘i te ma’i COVID-19. Hô’ê noa ta’ata tei tapeahia ‘i te fare ma’i. ‘E te parau ‘oa’oa ra, ‘aore â ta’ata i fa’arue mai.

    Te mau feia ma’i no te ara mai : ia vai ara noa tâtou

    Te vai ara nei te mau ti’a no te Ea i te feia o tei tere na, na te ara, e o te ho’i mai i te fenua nei. Tei roto i teie pu’e ta’ata te parau no te mau ma’i o tei pi’ihia « ma’i no te ara mai ».

    O ratou teie e hi’opoa mâite hia nei e te ani hia nei ia ratou ia ‘ite noa hia atu te mau tapa’o ma’i, ia niuniu atu ratou i te numera 15. Na mua ae i te mau hi’opo’ara’a, te titau hia atu nei te feia e haere e hi’opo’a ia râtou, eiaha roa atu e tâhoro i te huero ra’au, ia ore te mau hi’opo’ara’a ia hape.

    Te vai atoa nei, no teie mau ta’ata, te hô’ê fifi rahi. Inaha, i rotopû ia râtou, te vai nei aita roa atu e tapa’o no te ma’i Covid-19. E ia au i te mau hi’opo’ara’a, tei roto ia râtou te tirotiro o teie ma’i. E riro teie ma’i i te pe’e i nia i te tahi atu mau ta’ata ma te ‘ite ore hia e râtou.

    E nehenehe ra teie mau ta’ata, i pe’ehia i teie tirotiro, i te hi’opo’ahia i muri ae i te hô’ê titorotorora’a.

    Te mau ravea parurura’a : te horoira’a i to tâtou mau rima

    No te pârurura’a i te huira’atira i teie ma’i, te titauhia nei tatou ia fa’atura i te mau fa’aturera’a no te fa’aeara’a i te fare ma te fa’atura atoa ra i te mau ravea pârurura’a mai te horo’i tâmaura’a i to tâtou mau rima. ‘Ua fata’a te mau pupu no te Faaterera’a o te Ea i te tahi mau hohoa no nia i teie tumu pârau.

    No te tahi mau ha’amaramaramlara’a hau atu, haere atu i nia te tahua natirara i muri nei :

    https://www.service-public.pf/dsp/wpcontent/uploads/sites/12/2020/04/FT-1-lavage-simpledes-mains.pdf

    MĀURUURU E FA’AITOITO

  • BULLETIN D’INFORMATION #19 – Cellule de crise de la Polynésie française

    Sur les 51 dépistages effectués hier, aucun cas positif n’a été relevé. 843 analyses ont été effectuées depuis le début de l’épidémie. Une personne demeure hospitalisée, aucun décès n’est constaté.

    C’est le second jour consécutif qu’aucune personne ne soit dépistée positive. Les analyses ont été effectuées sur des personnes situées à Tahiti, Moorea et dans les Raromata’i.

    Confinement : les effets sur la situation psychologique

    Le confinement général auquel la population polynésienne est astreinte, mais également, les confinements spéciaux concernant les personnes atteintes du virus, ou en quatorzaine, ont des effets sur le bien-être. Plusieurs dispositifs d’aide et de soutien psychologique sont mis en place face à la crise.

    Une expérience exceptionnelle qui a de lourdes conséquences

    Le confinement est une mesure inédite, de santé publique, une expérience exceptionnelle qui n’est pas sans conséquences sur la santé mentale et le bien-être psychologique. Elle marque les corps et les esprits. Elle bouleverse les habitudes et peut être difficile à vivre.

    Cette restriction des libertés de façon imposée est une cause importante de stress. C’est une expérience désagréable du fait qu’elle soit subie. Elle entraîne la séparation avec les êtres chers, la perte de liberté, l’incertitude par rapport à la maladie.

    Chacun réagit différemment aux situations stressantes. La façon dont vous réagissez à l’épidémie peut dépendre de votre histoire personnelle, des choses qui vous distinguent des autres et de la communauté dans laquelle vous vivez.

    L’impact psycho-social

    Plusieurs facteurs peuvent changer la façon dont nous réagissons positivement ou négativement.

    Elle peut avoir un impact psychologique délétère :

    • chez certains, cela peut provoquer des troubles de l’humeur, des confusions, voire un syndrome posttraumatique ;
    • cela peut également être à l’origine de nombreux troubles mentaux à plus ou moins long terme, tels que des symptômes de stress post-traumatique, de la dépression, de l’anxiété, des peurs, de l’’abus de médicament, de l’irritabilité, ou encore de l’insomnie.

    Ces risques augmentent avec la durée de l’isolement mais aussi avec d’autres facteurs :

    • les conditions de logement, la promiscuité, la perte de revenus, l’absence d’informations, les tensions intrafamiliales, conjugales…

    Mais faire face au stress vous rendra, vous, les personnes qui vous sont chères et votre communauté, plus forts.

    Les composantes du stress

    Le stress post-traumatique peut inclure :

    • la précarisation encore plus importante des personnes les plus fragiles (notamment les personnes en situation de handicap et les matahiapo),
    • la tension dans les couples,
    • la tension dans les familles de manière plus élargie.

    L’information est essentielle

    Communiquer régulièrement en apportant des faits pour justifier la quarantaine et expliquer ce qui se passe permet de mieux vivre cette période, notamment pour les enfants.

    Les effets d’une quarantaine se poursuivent au-delà de la levée de l’interdiction de circuler. Cela est dû d’une part à l’impact de la quarantaine sur les finances personnelles des personnes concernées et les manques à gagner qu’elle génère.

    Soyez prêt donc prêt à voir les tensions perdurer.

    Des pistes, des solutions pour faire face

    Plusieurs clés nous sont données pour traverser ensemble cette période de crise sanitaire sans précédent.

    Parmi ces clés, il y a le retour aux valeurs traditionnelles de la famille : être ENSEMBLE. Les valeurs communautaires du Partage, de la Solidarité, qui sont des ressources personnelles, individuelles, groupales et familiales.

    Il y a comme un passage par l’Identité, par l’Identitaire à partir des valeurs Traditionnelles avec un savoir-être Polynésien. Revenir à des valeurs simplifiées avec LA NECESSITE D’INTEGRER LES INTERDITS, LE CADRE ET LES MESURES DU CONFINEMENT.

    Le virus du COVID-19 est invisible. La pandémie n’a pas de frontière, ni de nationalité, ni d’ethnie. Nous devons faire preuve d’empathie, de compassion, de patience envers tous et chacun de nous.

    Nous avons besoin de solidarité humaine, sociale, fraternelle et scientifique pour être à l’écoute de nos proches, de tous nos proches.

    Les services du pays à votre écoute

    Pendant cette période difficile de nombreux services se sont organisés pour répondre aux besoins d’accompagnement, d’écoute et de soutien de la population.

    BON COURAGE A TOUTES ET A TOUS. FAAITOITO

    PARAU FA’AARARA’A NĀ TE MAU VE’A #19

    Mai te ‘omuara’a ‘o teie ma’i ‘i te fenua nei e tae roa mai ‘i teie mahana, teie te mau nûmera : 843 ta’ata tei hi’opo’ahia (51 hi’opo’ara’a i nanahi ra), 51 ta’ata tei ro’ohia ‘i te ma’i COVID-19. Hô’ê noa ta’ata tei tapeahia ‘i te fare ma’i. ‘E te parau ‘oa’oa, ‘aore â ta’ata i fa’aru’e mai.

    Teie te pitira’a o te mahana e aita e ta’ata i itehia e, e tirotiro to roto iana i muri ae i te mau ma’imira’a tei ravehia i Tahiti, Moorea e Raromata’i.

    Te mau fifi ‘o te ferurira’a na roto ‘i te vai ‘opanipanira’a

    ‘Ua riro te ‘opanipanira’a o te ta’ata na roto i te ma’i COVID-19, ‘ei fa’anahora’a ‘api roa io tatou nei, ‘a tahi roa ‘a ‘itehia ai.

    ‘E taui roa teie fa’aotira’a i te orara’a ‘e te huru o te ta’ata, inaha ‘e fa’ahepora’a teie.

    ‘E nehenehe te ta’ata e ‘iria, ‘e ‘ore tona ‘ana‘anatae. ‘E fa’atupu ‘oia i te fa’ata’a’era’a i rotopu i te feia i herehia e tatou, ‘e ‘aita to tatou
    ‘e ti’amara’a fa’ahou no te haere i te vahi ta tatou e hina’aro.

    ‘E hepohepo te ta’ata no te papu ‘ore o te tupura’a o teie ma’i.

    No te ‘orera’a tona ti’amara’a, e mo’e roa iana te mau ‘avei’a o te orara’a, e iti roa mai te mau farereira’a i te tahi e i te tahi.

    ‘E fa’atupu ’oia i te ma‘ino‘ino, te pe’ape’a, te tapitapi, te mana’ona’o, te ha’umani e te fiu.

    Ia vai ‘opanipani te ta’ata i te fare e fa’atupu te reira i te hepohepo e te mata’u. No te feia ihoa ra i fa’ata’a’e roa hia i roto i to ratou ‘utuafare.

    E rahi roa atu a to ratou pe’ape’a no teie ma’i. E mea ta’a’e to te tahi e to te tahi huru i mua i teie fifi.

    Ta tatou huru hi’ora’a i teie ma’i pe’e, e mea na roto mai ia i te mau mea i orahia mai e tatou, te mau mea e fa’ata’a’e ia tatou e te pupu ta’ata i reira tatou i te orara’a.

    ‘Eaha tona tupura’a i ni’a i te manava e te orara’a totiare ?

