Annuaire des structures

  • [ACTUALITÉS]

    Les lycéens du Diadème prennent leur santé en main

     

     

    La Direction de la santé est ravie d’avoir pu accompagner, pour la première fois, les jeunes du lycée Te tara o Maiao de Pirae, qui ont lancé l’événement « Diadème en santé ». Un projet né du constat réalisé par la communauté éducative d’une augmentation de la consommation d’alcool ou de cannabis par les élèves, des difficultés rencontrées par certaines jeunes dans leurs familles, ou encore de prises de risques dans leurs relations sexuelles des adolescents

    La Direction de la santé a participé à la réalisation de ces journées en apportant son expertise avec l’accompagnement, notamment, d’une diététicienne, de la chargée de projet « Préventions et addictions » ou encore de la chargée de projet « santé sexuelle », lors des comités de pilotage et en aidant les élèves à constituer leurs stands.

    [ACTUALITÉS] Les lycéens du Diadème prennent leur santé en main

    La Direction de la santé est ravie d’avoir pu accompagner, pour la première fois, les jeunes du lycée Te tara o Maiao de Pirae, qui ont lancé l’événement « Diadème en santé ». Un projet né du constat réalisé par la communauté éducative d’une augmentation de la consommation d’alcool ou de cannabis par les élèves, des difficultés rencontrées par certaines jeunes dans leurs familles, ou encore de prises de risques dans leurs relations sexuelles des adolescents

    La Direction de la santé a participé à la réalisation de ces journées en apportant son expertise avec l’accompagnement, notamment, d’une diététicienne, de la chargée de projet « Préventions et addictions » ou encore de la chargée de projet « santé sexuelle », lors des comités de pilotage et en aidant les élèves à constituer leurs stands.

  • [ACTUALITÉS]

    Inauguration du totem Super Optimist

     

     

    Le mardi 28 mars 2023 a eu lieu l’inauguration du totem « Super Optimist » créé par l’association HOPE Team EAST qui accompagne quotidiennement les adultes et enfants atteints de cancer en proposant des programmes en Activité Physique Adaptée (APA).

    Le totem « Super Optimist » se déploie sous différentes formes ludiques et vise à faciliter l’accès à une activité physique en milieu hospitalier.

    Dans ce coffre à roulettes, de nombreuses activités physiques et ludiques s’adressent aussi bien aux enfants et adolescents qu’adultes. Le totem présente plusieurs faces, avec différents types de jeux : « Une surface avec des exercices de forces et de renforcement musculaires des membres supérieurs. Il y a une surface pour travailler l’adresse avec des jeux de lancer. Une autre qui est destinée à faire travailler la logique des enfants avec des jeux de construction de Lego par exemple. Et la dernière sera sur tablette tactile, avec des jeux cognitifs », a détaillé à Tahiti Infos Julien Bourrelier, le directeur de l’association qui a accompagné le projet Cap Optimist pendant l’inauguration.

    Les bénéfices de l’activité physique sur la santé n’étant plus à démontrer, le totem sera mis à disposition des patients en cours et après leur traitement au sein des services de rééducation fonctionnelle, d’oncologie, de diabétologie ou encore, de pédiatrie du CHPF.

    L’arrivée des waterwomen @Cap Optimist et le totem « Super-Optimist » encouragent le déploiement de l’offre en activité physique adaptée au sein des différents services hospitaliers de Polynésie française.

    Projet en partenariat entre le ministère de la Santé, l’Institut du Cancer de Polynésie française (ICPF), l’association Hope Team East et le CHPF.

    #superoptimist #totem #activitéphysique #activitéphysiqueadaptée

    @Hope Team East @Cap Optimist @ICPF @CHPF @Direction de la santé @Amazones pacifiques

    [ACTUALITÉS] Inauguration du totem Super Optimist

    Le mardi 28 mars 2023 a eu lieu l’inauguration du totem « Super Optimist » créé par l’association HOPE Team EAST qui accompagne quotidiennement les adultes et enfants atteints de cancer en proposant des programmes en Activité Physique Adaptée (APA).

    Le totem « Super Optimist » se déploie sous différentes formes ludiques et vise à faciliter l’accès à une activité physique en milieu hospitalier.

    Dans ce coffre à roulettes, de nombreuses activités physiques et ludiques s’adressent aussi bien aux enfants et adolescents qu’adultes. Le totem présente plusieurs faces, avec différents types de jeux : « Une surface avec des exercices de forces et de renforcement musculaires des membres supérieurs. Il y a une surface pour travailler l’adresse avec des jeux de lancer. Une autre qui est destinée à faire travailler la logique des enfants avec des jeux de construction de Lego par exemple. Et la dernière sera sur tablette tactile, avec des jeux cognitifs », a détaillé à Tahiti Infos Julien Bourrelier, le directeur de l’association qui a accompagné le projet Cap Optimist pendant l’inauguration.

    Les bénéfices de l’activité physique sur la santé n’étant plus à démontrer, le totem sera mis à disposition des patients en cours et après leur traitement au sein des services de rééducation fonctionnelle, d’oncologie, de diabétologie ou encore, de pédiatrie du CHPF.

    L’arrivée des waterwomen @Cap Optimist et le totem « Super-Optimist » encouragent le déploiement de l’offre en activité physique adaptée au sein des différents services hospitaliers de Polynésie française.

    Projet en partenariat entre le ministère de la Santé, l’Institut du Cancer de Polynésie française (ICPF), l’association Hope Team East et le CHPF.

    #superoptimist #totem #activitéphysique #activitéphysiqueadaptée

    @Hope Team East @Cap Optimist @ICPF @CHPF @Direction de la santé @Amazones pacifiques

  • [ACTUALITÉS]

    Ecole/CJA en santé : Labellisation de deux établissements des Raromatai à Faaroa (Raiatea) et Haamene (Taha’a) 

     

     

    Courant mars, nous avons eu le plaisir de décerner le label « Ecole/ CJA en santé » à deux établissements des Raromatai : le CJA de Haamene dans la commune de Taha’a, et celui de Faaroa dans la commune de Taputapuatea à Raiatea.

    Le label « école et/ou CJA en santé » a pour but de promouvoir la santé à l’école en agissant sur les déterminants de santé, et en développant les compétences psycho-sociales des élèves.

    Les établissements travaillent avec leurs élèves en rassemblant un comité de santé, afin de proposer 10 actions prenant en compte les déterminants prioritaires de la santé des jeunes, en lien avec les thématiques suivantes :

    • Alimentation
    • Activités physiques
    • Hygiène corporelle
    • Rythme de vie
    • Ecole sans tabac ou vie sans dépendance
    • Tri des déchets et espace public propre
    • Lutte antivectorielle
    • Accueil de tous les enfants et le bien vivre ensemble, ou estime de soi et bien vivre ensemble
    • Accès aux soins pour tous les élèves
    • Patrimoine culturel

    Lors de leur labellisation, les élèves ont valorisé notamment les actions suivantes :

    • un fa’a’apu entretenu par leurs soins, permettant de limiter la consommation d’aliments transformés au sein de l’établissement.
    • des séances de sport collectives ou individuelles, d’une demi-heure par jour, ainsi que des rencontres sportives régulières inter-écoles.
    • des discussions en classe autour des dangers des écrans et du rythme de sommeil.
    • des échanges en classe sur l’importance d’une bonne hygiène dentaire et corporelle avec les bons gestes tels que lavage des mains .
    • des temps d’échange réguliers animés par les élèves et encadrés par les enseignants sur le paka, l’alcool et les addictions médicamenteuses.
    • la participation des élèves au « clean up day » annuel de la commune ainsi que l’apprentissage du tri des déchets .
    • l’éradication des gites larvaires ainsi que la réalisation de débats en classe sur les différentes maladies transmises par les moustiques.
    • des espaces de discussion créés pour lutter contre les violences physiques et morales, pour favoriser l’estime de soi et le respect des autres au sein de l’établissement.
    • la mise en place d’une trousse de secours accessibles à tous ainsi que des prises de rendez-vous au centre dentaire public d’Uturoa pour des diagnostics et suivis.

    Des visites culturelles comme le Marae de Taputapuatea ou des rencontres avec des matahiapo de la commune sur les thèmes des contes et légendes de l’île, permettant de renouer avec la culture.

    [ACTUALITÉS]

    Ecole/CJA en santé : Labellisation de deux établissements des Raromatai à Faaroa (Raiatea) et Haamene (Taha’a) 

    Courant mars, nous avons eu le plaisir de décerner le label « Ecole/ CJA en santé » à deux établissements des Raromatai : le CJA de Haamene dans la commune de Taha’a, et celui de Faaroa dans la commune de Taputapuatea à Raiatea.

    Le label « école et/ou CJA en santé » a pour but de promouvoir la santé à l’école en agissant sur les déterminants de santé, et en développant les compétences psycho-sociales des élèves.

    Les établissements travaillent avec leurs élèves en rassemblant un comité de santé, afin de proposer 10 actions prenant en compte les déterminants prioritaires de la santé des jeunes, en lien avec les thématiques suivantes :

    • Alimentation
    • Activités physiques
    • Hygiène corporelle
    • Rythme de vie
    • Ecole sans tabac ou vie sans dépendance
    • Tri des déchets et espace public propre
    • Lutte antivectorielle
    • Accueil de tous les enfants et le bien vivre ensemble, ou estime de soi et bien vivre ensemble
    • Accès aux soins pour tous les élèves
    • Patrimoine culturel

    Lors de leur labellisation, les élèves ont valorisé notamment les actions suivantes :

    • un fa’a’apu entretenu par leurs soins, permettant de limiter la consommation d’aliments transformés au sein de l’établissement.
    • des séances de sport collectives ou individuelles, d’une demi-heure par jour, ainsi que des rencontres sportives régulières inter-écoles.
    • des discussions en classe autour des dangers des écrans et du rythme de sommeil.
    • des échanges en classe sur l’importance d’une bonne hygiène dentaire et corporelle avec les bons gestes tels que lavage des mains .
    • des temps d’échange réguliers animés par les élèves et encadrés par les enseignants sur le paka, l’alcool et les addictions médicamenteuses.
    • la participation des élèves au « clean up day » annuel de la commune ainsi que l’apprentissage du tri des déchets .
    • l’éradication des gites larvaires ainsi que la réalisation de débats en classe sur les différentes maladies transmises par les moustiques.
    • des espaces de discussion créés pour lutter contre les violences physiques et morales, pour favoriser l’estime de soi et le respect des autres au sein de l’établissement.
    • la mise en place d’une trousse de secours accessibles à tous ainsi que des prises de rendez-vous au centre dentaire public d’Uturoa pour des diagnostics et suivis.

    Des visites culturelles comme le Marae de Taputapuatea ou des rencontres avec des matahiapo de la commune sur les thèmes des contes et légendes de l’île, permettant de renouer avec la culture.

  • BULLETIN D’INFORMATION #46 – Cellule de crise de la Polynésie française

    À ce jour, 4728 tests ont été effectués depuis le début de l’épidémie en Polynésie française. Il n’y a eu aucun nouveau cas confirmé de Covid-19 dans la population polynésienne depuis le 4 mai 2020.

    Retour des résidents et gestion de la quarantaine

    Depuis le début de la crise, dix vols de continuité territoriale ont été opérées. Ils ont permis de rapatrier plus de 750 résidents polynésiens (hors personnels naviguant, professionnels de santé et gendarmes). Parmi ces personnes, environ 650 ont accepté d’effectuer une quarantaine de quatorze jours dans des lieux dédiés et entièrement pris en charge par le Pays (transports, hébergement, restauration et test à l’issue des 14 jours). Environ 100 personnes ont choisi d’effectuer leur période de quarantaine à domicile.

    Pour les personnes qui ont été hébergées dans les lieux gérés par le Pays, de nombreuses activités encadrées par la cellule de crise Covid-19 ont été organisées sur place pour rendre cette période le plus agréable possible : conférence sur la culture, la langue et l’histoire polynésienne ; ateliers culinaires, de tressages ou de ‘ori Tahiti ; rendez-vous sportifs organisés par les confinés ou par des professionnels bénévoles (cours de yoga, initiation à différentes pratiques sportives, etc).

    Fermeture de la Cellule de crise Covid-19

    Le vendredi 3 juillet 2020, la Cellule de crise, fermera ses portes. En partie composée de professionnels issus des services et structures du ministère de la santé et de la prévention, il est important que l’ensemble de ces ressources regagnent leurs services d’origine afin que les structures de la direction de la santé (avec le bureau de veille sanitaire -BVS), l’agence de régulation de l’action sanitaire et sociale (ARASS) et le centre hospitalier de la Polynésie française (CHPF) soient en ordre de marche pour la prise en charge des soins, dans le cadre de la réouverture de nos frontières.

    L’ensemble des membres de la Cellule de crise souhaitent remercier les bénévoles qui se sont engagés et tous les professionnels qui ont œuvré pour gérer cette crise inédite.

    Mis en place du logiciel Firiora

    A partir du 1er juillet 2020, le dispositif de suivi sanitaire des entrants en Polynésie est entièrement repensé. La quarantaine de quatorze jours en sites dédiés est supprimées et remplacée par une quarantaine de sept jours à domicile, avec un suivi sanitaire pris en charge par le Pays.

    Le logiciel de suivi épidémiologique, FIRIORA, rentrera en phase de test opérationnel du 1er au 14 juillet, et sera mis pleinement en action à partir du 15 juillet 2020. Il aura pour but d’identifier le plus rapidement possible des personnes symptomatiques, pouvant être atteint de covid-19.

    Les informations de voyage, remplies par les voyageurs sur l’ETIS (mis en place par le ministère du tourisme et du travail), prérequis au voyage en Polynésie, pourraient être utilisées par les professionnels de santé utilisant Firiora, dans l’hypothèse d’une enquête sanitaire nécessaire au tour d’un cas de covid-19 détecté. ETIS fonctionnerait alors comme un annuaire de contact des voyageurs, pour identifier numéros d’appel et lieux de résidences temporaires.

    L’objectif étant d’améliorer la rapidité et l’efficacité de l’enquête sanitaire pour casser la chaîne de transmission du virus.

    Nouvelles mesures sanitaires mises en place en juillet 2020

    Les autorités sanitaires appellent la population à limiter au maximum les déplacements à l’étranger.

    Afin d’assurer un suivi attentif et une identification rapide des personnes étant susceptibles d’être porteur du virus, chaque personne revenant d’un séjour hors de Polynésie ou ayant été en contact avec un personne arrivant de l’étranger ou de métropole devra être attentive à son état de santé.

    Les personnes ressentant un symptôme évocateur de la maladie (fatigue, fièvre, maux de tête, perte du goût ou de l’odorat, courbatures, gêne respiratoire ou diarrhée), devront se signaler rapidement auprès de leur médecin ou de la plateforme d’appel de la santé : le 40.455.000.

    Ce numéro sera mis en place au début du mois de juillet et géré par des professionnels de santé du bureau de veille sanitaire (BVS).

    Avec la réouverture des frontières, les autorités sanitaires rappellent l’importance d’appliquer les gestes barrières (lavage régulier des mains, distanciation physique, port du masque et aération et nettoyage des espaces de vie). Ces mesures d’hygiène et de protection sont encore plus nécessaire en présence de personnes à risque : personnes de plus 65 ans, en longue maladie, ou maladie chronique, en situation d’obésité ou femmes enceintes au troisième trimestre). Il convient de les protéger.