    ‘Ua rau te mau tumu ‘e fa’ataui i to tatou huru i mua i teie ma’i pe’e : te vai nei tei fa’ari’i e te vai ra o te ‘ore e fa’ari’i .

    ‘E fa’a’ino ‘oia i te ferurira’a o te ta’ata.

    Te tauiuira’a o te huru, te ‘ahuehue e tae roa i te a’oaoa.

    Te vai ‘ato’a nei te ‘aravira’a, fa’aturumara’a, te hepohepo, te ahoaho, te mata’u, te ‘amu rahira’a i te ra’au, te ‘iriara’a, e ‘aore ra te moe ‘ata.

    E rahi roa atu teie mau fifi ia maoro noa a te ‘opanipanira’a.

    Teie ato’a te tahi atu mau tumu :

    Te orara’a fifi, te ‘orara’a ‘opiripiri, te fifi ‘ohipa, te vai noara’a i roto i te ta’a ‘ore, te mau pe’ape’a ‘utuafare….

    ‘E‘ita teie mau fifi e ‘ore i muri a’e i te tau ‘opanipanira’a. Te tumu, te fifi moni na roto i te ‘ohipa ‘ore. Ia riro teie mau fifi ‘ei rave’a ha’apa’arira’a ia tatou.

    Na te reira e horo’a mai i te ho’e puai ta’a’e i te utuafare :

    • E nehenehe teie mau fifi manava e ha’afifi roa atu i te feia o tei fa’aea noa i te fare ma te ‘ohipa ‘ore, e te moni ‘ore.
    • Te fifi no te ho’ira’a i ni’a i te vahi ‘ohipara’a.
    • Te fifi ‘ohipa i rotopu i te ho’e tane e tona hoa vahine.
    • Te hi’o ‘e ra’a i te tahi mau ta’ata no roto mai i te ho’e tuha’a o tei fa’aruru i teie ma’i, e ‘aore ra te ho’e ta’ata ma’i.

    « E mea faufa’a roa te mau ha’amaramaramara’a »

    Ia fa’a’ara tamau, ma te horo’a i te mau ha’apapura’a no ni’a i te tumu o teie mau ‘opanipanira’a, ia maramarama te ta’ata i ni’a i te ‘ohipa e tupu ra, e maita’i ato’a ia tona orara’a.

    ‘Eaha te mau ave’ia ?

    Ia fa’aiho fa’ahou mai â tô tatou hiroa tumu o te nûna’a mâ’ohi : te hô’êra’a, te opere maitera’a, te ‘autaera’a, te aroha e te here.

    Te vai atoa ra te fa’atura e te fa’ari’i, i nehenehe ai ia tâtou ia fa’ari’i i te mau tapu, te mau fa’ahepora’a no te fa’aea noa i te vahi hô’ê.

    Teie fifi ma’i e mea ite ore hia e te mata, aita tôna e ‘otia fenua, aita tona e fenua.

    No reira ia vai hô’ê noa tatou, ia vai noa tera ta’amura’a i roto ia tatou, te autaera’a ma te fa’atae atoa tâ tatou turu e te tiaturira’a i te mau taote aivana’a no te ra’apaura’a e te pârurura’a ia tatou.

    Te ma pû ‘ohipa e tâna tautura

    Na roto i teie tau hepohepo e rave rahi mau pû’ohipa tei vai ineine noa no te pâhonora’a i ta ‘outou mau uiuira’a, te tauturu ra’a ia ‘outou.

    Na roto i teie tau hepohepo e rave rahi te mau pû ‘ohipa no te pahonora’a i ta ‘outou uiuira’a.

    Te ARAIRA’A ‘i teie ma’i. ‘E mea faufa’a ‘ia fâaha’amana’ohia, ‘e’ita teie tirotiro ‘e parare noa, nā tātou ra ‘e ta’ita’i nei iana no reira tatou ’e titauhia ai, ia fa’aea ‘i te fare.

    MĀURUURU E FA’AITOITO

    BULLETIN D’INFORMATION #19 – Cellule de crise de la Polynésie française

    Sur les 51 dépistages effectués hier, aucun cas positif n’a été relevé. 843 analyses ont été effectuées depuis le début de l’épidémie. Une personne demeure hospitalisée, aucun décès n’est constaté.

    C’est le second jour consécutif qu’aucune personne ne soit dépistée positive. Les analyses ont été effectuées sur des personnes situées à Tahiti, Moorea et dans les Raromata’i.

    Confinement : les effets sur la situation psychologique

    Le confinement général auquel la population polynésienne est astreinte, mais également, les confinements spéciaux concernant les personnes atteintes du virus, ou en quatorzaine, ont des effets sur le bien-être. Plusieurs dispositifs d’aide et de soutien psychologique sont mis en place face à la crise.

    Une expérience exceptionnelle qui a de lourdes conséquences

    Le confinement est une mesure inédite, de santé publique, une expérience exceptionnelle qui n’est pas sans conséquences sur la santé mentale et le bien-être psychologique. Elle marque les corps et les esprits. Elle bouleverse les habitudes et peut être difficile à vivre.

    Cette restriction des libertés de façon imposée est une cause importante de stress. C’est une expérience désagréable du fait qu’elle soit subie. Elle entraîne la séparation avec les êtres chers, la perte de liberté, l’incertitude par rapport à la maladie.

    Chacun réagit différemment aux situations stressantes. La façon dont vous réagissez à l’épidémie peut dépendre de votre histoire personnelle, des choses qui vous distinguent des autres et de la communauté dans laquelle vous vivez.

    L’impact psycho-social

    Plusieurs facteurs peuvent changer la façon dont nous réagissons positivement ou négativement.

    Elle peut avoir un impact psychologique délétère :

    • chez certains, cela peut provoquer des troubles de l’humeur, des confusions, voire un syndrome posttraumatique ;
    • cela peut également être à l’origine de nombreux troubles mentaux à plus ou moins long terme, tels que des symptômes de stress post-traumatique, de la dépression, de l’anxiété, des peurs, de l’’abus de médicament, de l’irritabilité, ou encore de l’insomnie.

    Ces risques augmentent avec la durée de l’isolement mais aussi avec d’autres facteurs :

    • les conditions de logement, la promiscuité, la perte de revenus, l’absence d’informations, les tensions intrafamiliales, conjugales…

    Mais faire face au stress vous rendra, vous, les personnes qui vous sont chères et votre communauté, plus forts.

    Les composantes du stress

    Le stress post-traumatique peut inclure :

    • la précarisation encore plus importante des personnes les plus fragiles (notamment les personnes en situation de handicap et les matahiapo),
    • la tension dans les couples,
    • la tension dans les familles de manière plus élargie.

    L’information est essentielle

    Communiquer régulièrement en apportant des faits pour justifier la quarantaine et expliquer ce qui se passe permet de mieux vivre cette période, notamment pour les enfants.

    Les effets d’une quarantaine se poursuivent au-delà de la levée de l’interdiction de circuler. Cela est dû d’une part à l’impact de la quarantaine sur les finances personnelles des personnes concernées et les manques à gagner qu’elle génère.

    Soyez prêt donc prêt à voir les tensions perdurer.

    Des pistes, des solutions pour faire face

    Plusieurs clés nous sont données pour traverser ensemble cette période de crise sanitaire sans précédent.

    Parmi ces clés, il y a le retour aux valeurs traditionnelles de la famille : être ENSEMBLE. Les valeurs communautaires du Partage, de la Solidarité, qui sont des ressources personnelles, individuelles, groupales et familiales.

    Il y a comme un passage par l’Identité, par l’Identitaire à partir des valeurs Traditionnelles avec un savoir-être Polynésien. Revenir à des valeurs simplifiées avec LA NECESSITE D’INTEGRER LES INTERDITS, LE CADRE ET LES MESURES DU CONFINEMENT.

    Le virus du COVID-19 est invisible. La pandémie n’a pas de frontière, ni de nationalité, ni d’ethnie. Nous devons faire preuve d’empathie, de compassion, de patience envers tous et chacun de nous.

    Nous avons besoin de solidarité humaine, sociale, fraternelle et scientifique pour être à l’écoute de nos proches, de tous nos proches.

    Les services du pays à votre écoute

    Pendant cette période difficile de nombreux services se sont organisés pour répondre aux besoins d’accompagnement, d’écoute et de soutien de la population.

    BON COURAGE A TOUTES ET A TOUS. FAAITOITO

    PARAU FA’AARARA’A NĀ TE MAU VE’A #19

    Mai te ‘omuara’a ‘o teie ma’i ‘i te fenua nei e tae roa mai ‘i teie mahana, teie te mau nûmera : 843 ta’ata tei hi’opo’ahia (51 hi’opo’ara’a i nanahi ra), 51 ta’ata tei ro’ohia ‘i te ma’i COVID-19. Hô’ê noa ta’ata tei tapeahia ‘i te fare ma’i. ‘E te parau ‘oa’oa, ‘aore â ta’ata i fa’aru’e mai.

    Teie te pitira’a o te mahana e aita e ta’ata i itehia e, e tirotiro to roto iana i muri ae i te mau ma’imira’a tei ravehia i Tahiti, Moorea e Raromata’i.

    Te mau fifi ‘o te ferurira’a na roto ‘i te vai ‘opanipanira’a

    ‘Ua riro te ‘opanipanira’a o te ta’ata na roto i te ma’i COVID-19, ‘ei fa’anahora’a ‘api roa io tatou nei, ‘a tahi roa ‘a ‘itehia ai.

    ‘E taui roa teie fa’aotira’a i te orara’a ‘e te huru o te ta’ata, inaha ‘e fa’ahepora’a teie.