    Le respect des gestes barrières sera une responsabilité citoyenne autant qu’une marque de respect. Protéger les autres, c’est les respecter.

    Mesures prises dans le cadre de l’épidémie de Covid-19 en Polynésie française, de mars à mai 2020

    BULLETIN D’INFORMATION #46 – Cellule de crise de la Polynésie française

    À ce jour, 4728 tests ont été effectués depuis le début de l’épidémie en Polynésie française. Il n’y a eu aucun nouveau cas confirmé de Covid-19 dans la population polynésienne depuis le 4 mai 2020.

    Retour des résidents et gestion de la quarantaine

    Depuis le début de la crise, dix vols de continuité territoriale ont été opérées. Ils ont permis de rapatrier plus de 750 résidents polynésiens (hors personnels naviguant, professionnels de santé et gendarmes). Parmi ces personnes, environ 650 ont accepté d’effectuer une quarantaine de quatorze jours dans des lieux dédiés et entièrement pris en charge par le Pays (transports, hébergement, restauration et test à l’issue des 14 jours). Environ 100 personnes ont choisi d’effectuer leur période de quarantaine à domicile.

    Pour les personnes qui ont été hébergées dans les lieux gérés par le Pays, de nombreuses activités encadrées par la cellule de crise Covid-19 ont été organisées sur place pour rendre cette période le plus agréable possible : conférence sur la culture, la langue et l’histoire polynésienne ; ateliers culinaires, de tressages ou de ‘ori Tahiti ; rendez-vous sportifs organisés par les confinés ou par des professionnels bénévoles (cours de yoga, initiation à différentes pratiques sportives, etc).

    Fermeture de la Cellule de crise Covid-19

    Le vendredi 3 juillet 2020, la Cellule de crise, fermera ses portes. En partie composée de professionnels issus des services et structures du ministère de la santé et de la prévention, il est important que l’ensemble de ces ressources regagnent leurs services d’origine afin que les structures de la direction de la santé (avec le bureau de veille sanitaire -BVS), l’agence de régulation de l’action sanitaire et sociale (ARASS) et le centre hospitalier de la Polynésie française (CHPF) soient en ordre de marche pour la prise en charge des soins, dans le cadre de la réouverture de nos frontières.

    L’ensemble des membres de la Cellule de crise souhaitent remercier les bénévoles qui se sont engagés et tous les professionnels qui ont œuvré pour gérer cette crise inédite.

    Mis en place du logiciel Firiora

    A partir du 1er juillet 2020, le dispositif de suivi sanitaire des entrants en Polynésie est entièrement repensé. La quarantaine de quatorze jours en sites dédiés est supprimées et remplacée par une quarantaine de sept jours à domicile, avec un suivi sanitaire pris en charge par le Pays.

    Le logiciel de suivi épidémiologique, FIRIORA, rentrera en phase de test opérationnel du 1er au 14 juillet, et sera mis pleinement en action à partir du 15 juillet 2020. Il aura pour but d’identifier le plus rapidement possible des personnes symptomatiques, pouvant être atteint de covid-19.

    Les informations de voyage, remplies par les voyageurs sur l’ETIS (mis en place par le ministère du tourisme et du travail), prérequis au voyage en Polynésie, pourraient être utilisées par les professionnels de santé utilisant Firiora, dans l’hypothèse d’une enquête sanitaire nécessaire au tour d’un cas de covid-19 détecté. ETIS fonctionnerait alors comme un annuaire de contact des voyageurs, pour identifier numéros d’appel et lieux de résidences temporaires.

    L’objectif étant d’améliorer la rapidité et l’efficacité de l’enquête sanitaire pour casser la chaîne de transmission du virus.

    Nouvelles mesures sanitaires mises en place en juillet 2020

    Les autorités sanitaires appellent la population à limiter au maximum les déplacements à l’étranger.

    Afin d’assurer un suivi attentif et une identification rapide des personnes étant susceptibles d’être porteur du virus, chaque personne revenant d’un séjour hors de Polynésie ou ayant été en contact avec un personne arrivant de l’étranger ou de métropole devra être attentive à son état de santé.

    Les personnes ressentant un symptôme évocateur de la maladie (fatigue, fièvre, maux de tête, perte du goût ou de l’odorat, courbatures, gêne respiratoire ou diarrhée), devront se signaler rapidement auprès de leur médecin ou de la plateforme d’appel de la santé : le 40.455.000.

    Ce numéro sera mis en place au début du mois de juillet et géré par des professionnels de santé du bureau de veille sanitaire (BVS).

    Avec la réouverture des frontières, les autorités sanitaires rappellent l’importance d’appliquer les gestes barrières (lavage régulier des mains, distanciation physique, port du masque et aération et nettoyage des espaces de vie). Ces mesures d’hygiène et de protection sont encore plus nécessaire en présence de personnes à risque : personnes de plus 65 ans, en longue maladie, ou maladie chronique, en situation d’obésité ou femmes enceintes au troisième trimestre). Il convient de les protéger.

    Le respect des gestes barrières sera une responsabilité citoyenne autant qu’une marque de respect. Protéger les autres, c’est les respecter.

    Mesures prises dans le cadre de l’épidémie de Covid-19 en Polynésie française, de mars à mai 2020
  • BULLETIN D’INFORMATION #45 – Cellule de crise de la Polynésie française

    4021 tests ont été effectués depuis le début de l’épidémie en Polynésie française. Il n’y a aucun nouveau cas confirmé de Covid-19 dans la population polynésienne. L’état général de santé du patient hospitalisé au centre hospitalier de Polynésie française (CHPF) est en nette voie d’amélioration.

    Le suivi sanitaire des personnes sans domiciles fixes

    Suite aux mesures de confinement général décidé au mois de mars 2020 sur la totalité du Fenua, les autorités du Pays avaient choisi de prendre en charge les personnes sans domiciles fixes dans des structures d’hébergement d’urgence. Au total, à Papeete, ce sont près de 120 personnes qui ont été orientées dans quatre lieux dédiés, gérés grâce au concours de la mairie de Papeete, la direction des solidarités, de la famille et de l’égalité (DSFE), de l’association Te Torea et du Pays.

    L’hébergement dans des lieux dédiés et définis, pendant près de deux mois, a permis aux professionnels de santé d’effectuer un travail de soin auprès de ces personnes sans domiciles fixes. Cela a permis de proposer un encadrement social, psychologique et sanitaire, d’ordinaire difficile à envisager. Ainsi, deux à trois fois par jour, infirmiers et médecins de santé publique se sont rendus dans ces centres d’hébergement d’urgence afin de remettre en place un suivi médical et hygiénique adéquate aux problématiques de santé individuelles.

    Les professionnels de santé ont pu constater la grande capacité d’adaptation et de résilience d’une majorité des SDF de la ville de Papeete. Si certains sont en voie d’insertion sociale et professionnelle, certains sont repartis vivre dans la rue, où une augmentation du nombre de personnes démunies suite à la crise a été notée. Des solutions de suivi médical sur un plus long terme sont à l’étude pour améliorer l’accès aux soins et à l’hygiène, de ces personnes.

    FIRIORA, une plateforme pour assurer le suivi épidémiologique

    La crise du Covid-19 a fait émerger la nécessité de se doter d’outils numériques performants pour améliorer le suivi des épidémies, assuré par le bureau de veille sanitaire (BVS) et les professionnels de santé, en Polynésie française.

    Depuis plusieurs semaines, les équipes de la Cellule de crise Covid-19, de la direction de la Santé, de l’agence de régulation pour l’action sanitaire et sociale (ARASS) et du service informatique du Pays, travaillent à l’adaptation au contexte sanitaire polynésien d’un logiciel spécialisé dans la prévention et le suivi des épidémies. L’outil développé s’inspire du logiciel DAMOC de la société Epiconcept, qui a fait ses preuves pour le suivi des cas de tuberculose, en métropole.

    Cet outil est une plateforme strictement réservée aux professionnels de santé et aux autorités sanitaires, dont le but est d’améliorer la communication entre les professionnels de santé pour le suivi des patients, dans le respect total du secret médical et des libertés individuelles. Seuls les professionnels directement impliqués dans la prise en charge des patients pourront accéder aux fiches de suivi des patients. Seules les informations relatives au coronavirus seront renseignées sur celle-ci, et les données seront détruites après la durée définie par le cadre légal (actuellement de 3 mois).

    La plateforme FIRIORA est destinée uniquement au suivi de l’enquête épidémiologique du Covid-19 en Polynésie. Elle permettra dans les jours qui arrivent d’optimiser la surveillance virologique des personnes arrivant sur le territoire.

    Et, dans l’hypothèse où le virus serait à nouveau en circulation dans la population, le logiciel permettra une gestion plus complète et plus sécurisée de l’enquête épidémiologique autour des cas : identifier les clusters infectieux, les personnes à risque d’infection et les personnes contacts (cette information ne sera accessible que par les équipes médicales du bureau de veille sanitaire, exclusivement).

    Il ne s’agit en aucun cas d’un outil permettant de géolocaliser les personnes, ni d’enregistrer de manière systématique les contacts entre les personnes.

    Son usage pourrait être réadapté dans un second temps pour le suivi d’autres épidémies au Fenua.

    Le numéro vert 444.789 ferme le 31 mai

    Pour faire face aux interrogations et aux inquiétudes de la population concernant le coronavirus, la Direction de la Santé avait ouvert une ligne spécifique : 444.789. Ce numéro gratuit permettait aux personnes présentant des symptômes, ayant des questions ou étant en souffrance d’entrer en contact avec un professionnel de santé. Depuis l’annonce de l’allègement du confinement puis du déconfinement total, le nombre d’appels au 444.789 a drastiquement diminué. Aussi, la Direction de la Santé a décidé de fermer la ligne, à la fin du mois de mai.

    A partir du 1er juin, les personnes ayant des questions d’ordre administrative, sur la continuité territoriale pourront joindre le Haut-Commissariat au : 40 46 87 00.

    Les personnes présentant des symptômes évocateurs de la maladie doivent appeler leur médecin, ou le 15 si leur état de santé est alarmant.

    Pour d’autres questions relatives à l’épidémie de Covid-19 en Polynésie française, il est possible de joindre le bureau de veille sanitaire au 40.488.246 du lundi au jeudi de 7H30 à 15h30 et le vendredi de 7H30 à 14H30.

    BULLETIN D’INFORMATION #43 – Cellule de crise de la Polynésie française

    3873 tests ont été effectués depuis le début de l’épidémie en Polynésie française. Il n’y a aucun nouveau cas confirmé de Covid-19 dans la population polynésienne.

    29 personnes ont été dépistées positives au virus sur un bateau de pêche équatorien le 20 mai 2020. Ces personnes sont considérées en transit et n’ayant pas été en contact avec la communauté, l’une d’elle est actuellement hospitalisée à l’hôpital du Taaone, et isolée selon les protocoles mis en place, afin de garantir la sécurité sanitaire du personnel et des autres patients de l’hôpital.

    Retour des résidents et sortie de quarantaine

    Le vol de continuité territoriale, arrivé vendredi soir, a amené 152 passagers, dont 4 médecins d’Europassistance et 110 résidents polynésiens qui ont accepté d’effectuer une quarantaine dans un lieu dédié et entièrement pris en charge par le Pays (transport, hébergement, restauration et test à l’issue des 14 jours). Certaines personnes ont été autorisées à ne pas faire leur quarantaine, justifiant d’avoir déjà contracté le Covid-19 et ne présentant plus de signes de la maladie depuis plus de 14 jours.

    Dimanche 24 mai, 47 personnes hébergées au centre d’hébergement étudiant (CHE) et à Tibériade ont été autorisées à sortir de leur quarantaine, suite à leur rapatriement de métropole le 10 mai 2020. Tous ont effectué un test de dépistage du Covid-19, analysé négatif, obligatoire pour lever la quarantaine.

    Les personnes rapatriées d’Australie et revenues le 16 mai dans l’avion de l’Etat A400M, devraient être autorisées à sortir le 30 mai prochain.

    Masques et gants à usage unique

    Malgré la levée du confinement annoncé par une allocution conjointe Etat / Pays, mercredi 20 mai, les autorités sanitaires rappellent l’importance de poursuivre l’application des gestes de protection : hygiène des mains, distanciation physique et port du masque. Il est essentiel de continuer à respecter ces comportements qui ont permis de limiter la propagation du virus, la vigilance reste de mise.

    Par ailleurs, si le masque en tissu ou « paruru vaha » est fortement recommandé, ce n’est pas le cas des gants à usage unique. Il est préférable de se laver les mains régulièrement pour garantir une bonne hygiène des mains. En effet, le port de gants ne protège pas toujours des virus, et mal porter des gants peut être pire que de ne rien porter du tout, notamment si l’on met des gants sans se laver les mains, ou que l’on se touche le visage avec.

    Les autorités sanitaires rappellent également que les masques et les gants à usage unique doivent être immédiatement jetés dans une poubelle, sans contact, après utilisation, pour éviter toute dissémination potentielle du virus et aussi pour ne pas polluer notre environnement.

    Quand cela est possible, il est préférable d’opter pour des masques en tissu, réutilisables et fabriqués localement.

    Vol de Shanghai

    Un vol de fret a atterri hier, dimanche 24 mai à l’aéroport de Tahiti-Faa’a. L’avion a débarqué une commande d’équipements de protection individuels (EPI) du centre hospitalier de Polynésie française (CHPF) de près de 60 mètres cube, en plus d’un reliquat de la commande effectuée par le Pays lors du premier vol de Shanghai. Se trouvait également à bord des dons de la Chine à destination des communes de Faa’a et Papeete, ainsi que des dons (essentiellement des EPI) de la Fondation Jack Ma à la Polynésie française, récupéré à Fidji.

    Suivi des dépistages effectués

    Depuis le début de la crise, la majorité des dépistages, soit 89%, a été réalisée dans les Îles du Vent.

    Un travail de suivi des dépistages a été effectué. Au total, à la fin de la 20eme semaine de l’année (S20), le 17 mai 2020, 3330 personnes avaient été dépistées sur l’ensemble des 5 archipels.

    BULLETIN D’INFORMATION #44 – Cellule de crise de la Polynésie française

    3 964 hi’opo’ara’a tei ravehia mai te omuara’a o teie ma’i. Aore roa ta’ata ma’i fa’ahou nô te fenua nei. Teie ra 29 ihita’i i nia i te pahi rava’ai no te fenua Etuatoria tei hi’opo’ahia i te 20 nô Mê 2020. ‘Ua fa’arue mai teie pahi i tô tâtou otia moana i te mahana mâ’a ra i te tapera’a mahana i muri ‘ae i tôna faa’arara’a i te Pû ‘ohipa a te Hau Nui. Tei roto noa â o te hô’ê o te ihita’i nô teie pahi i roto i te rima o te mau taote nô te Fare Ma’i nô Taaone. Mea huru matai oia i teie mahana.

    ô reira, ia tâmau noa â i te fa’a’ohipa i te mau ravea pârurura’a i teie tirotiro Corona.