    ‘E nehenehe te ta’ata e ‘iria, ‘e ‘ore tona ‘ana‘anatae. ‘E fa’atupu ‘oia i te fa’ata’a’era’a i rotopu i te feia i herehia e tatou, ‘e ‘aita to tatou
    ‘e ti’amara’a fa’ahou no te haere i te vahi ta tatou e hina’aro.

    ‘E hepohepo te ta’ata no te papu ‘ore o te tupura’a o teie ma’i.

    No te ‘orera’a tona ti’amara’a, e mo’e roa iana te mau ‘avei’a o te orara’a, e iti roa mai te mau farereira’a i te tahi e i te tahi.

    ‘E fa’atupu ’oia i te ma‘ino‘ino, te pe’ape’a, te tapitapi, te mana’ona’o, te ha’umani e te fiu.

    Ia vai ‘opanipani te ta’ata i te fare e fa’atupu te reira i te hepohepo e te mata’u. No te feia ihoa ra i fa’ata’a’e roa hia i roto i to ratou ‘utuafare.

    E rahi roa atu a to ratou pe’ape’a no teie ma’i. E mea ta’a’e to te tahi e to te tahi huru i mua i teie fifi.

    Ta tatou huru hi’ora’a i teie ma’i pe’e, e mea na roto mai ia i te mau mea i orahia mai e tatou, te mau mea e fa’ata’a’e ia tatou e te pupu ta’ata i reira tatou i te orara’a.

    ‘Eaha tona tupura’a i ni’a i te manava e te orara’a totiare ?

    ‘Ua rau te mau tumu ‘e fa’ataui i to tatou huru i mua i teie ma’i pe’e : te vai nei tei fa’ari’i e te vai ra o te ‘ore e fa’ari’i .

    ‘E fa’a’ino ‘oia i te ferurira’a o te ta’ata.

    Te tauiuira’a o te huru, te ‘ahuehue e tae roa i te a’oaoa.

    Te vai ‘ato’a nei te ‘aravira’a, fa’aturumara’a, te hepohepo, te ahoaho, te mata’u, te ‘amu rahira’a i te ra’au, te ‘iriara’a, e ‘aore ra te moe ‘ata.

    E rahi roa atu teie mau fifi ia maoro noa a te ‘opanipanira’a.

    Teie ato’a te tahi atu mau tumu :

    Te orara’a fifi, te ‘orara’a ‘opiripiri, te fifi ‘ohipa, te vai noara’a i roto i te ta’a ‘ore, te mau pe’ape’a ‘utuafare….

    ‘E‘ita teie mau fifi e ‘ore i muri a’e i te tau ‘opanipanira’a. Te tumu, te fifi moni na roto i te ‘ohipa ‘ore. Ia riro teie mau fifi ‘ei rave’a ha’apa’arira’a ia tatou.

    Na te reira e horo’a mai i te ho’e puai ta’a’e i te utuafare :

    • E nehenehe teie mau fifi manava e ha’afifi roa atu i te feia o tei fa’aea noa i te fare ma te ‘ohipa ‘ore, e te moni ‘ore.
    • Te fifi no te ho’ira’a i ni’a i te vahi ‘ohipara’a.
    • Te fifi ‘ohipa i rotopu i te ho’e tane e tona hoa vahine.
    • Te hi’o ‘e ra’a i te tahi mau ta’ata no roto mai i te ho’e tuha’a o tei fa’aruru i teie ma’i, e ‘aore ra te ho’e ta’ata ma’i.

    « E mea faufa’a roa te mau ha’amaramaramara’a »

    Ia fa’a’ara tamau, ma te horo’a i te mau ha’apapura’a no ni’a i te tumu o teie mau ‘opanipanira’a, ia maramarama te ta’ata i ni’a i te ‘ohipa e tupu ra, e maita’i ato’a ia tona orara’a.

    ‘Eaha te mau ave’ia ?

    Ia fa’aiho fa’ahou mai â tô tatou hiroa tumu o te nûna’a mâ’ohi : te hô’êra’a, te opere maitera’a, te ‘autaera’a, te aroha e te here.

    Te vai atoa ra te fa’atura e te fa’ari’i, i nehenehe ai ia tâtou ia fa’ari’i i te mau tapu, te mau fa’ahepora’a no te fa’aea noa i te vahi hô’ê.

    Teie fifi ma’i e mea ite ore hia e te mata, aita tôna e ‘otia fenua, aita tona e fenua.

    No reira ia vai hô’ê noa tatou, ia vai noa tera ta’amura’a i roto ia tatou, te autaera’a ma te fa’atae atoa tâ tatou turu e te tiaturira’a i te mau taote aivana’a no te ra’apaura’a e te pârurura’a ia tatou.

    Te ma pû ‘ohipa e tâna tautura

    Na roto i teie tau hepohepo e rave rahi mau pû’ohipa tei vai ineine noa no te pâhonora’a i ta ‘outou mau uiuira’a, te tauturu ra’a ia ‘outou.

    Na roto i teie tau hepohepo e rave rahi te mau pû ‘ohipa no te pahonora’a i ta ‘outou uiuira’a.

    Te ARAIRA’A ‘i teie ma’i. ‘E mea faufa’a ‘ia fâaha’amana’ohia, ‘e’ita teie tirotiro ‘e parare noa, nā tātou ra ‘e ta’ita’i nei iana no reira tatou ’e titauhia ai, ia fa’aea ‘i te fare.

    MĀURUURU E FA’AITOITO

  • BULLETIN D’INFORMATION #18 – Cellule de crise de la Polynésie française

    Le confinement général de la Polynésie française a été étendu au mercredi 29 avril 2020, ont annoncé le Haut-commissaire de la République et le Président du Pays, ce jeudi 9 avril 2020.

    Sur les 48 dépistages effectués hier, aucun cas positif n’a été relevé (792 analyses effectués depuis le début de l’épidémie). Une personne demeure hospitalisée, aucun décès n’est constaté.

    Dépistage : se faire connaitre, rapidement

    En matière de dépistage, les autorités sanitaires insistent sur un point jugé essentiel : se faire connaître le plus rapidement possible, dés l’apparition des symptômes. Il convient, pour ce faire, de consulter en urgence son médecin traitant, ou d’appeler le 15.

    Un autre message doit être diffusé : il concerne chaque personne arrivée ou revenue d’un séjour court ou long à l’étranger ou en France métropolitaine, depuis le 1er mars 2020.

    Pendant les quatre semaines qui suivent votre retour, appliquez de manière encore plus stricte les mesures de confinement et les règles d’hygiène permettant de limiter la propagation du virus. A ce jour, environ la moitié des personnes ayant été testées positives au COVID-19 en Polynésie française sont des personnes revenant d’un séjour l’extérieur du territoire (cas importés). Aussi, pour vous protéger ainsi que votre entourage proche, soient particulièrement vigilants. Plusieurs cas sans symptômes ont été détectés, ne vous fiez pas à votre état de santé général, vous pouvez être porteur du virus.

    Si vous ressentez des symptômes signalez vous à votre médecin traitant en précisant que vous avez voyagé ou été en contact direct avec un voyageur. Dans le cas, ou votre état serait alarmant, contactez le 15 IMMEDIATEMENT.

    Ces recommandations et l’ensemble des mesures prises visent à vous protéger et à protéger les personnes que vous aimer.

    Solidarité : www.benevolescovidpf.com

    Aujourd’hui, la cellule de crise sanitaire Covid-19 du Pays a reçu les directeurs généraux des services (DGS) des Mairies de Tahiti et Moorea afin que l’équipe en charge des liaisons communautaires leur présente la nouvelle plateforme d’appel à la solidarité.

    Chaque bénévole rempli un questionnaire en ligne dans lequel il renseigne ses domaines de compétences et d’actions possibles ainsi que sa commune de résidence. Ces informations précieuses seront transmises de manière privée aux Mairies concernées afin de coordonner les élans de solidarité sur le terrain.

    Confinement : attention aux fêtes de Pâques

    La période des fêtes de la Pâques est une période importante dans la vie de beaucoup de Polynésiens. Il est demandé à la population, parce que la situation est exceptionnelle, de respecter tous les gestes barrières ainsi que les règles liées au confinement, afin, une fois encore, de faire barrage à l’épidémie. Nous rappelons que les repas en famille doivent être limités aux personnes vivant sous le même toit.

    Le confinement est la règle et c’est en restant chez soi que l’on va sauver des vies.

    BON COURAGE A TOUTES ET A TOUS. FAAITOITO

    PARAU FA’AARARA’A NĀ TE MAU VE’A #18

    Mai te ‘omuara’a ‘o teie ma’i ‘i te fenua nei e tae roa mai ‘i teie mahana, teie te mau nûmera : 792 ta’ata tei hi’opo’ahia, 48 ta’ata tei ro’ohia ‘i te ma’i COVID-19. Hô’ê noa ta’ata tei tapeahia ‘i te fare ma’i. ‘E te parau ‘oa’oa, ‘aore â ta’ata i fa’aru’e mai.

    ‘I nia i nâ rahira’a ta’ata e 792, tei ma’imihia te tirotiro Corana i roto ia ratou :

    • 50% ta’ata o tei ho’i mai na te ara
    • 50% ta’ata tei piri atu e aore tei ora atu i piha’iho i te hô’ê ta’ata ma’i.