    Te mau terera’a manureva tei târahuhia e te Hau Nui

    ‘Ua ho’i mai te feia nô te fenua nei i reva atu i te fenua Fârâni. Te manureva i târahuhia e te Hau Fârâni (Continuité Territoriale), ‘ua tapae mai oia i te a’ahi’ata mahana mâ’a ra. 152 horopatete i nia i taua manureva ra. I rotopu ia râtou e 4 taote nô te Tâ’atira’a Europeassistance. 110 feia nô te fenua nei tei fa’ari’i i te hô’ê tau hi’opo’ara’a e 2 hepetoma, i roto i te hô’ê hotera tei târahuhia e te Hau Fenua (te mau ha’amauara’a no te utara’a, te nohora’a, te mâ’a e te mau hi’opo’ara’a nô na mahana 14). E rave rahi ta’ata o tei ani e ho’i i roto i tô râtou mau utuafare, inaha ‘ua ro’ohia na râtou i te ma’i Covid-19, e i teie mahana i muri ‘ae i te mau hi’opo’ara’a aita tô râtou e tirotiro fa’ahou.

    I nanahi ra tapati 24 nô Mê, 47 ta’ata i noho na i roto i te mau fare o te mau piahi nô te Ha’apirira’a Tua Toru nô Outumaoro (CHE) e tae noa atu i te feia o tei hi’opo’ahia ana i Mitirapa (Tibériade) o tei fa’ati’ahia i te ho’i i roto i tô râtou mau utuafare i muri ’ae i tô râtou hi’opo’ara’ahia 14 mahana. Aita e tirotiro fa’ahou i roto ia râtou.

    Te mau ta’ata i fa’aho’ihia mai, mai te fenua Auteraria e tei ho’i mai i te 16 nô Mê na nia i te manureva a te Nu’u A400M, o râtou ato’a o te fa’ati’ahia ia ho’i i roto i tô râtou mau utuafare i te 30 nô Mê i muri nei.

    Te mau pâruru vaha e te mau rimarima

    A ta’a noa atu te parau nô te fa’aorera’ahia te vai ‘opanipanira’a i faa’ara amuihia e te Hau Fenua e te Tomitera Teitei i te mahana 20 nô Mê 2020, te tâmau nei ia te mau Tia mana nô te Ea i te fa’aha’amana’o ia tâtou i te faufa’a rahi nô te fa’aturara’a i te mau fa’a’ohipara’a i te mau ravea pâruru. Na te reira ho’i i fa’a’iti roa i te pârarera’a o te tirotiro i roto i tô tâtou nei fenua.

    Mai te peu e, e titauhia tâtou i te fa’a’ohipa i te pâruru vaha i nirahia e tô tâtou mau Mama, te faa’arahia nei tâtou e mea matai ‘ae nô tâtou i te horoi pinepine i tô tâtou nâ rima i te omono i te rimarima. Inaha, ‘ua pâpû i teie mahana e aita te rimarima e pâruru nei ia tâtou i teie tirotiro.

    Ia hope te fa’a’ohipara’a i te pâruru vaha e tae noa atu i te mau rimarima, e mea tîtauhia tâtou ia fa’aru’e i te reira i roto i te hô’ê fari’i pehu nô te araira’a i te pârarera’a o teie tirotioro e nô te pârurura’a i te arutaimareva.

    Te faa’ara ato’a hia nei tâtou, e mea hau ‘ae i te fa’a’ohipa i te hô’ê pâruru vaha o tei nirahia, inaha e nehenehe â teie mau pâruru vaha i te fa’a’ohipa fa’ahouhia i muri ‘ae i te pu’ara’a iâna

    Te tere manureva nô Shanghai

    ‘Ua ho’i mai teie manureva i nanahi avatea ra, tapati 24 nô Mê i Tahiti-Faa’a. I nia i teie manureva e rave rahi tauihaa (60 metera afata) mai te mau pâruru vaha, matini hutira’a aho, te mau rave’a hi’opo’ara’a. Te rahira’a o teie mau tao’a nô te Fare Ma’i nô Taaone ia, mai te mau tauihaa pâruru.

    Te vai ato’a nei te mau ô tâ te fenua Tinito i fa’ata’a nô te ‘Oire nô Papete e Fa’aa, e te tahi atoa mau ô nô Te Ta’atira’a Jack Ma i te fenua nei e o tei ohihia mai i te fenua Fiti.

    Te parau nô te mau mau hi’opo’ara’a

    Mai te omuara’a o teie ma’i i te fenua nei, te rahira’a o te mau hi’opo’ara’a (89 i nia i te hanere), ‘ua ravehia te reira i nia Mata’i nei. I te 17 nô Mê, 3 330 ta’ata tei hi’opo’ahia i nia i nâ ta’a motu e pae.

    IA VAI ARA NOA Â TÂTOU. A TÂMAU NOA A I TE FA’A’OHIPA I TE MAU RAVEA PÂRURU. MĀURUURU E FA’AITOITO

  • BULLETIN D’INFORMATION #44 – Cellule de crise de la Polynésie française

    3964 tests ont été effectués depuis le début de l’épidémie en Polynésie française. Il n’y a aucun nouveau cas confirmé de Covid-19 dans la population polynésienne.

    29 personnes ont été dépistées positives au virus sur un bateau de pêche équatorien le 20 mai 2020. Le bateau a quitté les eaux de la zone économique exclusive (ZEE) polynésienne samedi 23 mai en fin de journée, après avoir averti le JRCC. Le marin équatorien est toujours hospitalisé à l’hôpital du Taaone, son état est stable.

    Retour des résidents et sortie de quarantaine

    Le vol de continuité territoriale, arrivé vendredi soir, a amené 152 passagers, dont 4 médecins d’Europassistance et 110 résidents polynésiens qui ont accepté d’effectuer une quarantaine dans un lieu dédié et entièrement pris en charge par le Pays (transport, hébergement, restauration et test à l’issue des 14 jours). Certaines personnes ont été autorisées à ne pas faire leur quarantaine, justifiant d’avoir déjà contracté le Covid-19 et ne présentant plus de signes de la maladie depuis plus de 14 jours.

    Dimanche 24 mai, 47 personnes hébergées au centre d’hébergement étudiant (CHE) et à Tibériade ont été autorisées à sortir de leur quarantaine, suite à leur rapatriement de métropole le 10 mai 2020. Tous ont effectué un test de dépistage du Covid-19, analysé négatif, obligatoire pour lever la quarantaine.

    Les personnes rapatriées d’Australie et revenues le 16 mai dans l’avion de l’Etat A400M, devraient être autorisées à sortir le 30 mai prochain.

    Masques et gants à usage unique

    Malgré la levée du confinement annoncé par une allocution conjointe Etat / Pays, mercredi 20 mai, les autorités sanitaires rappellent l’importance de poursuivre l’application des gestes de protection : hygiène des mains, distanciation physique et port du masque. Il est essentiel de continuer à respecter ces comportements qui ont permis de limiter la propagation du virus, la vigilance reste de mise.

    Par ailleurs, si le masque en tissu ou « paruru vaha » est fortement recommandé, ce n’est pas le cas des gants à usage unique. Il est préférable de se laver les mains régulièrement pour garantir une bonne hygiène des mains. En effet, le port de gants ne protège pas toujours des virus, et mal porter des gants peut être pire que de ne rien porter du tout, notamment si l’on met des gants sans se laver les mains, ou que l’on se touche le visage avec.

    Les autorités sanitaires rappellent également que les masques et les gants à usage unique doivent être immédiatement jetés dans une poubelle, sans contact, après utilisation, pour éviter toute dissémination potentielle du virus et aussi pour ne pas polluer notre environnement.

    Quand cela est possible, il est préférable d’opter pour des masques en tissu, réutilisables et fabriqués localement.

    Vol de Shanghai

    Un vol de fret a atterri hier, dimanche 24 mai à l’aéroport de Tahiti-Faa’a. L’avion a débarqué une commande d’équipements de protection individuels (EPI) du centre hospitalier de Polynésie française (CHPF) de près de 60 mètres cube, en plus d’un reliquat de la commande effectuée par le Pays lors du premier vol de Shanghai. Se trouvait également à bord des dons de la Chine à destination des communes de Faa’a et Papeete, ainsi que des dons (essentiellement des EPI) de la Fondation Jack Ma à la Polynésie française, récupéré à Fidji.

    Suivi des dépistages effectués

    Depuis le début de la crise, la majorité des dépistages, soit 89%, a été réalisée dans les Îles du Vent.

    Un travail de suivi des dépistages a été effectué. Au total, à la fin de la 20eme semaine de l’année (S20), le 17 mai 2020, 3330 personnes avaient été dépistées sur l’ensemble des 5 archipels.

    BULLETIN D’INFORMATION #44 – Cellule de crise de la Polynésie française

    3 964 hi’opo’ara’a tei ravehia mai te omuara’a o teie ma’i. Aore roa ta’ata ma’i fa’ahou nô te fenua nei. Teie ra 29 ihita’i i nia i te pahi rava’ai no te fenua Etuatoria tei hi’opo’ahia i te 20 nô Mê 2020. ‘Ua fa’arue mai teie pahi i tô tâtou otia moana i te mahana mâ’a ra i te tapera’a mahana i muri ‘ae i tôna faa’arara’a i te Pû ‘ohipa a te Hau Nui. Tei roto noa â o te hô’ê o te ihita’i nô teie pahi i roto i te rima o te mau taote nô te Fare Ma’i nô Taaone. Mea huru matai oia i teie mahana.

    ô reira, ia tâmau noa â i te fa’a’ohipa i te mau ravea pârurura’a i teie tirotiro Corona.

    Te mau terera’a manureva tei târahuhia e te Hau Nui

    ‘Ua ho’i mai te feia nô te fenua nei i reva atu i te fenua Fârâni. Te manureva i târahuhia e te Hau Fârâni (Continuité Territoriale), ‘ua tapae mai oia i te a’ahi’ata mahana mâ’a ra. 152 horopatete i nia i taua manureva ra. I rotopu ia râtou e 4 taote nô te Tâ’atira’a Europeassistance. 110 feia nô te fenua nei tei fa’ari’i i te hô’ê tau hi’opo’ara’a e 2 hepetoma, i roto i te hô’ê hotera tei târahuhia e te Hau Fenua (te mau ha’amauara’a no te utara’a, te nohora’a, te mâ’a e te mau hi’opo’ara’a nô na mahana 14). E rave rahi ta’ata o tei ani e ho’i i roto i tô râtou mau utuafare, inaha ‘ua ro’ohia na râtou i te ma’i Covid-19, e i teie mahana i muri ‘ae i te mau hi’opo’ara’a aita tô râtou e tirotiro fa’ahou.

    I nanahi ra tapati 24 nô Mê, 47 ta’ata i noho na i roto i te mau fare o te mau piahi nô te Ha’apirira’a Tua Toru nô Outumaoro (CHE) e tae noa atu i te feia o tei hi’opo’ahia ana i Mitirapa (Tibériade) o tei fa’ati’ahia i te ho’i i roto i tô râtou mau utuafare i muri ’ae i tô râtou hi’opo’ara’ahia 14 mahana. Aita e tirotiro fa’ahou i roto ia râtou.

    Te mau ta’ata i fa’aho’ihia mai, mai te fenua Auteraria e tei ho’i mai i te 16 nô Mê na nia i te manureva a te Nu’u A400M, o râtou ato’a o te fa’ati’ahia ia ho’i i roto i tô râtou mau utuafare i te 30 nô Mê i muri nei.

    Te mau pâruru vaha e te mau rimarima

    A ta’a noa atu te parau nô te fa’aorera’ahia te vai ‘opanipanira’a i faa’ara amuihia e te Hau Fenua e te Tomitera Teitei i te mahana 20 nô Mê 2020, te tâmau nei ia te mau Tia mana nô te Ea i te fa’aha’amana’o ia tâtou i te faufa’a rahi nô te fa’aturara’a i te mau fa’a’ohipara’a i te mau ravea pâruru. Na te reira ho’i i fa’a’iti roa i te pârarera’a o te tirotiro i roto i tô tâtou nei fenua.

    Mai te peu e, e titauhia tâtou i te fa’a’ohipa i te pâruru vaha i nirahia e tô tâtou mau Mama, te faa’arahia nei tâtou e mea matai ‘ae nô tâtou i te horoi pinepine i tô tâtou nâ rima i te omono i te rimarima. Inaha, ‘ua pâpû i teie mahana e aita te rimarima e pâruru nei ia tâtou i teie tirotiro.

    Ia hope te fa’a’ohipara’a i te pâruru vaha e tae noa atu i te mau rimarima, e mea tîtauhia tâtou ia fa’aru’e i te reira i roto i te hô’ê fari’i pehu nô te araira’a i te pârarera’a o teie tirotioro e nô te pârurura’a i te arutaimareva.

    Te faa’ara ato’a hia nei tâtou, e mea hau ‘ae i te fa’a’ohipa i te hô’ê pâruru vaha o tei nirahia, inaha e nehenehe â teie mau pâruru vaha i te fa’a’ohipa fa’ahouhia i muri ‘ae i te pu’ara’a iâna

    Te tere manureva nô Shanghai

    ‘Ua ho’i mai teie manureva i nanahi avatea ra, tapati 24 nô Mê i Tahiti-Faa’a. I nia i teie manureva e rave rahi tauihaa (60 metera afata) mai te mau pâruru vaha, matini hutira’a aho, te mau rave’a hi’opo’ara’a. Te rahira’a o teie mau tao’a nô te Fare Ma’i nô Taaone ia, mai te mau tauihaa pâruru.

    Te vai ato’a nei te mau ô tâ te fenua Tinito i fa’ata’a nô te ‘Oire nô Papete e Fa’aa, e te tahi atoa mau ô nô Te Ta’atira’a Jack Ma i te fenua nei e o tei ohihia mai i te fenua Fiti.

    Te parau nô te mau mau hi’opo’ara’a

    Mai te omuara’a o teie ma’i i te fenua nei, te rahira’a o te mau hi’opo’ara’a (89 i nia i te hanere), ‘ua ravehia te reira i nia Mata’i nei. I te 17 nô Mê, 3 330 ta’ata tei hi’opo’ahia i nia i nâ ta’a motu e pae.

    IA VAI ARA NOA Â TÂTOU. A TÂMAU NOA A I TE FA’A’OHIPA I TE MAU RAVEA PÂRURU. MĀURUURU E FA’AITOITO

    BULLETIN D’INFORMATION #43 – Cellule de crise de la Polynésie française

    3873 tests ont été effectués depuis le début de l’épidémie en Polynésie française. Il n’y a aucun nouveau cas confirmé de Covid-19 dans la population polynésienne.

    29 personnes ont été dépistées positives au virus sur un bateau de pêche équatorien le 20 mai 2020. Ces personnes sont considérées en transit et n’ayant pas été en contact avec la communauté, l’une d’elle est actuellement hospitalisée à l’hôpital du Taaone, et isolée selon les protocoles mis en place, afin de garantir la sécurité sanitaire du personnel et des autres patients de l’hôpital.

    Retour des résidents et sortie de quarantaine

    Le vol de continuité territoriale, arrivé vendredi soir, a amené 152 passagers, dont 4 médecins d’Europassistance et 110 résidents polynésiens qui ont accepté d’effectuer une quarantaine dans un lieu dédié et entièrement pris en charge par le Pays (transport, hébergement, restauration et test à l’issue des 14 jours). Certaines personnes ont été autorisées à ne pas faire leur quarantaine, justifiant d’avoir déjà contracté le Covid-19 et ne présentant plus de signes de la maladie depuis plus de 14 jours.

    Dimanche 24 mai, 47 personnes hébergées au centre d’hébergement étudiant (CHE) et à Tibériade ont été autorisées à sortir de leur quarantaine, suite à leur rapatriement de métropole le 10 mai 2020. Tous ont effectué un test de dépistage du Covid-19, analysé négatif, obligatoire pour lever la quarantaine.

    Les personnes rapatriées d’Australie et revenues le 16 mai dans l’avion de l’Etat A400M, devraient être autorisées à sortir le 30 mai prochain.

    Masques et gants à usage unique

    Malgré la levée du confinement annoncé par une allocution conjointe Etat / Pays, mercredi 20 mai, les autorités sanitaires rappellent l’importance de poursuivre l’application des gestes de protection : hygiène des mains, distanciation physique et port du masque. Il est essentiel de continuer à respecter ces comportements qui ont permis de limiter la propagation du virus, la vigilance reste de mise.

    Par ailleurs, si le masque en tissu ou « paruru vaha » est fortement recommandé, ce n’est pas le cas des gants à usage unique. Il est préférable de se laver les mains régulièrement pour garantir une bonne hygiène des mains. En effet, le port de gants ne protège pas toujours des virus, et mal porter des gants peut être pire que de ne rien porter du tout, notamment si l’on met des gants sans se laver les mains, ou que l’on se touche le visage avec.

    Les autorités sanitaires rappellent également que les masques et les gants à usage unique doivent être immédiatement jetés dans une poubelle, sans contact, après utilisation, pour éviter toute dissémination potentielle du virus et aussi pour ne pas polluer notre environnement.

    Quand cela est possible, il est préférable d’opter pour des masques en tissu, réutilisables et fabriqués localement.

    Vol de Shanghai

    Un vol de fret a atterri hier, dimanche 24 mai à l’aéroport de Tahiti-Faa’a. L’avion a débarqué une commande d’équipements de protection individuels (EPI) du centre hospitalier de Polynésie française (CHPF) de près de 60 mètres cube, en plus d’un reliquat de la commande effectuée par le Pays lors du premier vol de Shanghai. Se trouvait également à bord des dons de la Chine à destination des communes de Faa’a et Papeete, ainsi que des dons (essentiellement des EPI) de la Fondation Jack Ma à la Polynésie française, récupéré à Fidji.

    Suivi des dépistages effectués

    Depuis le début de la crise, la majorité des dépistages, soit 89%, a été réalisée dans les Îles du Vent.

    Un travail de suivi des dépistages a été effectué. Au total, à la fin de la 20eme semaine de l’année (S20), le 17 mai 2020, 3330 personnes avaient été dépistées sur l’ensemble des 5 archipels.

    BULLETIN D’INFORMATION #44 – Cellule de crise de la Polynésie française

    3 964 hi’opo’ara’a tei ravehia mai te omuara’a o teie ma’i. Aore roa ta’ata ma’i fa’ahou nô te fenua nei. Teie ra 29 ihita’i i nia i te pahi rava’ai no te fenua Etuatoria tei hi’opo’ahia i te 20 nô Mê 2020. ‘Ua fa’arue mai teie pahi i tô tâtou otia moana i te mahana mâ’a ra i te tapera’a mahana i muri ‘ae i tôna faa’arara’a i te Pû ‘ohipa a te Hau Nui. Tei roto noa â o te hô’ê o te ihita’i nô teie pahi i roto i te rima o te mau taote nô te Fare Ma’i nô Taaone. Mea huru matai oia i teie mahana.

    ô reira, ia tâmau noa â i te fa’a’ohipa i te mau ravea pârurura’a i teie tirotiro Corona.

    Te mau terera’a manureva tei târahuhia e te Hau Nui

    ‘Ua ho’i mai te feia nô te fenua nei i reva atu i te fenua Fârâni. Te manureva i târahuhia e te Hau Fârâni (Continuité Territoriale), ‘ua tapae mai oia i te a’ahi’ata mahana mâ’a ra. 152 horopatete i nia i taua manureva ra. I rotopu ia râtou e 4 taote nô te Tâ’atira’a Europeassistance. 110 feia nô te fenua nei tei fa’ari’i i te hô’ê tau hi’opo’ara’a e 2 hepetoma, i roto i te hô’ê hotera tei târahuhia e te Hau Fenua (te mau ha’amauara’a no te utara’a, te nohora’a, te mâ’a e te mau hi’opo’ara’a nô na mahana 14). E rave rahi ta’ata o tei ani e ho’i i roto i tô râtou mau utuafare, inaha ‘ua ro’ohia na râtou i te ma’i Covid-19, e i teie mahana i muri ‘ae i te mau hi’opo’ara’a aita tô râtou e tirotiro fa’ahou.

    I nanahi ra tapati 24 nô Mê, 47 ta’ata i noho na i roto i te mau fare o te mau piahi nô te Ha’apirira’a Tua Toru nô Outumaoro (CHE) e tae noa atu i te feia o tei hi’opo’ahia ana i Mitirapa (Tibériade) o tei fa’ati’ahia i te ho’i i roto i tô râtou mau utuafare i muri ’ae i tô râtou hi’opo’ara’ahia 14 mahana. Aita e tirotiro fa’ahou i roto ia râtou.

    Te mau ta’ata i fa’aho’ihia mai, mai te fenua Auteraria e tei ho’i mai i te 16 nô Mê na nia i te manureva a te Nu’u A400M, o râtou ato’a o te fa’ati’ahia ia ho’i i roto i tô râtou mau utuafare i te 30 nô Mê i muri nei.

    Te mau pâruru vaha e te mau rimarima

    A ta’a noa atu te parau nô te fa’aorera’ahia te vai ‘opanipanira’a i faa’ara amuihia e te Hau Fenua e te Tomitera Teitei i te mahana 20 nô Mê 2020, te tâmau nei ia te mau Tia mana nô te Ea i te fa’aha’amana’o ia tâtou i te faufa’a rahi nô te fa’aturara’a i te mau fa’a’ohipara’a i te mau ravea pâruru. Na te reira ho’i i fa’a’iti roa i te pârarera’a o te tirotiro i roto i tô tâtou nei fenua.

    Mai te peu e, e titauhia tâtou i te fa’a’ohipa i te pâruru vaha i nirahia e tô tâtou mau Mama, te faa’arahia nei tâtou e mea matai ‘ae nô tâtou i te horoi pinepine i tô tâtou nâ rima i te omono i te rimarima. Inaha, ‘ua pâpû i teie mahana e aita te rimarima e pâruru nei ia tâtou i teie tirotiro.

    Ia hope te fa’a’ohipara’a i te pâruru vaha e tae noa atu i te mau rimarima, e mea tîtauhia tâtou ia fa’aru’e i te reira i roto i te hô’ê fari’i pehu nô te araira’a i te pârarera’a o teie tirotioro e nô te pârurura’a i te arutaimareva.

    Te faa’ara ato’a hia nei tâtou, e mea hau ‘ae i te fa’a’ohipa i te hô’ê pâruru vaha o tei nirahia, inaha e nehenehe â teie mau pâruru vaha i te fa’a’ohipa fa’ahouhia i muri ‘ae i te pu’ara’a iâna

    Te tere manureva nô Shanghai

    ‘Ua ho’i mai teie manureva i nanahi avatea ra, tapati 24 nô Mê i Tahiti-Faa’a. I nia i teie manureva e rave rahi tauihaa (60 metera afata) mai te mau pâruru vaha, matini hutira’a aho, te mau rave’a hi’opo’ara’a. Te rahira’a o teie mau tao’a nô te Fare Ma’i nô Taaone ia, mai te mau tauihaa pâruru.

    Te vai ato’a nei te mau ô tâ te fenua Tinito i fa’ata’a nô te ‘Oire nô Papete e Fa’aa, e te tahi atoa mau ô nô Te Ta’atira’a Jack Ma i te fenua nei e o tei ohihia mai i te fenua Fiti.

    Te parau nô te mau mau hi’opo’ara’a

    Mai te omuara’a o teie ma’i i te fenua nei, te rahira’a o te mau hi’opo’ara’a (89 i nia i te hanere), ‘ua ravehia te reira i nia Mata’i nei. I te 17 nô Mê, 3 330 ta’ata tei hi’opo’ahia i nia i nâ ta’a motu e pae.

    IA VAI ARA NOA Â TÂTOU. A TÂMAU NOA A I TE FA’A’OHIPA I TE MAU RAVEA PÂRURU. MĀURUURU E FA’AITOITO

  • BULLETIN D’INFORMATION #43 – Cellule de crise de la Polynésie française

    3873 tests ont été effectués depuis le début de l’épidémie en Polynésie française. Il n’y a aucun nouveau cas confirmé de Covid-19 dans la population polynésienne.

    29 personnes ont été dépistées positives au virus sur un bateau de pêche équatorien le 20 mai 2020. Ces personnes sont considérées en transit et n’ayant pas été en contact avec la communauté, l’une d’elle est actuellement hospitalisée à l’hôpital du Taaone, et isolée selon les protocoles mis en place, afin de garantir la sécurité sanitaire du personnel et des autres patients de l’hôpital.

    Continuité Territoriale et retours de résidents

    Le prochain vol de continuité territoriale doit arriver ce soir, aux alentours de 23H. A son bord, 152 passagers, dont 4 médecins d’Europassisance et 110 résidents polynésiens qui devront effectuer une quarantaine dans un lieu dédié et entièrement pris en charge par le Pays (transport, hébergement, restauration et test à l’issue des 14 jours). Également sur le vol, 37 personnes en contrat professionnel avec l’Etat qui effectueront leur quarantaine dans un lieu dédié, géré par l’Etat.

    Avant d’embarquer, ces personnes ont toutes présenté un test de dépistage négatif effectué dans les 72h précédent leur embarquement à bord de l’avion.

    Consultations longues maladies, maternités et contraceptions

    Suite aux mesures de confinement général imposées le 20 mars 2020, les autorités sanitaires avaient autorisé la possibilité de suivi médical à distance (par téléphone ou par mail). Cette dérogation exceptionnelle concernait essentiellement les patients suivis pour longues maladies, durant la grossesse ou pour les prescriptions de contraception. Le dispositif acté à la fin du mois de mars au JOPF doit prendre fin dans quelques jours, il n’y aura pas de prolongation des consultations à distance, compte-tenu du déconfinement total de toutes les îles du Fenua.

    Ainsi, les professionnels de santé publique et les libéraux appellent leurs patients à venir consulter en cabinet médical, afin de pouvoir assurer le suivi de leurs pathologies, de leurs grossesses ou de leurs contraceptions.

    Les dépistages, dans le cadre d’une vigilance continue

    Le nombre de personnes dépistées a augmenté la semaine dernière du 11 au 17 mai 2020 (511 prélèvements, pour 277 au cours de semaine précédentes). Cela fait suite au dépistage de professionnels exposés, soit 301 dépistages, c’està-dire 59% du nombre de dépistages total sur cette semaine (du 11 au 17 mai). Également, les tests de contrôle à la fin de la quarantaine de 14 jours pour les personnes en retour de voyage international se poursuivent, cela représentait 83 personnes, sur la semaine dernière (cf. : Figure 3).

    Au total depuis le début du dépistage, les principales indications de tests ont été :

    • des symptômes évocateurs de Covid (37%),
    • retours de voyage international (19%),
    • sujets contacts (11%).

    Les autorités sanitaires rappellent qu’il n’est plus nécessaire de subir un test de dépistage au Covid19 avant de se rendre dans les îles, au départ de Tahiti. Il est considéré que Tahiti, Moorea et l’ensemble des îles polynésiennes sont exempte du virus à l’heure actuelle.

    Les tests restent disponibles sur prescription médicale.

    Un dispositif pour protéger les victimes de violences intrafamiliales.

    Depuis plusieurs semaines, le pôle communautaire de la cellule de crise sanitaire du Pays travaille en partenariat avec les mairies, les dispensaires et les pharmacies à la mise en place d’un dispositif pour détecter et protéger les personnes victimes de violences intrafamiliales qui n’auraient pas la possibilité de téléphoner.

    Ce dispositif a vu le jour il y a quelques semaines, les témoins ou les victimes directes de violences à l’intérieur du cercle familial (adultes ou enfants) peuvent désormais se rendre dans des points d’accueil bienveillants (mairies, dispensaires ou pharmacies) signalés par une affiche en devanture et dire « j’ai besoin de parler ». Cette phrase permettra à la personne contact de déclencher une prise en charge pour venir en aide aux personnes en souffrance.

    Les violences peuvent se manifester de différentes manières : agressions physiques, agressions verbales telles que les insultes ou les menaces et les agressions sexuelles. Si vous êtes témoins ou victimes, ne restez pas sans agir et signalez-le.

    BULLETIN D’INFORMATION #43 – Cellule de crise de la Polynésie française

    3 873 ta’ata tei hi’opo’ahia, mai te omuara’a o teie ma’i. E 60 rahira’a ta’ata tei ma’ihia i te Covid-19. Aore roa ta’ata ma’i fa’ahou nô te fenua nei. Teie ra 29 ihita’i i nia i te pâhi rava’ai no te fenua Etuatoria tei hi’opo’ahia e ‘ua ‘itehia e ‘ua ma’i hia râtou i te ma’i Covid-19. Hô’ê ô râtou tei tape’a roa hia i roto i te piha rapa’ura’a ma’i fifi i te Fare ma’i nô Taaone.

    Nö reira, ia tâmau noa â i te fa’a’ohipa i te mau ravea pârurura’a i teie tirotiro Corona.

    Te mau terera’a manureva tei târahuhia e te Hau Nui

    E tae mai te manureva a te Taiete Air Tahiti Nui tei târahuhia e te Hau Nui (Continuité Territoriale) i teie pô i te hora ahuru mâ hô’ê. 152 horopatete e tia’i hia nei. I roto ia râtou, e 4 taote nô te Taiete Europe Assistance e 110 ta’ata tumu nô te fenua nei. E tu’uhia râtou i roto i te hô’ê pûhapara’a i târahuhia e te Hau Fenua no te hô’ê roara’a e 2 hepetoma. E ia hope te reira tau, e hi’opo’a fa’ahouhia râtou. I nia ato’a i teie manureva, 37 ta’ata rave ‘ohipa na te Hau Fârâni o tei tu’uhia atu i roto i te tahi mau fare o tei târahuhia e te Hau Fârâni, nâ tâ râtou tau hi’opo’ara’a.

    Hou a rave ai i te manureva i Paris, ‘ua hi’opo’ahia te ta’atoara’a o teie mau horopatete.

    Te mau hi’opo’ara’a i te mau ma’i tau roa, te mau vahine tei tô e te parau no te mau ra’au fa’ataimera’a i te fanau

    I muri ‘ae i te mau fa’aotira’a no te ‘opanipanira’a i te huira’atira i fa’aotihia i te 20 nô Mâti ra ‘ua fa’ari’i te mau Tia mana o te Ea i te fa’atupu i te tahi mau hi’opo’ara’a na roto i te ravea o te niuniu parauparau e aore ra na roto i te rave’a o te mau tahua nâtirara.