    Te mau ma’imira’a : a fa’aite rû atu ia ‘outou

    Te hina’aro nei te mau ti’a fa’atere o te Ea i te ha’apapu maitai te terera’a no te ma’imira’a i teie tirotiro Corona : ia ite ‘outou te mau tapa’o ma’i i nia iho ia ‘outou, te omua roa ra’a, a haere rû atu e hiopo’a ia ‘outou i te taote e aore ra a niuniu o’io’i atu i te numera 15.

    Poroira’a i te feia tei tae mai i te fenua nei e aore râ te ho’i mai i te fenua ai’a i muri i tô ratou mau tere i te ara e aita râ i Farâni, mai te mahana matamua no mâti 2020 :

    • I roto i te roara’a e 4 hepetoma mai tô ‘outou ho’ira’a mai, te titauhia atu nei ‘outou ia fa’atura i te fa’ahepora’a e fa’aea i te fare e ma te fa’aohipa atoa i te mau ravea pâruru, ia ore teie tirotiro Corona ia pârare.
    • E riro teie mau titaura’a e te mau ravea araira’a e pâruru ia ‘oe ihio e na reira i te mau ta’ata tâ ‘oe i here.
    • I teie mahana, 50% o te mau ta’ata (oia ho’i te afa ra’a) o tei itehia e tei roto ia ratou teie ma’i Covid-19, o te mau ta’ata ihoa i ho’i mai na te ara. No reira, mea tia i teie feia tei ro’ohia i teie ma’i e tae noa atu i tô te utuafare fatata e tô te atea ia ara e ia ha’apa’o maitai. Mea rahi o ‘outou aita e tapa’o e ite hia i nia ia ‘outou, eiaha ra e vare i tera huru i tô ‘outou, eita e ore e e tirotiro Corona tô roto ia ‘outou. I reira ra, e mea pâpu roa e, na ‘outou ia e opere atu i teie tirotiro.

    Te autaera’a : teie natirara www.benevolescovidpf.com

    I teie mahana, ‘ua fa’ari’i te Pû ti’a’aura’a i te fifi ma’i Covid-19 i te mau tî’a no te mau oire no Tahiti e o Moorea o te ha’amaramaramara’a ia râtou i nia i terera’a o teie tahua natirara.

    E fa’aî mai te tî’a rauti i te tahi âpî pârau, nia i tô ratou mau tî‘ara’a ‘ohipa e te oire no reira mai oia. E fa’ataehia atu te mau âpî pârau i te mau Tavana Oire noa, nô te turura’a i te mau ta’ata mana’o tae.

    Te fa’ahepora’a e fa’aea i te fare

    ‘Ua fa‘aoti te Tomitera teitei e te Peretetini no te Hau Fenua i te fa’aroa fa’ahou atu â te pue tau fa’ahepora’a e fa’aea i te fare e tae roa atu i te 29 no Eperera 2020.

    ‘I teie hopea hepetoma no te oroa pata, e tau faufa’a roa no tâtou e te nûnaa mâ’ohi i te mea e e nûnaa fa’aro’o tâtou. No reira te ani fa’ahouhia atu nei ‘outou ia fa’aea i roto i ‘outou mau nohora’a.

    Nô ta ‘outou ‘oroa i teie hopea hepetoma, eiaha ‘outou e amuimui rahi i te vahi nohora’a. Eiaha atoa e fa’ari’i e rave rahi mau feti’i e te mau hoa. A fa’aohipa te mau ravea pâruru.

    A FA’A-ORO-MAI. I roto i te hio ra’a a te nunaa mâ’ohi e aura’a hohonu roa tôna. Fa’aea i te fare, fa’aohipa te ravea pâruru, na te reira e fa’aora te ta’ata e rave rahi.

    Ia amui anae tâtou pâ’atoa no te arora’a i teie tirotiro Corona eiha oia ia pârare.

    A tutonu tatou mata i mua, a hi’o i tera mori ta tatou e hina’aro ra ia pura fa’ahou mai oia, tapa’o faaite no te ho’ira’a mai te ora. A hio tuna te mori (e himene teie).

    Te ARAIRA’A ‘i teie ma’i. ‘E mea faufa’a ‘ia fâaha’amana’ohia, ‘e’ita teie tirotiro ‘e parare noa, nā tātou ra ‘e ta’ita’i nei iana no reira tatou ’e titauhia ai, ia fa’aea ‘i te fare.

    MĀURUURU E FA’AITOITO

    Source : Cellule de crise Covid-19 du Pays

    BULLETIN D’INFORMATION #18 – Cellule de crise de la Polynésie française

    Le confinement général de la Polynésie française a été étendu au mercredi 29 avril 2020, ont annoncé le Haut-commissaire de la République et le Président du Pays, ce jeudi 9 avril 2020.

    Sur les 48 dépistages effectués hier, aucun cas positif n’a été relevé (792 analyses effectués depuis le début de l’épidémie). Une personne demeure hospitalisée, aucun décès n’est constaté.

    Dépistage : se faire connaitre, rapidement

    En matière de dépistage, les autorités sanitaires insistent sur un point jugé essentiel : se faire connaître le plus rapidement possible, dés l’apparition des symptômes. Il convient, pour ce faire, de consulter en urgence son médecin traitant, ou d’appeler le 15.

    Un autre message doit être diffusé : il concerne chaque personne arrivée ou revenue d’un séjour court ou long à l’étranger ou en France métropolitaine, depuis le 1er mars 2020.

    Pendant les quatre semaines qui suivent votre retour, appliquez de manière encore plus stricte les mesures de confinement et les règles d’hygiène permettant de limiter la propagation du virus. A ce jour, environ la moitié des personnes ayant été testées positives au COVID-19 en Polynésie française sont des personnes revenant d’un séjour l’extérieur du territoire (cas importés). Aussi, pour vous protéger ainsi que votre entourage proche, soient particulièrement vigilants. Plusieurs cas sans symptômes ont été détectés, ne vous fiez pas à votre état de santé général, vous pouvez être porteur du virus.

    Si vous ressentez des symptômes signalezvous à votre médecin traitant en précisant que vous avez voyagé ou été en contact direct avec un voyageur. Dans le cas, ou votre état serait alarmant, contactez le 15 IMMEDIATEMENT.

    Ces recommandations et l’ensemble des mesures prises visent à vous protéger et à protéger les personnes que vous aimer.

    Solidarité : www.benevolescovidpf.com

    Aujourd’hui, la cellule de crise sanitaire Covid-19 du Pays a reçu les directeurs généraux des services (DGS) des Mairies de Tahiti et Moorea afin que l’équipe en charge des liaisons communautaires leur présente la nouvelle plateforme d’appel à la solidarité.

    Chaque bénévole rempli un questionnaire en ligne dans lequel il renseigne ses domaines de compétences et d’actions possibles ainsi que sa commune de résidence. Ces informations précieuses seront transmises de manière privée aux Mairies concernées afin de coordonner les élans de solidarité sur le terrain.

    Confinement : attention aux fêtes de Pâques

    La période des fêtes de la Pâques est une période importante dans la vie de beaucoup de Polynésiens. Il est demandé à la population, parce que la situation est exceptionnelle, de respecter tous les gestes barrières ainsi que les règles liées au confinement, afin, une fois encore, de faire barrage à l’épidémie. Nous rappelons que les repas en famille doivent être limités aux personnes vivant sous le même toit.

    Le confinement est la règle et c’est en restant chez soi que l’on va sauver des vies.

    BON COURAGE A TOUTES ET A TOUS. FAAITOITO

    PARAU FA’AARARA’A NĀ TE MAU VE’A #18

    Mai te ‘omuara’a ‘o teie ma’i ‘i te fenua nei e tae roa mai ‘i teie mahana, teie te mau nûmera : 792 ta’ata tei hi’opo’ahia, 48 ta’ata tei ro’ohia ‘i te ma’i COVID-19. Hô’ê noa ta’ata tei tapeahia ‘i te fare ma’i. ‘E te parau ‘oa’oa, ‘aore â ta’ata i fa’aru’e mai.

    ‘I nia i nâ rahira’a ta’ata e 792, tei ma’imihia te tirotiro Corana i roto ia ratou :

    • 50% ta’ata o tei ho’i mai na te ara
    • 50% ta’ata tei piri atu e aore tei ora atu i piha’iho i te hô’ê ta’ata ma’i.

    Te mau ma’imira’a : a fa’aite rû atu ia ‘outou

    Te hina’aro nei te mau ti’a fa’atere o te Ea i te ha’apapu maitai te terera’a no te ma’imira’a i teie tirotiro Corona : ia ite ‘outou te mau tapa’o ma’i i nia iho ia ‘outou, te omua roa ra’a, a haere rû atu e hiopo’a ia ‘outou i te taote e aore ra a niuniu o’io’i atu i te numera 15.

    Poroira’a i te feia tei tae mai i te fenua nei e aore râ te ho’i mai i te fenua ai’a i muri i tô ratou mau tere i te ara e aita râ i Farâni, mai te mahana matamua no mâti 2020 :

    • I roto i te roara’a e 4 hepetoma mai tô ‘outou ho’ira’a mai, te titauhia atu nei ‘outou ia fa’atura i te fa’ahepora’a e fa’aea i te fare e ma te fa’aohipa atoa i te mau ravea pâruru, ia ore teie tirotiro Corona ia pârare.
    • E riro teie mau titaura’a e te mau ravea araira’a e pâruru ia ‘oe ihio e na reira i te mau ta’ata tâ ‘oe i here.
    • I teie mahana, 50% o te mau ta’ata (oia ho’i te afa ra’a) o tei itehia e tei roto ia ratou teie ma’i Covid-19, o te mau ta’ata ihoa i ho’i mai na te ara. No reira, mea tia i teie feia tei ro’ohia i teie ma’i e tae noa atu i tô te utuafare fatata e tô te atea ia ara e ia ha’apa’o maitai. Mea rahi o ‘outou aita e tapa’o e ite hia i nia ia ‘outou, eiaha ra e vare i tera huru i tô ‘outou, eita e ore e e tirotiro Corona tô roto ia ‘outou. I reira ra, e mea pâpu roa e, na ‘outou ia e opere atu i teie tirotiro.