    Teie fa’anahora’a ta’a ê mau, ua fa’ata’ahia ia nô te feia ma’i tau roa e aore ra ho’i no te mau vahine tô e no te mau vahine e rave ra i te ra’au no te fa’ataimera’a i te fanau. E hope roa teie fa’anahora’a i teie hopea ava’e, inaha ‘ua faaore roa hia te fa’ahepora’a no te fa’aeara’a i te fare i te ta’atoara’a no te mau ta’a motu o te fenua nei. No reira te ani nei te ta’atoara’a o te mau taote i tô râtou mau ta’ata ma’i ia haere tino roa mai i roto i tâ râtou mau piha ‘ohipara’a.

    Te mau hi’opo’ara’a tâmau no teie ma‘i Covid-19

    ‘Ua mara’a te mau hi’opo’ara’a no te hepetoma i mairi ‘ae nei, mai te 11 e tae atu i 17 nô Mê (511 hi’opo’ara’a) e i te tahi atu hepetoma 277). E mau hi’opo’ara’a teie i te mau feia rave ‘ohipa e nehenehe e fa’aruru i teie ma’i (feia tûpohe au’ahi. Etv…). 301 ta’ata tei hi’opo’ahia mai te 11 e tae atu i te 17 nô Mê. ‘Ua hi’opo’a ato’ahia te feia o tei ho’i mai na Fârâni e ‘ua hope tâ râtou tau hi’opo’ara’a 14 mahana, 83 râtou pauroa i te hepetoma i mairi ‘ae nei.

    Mai te omuara’a o te mau hi’opo’ara’a, teie te mau tapa’o i tape’ahia mai :

    • te mau tapa’o o te ma’i Covid-19 : 37 i nia i te hanere,
    • tei ho’i mai i muri ‘ae i te hô’ê tere na te ara : 19 i nia i te hanere,
    • te mau ta’ata tei piri atu i te feia ma’i : 11 i nia i te hanere.

    Te fa’aara nei te mau Tia mana o te Ea, e eita te mau ta’ata e hi’opo’a fa’ahouhia hou a tere atu ai i roto i te mau ta’a motu. Inaha, te mana’ohia nei i Tahiti, Moorea e te ta’atoara’a o te mau fenua nô Porînetia Fârâni, aita fa’ahou teie tirotiro Corona. Te vai nei â te mau hi’opo’ara’a na nia ra i te hô’ê parau a te Taote.

    Fa’anahora’a nô te pârurura’a i te feia e ro’ohia nei i te pe’ape’a utuafare.

    A tau hepetoma i teie nei, te rave amui nei te Pû ‘Autahi a te Pû e ti’a’au nei i te mau fifi o te ma’i Covid-19, te mau fare ‘Oire, te mau fare Utuutura’a ma’i e te mau fare Ra’au no te ha’amâura’a i te hô’ê fa’anahora’a no te hi’opo’ara’a e te pârurura’a i te mau ta’ata e ro’ohia nei i te mau fifi pe’ape’a utuafare.

    A tau hepetoma teie nei, te ha’amâura’a hia teie fa’anahora’a no te mau ‘ite e te mau ta’ata e fifi nei i roto i tô râtou utuafare (ta’ata pâ’ari e aore ra e tamari’i). Mai teie atu mahana, e nehenehe râtou e haere atu i roto i te mau vâhi fa’ari’ira’a au (Fare ‘Oire, Fare Utuutura’a ma’i e aore ra i roto i te mau Fare ra’au). Te vai ra te hô’ê parau pi’a i mua i te uputa ma te parau atu « Te hina’aro nei au e parauparau ». Na teie noa ra ia parau e fa’aohie i te tauturura’a i teie ta’ata e mauiui nei.

    Teie mau pe’ape’a utuafare : te vai ra tei tâparahira’a, te vai ra te mau parau teimaha, te parau ino e aore ra te fa’ariarara’a e te maferara’a. Ia tupu noa atu teie mau fifi, eiaha e fa’aea muhu ore noa, a fa’aara ra.

    IA VAI ARA NOA Â TÂTOU. A TÂMAU NOA A I TE FA’A’OHIPA I TE MAU RAVEA PÂRURU. MĀURUURU E FA’AITOITO

    BULLETIN D’INFORMATION #43 – Cellule de crise de la Polynésie française

    3873 tests ont été effectués depuis le début de l’épidémie en Polynésie française. Il n’y a aucun nouveau cas confirmé de Covid-19 dans la population polynésienne.

    29 personnes ont été dépistées positives au virus sur un bateau de pêche équatorien le 20 mai 2020. Ces personnes sont considérées en transit et n’ayant pas été en contact avec la communauté, l’une d’elle est actuellement hospitalisée à l’hôpital du Taaone, et isolée selon les protocoles mis en place, afin de garantir la sécurité sanitaire du personnel et des autres patients de l’hôpital.

    Continuité Territoriale et retours de résidents

    Le prochain vol de continuité territoriale doit arriver ce soir, aux alentours de 23H. A son bord, 152 passagers, dont 4 médecins d’Europassisance et 110 résidents polynésiens qui devront effectuer une quarantaine dans un lieu dédié et entièrement pris en charge par le Pays (transport, hébergement, restauration et test à l’issue des 14 jours). Également sur le vol, 37 personnes en contrat professionnel avec l’Etat qui effectueront leur quarantaine dans un lieu dédié, géré par l’Etat.

    Avant d’embarquer, ces personnes ont toutes présenté un test de dépistage négatif effectué dans les 72h précédent leur embarquement à bord de l’avion.

    Consultations longues maladies, maternités et contraceptions

    Suite aux mesures de confinement général imposées le 20 mars 2020, les autorités sanitaires avaient autorisé la possibilité de suivi médical à distance (par téléphone ou par mail). Cette dérogation exceptionnelle concernait essentiellement les patients suivis pour longues maladies, durant la grossesse ou pour les prescriptions de contraception. Le dispositif acté à la fin du mois de mars au JOPF doit prendre fin dans quelques jours, il n’y aura pas de prolongation des consultations à distance, compte-tenu du déconfinement total de toutes les îles du Fenua.

    Ainsi, les professionnels de santé publique et les libéraux appellent leurs patients à venir consulter en cabinet médical, afin de pouvoir assurer le suivi de leurs pathologies, de leurs grossesses ou de leurs contraceptions.

    Les dépistages, dans le cadre d’une vigilance continue

    Le nombre de personnes dépistées a augmenté la semaine dernière du 11 au 17 mai 2020 (511 prélèvements, pour 277 au cours de semaine précédentes). Cela fait suite au dépistage de professionnels exposés, soit 301 dépistages, c’està-dire 59% du nombre de dépistages total sur cette semaine (du 11 au 17 mai). Également, les tests de contrôle à la fin de la quarantaine de 14 jours pour les personnes en retour de voyage international se poursuivent, cela représentait 83 personnes, sur la semaine dernière (cf. : Figure 3).

    Au total depuis le début du dépistage, les principales indications de tests ont été :

    • des symptômes évocateurs de Covid (37%),
    • retours de voyage international (19%),
    • sujets contacts (11%).

    Les autorités sanitaires rappellent qu’il n’est plus nécessaire de subir un test de dépistage au Covid19 avant de se rendre dans les îles, au départ de Tahiti. Il est considéré que Tahiti, Moorea et l’ensemble des îles polynésiennes sont exempte du virus à l’heure actuelle.

    Les tests restent disponibles sur prescription médicale.

    Un dispositif pour protéger les victimes de violences intrafamiliales.

    Depuis plusieurs semaines, le pôle communautaire de la cellule de crise sanitaire du Pays travaille en partenariat avec les mairies, les dispensaires et les pharmacies à la mise en place d’un dispositif pour détecter et protéger les personnes victimes de violences intrafamiliales qui n’auraient pas la possibilité de téléphoner.

    Ce dispositif a vu le jour il y a quelques semaines, les témoins ou les victimes directes de violences à l’intérieur du cercle familial (adultes ou enfants) peuvent désormais se rendre dans des points d’accueil bienveillants (mairies, dispensaires ou pharmacies) signalés par une affiche en devanture et dire « j’ai besoin de parler ». Cette phrase permettra à la personne contact de déclencher une prise en charge pour venir en aide aux personnes en souffrance.

    Les violences peuvent se manifester de différentes manières : agressions physiques, agressions verbales telles que les insultes ou les menaces et les agressions sexuelles. Si vous êtes témoins ou victimes, ne restez pas sans agir et signalez-le.

    BULLETIN D’INFORMATION #43 – Cellule de crise de la Polynésie française

    3 873 ta’ata tei hi’opo’ahia, mai te omuara’a o teie ma’i. E 60 rahira’a ta’ata tei ma’ihia i te Covid-19. Aore roa ta’ata ma’i fa’ahou nô te fenua nei. Teie ra 29 ihita’i i nia i te pâhi rava’ai no te fenua Etuatoria tei hi’opo’ahia e ‘ua ‘itehia e ‘ua ma’i hia râtou i te ma’i Covid-19. Hô’ê ô râtou tei tape’a roa hia i roto i te piha rapa’ura’a ma’i fifi i te Fare ma’i nô Taaone.

    Nö reira, ia tâmau noa â i te fa’a’ohipa i te mau ravea pârurura’a i teie tirotiro Corona.

    Te mau terera’a manureva tei târahuhia e te Hau Nui

    E tae mai te manureva a te Taiete Air Tahiti Nui tei târahuhia e te Hau Nui (Continuité Territoriale) i teie pô i te hora ahuru mâ hô’ê. 152 horopatete e tia’i hia nei. I roto ia râtou, e 4 taote nô te Taiete Europe Assistance e 110 ta’ata tumu nô te fenua nei. E tu’uhia râtou i roto i te hô’ê pûhapara’a i târahuhia e te Hau Fenua no te hô’ê roara’a e 2 hepetoma. E ia hope te reira tau, e hi’opo’a fa’ahouhia râtou. I nia ato’a i teie manureva, 37 ta’ata rave ‘ohipa na te Hau Fârâni o tei tu’uhia atu i roto i te tahi mau fare o tei târahuhia e te Hau Fârâni, nâ tâ râtou tau hi’opo’ara’a.

    Hou a rave ai i te manureva i Paris, ‘ua hi’opo’ahia te ta’atoara’a o teie mau horopatete.

    Te mau hi’opo’ara’a i te mau ma’i tau roa, te mau vahine tei tô e te parau no te mau ra’au fa’ataimera’a i te fanau

    I muri ‘ae i te mau fa’aotira’a no te ‘opanipanira’a i te huira’atira i fa’aotihia i te 20 nô Mâti ra ‘ua fa’ari’i te mau Tia mana o te Ea i te fa’atupu i te tahi mau hi’opo’ara’a na roto i te ravea o te niuniu parauparau e aore ra na roto i te rave’a o te mau tahua nâtirara.

    Teie fa’anahora’a ta’a ê mau, ua fa’ata’ahia ia nô te feia ma’i tau roa e aore ra ho’i no te mau vahine tô e no te mau vahine e rave ra i te ra’au no te fa’ataimera’a i te fanau. E hope roa teie fa’anahora’a i teie hopea ava’e, inaha ‘ua faaore roa hia te fa’ahepora’a no te fa’aeara’a i te fare i te ta’atoara’a no te mau ta’a motu o te fenua nei. No reira te ani nei te ta’atoara’a o te mau taote i tô râtou mau ta’ata ma’i ia haere tino roa mai i roto i tâ râtou mau piha ‘ohipara’a.

    Te mau hi’opo’ara’a tâmau no teie ma‘i Covid-19

    ‘Ua mara’a te mau hi’opo’ara’a no te hepetoma i mairi ‘ae nei, mai te 11 e tae atu i 17 nô Mê (511 hi’opo’ara’a) e i te tahi atu hepetoma 277). E mau hi’opo’ara’a teie i te mau feia rave ‘ohipa e nehenehe e fa’aruru i teie ma’i (feia tûpohe au’ahi. Etv…). 301 ta’ata tei hi’opo’ahia mai te 11 e tae atu i te 17 nô Mê. ‘Ua hi’opo’a ato’ahia te feia o tei ho’i mai na Fârâni e ‘ua hope tâ râtou tau hi’opo’ara’a 14 mahana, 83 râtou pauroa i te hepetoma i mairi ‘ae nei.

    Mai te omuara’a o te mau hi’opo’ara’a, teie te mau tapa’o i tape’ahia mai :

    • te mau tapa’o o te ma’i Covid-19 : 37 i nia i te hanere,
    • tei ho’i mai i muri ‘ae i te hô’ê tere na te ara : 19 i nia i te hanere,
    • te mau ta’ata tei piri atu i te feia ma’i : 11 i nia i te hanere.

    Te fa’aara nei te mau Tia mana o te Ea, e eita te mau ta’ata e hi’opo’a fa’ahouhia hou a tere atu ai i roto i te mau ta’a motu. Inaha, te mana’ohia nei i Tahiti, Moorea e te ta’atoara’a o te mau fenua nô Porînetia Fârâni, aita fa’ahou teie tirotiro Corona. Te vai nei â te mau hi’opo’ara’a na nia ra i te hô’ê parau a te Taote.

    Fa’anahora’a nô te pârurura’a i te feia e ro’ohia nei i te pe’ape’a utuafare.

    A tau hepetoma i teie nei, te rave amui nei te Pû ‘Autahi a te Pû e ti’a’au nei i te mau fifi o te ma’i Covid-19, te mau fare ‘Oire, te mau fare Utuutura’a ma’i e te mau fare Ra’au no te ha’amâura’a i te hô’ê fa’anahora’a no te hi’opo’ara’a e te pârurura’a i te mau ta’ata e ro’ohia nei i te mau fifi pe’ape’a utuafare.

    A tau hepetoma teie nei, te ha’amâura’a hia teie fa’anahora’a no te mau ‘ite e te mau ta’ata e fifi nei i roto i tô râtou utuafare (ta’ata pâ’ari e aore ra e tamari’i). Mai teie atu mahana, e nehenehe râtou e haere atu i roto i te mau vâhi fa’ari’ira’a au (Fare ‘Oire, Fare Utuutura’a ma’i e aore ra i roto i te mau Fare ra’au). Te vai ra te hô’ê parau pi’a i mua i te uputa ma te parau atu « Te hina’aro nei au e parauparau ». Na teie noa ra ia parau e fa’aohie i te tauturura’a i teie ta’ata e mauiui nei.

    Teie mau pe’ape’a utuafare : te vai ra tei tâparahira’a, te vai ra te mau parau teimaha, te parau ino e aore ra te fa’ariarara’a e te maferara’a. Ia tupu noa atu teie mau fifi, eiaha e fa’aea muhu ore noa, a fa’aara ra.