    Te autaera’a : teie natirara www.benevolescovidpf.com

    I teie mahana, ‘ua fa’ari’i te Pû ti’a’aura’a i te fifi ma’i Covid-19 i te mau tî’a no te mau oire no Tahiti e o Moorea o te ha’amaramaramara’a ia râtou i nia i terera’a o teie tahua natirara.

    E fa’aî mai te tî’a rauti i te tahi âpî pârau, nia i tô ratou mau tî‘ara’a ‘ohipa e te oire no reira mai oia. E fa’ataehia atu te mau âpî pârau i te mau Tavana Oire noa, nô te turura’a i te mau ta’ata mana’o tae.

    Te fa’ahepora’a e fa’aea i te fare

    ‘Ua fa‘aoti te Tomitera teitei e te Peretetini no te Hau Fenua i te fa’aroa fa’ahou atu â te pue tau fa’ahepora’a e fa’aea i te fare e tae roa atu i te 29 no Eperera 2020.

    ‘I teie hopea hepetoma no te oroa pata, e tau faufa’a roa no tâtou e te nûnaa mâ’ohi i te mea e e nûnaa fa’aro’o tâtou. No reira te ani fa’ahouhia atu nei ‘outou ia fa’aea i roto i ‘outou mau nohora’a.

    Nô ta ‘outou ‘oroa i teie hopea hepetoma, eiaha ‘outou e amuimui rahi i te vahi nohora’a. Eiaha atoa e fa’ari’i e rave rahi mau feti’i e te mau hoa. A fa’aohipa te mau ravea pâruru.

    A FA’A-ORO-MAI. I roto i te hio ra’a a te nunaa mâ’ohi e aura’a hohonu roa tôna. Fa’aea i te fare, fa’aohipa te ravea pâruru, na te reira e fa’aora te ta’ata e rave rahi.

    Ia amui anae tâtou pâ’atoa no te arora’a i teie tirotiro Corona eiha oia ia pârare.

    A tutonu tatou mata i mua, a hi’o i tera mori ta tatou e hina’aro ra ia pura fa’ahou mai oia, tapa’o faaite no te ho’ira’a mai te ora. A hio tuna te mori (e himene teie).

    Te ARAIRA’A ‘i teie ma’i. ‘E mea faufa’a ‘ia fâaha’amana’ohia, ‘e’ita teie tirotiro ‘e parare noa, nā tātou ra ‘e ta’ita’i nei iana no reira tatou ’e titauhia ai, ia fa’aea ‘i te fare.

    MĀURUURU E FA’AITOITO

    Source : Cellule de crise Covid-19 du Pays

  • BULLETIN D’INFORMATION #16 – Cellule de crise de la Polynésie française

    Cinq nouveaux cas ont été dépistés hier à Tahiti, portant à 47 le nombre de cas de personnes touchées par le COVID-19 en Polynésie française pour 694 dépistages depuis le début de l’épidémie (+76 tests hier). L’un des patients hospitalisés depuis plusieurs semaines a pu sortir ce matin, un patient précédemment hospitalisé a du être réadmis à l’hôpital car son état l’exigeait. Ainsi, à cet après-midi, deux personnes sont hospitalisées, dont l’une en réanimation. Aucun décès n’est constaté.

    La surveillance des symptômes : un rôle décisif

    Le ministre de la Santé rappelle l’importance de se signaler rapidement, dés l’apparition de symptômes reliés au COVID-19 : fièvre, toux sèche, difficulté respiratoire, maux de têtes intenses, perte de l’odorat.

    Qui appeler ?

    • Le 444 789 pour toutes vos questions relatives au Covid-19 en PF,
    • Votre médecin traitant pour un avis médical,
    • Le 15 si, et seulement si, vous êtes en détresse respiratoire, ou dans un état de fatigue physique grave.

    Chacun est ainsi responsable et acteur de la réduction du risque de transmission du virus à son entourage. Il est également essentiel de respecter les gestes barrières dont le fait de maintenir une distance avec autrui lorsque ces situations se présentent, et bien sur, de se laver les mains régulièrement et longuement (30 secondes).

    Liaisons aériennes : nationales et inter-îles

    NATIONAL – Le premier vol affrété dans le cadre de la politique de continuité territoriale entre la métropole et les outremers décolle de Tahiti, ce mardi. Le vol retour prévoit un décollage de Paris vendredi 10 avril en fin de soirée. Pour l’instant, une rotation est programmée tous les dix jours.

    Ces vols ne sont pas commerciaux, mais consacré prioritairement aux questions sanitaires : évacuations sanitaires et transport d’analyses urgentes, ainsi que rapatriement des non résidents à l’aller. Au retour : transport de matériels médicaux de lutte contre l’épidémie.

    INTER-ILES – La programmation des vols de soutien aux archipels. La cellule de crise COVID-19 du Pays a affrété, ce jour, un vol à destination des Marquises, avec, à bord, du matériel sanitaire destiné à renforcer les moyens de la santé publique dans les îles, et permettant le suivi médical des populations.

    Confinement et mesures barrières : le point sur les transports

    En période de confinement, une réflexion sur le mode de transport s’impose. Tous les déplacements doivent être restreints afin d‘éviter la propagation du virus. Aussi, il n’est pas recommandé de se déplacer à plusieurs.

    Cela reste possible en cas de nécessité absolue, dans les cas énumérés par l’attestation de déplacement dérogatoire : aller au travail, faire ses courses, pour raison médicale, pour motif familial impérieux, pour assister des personnes vulnérables ou la garde d’enfant.

    N’oubliez pas d’emporter avec vous une attestation et pour toute personne vous accompagnant, sous peine d’une amende de 4800 Fcfp et plus, en cas de récidive. Si vous transportez un enfant vous devez vous munir de sa pièce d’identité. Pensez au couvre feu après 20h.

    Enfin, concernant votre véhicule :

    • À l’intérieur de l’habitacle, les règles de confinement sont les mêmes : distance entre les personnes par exemple le passager s’assoit à l’arrière du véhicule à l’opposé du conducteur.
    • N’oubliez pas de nettoyer aussi souvent que nécessaire, les accessoires de la voiture : volant, levier de vitesse, frein à main, ceinture, poignée de porte, boutons auto radio… surtout après avoir effectué des courses
    • Rappelez-vous qu’une seule personne par famille est recommandée pour faire les courses
      • Le confinement est la règle et c’est en restant chez soi que l’on va sauver des vies.

    Enfin, en cas de transports de cas suspects ou confirmés COVID-19, le Ministère de la Santé rappelle qu’ils doivent être effectués par des transporteurs sanitaires spécifiques, et non par les pompiers ou les ambulances, sauf cas d’urgence vitale.

    BON COURAGE A TOUTES ET A TOUS. FAAITOITO

    PARAU FA’AARARA’A NĀ TE MAU VE’A #16

    Mai te ‘omuara’a ‘o teie ma’i ‘i te fenua nei e tae roa mai ‘i teie mahana, teie te mau nûmera : 694 ta’ata tei hi’opo’ahia, 47 ta’ata tei ro’ohia ‘i te ma’i COVID-19 (e piti ta’ata ma’i ‘âpî tei ‘itehia’ e tirotiro to roto ia raua. piti noa ta’ata tei tapeahia ‘i te fare ma’i. ‘E te parau ‘oa’oa, ‘aore â ta’ata i fa’aru’e mai.

    Te hi’opo’ara’a i te mau tapa’o o teie ma’i : ‘ohipa faufa’a roa

    Te fa’aha’amana’o nei te Fa’atere Hau o te Ea i te faufaa rahi ia fa’aite oi’oi ‘oe i te mau tapa’o ma’i i nia ia ‘oe : mauiui upoo, fiva, hota maro, fifi te hutira’a aho.

    O vai ta ’oe e pi’i ?

    • To o’e iho taote
    • Te numera 444 789 i reira ‘outou e fa’atae atu ai ta ‘outou mau uira’a i nia i teie ma’i Covid-19
    • Te numera 15, mai te peu e te fifi ra to ‘oe hutira’a aho

    E hopoi’a nâ tatou ta’atahitahi i te fa’aitira’ai te parerera’a o teie tirotiro. Mea faufa’a atoa i te faa’ohipara’a i te mau ravea pâruru : eiha e apa e aroha rima, fa’ateateara’a, horoira’a rima, hota – maitihe i roto i fatira’a rima

    Te mau terera’a manureva

    I farâni – ua tupu te terera’a matamua i teie mahana, nô te rere atu i Paris. E ho’i mai teie manureva i teie mahana ma’a. Teie mau tere, e tupu ia i te mau ahuru mahana atoa.

    Teie mau tere ta’a’ê na te taiete Air Tahiti Nui nô te uta atu ia i te mau ma’i rû, te mau hi’opo’ara’a e fa’atae hia atu i Paris e nô te fa’aho’i atoa i te mau ratere tei haere mai o tatou nei. Ia ho’i mai teie manureva e fa’aho’i mai oia i te mau mâteria utuutura’a ma’i no te arora’a i te COVID-19.

    ‘E’ita roa te mau horo patete e fari’ihia.

    I te mau motu – ua tapurahia mai te mau tere nô te tauturura’a i te mau motu. I teie mahana, ua tere atu te ho’e manureva i te pae fenua ‘Enata nô te
    ‘afa’i atu i te mau tauiha’a utuutura’a ma’i, no te tauturura’a ia i te mau fare utuutura’a ma’i. Nâ te reira e fa’a’ohie i te hi’opo’ara’a i te mau ma’i no te huira’atira.

    Fa’aeara’a i te fare e te mau rave’a pâruru : te terera’a nâ ni’a i te mau pereo’o

    I roto i teie tau fa’ahepora’a e fa’aea i te fare, e mea ti’a ia fa’aiti te mau terera’a nâ ni’a i te mau pereo’o ia ‘ore teie tirotiro COVID-19 ia parare. No reira ‘eiaha ‘outou ia rahi i roto i te pereo’o. E nehenehe ‘outou e tere na ni’a iho i to ‘outou pereo’o : no te ‘ohipa, haere i te fare toa, haere i te taote, farerei i te ho’e feti’i tei roto i te tahi fifi ma’i rahi, e no te hapa’o i te tamari’i.

    ‘Eiaha ia mo’e hia ia ‘outou, i te fa’a’i i ta ‘outou pârau fa’ati’a no te mau ta’ata atoa i roto i te pereo’o. Ha’amana’o i te rave atoa i ta ‘outou pârau ti’ara’a farâni. Ia ore ana’e te vai ra te mau fa’autuara’a moni (4 800 farâni, ia ore ia fa’atura teie te utua : 16 000 farâni, e riro ato’a i te hau atu).

    Ha’amana’o atoa e, e opani hia ia tere i te pô.

    Nô to ‘outou mau pereo’o :

    • Ho’e ta’ata fa’ahoro e ho’e ta’ata i muri : ia ate’ate’a raûa
    • ‘Eiaha ia mo’e hia i te tamâ i roto i to ‘outou pereo’o : te tauira’a, te hatua, te tapea ‘opani, te afata ratio, i muri ae ihoa ra i to ‘outou tere i te fare toa
    • Ho’e noa ta’ata nô te haere i te fare toa
    • Fa’aea i te fare, e ravea papu teie no te fa’aorara’a i te ta’ata

    No te utara’a i te mau ta’ata tei mana’o hia ra e e tirotiro tei roto ia ratou, e aore ra te mau ta’ata e ma’i COVID-19 to ratou, te fa’aha’amana’o atu nei te fa’aterera’a hau o te ea, e na te tahi mau pereo’o ta’a’e no te utara’a i te ta’ata ma’i e ti’i ia ratou.

    MĀURUURU E FA’AITOITO

    BULLETIN D’INFORMATION #16 – Cellule de crise de la Polynésie française

    Cinq nouveaux cas ont été dépistés hier à Tahiti, portant à 47 le nombre de cas de personnes touchées par le COVID-19 en Polynésie française pour 694 dépistages depuis le début de l’épidémie (+76 tests hier). L’un des patients hospitalisés depuis plusieurs semaines a pu sortir ce matin, un patient précédemment hospitalisé a du être réadmis à l’hôpital car son état l’exigeait. Ainsi, à cet après-midi, deux personnes sont hospitalisées, dont l’une en réanimation. Aucun décès n’est constaté.

    La surveillance des symptômes : un rôle décisif

    Le ministre de la Santé rappelle l’importance de se signaler rapidement, dés l’apparition de symptômes reliés au COVID-19 : fièvre, toux sèche, difficulté respiratoire, maux de têtes intenses, perte de l’odorat.

    Qui appeler ?

    • Le 444 789 pour toutes vos questions relatives au Covid-19 en PF,
    • Votre médecin traitant pour un avis médical,
    • Le 15 si, et seulement si, vous êtes en détresse respiratoire, ou dans un état de fatigue physique grave.

    Chacun est ainsi responsable et acteur de la réduction du risque de transmission du virus à son entourage. Il est également essentiel de respecter les gestes barrières dont le fait de maintenir une distance avec autrui lorsque ces situations se présentent, et bien sur, de se laver les mains régulièrement et longuement (30 secondes).

    Liaisons aériennes : nationales et inter-îles

    NATIONAL – Le premier vol affrété dans le cadre de la politique de continuité territoriale entre la métropole et les outremers décolle de Tahiti, ce mardi. Le vol retour prévoit un décollage de Paris vendredi 10 avril en fin de soirée. Pour l’instant, une rotation est programmée tous les dix jours.

    Ces vols ne sont pas commerciaux, mais consacré prioritairement aux questions sanitaires : évacuations sanitaires et transport d’analyses urgentes, ainsi que rapatriement des non résidents à l’aller. Au retour : transport de matériels médicaux de lutte contre l’épidémie.

    INTER-ILES – La programmation des vols de soutien aux archipels. La cellule de crise COVID-19 du Pays a affrété, ce jour, un vol à destination des Marquises, avec, à bord, du matériel sanitaire destiné à renforcer les moyens de la santé publique dans les îles, et permettant le suivi médical des populations.

    Confinement et mesures barrières : le point sur les transports

    En période de confinement, une réflexion sur le mode de transport s’impose. Tous les déplacements doivent être restreints afin d‘éviter la propagation du virus. Aussi, il n’est pas recommandé de se déplacer à plusieurs.

    Cela reste possible en cas de nécessité absolue, dans les cas énumérés par l’attestation de déplacement dérogatoire : aller au travail, faire ses courses, pour raison médicale, pour motif familial impérieux, pour assister des personnes vulnérables ou la garde d’enfant.

    N’oubliez pas d’emporter avec vous une attestation et pour toute personne vous accompagnant, sous peine d’une amende de 4800 Fcfp et plus, en cas de récidive. Si vous transportez un enfant vous devez vous munir de sa pièce d’identité. Pensez au couvre feu après 20h.

    Enfin, concernant votre véhicule :

    • À l’intérieur de l’habitacle, les règles de confinement sont les mêmes : distance entre les personnes par exemple le passager s’assoit à l’arrière du véhicule à l’opposé du conducteur.
    • N’oubliez pas de nettoyer aussi souvent que nécessaire, les accessoires de la voiture : volant, levier de vitesse, frein à main, ceinture, poignée de porte, boutons auto radio… surtout après avoir effectué des courses
    • Rappelez-vous qu’une seule personne par famille est recommandée pour faire les courses
      • Le confinement est la règle et c’est en restant chez soi que l’on va sauver des vies.

    Enfin, en cas de transports de cas suspects ou confirmés COVID-19, le Ministère de la Santé rappelle qu’ils doivent être effectués par des transporteurs sanitaires spécifiques, et non par les pompiers ou les ambulances, sauf cas d’urgence vitale.

    BON COURAGE A TOUTES ET A TOUS. FAAITOITO

    PARAU FA’AARARA’A NĀ TE MAU VE’A #16

    Mai te ‘omuara’a ‘o teie ma’i ‘i te fenua nei e tae roa mai ‘i teie mahana, teie te mau nûmera : 694 ta’ata tei hi’opo’ahia, 47 ta’ata tei ro’ohia ‘i te ma’i COVID-19 (e piti ta’ata ma’i ‘âpî tei ‘itehia’ e tirotiro to roto ia raua. piti noa ta’ata tei tapeahia ‘i te fare ma’i. ‘E te parau ‘oa’oa, ‘aore â ta’ata i fa’aru’e mai.

    Te hi’opo’ara’a i te mau tapa’o o teie ma’i : ‘ohipa faufa’a roa

    Te fa’aha’amana’o nei te Fa’atere Hau o te Ea i te faufaa rahi ia fa’aite oi’oi ‘oe i te mau tapa’o ma’i i nia ia ‘oe : mauiui upoo, fiva, hota maro, fifi te hutira’a aho.

    O vai ta ’oe e pi’i ?

    • To o’e iho taote
    • Te numera 444 789 i reira ‘outou e fa’atae atu ai ta ‘outou mau uira’a i nia i teie ma’i Covid-19
    • Te numera 15, mai te peu e te fifi ra to ‘oe hutira’a aho

    E hopoi’a nâ tatou ta’atahitahi i te fa’aitira’ai te parerera’a o teie tirotiro. Mea faufa’a atoa i te faa’ohipara’a i te mau ravea pâruru : eiha e apa e aroha rima, fa’ateateara’a, horoira’a rima, hota – maitihe i roto i fatira’a rima

    Te mau terera’a manureva

    I farâni – ua tupu te terera’a matamua i teie mahana, nô te rere atu i Paris. E ho’i mai teie manureva i teie mahana ma’a. Teie mau tere, e tupu ia i te mau ahuru mahana atoa.

    Teie mau tere ta’a’ê na te taiete Air Tahiti Nui nô te uta atu ia i te mau ma’i rû, te mau hi’opo’ara’a e fa’atae hia atu i Paris e nô te fa’aho’i atoa i te mau ratere tei haere mai o tatou nei. Ia ho’i mai teie manureva e fa’aho’i mai oia i te mau mâteria utuutura’a ma’i no te arora’a i te COVID-19.

    ‘E’ita roa te mau horo patete e fari’ihia.

    I te mau motu – ua tapurahia mai te mau tere nô te tauturura’a i te mau motu. I teie mahana, ua tere atu te ho’e manureva i te pae fenua ‘Enata nô te
    ‘afa’i atu i te mau tauiha’a utuutura’a ma’i, no te tauturura’a ia i te mau fare utuutura’a ma’i. Nâ te reira e fa’a’ohie i te hi’opo’ara’a i te mau ma’i no te huira’atira.