    IA VAI ARA NOA Â TÂTOU. A TÂMAU NOA A I TE FA’A’OHIPA I TE MAU RAVEA PÂRURU. MĀURUURU E FA’AITOITO

  • BULLETIN D’INFORMATION #42 – Cellule de crise de la Polynésie française

    60 personnes ont été dépistées positives sur les 3496 tests effectués depuis le début de l’épidémie en Polynésie française. Aujourd’hui la dernière personne sous surveillance est autorisée à sortir d’isolement, portant le nombre de personnes ne présentant plus de signes la maladie à 60, plus personne n’est sous surveillance à l’heure actuelle en Polynésie française.

    Les autorités sanitaires appellent néanmoins la population à la vigilance pour encore plusieurs semaines, durant lesquelles il faudra respecter scrupuleusement les gestes barrières et des mesures d’hygiène strictes : lavage de main, port du masque et distanciation physique.

    Continuité Territoriale et retours de résidents

    Dimanche 17 mai, 29 résidents polynésiens ont pu être ramené au Fenua, sur le vol de l’A400M. Ces personnes effectueront leur quarantaine de quatorze jours dans des lieux dédiés, gérés par le Pays.

    Le prochain vol de continuité territoriale devrait revenir le 22 mai 2020 avec, à son bord, environ 150 passagers, tous résidents Polynésiens. Avant d’embarquer, ces personnes doivent subir un test de dépistage afin de garantir qu’elles ne sont pas porteuses du virus au moment du départ. A leur retour, leur quarantaine devrait s’effectuer dans un lieu géré par le Pays.

    Les nouvelles conditions sanitaires

    Aujourd’hui, avec la sortie d’isolement de la dernière personne sous surveillance suite à sa positivité au virus, nous pouvons considérer que la Polynésie est une zone libre de covid. Par conséquent, le test préalablement au déplacement des personnes de Tahiti n’ayant pas voyagé hors du territoire récemment n’est plus nécessaire. A partir du 21 mai 2020, les résidents n’auront donc plus besoin de subir un test pour se rendre dans d’autres îles. Sauf sur demande expresse du Tävana.

    BULLETIN D’INFORMATION #42 – Cellule de crise de la Polynésie française

    60 personnes ont été dépistées positives sur les 3496 tests effectués depuis le début de l’épidémie en Polynésie française. Aujourd’hui la dernière personne sous surveillance est autorisée à sortir d’isolement, portant le nombre de personnes ne présentant plus de signes la maladie à 60, plus personne n’est sous surveillance à l’heure actuelle en Polynésie française.

    Les autorités sanitaires appellent néanmoins la population à la vigilance pour encore plusieurs semaines, durant lesquelles il faudra respecter scrupuleusement les gestes barrières et des mesures d’hygiène strictes : lavage de main, port du masque et distanciation physique.

    Continuité Territoriale et retours de résidents

    Dimanche 17 mai, 29 résidents polynésiens ont pu être ramené au Fenua, sur le vol de l’A400M. Ces personnes effectueront leur quarantaine de quatorze jours dans des lieux dédiés, gérés par le Pays.

    Le prochain vol de continuité territoriale devrait revenir le 22 mai 2020 avec, à son bord, environ 150 passagers, tous résidents Polynésiens. Avant d’embarquer, ces personnes doivent subir un test de dépistage afin de garantir qu’elles ne sont pas porteuses du virus au moment du départ. A leur retour, leur quarantaine devrait s’effectuer dans un lieu géré par le Pays.

    Les nouvelles conditions sanitaires

    Aujourd’hui, avec la sortie d’isolement de la dernière personne sous surveillance suite à sa positivité au virus, nous pouvons considérer que la Polynésie est une zone libre de covid. Par conséquent, le test préalablement au déplacement des personnes de Tahiti n’ayant pas voyagé hors du territoire récemment n’est plus nécessaire. A partir du 21 mai 2020, les résidents n’auront donc plus besoin de subir un test pour se rendre dans d’autres îles. Sauf sur demande expresse du Tävana.

  • BULLETIN D’INFORMATION #41 – Cellule de crise de la Polynésie française

    60 personnes ont été dépistées positives sur les 3170 tests effectués depuis le début de l’épidémie en Polynésie française. À ce jour, 1 personne est toujours sous surveillance et 59 ont été autorisées à sortir d’isolement. La personne qui était hospitalisée depuis plusieurs semaines est sortie de l’hôpital hier dans l’après-midi.

    Les mesures de quarantaine à l’arrivée en Polynésie française

    Depuis le 16 mars 2020, la Polynésie a déclaré un état de crise sanitaire qui a justifié la mise en place des mesures de quarantaine pour toutes les personnes arrivant de l’extérieur. A cette date, la quarantaine devait s’effectuer à Tahiti, dans un souci de protection des iles, à domicile ou dans un site dédié pris en charge par la Polynésie française. Les cas positifs ont été introduits en Polynésie française jusqu’au 28 mars, date du dernier vol international.

    L’évolution de la maladie et du nombre de cas a été lié ensuite à la contamination de personnes positives rentrées de voyage, et n’ayant pas respectées strictement la quarantaine. La progression du nombre de cas positifs a entrainé la mesure de mise en confinement de toute la population avec les conséquences sociales et économiques constatées. L’arrêt des vols internationaux a permis de suivre et de maitriser l’évolution de la maladie.

    L’annonce de la réouverture de vols de continuité territoriale avec la perspective du retour de résidents pouvant introduire le virus au sein de la population, a obligé les autorités sanitaires à envisager des mesures plus strictes afin d’éviter une nouvelle contamination de la population, et de ne pas revivre les semaines de confinement passées. Dans cette perspective, le Pays a décidé en Conseil des ministres hier de confirmer et de poursuivre les mesures déjà mises en œuvre à la réouverture des vols de continuité territoriale qui ont permis de circonscrire la maladie.

    Aussi, avant d’entrer en Polynésie française, toute personne doit effectuer un test de dépistage datant de moins de 72 heures. Seules les personnes négatives peuvent embarquer. Elles doivent également s’engager sur l’honneur et par écrit à effectuer leur quarantaine dans un site dédié, géré par le Pays. A l’arrivée en Polynésie française ces personnes effectuent une quarantaine de 14 jours dans un site dédié à l’issue de laquelle un nouveau test de dépistage est effectué avant la levée de la quarantaine.

    Ces mesures, qui ont démontrées leur efficacité à ce jour, sont indispensables pour s’assurer de la non réintroduction du virus en Polynésie française.

    Augmentation de la capacité d’hébergement (en quarantaine)

    En prévision des retours des ressortissants polynésiens bloqués en métropole, le Pays a augmenté la capacité des lieux de résidence dédiés à la mise en quarantaine et dispose, à ce jour, de 369 chambres représentant une possibilité de loger 680 personnes. Des extensions seront possibles en cas de nécessité.

    Cependant, le nombre de personnes susceptibles d’être logées simultanément dépend des capacités d’embarquement sur les vols de départ. Cette capacité varie entre 150 et 200 personnes si l’on tient compte des mesures de distanciation physique imposées à bord des avions.

    La fréquence des vols détermine également le nombre de logements à mobiliser, les vagues successives de rapatriement ne pouvant être mélangées en raison des cycles de quatorzaine.

    Formation d’accompagnement aux entreprises

    Face à la reprise d’activité professionnelle, la Cellule de Crise Covid-19 et la direction de la Santé, en partenariat avec la direction du Travail, organisent des formations afin de guider les entreprises dans la reprise du travail et sur l’application des mesures barrières en milieu professionnel.

    Il s’agit d’une formation de 2 heures, prévue en trois temps :

    • Intervention d’un médecin au Bureau de Veille Sanitaire (BVS), pour évoquer la maladie, ses symptômes, la gestion de l’épidémie en Polynésie française et la vigilance à maintenir pour prévenir une 2ème vague épidémique ;
    • Intervention d’un représentant de la direction du Travail pour cibler plus spécifiquement les recommandations sanitaires ainsi que la mise en place et l’application de celles-ci en milieu professionnel et l’organisation de la reprise de l’activité ;
    • Intervention d’une infirmière hygiéniste pour fournir les recommandations générales en termes d’hygiène et de mesures barrières.

    Ce cycle de formation a débuté ce jeudi matin, dans le Fare Pote’e de la direction de la Santé. Le Ministre de la Santé, Dr. Jacques Raynal et la directrice de la Santé, Dr. Laurence Bonnac-Théron, ont souhaité venir saluer et encourager les représentants d’entreprises venus assister à la formation et qui se feront le relai de ces informations auprès de leurs organisations. Ces formations vont se poursuivre dans les deux prochaines semaines et toucher ainsi les pôles d’influence professionnels.

    BULLETIN D’INFORMATION #41 – Cellule de crise de la Polynésie française

    205 hi’opo’ara’a tei ravehia mai te monire ra, aita e ta’ata i ro’ohia i teie ma’i. 3170 ta’ata tei hi’opo’ahia, mai te omuara’a o teie ma’i. E 60 rahira’a ta’ata tei ma’ihia i te Covid-19 : 1 noa ta’ata tei roto i te hi’opo’ara’a tâmau. 59 ta’ata tei ‘afaro roa mai, ‘aita te mau tapa’o ma’i e ‘itehia fa’ahouhia ra i nia ia râtou. Aore roa e ta’ata e tape’ahia fa’ahouhia ra i roto i te fare ma’i. E te parau âpi oaoa ra, aore roa e ta’ata i fa’arue mai.

    Teie ra, ia vai ara noa â tâtou, e ia tâmau noa â i te fa’a’ohipa i te mau ravea pârurura’a i teie ma’i.

    Te fa’ahepora’a e ‘opanipani i roto i te hô’ê fare i fa’ata’ahia e te Hau Fenua nô te feia i ho’i mai i te Fenua nei.

    Mai te 16 nô mâti 2020, ‘ua fa’aoti te Hau Fenua ia ‘itehia tâtou i roto i te parau nô teie fifi ma’i Covid-19 tei pârare nâ te Ao nei. Mai reira ’ua ha’amauhia te mau ravea pârurura’a nô te mau ta’ata atoa e tae mai nei i te fenua nei nâ te ara mai. Tae mai i teie mahana, e mea fa’ahepohia te vai ‘opanipanira’a i nia noa ra i te fenua nô Tahiti, nô te pârurura’a i te mau ta’a motu. Teie mau ‘opanipanira’a, e nehenehe te reira e tupu i te nohora’a utuafare e aore ra i roto i te hô’ê fare tei târahuhia e te Hau Fenua. Te feia o tei ro’ohia i teie nei tirotiro, ‘ua tae mai râtou i Pôrînetia nei nâ mua atu i te 28 nô Mâti, nâ nia mai i te manureva hopea nâ te ara mai.

    Te pararera’a o te ma’i e te rahira’a ta’ata ma’i e mea nâ roto mai ia te mau ta’ata ma’i i ho’i mai nâ te ara e o tei ore i fa’atura maitai i te vai ‘opanipanira’a. I mua i te rahira’a o te mau ta’ata tei ma’i hia, ‘ua fa’ahepohia tâtou ia vai ‘opanipani nô te hô’ê roara’a ahuru mâ maha mahana. Te tape’ara’ahia te mau rerera’a manureva, nâ te reira i tape’a i te pârarera’a o te ma’i.

    Te fa’a’arara’a no te tâmaura’a o te mau rerera’a manureva i târahuhia e te Hau Farâni (Continuité Territoriale) o te fa’aho’i mai i te feia tumu no te fenua nei, o te reira teie e pe’ape’ahia nei, inaha e nehenehe te tirotiro e pârare fa’ahou i roto i te huira’atira, i rave ai te mau Ti’a mana no te Ea i te mau fa’aotira’a ‘eta’eta nô te arai i te pârarera’a o teie ma’i, eiaha atoa ho’i tâtou ia ora fa’ahou mai i te vai ‘opanipanira’a o tâ tâtou i ‘ite i te mau hepetoma i mairi ‘ae nei. ‘Ua fa’aoti te Hau Fenua i roto i tâna rurura’a o te mau Fa’atere Hau nô nanahi ra, ia ha’apâpu e ia tâmau i te rave i te fa’aotira’a i fa’aotihia i te taime i ‘iritihia ai te mau rerera’a o te mau manureva (Continuité Territoriale). Nâ te reira i tape’a i te pârarera’a o te ma’i.

    Hou a haere mai ai i Porînetia nei e mea tîtauhia te mau ta’ata atoa ia hi’opo’ahia râtou hou a rave ai i te manureva. Te ta’ata aita tôna e tirotiro, o oia anae te nehenehe e rave i te manureva. E mea tîtau atoa hia râtou ia tu’urima i te hô’ê parau e te fa’ari’i nei râtou i te hô’ê vai ‘opanipanira’a i roto i te fare o te târahuhia e te Hau Fenua. Ia tae mai teie mau ta’ata i Porînetia nei, e tape’a hia râtou nô te hô’ê roara’a hô’ê ahuru mâ maha mahana. Ia hope teie tau ‘opanipanira’a e hi’opo’a fa’ahouhia râtou hou a ho’i atu ai i roto i tô râtou mau utuafare.

    E mau fa’aotira’a teie o tei pâruru maitai i tô tâtou fenua i teie tirotiro

    Te fa’ari’ira’a te mau ta’ata e ho’i mai i te fenua nei

    No te fa’aineinera’a i te ho’ira’a mai tô tâtou mau ta’ata e vai ra i te fenua nô Fârâni, ‘ua feruri te Hau Fenua i te hô’ê ravea nô te fa’ari’ira’a ia râtou nâ roto i te fa’ahepora’a ia vai ‘opanipani nô te hô’ê roara’a e piti hepetoma ; i teie mahana 369 piha i fa’ata’ahia nô râtou. E nehenehe râ tô te fenua nei e fa’ari’i 680 ta’ata e hau atu mai te peu e mâra’a te ta’ata e ho’i maira i te fenua nei.

    Te mau ha’api’ipi’ira’a i roto i te mau Taiete ‘Ohipa nô te Fenua nei.

    I mua i te ha’amata fa’ahoura’a te ‘ohipa i te fenua nei, ‘ua fa’anaho te Pû Ti’a’au i te fifi ma’i Covid-19 e te Fa’aterera’a o te Ea nô te fenua nei, i te mau ha’api’ipi’ira’a nô te ape’era’a i te mau Taiete ‘Ohipa i roto i te ha’amata fa’ahoura’a i tâ râtou ‘ohipa, i nia ihoa ra i te tumu parau nô te Pârurura’a.

    E piti hora te roara’a nô teie mau ha’api’ipi’ira’a, nâ roto i nâ tuhaa e toru i muri nei :

    1. Nâ te hô’ê taote nô te Pû hi’opo’ara’a i te mau ma’i e fa’atere mai te ha’api’ipi’ira’a i nia i te parau nô te ma’i, tôna mau tapa’o, te tī’a’aura’a i teie fifi ma’i, e te vai ara noa ra’a ia ore ia tupu fa’ahou teie ma’i.
    2. Nâ te hô’ê ti’a nô te Fa’aterera’a o te ‘Ohipa e arata’i mai te ha’api’ipi’ira’a i nia i te parau nô te mau ravea pârurura’a no te pae o te Ea, e tôna fa’a’ohipara’a i roto i te mau Taiete ‘Ohipa ia ha’amata fa’ahou te ‘ohipa.
    3. Nâ te hô’ê Tuati utuutu ma’i no te pae Aupuru a Ea e horoa mai i te mau poro’i nô te fa’anahora’a Aupuru a Ea e tae noa atu i te parau nô te Pârurura’a.