    Fa’aeara’a i te fare e te mau rave’a pâruru : te terera’a nâ ni’a i te mau pereo’o

    I roto i teie tau fa’ahepora’a e fa’aea i te fare, e mea ti’a ia fa’aiti te mau terera’a nâ ni’a i te mau pereo’o ia ‘ore teie tirotiro COVID-19 ia parare. No reira ‘eiaha ‘outou ia rahi i roto i te pereo’o. E nehenehe ‘outou e tere na ni’a iho i to ‘outou pereo’o : no te ‘ohipa, haere i te fare toa, haere i te taote, farerei i te ho’e feti’i tei roto i te tahi fifi ma’i rahi, e no te hapa’o i te tamari’i.

    ‘Eiaha ia mo’e hia ia ‘outou, i te fa’a’i i ta ‘outou pârau fa’ati’a no te mau ta’ata atoa i roto i te pereo’o. Ha’amana’o i te rave atoa i ta ‘outou pârau ti’ara’a farâni. Ia ore ana’e te vai ra te mau fa’autuara’a moni (4 800 farâni, ia ore ia fa’atura teie te utua : 16 000 farâni, e riro ato’a i te hau atu).

    Ha’amana’o atoa e, e opani hia ia tere i te pô.

    Nô to ‘outou mau pereo’o :

    • Ho’e ta’ata fa’ahoro e ho’e ta’ata i muri : ia ate’ate’a raûa
    • ‘Eiaha ia mo’e hia i te tamâ i roto i to ‘outou pereo’o : te tauira’a, te hatua, te tapea ‘opani, te afata ratio, i muri ae ihoa ra i to ‘outou tere i te fare toa
    • Ho’e noa ta’ata nô te haere i te fare toa
    • Fa’aea i te fare, e ravea papu teie no te fa’aorara’a i te ta’ata

    No te utara’a i te mau ta’ata tei mana’o hia ra e e tirotiro tei roto ia ratou, e aore ra te mau ta’ata e ma’i COVID-19 to ratou, te fa’aha’amana’o atu nei te fa’aterera’a hau o te ea, e na te tahi mau pereo’o ta’a’e no te utara’a i te ta’ata ma’i e ti’i ia ratou.

    MĀURUURU E FA’AITOITO

  • BULLETIN D’INFORMATION #15 – Cellule de crise de la Polynésie française

    Un nouveau cas a été dépisté aujourd’hui à Tahiti, hors zone urbaine – commune de Papara – portant à 42 le nombre de cas de personnes touchées par le COVID-19 en Polynésie française pour 618 dépistages depuis le début de l’épidémie. Deux personnes sont désormais hospitalisée (+1), aucun décès n’est constaté. Le patient hospitalisé a été placé en service de réanimation.

    Le ministre de la Santé rappelle l’importance de respecter les gestes barrières, dans les familles mais également, dans les quartiers où des confinements plus ciblés pourraient être décidés.

    Liaisons aériennes : internationales, nationales et inter-îles

    INTERNATIONAL – Le premier vol affrété par le Pays à destination de Shanghai a réussi sa mission d’acheminement de commandes de matériels sanitaires. Le vol est arrivé avec 130 mètres cubes de fret composé d’équipements de protection individuelle (EPI). Il sera appliqué à l’équipage et aux accompagnants les mesures de confinement qu’il convient.

    NATIONAL – Le premier vol affrété par l’Etat dans le cadre de la politique de continuité territoriale entre la métropole et les outremers décollera de Tahiti, ce mardi. Le vol retour prévoit un décollage de Paris vendredi, en fin de soirée.

    Ces vols spéciaux, qui seront effectués par la compagnie Air Tahiti Nui, ne sont pas commerciaux. Leur priorité, dans les deux sens, seront les évacuations sanitaires ainsi que le transport de matériels sanitaires et d’analyses urgentes commandées par l’ensemble des structures de soins, de santé et d’analyses médicales (publiques et privées) du Pays.

    INTER-ILES – La programmation de vols de soutien aux archipels se poursuit. La cellule de crise COVID-19 du Pays affrète mardi un vol à destination des Marquises, avec, à bord, du matériel sanitaire destiné à renforcer les moyens de la santé publique dans les îles, et permettant le suivi médical des populations.
    Tous les archipels seront ainsi régulièrement bénéficiaires de ces vols sanitaires, avec la possibilité de vols supplémentaires dans les cas d’urgence.

    GESTES BARRIÈRES : DANS LES PHARMACIES ET LES MAGASINS, même le dimanche !

    Il est important de respecter, chaque jour de la semaine, les gestes barrières qui permettent de soutenir la lutte contre l’épidémie. Il convient de bien respecter les gestes barrières, dans les magasins – se laver les mains avant et après y être allé, respecter les distances de sécurité, porter un masque en tissu et une seule personne qui se déplace pour les courses de toute la famille. Il en va de même dans les pharmacies.

    Ces gestes importants, font appel à la vigilance de chacun. Ils doivent s’appliquer autour des fêtes de Pâques, quand toutes les familles préparent ces célébrations.

    Nous rappelons que les repas en famille doivent être limités aux personnes vivant sous le même toit.

    PREVENTION – IL EST IMPORTANT DE RAPPELER, dans le cadre de la lutte contre l’épidémie, que LE VIRUS NE CIRCULE PAS SEUL. Nous le faisons circuler. D’où la politique du confinement strict.

    BON COURAGE A TOUTES ET A TOUS. FAAITOITO

    PARAU FA’AARARA’A NĀ TE MAU VE’A #15

    Mai te ‘omuara’a ‘o teie ma’i ‘i te fenua nei e tae roa mai ‘i teie mahana, teie te mau nûmera : 618 ta’ata tei hi’opo’ahia, 42 ta’ata tei ro’ohia ‘i te ma’i COVID-19 (hô’ê ta’ata ma’i ‘âpî tei ‘itehia’ e tirotiro to roto ia na, nô te oire ô Papara). E piti atu ra ia ta’ata ‘e vai nei ‘i te fare ma’i. ‘E te parau ‘oa’oa, ‘aore â ta’ata i fa’aru’e mai.

    Teie ta’ata ‘âpî tei hi’opo’a hia, e ua ‘itehia tei roto ia na te tirotiro COVID-19, nô te ‘oire nô Papara. ‘Ua tape’ahia ‘oia i te fare ma’i nô Taaone i roto i te piha ra’apa’aura’a ma’i fifi, e hô’ê i roto i te tahi atu piha.

    Te fa’aha’amana’o fa’ahouhia atu nei te Fa’atere Hau o te Ea te faufa’a rahi nô te mau rave’a pâruru i roto i te mau ‘utuafare feti’i e i roto atoa i te mau tuha’a ‘oire e mea rahi roa te ta’ata e noho ra i reira, e nehenehe ato’a te tahi fa’anahora’a ta’a’ê i te ravehia na roto i te ‘opani roa ra’a i taua tuha’a tei reira te ‘ite ra’ahia te hô’ê ta’ata ma’ihia i te COVID-19.

    Ia ‘ore noa atu te ta’ata e ha’apa’o i teie mau fauera’a e riro ratou i te fa’autu’ahia.

    Te mau terera’a manureva : na te ara, i farâni, i roto i te mau motu

    Na te ara – Ua manuia maita’i te tere manureva ‘i Shanghai. E ho’i mai ‘oia i teie avatea i te fenua nei nô te fa’aho’i mai 130 metera ‘afata, mau tauiha’a nô te araira’a i teie ma’i COVID-19 : te mau pâruru vaha, te mau ‘ahu, te mau rimarima, te mau mâteria nô te hi’opo’ara’a i te tirotiro COVID-19.

    Ia ‘ite mai ra ‘outou e, e ‘afa’i hia atu te mau pairati e te mau rave ‘ohipa i roto i te manureva, i roto i te tahi fare i reira ratou e fa’aea ai. Te aura’a ‘e’ita ratou e ho’i i roto i tô râtou mau ‘utuafare.

    I farâni – Nô te mau terera’a manureva, tei mana’ohia e ia tupu i rotopu ia Tahiti e o Paris. E tupu teie tere matamua i teie mahana piti nei no te reva atu i Paris. E ho’i mai ‘oia i teie mahana pae i muri nei i te tuira’a pô.

    Teie mau tere ta’a’ê na te taiete Air Tahiti Nui nô te uta atu ia i te mau mâteria nô te utuutura’a ma’i, te mau hi’opo’ara’a e fa’atae hia atu i Paris e te tahi atoa o tatou e haere atu i roto i te mau fare ma’i i Paris. ‘E’ita roa te mau horo patete e fari’ihia.

    I roto i te mau motu – E tere atu te ho’e manureva tei tarahuhia i te pae fenua ‘Enata nô te ‘afa’i atu i te mau tauiha’a utuutura’a ma’i, no te tauturura’a ia i te mau fare utuutura’a ma’i. Nâ te reira e fa’a’ohie i te hi’opo’ara’a i te mau ma’i no te huira’atira.

    E tupu teie mau tere manureva i roto i te mau ta’a motu atoa no porînetia no te tauturura’a ia ratou.

    Nô te parurura’a ia tatou : te mau fare ho’ora’a ra’au e te mau fare toa

    E mea faufa’a rahi roa te fa’a’ohipara’a i te mau mahana atoa te mau rave’a pârurura’a no te pa’epa’era’a i te araira’a i teie ma’i.

    Fa’a’ohipa teie mau rave’a pâruru i roto i te mau fare toa e haere hia atu e ‘outou : fa’aateateara’a, ‘eiaha e ‘apa fa’ahou, ‘eiaha e aroha rima, a hota i roto i te fatira’a rima, horoi i tô ‘outou rima, ho’e noa ta’ata i roto i te fare toa no te ho’o mai ta ‘outou mau ma’a.