    ‘Ua ha’amata teie ha’api’ipi’ira’a i teie po’ipo’i mahana maha nei i roto i te Fare Pote’e no te Fa’aterera’a o te Ea. ‘Ua haere roa atu te Fa’atere Hau nô te Ea e te Fa’atere o te Ea nô te ‘îriti i teie nei ha’api’ipi’ira’a, e nô te fa’aitoitora’a atoa i te mau ti’a nô te mau Taiete ‘Ohipa tei tae mai. Nâ râtou ia e ‘opere atu teie mau ha’api’ipi’ira’a i roto i tô râtou mau hoa rave ‘ohipa.

    E piti hepetoma tei fa’ata’ahia no teie mau ha’api’ipi’ira’a.

    IA VAI ARA NOA RA TÂTOU. ‘AITA Â TEIE FIFI MA’I I ORE ATURA. A FA’A’OHIPA I TE MAU RAVEA PÂRURU. MĀURUURU E FA’AITOITO

    BULLETIN D’INFORMATION #41 – Cellule de crise de la Polynésie française

    60 personnes ont été dépistées positives sur les 3170 tests effectués depuis le début de l’épidémie en Polynésie française. À ce jour, 1 personne est toujours sous surveillance et 59 ont été autorisées à sortir d’isolement. La personne qui était hospitalisée depuis plusieurs semaines est sortie de l’hôpital hier dans l’après-midi.

    Les mesures de quarantaine à l’arrivée en Polynésie française

    Depuis le 16 mars 2020, la Polynésie a déclaré un état de crise sanitaire qui a justifié la mise en place des mesures de quarantaine pour toutes les personnes arrivant de l’extérieur. A cette date, la quarantaine devait s’effectuer à Tahiti, dans un souci de protection des iles, à domicile ou dans un site dédié pris en charge par la Polynésie française. Les cas positifs ont été introduits en Polynésie française jusqu’au 28 mars, date du dernier vol international.

    L’évolution de la maladie et du nombre de cas a été lié ensuite à la contamination de personnes positives rentrées de voyage, et n’ayant pas respectées strictement la quarantaine. La progression du nombre de cas positifs a entrainé la mesure de mise en confinement de toute la population avec les conséquences sociales et économiques constatées. L’arrêt des vols internationaux a permis de suivre et de maitriser l’évolution de la maladie.

    L’annonce de la réouverture de vols de continuité territoriale avec la perspective du retour de résidents pouvant introduire le virus au sein de la population, a obligé les autorités sanitaires à envisager des mesures plus strictes afin d’éviter une nouvelle contamination de la population, et de ne pas revivre les semaines de confinement passées. Dans cette perspective, le Pays a décidé en Conseil des ministres hier de confirmer et de poursuivre les mesures déjà mises en œuvre à la réouverture des vols de continuité territoriale qui ont permis de circonscrire la maladie.

    Aussi, avant d’entrer en Polynésie française, toute personne doit effectuer un test de dépistage datant de moins de 72 heures. Seules les personnes négatives peuvent embarquer. Elles doivent également s’engager sur l’honneur et par écrit à effectuer leur quarantaine dans un site dédié, géré par le Pays. A l’arrivée en Polynésie française ces personnes effectuent une quarantaine de 14 jours dans un site dédié à l’issue de laquelle un nouveau test de dépistage est effectué avant la levée de la quarantaine.

    Ces mesures, qui ont démontrées leur efficacité à ce jour, sont indispensables pour s’assurer de la non réintroduction du virus en Polynésie française.

    Augmentation de la capacité d’hébergement (en quarantaine)

    En prévision des retours des ressortissants polynésiens bloqués en métropole, le Pays a augmenté la capacité des lieux de résidence dédiés à la mise en quarantaine et dispose, à ce jour, de 369 chambres représentant une possibilité de loger 680 personnes. Des extensions seront possibles en cas de nécessité.

    Cependant, le nombre de personnes susceptibles d’être logées simultanément dépend des capacités d’embarquement sur les vols de départ. Cette capacité varie entre 150 et 200 personnes si l’on tient compte des mesures de distanciation physique imposées à bord des avions.

    La fréquence des vols détermine également le nombre de logements à mobiliser, les vagues successives de rapatriement ne pouvant être mélangées en raison des cycles de quatorzaine.

    Formation d’accompagnement aux entreprises

    Face à la reprise d’activité professionnelle, la Cellule de Crise Covid-19 et la direction de la Santé, en partenariat avec la direction du Travail, organisent des formations afin de guider les entreprises dans la reprise du travail et sur l’application des mesures barrières en milieu professionnel.

    Il s’agit d’une formation de 2 heures, prévue en trois temps :

    • Intervention d’un médecin au Bureau de Veille Sanitaire (BVS), pour évoquer la maladie, ses symptômes, la gestion de l’épidémie en Polynésie française et la vigilance à maintenir pour prévenir une 2ème vague épidémique ;
    • Intervention d’un représentant de la direction du Travail pour cibler plus spécifiquement les recommandations sanitaires ainsi que la mise en place et l’application de celles-ci en milieu professionnel et l’organisation de la reprise de l’activité ;
    • Intervention d’une infirmière hygiéniste pour fournir les recommandations générales en termes d’hygiène et de mesures barrières.

    Ce cycle de formation a débuté ce jeudi matin, dans le Fare Pote’e de la direction de la Santé. Le Ministre de la Santé, Dr. Jacques Raynal et la directrice de la Santé, Dr. Laurence Bonnac-Théron, ont souhaité venir saluer et encourager les représentants d’entreprises venus assister à la formation et qui se feront le relai de ces informations auprès de leurs organisations. Ces formations vont se poursuivre dans les deux prochaines semaines et toucher ainsi les pôles d’influence professionnels.

    BULLETIN D’INFORMATION #41 – Cellule de crise de la Polynésie française

    205 hi’opo’ara’a tei ravehia mai te monire ra, aita e ta’ata i ro’ohia i teie ma’i. 3170 ta’ata tei hi’opo’ahia, mai te omuara’a o teie ma’i. E 60 rahira’a ta’ata tei ma’ihia i te Covid-19 : 1 noa ta’ata tei roto i te hi’opo’ara’a tâmau. 59 ta’ata tei ‘afaro roa mai, ‘aita te mau tapa’o ma’i e ‘itehia fa’ahouhia ra i nia ia râtou. Aore roa e ta’ata e tape’ahia fa’ahouhia ra i roto i te fare ma’i. E te parau âpi oaoa ra, aore roa e ta’ata i fa’arue mai.

    Teie ra, ia vai ara noa â tâtou, e ia tâmau noa â i te fa’a’ohipa i te mau ravea pârurura’a i teie ma’i.

    Te fa’ahepora’a e ‘opanipani i roto i te hô’ê fare i fa’ata’ahia e te Hau Fenua nô te feia i ho’i mai i te Fenua nei.

    Mai te 16 nô mâti 2020, ‘ua fa’aoti te Hau Fenua ia ‘itehia tâtou i roto i te parau nô teie fifi ma’i Covid-19 tei pârare nâ te Ao nei. Mai reira ’ua ha’amauhia te mau ravea pârurura’a nô te mau ta’ata atoa e tae mai nei i te fenua nei nâ te ara mai. Tae mai i teie mahana, e mea fa’ahepohia te vai ‘opanipanira’a i nia noa ra i te fenua nô Tahiti, nô te pârurura’a i te mau ta’a motu. Teie mau ‘opanipanira’a, e nehenehe te reira e tupu i te nohora’a utuafare e aore ra i roto i te hô’ê fare tei târahuhia e te Hau Fenua. Te feia o tei ro’ohia i teie nei tirotiro, ‘ua tae mai râtou i Pôrînetia nei nâ mua atu i te 28 nô Mâti, nâ nia mai i te manureva hopea nâ te ara mai.

    Te pararera’a o te ma’i e te rahira’a ta’ata ma’i e mea nâ roto mai ia te mau ta’ata ma’i i ho’i mai nâ te ara e o tei ore i fa’atura maitai i te vai ‘opanipanira’a. I mua i te rahira’a o te mau ta’ata tei ma’i hia, ‘ua fa’ahepohia tâtou ia vai ‘opanipani nô te hô’ê roara’a ahuru mâ maha mahana. Te tape’ara’ahia te mau rerera’a manureva, nâ te reira i tape’a i te pârarera’a o te ma’i.

    Te fa’a’arara’a no te tâmaura’a o te mau rerera’a manureva i târahuhia e te Hau Farâni (Continuité Territoriale) o te fa’aho’i mai i te feia tumu no te fenua nei, o te reira teie e pe’ape’ahia nei, inaha e nehenehe te tirotiro e pârare fa’ahou i roto i te huira’atira, i rave ai te mau Ti’a mana no te Ea i te mau fa’aotira’a ‘eta’eta nô te arai i te pârarera’a o teie ma’i, eiaha atoa ho’i tâtou ia ora fa’ahou mai i te vai ‘opanipanira’a o tâ tâtou i ‘ite i te mau hepetoma i mairi ‘ae nei. ‘Ua fa’aoti te Hau Fenua i roto i tâna rurura’a o te mau Fa’atere Hau nô nanahi ra, ia ha’apâpu e ia tâmau i te rave i te fa’aotira’a i fa’aotihia i te taime i ‘iritihia ai te mau rerera’a o te mau manureva (Continuité Territoriale). Nâ te reira i tape’a i te pârarera’a o te ma’i.

    Hou a haere mai ai i Porînetia nei e mea tîtauhia te mau ta’ata atoa ia hi’opo’ahia râtou hou a rave ai i te manureva. Te ta’ata aita tôna e tirotiro, o oia anae te nehenehe e rave i te manureva. E mea tîtau atoa hia râtou ia tu’urima i te hô’ê parau e te fa’ari’i nei râtou i te hô’ê vai ‘opanipanira’a i roto i te fare o te târahuhia e te Hau Fenua. Ia tae mai teie mau ta’ata i Porînetia nei, e tape’a hia râtou nô te hô’ê roara’a hô’ê ahuru mâ maha mahana. Ia hope teie tau ‘opanipanira’a e hi’opo’a fa’ahouhia râtou hou a ho’i atu ai i roto i tô râtou mau utuafare.

    E mau fa’aotira’a teie o tei pâruru maitai i tô tâtou fenua i teie tirotiro

    Te fa’ari’ira’a te mau ta’ata e ho’i mai i te fenua nei

    No te fa’aineinera’a i te ho’ira’a mai tô tâtou mau ta’ata e vai ra i te fenua nô Fârâni, ‘ua feruri te Hau Fenua i te hô’ê ravea nô te fa’ari’ira’a ia râtou nâ roto i te fa’ahepora’a ia vai ‘opanipani nô te hô’ê roara’a e piti hepetoma ; i teie mahana 369 piha i fa’ata’ahia nô râtou. E nehenehe râ tô te fenua nei e fa’ari’i 680 ta’ata e hau atu mai te peu e mâra’a te ta’ata e ho’i maira i te fenua nei.

    Te mau ha’api’ipi’ira’a i roto i te mau Taiete ‘Ohipa nô te Fenua nei.

    I mua i te ha’amata fa’ahoura’a te ‘ohipa i te fenua nei, ‘ua fa’anaho te Pû Ti’a’au i te fifi ma’i Covid-19 e te Fa’aterera’a o te Ea nô te fenua nei, i te mau ha’api’ipi’ira’a nô te ape’era’a i te mau Taiete ‘Ohipa i roto i te ha’amata fa’ahoura’a i tâ râtou ‘ohipa, i nia ihoa ra i te tumu parau nô te Pârurura’a.

    E piti hora te roara’a nô teie mau ha’api’ipi’ira’a, nâ roto i nâ tuhaa e toru i muri nei :

    1. Nâ te hô’ê taote nô te Pû hi’opo’ara’a i te mau ma’i e fa’atere mai te ha’api’ipi’ira’a i nia i te parau nô te ma’i, tôna mau tapa’o, te tī’a’aura’a i teie fifi ma’i, e te vai ara noa ra’a ia ore ia tupu fa’ahou teie ma’i.
    2. Nâ te hô’ê ti’a nô te Fa’aterera’a o te ‘Ohipa e arata’i mai te ha’api’ipi’ira’a i nia i te parau nô te mau ravea pârurura’a no te pae o te Ea, e tôna fa’a’ohipara’a i roto i te mau Taiete ‘Ohipa ia ha’amata fa’ahou te ‘ohipa.
    3. Nâ te hô’ê Tuati utuutu ma’i no te pae Aupuru a Ea e horoa mai i te mau poro’i nô te fa’anahora’a Aupuru a Ea e tae noa atu i te parau nô te Pârurura’a.

    ‘Ua ha’amata teie ha’api’ipi’ira’a i teie po’ipo’i mahana maha nei i roto i te Fare Pote’e no te Fa’aterera’a o te Ea. ‘Ua haere roa atu te Fa’atere Hau nô te Ea e te Fa’atere o te Ea nô te ‘îriti i teie nei ha’api’ipi’ira’a, e nô te fa’aitoitora’a atoa i te mau ti’a nô te mau Taiete ‘Ohipa tei tae mai. Nâ râtou ia e ‘opere atu teie mau ha’api’ipi’ira’a i roto i tô râtou mau hoa rave ‘ohipa.

    E piti hepetoma tei fa’ata’ahia no teie mau ha’api’ipi’ira’a.

    IA VAI ARA NOA RA TÂTOU. ‘AITA Â TEIE FIFI MA’I I ORE ATURA. A FA’A’OHIPA I TE MAU RAVEA PÂRURU. MĀURUURU E FA’AITOITO

  • BULLETIN D’INFORMATION #40 – Cellule de crise de la Polynésie française

    60 personnes ont été dépistées positives sur les 2965 tests effectués depuis le début de l’épidémie, en Polynésie française. A ce jour, 4 personnes sont toujours sous surveillance et 56 ont été autorisées à sortir d’isolement. À noter : dorénavant les mises à jour du carré épidémiologique ne se feront qu’en jours ouvrés.

    Continuité territoriale

    Ce dimanche 10 mai, des résidents polynésiens et leurs familles ont pu être rapatriés de métropole au fenua. Au total, ce sont 53 personnes qui sont logés au centre d’hébergement étudiant (CHE) de Outumaoro et à Tibériade, à Taiarapu Ouest (cf : photo 1).

    Conformément à l’engagement sur l’honneur qu’ils ont signé avant leur départ ils seront placés en quarantaine pendant quatorze jours, à l’issue desquels ils subiront à nouveau un test de dépistage qui, s’il est négatif, leur permettra de rentrer à leur domicile.

    Les personnes qui sont revenues au fenua par le vol de continuité territoriale du 22 avril 2020, ont pu rejoindre leur famille et leur maison, tous ont été testé négatifs, au terme de leur quarantaine.

    Ce quatrième vol de la continuité territoriale a acheminé près de 15 tonnes de fret pour un volume de 120 mètres cube dont 42 mètres cube, de matériel médical.

    La quantité de fret de produits de santé est inférieure aux précédents vols, faute du temps nécessaire pour acheminer le fret froid sur le lieu d’embarquement. Ce qui n’a pas pu être préparé dans les temps a été remplacé par du fret postal.