    Ia fa’a’ohipa ‘outou i teie mau fauera’a i te po’ipo’i tapati ia haere ‘outou e ho’o mai te mâ’a i roto i te fare toa.

    Ta ‘outou mau tamâ’ara’a i roto i te ‘utuafare, nô ‘outou noa e noho ra i roto i taua ‘utuafare ra.

    Nâ reira atoa nô teie mau ‘oro’a pâta e piri mai nei.

    Ho’e a huru fa’anahora’a ia haere ‘outou i roto i te mau fare ra’au no te ho’o mai te ra’au nâ ‘outou.

    Te ARAIRA’A ‘i teie ma’i. ‘E mea faufa’a ‘ia fâaha’amana’ohia, ‘e’ita teie tirotiro ‘e parare noa, nā tātou ra ‘e ta’ita’i nei iana no reira tatou ’e titauhia ai, ia fa’aea ‘i te fare.

    MĀURUURU E FA’AITOITO

    BULLETIN D’INFORMATION #15 – Cellule de crise de la Polynésie française

    Un nouveau cas a été dépisté aujourd’hui à Tahiti, hors zone urbaine – commune de Papara – portant à 42 le nombre de cas de personnes touchées par le COVID-19 en Polynésie française pour 618 dépistages depuis le début de l’épidémie. Deux personnes sont désormais hospitalisée (+1), aucun décès n’est constaté. Le patient hospitalisé a été placé en service de réanimation.

    Le ministre de la Santé rappelle l’importance de respecter les gestes barrières, dans les familles mais également, dans les quartiers où des confinements plus ciblés pourraient être décidés.

    Liaisons aériennes : internationales, nationales et inter-îles

    INTERNATIONAL – Le premier vol affrété par le Pays à destination de Shanghai a réussi sa mission d’acheminement de commandes de matériels sanitaires. Le vol est arrivé avec 130 mètres cubes de fret composé d’équipements de protection individuelle (EPI). Il sera appliqué à l’équipage et aux accompagnants les mesures de confinement qu’il convient.

    NATIONAL – Le premier vol affrété par l’Etat dans le cadre de la politique de continuité territoriale entre la métropole et les outremers décollera de Tahiti, ce mardi. Le vol retour prévoit un décollage de Paris vendredi, en fin de soirée.

    Ces vols spéciaux, qui seront effectués par la compagnie Air Tahiti Nui, ne sont pas commerciaux. Leur priorité, dans les deux sens, seront les évacuations sanitaires ainsi que le transport de matériels sanitaires et d’analyses urgentes commandées par l’ensemble des structures de soins, de santé et d’analyses médicales (publiques et privées) du Pays.

    INTER-ILES – La programmation de vols de soutien aux archipels se poursuit. La cellule de crise COVID-19 du Pays affrète mardi un vol à destination des Marquises, avec, à bord, du matériel sanitaire destiné à renforcer les moyens de la santé publique dans les îles, et permettant le suivi médical des populations.
    Tous les archipels seront ainsi régulièrement bénéficiaires de ces vols sanitaires, avec la possibilité de vols supplémentaires dans les cas d’urgence.

    GESTES BARRIÈRES : DANS LES PHARMACIES ET LES MAGASINS, même le dimanche !

    Il est important de respecter, chaque jour de la semaine, les gestes barrières qui permettent de soutenir la lutte contre l’épidémie. Il convient de bien respecter les gestes barrières, dans les magasins – se laver les mains avant et après y être allé, respecter les distances de sécurité, porter un masque en tissu et une seule personne qui se déplace pour les courses de toute la famille. Il en va de même dans les pharmacies.

    Ces gestes importants, font appel à la vigilance de chacun. Ils doivent s’appliquer autour des fêtes de Pâques, quand toutes les familles préparent ces célébrations.

    Nous rappelons que les repas en famille doivent être limités aux personnes vivant sous le même toit.

    PREVENTION – IL EST IMPORTANT DE RAPPELER, dans le cadre de la lutte contre l’épidémie, que LE VIRUS NE CIRCULE PAS SEUL. Nous le faisons circuler. D’où la politique du confinement strict.

    BON COURAGE A TOUTES ET A TOUS. FAAITOITO

    PARAU FA’AARARA’A NĀ TE MAU VE’A #15

    Mai te ‘omuara’a ‘o teie ma’i ‘i te fenua nei e tae roa mai ‘i teie mahana, teie te mau nûmera : 618 ta’ata tei hi’opo’ahia, 42 ta’ata tei ro’ohia ‘i te ma’i COVID-19 (hô’ê ta’ata ma’i ‘âpî tei ‘itehia’ e tirotiro to roto ia na, nô te oire ô Papara). E piti atu ra ia ta’ata ‘e vai nei ‘i te fare ma’i. ‘E te parau ‘oa’oa, ‘aore â ta’ata i fa’aru’e mai.

    Teie ta’ata ‘âpî tei hi’opo’a hia, e ua ‘itehia tei roto ia na te tirotiro COVID-19, nô te ‘oire nô Papara. ‘Ua tape’ahia ‘oia i te fare ma’i nô Taaone i roto i te piha ra’apa’aura’a ma’i fifi, e hô’ê i roto i te tahi atu piha.

    Te fa’aha’amana’o fa’ahouhia atu nei te Fa’atere Hau o te Ea te faufa’a rahi nô te mau rave’a pâruru i roto i te mau ‘utuafare feti’i e i roto atoa i te mau tuha’a ‘oire e mea rahi roa te ta’ata e noho ra i reira, e nehenehe ato’a te tahi fa’anahora’a ta’a’ê i te ravehia na roto i te ‘opani roa ra’a i taua tuha’a tei reira te ‘ite ra’ahia te hô’ê ta’ata ma’ihia i te COVID-19.

    Ia ‘ore noa atu te ta’ata e ha’apa’o i teie mau fauera’a e riro ratou i te fa’autu’ahia.

    Te mau terera’a manureva : na te ara, i farâni, i roto i te mau motu

    Na te ara – Ua manuia maita’i te tere manureva ‘i Shanghai. E ho’i mai ‘oia i teie avatea i te fenua nei nô te fa’aho’i mai 130 metera ‘afata, mau tauiha’a nô te araira’a i teie ma’i COVID-19 : te mau pâruru vaha, te mau ‘ahu, te mau rimarima, te mau mâteria nô te hi’opo’ara’a i te tirotiro COVID-19.

    Ia ‘ite mai ra ‘outou e, e ‘afa’i hia atu te mau pairati e te mau rave ‘ohipa i roto i te manureva, i roto i te tahi fare i reira ratou e fa’aea ai. Te aura’a ‘e’ita ratou e ho’i i roto i tô râtou mau ‘utuafare.

    I farâni – Nô te mau terera’a manureva, tei mana’ohia e ia tupu i rotopu ia Tahiti e o Paris. E tupu teie tere matamua i teie mahana piti nei no te reva atu i Paris. E ho’i mai ‘oia i teie mahana pae i muri nei i te tuira’a pô.

    Teie mau tere ta’a’ê na te taiete Air Tahiti Nui nô te uta atu ia i te mau mâteria nô te utuutura’a ma’i, te mau hi’opo’ara’a e fa’atae hia atu i Paris e te tahi atoa o tatou e haere atu i roto i te mau fare ma’i i Paris. ‘E’ita roa te mau horo patete e fari’ihia.

    I roto i te mau motu – E tere atu te ho’e manureva tei tarahuhia i te pae fenua ‘Enata nô te ‘afa’i atu i te mau tauiha’a utuutura’a ma’i, no te tauturura’a ia i te mau fare utuutura’a ma’i. Nâ te reira e fa’a’ohie i te hi’opo’ara’a i te mau ma’i no te huira’atira.

    E tupu teie mau tere manureva i roto i te mau ta’a motu atoa no porînetia no te tauturura’a ia ratou.

    Nô te parurura’a ia tatou : te mau fare ho’ora’a ra’au e te mau fare toa

    E mea faufa’a rahi roa te fa’a’ohipara’a i te mau mahana atoa te mau rave’a pârurura’a no te pa’epa’era’a i te araira’a i teie ma’i.

    Fa’a’ohipa teie mau rave’a pâruru i roto i te mau fare toa e haere hia atu e ‘outou : fa’aateateara’a, ‘eiaha e ‘apa fa’ahou, ‘eiaha e aroha rima, a hota i roto i te fatira’a rima, horoi i tô ‘outou rima, ho’e noa ta’ata i roto i te fare toa no te ho’o mai ta ‘outou mau ma’a.

    Ia fa’a’ohipa ‘outou i teie mau fauera’a i te po’ipo’i tapati ia haere ‘outou e ho’o mai te mâ’a i roto i te fare toa.

    Ta ‘outou mau tamâ’ara’a i roto i te ‘utuafare, nô ‘outou noa e noho ra i roto i taua ‘utuafare ra.

    Nâ reira atoa nô teie mau ‘oro’a pâta e piri mai nei.

    Ho’e a huru fa’anahora’a ia haere ‘outou i roto i te mau fare ra’au no te ho’o mai te ra’au nâ ‘outou.

    Te ARAIRA’A ‘i teie ma’i. ‘E mea faufa’a ‘ia fâaha’amana’ohia, ‘e’ita teie tirotiro ‘e parare noa, nā tātou ra ‘e ta’ita’i nei iana no reira tatou ’e titauhia ai, ia fa’aea ‘i te fare.

    MĀURUURU E FA’AITOITO