    Le départ du prochain vol de continuité territoriale est prévu le 17 mai prochain.

    La formation des « équipes magasins » se poursuit

    La semaine dernière le pôle communautaire de la cellule de crise sanitaire a lancé un cycle de formation pour des bénévoles, commune par commune, afin de constituer des équipes chargées de sensibiliser et d’accompagner les commerces dans la mise en place et le respect des mesures barrières.

    Ces formations ont eu lieu à Papara, Paea, Papeete, Punaauia et Faa’a. Cette semaine, elles se poursuivent :

    • Lundi 11 mai : Pirae et Arue
    • Mardi 12 mai : Mahina et Hitia’a o te ra
    • Mercredi 13 mai : Teva i uta
    • Jeudi 14 mai : Taiarapu est et ouest

    Chaque commune sera ainsi soutenue par plusieurs équipes de bénévoles qui évolueront sur son territoire de manière autonome, sillonnant ainsi quelques 200 magasins et commerces à Tahiti.

    Continuité pédagogique et reprise de l’école

    Dans la perspective de la reprise de l’école dans les établissements scolaires.

    La direction générale de l’éducation et des enseignements (DGEE) et la direction de la santé ont joint leurs forces et leurs ressources pour valider des protocoles et assurer des formations et des informations aux professionnels œuvrant dans le domaine de l’éducation (personnels enseignants, personnels d’encadrement et personnels d’entretien des locaux).

    Des équipes de la direction de la santé, constituées d’infirmiers hygiénistes et de cadres de santé formateurs vont circuler dans les établissements pour
    proposer un accompagnement sur le terrain, avec l’accord et le soutien du directeur général de l’éducation et des enseignements et des chefs d’établissements.

    La DGEE et ministère de l’éducation devraient s’exprimer demain, afin de présenter ce plan de reprise progressive.

    BULLETIN D’INFORMATION #40 – Cellule de crise de la Polynésie française

    149 hi’opo’ara’a tei ravehia i teie hopea hepetoma nei, aita e ta’ata i ro’ohia i teie tirotiro. 2 965 ta’ata tei hi’opo’ahia, mai te omuara’a o teie ma’i. E 60 rahira’a ta’ata tei ma’ihia i te Covid-19 : 4 ta’ata tei roto noa â i te hi’opo’ara’a tâmau. 56 ta’ata tei ‘afaro roa mai, ‘aita te mau tapa’o ma’i e ‘itehia fa’ahouhia ra i nia ia râtou. Aore e ta’ata fa’ahou i roto i te piha rapa’aura’a ma’i fifi, ‘ua âfaro roa. E te parau âpi oaoa ra, aore roa e ta’ata i fa’arue mai.

    Teie ra, ia vai ara noa â tâtou, e ia tâmau noa â i te fa’a’ohipa i te mau ravea pârurura’a i teie ma’i.

    Te tere manureva a te Hau Nui (Continuité Territoriale).

    I teie Tapati 10 nô Mê, ‘ua tae mai te manureva a te taiete Air Tahiti Nui tei târahuhia e te Hau Nui. E 53 ta’ata no te fenua nei i nia i taua manureva ra. ‘Ua arata’ihia râtou i roto i te mau vahi nohora’a tei fa’ata’ahia : Outumaoro e i Mitirapa. E parahi atu râtou i reira i te maoro ra’a hô’ê ahuru ma maha mahana. E ia hope teie pue mahana, e hi’opo’a fa’ahouhia râtou, mai te peu eita te tirotiro o te Covid-19 e ‘itehia mai, e ho’i ia râtou i roto i tô râtou mau utuafare.

    Te mau ta’ata o tei ho’i mai i te fenua nei na nia i te manureva i târahuhia e te Hau Nui no te 22 no Eperera, ‘ua ho’i tia i roto i tô râtou mau utuafare, i muri ‘ae i te mau hi’opo’ara’a o tei ravehia i muri ‘ae i te tau ‘opanipanira’a o tei fa’ahepohia.

    ‘Ua fa’aho’i atoa hia mai 15 tane fereti, e i roto te vai e 5 tane tauiha’a ra’apa’aura’a ma’i. ‘Ua nehenehe atoa i te fa’aho’i mai te mau puta tauiha’a a te Fare Rata. ‘Ua tapurahia te tere manureva ATN no te tere atu i Paris i te 17 nô Mê.

    Te tâmau nei te mau ha’api’ipi’ira’a i te mau pupu fa’aa’o no te mau fare toa.

    I teie hepetoma i mairi ‘ae nei, ‘ua ha’amau te Pupu ‘Autahi no te Pû ti’aa’aura’a i te fifi no te ma’i Covid-19 i te tahi mau ha’api’ipi’ira’a no te mau ta’ata tauturu i roto i te ta’atoara’a o te mau ‘Oire no te ha’amaura’a i te mau pupu i fa’ata’ahia no te ape’era’a e te tautura’a i te mau fatu fare toa no te ha’amaura’a e te fa’aturara’a i te mau ravea pârurura’a.

    ‘Ua tupu teie mau ha’api’ipi’ira’a i Papara, Paea, Papeete, Punaauia e i Fa’aa.

    I teie hepetoma, e tâmau â teie mau ha’api’ipi’ira’a :

    • i teie monire 11 nô Mê i Pirae e i Arue ;
    • i te mahana piti 12 nô Mê : i Mahina e i Hiti’aa o te Ra
    • i te mahana toru 13 nô Mê : i Teva I Uta, te mau ha’api’ipi’ira’a e tupu ihoa ia i Mataiea
    • i te mahana maha 14 nô Mê i Taiarapu Hiti’aa o te Ra e To’oa o te Ra.

    E nehenehe ia e parau e, e turuhia te ta’atoara’a o te mau ‘Oire e te mau pupu ta’ata tauturu o te tere atu i roto i nâ fare toa e 200 o te fenua nô Tahiti.

    Te ha’amatara’a ha’api’ira’a

    Te Fa’aterera’a rahi nô te Ha’api’ira’a, te DGEE, e te F’aaterera’a o te Ea o tei tâho’e no te tuatapapa i te parau nô te mau fa’anahora’a nô te mau ha’api’ipi’ira’a e te mau ha’amaramaramara’a i te mau rave ‘ohipa nô te mau fare ha’aapi’ira’a (Te mau fa’atere, ‘Orometua ha’api’i e te mau feia tâma fare).

    Te mau utuutu ma’i no te Fa’aterera’a o te Ea o te tere atu i roto i te mau Fare Ha’api’ira’a nô te ape’era’a e te tauturura’a i te mau Fa’atere ha’api’ira’a hou teie ha’amatara’a ha’api’ira’a.

    IA VAI ARA NOA RA TÂTOU. ‘AITA Â TEIE FIFI MA’I I ORE ATURA. A FA’A’OHIPA I TE MAU RAVEA PÂRURU. MĀURUURU E FA’AITOITO

    BULLETIN D’INFORMATION #40 – Cellule de crise de la Polynésie française

    60 personnes ont été dépistées positives sur les 2965 tests effectués depuis le début de l’épidémie, en Polynésie française. A ce jour, 4 personnes sont toujours sous surveillance et 56 ont été autorisées à sortir d’isolement. À noter : dorénavant les mises à jour du carré épidémiologique ne se feront qu’en jours ouvrés.

    Continuité territoriale

    Ce dimanche 10 mai, des résidents polynésiens et leurs familles ont pu être rapatriés de métropole au fenua. Au total, ce sont 53 personnes qui sont logés au centre d’hébergement étudiant (CHE) de Outumaoro et à Tibériade, à Taiarapu Ouest (cf : photo 1).

    Conformément à l’engagement sur l’honneur qu’ils ont signé avant leur départ ils seront placés en quarantaine pendant quatorze jours, à l’issue desquels ils subiront à nouveau un test de dépistage qui, s’il est négatif, leur permettra de rentrer à leur domicile.

    Les personnes qui sont revenues au fenua par le vol de continuité territoriale du 22 avril 2020, ont pu rejoindre leur famille et leur maison, tous ont été testé négatifs, au terme de leur quarantaine.

    Ce quatrième vol de la continuité territoriale a acheminé près de 15 tonnes de fret pour un volume de 120 mètres cube dont 42 mètres cube, de matériel médical.

    La quantité de fret de produits de santé est inférieure aux précédents vols, faute du temps nécessaire pour acheminer le fret froid sur le lieu d’embarquement. Ce qui n’a pas pu être préparé dans les temps a été remplacé par du fret postal.

    Le départ du prochain vol de continuité territoriale est prévu le 17 mai prochain.

    La formation des « équipes magasins » se poursuit

    La semaine dernière le pôle communautaire de la cellule de crise sanitaire a lancé un cycle de formation pour des bénévoles, commune par commune, afin de constituer des équipes chargées de sensibiliser et d’accompagner les commerces dans la mise en place et le respect des mesures barrières.

    Ces formations ont eu lieu à Papara, Paea, Papeete, Punaauia et Faa’a. Cette semaine, elles se poursuivent :

    • Lundi 11 mai : Pirae et Arue
    • Mardi 12 mai : Mahina et Hitia’a o te ra
    • Mercredi 13 mai : Teva i uta
    • Jeudi 14 mai : Taiarapu est et ouest

    Chaque commune sera ainsi soutenue par plusieurs équipes de bénévoles qui évolueront sur son territoire de manière autonome, sillonnant ainsi quelques 200 magasins et commerces à Tahiti.

    Continuité pédagogique et reprise de l’école

    Dans la perspective de la reprise de l’école dans les établissements scolaires.

    La direction générale de l’éducation et des enseignements (DGEE) et la direction de la santé ont joint leurs forces et leurs ressources pour valider des protocoles et assurer des formations et des informations aux professionnels œuvrant dans le domaine de l’éducation (personnels enseignants, personnels d’encadrement et personnels d’entretien des locaux).

    Des équipes de la direction de la santé, constituées d’infirmiers hygiénistes et de cadres de santé formateurs vont circuler dans les établissements pour
    proposer un accompagnement sur le terrain, avec l’accord et le soutien du directeur général de l’éducation et des enseignements et des chefs d’établissements.

    La DGEE et ministère de l’éducation devraient s’exprimer demain, afin de présenter ce plan de reprise progressive.

    BULLETIN D’INFORMATION #40 – Cellule de crise de la Polynésie française

    149 hi’opo’ara’a tei ravehia i teie hopea hepetoma nei, aita e ta’ata i ro’ohia i teie tirotiro. 2 965 ta’ata tei hi’opo’ahia, mai te omuara’a o teie ma’i. E 60 rahira’a ta’ata tei ma’ihia i te Covid-19 : 4 ta’ata tei roto noa â i te hi’opo’ara’a tâmau. 56 ta’ata tei ‘afaro roa mai, ‘aita te mau tapa’o ma’i e ‘itehia fa’ahouhia ra i nia ia râtou. Aore e ta’ata fa’ahou i roto i te piha rapa’aura’a ma’i fifi, ‘ua âfaro roa. E te parau âpi oaoa ra, aore roa e ta’ata i fa’arue mai.

    Teie ra, ia vai ara noa â tâtou, e ia tâmau noa â i te fa’a’ohipa i te mau ravea pârurura’a i teie ma’i.

    Te tere manureva a te Hau Nui (Continuité Territoriale).

    I teie Tapati 10 nô Mê, ‘ua tae mai te manureva a te taiete Air Tahiti Nui tei târahuhia e te Hau Nui. E 53 ta’ata no te fenua nei i nia i taua manureva ra. ‘Ua arata’ihia râtou i roto i te mau vahi nohora’a tei fa’ata’ahia : Outumaoro e i Mitirapa. E parahi atu râtou i reira i te maoro ra’a hô’ê ahuru ma maha mahana. E ia hope teie pue mahana, e hi’opo’a fa’ahouhia râtou, mai te peu eita te tirotiro o te Covid-19 e ‘itehia mai, e ho’i ia râtou i roto i tô râtou mau utuafare.

    Te mau ta’ata o tei ho’i mai i te fenua nei na nia i te manureva i târahuhia e te Hau Nui no te 22 no Eperera, ‘ua ho’i tia i roto i tô râtou mau utuafare, i muri ‘ae i te mau hi’opo’ara’a o tei ravehia i muri ‘ae i te tau ‘opanipanira’a o tei fa’ahepohia.

    ‘Ua fa’aho’i atoa hia mai 15 tane fereti, e i roto te vai e 5 tane tauiha’a ra’apa’aura’a ma’i. ‘Ua nehenehe atoa i te fa’aho’i mai te mau puta tauiha’a a te Fare Rata. ‘Ua tapurahia te tere manureva ATN no te tere atu i Paris i te 17 nô Mê.

    Te tâmau nei te mau ha’api’ipi’ira’a i te mau pupu fa’aa’o no te mau fare toa.

    I teie hepetoma i mairi ‘ae nei, ‘ua ha’amau te Pupu ‘Autahi no te Pû ti’aa’aura’a i te fifi no te ma’i Covid-19 i te tahi mau ha’api’ipi’ira’a no te mau ta’ata tauturu i roto i te ta’atoara’a o te mau ‘Oire no te ha’amaura’a i te mau pupu i fa’ata’ahia no te ape’era’a e te tautura’a i te mau fatu fare toa no te ha’amaura’a e te fa’aturara’a i te mau ravea pârurura’a.

    ‘Ua tupu teie mau ha’api’ipi’ira’a i Papara, Paea, Papeete, Punaauia e i Fa’aa.

    I teie hepetoma, e tâmau â teie mau ha’api’ipi’ira’a :

    • i teie monire 11 nô Mê i Pirae e i Arue ;
    • i te mahana piti 12 nô Mê : i Mahina e i Hiti’aa o te Ra
    • i te mahana toru 13 nô Mê : i Teva I Uta, te mau ha’api’ipi’ira’a e tupu ihoa ia i Mataiea
    • i te mahana maha 14 nô Mê i Taiarapu Hiti’aa o te Ra e To’oa o te Ra.

    E nehenehe ia e parau e, e turuhia te ta’atoara’a o te mau ‘Oire e te mau pupu ta’ata tauturu o te tere atu i roto i nâ fare toa e 200 o te fenua nô Tahiti.

    Te ha’amatara’a ha’api’ira’a

    Te Fa’aterera’a rahi nô te Ha’api’ira’a, te DGEE, e te F’aaterera’a o te Ea o tei tâho’e no te tuatapapa i te parau nô te mau fa’anahora’a nô te mau ha’api’ipi’ira’a e te mau ha’amaramaramara’a i te mau rave ‘ohipa nô te mau fare ha’aapi’ira’a (Te mau fa’atere, ‘Orometua ha’api’i e te mau feia tâma fare).

    Te mau utuutu ma’i no te Fa’aterera’a o te Ea o te tere atu i roto i te mau Fare Ha’api’ira’a nô te ape’era’a e te tauturura’a i te mau Fa’atere ha’api’ira’a hou teie ha’amatara’a ha’api’ira’a.

    IA VAI ARA NOA RA TÂTOU. ‘AITA Â TEIE FIFI MA’I I ORE ATURA. A FA’A’OHIPA I TE MAU RAVEA PÂRURU. MĀURUURU E FA’AITOITO